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samedi 3 mai 2008

DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage.

Du : 03.05.2008, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : jeu. 8 oct. 2020, 17.06.

Notez que depuis sa première publication nous avons fait d’importantes ajoutes répertoriées au chapitre : 4.L, Annexes diverses

Table de ce chapitre de notre Document principal, DP-…

4 - Le Mariage, définition, célébration, règles et usage

4.A - Propos préliminaires 132

4.A.1 - Préambule à l’étude du Mariage 132

4.A.2 - Est-il bien nécessaire de re-dire 134

4.A.2.a - Comment pouvons-nous toucher à des prêtres, à ces Hommes d’Église ? 135

4.B - Le Mariage naturel, définition et caractéristiques 137

4.B.1 - Définition de l’expression Mariage naturel 137

4.B.1.a - Le Mariage naturel est le Mariage religieux à part entière 137

4.B.1.b - Constitution du Mariage, naturelle ou religieux 139

4.B.2 - Avant la donation du Sacrement de Mariage, les Fiançailles 139

4.B.2.a - Le Mariage est un commerce entre l’Époux et le Père de la demoiselle 140

4.B.2.b - L’importance des mots, qui épouse, qui est épousé ? 140

4.B.2.c - Voyons Abraham qui fait chercher une femme pour son fils Isaac 141

4.B.2.d - Les Fiançailles, ce qu’elles sont 145

4.B.2.e - Revenons à Isaac et Rébecca qui sont maintenant fiancés 148

4.B.3 - Le ministre du Sacrement de Mariage est l’Homme, non le prêtre ! 150

4.B.3.a - Et là est le viol du Sacrement : la demande du prêtre ! 151

4.B.3.b - C’est absolument faux !, le prêtre n’existe pas du tout dans ce Sacrement 152

4.B.3.c - Vérifions ceci avec les autres Sacrements 152

4.B.3.d - Et pour le Mariage, il n’y aurait pas deux mais trois intervenants !? 153

4.B.3.e - Or, pour le Sacrement de Mariage, il ne faut être que deux ! 155

4.B.3.f - L’Homme est l’officiant, forcément unique, du Sacrement de Mariage 155

4.B.4 - Revenons maintenant à la vraie conclusion de cette transaction 156

4.B.5 - Le Mariage naturel a tous les caractères de celui de l’Église, forcément 158

4.B.6 - Le Curé d’Ars parle du Mariage naturel 159

4.B.7 - Le Mariage naturel, est un Sacrement indissoluble 161

4.B.8 - Fusion indissoluble de deux vies dans un même corps 162

4.B.9 - Extension au sujet du Sacrement de Mariage 163

4.C - L’Église confirme, et parfait le Mariage naturel 164

4.C.1.a - Devant l’Église ne dit pas dans l’église 164

4.C.1.b - Voici une définition des Fiançailles pour l’Église 167

4.C.1.c - Pour le chrétien, voici maintenant au sujet du Mariage 168

4.C.1.d - Reprenons, en nous basant sur l’histoire d’Isaac et Rébecca 169

4.D - L’État inscrit ce Mariage et en garantit sa paisible jouissance 171

4.D.1.a - Mariez-vous privément, et faites enregistrer ensuite votre Mariage ! 171

4.E - Aberrations diverses dans l’État et l’Église 174

4.E.1.a - Seul l’Époux n’aurait pas les moyens de son Autorité ? 174

4.E.1.b - La fable sidérante, abrutissante de la femme battue 175

4.E.1.c - Le Concile de Trente dit que l’époux doit discipliner l’épouse 176

4.E.1.d - Leur définition du Mariage, est une redoutable bombe à retardement 177

4.E.1.e - On ne peut dire une chose et son contraire, pour l’Église 179

4.E.1.f - Qu’auprès de l’Époux, l’Église doit reconnaître la toute puissance de Celui-ci en Sa Famille, et point final 181

4.E.1.g - On ne peut dire une chose et son contraire, pour l’État 182

4.F - Aberrations diverses dans l’Église 184

4.F.1.a - Texte totalement aberrant que nous allons étudier 184

4.F.1.b - Aberration, quant à la chronologie 184

4.F.1.c - Aberration, le prêtre demande solennellement 185

4.F.1.d - Quels sont les ministres du Sacrement de Mariage ? 187

4.F.1.e - Pie XII dit exactement la même chose de ces ministres 188

4.F.1.f - Aberration, le prêtre prétend être le ministre du Sacrement 189

4.F.1.g - Tant d’aberrations prouvent le sabotage de la Famille par l’Église 190

4.G - Aberrations diverses en l’État 194

4.G.1 - Au sujet de l’âge minimum légal pour contracter Mariage 194

4.H - Les trois fins du Mariage 196

4.H.1 - Les trois fins du Mariage sont 196

4.H.2 - Peut-on se marier pour une seule de ces fins du Mariage ? 196

4.H.3 - 1ère fin - Le petit catéchisme du Mariage, l’abbé Joseph Hoppenot 197

4.H.3.a - Croissez et multipliez-vous, et remplissez la terre 198

4.H.3.b - Essayons, tels des fils candides, de comprendre Dieu 199

4.H.3.c - Revenons au Mariage naturel qui est constitué par un Sacrement 200

4.H.4 - 2ème fin - Entraide des époux 202

4.H.5 - 3ème fin - Peut-on refuser l’acte conjugal 202

4.H.5.a - Les époux jouissent-ils des mêmes droits pour l’acte conjugal 202

4.H.5.b - Saint Paul interdit le refus du devoir conjugal afin de prétendument prier 204

4.H.5.c - Y a-t-il obligation de rendre le devoir conjugal un jour de fête 204

4.H.5.d - Encore au sujet du refus de l’acte conjugal 204

4.H.5.e - Attentions conjugales de l’épouse envers l’Époux. 205

4.H.5.f - Revenons sur la consolation de l’Homme 209

4.H.5.g - Et dans les ébattements et privautés, qui est béni ? 210

4.H.5.h - Et le lendemain, chemise et vêtements nouveaux… 211

4.H.5.i - Pourquoi tant de déchets traînent dans nos rues ? 211

4.H.5.j - Peut-on prétexter de la sanctification du dimanche pour fuir le devoir conjugal ? 212

4.I - Autour de la célébration du Mariage 214

4.I.1 - Qui prend, qui est pris, qui porte l’anneau nuptial ? 214

4.I.1.a - Qui est pour qui ?, qui est lié, enchaîné, et à qui ? 215

4.I.1.b - Faisons une digression avec cette métaphore 215

4.I.1.c - Seule l’épouse reçoit un lien, et de son Époux 216

4.I.1.d - L’alliance, cet anneau, a trois très importantes missions à remplir 218

4.I.2 - Luciabel a aliéné tous les prêtres, … 219

4.I.2.a - Texte totalement aberrant que nous allons étudier 224

4.I.2.b - Aberration, quant à la chronologie 225

4.I.2.c - Aberration, le prêtre demande solennellement 226

4.I.2.d - Quels sont les ministres du Sacrement de Mariage ? 228

4.I.2.e - Pie XII dit exactement la même chose de ces ministres 229

4.I.2.f - Aberration, le prêtre prétend être le ministre du Sacrement 230

4.I.2.g - Tant d’aberrations prouvent le sabotage de la Famille par l’Église 231

4.I.3 - Autre sévère critique des trois textes vus ci-devant 234

4.I.3.a - 1er texte, ou essais sur l’éternité du lien matrimonial 234

4.I.3.b - L’Amour se révolte en entendant le mot séparation 235

4.I.3.c - Prenons ceci par la bande, alors, au Ciel 237

4.I.3.d - Si !, jusqu’à mort nous sépare, posons-leur alors la question 237

4.I.3.e - Pour les EÉc de maintenir que la mort sépare les époux 238

4.I.3.f - La mort ne brise pas mais sublime le lien matrimonial 242

4.I.3.g - Ils sont soit stupides ou irresponsables, ou menteurs patents ! 245

4.I.3.h - 2d texte, le prêtre bénit et remet l’anneau, son viol 246

4.I.3.i - 3ème texte, même viol de l’Autorité maritale, et du SM 247

4.I.4 - Oui, les EÉc se sont accaparés le SM 248

4.I.4.a - En une moultitude d’autres, nous venons de voir 3 extraits d’égarés 248

4.I.4.b - Et ce, pour jouir peinards de Nos femmes 249

4.I.4.c - Et qu’ils ne nous disent surtout pas que nous chicanerions 253

4.I.4.d - C’est pourquoi l’épée ne sortira jamais de votre maison 255

4.J - Exclusivité du lien du Mariage, surtout pour l’épouse. 256

4.J.1 - Oublie ton peuple et la maison de ton père. 256

4.J.2 - Napoléon s’adressait à Metternich, qui lui répond… 256

4.J.3 - Pourquoi plus particulièrement : un lien exclusif pour l’épouse ? 257

4.J.4 - Catastrophe !, lorsque l’épouse ne regarde pas son Époux. 258

4.J.4.a - Catastrophe ?, voyons cela avec Adam et Sa femme. 258

4.J.4.b - Catastrophe ?, voyons cela avec Loth et Sa femme. 259

4.J.4.c - Il existe bien d’autres exemples. 261

4.J.5 - La Vierge Marie ne fait plus partie de la Maison de son Père. 262

4.J.5.a - Joseph fait inscrire Marie dans sa maison. 262

4.J.6 - Le Mariage, l’emporte sur les liens les plus sacrés. 262

4.J.7 - L’un ou l’autre ne peut se séparer de soi-même. 263

4.K - L’Église catholique, principal ennemi du Sacrement de Mariage ?! 265

4.K.1.a - Préliminaire 265

4.K.2 - Ce que nous allons voir en ce chapitre 265

4.K.2.a - Pour commencer, rappelons que dans notre étude… 266

4.K.2.b - L’Église catholique ne peut se tromper, mais qu’en son champ de compétence ! 267

4.K.2.c - Si quiconque annonce un autre évangile qu’il soit anathème ! 267

4.K.2.d - L’Église catholique ne peut toucher au Sacrement de Mariage ! 269

4.K.3 - Léon XIII : Mariage naturel ou religieux, même Sacrement ! 270

4.K.3.a - Relisons ensemble ce que nous dit Léon XIII 271

4.K.3.b - Reconnaissance absolue du caractère sacramentel du Mariage naturel ! 273

4.K.3.c - Volonté maladive de vouloir mettre la main sur le Sacrement de Mariage. 273

4.K.4 - Certainement par l’éviction du Chef de Famille, l’Église a reculé partout ! 275

4.K.4.a - La GFGM, avec plus d’acharnement, détruit malicieusement des Mariages ? 277

4.K.4.b - Où l’on en vient à reparler d’un cloaque d’impureté, l’abbé Hervé Belmont 282

4.K.4.c - Un exemple parmi tant d’autres 283

4.K.4.d - L’abbé Hervé Belmont fait partie de l’immense cohorte de mauvais prêtres. 285

4.L - Annexes diverses 288

4.L.1 - Modifications apportées à ce document 288

4.A - Propos préliminaires

4.A.1 - Préambule à l’étude du Mariage

Reconquête !, du Sacrement de Mariage.

Pourquoi reconquête ?, parce que le Sacrement de Mariage a été détourné par des personnes parfaitement identifiables, les codes ont été complètement brouillés par les ennemis de la Famille. Pour pouvoir Restaurer nos Familles, il faut impérativement redéfinir, parfaire comme NSJC le disait Lui-même, le Sacrement de Mariage.

Pour : Pourquoi reconquête ?

L’importance des mots !, voici un bel exemple de désinformation : -- Reconquête : La Reconquista (mot espagnol, en français Reconquête) correspond à la conquête des royaumes musulmans de la péninsule Ibérique par les souverains chrétiens.2

Alors, messieurs de wikipedia, pris la main dans le sac, en pleine contradiction interne, en plein mensonge. Vous définissez re-conquête en disant conquête, re-manger en disant manger, re-trouver en disant trouver, re-voir en disant voir ! Reconquête veut dire re-conquête !

L’on ne peut re-conquérir, que ce que l’on avait au préalable conquis !, ce qui vous appartenait donc déjà avant que cela vous soit volé ! L’on ne peut re-goûter qui si l’on a déjà goûté !

Ces territoires de la péninsule ibérique étaient chrétiens, ils ont été spoliés lors de ladite guerre sainte du croissant contre la Croix, et les peuples chrétiens les ont re-conquis !

Donc wikipedia en disant conquête, entend que ces territoires étaient au préalable musulmans, et qu’ils ont été ensuite volés par les chrétiens ! Mensonge !

Nous n’inventerons rien, nous n’innoverons encore moins, nous nous contenterons simplement de relire des textes irréfutables parce que présentés par l’Église catholique Elle-même. Nous les mettrons sous le nez des ennemis du Mariage qui sont exclusivement, les autres ne pouvant rien sans l’assentiment des premiers, des membres de cette même Église.

Il y a plusieurs façons de mentir, comme nous ne développerons ensuite, au sujet du Sacrement de Mariage ; on peut mentir en :

1. Disant une contre-vérité : la femme est l’égale de l’Homme ; alors qu’elle est Son inférieur, et que l’Homme est le Chef de la femme.

2. Relativisant une vérité : c’est une façon de s’exprimer que de dire que la femme doit être soumise à l’Homme, de fait dans le foyer les décisions doivent se prendre à deux ; alors que dans le meilleur des cas elle ne peut qu’influencer doucement et révérencieusement son Époux.

3. Cachant une partie de la vérité : la femme doit obéir ; alors qu’elle doit obéir en toutes choses.

4. Donnant une définition qui rend impossible le but proposé : la femme doit obéir en toutes choses, sauf bien entendu, le cas où le mari lui demanderait des choses que sa conscience à elle lui interdit ; alors que l’on s’empresse de ne pas définir ce que sa conscience pourrait lui reprocher, et qu’en plus ceci est faux comme nous allons le voir.

5. Donnant une définition différente selon la personne à qui on s’adresse : en s’adressant à la femme, elle doit obéir en toutes choses, sauf… ; alors que l’on dit dans le même temps à ses propres membres, qu’ils doivent obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables3.

6. Posant une question, condition, etc. que l’on n’a pas le Droit d’énoncer : voulez-vous prendre Unetelle pour épouse ; alors que c’est l’Époux qui doit poser la question, la demande à la future épouse.

7. Etc. : comme nous allons le découvrir ensuite.

Pour cette reconquête, dans ce chapitre, nous allons étudier le Mariage selon les trois Droits :

1. Le Droit naturel, défini, codifié par la Loi naturelle, le Chef étant l’archétype de tous les Droits, Église comprise.

2. Le Droit de l’Église, défini, codifié par les Lois de l’Église. Il explicite, appuie Le Droit naturel, sans aucunement en diminuer ou en augmenter ses prérogatives. Il ne fait qu’éclairer et faire resplendir le Droit naturel. Il surajoute des grâces connexes au Mariage naturel auquel Il ne change rien. Sinon, nous en parlerons pour dénoncer la trahison d’Hommes d’Église, mais non de l’Église qui est infaillible.

3. Le Droit de l’État, défini, codifié par les Lois de l’État ; Il est applicable dans la mesure où Il vient appuyer le Droit de l’Église, qui Lui-même ne fait qu’appuyer le Droit naturel. Sinon, nous en parlerons pour le dénoncer et dire qu’Il est nul et non avenu, et qu’Il est à combattre avec la plus totale détermination.

Puis, nous verrons les règles et l’usage du Mariage.

4.A.2 - Est-il bien nécessaire de re-dire

Est-il bien nécessaire de re-dire ce que dit ce document depuis ses premiers mots ?

Notre propos est de défendre, bec et ongles, le Mariage. Le Mariage naturel, et ainsi, donc, le Mariage catholique, de remettre le Mariage à sa hauteur.

Au fond, donc, en défendant radicalement le Mariage naturel, cette Œuvre se veut exclusivement catholique, bien qu’Elle veuille toucher et aider quiconque.

Nous sommes actuellement, et plus que jamais, sur un champ de ruines où jonchent sur le sol des cadavres de Mariages naturels et catholiques au point de ne plus savoir où poser les pieds… Tous ces Mariages sont détruits uniquement à cause de la perte de la notice d’utilisation, de la perte des codes…

Perte, avons-nous dit ?, non pas perte !, mais escamotage volontaire de ceux-mêmes qui devaient, qui devraient défendre le Mariage, car il s’agit bien d’une action calculée et systématiquement exécutée par des Hommes d’Église en premier !

Ce qui est d’autant plus grave, ce qui augmente incroyablement la responsabilité des Hommes d’Église, c’est que par ricochet, par contagion, Ils détruisent avec la même efficacité toute surnaturellement démoniaque, le Mariage naturel dans des sociétés qui a priori n’ont pas de contact spécial avec cette Église. En effet, pourquoi se gênerait-on, si cela se fait aussi dans l’Église.

Nous ne parlerons guère de l’État, car Celui-ci n’aurait rien pu faire sans le silence satisfait des Hommes d’Église, au moins dans nos pays de culture chrétienne.

Oui, à l’intérieur même de cette Église catholique, ce sont toujours les Hommes d’Église, qui les premiers devaient défendre ce que Notre-Seigneur Jésus-Christ est venu parfaire, qui sont les plus acharnés à détruire ces Mariages, et ce, avec une haine toute scientifique, un zèle tout démoniaque, il est impossible qu’une telle concordance, une telle efficacité ne corresponde point à un plan !

4.A.2.a - Comment pouvons-nous toucher à des prêtres, à ces Hommes d’Église ?

Déjà, disons bien que ce ne sont pas des vaches sacrées, ce sont des Hommes, et eux aussi des victimes d’Ève !

