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mercredi 6 août 2008

DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)…

Du : 06.08.2008, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : mar. 27 août 2013, 15.45.
Table de ce chapitre de notre Document principal, DP-…
5 - Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)…
5.A - Propos préliminaires. 236
5.A.1.a - L’Homme plus grand que la femme ! même dans ou contre le sein de sa mère ! 236
5.A.1.b - Une émission sur Europe I, vers 2003… 236
5.A.1.c - Le Masculin l’emporte toujours sur le féminin, Il l’inclut, Il est son référent. 237
5.A.1.d - Maintenant étudions la Puissance de l’Homme en général… 238
5.B - Restaurer L’Homme en général, sa Puissance… 239
5.B.1.a - Nous réitérons formellement notre avertissement : 239
5.B.2 - L’Homme seul porte la bourse, donc seul Il la remplie et la vide… 239
5.B.2.a - Madame ne peut demander à son Homme d’être Puissant que selon sa volonté propre. 240
5.B.2.b - Les sexes ne sont nullement égaux, mais seulement ‘complémentaires’ ! 241
5.B.2.c - Où l’on en vient à parler d’urinoirs… 242
5.B.2.d - Où nous devons parler de la virginité de la femme. 244
5.B.2.e - Cette virginité qui fait hurler ces succubes et leurs maîtres les incubes. 244
5.B.2.f - Autres qualités essentielles pouvant rendre le Mariage invalide : 248
5.B.2.g - La virginité les fait hurler, mais ‘eux’ veulent une ‘première main’ ! 248
5.B.2.h - Nous disions que la femme a été faite pour et à cause de l’Homme… 250
5.B.2.i - Seul l’Homme porte la bourse, seul donc Il peut la remplir et la vider 251
5.B.2.j - Pourquoi, au point précédent, avoir mis complémentaires entre guillemets ? 251
5.B.3 - L’Homme soigne, comme Époux, Père, Prêtre, Médecin… 253
5.B.3.a - L’Homme soigne, comme Époux… 253
5.B.3.b - La femme peut soigner, que comme épouse… 254
5.B.3.c - L’Homme soigne, comme Père… 254
5.B.3.d - La femme peut soigner, comme mère… 254
5.B.3.e - L’Homme soigne, comme prêtre de l’Église… 254
5.B.3.f - La femme ne peut soigner, comme Prêtre. 255
5.B.3.g - L’Homme soigne, comme Médecin… 256
5.B.3.h - La femme ne peut pas soigner, comme Médecin. 256
5.B.4 - L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne… 256
5.B.4.a - L’Homme juge. 256
5.B.4.b - La femme ne peut juger. 257
5.B.4.c - L’Homme jure… 258
5.B.4.d - Quelle différence dans ces deux touchements de bourse ? 260
5.B.4.e - Reprenons notre étude entre les deux touchements de bourse : 261
5.B.4.f - Une femme ne peut donc jurer, mais elle peut promettre. 262
5.B.4.g - Voyons la confirmation de ceci dans le film Brigadonn. 262
5.B.4.h - Voyons ce que librairiecatholique.com dit du livre Femme en Islam de Siblini Marwan. 263
5.B.4.i - L’Homme atteste, certifie, témoigne… 264
5.B.4.j - Sur le même sujet, voici un extrait d’article parut dans Rivarol. 265
5.B.5 - L’Homme commande, dirige, gère, défend, attaque… 267
5.B.5.a - L’Homme commande, dirige. 267
5.B.5.b - La femme, elle, ne peut ni commander, ni diriger. 267
5.B.5.c - L’Homme gère… 268
5.B.5.d - L’Homme défend, attaque… 268
5.B.5.e - Protéger, c’est mettre un bouclier, n’est-ce pas ? 269
5.C - Restaurer l’Homme en tant que Chef de Famille, sa Puissance. 271
5.C.1 - La femme n’est que pour son époux, et non pour les enfants. 271
5.C.1.a - Voyons donc ce que ce prêtre disait, voici des notes prises par l’un de nous : 272
5.C.1.b - L’Homme seul porte et délie la bourse, la remplie et la vide… 274
5.C.2 - Il y a trois types de sociétés sur terre. 274
5.C.3 - Petit démontage de la démocratie, l’anti-monarchie. 275
5.C.4 - Ayant trois types de sociétés, il y a donc trois monarques. 277
5.C.5 - Ces prêtres qui inventèrent le ‘devoir d’ingérence’. 277
5.C.6 - Léon XIII : l’Homme est le Prince. 279
5.C.6.a - Léon XIII dit bien que : 280
5.C.7 - Le Chef n’est pas revêtu de l’Autorité, elle lui est inhérente. 280
5.C.8 - Mgr Delassus : Le Chef est au-dessus de toutes autorités. 283
5.C.8.a - ‘Ils’ disent que l’ennemi, c’est le Patriarcat ! 283
5.C.9 - L’autorité du Père est la plus complète : sacerdoce et empire. 285
5.C.10 - L’autorité du Père plus large que celle du Législateur. 285
5.C.11 - Mgr Gaume : l’autorité du père est la plus noble. 286
5.A - Propos préliminaires.
Maintenant, nous allons étudier la Puissance de l’Homme en tant qu’Époux et Père car c’est la Famille qui nous préoccupe, mais auparavant, nous devons voir la Puissance de l’Homme, du Mâle, en général.
Par ex., l’Époux est physiquement plus grand que Son épouse, non parce qu’Il est son Époux, mais parce que l’Homme est généralement plus grand que la femme.
5.A.1.a - L’Homme plus grand que la femme ! même dans ou contre le sein de sa mère !
Oui l’Homme est plus grand que la femme, et même sous certains aspects lorsqu’Il est tout-petit enfant. En effet, considérez-Le fragile qu’Il est au sein de sa mère toute émerveillée de tenir ainsi un Homme.
Pour imager, agrémenter ce que vient de prétendre ce dernier propos, nous allons lire une histoire vraie que voici :
5.A.1.b - Une émission sur Europe I, vers 2003…
Laissait intervenir des auditeurs, et le sujet était ‘votre petit enfant’. Dans ce genre d’émission de manipulation, de ré-éducation, seules les femmes appellent… Une auditrice sortant notoirement du lot se met à parler de son enfant qui a 20 mois avec beaucoup d’amour et d’enthousiasme, puis elle dit : et lorsque je le sors du bain, et qu’à genoux sur le carrelage, j’essuie mon fils [seulement là, elle dit que c’est un garçon] je le trouve tellement beau ! La ré-éducatrice de service, redresse immédiatement le tir et dit : oui, et si cela avait été une fille, vous auriez eu la même admiration. L’auditrice reprend la parole et aggrave son cas en disant, avec une voix où s’entend très bien une vive émotion : non madame, je puis vous assurer que lorsque je le vois là debout, je ne puis que penser qu’il y a évidemment une différence, je suis incapable de l’expliquer, mais il est beau parce que c’est un petit Homme, c’est tellement différent d’une fille, je le sais comme femme… Inutile de dire que le téléphone fut coupé, et que la ‘psy’ de service se mit à expliquer que garçon ou fille, c’était tout comme…
5.A.1.c - Le Masculin l’emporte toujours sur le féminin, Il l’inclut, Il est son référent.
Garçon ou fille c’est tout comme ? Du tout !, et ce n’est point un lavage de cerveau organisé par les Hommes !, de tous temps les femmes ont toujours été si fières de mettre un Homme au monde. Les pauvres femmes qui n’avaient mis que des filles au monde ressentaient ceci comme une réelle souffrance. L’inverse, que des garçons, n’étant jamais ressenti de la même façon par elles, et que l’on ne vienne pas nous promener avec la veille tarte à la crème du regard culpabilisant des Époux sur leurs épouses.
Par ex., dans des pays qui agissent si criminellement comme en Chine, que désirent les femmes qui, les pauvres, ne ‘peuvent’ garder qu’un enfant ?, voici : un petit Mâle !
Dans notre histoire précédente, cette mère pressentait la Vérité, elle ne savait pas comment l’exprimer car on La lui avait cachée, mais rien à faire, la Vérité est inscrite de façon indélébile en notre conscience, et aucun lavage de cerveau ne pourra l’effacer, au point que même au tréfonds de l’enfer, cette Vérité travaillera comme une vrille infiniment cruelle notre conscience, mais sans remède possible alors.
Oui, toutes les femmes de tous les temps doivent céder le pas à un seul tout-petit Homme, qui est leur référant et qui les inclut toutes car Il est générique, Il les a générées ! Le féminin, depuis Ève, dérive du Masculin. Le féminin est le Masculin en plus petit, et ce, en toutes choses !
Le Masculin l’emporte toujours et en tout sur le féminin au point que :
→ l’on doit écrire : Mon épouse (f) et Mes filles (f) et Mon chien (M) se promènent, ils (M) vont bientôt rentrer !
→ par contre on écrira : Mon épouse (f) et Mes filles (f) promènent Mon chien (M), elles (f) vont bientôt rentrer !
Une femme savait bien cela et mieux qu’aucune autre, c’est la Très-Sainte Vierge Marie qui comme cette brave mère vue précédemment, lorsqu’Elle lavait le Petit-Jésus devait adorer, comme nous le verrons au ciel où nous vous donnons rendez-vous, de façon incroyablement intense et pure cet Enfant, Le plus beau des Hommes, et donc à plus forte raison des femmes.
5.A.1.d - Maintenant étudions la Puissance de l’Homme en général…
puis ensuite, dans le Mariage, en tant qu’Époux et Père.
Est-il nécessaire de rappeler que lorsque nous disons l’Homme il s’agit bien du Mâle, lorsque nous parlons de l’homme et/ou de la femme, de l’humain, nous disons l’homme ou humain.
De fait, les sujets que traitent ce présent chapitre l’Homme…, et le suivant, la femme…, sont difficilement dissociables, en effet lorsque l’on dit que la femme doit être soumise en toutes choses, on le dit à l’Homme, mais il s’agit de la femme… Toutefois, nous avons essayé de scinder ceci en deux chapitres.
5.B - Restaurer L’Homme en général, sa Puissance…
5.B.1.a - Nous réitérons formellement notre avertissement :
Nous rappelons ce que nous disions au début de cette étude2, que La notice d’utilisation n’est pas destinée à la machine, mais au propriétaire de la dite machine, n’est-ce pas ! Pour cette étude, idem…, et que donc tout ceci s’adresse bien qu’aux Hommes. Si une femme lisait cela, elle serait très gravement fautive et en très grand danger de se perdre. Nous déclinons donc le plus formellement possible toute responsabilité quant à son Âme, son Salut éternel.
5.B.2 - L’Homme seul porte la bourse, donc seul Il la remplie et la vide…
L’on entend de plus en plus des expressions bien vulgaires comme : avoir des couilles, ou : t’as rien dans le pantalon, ou : bon !, pas de coups-bas ! Et ainsi l’on dit quoi au juste ? Surtout si c’est une femme qui dit cela d’une autre femme, ceci devient carrément cocasse !
Le terme honnête à la place de c…s est testicules, qui sont au nombre de deux et contenues dans une bourse que seul l’Homme porte devant et entre les jambes, là où notre Père qui fit tout beau et bon, les plaça.
Commençons par définir le mot testicule, qui se trouvent donc au nombre de deux dans cette bourse.
-Testicule : Latin testiculus, dérivé de testis, « testicule ». Apparenté à témoin, tester, attester etc, c’est ce qui atteste (de la virilité) !3
Sont apparentés :
-Tester : Faire son testament, exprimer par écrit, et selon les formes requises, ses dernières volontés. Capacité, droit de tester.
Sont apparentés aussi, testament, attester et attestation, témoigner et témoignage :
-Témoigner : Attester ; donner des preuves tangibles de la réalité, de la vérité ou de la véracité d’une chose.
Sont apparentés : garant et garantir, prouver et approuver, vérifier, certifier, jurer, etc…
Et pour tout ceci, il faut donc être porteur d’une Puissance dont la partie la plus visible, après la hauteur physique, est la bourse qui contient ces testicules.
Cette bourse est la partie visible de la Puissance de l’Homme, qui transpire aussi en sa hauteur, sa musculature, sa maîtrise de soi, son intelligence, sa capacité à se déterminer, s’orienter, et surtout à pénétrer tant physiquement qu’intellectuellement ; etc.
5.B.2.a - Madame ne peut demander à son Homme d’être Puissant que selon sa volonté propre.
La Puissance donne à l’Homme de dominer, de pénétrer et ensemencer…, et cette Puissance est insécable, indivisible, Elle ne peut être abdiquée ! Il faut que les femmes l’acceptent, c’est ainsi et personne ne peut quoique ce soit contre ; la révolte ne change rien mais rend la vie en société impossible de par son unique faute, et plus particulièrement dans le Mariage !
La femme moderne, elle :
→ ne veut aucunement être dominée, sauf dans la perversion (sadomasochisme) ; alors qu’elle trouverait son véritable et quiet bonheur dans cette sainte soumission à la sainte domination de son Époux…
→ ne veut aucunement être pénétrée, sauf pour ‘jouir’ ; alors qu’elle trouverait la véritable jouissance d’être offerte à son Époux pouvant ainsi la fertiliser tant moralement que physiquement.
→ ne veut aucunement être ensemencée, sauf pour ‘faire’ un enfant selon sa volonté propre.
Elle veut bien être pénétrée et que très rarement ensemencée, mais que lorsqu’elle veut et avec ce qu’elle veut, et que pour ce qu’elle veut !
5.B.2.b - Les sexes ne sont nullement égaux, mais seulement ‘complémentaires’ !
Oui, si l’on veut l’égalité des sexes, il va falloir couper tous les Hommes, en effet, on peut couper ce qu’un Homme porte, mais impossible de donner à une femme ce que Dieu dans sa Très-Charitable Providence ne voulut lui donner : augmenter sa taille, lui donner une Puissance, etc. : Qui de vous, en se tourmentant, peut ajouter une coudée à sa taille ? (Mt 6,27.)
C’est cela que tente désespérément de faire le communisme et toutes les idéologies qui prônent l’égalité en tout. Comme il est impossible que tout le monde soit également intelligent, beau, fort…, il leur faut niveler vers le plus petit commun dénominateur : rendre tout le monde stupide, vilain, faible…, ainsi ils sont tous égaux, et à ‘raz les marguerites’.