Comme nous le verrons plus en avant, ces prêtres sont les premiers destructeurs, et même les destructeurs exclusifs de la société chrétienne, et jusque dans ses parties les plus protégées, les plus pures, les plus traditionnelles. Pour éviter de scandaliser, car nous devrons voir cela que plus loin, sachez dès maintenant que nous ne ferons que répéter ce que plusieurs Saints ont dit eux-mêmes : ce sont les prêtres qui sont toujours les premiers fossoyeurs de la société chrétienne !, et donc du Mariage particulièrement, mais attendons…

Pour : les plus traditionnelles :

Ici, nous pensons à ladite Tradition, la véritable Trahition, qui dit être fidèle à une Église ayant elle-même apostasié, et qui dans le même temps joue malignement à la marge de celle-ci ; et qui, de façon troublante, utilise les mêmes méthodes que les sectes les plus fanatiques : manipulation de l’épouse et des enfants afin d’inféoder, ou d’évincer l’Époux, etc. Voir : DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique

Pour : ce que plusieurs Saints ont dit eux-mêmes :

En voici quelques-uns de ces Saints, nous les verrons en détail plus loin : Bernard de Clairvaux, Thomas d’Aquin, Grégoire, Vincent de Paul, Jean-Marie Vianney, Alphonse-Marie de Liguori, Basile, Jean Chrysostome, Cyrille, Thérèse de l’Enfant Jésus ; et enfin Notre-Seigneur Jésus-Christ à Catherine de Sienne, et la Très-Sainte Vierge Marie à La Salette.

4.B - Le Mariage naturel, définition et caractéristiques

4.B.1 - Définition de l’expression Mariage naturel

4.B.1.a - Le Mariage naturel est le Mariage religieux à part entière

Le Mariage fut institué par Dieu-même dans le Paradis terrestre pour consacrer l’union de la femme à Adam, Il est un Sacrement naturel. Tous les autres Mariages sont l’exaltation du Mariage naturel, pour le Mariage catholique par exemple, ou sa plus ou moins pâle image.

Pour : pour consacrer l’union de la femme à Adam :

Renommée Ève ensuite, comme nous l’avons vu, Voir : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.C.4, Adam qui a tout pouvoir sur sa femme, la renomme Ève. Nous continuerons, lorsque nous parlerons du Mariage d’Adam de dire avec la femme pour respecter la chronologie des événements : engendrement de la femme, mariage avec la femme, re-nomination de la femme en Ève.

Aussi, par simplicité nous l’appelons, sans en diminuer le caractère sacré : Mariage naturel, bien qu’il soit de fait religieux, pour le distinguer du Mariage religieux de l’Église catholique ou orthodoxe, etc.

Courte reprise de ce que nous avons vu au chapitre DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine :

→ Qu’est-ce que le Mariage ? L’Union sacramentelle et indissoluble d’un Homme et d’une femme.

→ Par qui a-t-Il été institué ? Par Dieu Lui-même.

→ Quand a-t-Il été institué ? Au berceau du monde, juste après la génération de la femme.

→ Où a-t-Il été institué ? Dans le Paradis terrestre, avant le péché originel.

→ En qui, pour qui a-t-Il été institué ? Pour Adam et la femme, nos premiers parents.

→ Pourquoi a-t-Il été institué ? En vue de (re-)peupler4 le ciel par la génération.

Pour : En vue de (re-)peupler le ciel :

En effet, l’on dit communément pour repeupler le Ciel ; or, voici une autre opinion qui nous semble bien plus noble : Saint Anselme accorde à l’Homme une place essentielle dans la création. Dans le Cur Deus Homo, Anselme refuse l’idée communément admise selon laquelle l’Homme aurait été créé par Dieu pour remplacer les anges déchus après la révolte de Lucifer. Anselme affirme que, de toute façon, la nature humaine a été créée par Dieu parce qu’elle le méritait. L’être humain n’est donc pas une créature de remplacement, il a été prévu de toute éternité par Dieu qui, en s’incarnant, a donné une autre dimension à l’humanité.5

→ Par quelle parole a-t-Il été scellé ? Et Dieu les bénit, et Il leur dit : Croissez et multipliez-vous, remplissez la terre, et assujettissez-la, et dominez sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel et sur tous les animaux qui se remuent sur la terre.6

4.B.1.b - Constitution du Mariage, naturelle ou religieux

Dans tous les cas, ce sont les futurs époux qui se donnent le Sacrement de Mariage.

De fait même il n’y a qu’un dispensateur du Sacrement, l’Époux officiant, et un bénéficiaire ou récipiendaire du Sacrement, comme nous le développerons ensuite au point 4.B.3 - Le ministre du Sacrement de Mariage est l’Homme, non le prêtre !

Cette donation du Sacrement de Mariage, pour sa bonne forme doit être réalisée :

→ en publique, devant au moins deux témoins Hommes, qui seuls peuvent attester7.

→ par deux personnes, un Homme et une femme,

→ en plein consentement vérifié des deux futurs mariés,

→ ayant chacun au moins 14 ans pour l’Homme et 12 pour la demoiselle (voir coutume locale légitime),

→ ayant pour l’Homme, la capacité à faire effectivement face à ses responsabilités de Chef.

→ n’ayant pas de liens prohibitifs, etc. (parenté trop proche, libre quant au Mariage, etc.8)

4.B.2 - Avant la donation du Sacrement de Mariage, les Fiançailles

Avant ce Mariage, existe une étape, les Fiançailles qui sont une mise de côté de la demoiselle, avec promesse de conclusion.

4.B.2.a - Le Mariage est un commerce entre l’Époux et le Père de la demoiselle

Expressions utilisées dans ce point 4.B.2 :

→ Homme est mis pour le demandeur en Mariage.

→ demoiselle est mis pour la demandée en Mariage, l’enjeu du commerce.

→ Père est mis pour le Père de la demoiselle.

→ Commerce est mis pour la transaction entre l’Homme et le Père de la demoiselle : -- Commerce : Relations sociales, amicales ou affectives entre plusieurs personnes. Être en commerce avec, entretenir un commerce avec, lier commerce d’amitié avec.

Le commerce, la relation sociale, est ici la demande de la demoiselle, qui est l’enjeu, par l’Homme au Père de celle-ci en vu de Mariage : -- Enjeu : Ce que l’on peut gagner ou perdre dans n’importe quelle entreprise.

L’enjeu de la requête de l’Homme est bien d’être épousé par la demoiselle désirée en Mariage : -- Épouser : Prendre pour époux, pour épouse. S’adapter parfaitement à. Épouser une courbe, un contour, un modèle. La première définition, prendre pour époux, pour épouse, est totalement fausse comme nous allons le voir. La deuxième, S’adapter parfaitement à, est de façon troublante l’exacte définition.

4.B.2.b - L’importance des mots, qui épouse, qui est épousé ?

→ Qui demande à prendre ?, c’est l’Homme !

→ Qui accepte d’être prise ?, c’est la demoiselle.

→ Qui est épousé ?, c’est l’Époux, l’Homme.

→ Épousé par qui ?, par l’épouse !

Celui qui demande à prendre est l’Homme, celle qui accepte d’être prise est la demoiselle.

L’Époux est statique, Il est la référence, la cause, l’épouse ne peut, et elle le doit, qu’épouser l’Époux, en toutes choses, pour toutes choses ! Elle prend la forme de l’Époux tant physiquement, et au plus intime de sa personne, qu’intellectuellement jusqu’au plus intime de son cœur et de sa volonté. On dit de l’épouse qu’elle est toute pénétrée de son Époux !

Pour : est statique, Il est la référence, la cause :

l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme (Cor. 11,9). Voir :

→ DP-3.B.10, Homélies sur la Genèse de Saint Jean Chrysostome.

→ DP-4.I.1, Qui prend, qui est pris, qui porte l’anneau nuptial ?

→ DP-7.D.1, L’épouse doit servir son époux, et non point Dieu.

Celui qui offre de guider, de protéger, c’est l’Époux, celle qui offre sa soumission en toutes choses c’est l’épouse.

Lors de la demande en Mariage, la demoiselle a la possibilité d’exposer très respectueusement des souhaits contraires à son Père (autre vocation, parti, etc.), mais dans tous les cas elle ne manquera pas de bien peser la Sagesse de son Père s’Il lui demanderait de prendre ce parti.

Si son Père le veut bien, et que la demoiselle accepte, la transaction est scellée, elle va alors avec les biens qui lui ont été donnés en la Maison de son Époux, car elle est Sa promise, pour sceller définitivement cette Union sous le Regard de Dieu.

4.B.2.c - Voyons Abraham qui fait chercher une femme pour son fils Isaac

Ce texte un peu long est plein d’enseignements, il a été césuré pour aller à l’essentiel. Les commentaires sont faits au fur et à mesure pour en faciliter la lecture.

Voici, Abraham parle à son vieux serviteur :

24,4. Mais que tu iras au pays où sont mes parents, afin d’y prendre une femme pour mon fils Isaac.9

Remarquons pour commencer que c’est Abraham, le Père d’Isaac, qui s’inquiète de trouver une femme pour Son fils Isaac.

24,9. Ce serviteur mit donc la main sous la cuisse d’Abraham son maître, et s’engagea par serment à faire ce qu’il lui avait ordonné.

Pour avoir l’explication très très importante de ceci, sous la cuisse, Voir : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I) ; point DP-5.B, Restaurer L’Homme en général, sa Puissance…

Très très peu de personnes sont capables d’en donner toute l’extraordinaire signification ! Extraordinaire, pour notre époque qui est décadente depuis bien plus de 200 ans.

24,15. A peine avait-il achevé de parler ainsi en lui-même, qu’il vit apparaître Rébecca, fille de Bathuel, fils de Melcha, femme de Nachor, frère d’Abraham, qui portait une outre sur son épaule.

24,16. C’était une jeune fille très agréable, et une vierge parfaitement belle, et inconnue à tout homme : elle était déjà venue à la fontaine, et ayant rempli sa cruche, elle s’en retournait.

Remarquons bien cette redondance, cette accumulation : une vierge, et inconnue, et à tout homme. Inconnue veut bien dire non-connue, n’est-ce pas ?

-Connaître : Accepter, admettre quelqu’un ou quelque chose comme ayant de l’autorité. Littér., p. euphém., domaine des relations charnelles. [P. réf. à la lang. de la Bible] Connaître une femme. Avoir avec elle, des relations intimes.

Comme quoi la virginité pour une future épousée est tellement essentielle dans le Mariage. Rébecca était vierge, et si nous n’avions pas bien réalisé l’importance de ce qui vient d’être dit, la Bible insiste en disant et inconnue, et Elle insiste encore plus, des fois que l’on voudrait ergoter, à tout homme !

La Bible dit : Rébecca, était vierge et inconnue et à tout homme.

Poursuivons…

24,21. Cependant le serviteur la considérait sans rien dire, voulant savoir si le Seigneur avait rendu son voyage heureux, ou non.

24,23. Et il lui dit : De qui êtes-vous fille ? Indiquez-le moi. Y a-t-il dans la maison de votre père de la place pour me loger ?

Comme de Droit, le serviteur du Maître demande, non à la femme Voulez-vous être l’épouse de…, mais où est votre Père.

24,24. Elle répondit : Je suis fille de Bathuel, fils de Melcha et de Nachor son mari.

24,28. La jeune fille courut donc à la maison de sa mère, et lui raconta tout ce qu’elle avait entendu.

Rébecca, fille bien soumise et réservée, cesse ici toute conversation, ayant répondu à l’essentiel, la jeune fille courut donc à la maison, chez les siens toute pleine de révérencieuse soumission, soupçonnant bien le bonheur et l’honneur qui l’attendent.

24,29. Or Rébecca avait un frère nommé Laban, qui sortit aussitôt pour aller trouver cet homme près de la fontaine.

24,31. Et il lui dit : Entrez, vous qui êtes béni du Seigneur ; pourquoi demeurez-vous dehors ? J’ai préparé la maison, et un lieu pour vos chameaux.

Il est à remarquer que ce n’est pas Rébecca qui fait suivre le serviteur pour l’emmener dans la Maison qu’elle habite ; elle, elle s’en est allée en courant et sans mot dire ! C’est son Frère Laban qui vient chercher l’étranger pour le faire entrer, car visiblement son Père est mort et c’est donc son Frère qui en est le Chef.

24,34. Et il dit : Je suis serviteur d’Abraham.

24,36. Sara, la femme de mon maître, lui a enfanté un fils dans sa vieillesse, et mon maître lui a donné tout ce qu’il avait.

24,50. Laban et Bathuel répondirent : C’est Dieu qui parle en cette rencontre ; nous ne pouvons vous dire autre chose que ce qui paraît conforme à Sa volonté.

24,51. Rébecca est entre vos mains ; prenez-la, et l’emmenez avec vous, afin qu’elle soit la femme du fils de votre maître, selon que le Seigneur S’en est déclaré.

Il est à remarquer aussi que l’affaire est traitée entre Hommes, et que Rébecca n’est point encore consultée, bien que ses sentiments inclinent fortement vers cette proposition qui visiblement l’honore, comme nous allons le voir ensuite.

24,52. Le serviteur d’Abraham ayant entendu cette réponse, se prosterna contre terre, et adora le Seigneur.

24,55. Les frères et la mère de Rébecca lui répondirent : Que la jeune fille demeure au moins dix jours avec nous, et après elle s’en ira.

24,56. Je vous prie, dit le serviteur, de ne point me retenir davantage, parce que le Seigneur m’a conduit dans tout mon chemin. Permettez-moi de retrouver mon maître.

24,57. Ils lui dirent : Appelons la jeune fille, et sachons d’elle-même son sentiment.

Il est bien normal que cette séparation coûte aux siens, encore, de Rébecca, et que ceux-ci essayent de la garder au moins dix jours… Mais devant le désir du serviteur de rendre bien vite compte de sa mission et de ne pas laisser son Maître dans une attente que l’on peut envisager comme bien désireuse, les Hommes de la Maison de Rébecca décident, avant de scellée définitivement la transaction, d’appeler la jeune fille pour connaître, comme de Droit, son sentiment.

24,58. On l’appela donc, et étant venue, ils lui demandèrent : Voulez-vous bien aller avec cet homme ? Je le veux bien, répondit-elle.

Rébecca se rend bien compte de l’honneur qui lui est fait, et l’accepte en disant je le veux bien. De fait son désir était déjà très bien marqué, mais elle ne pouvait le dire que seulement lorsque l’on l’aurait interrogée, que l’on lui aurait demandé de s’exprimer ! Elle est donc, ici, fiancée devant témoins, avec le fils d’Abraham, Isaac.

4.B.2.d - Les Fiançailles, ce qu’elles sont

Interrompons quelques peu notre étude de texte pour définir ce que sont les Fiançailles.

Les Fiançailles sont une promesse irrévocable d’un Mariage futur, sans possibilité de cohabitation et donc de consommation.

Les Fiançailles, comme le Mariage du reste, ne peuvent se réaliser, exister, qu’entre un Homme et une demoiselle (ou veuve, bien que…, mais nous verrons cela plus tard). Tout-autre collage tel entre deux hommelettes est impossible, contre-nature, et est à ce titre une révolte contre Dieu même.

Pour : contre-nature, et est à ce titre une révolte :

Les villes de Sodome et Gomorrhe furent détruites par le Seigneur Dieu à cause de ce péché, la sodomie, qui est un comportement aberrant et même bien répandu dans le couple :

Gn 19,4. Mais avant qu’ils se fussent retirés pour se coucher, la maison fut assiégée par les habitants de cette ville, depuis les enfants jusqu’au vieillards ; tout le peuple s’y trouva.

Gn 19,5. Alors ayant appelé Lot, ils lui dirent : Où sont ces hommes qui sont entrés ce soir chez vous ? Faites-les sortir, afin que nous les connaissions.

Nous venons de dire dans le couple, or, on nous présente une paire, formée d’un pervers et d’un autre pervers comme étant un couple, ce qui est absolument faux, c’est une couple !

L’importance des mots ! Voici les deux définitions du mot couple (Pt Robert 1967) :

-COUPLE [kupl(a)]. n. (Copte, 1190 ; lat. copula « lien, liaison »).

I. N. f. • 1° Vén. Lien servant à attacher ensemble deux ou plusieurs animaux de même espèce. • 2° Vx. Deux choses de même espèce. « Une bonne couple de soufflets » (SÉV.). Je m’arrêterai « à Nancy une couple de journées » (DUHAM.).

II. N. m. • 10 (xne). Le mari et la femme, un homme et une femme réunis…

Et donc, s’il s’agit d’un Homme et d’une femme, dites bien un couple ; mais ne dites certainement pas un couple pour un assemblage de pervers, dites une couple, ainsi les choses seront claires !

Aussi, ne dites pas le couple Franco-Allemand lorsque vous parlez du ‘moteur de l’Europe’, mais la couple Franco-Allemand !

L’âge minimum du Mariage étant 14 ans révolus, et 12 pour la demoiselle, l’âge minimum des Fiançailles est l’âge de raison, 7 ans révolus.

Pour : L’âge minimum du Mariage étant :

Canon 88 du Code de Droit canonique :

§ 1 La personne qui a fini la vingt et unième année de son âge est dite majeure ; en dessous de cet âge, elle est dite mineure.

§ 2 Le mineur homme est considéré comme pubère à partir de quatorze ans accomplis ; la femme, à partir de douze ans.

§ 3 L’impubère, avant son septennat accompli, est dit ‘infans’, ‘puer’ ou ‘parvulus’, et il n’est pas considéré comme étant en possession de lui-même ; une fois atteint l’âge de sept ans, il est présumé avoir l’usage de la raison. Sont assimilés à l’enfant tous ceux qui sont privés de l’usage de la raison.

Ceci est une métaphore :

Les Fiançailles sont comme une promesse d’achat qu’un client (l’Homme) fait au boulanger (le Père de la demoiselle) qui l’accepte et dont l’objet est une séduisante pâtisserie (demoiselle consentante) vierge parce que non croquée.

Dans cette comparaison, les Fiançailles sont la mise de côté, la réservation de cette pâtisserie promise, la promise donc, en attendant que le client règle, finalise cette affaire. Il est à remarquer que la mise de côté de la pâtisserie doit se faire pour un temps raisonnablement court, sous peine que celle-ci ne devienne inconsommable.

Pendant la réservation de la pâtisserie, le boulanger ne peut la promettre à un autre client. Le client de son côté ne peut croquer, consommer la pâtisserie que lorsqu’il aura effectivement réalisé la transaction par l’achat (Mariage).

Nous remarquons aussi, que toutes les pâtisseries non promises, sont offertes au regard honnête des clients (Hommes). C’est eux qui regardent et choisissent, puis demandent à qu’elles soient mises de côté. Les pâtisseries attendent donc bien d’être regardées, choisies, réservées pour enfin être ensuite consommées.