Comme il est impossible que les femmes aient une Puissance, alors, ‘ils’, les ennemis de l’humanité, arrachent cette Puissance aux Hommes. C’est ce que fait ce monde moderne : des minets, des lavettes, des hommelettes à talons aiguille ou décalés, avec des breloques dans tous les coins, tous les orifices, quitte à en faire de nouveaux !
Impossible à la femme d’être l’égale de l’Homme ? qu’à cela ne tienne !, il suffit de rabaisser l’Homme au niveau de la femme, et pour ceci les ‘coupeurs de bourses’ sont lancés depuis bien longtemps : révolter la femme et culpabiliser l’Homme, convaincre la femme qu’elle égale son Époux et crier continuellement à l’Homme qu’Il est violent, pousser la femme à sortir de sa Maison et faire passer l’aspirateur à l’Homme, etc.
5.B.2.c - Où l’on en vient à parler d’urinoirs…
Voyez-vous, cela devient tellement agaçant, que cette ‘égalité des sexes’, et puisque nous sommes entre Hommes, nous allons vous raconter une histoire réelle que nous narra le témoin direct de la scène :
Il y a de cela environ une vingtaine d’années, lors d’un repas d’affaire mêlant comme maintenant scandaleusement4 hommes et femmes, vers la fin de celui-ci, une ‘psychologue’ pas mal échauffée et toute pleine d’arrogance inspirée par le ‘savoir’ qu’on lui a fait croire qu’elle détenait, vient à dire hargneusement : ‘je ne vois aucune différence entre un homme et une femme, nous sommes tout-à-fait égaux’.
Un des convives, ami de notre rapporteur, bien agacé par cette péronnelle, placidement lui rétorqua, ‘moi j’en connais une !’, à quoi elle répliqua bêtement ‘laquelle ?’ Notre placide, finissant calmement sa part de tarte lui dit d’une façon fort détachée ‘madame ! un Homme ça pisse, et une femme ça fuit, et pour vous en convaincre, nous pouvons tous sortir et devant un buisson je vous propose de le constater !’
Le silence qui s’en suivit fut si glacial, que notre garce verte et écumante sortit et disparut pour toujours, et même de cette entreprise ! Un fort applaudissement de la salle vient détendre l’atmosphère et permettre enfin une fin de repas paisible et chaleureuse.
Alors, pour en revenir à notre titre, voici pourquoi avoir parlé d’urinoirs, parce que : un Homme ça pisse debout, ‘noblement’, et une femme doit se plier, s’abaisser pour pouvoir ‘fuir’ : c’est ce que tous, nous pouvons constater. Et si l’on en est révolté, il faut voir cela avec ‘dame nature’ pour les essentiellement négationnistes, ou notre Père du Ciel pour les croyants (révoltés)…
Un Homme utilise un urinoir, comme un buisson ou un arbre, et Il lui suffit de se retourner après s’être éloigné raisonnablement.
Une femme doit, désespérément pour sa vessie de petite capacité, chercher un endroit ‘praticable’, où se trouve les buissons appropriés et ‘atteignables’ où elle pourra se dégager tout le bas, se mettre accroupie et fuir tout son soûl. Dans la voiture, depuis ‘belle lurette’ son Époux et ses fils attendent : elle, l’épouse, et les filles…
Elles doivent comprendre, ces pauvresses, que jamais un Homme ne pensera que Sa Mère et Sa sœur, Son épouse et Sa fille fuient, si elles sont douces, totalement et amoureusement soumises. Ce mépris, ‘elle fuit’, ne vient que du fait que la femme regimbe ! Il ne faut pas provoquer les vrais Hommes (pas les minets !), sinon la femme recevra une remarque acerbe quant à sa position accroupie, et risque fort de trouver en son foyer un bon professeur qui sera tout disposé à lui apprendre à danser la polka histoire de la dégourdir quelque peu !
-Polka : s. f. Correction, danse, dans l’argot des faubouriens. Faire danser la polka à quelqu’un. Le batte.5
Comment corriger cette ‘injustice’ criante du Créateur ? Comment empêcher les Hommes de pisser debout vue qu’il n’y aura jamais, au grand jamais moyen de le faire faire aux femmes ; et quoi qu’on invente de plus débile et avilissant comme prothèse (entonnoir et autres débilités du même genre).
Comment corriger cette ‘injustice’ criante du Créateur ? En coupant tous les Hommes pour les obliger à fuir accroupis !
Notre solution ironique, ‘couper tous les Hommes pour les obliger à fuir accroupis’ vous paraît exagérée ?, alors, lisez :
5.B.2.d - Où nous devons parler de la virginité de la femme.
Michel Fourniret, ce monstre fabriqué par nos Maîtres, était « en quête de virginité », et pour cela il lui ‘fallut’ déflorer, violer et tuer ensuite de très nombreuses pauvres petites filles.
Devinez alors qu’elle fut l’avis de ‘spécialiste’, tous plus mabouls les uns que les autres, mais tous ‘psy-tout-ce-que-vous-voulez’, c’est qu’il fallait supprimer l’hymen à toutes les filles à la naissance, ainsi il n’y aurait plus de viols parce que plus de la virginité à quêter pour de tels vicieux !
5.B.2.e - Cette virginité qui fait hurler ces succubes et leurs maîtres les incubes.
Une affaire a défrayé la chronique, ainsi nommée dans les ‘média’ : l’affaire de l’annulation de mariage pour cause de mensonge sur la virginité de l’épouse.
Cette ‘affaire’ a été montée en sauce en mai 2008 par ‘Eux’ pour faire avancer la révolution, voici les faits selon L’Express :
L’épouse avait menti sur sa virginité, le tribunal annule le mariage.
En avril, le tribunal de grande instance de Lille a annulé un mariage car l’épouse avait menti sur sa virginité, a t-on appris ce jeudi auprès de l’avocat du mari. La cour a estimé que l’époux avait conclu cette union "sous l’empire d’une erreur objective". […]
Alors que sa fiancée lui avait affirmé qu’elle était chaste, une valeur essentielle pour lui, l’homme, musulman comme elle, avait découvert le soir de leurs noces, le 8 juillet 2006, qu’elle ne l’était pas. (…]
Le tribunal a annulé l’union car il a estimé que l’époux l’avait conclu "sous l’empire d’une erreur objective" et qu’"une telle erreur était déterminante dans son consentement", selon le jugement publié dans la revue juridique le "Recueil Dalloz". […] 6
Ce que dit le Droit naturel :
<À développer, compléter, corriger>.
L’hymen7, cette ‘porte’ a été réalisée (voulue) par Dieu dans Son infinie Bonté et Justice. Elle est là pour garantir que la femme que l’Homme désire épouser est une vierge […] inconnue à tout homme8.
N’en déplaise à ces suppôts de Satan, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais bien la femme de l’homme ; et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l’homme9.
Par défaut, cette porte, cette virginité est une condition ‘sine qua non’ des épousailles, pour une femme, sauf :
→ de prouver, car à tout péché miséricorde, que le Futur en ait été dûment informé et qu’Il a accepté devant témoins de passer sur ce très grave manquement, ou
→ évidemment, s’Il savait que la jeune épousée était veuve et donc potentiellement connue, ou
→ si par ‘accident10’ toutefois ‘incroyable’, ou viol, ou autre, et qu’Il en ait été dûment informé devant témoins et qu’Il l’a accepté.
Ce que dit l’Église :
<À développer, compléter, corriger>.
Can. 1083
§ 1 L’erreur sur la personne rend le mariage invalide.
§ 2 L’erreur sur une qualité de la personne, même si elle est cause du contrat, rend le mariage nul seulement :
1° Si l’erreur sur une qualité se ramène à une erreur sur la personne ;
2° Si une personne libre contracte avec une personne qu’elle croit libre, alors que celle-ci est de condition servile dans l’acception propre du terme.11
L’Église dit que s’il y a erreur sur une qualité de la personne, ceci rend le mariage invalide ; ce, donc, conformément au Droit naturel.
Ce que dit la Médecine :
<À développer, compléter, corriger>
Nous avons lu (et aussi entendu dire), sans avoir retenu la source, qu’une femme vierge est ‘magnétisée’, marquée de façon indélébile par la (les) première(s) pénétration(s). Elle est marquée comme au fer rouge par une empreinte indélébile autre que cette défloraison qui est le témoin visible, sensible de cette virginité.
Ainsi, une femme adultère commet un acte ‘contre-nature’ à cause de cette empreinte en plus de son (ses) infidélité(s) (péchés-mortels). Cette étude avançait que c’est pour cela que dans l’ancien peuple juif une veuve devait être prise par le Frère du défunt afin de préserver le ‘marquage’. (Une aide médicale et scientifique sérieuse est hautement souhaitée).
Concluons :
Les médias, première et irremplaçable courroie de transmission de nos ‘Maîtres’, mentent copieusement, évidemment :
1. L’Époux en question ne semble pas avoir avancé le ‘défaut de virginité’ (qu’Il aurait put toutefois avancer), mais bien le mensonge sur cette virginité. Ce qui veut donc dire qu’Il a demandé au préalable à la donzelle si elle était bien vierge !
2. Selon nous, cet argument manque de courage, car en effet, la virginité est une qualité essentielle, pourquoi ? Pourquoi cette virginité a-t-elle été voulu par Dieu (ou ‘dame nature’ dirons les essentiellement négationnistes) ?, voyons !, pour que l’Homme puisse vérifier qu’elle est une vierge […] inconnue à tout homme !
3. Ils disent que cette course à la virginité poussent ces femmes musulmanes (et d’autres aussi, car le mensonge règne sur toute la terre) à recourir à la chirurgie pour se faire ‘refaire’ un (faux) hymen (Hymenoplastie). Ce qui revient à dire que c’est l’enquête de police qui pousse le malfaiteur au crime ! Cette réfection d’un pseudo d’hymen est un crime aggravant le premier péché mortel : la perdre cet hymen ! Et là, il y a tromperie encore plus grande, double, sur une qualité essentielle de la femme.
4. L’Homme n’avait point à poser la question ! En effet, comment, finalement, démarrer une union indissoluble, de confiance, sur une telle méfiance, étant donné que la promise, la donzelle doit être vierge ! Si elle ne l’est pas, c’est qu’elle a caché un Mariage, car, une ‘union’ hors Mariage est impossible parce que criminelle ! Si elle n’est plus vierge, elle a donc bien caché un crime, et à ce compte là il y a bien dissimulation, comme l’Homme qui cacherait qu’Il aurait perpétré un meurtre avant son Mariage !
5.B.2.f - Autres qualités essentielles pouvant rendre le Mariage invalide :
→ Un époux qui a caché, non son impuissance qui ne peut être prouvée que dans le Mariage du reste (épreuve dans le Mariage), mais une malformation génitale évidente. Etc.
→ Une épouse qui a caché, non son infertilité qui ne peut être prouvée que dans le Mariage du reste (épreuve dans le Mariage), mais une malformation génitale évidente. Ou par ex. qui aurait caché par prothèse la perte d’un sein, une calvitie, etc.
5.B.2.g - La virginité les fait hurler, mais ‘eux’ veulent une ‘première main’ !
-Main : De première main. (Acquis) directement à la source, sans intermédiaire.
Leur voiture, à ‘eux’, doit être une ‘première main’, mais pour nos épouses ‘ils’ nous interdisent de rechercher une ‘première main’ !
N’écoutez pas la fulgurante et géniale remarque : Et pour l’Homme, on ne parle pas de ‘première main’, de virginité ! ? Pour commencer, combien d’Hommes, et ce, sans ‘héroïsme’ (encore que !), sont arrivés vierges dans le Mariage ?
La virginité de la femme n’a pas la même importance que pour l’Homme. Pourquoi ?, parce que la femme est faite pour l’Homme, et qu’elle est marquée par sa pénétration, son ensemencement tant intellectuel que physique. Ainsi une veuve, à laquelle Saint Paul conseille fortement de ne point se remarier, ne peut le faire en blanc12.
La femme est faite pour et à cause de l’Homme et non l’inverse ! Ainsi, l’on ne demande pas au chien, comme à la voiture du reste, s’il veut bien pour maître une ‘seconde main’, car l’un et l’autre sont fait pour l’Homme et non l’inverse.
L’Homme veut une ‘première main’, pour :
→ Sa voiture, pour bien la roder selon Son goût et Ses critères ;
→ Son chien, afin de pouvoir bien le dresser selon Ses critères, l’avoir bien en main ;
→ Son épouse, afin qu’elle soit pure, vierge et marquée et formée par Lui selon Ses désirs !
Pour son Époux, elle se doit vierge !
Plus haut nous disions que la femme était ‘magnétisée’, marquée physiquement par ses premières pénétrations. La femme n’a pas été créée (engendrée) pour Dieu, mais à cause de l’homme ; et elle doit être à son Époux : soumise en toutes choses, ce qui veut bien dire qu’elle est aussi marquée intellectuellement, moralement, en son éducation et ses habitudes, etc. par l’Homme qui le premier la connue !
Ce qui faisait dire, dans le temps pas si lointain où nous étions pas encore ‘éclairés’ par ‘les lumières’ que l’éducation des filles est bien moins importante que celle des garçons, en effet c’est à l’Époux d’achever l’éducation13 de sa toute belle ! Nous reverrons cela plus loin dans le détail.
Donc la femme est en effet toute marquée de ses premières pénétrations de tous ordres ! Or, si elle se remarie (et c’est pour cela que Saint Paul le déconseille fortement pour elle) elle devra être ‘reprogrammée’ (nouvelles habitudes, cuisine, latitudes, contraintes de son Époux, etc.), ce qui est quasiment impossible, par son nouvel Époux. Mais pire, ayant été magnétisée précédemment, et ne pouvant l’être de nouveau car le marquage est indélébile, elle portera les enfants de son nouvel époux dans un utérus qui ne serait pas ‘celui de leur Père’, mais ‘celui d’un autre Homme14’ ! Ce qui reviendrait à faire la soupe au pot familial dont le pot du voisin qui en aurait fait on ne sait trop quoi avant !, ce n’est vraiment pas ragoûtant15 ! Et ainsi, plus de pot vierge et plus de soupe sûre ; plus de femme vierge plus d’honnêtes Mariages, car renfermant en Eux le Ver Rongeur qui sape, sape le foyer…
Ainsi donc, vous commencez à mesurer l’escroquerie gigantesque qui se cache derrière cette affaire, montée intentionnellement par ‘eux’, de ‘défaut de virginité’ !
5.B.2.h - Nous disions que la femme a été faite pour et à cause de l’Homme…
L’Homme a été créé pour Dieu, et la femme ? La femme n’a pas été créée (engendrée) pour Dieu, mais à cause de l’homme, et donc pour l’Homme.
Et ainsi en va-t-il dans toute la création, le Mâle domine la femelle qui a été tirée de Lui, à cause de Lui, pour Lui, ce qui nous fait voir le Lion rugissant, et la lionne craintive et tapie devant son Mâle, sou-mise. Et ainsi que l’épouse, c’est la lionne qui dresse la table pour son maître !
Ils’, les ennemis de la famille, nos ‘Maîtres’, hurlent lorsque l’on dit que la femme doit, d’Obligation divine, être à ses fourneaux et non à l’extérieur de la Maison de son Époux, comme le confirme très bien le Concile de Trente : Elles aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris (voir plus loin). Ce n’est que là, sûrement, que la femme (fille, épouse, sœur, etc.) peut trouver le véritable Bonheur, la véritable Liberté, et par cela uniquement l’éternelle jouissance de Dieu !
En effet, elle ne peut aller à Dieu qu’en passant par l’Homme, étant faite pour l’Homme (sa Fin première ou intermédiaire) et non pour Dieu (sa Fin seconde et dernière). Pour atteindre la Fin dernière, Dieu, elle doit obligatoirement passer par la Fin première, l’Homme, et par cet intermédiaire inévitable, et que dans la mesure où elle l’aura parfaitement remplie, et pour laquelle elle fut engendrée, atteindre la Fin seconde et dernière : Dieu !
5.B.2.i - Seul l’Homme porte la bourse, seul donc Il peut la remplir et la vider
Et c’est pour cela que seul l’Homme peut donner et que la femme ne peut que recevoir, et c’est ce qui fait dire à Saint Thomas d’Aquin que dans l’acte conjugal, [comme dans tous le reste,] le rôle le plus noble appartient au mari.
Nous remarquons bien que la bourse que l’Homme porte et délie est devant et entre ses jambes.
5.B.2.j - Pourquoi, au point précédent, avoir mis complémentaires entre guillemets ?
Parce que, si nous sommes complémentaires, les Hommes et les femmes, cette complémentarité est :
→ une complémentarité de ‘confort’ pour l’Homme en général, et plus particulièrement pour l’Époux :
→ L’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l’homme. (I Cor., XI, 7-9).
→ Car c’est pour la consolation de l’homme que la femme a été formée16 (Saint Jean Chrysostome, développé ensuite).
→ une complémentarité de ‘servitude’ pour la femme, qu’elle soit fille, épouse (ou religieuse) ou mère :
→ la femme doit être soumise à son Mari [ou à l’Homme en général] en toutes choses17,
→ et l’aimer avec l’amour respectueux que vous portez à l’autorité même de Notre-Seigneur, de qui descend tout pouvoir de chef18.
Par exemple, il ne s’agit donc pas d’une obligation pour l’Époux de demander son avis à l’épouse ! Comme si cette complémentarité était une obligation d’utiliser ce complément afin d’obtenir l’assentiment en vue de l’achat d’une Maison, du choix d’école, etc.
Oui, comme pour tout Homme, c’est une complémentarité de confort pour l’Époux, s’Il en ressent le besoin :
→ pour Son bien-être : repas, affection, porter et élever Ses enfants, etc.
→ obtenir l’avis de Son épouse afin de vérifier par devers Lui son choix.
→ pour avoir une occasion d’enseigner son épouse par rapport à sa réponse erronée ou pas.
Cette complémentarité n’est pas un partage de l’Autorité de l’Époux par l’épouse, ni à 49.9%, ni à 30%, ni à 10%, ni même à 1% de l’Autorité ! Cette complémentarité est pour l’Époux, une aide selon sa demande, point à la ligne !
Relisons Pie XII :
N’hésitez donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités. La barre de la nef domestique a été confiée à vos mains. […] Épouses et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif d’usurper le sceptre familial !
La complémentarité en la Famille.
Les Hommes et les femmes sont en effet complémentaires ; en la Famille cette complémentarité est que :
→ l’Un, l’Homme, doit gouverner, ensemencer, alimenter et défendre son foyer…
→ l’autre, la femme, doit s’occuper en premier (voir ensuite) de son Époux, être fertile dans tous les sens du terme, porter de beaux et bons fruits de tous ordres, soigner joyeusement sa Maison…
5.B.3 - L’Homme soigne, comme Époux, Père, Prêtre, Médecin…
5.B.3.a - L’Homme soigne, comme Époux…
Seul l’Époux, Lui-même, est responsable de la santé morale et physique de son épouse, et en cela il n’a de compte à rendre à personne19.
Il décide s’Il doit être aidé, et par qui : prêtre, sage-femme, médecin, conseil… Cette demande d’aide n’est pas une cession d’Autorité, Il garde continuellement la main sur les soins de tous ordres. De cette responsabilité, il n’a de compte à rendre à quiconque, sauf à Son Dieu.
5.B.3.b - La femme peut soigner, que comme épouse…
Comme épouse, elle soignera son Époux selon le conseil qu’Il lui donnera ou lui fera donner.
Comme épouse de Notre-Seigneur Jésus-Christ (Âme consacrée, par ex. Les Filles de la Charité, appelées Sœurs de Saint Vincent de Paul), elle pourra sous tutelle porter les soins ordinaires même à des Hommes… Les femmes qui déshabillent un Homme alors qu’elles ne sont point consacrées commettent l’adultère, elles ne peuvent être infirmières, et sont évidemment incapables, dans le sens exacte du terme, d’être médecin (absence d’intelligence, de maîtrise, et pire de grâces d’état). Nous énonçons des principes découlant de la Loi naturelle, que l’on ne vienne pas nous mettre dans les pieds que s’il n’y a plus d’infirmières, qui soignera ?, ce n’est pas nous, ici, qui avons généré ce monde de fous, contrairement à ceux qui par ex. votent20.
5.B.3.c - L’Homme soigne, comme Père…
Idem, DP-5.B.3.a, L’Homme soigne, comme Époux…
5.B.3.d - La femme peut soigner, comme mère…
Comme épouse, elle soignera les enfants de son Époux selon le conseil qu’Il lui donnera ou lui fera donner.
Comme épouse de Notre-Seigneur Jésus-Christ, idem le point précédent.
5.B.3.e - L’Homme soigne, comme prêtre de l’Église…
Seul, l’Homme, comme prêtre, est habilité à ausculter et prescrire pour soigner l’Âme, avec les restrictions vues aux points précédents, sachant surtout que le Chef est prêtre en sa Maison, et qu’à Lui reviennent : la moralisation, la direction spirituelle, les conseils de tous ordres, la bénédiction et malédiction, les vœux, etc., et ce, pour toute Sa Maison.
5.B.3.f - La femme ne peut soigner, comme Prêtre.
Pourquoi ? Parce qu’elle ne peut être prêtre ! Nous savons très bien la distinction qu’il existe entre pouvoir et pouvoir :
→ Pouvoir, comme ayant la capacité de le faire, mais pas forcément la possibilité :
1. Le malade pourrait se lever si sa très grande faiblesse ne le lui interdisait pas.
2. L’estropier pouvait marcher, mais ne le peut plus maintenant.
→ Pouvoir, comme volonté de faire tout ce que l’on voudrait : Les humains ne peuvent voler comme les oiseaux (avant le Jugement dernier !) quand bien même le voudraient-ils.
C’est pour cela qu’il est scandaleux de dire, et ce jusque dans les sphères élevées de l’‘Église’ (apparemment), que l’Église ne veut pas que les femmes soient prêtres ; alors que ces Hommes d’Église devraient avoir le ‘courage’ de dire que les femmes ne peuvent pas être prêtre.
Il s’agit en effet, non d’une impossibilité due :
→ à l’absence de permission, par ex. : je ne vous permets pas de,
→ mais d’une impossibilité inhérente à la nature, par ex. : absence d’ailes pour pouvoir voler ;
en l’occurrence, ici, l’impossibilité de représenter un Homme, Notre-Seigneur Jésus-Christ, parce que n’étant pas des Hommes (absence de testicules) !
Si Dieu, qui peut tout, voulait par impossible que la femme soit prêtre, Lui-même ne le pourrait pas, car il ne peut changer la nature de ce qu’Il a fait ; en effet, Dieu Est !
L’Homme peut dominer l’Homme (chef d’atelier…), et l’Homme doit dominer la femme ; et la femme ne peut même pas dominer la femme21, alors, dominer l’Homme, pensez donc !
Saint Paul dit bien : Je ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme (I Tim. II, 12).
5.B.3.g - L’Homme soigne, comme Médecin…
Seul l’Homme, comme médecin, est habilité à ausculter et prescrire pour soigner le corps, avec les restrictions vues aux points précédents.
5.B.3.h - La femme ne peut pas soigner, comme Médecin.
Elle ne peut (capacité) ausculter un Homme, ni poser un jugement médical (capacité), en plus elle n’en aurait évidemment pas les grâces d’état, et cet acte serait éminemment contre-nature et suicidaire pour le malade.
Par contre, comme servante de Notre-Seigneur Jésus-Christ, elle le peut comme vu précédemment avec Les Filles de la Charité, pour assister un Médecin (Médecin = substantif Masculin !).
5.B.4 - L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne…
Au chapitre DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II)… ; point DP-8.G, vous trouverez un tableau présentant l’‘Évolution’ ?, non régression du statut de la femme ! Vous verrez ainsi que cette ‘évolution’ du statut de la femme est une régression due à une révolte relativement récente.
5.B.4.a - L’Homme juge.
Étant le Chef, Il jugera les gens de sa Maison : épouse et enfants, et le cas échéant les serviteurs de sa Maison.
Comme Juge, Il peut juger son semblable (un autre Homme), sous réserve de légitimité. Mais Il ne peut juger la Maison d’un autre Homme. Ainsi, si une femme devait être répréhensible (vol dans l’épicerie du village) c’est forcément vers l’Époux que l’épicier portera sa plainte, il reviendra à l’Époux de rembourser puis de corriger de main de Maître son épouse. En cas de contestation, c’est à l’Époux, assisté d’un avocat22 s’Il le doit, de se défendre en Justice, pour laver l’honneur de son épouse.
5.B.4.b - La femme ne peut juger.
Toujours la même chose, la femme ne peut (capacité) juger, même sa semblable ! Du reste, il n’y a qu’à voir comment elles se ‘jugent’ si charitablement entre-elles, comment elles se comportent dans les bureaux ou les ateliers, où il faut immanquablement, sans le dire ouvertement à cause de l’air du temps dévoyé, avoir un Homme, comme dans les couvents de femmes du reste, derrière la ‘responsable’ de ce groupe de femmes pour impulser et diriger, départager.
Mais comme nous sommes dans une société qui se meut plus que contre-naturellement, nous voyons maintenant la ‘magistrature’ presque exclusivement aux mains de viragos. Et ainsi, dans des drames conjugaux, instigués pratiquement exclusivement par les femmes (et avec des prêtres derrière dans certains milieux23), et portés devant des tribunaux forcément incompétent car rien ne peut contre l’Autorité de ce Chef, nous voyons des femelles assurément dépourvues de jugeote ‘juger’ un Homme, un Époux et Père, et ainsi humilier l’Autorité qu’Il détient de Dieu-même24 !
5.B.4.c - L’Homme jure…
Ici, nous ne parlons par du jurement qui fut tant combattu par le Saint curé d’Ars, et qui est une profération, un péché mortel, telle que ‘nom de D…’, etc. Même l’invective ‘putain’ sortie hors sens est un jurement… Nous parlons du jurement pour une chose grave, tel que : de jurer de dire la vérité en Justice…
Vous vous souvenez25 que nous avions dit que nous verrions l’explication très très importante de ceci, ‘sous la cuisse’, nous y voici, reprenons la citation :
24,1. Or Abraham était vieux et fort avancé en âge, et le Seigneur l’avait béni en toutes choses.
24,2. Il dit donc au plus ancien de ses serviteurs, qui avait l’intendance sur toute sa maison : Mets ta main sous ma cuisse,
24,3. Afin que je te fasse jurer par le Seigneur, le Dieu du ciel et de la terre, que tu ne prendras aucune des filles des Chananéens parmi lesquels j’habite, pour la faire épouser à mon fils ;
24,9. Ce serviteur mit donc la main sous la cuisse d’Abraham son maître, et s’engagea par serment à faire ce qu’il lui avait ordonné.26
Voyez-vous, dans le temps où la société n’était pas encore culbutée, renversée, on pourrait penser qu’il y a de cela bien bien longtemps, la subversion et la sidération étant si totales dans l’esprit des Hommes, mais de fait il y a moins de 60 ans, soit vers les années 1950, lorsque la société était encore une société d’Hommes, l’on savait cela.
Du temps où la ‘téloche’ n’avait pas encore nivelé, par la bas évidemment, les populations de nos campagnes ‘arriérées’, qu’ils disent, sur les marchés aux bestiaux, ou lors de toute transaction un peu importante, pour sceller une entente, l’on se serrait la main droite et en même temps, avec les trois doigts de la main gauche, pouce index et majeur, l’on se touchait (fugacement) la bourse.
Voyez-vous, il y a de cela 3 ans (2005), même pas, nous parlions avec un prêtre italien qui nous certifia avoir encore vu cela dans des transactions en son pays, il nous disait que c’était encore courant dans certaines régions.