La seule différence entre les pâtisseries et les femmes, c’est qu’à ces dernières on demande leur acquiescement pour la réservation.

Reprenons :

→ La demande en Mariage est une démarche commerciale de l’Homme vers le Père de la demoiselle qui en est l’objet.

→ La conclusion de ce commerce futur est validée par l’acceptation de la demoiselle qui en est l’objet et à qui le Père a demandé son consentement.

→ Les Fiançailles sont donc la promesse irrévocable que fait la demoiselle à l’Homme, elle devient alors la promise en Mariage. Il y a eu échange de consentements :

→ Lui propose qu’elle soit sa femme ; elle, consent à l’être.

→ Les Fiançailles sont un contrat irrévocable en vue d’un commerce futur : le Mariage ; elles ne permettent pas de consommer ce Mariage non encore réglé, réalisé.

Les Fiançailles sont donc, un engagement irrévocable laissant aux parties le temps de mieux se connaître, de se préparer à ce bel événement : le retour du cœur-femme en la poitrine de l’Époux, la fusion amoureuse et indissoluble de deux Âmes dans une seule et même chair dont l’Époux sera la Tête, le Chef.

Les Fiançailles laissent du temps à :

→ l’Homme, pour achever les préparatifs afin de bien recevoir sa promise, son cœur, qu’Il prendra au temps marqué ;

→ la demoiselle, le temps de liquider ses affaires et d’achever son trousseau, afin de pouvoir être totalement libre de se donner au temps marqué.

Contrairement à l’idée répondue depuis plusieurs dizaines d’année, les Fiançailles ne peuvent être rompues, même d’un commun accord ! L’on est tenu de respecter les termes de cet accord, sauf de violer sa parole. <À développer, compléter, corriger>.

4.B.2.e - Revenons à Isaac et Rébecca qui sont maintenant fiancés

24,59. Ils la laissèrent donc aller, accompagnée de sa nourrice, avec le serviteur d’Abraham et ceux qui l’avaient suivi ;

Les siens, de Rébecca, la donnent au serviteur d’Abraham, pour qu’il l’emmène enfin qu’elle puisse épouser Isaac. Elle part avec sa nourrice…

24,61. Rébecca et ses suivantes montèrent sur les chameaux, et suivirent cet homme, qui s’en retourna en grande hâte vers son maître.

Admirons le zèle du serviteur qui veut ramener une toute-belle vierge, une bien-aimée au fils de son Maître.

24,62. En ce même temps, Isaac se promenait dans le chemin qui mène au puits appelé le Puits de Celui qui vit et qui voit, car il demeurait au pays du midi.

24,63. Il était alors sorti dans les champs pour méditer, le jour étant sur son déclin. Et ayant levé les yeux, il vit de loin venir les chameaux.

L’attente d’Isaac est bien belle, il médite…

24,64. Rébecca, ayant aussi aperçu Isaac, descendit de dessus son chameau,

24,65. Et elle dit au serviteur : Quel est cet homme qui vient le long des champs au-devant de nous ? C’est mon maître, lui dit-il. Elle prit aussitôt son voile, et se couvrit.

Voyant Isaac, Rébecca descend du chameau, par déférence, pour être abordable, et elle demande si c’est bien celui à qui elle est promise. Et devant la réponse affirmative du serviteur, elle se couvre la tête de son voile, pour montrer son désir de respectueuse soumission en toutes choses.

Pour : elle se couvre la tête de son voile :

Ici, qu’il nous soit permis de parler du voile dont on nous bassine les oreilles depuis un bon moment. Nous parlons du voile, de la coiffe, du foulard, et non casque de scaphandrier ou du masque d’apiculteur. On nous bassine avec ce voile, alors que toutes les femmes devraient être voilées comme le recommande Saint Paul : La femme doit, à cause des anges, avoir sur la tête un signe de sujétion. (Voir : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.D.1, L’épouse doit servir son époux, et non point Dieu.)

C’est tellement plus beau, dans tous les sens du terme, une femme voilée, couverte, regardons la Très-Sainte Vierge Marie pour voir cette beauté…

Regardons ces pauvresses dudit grand monde, ces bobotes10 lamentables qui essayent dans leursdites soirées de ce donner de l’allure, alors qu’elles l’ont définitivement perdue, avec un ample chapeau jurant copieusement avec leur pantalon griffé par Machin !

Pourquoi instrumente-t-on le foulard des musulmanes ?, mais ici nous sortons de notre étude, et pourtant il y aurait tant à dire. Toujours est-il que ces braves femmes musulmanes plaisent très certainement bien plus à Dieu, en cela, que nos pauvresses de ce qui s’appelait chrétienté.

24,66. Le serviteur alla cependant dire à Isaac tout ce qu’il avait fait.

24,67. Alors Isaac la fit entrer dans la tente de Sara sa mère, et la prit pour femme ; et l’affection qu’il eut pour elle fut si grande, qu’elle tempéra la douleur que la mort de sa mère lui avait causée.11

Après que le serviteur ait fait son rapport, Isaac prit Rébecca pour femme. Elle fut si affectueuse en l’épousant en toutes choses, que l’affection qu’elle inspira combla Isaac.

4.B.3 - Le ministre du Sacrement de Mariage est l’Homme, non le prêtre !

Nous allons voir une très grave erreur dont à notre avis les Hommes d’Église sont les premiers responsables. Cette erreur est retrouvée dans l’État aussi, quand par ex. le Maire joue au curé en demandant aux époux : Untel, voulez-vous, etc. Aussi, la charge que nous allons faire quant à la procédure de donation du Sacrement de Mariage, va être faite en regardant l’Église, mais elle doit être transposée pour n’importe quelle institution prétendant interférer dans ce Sacrement.

Le seul Ministre du Sacrement de Mariage,
c’est l’Époux !

La formule acceptée, de fait imposée par eux, les Hommes d’Église, est : le consentement, ou l’échange des consentements !

Oui, le prêtre procède au viol du Sacrement de Mariage, comme nous allons mieux le voir ensuite, par sa demande : Puis, aux fiancés debout devant lui, il [le prêtre] demande solennellement, en les appelant par leur nom de baptême et de famille12.

Nous rappelons, et nous le reverrons encore ensuite, que le prêtre n’est que témoin pour l’Église ! Or, cette formule est un exemple spectaculaire de la mainmise des prêtres, de fait l’État à travers le Maire fait de même, sur le Mariage.

Que fait-il, le prêtre ? Il intervient, se hausse au premier plan, devient même l’acteur principal de ce Sacrement qui ne lui appartient et ni de près et ni de loin ! Il devient même la clef, la condition sine qua non du Mariage, le législateur !

4.B.3.a - Et là est le viol du Sacrement : la demande du prêtre !

Cette formule, il demande solennellement, laisse entendre qu’il y a trois intervenants dans le Sacrement de Mariage :

1. le prêtre, qui serait l’opérateur de l’échange, le déclencheur du Sacrement,

2. l’Homme, qui consentirait dans les mains du prêtre et serait ainsi qu’un sujet,

3. la demoiselle, qui consentirait comme l’Homme, dans les mains du prêtre et serait ainsi au même rang que l’Homme.

4.B.3.b - C’est absolument faux !, le prêtre n’existe pas du tout dans ce Sacrement

Les intervenants légitimes, et l’illégitime en le Sacrement de Mariage :

1. le prêtre n’existe pas, et ni de près et ni de loin et à quelque titre que ce soit, dans la réalisation du Sacrement de Mariage,

2. l’Homme est l’officiant du Sacrement, car c’est Lui qui demande à la demoiselle son consentement, c’est Lui qui formule,

3. la demoiselle qui est le sujet de cette opération, permet par son acception la réalisation du Sacrement.

4.B.3.c - Vérifions ceci avec les autres Sacrements

Permettez qu’ici nous n’utilisions pas forcément les termes exacts, ceux qui riraient de notre maladresse prouverez ainsi leur mauvaise foi ; ceux qui nous aideraient à rendre ce document plus Vrai, plus pertinent, eux, prouveraient leur charité et leur bonne volonté.

Pour qu’un sacrement soit réalisé, il faut :

1. un officiant, un opérateur qui dispense le Sacrement,

2. un sujet qui, par son acceptation, permet que le Sacrement soit dispensé.

Voyons, vérifions ceci avec ces sacrements :

Sacrement

l’officiant, l’opérateur du Sacrement

le sujet permettant la réalisation du Sacrement

Baptême

Père, prêtre, ou quiconque même non baptisé

l’aspirant au baptême, implicite ou explicite

Confirmation

l’Évêque, ou son délégué

l’aspirant à la confirmation

Eucharistie

le prêtre

le pain et le vin (demande d’aide, pour une meilleure formulation)

Pénitence

le prêtre

le pénitent

Extrême-onction

le prêtre

le gravement malade ou mourant

Ordre

L’Évêque, ou son délégué

le diacre postulant

Pour : Père, prêtre, ou quiconque même non baptisé :

Père : Père de Famille il s’entend, Père de l’enfant. Attention, ne dites pas au prêtre mon père, ceci est gravissime, et participe hautement à la perte des codes, voir plus loin.

Non baptisé : (Ajouté le 05/10/2011) Pour éclaircissement, Voir : CN-2011-05, Site ‘Réponses catholiques’ – Vous persistez à vous prétendre catholiques !, alors poursuivons… et particulièrement le point B1c, Un seul baptisé constitue à lui seul l’Église catholique.

Dans cette liste, nous remarquons bien qu’il n’y a pas de confusion, il n’y a que deux intervenants : un dispensateur du Sacrement, et un bénéficiaire ou récipiendaire du Sacrement.

4.B.3.d - Et pour le Mariage, il n’y aurait pas deux mais trois intervenants !?

En nous basant sur l’énoncée de l’Église, pour ce, voyez votre missel notamment…

Refaisons le même tableau pour le Mariage :

Sacrement

l’officiant, l’opérateur du Sacrement

le sujet permettant la réalisation du Sacrement

le sujet permettant la réalisation du Sacrement

Mariage

le prêtre, par sa demande « voulez-vous… »

l’Homme, futur Époux, par son oui

la demoiselle, future épouse, par son oui

Ainsi, seulement pour le Sacrement de Mariage, alors qu’Il n’appartient qu’aux époux, il y aurait trois intervenants : le prêtre, et l’Homme, et la demoiselle !?

→ Et ainsi, par ce tour de passe-passe, le prêtre s’est haussé à la première place, il est devenu la pièce maîtresse, le pivot, la tête, le centre du Mariage, le législateur, pouvant même, au nom de l’obéissance, oui oui oui !, commander à l’épouse d’abandonner son Époux, et au nom de cette mêmedite obéissance l’obliger à porter plainte contre son Époux !

Pour : au nom de cette même obéissance l’obliger :

Nombreux cas sont en notre possession, oui !, cela fait au nom de l’obéissance au prêtre !

Alors que, lisons : Soumises à qui ? Peut-être seulement à 1’Église hiérarchique, à 1’Église enseignante ? Non : « si elles veulent s’instruire sur quelque point », poursuit St Paul, « qu’elles interrogent leurs maris à la maison ; il est, en effet, inconvenant pour une femme de prendre la parole dans une assemblée ».

Voir : CN-2009-04, La petite Sainte Thérèse, une femme !, docteur de l’Église…, entre autres.

Et surtout CN-2011-02, Site ‘Réponses catholiques’ – Vous avez dit réponses catholiques !?, vérifions cela ensemble… et sa suite CN-2011-05, Site ‘Réponses catholiques’ – Vous persistez à vous prétendre catholiques !, alors poursuivons…

→ Et ainsi, dans le cerveau de l’Homme est entré le fait que le prêtre est le, et le seul, législateur du Mariage ; et que même, il est partie prenante dans ce Mariage ! L’Homme a ainsi accepté son émasculation, un Mariage à trois !

→ Et ainsi, dans le cerveau de la femme est entré, et rassurez-vous elle a reçu le message 5 sur 5, que le prêtre est l’unique garant et législateur du Mariage. Elle ne manquera jamais, et même quelques instants seulement après son Mariage, voir même dès le premier baiser un peu passionné de son Époux, mais déplacé selon elle, de consulter le gourou afin d’ajuster, de recentrer son Époux ! Elle est devenue ainsi et aussi : l’épouse du prêtre !

4.B.3.e - Or, pour le Sacrement de Mariage, il ne faut être que deux !

Comme il était depuis le commencement, où le Seigneur Dieu tenait la place du témoin…

Voici le vrai tableau du Sacrement de Mariage :

Sacrement

l’officiant, l’opérateur du Sacrement

le sujet permettant la réalisation du Sacrement

Mariage

l’Homme, futur Époux, par sa demande : Unetelle voulez-vous devant Dieu et les Hommes être mon épouse ?

la demoiselle, future épouse, par son : Je le veux bien !

La donation du Sacrement de Mariage, naturel ou autre, se fait uniquement ainsi :

→ La question de l’Homme à la demoiselle, voulez-vous être mon épouse devant Dieu et les Hommes, active, enclenche le Sacrement.

→ La réponse de la demoiselle à l’Homme, Oui je le veux bien, permet la réalisation de ce Sacrement.

4.B.3.f - L’Homme est l’officiant, forcément unique, du Sacrement de Mariage

Voici la confirmation qu’en effet l’Homme est l’officiant, forcément unique, du Sacrement de Mariage :

L’Homme, et non la femme, peut être prêtre de l’Église, mais aussi, l’Homme est prêtre en son foyer, il est le prêtre de sa Maison. Et, lors de Son Mariage, Il est prêtre pour la première fois, Il est bien le seul et unique officiant de Son Mariage, en effet : Il est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire13 ; et, Il régnait parmi eux [son épouse et ses enfants] Souverainement : il y exerçait toutes les fonctions de la puissance publique et aussi de l’autorité sacerdotale14.

4.B.4 - Revenons maintenant à la vraie conclusion de cette transaction

→ Au moment du Mariage, c’est le futur Époux, qui en public et distinctement, devant les témoins et normalement au seuil de Sa Maison (Cf. Isaac et Rébecca), demande à la demoiselle : [Prénom Nom], ici présente, voulez-vous être devant Dieu et les Hommes ma légitime épouse.

Pour : distinctement, devant les témoins :

Les Hommes témoins : Un Homme pour l’Homme, Un autre Homme pour la demoiselle ; et selon, le prêtre pour l’Église ou le dignitaire de la religion des mariés, un représentant de l’État… Un Homme seul peut être témoin, non donc une femme : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)… ; point 5.B.4 - L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne…

Par cette parole le futur Époux vient de proposer à la demoiselle d’être Son épouse, de ne faire qu’une chair avec leurs deux Âmes unies amoureusement en celle-ci, et dont Il sera le Chef.

Par cette parole, Il vient de permettre la future réalisation du Sacrement de Mariage, Il vient d’activer, d’enclencher la procédure du Sacrement de Mariage, Il vient aussi de lui dire : Écoute, ma fille, regarde et prête l’oreille : oublie ton peuple et la maison de ton père (Psaume XLV, 11).

→ La demoiselle, spontanément et distinctement, doit accepter ainsi : Oui, (éventuellement [Prénom Nom]) je le veux bien !

Pour la demoiselle, devant être effacée, un Oui, je le veux !, ou même un simple Oui ! est largement suffisant. Et par ce simple oui, elle vient de permettre la réalisation effective du Sacrement de Mariage qui lui était proposé par l’Homme devant les trois (ou…) témoins.

Pour réaliser une Union, un Mariage, il faut deux étapes : une demande en Mariage, puis ensuite le Sacrement de Mariage :

→ Pour la demande en Mariage :

1. il faut que l’Homme demande (initiative),

2. que la demoiselle accepte (validation).

La demoiselle ne peut demander, et elle ne peut, non plus, accepter une demande qui n’existe pas ! La demande de l’Homme doit forcément précéder l’acceptation de la demoiselle.

→ Pour le Sacrement de Mariage :

1. il faut que l’Homme demande (initialise),

2. que la demoiselle accepte (validation).

L’Homme officie, Il demande la demoiselle pour permettre son acceptation, et par son Oui, elle scelle à ce moment-là le Sacrement qui était proposé par l’Homme !

Donc, dans tous les cas, la demande de l’Homme doit forcément précéder l’acceptation de la demoiselle.

Et par cet acquiescement elle vient de dire, et pour toujours : Oui j’oublie mon peuple et la maison de mon père, je suis, ô mon Époux de Vôtre maison, Vôtre Maison est ma maison, Vôtre peuple est mon peuple. Je désire, et j’y suis obligée, Vous être soumise et obéir avec joie et empressement, en toutes choses.

Depuis la nuit des temps, un anneau est mis à l’annulaire droit de la jeune-épouse par l’Époux pour lui marquer son enchaînement, à Lui.

Pour : pour lui marquer son enchaînement, à Lui :

L’alliance, qui est un signe d’asservissement, mise au doigt de l’Époux est une erreur gravissime et très récente, et ayant des conséquences insoupçonnées, Voir : DP-4.I.1.c, Seule l’épouse reçoit un lien, et de son Époux.

Alors l’Époux doit entraîner immédiatement Sa belle épouse à l’intérieur de Sa Maison qui est maintenant la Maison de Son épouse, comme étant celle qu’elle a l’honneur d’habiter, et ce, sans plus de possibilité de retour, l’épouse ayant effectivement oublié son passé…

→ Une fois dans Sa Maison, il est hautement souhaitable que l’Époux dise à Sa jeune épouse : ma fille, regarde et prête l’oreille, sache que dans la mesure où tu Me seras bien soumise, où tu M’obéiras bien, avec joie et empressement, en toutes choses, et si tu Me crains amoureusement et respectueusement, dis-toi bien alors que ton Roi sera épris de ta beauté, et donc maintenant, car Il est ton Seigneur : rends-Lui tes hommages15.