Bien sûr, afin de nous mettre au banc des femmes, au niveau des femmes, l’on va pousser des cris d’orfraies, et vous verrez que les plus excités seront des prêtres qui taxeront ce geste qui est un geste de Puissance : d’obscénité !
En effet, ces cloaques d’impureté veulent l’Homme émasculé, enfin de pouvoir régenter le Mariage par la femme, et c’est pour cela qu’ils cachent tous les textes que nous donnons ici, comme ceux-ci :
→ Mets ta main sous ma cuisse, afin que je te fasse jurer par le Seigneur.
→ Ce serviteur mit donc la main sous la cuisse d’Abraham son maître, et s’engagea par serment.
Dans ce texte précité, nous remarquons bien que contrairement à ce qui se passait pour la transaction sur un marché aux bestiaux :
1. ce n’est pas Abraham et le serviteur qui se touchent leur propre bourse ;
2. mais uniquement le serviteur qui touche la bourse ;
3. et qu’il ne touche non pas sa propre bourse, mais celle d’Abraham !
5.B.4.d - Quelle différence dans ces deux touchements de bourse ?
La différence entre ces deux touchements de bourse :
1. touchement réciproque de sa propre bourse sur le marché aux bestiaux, et
2. touchement par un Homme de la bourse d’un autre.
C’est simple, déjà, nous savons parfaitement que les femmes sont inférieures à l’Homme et en toutes choses, subordonnées est plus heureux à cause de l’‘émotion’ scandaleuse que génère le mot ‘inférieur’ dans nos sociétés dépravées, dégénérées.
Nous savons aussi que la femme la plus ‘intelligente’ ou la plus ‘élevée’, la mieux ‘instruite’, est inférieure à l’Homme le plus ‘simple’. Ainsi, si une titrée Duchesse venait à épouser un charbonnier, elle devra être sou-mise à son époux en toutes choses. C’est ce qu’exprime aussi le proverbe qui dit bien : Le charbonnier est maître dans sa maison, et donc en premier Maître de Sa Duchesse ; laquelle Duchesse ne devra pas jouer à la ‘duchesse’ avec Lui, sinon gare à la trique… !
De Volonté divine, nous sommes dans une société d’Hommes, et dans cette société d’Hommes, une hiérarchie existe, et est nécessaire.
Une hiérarchie existe : certains Hommes sont plus forts, d’autres plus intelligent, d’autres plus sages, etc27.
Une hiérarchie est nécessaire : ces Chefs de famille doivent s’organiser, nommer : des Chefs de village, des gardes, des organisateurs, et aussi, et il y a une très grande noblesse dans cela, des serviteurs.
5.B.4.e - Reprenons notre étude entre les deux touchements de bourse :
1. Touchement réciproque de sa propre bourse sur le marché aux bestiaux.
Ici, il s’agit de deux Hommes ‘égaux’, qui s’entendent d’égal à égal sur une transaction future, car souvent la livraison ou l’enlèvement se faisait qu’ensuite. Et donc chacun scelle cette entente sur une transaction future en se touchant, en même temps que le serrement de main, sa propre bourse.
Du reste, nous nous souvenons que nous avions vu le commerce entre le Père de la demoiselle et l’Homme, futur Époux, la pâtisserie mise de côté28. Ainsi, il est tout à fait envisageable qu’une telle ‘cérémonie’ existe au moment où le Père de la demoiselle, après son consentement (fiançailles), scelle son accord avec le futur Époux !
2. Touchement par un Homme de la bourse d’un autre.
Là, nous n’assistons pas à une transaction, mais à un serment que fait un serviteur à son Maître de remplir une mission donnée. Et donc le serviteur est invité par le Maître à jurer non sur sa propre bourse, mais sur celle de son Maître ; et de là la demande d’Abraham : Mets ta main sous ma cuisse, afin que je te fasse jurer par le Seigneur, et ce serviteur mit donc la main sous la cuisse d’Abraham son maître, et s’engagea par serment.
5.B.4.f - Une femme ne peut donc jurer, mais elle peut promettre.
Nous venons de voir que pour jurer, faire un serment, un engagement, il fallait être Puissant, et donc ainsi il est évident que la femme ne peut jurer, faire un serment ou être assermentée, s’engager ou engager, etc, n’ayant pas de Puissance, de bourse !
Cela, dans une époque ‘antédiluvienne’, pensez-donc, moins de 100 ans, on le savait ! Les Hommes étant des Hommes, jamais ils n’auraient demandé à une femme de jurer. Les femmes étant encore des femmes sou-mises, belles de leur humilité, jamais elles n’auraient eu la folie de vouloir le prétendre.
C’est pour cela aussi, du reste, que l’engagement de la demoiselle à convoler en juste noces, les fiançailles, s’appelaient aussi ‘promesse de Mariage’ !
5.B.4.g - Voyons la confirmation de ceci dans le film Brigadonn.
Dans ce film de 1954, Brigadonn, à la 70 mn, il y a une scène de Mariage, et l’Homme dit : Je jure de t’aimer fidèlement, la femme lui répond : je promets de t’aimer fidèlement. Ne dites pas que c’est accidentel, c’est ainsi, de Droit divin, l’Homme peut jurer, la femme ne peut que promettre, et les preuves et les exemples foisonnent !
Alors, lorsqu’en ‘Justice’ l’on demande à une femme de jurer, ceci est un acte hautement subversif, contre-nature et par là impossible, aberrant, et son jurement n’a aucune valeur. Elle peut mettre ses trois doigts principaux de la main gauche entre ses jambes tout en levant la main droite, elle ne touchera que son vide !
Alors aussi, lorsqu’en ‘Justice’ une femme demande un serment à un Homme, le fait jurer puis le ‘juge’, elle ne fait qu’étaler lamentablement son néant, et ainsi insulte et avilie toutes les braves et honnêtes femmes, en commençant par la Très-Sainte Vierge Marie !
5.B.4.h - Voyons ce que librairiecatholique.com dit du livre Femme en Islam de Siblini Marwan.
Pour s’en moquer bien sûr !, mais non pour dénoncer ce qui pourrait être critiquable.
Lisons : Donc, la femme est inférieure sur le plan intellectuel et sur le plan religieux. Jamais son intellect ne pourra atteindre le niveau de celui d’un homme, et il faut le témoignage de deux femmes pour équivaloir à celui d’un homme. N’étant pas destinée à l’exécution des ordres divins.29
Ainsi donc30, cette femme vient en effet de bien prouver son ‘égalité’ et son ‘intelligence’, elle se scandalise qu’il faille le témoignage de deux femmes pour équivaloir à celui d’un homme !
Mais non !, femme stupide, vous pouvez en mettre autant que vous le voulez, des témoignages de femmes, ceci ne changera jamais rien à la Vérité ! Un Homme peut jurer, témoigner sous serment, une femme ne le peut ! Et même si une ‘loi’ le lui ‘permet’, ceci est inconséquent, en effet cette impossibilité, répétons-nous, ne découle pas de l’absence de permission, mais de l’absence de possibilité venant de la nature même de la femme ! Et si elles veulent s’en plaindre, donc se révolter, qu’elles s’adressent au Bon Dieu, Nous, les Hommes, ni pouvons rien et nous n’y sommes pour rien !
La scribouillard(e) est choquée que le Coran31 dise (nous nous fions à ce qu’elle nous annonce) que la femme est inférieure sur le plan intellectuel et sur le plan religieux. Alors, il va falloir condamner l’Église catholique aussi !, et le Droit naturel en premier, et encore avant tout notre Créateur !
Mais elle, cette pauvresse, ne s’arrête pas en si bon chemin, pensant être intelligente, elle s’offusque que la femme soit considérée par le Coran comme inférieure à l’Homme, et nous citons : N’étant pas destinée à l’exécution des ordres divins. Pauvre petite, malheureusement cette étude vous est interdite, autrement vous auriez su que ceci est vrai de Volonté divine et en soit n’a rien à voir avec le Coran qui ici ne fait que rapporter la Loi naturelle. Ce que nous lui souhaitons, c’est qu’un Homme puisse la détromper, l’enseigner, la discipliner, pour la sauver !
Voyez-vous, c’est comme le mot d’ordre de nos ‘Maîtres’ « il faut sauver la nature, la respecter », ainsi donc :
→ ils ‘respectent’ la nature, en admettant que la lionne se tapisse craintivement devant son Chef le Lion, et reçoive la cas échéant un coup de patte pour la remettre à sa place ;
→ mais de fait ils ne la respectent pas du tout, puisque pour l’humain, qui est le sommet de la nature, ils n’admettent pas que l’épouse craigne son Époux, et que Celui-ci lui donne un coup de patte, soit la corrige, afin de la contenir dans son devoir (Concile de Trente) !
5.B.4.i - L’Homme atteste, certifie, témoigne…
De fait, juger ou jurer, ou attester ou certifier, témoigner, etc., nécessite la même Puissance. Une simple tentative ou prétention d’une femme vers cette Puissance est une action contre-nature et donc qui ne peut aboutir, une révolte, une subversion, un mensonge. Un Homme qui dirait qu’une femme peut juger, etc., est à mettre au ban de la société pour acte contre-nature, pour révolte contre son Dieu.
Que cette pauvre femme se scandalise n’est pas étonnant, car maintenant tout ce qui est normal ou conforme au Droit naturel est devenue ‘anormal’ ; et tout ce qui était anormal, ou contre-nature, est devenu ‘normal’ ! Tout se tient !
5.B.4.j - Sur le même sujet, voici un extrait d’article parut dans Rivarol.
On peut rappeler que nos compagnes durent attendre le 29 avril 1945 pour voter la première fois… Que les femmes mariées durent attendre la loi du 2 février 1938 pour être relevées de l’incapacité juridique qui les frappaient jusqu’alors… Qu’en 1848, l’une des premières décisions de la Constituante de la IIème République fut d’interdire aux femmes de participer aux réunions politiques32
Rivarol est un journal tenu par des femmes, un journal féministe de ‘droite’, certains disent d’extrême-droite pour faire peur, nous, nous disons extrêmement libéral, anti-naturel, mais qui se dit ‘bien pensant’, les Hommes qui y écrivent sont plus ou moins châtrés. Toutefois, il faut reconnaître que dans l’état actuel de la presse, ce journal remet tout de même certaines pendules à l’heure, et donne des informations que vous ne trouverez pas ailleurs.
Rivarol serait condamné, dans une société vraiment chrétienne, pour libéralisme, relisons : durent attendre, et ce sans le dénoncer.
En effet, ces scribouillard(e)s, n’auraient pas écrit au sujet de l’avortement, étant apparemment violemment (?) contre : elles durent attendre 1975 pour pouvoir disposer de leur corps et avorter, mais : cette loi infanticide fut votée en 1975.
Donc, le fait de dire : durent attendre le 29 avril 1945 pour voter la première fois… et : être relevées de l’incapacité juridique qui les frappaient jusqu’alors, etc., est un acquiescement, par silence pour le moins, à ces dispositions, en effet, elles ne les ont point condamnées ! Nous pensons même qu’elles les approuvent et seraient choquées de ce que nous écrivons, elles sont donc féministes ‘modérées’ !, des démons ‛modérés’ !
Quant à ce passage : interdire aux femmes de participer aux réunions politiques, ceci est absolument nécessaire et obligatoire.
Nécessaire et obligatoire ?, voici :
Obligatoire : notre société est de Droit divin une société d’Hommes, et en excluant le fait que la femme parle souvent à contre-temps et à contre-sens, et ce, sans comprendre un traître mot de son propre babillage, elle est irresponsable dans le sens où elle n’est pas responsable, responsable de quoique ce soit, si ce n’est de bien faire ce que son Époux lui aura marqué. Et donc, si elle prend la parole en publique, c’est forcément contre un Homme, voire même contre son Homme ! Et c’est aussi ce qui dit Saint Paul : si elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent leurs maris à la maison ; il est, en effet, inconvenant pour une femme de prendre la parole dans une assemblée. Et donc, à quoi servirait-il qu’elle puisse participer aux réunions publiques ? Si !, nous nous en connaissons une : brouiller les cartes !
Nécessaire : comme prudent ! Voici une histoire qui nous fut racontée : Quatre paysans décidèrent, pour s’affranchir d’une coopérative dévoreuse de fermes, d’acheter entre-eux une moissonneuse, et s’entendaient pour l’utiliser à tour de rôle et l’entretenir. Tout allait bien, et les épouses se plaignirent d’être tenues à l’écart. Alors, ils laissèrent venir ces donzelles ; et ce qui devait arriver immanquablement arriva, nos braves paysans furent à la limite du ‘divorce’ entre-eux, en pleine mésentente !
S’étant réunis en ‘cachette’ ils décidèrent de virer ces perturbatrices, et du jour au lendemain tout revint dans l’ordre. Mettez des bonnes femmes dans une organisation quelconque, et le crêpage de chignon est lancé, et la zizanie est mise entre les Hommes.
5.B.5 - L’Homme commande, dirige, gère, défend, attaque…
5.B.5.a - L’Homme commande, dirige.
C’est évident, comme l’enseigne expressément saint Paul, à la suite de la Genèse, L’homme est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l’homme. En effet, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais bien la femme de l’homme ; et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l’homme (I Cor., XI, 7-9).
La parole même de Dieu nous apprend bien que les rapports de l’Homme et de la femme consistent en une subordination hiérarchique.
Ce que confirme tous les textes que nous avons déjà étudié et que Saint Paul résume ainsi : la femme doit être soumise à son Mari en toutes choses.
Ceci est confirmé jusqu’à Pie XII qui dit : Ne vous contentez pas d’accepter et presque de subir l’autorité de votre époux à qui Dieu vous a soumises par les dispositions de la nature et de la grâce. Dans votre sincère soumission, vous devez aimer l’autorité de votre mari, l’aimer avec l’amour respectueux que vous portez à l’autorité même de Notre-Seigneur, de qui descend tout pouvoir de chef33.
5.B.5.b - La femme, elle, ne peut ni commander, ni diriger.
Comme déjà développé plus haut, à cause de l’absence de Puissance voulue par la Providence divine, les femmes ne peuvent ni commander ni diriger, et c’est ce que confirme entre autres Saint Paul qui dit : Je ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme (I Tim. II, 12).
Commander, diriger, c’est bien dominer n’est-ce pas ?, donc cela leur est interdit sur l’Homme. Et comme la femme ne veut pas être dirigée par sa semblable, elle ne peut non plus dominer la femme. Voyez déjà une mère et ses filles qui ne s’entendent que pour faire bloc contre l’Époux. Voyez aussi dans les ateliers, où elles ne s’entendent que pour contester une autorité, une ordre, sinon quelle cacophonie !, que des piaillements, des jérémiades…
5.B.5.c - L’Homme gère…
Oui, la femme :
1. ne peut gérer, n’ayant pas de bourse, comme vu précédemment ; en effet, un peu de bon sens !, pour pouvoir gérer une bourse, il faut commencer par en avoir une !, puis ensuite la remplir pour pouvoir en disposer légitimement.
2. ne peut légalement avoir du bien à gérer car devant rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris.
3. ne peut gérer se souvenant qu’elles sont obligées […] de leur [Époux] être soumises et de leur obéir avec joie et empressement (Concile de Trente).
4. ne peut gérer les biens de son Époux et les ‘siens34’, parce que c’est le mari qui est maître des biens communs, et non pas la femme35.
5.B.5.d - L’Homme défend, attaque…
Seul l’Homme est armé d’une Puissance, et cette Puissance Lui permet d’attaquer pour se défendre… Nous pourrions même dire cela autrement, l’Homme étant le Seul à pouvoir donner la vie, à Lui seul revient donc le Pouvoir de l’enlever pour une juste cause.
Reconquête,
c’est l’Homme qui donne la Vie !
Contrairement à ce que tout le monde répète bêtement dans ce monde de dégénérés, féminisé, ou tout est renversé par la révolte, ce n’est pas du tout la femme qui donne la Vie !, c’est Dieu qui est Vie !, et ici-bas, le dépositaire de cette Vie, le dispensateur de cette Vie, le semeur de cette Vie c’est l’Homme. C’est l’Homme qui donne la vie ! comme Il donna la Vie à Ève. La femme ne fait que porter cette Vie, elle doit La faire fructifier, elle doit rendre son fardeau, l’enfant, à qui il appartient, soit à : l’Époux. Ainsi lorsqu’elle assassine son Fruit (avorte) en plus de son crime incroyable, elle vole son Époux ! Son ventre ne lui appartient pas du tout, appartenant entièrement, elle-même, à son Époux à qui elle fut donnée par Dieu pour cela en premier36 !
Et donc, étant Le dispensateur de la Vie en Sa Maison il revient qu’au Chef de protéger la Vie en cette Maison : épouse, enfants, etc. ! De plus, défendre la Vie, n’est-ce aussi re-donner la Vie ?
5.B.5.e - Protéger, c’est mettre un bouclier, n’est-ce pas ?
Le Chef porte un bouclier, et derrière Lui, et donc derrière Son bouclier, se trouve Sa Maison !
Ce bouclier que le Chef seul peut porter, protège Sa Maison des agressions physiques et morales (voir plus loin dans l’étude pour ce point).
Un bouclier a deux faces :
→ Une face ‘intérieure’, concave, qui est pourvue de lanières pour tenir le bouclier, derrière laquelle face, la personne est protégée ; cette face est l’aspect ‘défense’ de l’objet.
→ Une face ‘extérieure’, convexe sur laquelle glisse l’agression. Cette face visible par l’ennemi est l’aspect attaque de l’objet. En effet c’est de derrière cette face visible par l’ennemi et qui protège son porteur, que va surgir au moment opportun, le glaive qui va tenter de terrasser l’ennemi de la Famille !
Donc, de prendre un bouclier, évidemment, a un aspect ‘défense’ et un aspect ‘attaque’.
La protection de la Maison par le Chef implique donc un bouclier qui est une ‘défense-attaque’ !
Par exemple, lorsque l’on va devant un tribunal, que l’on subit un procès, l’on dit bien « qu’on se défend en justice », ou si l’on fait un procès « que l’on attaque en justice ».
Dans tous les cas, c’est bien l’obligation l’attribut du Chef de porter le bouclier, et donc éventuellement de s’en servir pour défendre-attaquer, pour protéger sa Maison !
5.C - Restaurer l’Homme en tant que Chef de Famille, sa Puissance.
Nous disions juste avant que les époux étaient complémentaires dans le Mariage, mais que cette complémentarité n’était pas un partage de l’Autorité, c’est ce que nous allons confirmer maintenant.
5.C.1 - La femme n’est que pour son époux, et non pour les enfants.
Voici le résumé d’une conférence donnée par un prêtre de la FSSPX. Ce n’était malheureusement, pour ce conférencier, que des paroles en l’air car effectivement la FSSPX détruit des Familles (enfants contre parents, épouse contre Époux, etc.) en appliquant un programme tout contraire à ce que vous allez lire.
Ce conférencier, conformément au bon mot, faites ce que je dis, mais pas ce que je fais, est très très bien au courant de désastres dus à cette FSSPX, et lâchement comme d’autres que nous connaissons37, il a préféré faire comme le prêtre de la parabole du bon samaritain : Un prêtre, d’aventure, descendait par ce chemin ; il le vit, prit l’autre côté de la route et passa38.
5.C.1.a - Voyons donc ce que ce prêtre disait, voici des notes prises par l’un de nous :
Le centre de la famille est le père ; la mère est son associée, sa subordonnée ; les enfants sont la conséquence, et non le centre. La femme est pour son époux et non pour les enfants comme fin première [de la femme].
La décadence touche les meilleures familles. Deux familles identiques : l’une est paisible, l’autre est difficile. Un seul responsable mesdames, je suis désolé, c’est la femme, l’épouse, la mère.
N’obéissez pas à l’abbé Rigaud, au prêtre, je n’ai aucune autorité sur vous !
Les études, l’école évincent maintenant le père, seul éducateur – enseignant.
Que les filles soient élevées pour être des épouses et des mères…, les études les brisent et les poussent à la révolte. Elles leur enlèvent l’intelligence ! L’enseignement par les choses sensibles est supérieur à l’enseignement « classique » (saint Thomas) !
Le prêtre n’a pas de compétence pour donner des conseils dans le choix d’un devoir d’état…39
De cette causerie, nous pouvons dire que :
→ le pivot et la raison de la Famille sont reconnus : Le centre de la famille est le père.
→ la subordination de la femme est reconnue : la mère est son associée, sa subordonnée.
→ la servitude de la femme envers son Époux est reconnue : La femme est pour son époux et non pour les enfants comme fin première [de la femme].
→ la responsabilité de la femme est reconnue quant à la mésentente : Un seul responsable mesdames, je suis désolé, c’est la femme, l’épouse, la mère.
→ le prêtre ne peut rien dire en la Famille est reconnu : N’obéissez pas à l’abbé Rigaud, au prêtre, je n’ai aucune autorité sur vous !
→ seul le Chef de Famille est l’enseignant de sa Maison est reconnu : Les études, l’école évincent maintenant le père, seul éducateur – enseignant.
→ la nécessité d’élever les filles que pour n’être que des épouses-mères est reconnu : Que les filles soient élevées pour être des épouses et des mères…,
→ l’enseignement non approprié, ou égal aux garçons génère des révoltées est reconnu : … les études les brisent et les poussent à la révolte. Elles leur enlèvent l’intelligence ! L’enseignement par les choses sensibles est supérieur à l’enseignement « classique » (saint Thomas) !
→ la direction spirituelle et temporelle du Chef tant sur Son épouse que sur Ses enfants est reconnue : Le prêtre n’a pas de compétence pour donner des conseils dans le choix d’un devoir d’état
Nous avons écrit ‘est reconnue’, nous avons pas mis ‘autorisée’ car bien sûr le Mariage n’est pas légiféré par l’Église, mais par la Loi naturelle. L’Église doit être au service du Chef de Famille, comme l’État du reste, elle ne peut donc que reconnaître ce Droit, le confirmer, le magnifier, le défendre, etc, et non « l’autoriser » !
La causerie précitée est un bon résumé de la Doctrine naturelle du Mariage qui a déjà été et va être confirmée par de nombreux saints auteurs, de même que par bien d’autres. Malheureusement dans les faits, c’est exactement le contraire qui est fait par ces prêtres corrompus, cloaques d’impureté (ND de La Salette) !
5.C.1.b - L’Homme seul porte et délie la bourse, la remplie et la vide…
La bourse (photo ci-contre40) est aussi, un sac dans lequel l’on met une puissance qui est la monnaie.
-Bourse : Petit sac de cuir, de peau ou d’étoffe que l’on ferme à l’aide d’un petit cordon resserré, utilisé pour porter sur soi des pièces de monnaie. Ouvrir, fermer, remplir sa bourse.
Qui travaille pour remplir la bourse ? l’Homme !
Qui porte la bourse ? celui qui la remplit !
Qui peut vider la bourse ? celui qui la porte !
Cette bourse se portait (et se porte encore un peu en Écosse) devant et entre les jambes, suspendue à la ceinture, par l’Homme, la femme n’ayant pas le droit de la porter.
<À développer, compléter, corriger>.
Il existe des textes, si nous pouvions avoir de l’aide…
5.C.2 - Il y a trois types de sociétés sur terre.
La société Famille, la société civile ou État, et la société religieuse ou Église (ou selon la religion plus ou moins éloignée de la Vérité).
Nous avons vu amplement que de ces sociétés, la société Famille est la principale, et de par son ancienneté, et de par le fait que les autres dépendent d’Elle pour leurs membres.
Nous avons vu que le Chef de Famille est le pivot Celle-ci, et qu’Il est la seule ‘interface’ pour parler comme en informatique, avec l’extérieur de cette Famille.
Les sociétés État et Église ne furent constituées que pour aider le Chef de Famille, et donc à travers Lui la Famille : l’une, l’État, pour l’aider matériellement ; l’autre, l’Église, pour l’aider spirituellement.
Nous venons de rappeler, et nous allons le voir plus amplement ensuite, que ces sociétés État (légitime) et Église (La vraie41) avaient été constituées, l’une par les Chefs et l’autre par Dieu (NSJC), pour aider la Famille, et non point pour prendre le contrôle de la Famille. Ces deux sociétés sont donc ‘inféodées’ (au service de…) à la famille qui est leur finalité ici-bas.
5.C.3 - Petit démontage de la démocratie, l’anti-monarchie.
Nous savons pertinemment que le démocratie42 est une vaste fumisterie. Elle est de fait la révolte par excellence contre la Loi naturelle, et donc contre Dieu, elle est la négation de l’Autorité, de la Royauté :
→ Royauté de Notre-Seigneur Jésus-Christ sur toute la société, ou Règne social de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
→ Royauté du Chef de Famille, Règne de l’Époux-Père sur sa Maison.
→ Royauté du Pape, Règne du Représentant de Notre-Seigneur Jésus-Christ sur l’Église.
→ Royauté d’un Prince nommé par qui de Droit, Règne de Celui-ci sur un pays.
Il est encore de bon ton de dire que la démocratie est le moins pire des systèmes.
→ Cette assertion prouve déjà que l’on peut faire gober n’importe quoi aux Hommes qui ont décidés d’être tranquillement tondus, nous devrions dire émasculés par les coupeurs de bourse !
→ Cette assertion est aussi essentiellement mensongère, elle ne propose qu’une gamme de systèmes mauvais, ils disent bien : ‘le moins pire des systèmes’ ! Selon ‘eux’, il n’y a donc que le mal, le pire !
→ Cette assertion apprend aux Hommes à choisir que dans le mal et à ne plus voir le bien. Et dans ce mal, pour qu’Ils ne s’effraient pas de ce que l’on veut leur faire faire, on leur avance un mal prétendu ‘moins mal’ (par ex. le Jean-Marie Le Pen, ou assimilés).
→ Cette assertion prouve donc, étant dans le renversement des valeurs, ou plutôt la négation du bien, que l’on impose le mal aux Hommes et dans ce mal, l’on Leur impose le pire des systèmes qui est la démocratie universelle. Ou, comme la pauvresse Ségolène Royal43 l’appelle : la ‘démocratie participative’ !
La démocratie est la termite, le Ver Rongeur* qui vient saper les fondations de toutes les sociétés, et principalement la société Famille, où l’on prône maintenant, « la ‘participativité’ des enfants », « la co-responsabilité parentale », « le dialogue » qui est purement démoniaque, « le consensus », « la liberté de conscience », etc., etc., etc…
Revenons à notre propos.
5.C.4 - Ayant trois types de sociétés, il y a donc trois monarques.
→ De la société Famille, le monarque est : l’Époux – Père, le Chef.
→ De la société État, le monarque est : celui qui est délégué plus ou moins directement par les Chefs de famille.
→ De la société Église, le monarque est : celui qui est désigné par acclamation, voire même par l’unique voix d’un enfant (mâle).
De ces trois monarques, un seul n’est pas investi de sa charge, car sa monarchie Lui vient de sa nature :
→ Le monarque de la Famille est : essentiellement monarque (voir plus loin).
→ Le monarque de l’État est nommé par acclamation plus ou moins directe.
→ Le monarque de l’Église est nommé par acclamation plus ou moins directe.
5.C.5 - Ces prêtres qui inventèrent le ‘devoir d’ingérence’.