4.B.5 - Le Mariage naturel a tous les caractères de celui de l’Église, forcément

C’est pourquoi, bien que le mariage puisse exister sans le sacrement — c’est le cas du mariage entre infidèles, — il doit, même alors, puisqu’il est un mariage véritable, garder — et il garde, en effet — ce caractère de lien perpétuel qui, depuis l’origine, est de droit divin, tellement inhérent au mariage qu’aucune puissance politique n’a de prise sur lui. Aussi bien, quel que soit le mariage que l’on dit contracté, ou bien ce mariage est contracté en effet de façon à être effectivement un mariage véritable, et alors il comportera ce lien perpétuel inhérent, de droit divin, à tout vrai mariage ; ou bien on le suppose contracté sans ce lien perpétuel, et alors ce n’est pas un mariage, mais une union illicite incompatible comme telle avec la loi divine : union dans laquelle, en conséquence, on ne peut ni s’engager ni demeurer.16

Bien que le mariage puisse exister sans le sacrement, de l’Église catholique il s’entend. Ce Mariage institué par le Seigneur Dieu Lui-même est bien Sacrement naturel.

Pie XI à la suite de Pie VI (et bien d’autres du reste comme nous allons le lire ensuite) précise bien que comme le Mariage catholique :

→ Il est un mariage véritable,

→ Il est le même lien perpétuel,

→ qu’aucune puissance politique n’a de prise sur lui,

→ Il est de droit divin, comme tout vrai mariage.

4.B.6 - Le Curé d’Ars parle du Mariage naturel

Si je demandais à un enfant ce que c’est que le sacrement de mariage, il me répondrait : c’est un sacrement qui a été institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ et qui donne les grâces nécessaires pour sanctifier ceux qui se marient selon les lois de l’Église.

Le mariage est un contrat établi par Dieu lui-même.

C’est pour tous, infidèles et chrétiens, un contrat indissoluble que la mort seule peut briser.

Il confère aux époux un droit réciproque sur leur corps en vue de la génération et de la propagation de l’espèce.

Il les oblige à se garder une fidélité mutuelle et inviolable, à cohabiter, à bien élever leurs enfants et à s’entraider.

Pour les chrétiens ce contrat, avec ses caractères et ses obligations, est de plus le signe productif de la grâce, car il a été transfiguré par le Christ qui l’a élevé à la dignité de sacrement.17

Pour : a été institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ :

[Ajoute du mardi 12 novembre 2019]

Le Saint Curé d’Ars vient de dire : c’est un sacrement qui a été institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ !, or, ceci est absolument faux comme nous l’avons prouvé ensuite en avançant en nos recherches, raisonnements et publications, voyez :

→ CN-2013-03, Les prêtres de l’Église catholique, bien pires que les ennemis de tous les Hommes !, point 3.E.3.c - Petite anecdote cocasse ajoutée après publication…

→ RH-2015-04 - Cher Sieur Jean Mahezic, vous répondre quant-à la vocation religieuse !, point 4.C.2.f - La chaîne de questions est, quant-à l’institution du SM : QQOQCCP.

→ Nous pouvons aussi ajouter ce que nous avons écrit à un correspondant voici peu :

Mon Ami, voici, il est particulièrement frappant de lire le dépôt de la Foi qui nous rapporte notamment que NSJC a dit, qu’Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. (Mat 19.6).

Il est frappant de lire : ce que Dieu a uni !

NSJC ne dit pas ce que j’ai uni, et ni ce que nous avons uni, Il dit bien donc ce que Mon (votre, notre) Père a uni !

Ainsi vous avez très courtement la réponse quant-à l’institution du SM !

Le Saint Curé d’Ars qui ne peut être taxé de libéralisme dit que le Mariage naturel est bien un contrat religieux puisqu’Il a été établi, institué par Dieu-même.

Le Mariage naturel, est un contrat religieux, il est sacré, il est formé par un Sacrement naturel.

Il est donc indissoluble et porte en lui toute l’étendue du Mariage religieux.

Le Mariage confère des droits et implique des devoirs (cité ci-dessus) à tous, infidèles et chrétiens ; mais aux chrétiens il est de plus le signe productif de la grâce, car il a été transfiguré par le Christ qui l’a élevé à la dignité de sacrement de l’Église.

Donc pour tous : infidèles et chrétiens, mêmes buts, mêmes devoirs, mêmes Droits, même indissolubilité !

Et tout ceci, un enfant le serait !

Pour les chrétiens, la seule différence entre ces deux Mariages, c’est l’offre nullement négligeable de l’Église : un puissant additif mis dans le moteur Mariage naturel : le signe productif de la grâce.

4.B.7 - Le Mariage naturel, est un Sacrement indissoluble

Q. Qu’est-ce que le mariage ?

R. D’une façon générale, comme contrat naturel et religieux, le mariage peut se définir : l’union de l’homme et de la femme, établie par Dieu pour la propagation du genre humain.

Q. Le mariage ainsi défini, est-il ancien ?

R. Il remonte au berceau du monde.

Q. L’institution du mariage est-elle rapportée dans quelque document authentique ?

R. Oui, dans la Bible, au chapitre II de la Genèse. La voici racontée aux versets 14 et suivants : « Et le Seigneur Dieu dit Il n’est pas bon que l’homme soit seul, je lui ferai une aide semblable à lui. »18

L’abbé Joseph Hoppenot en parle-t-il différemment ?

Non, il dit que le Mariage, d’une façon générale, donc le Mariage naturel aussi, est un contrat naturel et religieux établit par Dieu-même, indissoluble et remontant au berceau de monde !

4.B.8 - Fusion indissoluble de deux vies dans un même corps

Q. Ne voit-on pas déjà, dès les origines du monde, que le mariage doit être indissoluble ?

R. Oui, car cette fusion des deux vies de nos premiers parents ne dépend pas seulement de leur volonté propre : Adam et Ève sont encore liés par une puissance supérieure qui consacre cette union.

Q. Quelle est cette puissance supérieure ?

R. C’est la puissance même de Dieu, auteur de notre nature et maître souverain ; en sorte que les hommes ne peuvent rien changer à l’union conjugale, une fois formée selon les conditions du droit qu’a fixées l’autorité légitime.19

La femme (Ève) est sortie du Sein20 d’Adam, et son Mariage avec Adam l’a fait retourner là d’où elle venait21. Idem pour l’épouse, elle ne fait que retourner dans le sein de son Époux, elle devient l’épouse-cœur, et ainsi ils ne font plus, tous deux, qu’une seule chair.

Comme nous l’avons vu, l’épouse est asservie à son Époux, en Sa chair elle est Son cœur !

Voir : DP-3.B, L’Homme, engendre la femme, Il est son Maître., et DP-3.C, L’Homme, épouse la femme, Il est son Maître.

4.B.9 - Extension au sujet du Sacrement de Mariage

Ajoute de fin mars 2010… Afin de ne pas chambouler la numérotation des chapitres, vous trouverez en fin de ce point DP-4, une augmentation notoire de ce comparatif : Sacrement naturel et Sacrement religieux, quant au Mariage.

Cette extension se trouve au point DP-4.K, Préliminaire.

4.C - L’Église confirme, et parfait le Mariage naturel

Vous pouvez revoir le point DP-2.F.1, Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi…

L’Église confirme et embellit le Mariage naturel, notamment avec la messe de Mariage et la bénédiction nuptiale, Elle y attache des grâces supplémentaires qu’Elle accorde comme nous allons le voir…

Tout autre Mariage religieux est, à une échelle plus ou moins grande, le même Mariage religieux que celui de l’Église catholique pour autant qu’il ne s’écarte pas de la définition du Mariage naturel.

Reconquête !, du Sacrement de Mariage.

4.C.1.a - Devant l’Église ne dit pas dans l’église

Avant de continuer, distinguons devant l’Église et dans l’église :

→ devant l’Église veut dire en présence de membres de l’Église, Institution divine,

→ dans l’église veut dire dans le bâtiment servant de lieu de culte.

Par exemple l’on dit hors de l’Église point de salut, mais un catholique mourant hors de l’église peut bien sûr se sauver ! Ne confondons pas l’institution qui se nomme Église, et le bâtiment qui se nomme église !

Pour tout chrétien le Mariage doit être célébré devant l’Église, car il ne doit pas être secret, mais pas obligatoirement dans l’église ! Nous allons même voir que cela devrait être hautement évité…

Ce n’est qu’assez tardivement que les futurs époux se sont engagés devant l’Église, à l’église. Cet engagement devant l’Église à l’église est venu, quant à nous, brouiller très fortement les codes, pour le moins, il laisse penser que c’est l’Église qui donne le Sacrement de Mariage, et que le prêtre en est l’acteur principal. Or, rien de plus faux, ce sont les époux qui se donnent ce Sacrement, tant naturel que religieux.

Pour : Ce n’est qu’assez tardivement que les futurs :

D’après le site Cybercuré, Histoire du mariage catholique22 :

1. Histoire de la cérémonie - Le mariage à l’époque des "pères de l’Église" (du IIe au VIe siècle)

A l’origine, il n’y a pas de rite spécifique du mariage dans l’Église. Les chrétiens se marient selon les modalités de leur différentes cultures et les traditions locales : rôle du père, dot, don d’un anneau, entrée de la femme dans la maison de son mari. En Orient, on tient une couronne de fleurs au dessus des mariés. En Occident, il s’agit généralement d’un voile. La présence du prêtre n’est pas obligatoire et peu pratiquée. Il ne célèbre pas le mariage.

2. Histoire de la cérémonie - Rites spécifiques du mariage chrétien au XIème siècle

Ce n’est qu’au XIème siècle en Occident que l’Église institue un rite spécifique du mariage religieux. L’échange des consentements pouvait se faire à la porte de l’église avant la bénédiction nuptiale et la messe. Puis au XIIème le tout se fait dans une même cérémonie.

3. Histoire de la cérémonie - Le Concile de Trente (24° session en 1563)

Le concile de Trente a mis au premier plan la célébration religieuse du mariage.

Avant le concile de Trente, le mariage était normalement accompagné de rites religieux (bénédiction des anneaux…), mais ceux-ci n’étaient pas requis pour la validité. Les mariages conclus par le seul échange des consentements en l’absence de témoin n’étaient pas autorisés, mais ils étaient considérés comme des mariages valides.

Pour lutter contre ces "unions clandestines", le concile de Trente a décrété que le mariage n’est valide et sacramentel que s’il est fait en présence du curé compétent et de deux témoins.

Ceci mérite fort d’être creusé, une aide serait appréciée. Toujours est-il que le Concile de Trente pour lutter contre desdites unions clandestines a ouvert la porte à une dérive encore plus grave : la captation du Mariage par le clergé, la mainmise de l’Église (cf notre étude) sur un Sacrement qui, bien qu’incorporé légalement aux siens, ne Lui appartient pas de fait, puisqu’Il appartient aux époux qui se le donnent depuis la nuit des temps !

Pour les époux chrétiens, il doit se faire certes devant l’Église, mais certainement de préférence hors l’église, c’est une question de salut, pour le Sacrement de Mariage !

Ainsi, des Hommes d’Église en viennent à dire, et de quoi je me mêle, et de pire en pire : que le Mariage doit (selon qui ?) se faire dans la paroisse de la fiancée ! Ce qui n’est pas sans très graves conséquences psychologiques pour l’être faible qu’est la femme.

Nombre d’épouses croient que le gérant, le garant de l’orthodoxie du Mariage est le prêtre, et fatalement, avec cette confusion, le Mariage finit par un véritable ménage à trois, où le prêtre à la position dominante, le fin mot ! C’est lui qui dit le Droit, et non plus l’Époux comme de Droit ! Ceci sera vu plus loin lorsque nous parlerons :

1. de certaines aberrations,

2. de la puissance exclusive de l’Homme,

3. de la soumission de la femme non à l’Église mais à l’Homme,

4. des mauvais prêtres.

5. Etc.

Nous venons de déclarer une main-mise des Hommes d’Église sur le Mariage, une aussi grave va être vue ensuite, celle de l’État.

4.C.1.b - Voici une définition des Fiançailles pour l’Église

Les jeunes gens peuvent se faire « la promesse réciproque et sérieuse de s’épouser un jour ». C’est dans cette promesse que consistent essentiellement les fiançailles.

Pour la soustraire au danger de surprise, d’imprudence et de péché, trop facile à concevoir en l’absence de témoins, l’Église ne reconnaît la valeur des fiançailles que si elles se font par écrit, signées par les deux fiancés et, de plus, par le curé (ou l’évêque) ou par deux autres témoins. Si les fiancés (ou l’un des deux) ne savaient ou ne pouvaient écrire, on devrait le relater dans l’acte écrit, et à la signature, soit du curé (ou de l’évêque) soit des deux témoins, un autre témoin encore devrait ajouter la sienne. (Can. 1017.)

Ainsi échangée, la promesse de mariage oblige en conscience, et seules de graves raisons déterminées par la théologie peuvent en faire cesser l’obligation.23

La promesse de mariage, soit unilatérale, soit bilatérale ou fiançailles, est nulle au double for, si elle n’est pas faite par écrit signé des parties et, ou bien du curé ou de l’Ordinaire du lieu, ou bien au moins de deux témoins.24

Reconquête !, des fiançailles.

Cette promesse de Mariage selon le Droit canon peut être unilatérale, ceci nous semble carrément surréaliste ! Nous pourrions envisager que seule la demoiselle soit liée, mais même cela nous choque ! À quel amour peut prétendre un Homme qui serait incapable de s’engager et qui ensuite exigerait de la demoiselle une obéissance en toutes choses !

Par contre le Droit canon vient bien confirmer que, pour au moins les fiançailles, la présence du prêtre n’est pas nécessaire, en effet Il dit bien par écrit signé des deux parties ce qui semble raisonnable, quoi que ce soit une sérieuse dévaluation de la Parole, et, ou bien du curéou bien au moins deux témoins ! Le Droit canon dit donc bien par écrit signé des deux parties et par au moins deux témoins !

Tout ceci confirme donc ce que nous avons déjà vu au sujet des fiançailles.

4.C.1.c - Pour le chrétien, voici maintenant au sujet du Mariage

1103 §1 - Le mariage une fois célébré, le curé, ou celui qui le remplace, inscrira dès que possible sur le registre des mariages le nom des conjoints et des témoins, le lieu et le jour de la célébration du mariage et d’autres indications selon les modalités prescrites par les livres rituels et par l’Ordinaire propre ; et cela, même si un autre prêtre délégué par lui ou par l’Ordinaire assiste au mariage.

1109 §2 - Les Ordinaires de lieu ne peuvent permettre le mariage dans les maisons privées que dans un cas extraordinaire et pour un motif juste et raisonnable.25

La célébration du Mariage,
en la Maison de l’Époux !

C’est bien ce que dit le Droit canon, les Ordinaires peuvent permettre le mariage dans les maisons privées dans un cas extraordinaire et pour un motif juste et raisonnable.

Or26, devant la confusion des codes du Mariage, orchestrée du reste en premier par les Hommes d’Église, voir tout le document pour précision, il devient bien urgent, le cas est bien extraordinaire, c’est bien un motif juste et raisonnable, de réaliser le Mariage en la Maison de l’Époux.

Ce qui n’empêche pas les jeunes mariés, le même jour, d’aller processionnellement assister à une Messe de Mariage et de recevoir la bénédiction nuptiale.

4.C.1.d - Reprenons, en nous basant sur l’histoire d’Isaac et Rébecca

Fiançailles :

Demande :

1. Abraham fait demander une femme pour son fils Isaac par son serviteur, qui scelle cette transaction avec le Chef de Famille de Rébecca.

2. L’Homme va demander au Père et en sa Maison, la demoiselle.

Acceptation :

1. Rébecca accepte avec émotion cette transaction en la Maison de son Père, elle est la promise, ce sont les fiançailles.

2. La demoiselle, si elle l’accepte devient la promise. Les fiançailles se feront à la Maison qu’elle habite encore, celle de son Père.

Mariage :

Demande :

1. Rébecca, suit le serviteur vers la Maison d’Isaac, avec ses biens, sa dote et ses gens.

2. la demoiselle va vers la Maison de son futur Époux, avec sa dote, accompagnée de son cortège nuptial.

Acceptation :

1. Rébecca se voile et épouse Isaac en sa Maison devant témoins.

2. la demoiselle se couvre de son voile de marié et à la porte de la Maison de son futur Époux, répond par un oui distinct à la demande de son Époux, d’être Son épouse.

4.D - L’État inscrit ce Mariage et en garantit sa paisible jouissance

L’État ne peut que reprendre point par point la définition de l’Église qui ne fait que confirmer la définition du Mariage naturel.

Si l’État a une autre définition, ce n’est qu’une définition plus ou moins mensongère et qui est à combattre avec la plus totale détermination, quitte à mourir martyr !

L’État n’est là que pour garantir l’usage quiet de ce Mariage naturel ou religieux.

4.D.1.a - Mariez-vous privément, et faites enregistrer ensuite votre Mariage !

Reconquête !,
du Sacrement de Mariage.

L’État est depuis longtemps illégal, et en premier pour tout ce qui touche la Famille. Il est contre la Famille alors qu’Il ne tient son pouvoir que de ces Chefs, et qu’Il doit être au service de ces Chefs !

Nous avons vu, et le verrons encore, que ce sont les époux qui se confèrent le Sacrement de Mariage, pour les catholiques ou pour quiconque.

Pourquoi donc les époux accepteraient-ils qu’un représentant de cet État profane, avilisse ce jour sacré de leur Union devant Dieu et les Hommes ? Pourquoi, devant les témoins nécessaires, ne se marieraient-ils pas, et feraient ensuite enregistrer leur Mariage par la procédure civile devant le maire, comme devant le prêtre, ou le dignitaire religieux.

Pour les chrétiens, leurs pasteurs étant plus que timorés, pourquoi les époux ne se marieraient-ils pas privément en la Maison de l’Époux ou du Père de celui-ci, comme cela se faisait dans le temps, devant les témoins des époux et devant le prêtre témoin, uniquement comme de Droit, pour l’Église ?

Pour : devant les témoins des époux :

Remarquez bien qu’une témoine ou une témoigne, cela n’existe pas ! Les féministes ont cru contourner le problème en disant par ex. : madame le témoin !!! Voir : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)… ; point 5.B.4, L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne…

Ceci est aussi cocasse que de dire madame le maire, en effet si l’on disait madame la maire, cela ferait trop penser à la mère Michel !