Nous sommes dans une époque où le subjectivisme est le système de ‘réflexion’ en toutes choses, ce, uniquement le temps d’installer le mal évidemment, alors après, une loi d’airain sera instaurée et n’admettra plus aucune interprétation subjective.
De fait nous sommes bien dans un système féminin, efféminé, démoniaque, essentiellement subjectif ; oui, tout se tient : ‘dame nature’, ‘les femmes donnent la vie’, ‘les femmes sont non violentes’, ‘elles sont victimes de la violence de l’Homme’, ‘il faut être tolérant’, etc.
Comment faire comprendre que notre société est une société d’Hommes voulue par Dieu qui est Père et non ‘mémère’ ; et, que pour détruire cette société, partout Lucifer avance le féminin, l’efféminé, le subjectivisme, la tolérance44, etc.
Grâce au système de pensée luciférienne, féminin et donc essentiellement ‘indécis’ sauf pour se révolter :
→ pour l’un c’est oui, pour l’autre c’est non ;
→ un temps c’était à faire, maintenant c’est mal ;
→ à une époque c’était la loi, maintenant c’est à exclure ;
→ du temps de Saint Paul la femme devait être sou-mise en toutes choses à son Époux, mais maintenant non car elle a été ‘éclairée’ par les Lumières du Père des cloaques d’impureté, Lucifer ;
→ elle doit obéir en toutes choses, sauf sauf sauf… qu’elle est libre d’opposer sa ‘conscience’ à son Époux (comme vu précédemment) ;
→ etc.
C’est les Hommes d’Église qui inventèrent le devoir d’ingérence dans le Mariage, principalement, par ‘la question bien vicieuse qu’ils ne pouvaient poser45’, et par la ‘direction’ spirituelle de l’épouse et des enfants.
Ces ‘directions spirituelles’, sont des profanations de l’Autorité du Chef, des viols de Ses sujets : épouse et enfants ! Ces mauvais prêtres, l’immense majorité, disent être les seuls à pouvoir guider la conscience de l’épouse, ce afin de pourvoir lui susurrer, lui persifler, selon leur humeur, en utilisant malicieusement le secret de la confession où ils distillent fielleusement de ‘bons’ conseilles :
→ Votre époux n’a pas à vous commander ceci, vous n’êtes pas sa servante,
→ Vous devez demander la séparation pour sauver votre Âme,
→ Ne surestimez pas vos forces, Dieu ne vous demande pas un tel héroïsme,
→ Vous devez sauver ‘vos’ enfants afin qu’ils ne reproduisent pas les erreurs de leur Père, etc. !
Ainsi, il ne faut pas s’étonner que ce ‘devoir d’ingérence’ soit si à la mode dans les États, État Église et État civil, et ceci met toutes les sociétés dans tous leurs états !
Car enfin, depuis Adam, et même avant la faute originelle, la femme doit être soumise à son Époux et à personne d’autre, et les prêtres, maintenant, font comme Lucifer, n’arrivant pas à manipuler l’Homme46, ils ont inventé le ‘devoir d’ingérence’, ils manipulent la femme (qui veut toujours regarder ailleurs que sur son Époux) comme le fit le Serpent, le Malin dans le paradis terrestre !
5.C.6 - Léon XIII : l’Homme est le Prince.
L’homme est le prince de la famille et le chef de la femme. Celle-ci cependant est la chair de sa chair et l’os de ses os. Comme telle, elle doit être soumise à son mari et lui obéir, non à la manière d’une esclave, mais d’une compagne. Ainsi l’obéissance qu’elle lui rend ne sera pas sans dignité ni sans honneur. Dans celui qui commande, ainsi que dans celle qui obéit, puisque tous deux sont l’image, l’un du Christ, l’autre de l’Église, il faut que la charité divine soit la règle perpétuelle du devoir, car le mari est le chef de la femme comme le Christ est le chef de l’Église. Mais de même que l’Église est soumise au Christ, ainsi les femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses (Eph. V, 23-24).47
5.C.6.a - Léon XIII dit bien que :
L’Homme est le prince de la famille, Roy, qu’Il est Chef de Sa femme et de toute Sa Maison, et a droit à ce titre à une soumission en toutes choses de Son épouse.
Soumission en toutes choses, veut donc dire aussi pour sa direction spirituelle, et tout le reste en découlant, sinon ce n’est pas une soumission en toutes choses. L’épouse ne pouvant être soumise à deux têtes, le prêtre ne peut aucunement et de quelque façon que ce soit interférer dans la pauvre petite tête de nos bien-aimées, sinon il y a bien adultère ou viol, cela selon qu’elle consent ou pas.
5.C.7 - Le Chef n’est pas revêtu de l’Autorité, elle lui est inhérente.
Dieu ne transmet pas au père l’autorité par un décret nouveau, positif et spécial : il lui transmet, il lui communique la paternité, et l’autorité en est la conséquence essentielle.
[Le patriarche] Il régnait parmi eux Souverainement : il y exerçait toutes les fonctions de la puissance publique et aussi de l’autorité sacerdotale. […]
Oui, un père est encore aujourd’hui roi dans sa famille : son royaume est inviolable : c’est sa maison et son foyer domestique : nul, fût-il roi de la société temporelle, ne peut s’y asseoir malgré lui.
[…] Mais par-dessus tout, son royaume, c’est sa femme et ses enfants : c’est leur âme, c’est leur vie, c’est leur honneur.
Lui enlever ses enfants ou sa femme ; violer indignement le droit qu’il a d’élever son fils et sa fille, est un attentat contre nature. […]
Je dis : par un droit inaliénable, et j’insiste sur ce mot : car il le faut bien entendre : l’autorité paternelle n’est pas amissible, ni même abdicable, comme l’autorité sociale, comme les autres autorités humaines.
Sans aucun doute, elle n’est pas ; la plus étendue, mais elle est la plus intime, la plus profonde, la plus imprescriptible de toutes les autorités. […]
On dit des dépositaires de l’autorité parmi les hommes, qu’ils sont revêtus de l’autorité.
Il n’y a que l’autorité paternelle dont on n’est pas revêtu, dont rien aussi ne saurait dépouiller, et que celui-là même en qui elle réside ne peut abdiquer. C’est la seule qui soit le plus complètement possible à l’image de l’autorité divine.
Non : le père n’est pas simplement revêtu de l’autorité paternelle : il la possède. Dieu pouvait ne pas lui communiquer la paternité elle-même : mais la paternité une fois reçue, l’autorité paternelle y est essentiellement attachée et inaliénable.
Aussi, la première idée de puissance qui ait été parmi les hommes, est manifestement l’idée de la puissance paternelle.48
Nous venons de lire Mgr d’Orléans qui dit bien que :
→ Le Chef de l’État et le Chef de l’Église sont revêtus d’une autorité inhérente à la charge dont-Ils ont été investis ;
→ le Chef de Famille, Lui, possède de par et dès sa conception cette Autorité.
Nourrisson, petit garçon, jeune Homme, il ne peut encore exercer l’Autorité qu’Il possède (et non dont Il est revêtu), n’ayant pas encore d’Empire, de Royaume où exercer cette Autorité, n’ayant pas encore fondé une Famille.
De plus, n’en étant pas revêtu, le Chef ne peut en être dépossédé au même titre que l’âme par ex…
Et donc aussi, nul ne peut Lui retirer l’Autorité qui lui fut cédée par Dieu à sa conception. Dieu même ne peut lui enlever cette Autorité, Elle Lui a été donnée, Elle est fondue en cet Homme.
→ Le Pape est un Souverain spirituel, Il n’a qu’un sceptre.
→ Le Roy est un Souverain temporel, Il n’a qu’un sceptre.
→ Le Chef de Famille, l’Époux-Père est un Souverain temporel et spirituel, Il a les deux sceptres en main :
1. l’un, la Puissance publique en Sa Famille,
2. l’autre, l’Autorité sacerdotale en Sa Famille.
Le Chef est Roy et Prêtre. C’est ce que nous dira plus nettement, plus loin, Mgr Jean-Joseph Gaume : il est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire49.
Nul ne peut rien sans Sa permission en Sa Maison, ni y rentrer, ni s’y asseoir, ni rien y faire.
Le Chef ne peut même pas se dépouiller Lui-même de cette, de Son Autorité ; et personne ne peut le faire, pas même Dieu !
Le Chef est l’Image la plus parfaite et le plus complète de l’Autorité divine : C’est la seule qui soit le plus complètement possible à l’image de l’autorité divine. Ce qui veut dire que s’il devait y avoir un jour, par impossible car nous avons vu les trois monarchies possibles (Famille, État, Église), un nouveau type d’Autorité, celui-ci serait forcément une image de l’Autorité divine moins complète, moins parfaite que celle du Chef de Famille. En effet, le Chef est le plus complètement possible à l’image de l’autorité divine, soit : totalement.
5.C.8 - Mgr Delassus : Le Chef est au-dessus de toutes autorités.
M. Benoît Malon, dans son livre : Le socialisme intégral, dit : « L’important est d’abolir radicalement l’autorité du père et sa puissance quasi-Royale dans la famille. L’égalité ne sera, en effet, parfaite qu’à cette condition. Les enfants ne sont-ils pas autant que les parents ? Pourquoi les commander ? De quel droit ? Plus d’obéissance, sans quoi plus d’égalité ! »
Aujourd’hui, « Tous déplorent la rupture des liens familiaux et ses suites qui sont :
-la disparition du respect,
-et de l’obéissance chez les jeunes gens,
-leur émancipation,
-et comme conséquence, une corruption extrême des mœurs privées et des mœurs publiques ;
-enfin, la déchéance de la race et la société française mise en péril. »
« Il est donc souverainement urgent de restaurer l’autorité paternelle. Aucune n’a plus de titres plus légitimes, aucune n’est plus nécessaire. »
« Le pouvoir du père est celui qui, dans l’ordre naturel, offre au plus haut degré les caractères d’une institution divine. Il se classe au-dessus de celui du souverain dont le rôle se borne à diriger une société sur laquelle il ne peut revendiquer des droits qu’il tiendrait de la nature : tandis que l’autorité attribuée au père est une conséquence légitime de cette dignité naturelle, qui est de continuer l’œuvre de la création en reproduisant des êtres qui ont le sentiment de l’ordre moral, et qui peuvent être élevés à la connaissance et à l’amour de Dieu. »50
5.C.8.a - ‘Ils’ disent que l’ennemi, c’est le Patriarcat !
Toujours le même discours féminin de haine de ce qui est de Droit divin (Droit naturel).
Les ennemis de l’humanité haïssent l’Autorité, toute Autorité et d’où qu’Elle vienne, ce qui :
→ fit que l’on écrivit sur le RMS Titanic ‘Ni Dieu, ni maître’,
→ fait crier aux ‘alter-mondialistes’ que tant que l’on aura pas éradiqué le Patriarcat, qu’ils appellent fielleusement le ‘paternalisme51’ et qui est selon eux la cause de tous les maux de la terre, de l’‘oppression’ des femmes et du malheur des enfants, etc. !
Reprenons notre citation précédente :
Mgr Delassus dit qu’il faut restaurer l’autorité paternelle. Et qu’aucune n’a plus de titres plus légitimes, aucune n’est plus nécessaire. Donc l’Autorité du Chef a plus de titres, est plus légitime et est plus nécessaire que celle de toute autre Autorité : celle du Roy et celle du Pape, etc.
Le Chef est ‘tout-puissant’, rien, aucun pouvoir ne peut égaler, contrecarrer Son Autorité de Droit divin.
5.C.9 - L’autorité du Père est la plus complète : sacerdoce et empire.
Instructions nécessaires au père, à qui elles redisent,…, qu’une grande dignité lui est conférée, mais qu’une grande responsabilité pèse sur lui ; qu’il est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire, non pour être un despote, mais le ministre de Dieu pour le bien ; qu’il doit, image vivante de Dieu, commander, reprendre, gouverner sa maison avec sagesse et équité, comme Dieu lui-même gouverne le monde.52
Mgr Jean-Joseph Gaume vers 1869 dit : Instructions nécessaires au père !
En effet, il était vraiment bien nécessaire de le dire et de le redire déjà à cette époque, alors, pensez-donc maintenant où un tel matraquage médiatique démoniaquement culpabilisant est déversé, ayant très souvent même, parmi nos plus proches, un relais plus que ‘zélé’ et conscient, et violent : les ‘amis’, les prêtres cloaques d’impureté, la famille et même l’épouse.
Mgr Jean-Joseph Gaume le dit bien, le Chef, image vivante de Dieu est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire.
5.C.10 - L’autorité du Père plus large que celle du Législateur.
Mgr Jean-Joseph Gaume, ailleurs : Vous n’êtes pas sans avoir remarqué, monsieur et cher ami, que, dans tous les commandements de Dieu, la place du père est toujours beaucoup plus large que celle du législateur : on dirait que Dieu n’est législateur que parce qu’il est père53
Où il est bon de revenir sur une évidence :
Oui, le Père, le Chef est le, donc le seul et unique, Législateur en Sa Maison et est en effet au dessus du législateur civil (et ecclésiastique de même !, nous attendons toujours le premier contradicteur) qui ne peut strictement rien contre Lui. Il est Législateur parce que Père !, comme Dieu !
Ceci doit être rappelé encore plus maintenant où les drames familiaux explosent exponentiellement et où des ‘juges’ vicieux veulent faire la loi ‘grâce’, presque toujours, à l’errance d’épouses révoltées et soutenues systématiquement par un gourou.
En effet, la femme est incapable d’opérer de par elle-même, comme il est visible dans cette étude, il lui faut donc toujours un ‘mentor’. Lorsqu’elle se révolte contre son Époux, représentant de Dieu en sa Maison. Infailliblement elle tombe, comme ‘inconsciemment’, dans les griffes d’un gourou qui sert de paravent, de relais au Malin.
Souvent même, dans le monde ‘catholique’, le gourou est ensoutané, c’est de lui dont Saint Mathieu parle dans son Évangile au chapitre 7, verset 15 :
Gardez-vous des faux prophètes qui viennent à vous sous des vêtements de brebis, mais au dedans sont des loups rapaces.
5.C.11 - Mgr Gaume : l’autorité du père est la plus noble.
Te figures-tu Noé, Abraham, Jacob, assis sous un chêne séculaire, ou dans leur tente, environnés de leurs nombreuses familles et racontant avec la double autorité de l’âge et de la paternité, les grands faits de la création, de la chute de l’homme, de la rédemption promise ; les miracles éclatants opérés en faveur du peuple choisi ; les magnifiques promesses faites à sa fidélité ? c’était le catéchuménat de l’ancienne loi.54
Mgr Jean-Joseph Gaume parle de la double Autorité de Noé, Abraham et Jacob sur leurs nombreuses Familles.
Cette double Autorité, de l’âge et de la Paternité, est dans tous les Hommes, Chefs, depuis Adam, et jusqu’à la fin des Temps.
Il dit aussi, non sur leur Famille nombreuse, mais sur leurs nombreuses Familles, au pluriel ! Il ne s’agit donc pas d’une seule Famille, voire grande, nombreuse ; mais de plusieurs Familles ! Ceci veut dire que le Chef de Famille, l’Ancien55 comme l’on disait un temps, garde une certaine Autorité, bien certaine toutefois, sur tous Ses Garçons ayant déjà été émancipés de par leur Mariage. C’est ce qu’on appelle le Patriarcat. Cette autorité sacrée sur la Première de toutes les Patries : le Patriarcat, leurs très nombreuses Familles est depuis Adam, et ce, jusqu’à la fin des mêmes Temps.
2(Re)Voyez ND : DP-01, Présentation de cette étude. ; point DP-1.C.3, Aucun mépris pour ceux qui sont ou seraient nos agresseurs.
4Scandaleusement, parce qu’en dehors de la cellule familiale, la femme ne peut que vagabonder, saper et ruiner. Par ex. si elle travaille, elle n’apporte strictement rien au foyer, si ce n’est la misère morale et matérielle. De plus elle vient prendre effectivement le pain d’un honnête Homme, tirer l’efficience de l’entreprise vers le bas, et débaucher les autres Chefs.
5Page 360 du ‘Dictionnaire de la langue verte’ d’Alfred Delvau.
6Par LEXPRESS.fr, mis à jour le 29/05/2008 à 12 :42 - publié le 29/05/2008
7-Hymen : subst. masc. A. − ANAT. Mince membrane de forme variable, qui obstrue partiellement le vagin des vierges. L'hymen, repli membraneux, plus ou moins large ( …) qui forme une cloison incomplète entre le vagin et la vulve, et rétrécit plus ou moins l'entrée du premier (Cuvier, Anat. comp., t. 5, 1805, p. 122).
8(Re)Voyez ND : DP-4.B.2.c, Voyons Abraham qui fait chercher une femme pour son fils Isaac.
9(I Cor., XI, 7-9), (Re)Voyez ND : DP-5.B.5, L’Homme commande, dirige, gère, défend, attaque…
10Et c’est justement pour éviter ces ‘accidents’, que la morale catholique, et même la morale tout court, interdisait aux femmes de :
→ monter à cheval, sauf dans certaines circonstances (grand-ouest), mais alors qu’en amazone,
→ de faire de la gymnastique, et des exercices violents,
→ de faire de la bicyclette, etc.
11Droit canon de 1917
12Nous profitons de ceci pour rappeler qu’une fille qui arrive non vierge dans le Mariage, parce qu’ayant péché mortellement, ne peut se marier en blanc, même si cela ne devait dater que de la vielle de ce Mariage et donc ne pas se voir. Dans le cas contraire il y a bien un mensonge très grave et publique ; sinon, évidemment de se marier d’une autre couleur est un acte qui lui fera monter la honte au front mais qui lui sera hautement salvateur.
13C’est pour cela que la dés-éducation nationale est si destructrice de la femme, car cette ‘éducation’ est une pénétration, un viol de la femme, une programmation perverse, on peut être sûr que l’Époux n’arrivera jamais à la rattraper. Ce poison hautement mortifère, véritable bombe à retardement explosera le moment voulu, et pas si lointain que cela, en pleine figure de l’Époux, et entraînera la ruine de la Famille, séparation, etc. : une femme insensée la [maison] renverse de ses propres mains.
14(Re)Voyez ND : DP-5.B.2.e, Cette virginité qui fait hurler ces succubes et leurs maîtres les incubes., « Ce que dit la Médecine : ».
15Ainsi, vous n’irez pas dormir dans des draps non ‘vierges’, c’est-à-dire non changé.
16(Re)Voyez ND : DP-3.B.10, Homélies sur la Genèse de Saint Jean Chrysostome.
17Eph. V, 23-24. Nouveau Testament que vous trouverez ici : Livres & sources.
18(Re)Voyez ND : DP-18.C.2, Pie XII, allocution aux jeunes mariés, 10 septembre 1941
19Ainsi, il est positivement scandaleux s’ingérer dans le Gouvernement d’un Chef musulman en se moquant de Lui parce qu’il veut tout-à-fait légitimement une accoucheuse pour procéder à l’accouchement de son épouse, ce au nom des dogmes de la Ripoublique. Si l’on trouve que ce n’est pas nos coutumes, il ne fallait pas le laisser rentrer. De plus, il est prouvé que presque toujours la césarienne pourrait être évitée, sauf pour le tiroir-caisse de ces escrocs de la ‘médecine’ !
20(Re)Voyez ND : plus loin DP-5.C.3, Petit démontage de la démocratie, l’anti-monarchie., et DP-14.I, Mensonge : la démocratie.
21Nous attendons avec impatience celui qui osera venir s’embourber en volant rétorquer que si !, que la femme peut dominer la femme, car même dans un couvent, la supérieure n’est que le ‘prête nom’ du supérieur… !
22(Re)Voyez ND : DP-5.B.5, L’Homme commande, dirige, gère, défend, attaque…
23(Re)Voyez ND : DP-9.C.13, ±1846 - La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette. : Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes.
Nous parlerons plus loin du ‘devoir d’ingérence’ qui fut utilisé en premier, justement, par ces prêtres vis-à-vis de la Famille, (Re)Voyez ND : DP-5.C.5, Ces prêtres qui inventèrent le ‘devoir d’ingérence’.
24Saint Paul : Ne vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés ; mais laissez agir la colère de Dieu ; car il est écrit : « A moi la vengeance ; c’est moi qui rétribuerai, dit le Seigneur. » (Romain 12.19)
25DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point DP-4.B.2.c, Voyons Abraham qui fait chercher une femme pour son fils Isaac.
26Genèse, « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 684.
27C’est ce qui dit Saint Paul dans sa 1re Épitre aux Corinthiens, XII, 7-12 :
Or la manifestation de l’Esprit est donnée à chacun pour l’utilité commune.
En effet, à l’un est donnée par l’Esprit une parole de sagesse ; à un autre, une parole de science, selon le même Esprit ; à un autre, la foi, par le même Esprit ; à un autre, la grâce des guérisons, par le même Esprit ; à un autre, le don d’opérer des miracles ; à un autre, la prophétie ; à un autre, le discernement des esprits ; à un autre, la diversité des langues ; à un autre, l’interprétation des langues.
Or c’est un seul et même Esprit qui opère toutes ces choses, les distribuant à chacun comme Il veut.
Car comme le corps est un et a beaucoup de membres, et comme tous les membres du corps, quoique nombreux, ne forment néanmoins qu’un seul corps : ainsi en est-il du Christ.
28(Re)Voyez ND : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point DP-4.B.2.d, Les Fiançailles, ce qu’elles sont.
30(Re)Voyez ND : DP-6.D.1, Femme en islam, sujet développé par l’hebdomadaire Rivarol.
31Ici, nous sommes pas du tout musulmans, nous sommes rien que catholique, vraiment catholique. Or, si l’on veut convertir les musulmans, l’on ne peut le faire qu’en condamnant ce qu’ils font de mal et non en se moquant de ce qu’ils font de bien !
32Rivarol, n° 2336 du 25/04/97, p. 3, "Droits de l’homme et de la femme".
33(Re)Voyez ND : DP-18.C.2, Pie XII, allocution aux jeunes mariés, 10 septembre 1941
34Biens ‘personnels’ qui de fait sont ‘communs’, ou bien plus véridiquement à l’Époux, par exemple : une dot qu’elle aurait apporté, bien que celle-ci soit un cadeau pour l’Époux ; un héritage venant de la famille dont elle fut tirée, etc.
35Saint Alphonse de Liguori. (Re)Voyez ND : DP-18.C.5, Saint Alphonse de Liguori - Œuvres complètes - Instruction au peuple.
36(Re)Voyez ND : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.B, L’Homme, engendre la femme, Il est son Maître., et DP-3.D, L’Homme, engendre Son enfant, Il est son Maître.
37Ici, nous sommes au courant de plusieurs affaires où l’Époux est un Homme, et certaines dans de très jeunes foyers de moins de deux ans !, qui sont directement imputables à ces sectes, FSSPX et consœurs. Systématiquement lorsque l’on trouve un prêtre (comme ce conférencier précité) quelque peu sensible à la détresse d’un Chef, la hiérarchie intervient pour lui imposer le silence et son retrait au nom de l’obéissance absolue et ce sous peine de renvoi !, alors que dans le même temps ces cloaques d’impureté (ND de La Salette) affranchissent les épouses de cette obéissance en toutes choses (Concile de Trente), et même encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables (Saint Benoît) ! Ces actions de ces mauvais prêtres et de leur hiérarchie sont bien la caractéristique d’une secte ! En effet, ils considèrent qu’un Homme, un Vrai, leur fait ombrage auprès de l’épouse qui est si facile à manipuler, car le vrai Homme, l’Époux les envoie sèchement promener lorsque ces pervers serrent quelque peu l’épouse ; oui, ce sont des violeurs, des adultères, des pervers, oui les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes. (ND de La Salette)
38Évangile selon St Luc 10.31, ou 12ème dim. après Pentecôte dans votre missel.
39Résumé fait par ‘X’ d’un point de la causerie de l’abbé Philibert Rigaud (FSSPX) donnée au Cours saint Hilaire (sis à 79190 Plibou – dir. Mlle. Claire-Isabelle Tranchet), fête du 17 janvier 2004 devant tous les parents d’élèves.
40Retour de Bohort l’Essillié à Camaalot - Mort le roi Artu, Belgique, Hainaut, XIVe siècle. Adresse d’origine: http ://pagesperso-orange.fr/cheminsdumoyenage/images/Escarcelle1.jpg
41Et non l’occupante du Siège de Rome, celle qui éclipse* La véritable Église catholique, qui Elle, est donc est éclipsée*. (Cf ND de La Salette)
42Nous parlons ici de la démocratie universelle et du suffrage direct, qui impliquent que des femmes, par définition irresponsables, votent contre des Chefs ; et du vote pour quelque chose pour laquelle l’on est à priori incompétent ou qui est trop éloigné : Président de la Ripoublique. S’il s’agit d’une élection d’un maire de village par les Chefs de Famille ayant autant de poids que le nombre de ses membres, alors, ceci est totalement différent. Ceci sera développé plus loin…
43(Re)Voyez ND :
→ DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point 7C2a, Femme, Marie-Ségolène Royal pense penser !, et, 7C2b, Faire reconduire la fliquette ‘affranchie’ de son Homme, par un macro !
44Connaissez-vous le bon mot de Paul Claudel ( ?) : La tolérance ? Il y a des maisons pour ça !
45(Re)Voyez ND : DP-4.E, Leur définition du Mariage, est une redoutable bombe à retardement. et suivantes.
46En effet, il est difficile d’en conter à un Homme, Il voit bien que ce que le prêtre veut faire est d’augmenter son pouvoir par ex. Alors, le Chef lui oppose une fin de non recevoir, et le met même à la porte s’il le faut. Et par vengeance, style femelle, le prêtre au confessionnal dit à l’épouse qui geint et confesse très scrupuleusement les ‘péchés’ de son Époux : que son époux n’a en effet pas le droit de la couper de ‘sa’ Famille, etc.
47Lettre encyclique de SS le Pape Léon XIII sur le mariage chrétien : Arcanum divinae.
48« Le mariage – 1869 - Mgr d’Orléans », réf. page 688.
49DP-5.C.9, L’autorité du Père est la plus complète : sacerdoce et empire.
50« L’esprit familial… - 1910 - Mgr Delassus », réf. page 688.
51Méfiez-vous de tous les mots en ‘isme’, ils sont la marque dialectique de nos ennemis, ils provoquent une ‘émotion’. Par exemple de parler de la paternité ne renferme aucun sous-entendu, cela est même noble ; par contre de dire paternalisme à forcément une connotation infamante, comme autoritarisme, etc. <À développer, compléter, corriger> : Il existe des études prouvant le caractère subversif de ce type de formulation, si nous pouvions être aidés…
Voici déjà (05.12.2011) un début :
-Isme : Un isme est un concept, le plus souvent idéologique, dont le nom se termine par le suffixe -isme. Le terme permet de regrouper et donc d'analyser ensemble des notions qui seraient normalement incomparables du fait de dispositions morales ou de préjugés sociaux, par exemple le marxisme et l'olympisme. Les ismes relèvent en effet de champs aussi variés que la science, l'art, l'économie ou la philosophie. (http://fr.wikipedia.org/wiki/Isme)
52Vème lettre, point IV, « La profanation du dimanche – 1869 - Mgr Gaume », page 688.
53IXème lettre, point V, « La profanation du dimanche – 1869 - Mgr Gaume », page 688.
54Mgr Jean-Joseph Gaume : L’eau bénite au XIXème siècle, IXème lettre, 5 § avant la fin.
55-Ancien : A. - "Personne âgée, d'expérience" (http://www.cnrtl.fr/definition/dmf/ancien)
- ANCIEN, est aussi un terme de Dignité, parce qu'originairement on choisissoit les vieillards pour remplir les premières places. Les anciens du peuple d'Israël. Il se dit aussi De celui qui a été reçu dans une Charge, dans une Compagnie avant un autre homme dont on parle. Il est votre ancien dans la Chambre, quoique plus jeune. C'est au plus ancien en charge à porter la parole. Tous les anciens de la Compagnie furent de cet avis. (http://www.cnrtl.fr/definition/academie4/ancien)