Comme de dire Maître Unetelle, quelle aberration contre-nature, mais ils ne peuvent pas dire Maîtresse Unetelle, alors, on leur demanderait maîtresse de qui ?

C’est comme celles qui jugent, avec si peu de jugeote !, plus malin de se faire dire du madame le juge ou du madame le président ; ou celles qui se disent médecin, chauffeur de bus, etc.

Tout cela pour dire que nous sommes de Droit divin, dans une société d’Hommes.

Pourquoi ensuite les époux n’iraient-ils faire plaisir au Maire, en habits de semaine de préférence, juste avec les deux témoins, pour qu’il puisse prétendre réaliser ce Mariage…, et ainsi il serait enregistré.

L’État condamne le prêtre qui officie un Mariage avant la procédure civile. Or, comme nous l’avons vu, ce n’est pas le prêtre, ni de près ni de loin qui réalise ce Mariage. Nous avons vu aussi, que pour ce Mariage, le consentement de la demoiselle, pour les chrétiens, devait se faire devant l’Église mais non forcément dans l’église. Donc, rien de plus simple, mariez-vous devant l’Église en la Maison de l’Époux, et faites enregistrer (signature des registres) votre Mariage ensuite par l’Église et l’État.

Pour : enregistrer votre Mariage ensuite par l’Église :

Rappelez-vous : Le mariage une fois célébré, le curé, ou celui qui le remplace, inscrira dès que possible sur le registre des mariages le nom des conjoints et des témoins, le lieu et le jour de la célébration du mariage.

Dès que possible, voyez-vous, soit le jour même, après la cérémonie en la Maison de l’Époux, ou lors de la messe de Mariage par ex., ou ensuite. Nous remarquons aussi qu’il est dit le lieu, et non l’église !

L’État ne peut rien contre nous, en effet, alors, il devrait poursuivre le concubinage, ou ladite union libre qui sont bien un simili contrat à durée indéterminée, et ce, sans passer devant le Maire. L’État ne peut rien contre le prêtre, n’ayant pas officié, mais assisté, comme de fait il ne peut que faire, comme simple témoin à une cérémonie strictement privée, d’un événement strictement familial !

Pour les non-baptisés, c’est encore plus simple, que les futurs époux se donnent le Sacrement de Mariage comme vu précédemment, qu’ils fêtent largement cela sous le regard de Dieu, et qu’ils fassent enregistrer leur union indissoluble ensuite en mairie.

Pour les chrétiens ou quiconque, cette procédure civile qui nous est imposée par l’occupant n’est et ne sera jamais un Mariage, elle n’est qu’un enregistrement d’un Mariage déjà réalisé de préférence, ou avenir au pire !

4.E - Aberrations diverses dans l’État et l’Église

Dans cette partie, nous allons attaquer, de fait nous défendre en contre-attaquant, surtout les Ecclésiastiques de l’Église catholique (EÉc), car sans la complicité de ces Hommes d’Église, l’État ne pourrait rien contre la Famille !

Pour : de fait nous défendre en contre-attaquant :

Que notre Dieu d’Amour ne permette pas que dans le feu de l’action, ne sachant trop peu où porter nos coups, devant la détresse où se trouve nos propres Mariages, qu’en défendant nos foyers, dans les contre-attaques que nous menons contre ces prêtres corrompus, ces cloaques d’impureté (voir ensuite), nous fassions erreur ! Nous voulons être catholique !, et si des Âmes honnêtes et assoiffées de Vérité, voulaient nous aider en nous corrigeant et/ou en nous encourageant, qu’Elles en soient déjà remerciées et bénies.

En effet, c’est Eux, les EÉc, qui ont installé sciemment une contradiction interne ou exploité malicieusement des failles ou des imprécisions de leur doctrine catholique quant au Mariage, voyons cela.

4.E.1.a - Seul l’Époux n’aurait pas les moyens de son Autorité ?

En effet, de dire Que les femmes soient soumises à leurs maris, comme au Seigneur27, et de rester criminellement en silence pour ce qui vient à la bouche de quiconque : et ensuite !, et ensuite dites-moi, si elle ne veut pas obéir, je fais quoi ?

Soyons enfin réalistes, cessons de nous culpabiliser comme l’on dit bêtement maintenant, brisons la langue de bois !

Considérons l’Église (la vraie évidemment, pas la fausse), si un humain désobéit, Elle le signalera sans hésiter, et si celui-ci persiste, il sera mis hors l’Église, excommunié. Les moyens que l’Église, la vraie, utilise sont légitimes, et nous ne les contestons pas !

Considérons l’État, si un humain contrevient à la réglementation, viennent immédiatement, et même automatiquement avec les radars automates, l’amende, la prison, etc. Les moyens que l’État, légitime il s’entend, utilise sont légitimes, et nous ne les contestons pas !

Considérons l’Époux maintenant, Lui seul serait complètement démuni de moyens ? Or, les moyens que l’Époux utilise sont forcément légitimes, et l’Église et l’État voudraient les contester !

La Famille est la base des sociétés Église et État, et alors que toutes deux ne tiennent leur légitimité la plus basique que de la Famille, toutes deux se retournent contre la Famille dont Elles tiennent leurs propres membres !

Si l’Église et l’État veulent subsister, perdurer, Ils doivent protéger la Famille, qui est leur première, seule et unique finalité !, et pour cela soutenir le Pouvoir du Chef qui englobe nécessairement la punition ! Le Chef a la légitimité la plus haute et la plus sûre, la plus étendue, car venant de l’Essence même de Dieu le Père, et étant antérieure à toutes deux !

L’Église et l’État ne peuvent dénier au Chef ce qu’Ils revendiquent eux-mêmes pour leur propre gouvernement, alors que de plus Ils sont tous deux inféodés aux Chefs de Famille.

4.E.1.b - La fable sidérante, abrutissante de la femme battue

La punition engendre forcément une grande émotion en celui qui punit et en celui qui est puni. La punition, normalement, est d’abord une peine pour celui qui punit.

En la Famille, elle est même, nous pouvons le dire sans hésiter, une peine bien plus lourde pour celui qui punit que pour celui qui est puni. Quel est le Père, ou la mère, qui n’a pas hésité à sévir devant l’entêtement d’un enfant récalcitrant ?

La punition n’est pas un but, mais un moyen douloureux et secondaire, l’avertissement étant le premier moyen.

Or, la fable de la femme battue est utilisée pour sidérer, culpabiliser les Hommes, afin de détruire la Famille.

En effet, si vous enlevez la punition comme moyen de discipliner l’enfant, que vous reste-t-il après l’avertissement ?, certainement pas la discussion ou ledit dialogue, sortant tous deux de la hotte du Dialogueur maître, le Serpent ! On ne dialogue pas, on ne discute pas avec l’Erreur.

4.E.1.c - Le Concile de Trente dit que l’époux doit discipliner l’épouse

Le Concile de Trente dit au sujet de l’Époux : Enfin il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.

Relisons, il, l’Époux donc, doit, il est donc obligé sous peine de punition pour Lui-même et venant de Dieu auprès de qui Il devra rendre compte de Son gouvernement, régler, corriger, former, contenir, chacun de sa famille, et donc son épouse comprise !

Et comme Il le doit, après de raisonnables avertissements, dont Il n’a à rendre compte à quiconque, il ne reste plus à l’Époux que de devoir remonter courageusement ses manches et de faire plier la récalcitrante.

Oui, si il faut la battre, alors, le Chef doit le faire, c’est une œuvre pie et Il doit être soutenu et magnifié par l’Église et l’État ! Ceci sera plus amplement développé ensuite28

Pour : Oui, si il faut la battre, alors :

Voir : DP-3.C.4.d, Mais, il existe bien des Maris violents… Et voici un bon mot que Patrick Gofman a eu en parlant de Bernard Cantat, ledit mari violent et de son meurtre de Marie Trintignant : On t’a dit de la battre, Ducon, pas de l’abattre ! (Voir son pamphlet « Bats ta femme tous les jours »).

4.E.1.d - Leur définition du Mariage, est une redoutable bombe à retardement

De fait très peu à retardement, comme nous allons le voir.

En effet, que faites-Vous, Chefs de Famille, si votre épouse ne veut pas obéir, sachant que La barre de la nef domestique a été confiée à vos mains (Pie XII29) et que Votre gouvernement n’a de compte à rendre à quiconque ?, devant gouverner, comme nous venons de le voir, vous remontrez héroïquement vos manches pour contenir chacun dans son devoir !

Il est patent que ces Hommes d’Église se sont réservé un fond de commerce, un véritable service après-vente en le Mariage, comme ces industriels véreux qui conçoivent et fabriquent des machines volontairement vérolées (obsolescence programmée30) afin d’établir une rente véritablement infaillible et inépuisable à travers leur SAV (service après-vente). De fait, ces cloaques d’impureté, ces prêtres se sont réservé des possibilités de viol ou d’adultère…

Nous venons de dire leur définition du Mariage, et là nous touchons déjà au cœur du problème : de quoi je me mêle !, le Mariage ne leur appartient pas, et ni de près et ni de loin, et ni dans sa définition, et ni dans le Sacrement et ni dans son utilisation. Et aussi, comment peuvent-ils légiférer sur quelque chose pour lequel Ils n’ont aucune, mais alors aucune compétence !

Pire, Ils veulent légiférer sur quelque chose qu’Ils, ces Hommes d’Église, ne pratiquent pas, Ils ne sont même pas expérimentalement parlant au courant des problèmes auxquels est confronté le Chef en Sa Maison. Et ainsi, dans ce qu’Ils prétendent définir, Ils sont dès le premier mot en contradiction caractérisée avec Eux-mêmes comme nous allons le voir.

Pourquoi prétendent-Ils définir, Eux qui sont les seuls responsables de l’apostasie généralisée et du recul sans précédent de l’Église dans le monde, ce qui fut défini au berceau de ce monde par Dieu-même, quant au Mariage. Les Hommes d’Église ne peuvent que répéter la Loi naturelle en ce qui concerne le Mariage, comme Notre-Seigneur Jésus-Christ le leur a dit : Ne pensez pas que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes ; je ne suis pas venu abolir, mais parfaire31.

Cette volonté de ces Hommes d’Église de vouloir définir le Mariage est donc en soit un viol, une escroquerie.

Ils, ces cloaques d’impureté, ne peuvent définir ce que seul le Chef sait et peut définir, car Lui seul est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire32 en Son Mariage ; et Il est donc le seul et unique Législateur en Sa Maison comme nous le voyons dans tout ce document.

Nous rappelons que l’expression en Sa Maison, ne veut pas dire en Sa maison, en effet, comme pour la distinction vu précédemment au sujet de en l’Église et en l’église ; en Sa Maison (institution) veut dire concernant tous les membres de Sa Famille, de Sa Maison, épouse et enfants compris, et que ceux-ci soient en Sa maison (bâtiment et propriété) ou à l’extérieur de Sa maison.

4.E.1.e - On ne peut dire une chose et son contraire, pour l’Église

Étudions cet exemple, parmi tant d’autres, et se confirmant tous :

Première affirmation, la vérité.

5,22. Que les femmes soient soumises à leurs maris, comme au Seigneur.

Cette phrase veut-elle dire que les femmes soient soumises à leurs maris et au Seigneur ? Non, car l’on ne peut être soumis à deux personnes en même temps, impossible d’obéir à deux Têtes, à deux Chefs.

Non, le que les femmes soient soumises à leurs maris, comme au Seigneur, veut dire étant le représentant du Seigneur. Cela veut dire qu’afin de plaire au Seigneur elles doivent être sou-mises et plaire à leurs Maris.

5,23. car le mari est le chef de la femme, comme le Christ est le chef de l’Eglise, qui est Son corps, et dont Il est le Sauveur.

La lecture de cette phrase confirme bien notre propos précédents, le Christ n’est pas le Chef de la femme, c’est le Mari auquel elle doit être soumise comme l’Église l’est au Christ.

Au fait, l’Église, vérifie-t-Elle ce que le Christ Lui dit, avant d’obéir ? Non, Elle obéit en toutes choses, car Elle ne peut vérifier ; comme l’épouse Elle doit cette soumission en toutes choses à son Seigneur. Comme la femme (Ève) le devait à Adam qui était son Seigneur, et qui lui avait interdit la pomme, l’épouse doit obéissance sans avoir la possibilité, et donc la nécessité, de comprendre ni de vérifier l’ordre !, comme nous l’avons bien vu33 précédemment.

5,24. Or, de même que l’Eglise est soumise au Christ, de même aussi les femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses.34

Oui, de même que l’Église est soumise au Christ, en toutes choses sans avoir la possibilité de vérifier et comprendre, de même aussi les femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses, sans avoir la nécessité, ni la possibilité, de vérifier et comprendre.

Deuxième affirmation, en contradiction avec la première.

Puis de dire, et ce, dans tous les catéchismes, comme ceci, et en pleine contradiction avec la première affirmation :

Q. La femme doit-elle obéir à son mari en toutes choses ?

R. Oui, en toutes choses ; sauf, bien entendu, le cas où le mari lui demanderait des choses que sa conscience à elle lui interdit. C’est alors qu’« il vaut mieux obéir à Dieu qu’aux hommes ».35

Ce sauf est déjà un boulevard pour la femme, en effet, avec elle ce sera toujours sauf !

Fielleusement, l’on ajoute bien entendu ! Ce bien entendu, qu’elle a entendu 5 sur 5 rassurez-vous, est une redoutable bombe à retardement : vois-tu mon chéri l’Église a dit bien entendu !

Ils ajoutent, dans le cas où le Mari lui demanderait des choses que sa conscience à elle lui interdit. Mais qui va guider, éclairer sa conscience, au sujet de sondit scrupule, le sauf en question, son Époux lui ayant commandé quelque chose ? Car fatalement, ne nous faisons pas d’illusions, pour interroger sa conscience, afin de pouvoir l’opposer à son Époux, la femme sait faire, elle est même experte depuis Ève !

Ainsi, quoique dise son Époux, elle interrogera, scrupuleusement il va sans dire, sadite conscience. Et devant sa raideur, son Époux lui dira : prosterne-toi et obéis ! Alors, toute pleine de sesdites certitudes dans sa révolte naissante, la femme étant essentiellement une révoltée, elle ira consulter, chercher appui auprès de celui…, vous vous souvenez ?…, celui qui avait posé la question illégale aux fiancés debout devant lui, en les appelant solennellement par leur nom de baptême et de famille36, lors de leur Mariage ?, le prêtre !, afin d’obtenir des conseilles pour éclairer sadite conscience.

Car enfin, se dira-t-elle : il n’y a que le prêtre qui puisse m’éclairer sur la question du Mariage. Ainsi, elle se fera pénétrer par le prêtre, et vu son accord, il y aura adultère37.

4.E.1.f - Qu’auprès de l’Époux, l’Église doit reconnaître la toute puissance de Celui-ci en Sa Famille, et point final

Un peu plus haut, nous disions que l’Église ne pouvait définir ce que seul le Chef sait et peut définir, mais comme nous venons de le voir, c’est même pas qu’Ils prétendent définir, c’est que ces pervers et violeurs sapent positivement l’Autorité de l’Époux, en effet il y a plusieurs crimes hautement dévastateurs :

→ de dire à l’épouse que : les femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses ; alors que c’est seul l’Époux qui doit le lui dire.

Pour : de dire à l’épouse que :

Nous faisons le pari que telle n’était pas l’intention et le propos de Saint Paul, Il n’aurait pas accepté de parler aux femmes, et de se contredire Lui-même ainsi, car Il a dit : qu’elles interrogent leurs maris à la maison, car, entre autres, il est, en effet inconvenant pour une femme de prendre la parole dans une assemblée. Voir : CN-2009-04, La petite Sainte Thérèse, une femme !, docteur de l’Église…

→ de dire sauf, bien entendu, le cas où le mari lui demanderait des choses que sa conscience à elle lui interdit ; alors que l’on se garde bien de lister, tout en s’arrogeant ledit droit de lui dire sauf, ce que sa conscience à elle, devrait lui interdire ; et ainsi le SAV est assuré d’avoir du travail : viols et adultères.

4.E.1.g - On ne peut dire une chose et son contraire, pour l’État

Au sujet de la femme : L’État ne s’interdit pas de taper sur nous, et sur la femme aussi, par exemple si nous contrevenons à la limitation de vitesse, ou, crime des crimes, si nous touchons à l’argent dont nos Maîtres nous ont préalablement soulagé. Là : procès, prison, lynchage dans les médias, etc.

Pour : exemple si nous contrevenons à la limitation :

Dans le cas où une femme (ou un enfant mineur à charge) viole une Loi telle la limitation de vitesse, un État légal doit demander à l’Époux de corriger Son épouse, de la discipliner, mais Lui ne peut en aucun cas agir sur elle. Dans le cas où le Mari n’ait pas mis au pas son épouse, et qu’elle cause des tords hors la maison, l’État doit se retourner non contre l’épouse, mais contre l’Époux, ce qui sous-entend de sérieux moyens pour l’Époux à l’encontre de son épouse indisciplinée.

Au sujet de l’enfant : L’État ne s’interdit pas d’envoyer ses CRS contre les enfants avec matraques et bientôt des Tasers (pistolet à impulsion électrique38) pour faire rentrer ceux-ci dans le rang.

L’État tape même comme aucun État n’a tapé auparavant. Mais ce droit qu’Il exerce, et qu’Il n’a que très partiellement, mais qu’Il outrepasse continuellement, Il le dénie dans le même temps à l’Époux envers Son épouse, au Père envers Son enfant ! Il met en prison des Chefs dits violents, entendez qui ne sont pas absolument émasculés, permissifs, alors que ce Droit de punition, venant d’un Devoir, ne regarde que le Chef en sa Maison.

Car enfin, si l’État tape, punit, discipline, c’est que cela est nécessaire et bien ! Oui, cela est bien nécessaire, quoi que dans son cas cela soit le plus souvent illégal. Une Loi sans son application spontanée ou forcée est une Loi morte. Tout pouvoir doit se donner les moyens de son pouvoir, l’on appelle cela son Bras justicier.

En la Famille, l’État même légal, qui n’a aucun, mais alors, aucun Droit de regard et de punition, dénie violemment (prison, amendes, déchéance, vindicte publique) au Chef son Pouvoir et ses moyens, alors que ceux-ci sont forcément légaux !

L’État, forcément illégalement, s’arroge le Droit de battre la femme en cas d’infraction, mais par contre Il dénie ce pouvoir forcément légal (faîtes-nous grâce de cas extra-extra-ordinaires, et qui seront étudiés ensuite) à l’Époux qui est tout-puissant en sa Maison. Nous verrons plus en profondeur dans le chapitre suivant : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)

4.F - Aberrations diverses dans l’Église

Où comment Luciabel pilote les Ecclésiastiques de l’Église catholique !

4.F.1.a - Texte totalement aberrant que nous allons étudier

Dans votre missel vous avez certainement ce texte à la rubrique La messe de mariage, passons tout de suite à cette partie :

Le consentement.

Puis, aux fiancés debout devant lui, il [le prêtre] demande solennellement, en les appelant par leur nom de baptême et de famille.

« N., voulez-vous prendre pour légitime épouse N. ici présente, selon le rite de notre mère la sainte église ? • R. oui, je le veux. »

« N., voulez-vous prendre pour légitime époux N. ici présent, selon le rite de notre mère la sainte église ? • R. oui, je le veux. »

Le prêtre confirme l’engagement dont il vient d’être témoin ; il invite les époux à se donner la main droite et dit :

« Je vous unis par le mariage au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen. »39

Notons que dans la citation que nous venons de lire, il y a cinq paragraphes (§), hors le titre : Le consentement.

4.F.1.b - Aberration, quant à la chronologie

Dom Gaspar Lefebvre est en pleine confusion toute démoniaque, étudions les 4ème et 5ème § où Il dit :

→ 4ème § : Le prêtre confirme l’engagement dont il vient d’être témoin… ; ce qui veut dire que le SM vient d’être réalisé, qu’Il est donc déjà réalisé !, il dit bien, le prêtre, vient d’en être témoin.

→ 5ème § : Puis, juste après, ensuite donc : Je vous unis par le mariage…, ce qui veut dire très exactement qu’Il prétend réaliser le SM !

Dom Gaspar Lefebvre est vraiment troublé par la femelle Luciabel, Il prétend réaliser un Mariage qu’il ne peut de toutes les façons réaliser (§ 5) alors qu’il vient tout juste de constater qu’Il était déjà réalisé (§ 4) !

Une telle confusion mentale quant à la chronologie des événements que le missel cite, prouve l’action du démon sur ces prêtres, tel Dom Gaspar Lefebvre.

4.F.1.c - Aberration, le prêtre demande solennellement

Ceci reprend largement ce que nous avons vu précédemment (4.B40), bien que, Dom Gaspar Lefebvre dit :

→ 1er § : Il, le prêtre, demande solennellement, mais de quoi je me mêle ! Pourquoi est-ce le prêtre qui demande, et de plus solennellement ? Nous sommes en plein accaparement, captation du SM, et en effet ledit Droit canonique confirme la captation ainsi : Sont seuls valides les mariages qui sont contractés devant le curé ou l’Ordinaire du lieu, ou un prêtre délégué par l’un d’entre eux, et devant deux témoins, selon les règles exprimées dans les canons qui suivent, et sauf les exceptions formulées aux Can. 1098-1099.41

Le Mariage est contracté par qui ?, par le prêtre ?, non !, par les époux seuls, et rien que par eux seuls !

Est-ce le prêtre qui a fait la demande en Mariage auprès de la demoiselle ?, non, c’est l’Homme !

Pourquoi donc Il, le prêtre, demande ?, pourquoi donc Il, le prêtre, demande de surcroît solennellement ?, pour laisser penser solennellement qu’il est acteur, et visiblement acteur indispensable, et même objectivement acteur principal, et même ensuite acteur exclusif du SM !, en effet il a eu l’impudence, le culot de dire : Je vous unis par le mariage (4.F.I.a).

Non, le prêtre n’est que et rien que le témoin pour l’Église, comme les deux autres témoins le sont, l’un pour l’Homme, l’autre pour la demoiselle !

Pourquoi donc Il, le prêtre, demande ?, l’Homme ne sait pas poser la question ?, alors qu’Il sut la poser lors de sa demande en Mariage !, que l’on appelle du reste déclaration !

Pourquoi donc, il, le prêtre, demande à la femme, et ainsi la viole, car le prêtre ne doit pas parler à une femme, comme nous l’avons déjà vu et le verrons bien copieusement ensuite ? La demoiselle épouse-t-elle le prêtre ?, répond-elle à sa demande en Mariage ?, ou bien répond-elle à la demande en Mariage de l’Homme ?

Répétons, c’est l’Homme qui demande la demoiselle, devant le prêtre témoin de l’Église et devant les Hommes témoins des époux : Voulez-vous m’épouser devant Dieu et les Hommes ?

Pour : Répétons, c’est l’Homme qui demande :

Voir : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.B.4, Revenons maintenant à la vraie conclusion de cette transaction.

Pour : devant les Hommes témoins des époux :

Seuls les Hommes, et donc jamais les femmes, peuvent témoigner, voir : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)… ; point 5.B.4, L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne…

Continuons, et voyons si ce que nous nommons accaparation42 du Mariage, plus qu’une invective malheureuse, n’est point une exagération ou même une pure calomnie, ou-bien très effectivement une volonté organisée des EÉc d’établir un Mariage à trois contractants, trois acteurs…

Pourquoi, le prêtre ayant été appelé en la Maison de l’Homme, ne demanderait-il pas : Untel, pourquoi m’avez-vous demandé de venir en ce jour ?

Ce à quoi l’Homme répondrait : Je vous ai demandé de venir pour que vous soyez témoin pour l’Église, du Sacrement de Mariage que je vais proposer à Unetelle, ici présente.

Ensuite, ceci fait, se tournant alors bien vers la demoiselle afin d’établir aucune confusion, viendrait la formulation de la question de l’Homme : Unetelle, ici présente, voulez-vous être ma femme devant Dieu et les Hommes, à laquelle, bien tournée vers Lui, la demoiselle répondrait par un Oui franc ou un Oui je le veux bien tout aussi franc, ou un non le cas échéant…

4.F.1.d - Quels sont les ministres du Sacrement de Mariage ?

Q. Quels sont les ministres du sacrement de mariage ?

R. L’homme et la femme qui s’épousent sont eux-mêmes les ministres du sacrement.

Q. Le prêtre présent à la cérémonie n’est donc pas le ministre du sacrement de mariage ?

R. Non. Sa présence, par la volonté de l’Église est nécessaire à la célébration du mariage, tellement nécessaire que, sans elle, l’engagement pris par les fiancés serait non seulement illicite, mais invalide. Il n’en est pas moins vrai que le prêtre n’est pas le ministre de cet auguste sacrement (Concile de Trente, sess. XXIV, Décret de la réforme du mariage.)43

Nous avons bien lu, ceci est bien clair, le prêtre présent à la cérémonie n’est pas du tout le ministre du Sacrement de Mariage !

Par contre, en effet, le Mariage serait non seulement illicite, mais invalide, hors la présence du témoin de l’Église, comme il le serait hors la présence des témoins de l’Homme et de la demoiselle. Ces trois témoins sont indispensables.

Pour les non-chrétiens se donnant le Sacrement de Mariage, seuls deux témoins suffisent : celui de l’Époux et celui de la demoiselle, et plus selon la juste coutume locale.

De fait, non par désir d’évincer l’Église, bien loin de nous ceci, ne rendons pas la mal pour le mal, mais le Mariage peut être licite et valide, entre deux chrétiens, et ce, sans présence du prêtre, si celui-ci ne peut être là dans un délai raisonnable, moins d’un mois (cf. pendant plus de 400 ans au Japon, entre catholiques)…

Même, et pour quiconque, l’absence de ces deux témoins ne rendra pas le Mariage invalide, par ex. deux naufragés, libres quant au lien matrimonial, et désirant sur leur île s’unir, sans attendre un hypothétique sauvetage, ce sous le Regard de Dieu.

4.F.1.e - Pie XII dit exactement la même chose de ces ministres

Chers nouveaux mariés, vous échangiez, il y a quelques jours, sous le regard de Dieu et en présence du prêtre, vos solennels et libres engagements ; devenus vous-mêmes les ministres du grand sacrement que vous receviez, vous vous engagiez à une indissoluble communauté de vie44.

Le Pape confirme bien que c’est vous, les époux, qui échangiez [vos solennels et libres engagements] en présence du prêtre, qui n’est que témoin et non acteur, et que vous êtes devenus vous-mêmes les ministres du grand sacrement de Mariage…

Le prêtre doit être présent comme témoin et, excusez le mot, mais trop c’est de trop, et : il la boucle ! Et en sa présence le Mariage est réalisé par l’Homme qui propose le Sacrement et la demoiselle qui permet le Sacrement par son Oui !

Le prêtre n’a pas à toucher, à capter le Sacrement de Mariage. Il n’a pas à laisser penser qu’il serait pour quelque chose dans ce Sacrement. Le prêtre, sans ornement spécial, doit être à l’arrière, et bien ouvrir ses oreilles comme simple témoin qu’il est, ce uniquement pour pouvoir ensuite témoigner comme quiconque.

4.F.1.f - Aberration, le prêtre prétend être le ministre du Sacrement

Nous avons vu en premier l’erreur gravissime quant à la chronologie de leur verbiage satanique, voici maintenant l’analyse de ces paroles de serpents.

Nos détracteurs, et mauvais prêtres nommés solennellement cloaques d’impureté par la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) à La Salette, nous avons écrit analyse et non ergotage ou chicanerie ; voyez le mal où il existe et non en les dénonciateurs où il n’existe pas ! Qu’ils viennent, ces porteurs de paroles de serpent, nous contredire courageusement afin que nous puissions publiquement les démasquer encore plus, que nous puissions leur arracher entièrement leurs vêtements de brebis (NSJC) afin de révéler les loups qu’ils sont !

Pour : nommés solennellement cloaques d’impureté :

DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique. ; point 9.C, Les mauvais prêtres, accablante majorité avant Vatican II…

Idem ; point 9.C.13, ±1846 - La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette.

Pour : ces porteurs de paroles de serpent :

DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)… ; point 7.B.6, Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie XII à la femme.

Oui, Quand Luciabel veut perdre un prêtre, il lui ôte la raison !, vous avez bien lu Je vous unis par le mariage au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen (§ 5), alors que juste avant Le prêtre confirme l’engagement dont il vient d’être témoin, (§ 4).

Reprenons, comme vu précédemment ce sont les fiancés qui se donnent le Sacrement de Mariage ! Qui s’unissent eux-mêmes et par eux-mêmes et pour eux-mêmes, ce de Volonté divine, par ce Sacrement tout autant naturel que chrétien !

Nous savons que le Sacrement de Mariage appartient uniquement, exclusivement aux époux ! Et nous savons que ce Sacrement, c’est les époux qui se le donnent. Du reste, le comble c’est que Dom Gaspar Lefebvre le dit bien puisqu’il dit au 4ème§ : Le prêtre confirme l’engagement dont il vient d’être témoin

Nous avons bien lu, Dom Gaspar Lefebvre dit bien :… confirme [ce dont] il vient d’être témoin… Or, s’il est témoin, c’est qu’il n’est pas acteur ! Il, le prêtre, n’est que le témoin de l’Église !

Dom Gaspar Lefebvre confirme bien que c’est quelqu’un d’autre qui a généré le Sacrement, et aussitôt après il dit au 5ème§ : Je vous unis par le mariage…

Dom Gaspar Lefebvre connaît-il le poids des mots, sait-il que des mots peuvent plomber, tuer la Vérité ?

4.F.1.g - Tant d’aberrations prouvent le sabotage de la Famille par l’Église

Nous ne cessons de rappeler que lorsque nous disons l’Église il s’agit de fait des Ecclésiastiques de l’Église catholique (EÉc), évidemment ! ; l’Église Elle-même, étant l’Épouse de Notre-Seigneur Jésus-Christ (NSJC), est immaculée. Ainsi lorsque la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) dit, comme vu plus haut, à La Salette que les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté, il s’agit bien de ces pervers de prêtres, et non de l’Église qui ne peut devenir cloaque d’impureté !, ceci étant confirmé si besoin était par Saint Vincent de Paul qui a dit, voir plus bas : l’Église, qui va ruinée en beaucoup de lieux par la mauvaise vie des prêtres ; car ce sont eux qui la perdent et qui la ruinent…

Pour : [référence à La Salette & St Vincent de Paul] :

St Vincent de Paul : DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique ; point DP-9.C.7, ±1655 - Saint Vincent parle des mauvais prêtres.

La Salette : DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique. ; point 9.C.13, ±1846 - La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette.

Cessons de pratiquer la langue de bois !

Qui a provoqué ces quelques drames uniquement :

→ 1600 au moins

– Qui a provoqué le recul général de l’Église à travers tout le monde ?, demande notamment Saint Vincent de Paul.

– Les EÉc, voire Pape en tête !, lire tout DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique.

→ 3 mars 1793 - 18 janvier 1800

– Qui, non seulement n’a pas aidé, mais a livré de facto les Vendéens aux sbires de la finance apatride, identifiable mais innommable, cachés derrières les loges Francs-maçonnes ?

– Les EÉc en général, Papes en tête, qui gênés regardaient vicieusement ailleurs, au lieu de lancer le reste de l’Europe dans une très-sainte croisade contre les vrais envahisseurs innommables présentement !

→ 1892

– Qui a prôné, avec drastiques menaces d’excommunication, le ralliement à la Ripoublique de Luciabel ?

– L’Église avec Léon XIII en tête.

→ 1926

– Qui a condamné, fort arbitrairement et opportunément pour la Ripoublique, l’Action française ?

– L’Église, avec Pie XI.

→ 1926-29

– Qui a lâché puis désarmé les Cristeros ?, ce avec menace d’excommunication !

– L’Église !, Pie XI en tête, faisant prudemment endosser cela par les larbins !

→ 1962-65

– Qui a organisé l’apostasie de Vatican II ?

– L’Église !, avec Papes en tête !

→ 1545-1563

– Qui a détruit positivement la Famille ?, sciemment ou pardite ignorance ? Voici ce que le Saint Curé d’Ars disait : Ô mon Dieu ! que l’ignorance damne du monde.45

– Les EÉc lors de leur Concile de Trente, qui après un long travail souterrain mirent enfin le couvercle sur le Sacrement de Mariage, Ils finalisèrent sa captation en plaçant leur mine redoutable appelée malicieusement séparation de corps !

Ce n’est pas le prêtre, accapareur en ce cas, et ni de loin et ni de près, qui est ministre du SM ; SM qui de plus existe de tout temps, ayant été institué par Dieu le Père même en l’Éden ou Paradis terrestre !

Mensonge donc, confusion fatale qui permettra plus tard à l’épouse, en qui on a insufflé fielleusement l’idée que ce Sacrement était généré par l’Église et que le prêtre en était le ministre, le garant, le législateur, d’opposer à son Époux, ladite cocasse sagesse du prêtre !

Avec de telles contradictions internes prouvant une confusion mentale toute démoniaque révélée notamment par l’erreur de chronologie, il vient d’être témoin et je vous unis, qui disent sans avoir l’air de le dire, et la chose et son contraire, simultanément et oui et non46, avec de telles paroles de serpent (Pie XII), ces faux prophètes, qui viennent à vous sous des vêtements de brebis, mais qui au dedans sont des loups rapaces (Mat 7, 15), ces prêtres corrompus, véritables cloaques d’impureté (La Salette), ont fait entrer de la pauvre petite tête des épouses, que l’avis du prêtre, fatalement violeur dans ces cas-là, aurait non seulement la primauté, mais même l’exclusivité de l’Autorité en la question du Mariage.

Alors que le prêtre n’a rien à dire, et ni de près et ni de loin, sur cette question-là ! Après de telles paroles, l’Époux n’est plus que géniteur dans le meilleur des cas, mais toujours avec droit de regard du prêtre jusque tout au fond du lit conjugal !

Ne trouvez-vous pas que ce que nous venons de découvrir à de quoi fortement nous préoccuper ?

4.G - Aberrations diverses en l’État

4.G.1 - Au sujet de l’âge minimum légal pour contracter Mariage

<À développer, compléter, corriger>.

L’âge légal du Mariage pour l’Homme est de 18 ans, pour la femme il est de 15 ans encore actuellement.

Or, avec des arguments vicieux, dans la nuit du 24 au 25 janvier 2006 a été adopté une loi non encore appliquée qui alignerait l’âge minimum pour la femme sur celui de l’Homme.

Cette loi serait passée afin de lutter contre les mariages forcés pour les femmes ! Pile du reste l’argument utilisé par le concile de Trente, pour lutter contre les unions clandestines47 !

Où, la plus totale contradiction interne, en effet la femme étant l’égale de l’Homme, qu’ils disent :

1. Comment peut-elle être forcée, et pas l’Homme, et

2. pourquoi avant cette loi une différence d’âge ?

Mais dans le même temps, l’État :

1. Fixe la majorité dite sexuelle à 15 ans pour les deux sexes,

2. mais interdit de se marier avant 18 ans, et

3. distribue gratuitement et à l’insu de parents, la pilule et autres systèmes pervers qui eux sont offert à n’importe quel âge dans les écoles, et aux fillettes plus particulièrement, et enfin si bien lancé,

4. organise en sous-main undit débat de société, lisez matraquage médiatique, comme pour l’avortement et l’euthanasie du reste, pour extorquer l’assentiment des masses à l’abaissement de cettedite majorité sexuelle à 12 ans48.

4.H - Les trois fins du Mariage

4.H.1 - Les trois fins du Mariage sont

1. La procréation d’enfants,

2. le resserrement de l’affection mutuelle,

3. le remède à la concupiscence.

Ici, sera surtout parlé de la 3ème fin qui avec nos braves épouses pose particulièrement problème. Quel est l’Époux qui n’a pas expérimenté le subit mal à la tête, et l’immense fatigue invalidante ! Alors, qu’elles ont été engendrées pour l’Homme, et donc pour cela aussi.

Les deux premières fins, la procréation et l’entraide des époux, sont suffisamment vues tout au long de ce document.

4.H.2 - Peut-on se marier pour une seule de ces fins du Mariage ?