2 commentaires:

  1. Bonjour, voilà je voudrai demander plus de précision quant au sujet de la virginité de la femme que vous développez au point : 5.B.2.E - CETTE VIRGINITÉ QUI FAIT HURLER CES SUCCUBES ET LEURS MAÎTRES LES INCUBES.

    Vous parlez de cette virginité comme condition "sine qua non" du Mariage, mais en dégageant certaines exceptions. Ce qui me dérange parmi celles-ci, c'est que selon la volonté du futur Mari, il pourrait passer outre cette condition du moment qu'il est au courant. Et là il y a un problème, puisque dans ce cas, la virginité perdrait tout son sens. Il est clair que nous ne pouvons empêcher un Homme de prendre une femme qui n'est pas vierge, celle-ci étant sans attache. Cependant cela ne veut pas dire qu'il y a forcément Mariage. Je sais bien que c'est une question difficile, et que de s'étendre dessus pourrait en troubler certains ; mais comme dans la suite vous ne considérez plus vraiment ces exceptions...
    Il y a aussi le fait que la virginité n'est pas que physique, mais bien surtout spirituelle. Lorsqu'une femme se donne à un Homme, elle perd effectivement sa virginité physique, mais surtout sa virginité spirituelle, elle est marquée comme vous le dites plus bas, et je ne crois pas que ce soit une affaire de la médecine d'ailleurs. En revanche, il y a deux cas extrêmes qui s'ensuivent. C'est je pense, qu'une femme peut perdre sa virginité spirituelle sans passer par une perte physique, la limite est floue, mais c'est au Père de bien élever sa fille, si une femme a l'esprit souillé d'impureté (comme c'est beaucoup le cas aujourd'hui), on ne peut pas dire qu'elle reste vierge. L'autre cas, ce serait une perte de l'hymen comme par exemple une malformation ou un accident légitime, et là comme vous me l'aviez dit une fois, le Père devrait le faire noter, en avoir une preuve disculpant contre toute accusation.

    Voilà, une précision me paraît nécessaire, au moins pour exposer votre opinion, et exprimer de sérieuses et légitimes questions sur le sujet, puisque malheureusement l'Eglise n'a jamais vraiment tranchée là-dessus.

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    1. En la Saint Paul de la Croix, le lundi 28 avril 2014.


      Cher Sieur Luryio,

      Merci beaucoup pour votre commentaire..., si seulement nos autres lecteurs pouvaient lire comme vous, tout, et aussi, s’il pouvaient oser poser des questions comme vous le faites toujours si plaisamment !

      Nous allons vous répondre sous peu (temps de réflexion et de rédaction), en une page spéciale ou en une annexe sur cette page.

      De cette réponse vous serez avisé comme de coutume par un commentaire sur cette page et par un message à votre adresse.

      Dans cette attente, veuillez considérer, cher Sieur Luryio, notre amitié bien réelle en Notre-Seigneur Jésus-Christ et Notre Dame.

      Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres...

      Pour la Vérité,
      QJSIOJC

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