Mais si quelques-uns étaient portés par d’autres causes [procréation] à se marier, et si dans le choix d’une épouse ils avaient principalement en vue l’espérance de laisser des héritiers, ou encore les richesses, la beauté, l’éclat de la naissance, la ressemblance des caractères, de tels motifs ne seraient point blâmables pour cela, parce qu’ils ne sont pas contraires à la sainteté du Mariage. Ainsi la Sainte Ecriture ne nous dit pas que le patriarche Jacob ait été coupable pour avoir préféré Rachel à Lia, à cause de sa beauté.49

Oui, on peut se marier pour une seule de ces trois fins à condition de ne pas exclure les autres fins. Par ex. on peut se marier uniquement par désir d’une belle épouse (remède à la concupiscence), mais l’on a aucunement le droit de faire barrage à la procréation et à l’entraide, ni aux charges en découlant.

Un prêtre corrompu, comme il nous le fut cité, qui vous traiterait de musulman parce que vous désirerez fortement votre épouse pèche très très gravement.

Pour : vous traiterait de musulman parce que vous :

Certifié véridique, avec témoins. De plus nous ne voyons pas pourquoi un musulman aimant sa femme serait un dépravé. Tous les masques vont tomber au Jugement dernier, et nous pensons avec tous les Saints que les chrétiens ne seront pas les moins confus, réprouvés !

Si tel était vraiment le cas pour ce pauvre Homme, Il doit en être loué pour avoir pris la mesure de sa nécessité. De plus dans le cas cité, ce prêtre abaissait vicieusement la barre, le hauteur, car pour cet Époux, il s’agissait de vrai amour pour son épouse, et non d’un besoin pulsionnel.

4.H.3 - 1ère fin - Le petit catéchisme du Mariage, l’abbé Joseph Hoppenot

Q. Comment Dieu, bénit-il ces premiers époux ?

R. Il les bénit et dit : Croissez et multipliez-vous, et remplissez la terre, et assujettissez-là à votre empire. (Gen., I, 28)

Q. Un grand enseignement n’est-il pas renfermé dans cette bénédiction ?

R. Oui, dès l’origine du monde, Dieu veut rappeler à l’homme que si l’essence du mariage consiste dans l’étroite union de deux vies qui se donnent l’une à l’autre, son but premier est la propagation de la race humaine : Croissez, et multipliez-vous. Souhait divin, injonction impérieuse qui notifient la loi de l’union matrimoniale et condamnent par avance les malheureux époux qui, dans la suite des âges, par une stérilité calculée, contreviendront aux ordres du Créateur et déformeront son œuvre.

Q. Ce premier mariage a-t-il réellement un caractère religieux ?

R. Assurément, puisque c’est Dieu même qui en a l’initiative ; qu’il a pour objet essentiel la procréation et l’éducation des hommes, en vue de les rendre participants de Dieu, leur fin dernière ; et qu’en vertu de l’institution divine primitive il représente, en quelque manière, l’union de Jésus-Christ avec l’Église. Ce sont presque les propres paroles du Souverain Pontife Léon XIII, dans son Encyclique Arcanum du 10 février 1880 : « Le mariage ayant Dieu pour auteur et étant, dès sa première origine, une figure de l’Incarnation, porte en lui-même un caractère sacré et religieux qui ne lui vient point du dehors, mais lui est inné ; qu’il ne tient point des hommes, mais de sa nature même.50 »51

4.H.3.a - Croissez et multipliez-vous, et remplissez la terre

Nous pouvons même dire que Le Seigneur Dieu a dit : Croissez et multipliez-vous, et remplissez la terre, et Moi l’Éternel, votre Père, Je m’occupe du reste.

Il est dit à la 2ème réponse ci-dessus : Souhait divin, injonction impérieuse, -- Injonction : Ordre, commandement précis, non discutable, qui doit être obligatoirement exécuté et qui est souvent accompagné de menaces de sanctions.

L’injonction impérieuse, l’ordre impérieux, le commandement précis et indiscutable, Croissez et multipliez-vous, ne peut être suspendu par le fait que le but fixé par Dieu, remplissez la terre, serait atteint.

Toute l’escroquerie de la surpopulation est là, faire accroire que l’Homme, ne parlons même pas des bonnes femmes avec leurs arguments de boniches car nous devons aller à l’essentiel, doit gérer ! Non, l’Homme doit la même obéissance qu’Il veut à très juste titre de Son épouse, à Son Dieu !

4.H.3.b - Essayons, tels des fils candides, de comprendre Dieu

Essayons, pour nous apaiser, de comprendre le Plan Dieu ! L’ordre indiscutable, Croissez et multipliez-vous, est là pour peupler le Ciel d’Élus !

Pour : est là pour peupler le Ciel d’Élus :

En effet, l’on dit communément pour repeupler le Ciel ; or, voici une autre opinion qui nous semble bien plus noble : Saint Anselme accorde à l’Homme une place essentielle dans la création. Dans le Cur Deus Homo, Anselme refuse l’idée communément admise selon laquelle l’Homme aurait été créé par Dieu pour remplacer les anges déchus après la révolte de Lucifer. Anselme affirme que, de toute façon, la nature humaine a été créée par Dieu parce qu’elle le méritait. L’être humain n’est donc pas une créature de remplacement, il a été prévu de toute éternité par Dieu qui, en s’incarnant, a donné une autre dimension à l’humanité.52

Mais si nous continuons à procréer, et que dans le même temps nous saborderons nos Familles, et qu’ainsi au lieu de remplir le Ciel, nous enfournons ces pauvres Âmes dans les fours éternels de l’enfer, nous n’atteindrons jamais le Nombre que nous ne pouvons connaître et qui est voulu par Dieu.

Comprenons, la multiplication se fera de toutes les façons, vue qu’il nous faut arriver au Nombre, rien ne pourra contre cela, même les plans les plus révoltants parce que venant des plus révoltés ! Rien ne pourra rien contre cela ! Et donc, nous continuerons à nous multiplier, même frénétiquement, et dans le plus grand désordre, jusqu’à déborder de tous les côtés, et toutes ces vies ne serviront à rien quant au Plan final qui est de remplir le Ciel.

Or, si nous restaurions nos Familles en commençant par nous discipliner nous-mêmes afin de pouvoir bien discipliner nos braves et belles épouses, nous aurions de saints enfants, et ainsi nous peuplerions le Ciel d’Élus. Sûrement, plein de foi, nous pouvons dire que le Nombre serait atteint bien avant que la terre ne déborda !

Il faut, de Volonté divine, que ce Nombre soit atteint, alors, à nous de choisir, soit en faisant déborder la terre, ou soit en ne la faisant pas déborder !

4.H.3.c - Revenons au Mariage naturel qui est constitué par un Sacrement

Dans cette même citation que nous venons de lire, Léon XIII confirme bien que le Mariage naturel est constitué par un Sacrement !

Répétons, répétons… Les prêtres, les mauvais et le plus grand nombre, qui devraient protéger le Mariage en appuyant inconditionnellement l’Époux, sont les premiers à vouloir fanatiquement le détruire. Ils sont dans la plus totale contradiction, voyons cela ensemble :

Ils disent que le Mariage, pour tous, infidèles et chrétiens, à les mêmes buts, mêmes devoirs, mêmes Droits, même indissolubilité, et ils ajoutent bien qu’il est sacré !

Or, dans le même temps, malicieusement, ils ajoutent que Notre-Seigneur Jésus-Christ l’a élevé à la dignité de Sacrement de l’Église.

Non, l’expression exacte est de dire que NSJC, a confirmé que le Mariage naturel était sacré, qu’Il était constitué par un Sacrement, et qu’Il, NSJC, voulu que Sacrement préexistant à l’Église, soit reconnu par Son Église et incorporé à Ses Sacrements.

Comment pouvons-nous affirmer une telle chose, que le Mariage naturel est constitué par un Sacrement, alors que les Hommes d’Église veulent absolument enseigner que ce Sacrement est de l’Église ?

Pourquoi, voulons-nous absolument ergoter sur le fait que le Sacrement existe ou pas dans le Mariage naturel ? Parce que les Hommes d’Église, par cette supercherie veulent garder la main sur le Mariage, et ainsi, en le captant et en le violant, rentrer jusqu’en dessous de la couette ! Les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté53, ce sont des violeurs ou des adultères !

Voyons ce que dit le Souverain Pontife Léon XIII, dans son Encyclique Arcanum du 10 février 1880, et que cite l’abbé Joseph Hoppenot à sa 3ème réponse :

Le mariage […] dès sa première origine, […] porte en lui-même un caractère sacré et religieux qui ne lui vient point du dehors, mais lui est inné ; qu’il ne tient point des hommes, mais de sa nature même.

Il est bien dit Le mariage dès sa première origine, donc il s’agit bien du Mariage naturel !?

Il est dit aussi, par Léon XIII, que ce Mariage porte en lui-même un caractère sacré et religieux, n’est-ce pas ? Et le Mariage naturel porterait un caractère sacré et religieux, et ce sans Sacrement ?!

4.H.4 - 2ème fin - Entraide des époux

Nous pensons que ce point est suffisamment développé tout au long de cette étude.

Résumons :

→ l’Époux doit diriger son épouse avec toutes les obligations en découlant,

→ l’épouse, dans une crainte toute amoureuse, dans une obéissance joyeuse et empressée, doit être à l’entière disposition de son Époux.

4.H.5 - 3ème fin - Peut-on refuser l’acte conjugal

4.H.5.a - Les époux jouissent-ils des mêmes droits pour l’acte conjugal

Le mari et la femme jouissent-ils des mêmes droits pour l’acte du mariage ?

Conclusion :

Il y a deux sortes d’égalités, l’égalité de quantité et l’égalité de proportion. La première existe entre deux quantités de même mesure, par exemple entre deux longueurs de deux coudées chacune. La seconde, entre deux proportions de même espèce, par exemple entre le double et le double. Si on parle de la première égalité, on ne peut pas dire que l’homme et la femme soient égaux dans le mariage, ni dans l’acte conjugal, où le rôle le plus noble appartient au mari, ni dans le gouvernement domestique, où l’homme gouverne et la femme obéit. Si on parle, au contraire, de l’égalité de proportion, alors l’homme et la femme sont égaux sur ces deux points. De même, en effet, que le mari est tenu envers son épouse à remplir son rôle, aussi bien dans l’acte conjugal que dans le gouvernement de la maison, de même la femme est tenue envers son mari à remplir le sien. Voilà pourquoi le texte des Sentences déclare que les époux sont égaux pour rendre et demander le devoir conjugal.

Solutions :

1. Bien qu’il soit plus noble d’agir que de pâtir, il y a cependant la même proportion entre le patient et l’action de pâtir qu’entre l’agent et l’action. Sous ce rapport il y a donc égalité de proportion entre les deux époux.

2. Cela est accidentel, car le mari, qui a la part la plus noble dans l’acte conjugal, est ainsi fait qu’il ne rougit pas autant que la femme de le demander. C’est pourquoi l’épouse n’a pas la même obligation de rendre le devoir conjugal, si son mari ne le demande pas, que ce dernier si sa femme ne lui adresse aucune demande

3. Le texte de la Genèse montre que les deux époux ne sont pas absolument égaux, mais non pas qu’il n’y a entre eux aucune égalité de proportion.

4. Si la tête est le membre principal du corps, elle a cependant un rôle à remplir à l’égard des autres membres, tout comme ceux-ci a son égard. Il y a donc ici encore égalité de proportion.54

<À développer, compléter, corriger>.

Considérons, que l’Époux a un Droit plus grand, et donc que l’épouse a un devoir plus grand dans l’acte conjugal. Et si l’épouse ressent (car elles sont disposées à le ressentir) un désir non exprimé de son Époux qui craindrait à le lui demander, et qu’elle n’aille pas au-devant de Son désir pour Lui en faciliter la démarche, en se livrant sans réserve, elle pêcherait gravement. Alors, pensez donc, ledit mal à la tête !, basta !

Cette obligation est si impérative, que même la messe dominicale n’est pas une excuse ; et si son Époux, ainsi privé, devait aller voir une autre femme, elle porterait la responsabilité du péché mortel de son Époux en plus de celui de son refus !

4.H.5.b - Saint Paul interdit le refus du devoir conjugal afin de prétendument prier

Saint Paul ne veut pas que les époux s’abstiennent du mariage, même pour un temps, afin de se livrer à la prière, si ce n’est d’un commun accord.55

Est-ce nécessaire de développer cette citation ?

4.H.5.c - Y a-t-il obligation de rendre le devoir conjugal un jour de fête

Saint Thomas d’Aquin :

L’épouse a pouvoir sur le corps de son mari en ce qui regarde l’acte générateur, et réciproquement. Ils sont donc tenus de se rendre l’un à l’autre le devoir conjugal en tout temps et à toute heure, en respectant cependant la décence qui convient en cette matière, car il ne convient pas de le rendre aussitôt en public.56

Est-il vraiment nécessaire de commenter ceci ?

4.H.5.d - Encore au sujet du refus de l’acte conjugal

Q. Le mari peut-il, à son gré, refuser à sa femme ou réciproquement la femme à son mari l’acte conjugal ?

R. Non, quand l’un des époux le demande, l’autre le doit en justice. C’est une dette qui découle du mariage même, et qu’aucun ne peut refuser, sans une raison vraiment grave.

Il est permis de demander l’acte conjugal conformément à l’une des fins du mariage : procréation des enfants, resserrement de l’affection mutuelle, remède à la concupiscence (moyen de triompher de tentations dangereuses). Le demander par sensualité, en excluant toute fin honnête, à condition que l’on ne fasse rien qui puisse empêcher la conception, est un péché véniel.

Il est à propos de prévenir les désirs de l’autre conjoint si l’on sent qu’il est tenté et n’ose pas prendre l’initiative.57

Encore fait-il définir : Le demander par sensualité.

→ on doit manger pour se sustenter,

→ on peut manger pour satisfaire ce besoin et aussi par plaisir,

→ on peut même manger un quelque chose uniquement par plaisir,

→ mais on ne peut se forcer à manger que pour satisfaire encore plus le palais, alors que dans le même temps l’estomac se révolte !, cf les orgies romaines avec leur vomitorium attenant.

Idem donc, pour l’acte conjugal, l’on peut s’unir par désir intense de cette union et pour le plaisir qu’elle procure ; mais non se forcer à cet acte si noble et si saint, uniquement pour encore et encore en jouir !

Il est bien clair que l’on peut désirer se Marier pour une seule de ces trois fins, tel le remède à la concupiscence tout en n’excluant pas du tout les autres. Cette fin est peut-être moins noble, mais tout aussi légitime. Quoique…, l’on peut relire le Cantique des cantiques58…, ou lire aussi ce qui suit.

4.H.5.e - Attentions conjugales de l’épouse envers l’Époux.

Du : 21.02.2009, existe59 en PDF ici : ND. Actualisé : jeu. 8 oct. 2020, 17.05.

Veuillez noter que ce texte a encore été modifié ce jour, le mercredi 11 mars 2009 (cherchez ensuite : 11 mars 2009)…

Tiré des « Conseils donnés en 1393 ».

Vous devez être, belle sœur, attentionnée et soigneuse de la personne de votre mari. Soignez le amoureusement, tenez son linge bien propre, car c’est là votre affaire. Aux hommes le soin des affaires du dehors ; le mari doit s’en occuper aller, venir, courir de çà et de là, par pluie, vents, neige, grêle ; un jour mouillé et un jour sec ; un jour suant, un jour transi ; mal repu, mal hébergé, mal chauffé, mal couché. Mais rien ne lui fait mal, parce qu’il est réconforté par l’espérance qu’il a des soins que sa femme prendra de lui à son retour… comme de se déchausser devant un bon feu, de se laver les pieds, d’avoir chausses et souliers frais, d’être bien repu, bien abreuvé, bien servi, bien obéi, bien couché en blancs draps avec couvre-chef blanc, bien couvert de bonnes fourrures et rassasié des autres joies et ébattements, privautés, amour, et secrets dont je me tais. Et le lendemain, chemise et vêtements nouveaux.

Souveniez vous du proverbe rural qui dit qu’il y a trois choses qui chassent l’homme, de sa maison, savoir : Maison sans toit, cheminée qui fume, femme disputeuse. Et pour cela, chère sœur, je vous prie que, pour vous tenir en amour et en grâce de votre mari, vous lui soyez douce, aimable et débonnaire.

Et tout en s’occupant, il aura toujours son regard et son cœur à vous et à votre amoureux service. Il abandonnera toute autres maisons, toutes autres femmes, tous autres services et intérieurs. Tout ne lui sera que terne en comparaison de vous.60

Voyez-vous, avons-nous bien lu, ce texte envisage bien les trois fins, et met un sérieux accent sur l’obligation pour l’épouse de satisfaire pleinement son Époux : … et rassasié des autres joies et ébattements, privautés, amour, et secrets dont je me tais.

L’Époux doit être rassasié par son épouse !, et pour que l’Époux soit rassasié, il faut qu’elle Le rassasie n’est-ce pas ?

-Rassasier : 1. Rassasier qqn de. Satisfaire les désirs, les aspirations, les passions de quelqu’un. Synon. combler.

-Rassasier (les synonymes) : Gorger, gaver, satisfaire, soûler, nourrir, contenter, combler, bourrer, assouvir, apaiser, blaser, calmer, restaurer, saturer.

Tellement rassasié que l’Époux doit être soûlé par les seins et dans le sein (voir ensuite) de Son épouse :

→ Que ta source soit bénie, et mets ta joie dans la femme de ta jeunesse. Qu’elle te soit comme une biche très chère, et comme un faon plein de grâce. Que ses mamelles t’enivrent en tout temps ; que son amour fasse à jamais tes délices. Pourquoi, mon fils, te laisser séduire par une étrangère, et te reposer dans le sein d’une inconnue ?61

 Tes deux mamelles sont comme deux faons jumeaux d’une gazelle, qui paissent parmi les lis.62

Alors, voyez-vous, mesurez-vous bien l’obligation d’amour et de séduction que de l’épouse doit avoir envers son Époux ? Ce que ce Petit catéchisme du Mariage dit en premier est-il différent de ce que dit le Livre des proverbes ?

Et un Époux qui voudrait, désirerait Se soûler, S’enivrer de Son épouse serait un obsédé sexuel, un musulman fornicateur ?, car c’est bien ce qui fut dit par un sectateur de la FSSPX, par ce prêtre cloaque d’impureté à un Époux que nous connaissons ici et déjà cité ci-avant !

Pour : obsédé sexuel, un musulman fornicateur :

Nous demandons instamment aux musulmans (et non aux musulmanes, car cette étude leur est interdite comme à toute femme, voyez au début de celle-ci) de chercher le terme musulman dans notre étude, car nous ne voulons pas vous blesser, bien bien au contraire !

Vous devez comprendre que nous désirons intensément vous aider aussi, car il semblerait que vous soyez les derniers à flanquer une poussée phénoménale d’urticaire à ceux qui haïssent les vrais Hommes !, voyez notamment :

→ DP-5.B.2.e, Cette virginité qui fait hurler ces succubes et leurs maîtres les incubes.

→ DP-6.D.1, Femme en islam, sujet développé par l’hebdomadaire Rivarol. ; et suivants ;

→ DP-8.B, L’Époux honnête, est forcément musulman !?

Et ceci : te reposer dans le sein, de Ta femme au lieu de celui d’une inconnue, n’est pas fort précis ? Il n’est pas dit sur les seins (poitrine), mais dans le sein, soit dans son giron63, ses entrailles64 !, en la connaissant, en se répandant en elle ! Du reste ne dit-on pas ordinairement que l’épouse est le repos du guerrier, sa récompense ?

C’est aussi ce que disent, entre de nombreux autres :

Saint Paul : l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l’homme(I Cor., XI, 7-9).

Saint Jean Chrysostome : Car c’est pour la consolation de l’homme que la femme a été formée65.

Saint Astère : elle se montre sa servante assidue et dévouée ; elle est attentive à satisfaire à ses moindres désirs66.

4.H.5.f - Revenons sur la consolation de l’Homme

c’est pour la consolation de l’homme que la femme…, est-ce à dire que la femme devait essuyer les larmes de l’Homme ? Dans ce tableau nous sommes dans le Paradis terrestre avant le péché originel, donc point de larmes !, point d’ombre !, Adam n’avait certainement pas besoin d’être consolé ! Alors, pourquoi consolation ?, lisons : -- Consolation : se dit aussi d’Un véritable sujet de satisfaction & de joie. C’est une grande consolation à un père, pour un père, de voir ses enfans se porter au bien.67

Ajoute du mercredi 11 mars 2009 :

Visiblement nos textes sont bien lus, même scrutés l’on pourrait dire ! En effet, ce présent point 4.H.5.e, Attentions conjugales de l’épouse envers l’Époux., a été fortement modifié, et à cause de cela, nous l’avions republié le samedi 21 févier 2008 sous forme de nouvelle à l’adresse : Attentions conjugales de l’épouse envers l’Époux ; et les fautes de cette définition alors ajoutée, du mot Consolation ci-dessus, sont d’origine !

C’est n’était que par soucis de retranscription exacte de la source que nous les avions laissées. Or, ce jour, nous avons constaté que cette définition avait été modifiée, et l’exemple en italique avait disparu !

→ Avant le péché originel : La femme avait pour mission dès les premiers instants, de consoler son Époux en le comblant, en le satisfaisant pleinement, en l’égayant jusqu’à l’enivrer par ses charmes comme nous l’avons vu précédemment !

→ Après le péché originel : Péché originel dont nous nous rappelons qu’elle est la seule responsable comme Saint Paul le dit : ce n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui, séduite, est tombée dans la transgression68 ; alors…, alors que la femme doit être soumise à l’homme comme à son chef naturel, elle lui est assujettie plus strictement encore, en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle a une réparation à lui faire et une punition de son péché à subir69.

Ainsi, la femme qui déjà avant la faute originelle devait être tellement totalement amoureuse et serviable pour le consoler, combien plus doit-elle maintenant tout faire pour le consoler, ayant une réparation à lui faire et une punition de son péché à subir !

Le refus ou l’obstruction, du genre j’ai mal à la tête ce soir, au devoir conjugal, sachant que celui-ci vient évidemment exclusivement de l’épouse, est un péché mortel avéré !

4.H.5.g - Et dans les ébattements et privautés, qui est béni ?

L’Époux rassasié par et de Son épouse : Que ta source soit bénie…, vous souvenez-vous que nous avions vu70 que c’est l’Homme qui est béni si Son épouse est féconde… Nous voyons une autre confirmation que c’est l’Homme qui donne la vie, et c’est cette source qui est bénie !

L’épouse est là pour Le rassasier, Le saouler dans tous les services que l’Époux lui demande et qu’elle doit Lui rendre ; et ce de Volonté divine, avec joie et empressement(Concile de Trente).

Ainsi, après avoir mesuré avec nous l’ampleur de l’escroquerie de ladite femme battue71, nous venons de démonter ensemble l’escroquerie tout aussi faramineuse dudit viol de l’épouse par l’Époux !

Elle, l’épouse, est là pour Le, l’Époux, servir en tout !, elle a été donnée à l’Homme par le Seigneur Dieu pour cela !, et si elle ne remplie pas tout son service, soit aussi le consoler spontanément et avec joie et empressement, il ne reste plus à l’Époux qu’à relever héroïquement ses manches pour lui apprendre à l’aide de quelques pas de polka72 à être pleinement et aimablement soumise en toutes choses, et donc même dans l’intimité !

4.H.5.h - Et le lendemain, chemise et vêtements nouveaux…

Après la veille au soir où l’Époux avait trouvé un bon feu pour l’accueillir à sa rentrée chez Lui, où il fut bien repu et bien abreuvé, et bien servi et bien obéi, et bien couché et rassasié d’ébattements et privautés amoureuses, et bien enivré des mamelles de son épouse et bien reposé dans le sein de son épouse… : l’Époux trouve amoureusement préparés, le lendemain, chemise et vêtements nouveaux ! c’est sa mission, à l’épouse !

4.H.5.i - Pourquoi tant de déchets traînent dans nos rues ?

À cause de l’alcool, de la drogue ou de la prostitution, etc. ? Non, à cause de la femme !, toujours à cause de la femme !

L’humain en effet à besoin de sensations fortes, même très fortes, l’Homme en est même insatiable !

Notre Seigneur Dieu dans Son infinie Bonté le conçu comme cela :

→ Dans l’Éternité, Il doit s’enivrer de son Dieu lors de nos Noces éternelles, et ce, sans risque de lassitude aucune…

→ Sur terre, Dieu lui donna une épouse qui doit, de Volonté divine, l’enivrer de toutes sortes de façons comme nous venons de le voir…

Il n’y a pas de drogue plus forte, il n’y a pas de drogue plus légitime et sans danger aucun que : l’épouse pour l’Époux ! Et si donc un Époux va chercher undit dérivatif, unedite compensation (alcool, stupéfiants, courtisane, etc.) c’est que l’épouse a tout simplement trahi son Époux, et donc ainsi son Dieu ! Elle a trahi sa Mission divine !

Pourquoi l’Époux s’est-Il laissé séduire par une étrangère ?, pourquoi est-il allé se reposer dans le sein d’une inconnue ?, parce que Son épouse a trahi sa Mission divine : s’occuper amoureusement et intensément que de son Époux !

Ce n’est qu’elle qui pousse
son Époux à la débauche !

Nous n’escamotons pas du tout la faute de l’Homme, mais nous pointons sans langue de bois la principale, et même objectivement l’exclusive responsable des errances de son Époux : l’épouse !

C’est du reste ce qui faisait dire sur France Inter (en 199?), où l’on faisait semblant de s’inquiéter de la prostitution, à une madame Claude de service (excusez le propos !) : que si les épouses faisaient leur devoir conjugal, soit à bien veiller à ce qu’au moins le matin l’Époux parte la bourse vide !, il n’y aurait aucune prostituée !

Et nous ajoutons, qu’il n’y aurait aucun ivrogne, aucun drogué, etc., en effet l’Époux trouverait tout cela et en surabondance en Son épouse !

4.H.5.j - Peut-on prétexter de la sanctification du dimanche pour fuir le devoir conjugal ?

Rappel sur la sanctification du dimanche ou jours d’obligation : Non-seulement toute œuvre servile est interdite sous peine de péché mortel, mais, Dieu veut encore que tout ce jour, le dimanche ou jours d’obligation, soit sanctifié par des exercices de religion et par la pratique des bonnes œuvres.

L’assistance à la messe en fait partie, pour autant que l’on puisse y assister raisonnablement, par ex. : église pas trop éloignée…

Saint Thomas d’Aquin – Le mariage – Tome III, Q64 : Y a-t-il obligation de rendre le devoir conjugal un jour de fête…

CONCLUSION : L’épouse a pouvoir sur le corps de son mari en ce qui regarde l’acte générateur, et réciproquement. Ils sont donc tenus de se rendre l’un à l’autre le devoir conjugal en tout temps et à toute heure, en respectant cependant la décence qui convient en cette matière, car il ne convient pas de le rendre aussitôt en Public [44].

SOLUTIONS : I. Dans cette circonstance, autant qu’il est en lui, l’époux qui rend le devoir ne consent pas au péché d’autrui ; il accorde malgré lui, et avec peine, ce qu’exige son conjoint ; aussi ne commet-il aucune faute. A cause des dangers de la passion charnelle, la loi divine demande en effet de rendre toujours le devoir à celui qui le demande, pour ne pas lui donner une occasion de péché.

2. Il n’y a pas d’heure tellement déterminée pour la prière qu’on ne puisse remplir cette obligation à un autre moment. L’objection n’est donc pas décisive.

[44] - Les théologiens, même ceux qui enseignaient qu’il y avait faute vénielle à demander le devoir conjugal un jour de fête, admettaient en général qu’il n’y avait aucune faute à le rendre. Quelques-uns exceptaient cependant le cas où celui qui le demandait ne le faisait que par passion, quelques autres exceptaient les grandes fêtes, telles que Pâques. L’opinion de S. Thomas qui veut la reddition du devoir en n’importe quel jour est actuellement universellement admise.73

Il est guère nécessaire de commenter ceci…

4.I - Autour de la célébration du Mariage

Où comment Luciabel pilote les Ecclésiastiques de l’Église catholique !

4.I.1 - Qui prend, qui est pris, qui porte l’anneau nuptial ?

Reprenons très brièvement ce qui a déjà été copieusement développé :

Comme déjà étudié, c’est l’Homme qui choisit une épouse, la femme ne fait qu’accepter ce choix, ou le décliner ; elle peut aussi susciter ce choix en étant avenante mais ce dans une totale modestie. L’Homme choisit, la femme désire être choisie ! L’Homme prend ; elle, désire être prise.

Pour : c’est l’Homme qui choisit une épouse :

DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point 3.C.4, Adam qui a tout pouvoir sur sa femme, la renomme Ève.

Pour : avenante mais ce dans une totale modestie :

DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.B.2, Avant la donation du Sacrement de Mariage, les Fiançailles.

L’Homme prend une fille en son épouse, car elle a été tirée de Lui à travers Adam. Elle n’est que femme, et a trouvé sa féminité en son Époux qui lui est complet. C’est pour cela du reste, qu’il n’y a pas si longtemps, les Maris disaient à leurs épouses ma fille, ou ma petite !

4.I.1.a - Qui est pour qui ?, qui est lié, enchaîné, et à qui ?

Reconquête !,
c’est elle qui est liée à Lui !

11,8. Car l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme ;

11,9. et l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme.74

Alors, qui est pour qui ?!, la femme pour l’homme !

Et donc dans le Mariage de dire que les époux sont également liés par le Sacrement de Mariage est faux !

Au sens premier, c’est l’épouse qui est liée à son Époux, car elle a été tirée de Lui et pour Lui.

Au sens second, que conséquemment donc, l’Homme est en effet lié à son épouse.

Saint Bernard dit du reste : C’est au jour nuptial que le nom de l’Époux devient propre à l’Épouse : ce nom désormais témoignera qu’elle est à lui.75

4.I.1.b - Faisons une digression avec cette métaphore

Voici le tableau suivant : un Homme, un chien et une laisse les relie…, que voyons-nous, qui est lié à qui ? Nous pouvons même voir, le chien étant devant, que c’est : un chien qui dirige son maître qui est en laisse !

Soyons raisonnables !, la laisse est attachée à un collier que porte le chien, et c’est le chien qui appartient à son maître qui est lié au maître par la laisse-collier. Et au sens second, effectivement le maître est lié au chien à qui il semble appartenir !

Remarquons aussi qu’il n’y a qu’une seule laisse-collier (alliance) qui attache le chien au Maître.

Remarquons qu’il n’y a pas deux liens :

1er lien : une laisse tenue par le maître et attachée au collier que le chien porte, et

2d lien : une laisse tenue par le chien et attachée à un collier que le maître porterait !

C’est donc bien le chien qui porte la laisse-collier, et non le Maître. Le Maître tient en laisse le chien qui lui est tenu !

Pour l’épouse, c’est elle qui appartient à son Maître, son Époux, et qui est liée à Lui !, et, c’est pour cela qu’elle en porte le signe, l’alliance au doigt. C’est elle qui est guidée, tenue en laisse par son Maître, son Époux !

Toutefois, en effet, l’Époux est lié conséquemment, au sens second, à son épouse.

Au sens second, les époux sont liés l’un à l’autre que parce qu’au sens premier l’épouse est liée à son Époux !

La seule différence entre le chien et l’épouse, c’est l’Âme immortelle de l’épouse ; et ainsi, c’est que la laisse pour l’épouse n’est que morale, car l’on fait appel à son intelligence, à sa conscience qui doit lui dicter son devoir de soumission en toutes choses, et qui lui est constamment rappelé par cet anneau. Veut-elle se sauver, oui ou non ?

Cette unique laisse-collier va nous être confirmée par l’unique alliance que seule l’épouse porte !

4.I.1.c - Seule l’épouse reçoit un lien, et de son Époux

Lisons trois textes touchant à l’anneau nuptial, ou alliance :

1er texte :

Tu as dit : « Elle est belle. Elle est bonne. Sous l’œil de Dieu, j’unirai ma vie à sa vie. Je mettrai à son doigt l’alliance, ce petit cercle d’or qui attache deux êtres jusqu’à la tombe ».

Tiré de : Combat de la pureté76, dudit père Georges Hoornaert

2d texte :

Le prêtre procède alors à la bénédiction de l’anneau nuptial (alliance) qu’il remet à l’époux. Celui-ci le passe au doigt (annulaire gauche) de son épouse en signe d’amour et de fidélité.

Tiré de : Catéchèse catholique du mariage77, dudit père Noël Barbara

3e texte :

Puis il bénit l’anneau :

[le prêtre procède à la bénédiction de l’anneau.]

Oraison

« Bénissez , Seigneur, cet anneau que nous même nous bénissons en votre nom. Que celle qui le portera, gardant à son époux une fidélité inviolée, demeure en paix dans votre volonté et vive toujours dans l’échange d’un mutuel amour. Par le Christ notre Seigneur • Amen. »

L’époux passe au doigt de son épouse l’anneau qui ne la quittera plus. Le prêtre bénit ce geste et appelle les grâces divines sur l’union irrévocable qui vient de se conclure.

Tiré de : Missel quotidien78, dudit dom Gaspar Lefebvre, Messe de mariage

Voyez bien dans ces trois citations il n’est question que d’un seul anneau, pour l’épouse, mis par l’Époux, pour lui montrer, à elle, qu’elle est attachée à son Époux !

Époux dont elle aura alors l’honneur de porter le nom en ayant donc dans le même temps abandonné sans retour possible celui de son Père, comme nous le rappelait ci-dessus Saint Bernard : C’est au jour nuptial que le nom de l’Époux devient propre à l’Épouse : ce nom désormais témoignera qu’elle est à lui.

Ainsi, et l’anneau témoigne de l’appartenance de l’épouse à son Époux et de même que son nouveau nom , oui !, Écoutez, ma fille, voyez, et prêtez l’oreille, et oubliez votre peuple et la maison de votre père. (4.J.1)

Vous remarquez bien que, comme le dit cette première citation, il y a qu’une seule alliance, ce petit cercle d’or qui attache deux êtres, et que Je, son Époux, mettrai à son doigt l’alliance. Cette alliance attache au sens exact et premier l’épouse à son Époux, et, que conséquemment donc, au sens second l’Époux à son épouse.

Du reste, continuons, il est écrit à la troisième citation, gardant à son époux une fidélité inviolée, voyez-vous, toujours la même importance des mots, c’est elle, l’épouse, qui, étant faite pour son Époux, doit avoir une fidélité inviolée à son Époux, et qui lui est donc marquée ici par cet anneau !

Au sens second, l’Époux doit une fidélité inviolée à son épouse, que parce que l’épouse doit, au sens premier, une fidélité inviolée à son Époux !

Et en tout, tout est bien rapporté à l’Époux, tout est bien pour l’Époux !

Plus loin, nous ferons une critique sévère de ces trois textes de fait énoncés perversement : 4.I.3, Autre sévère critique des trois textes vus ci-devant

4.I.1.d - L’alliance, cet anneau, a trois très importantes missions à remplir

Ce signe visible, l’alliance, cet anneau, est un triple garant, une triple protection, une triple forteresse, un triple rempart autour de la pureté, de la vertu de l’épouse.

1. Nous avons vu que l’alliance est le signe visible, pour l’épouse, du lien qui l’unie à son Époux. Ce signe visible doit continuellement lui remettre sous les yeux son attachement, sa sou-mission à son Époux, il doit la maintenir dans une sage et vertueuse réserve.

2. L’alliance a une autre et très importante mission à remplir, c’est de témoigner à l’extérieur, d’être le signe visible par l’extérieur que cette femme est prise, qu’elle appartient à un Homme qui en est son Maître, son Époux !

En reprenant notre dernière métaphore vue plus haut, si nous voyons un chien errant, la première chose que nous faisons, c’est bien de regarder s’il porte un collier !

Ce signe visible retient donc la femme insensée, écervelée, qui risquerait sans ce signe visible de batifoler, d’errer plutôt, en effet : Elles aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris.

DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)… ; point 7.D.3, L’épouse ne peut aucunement sortir sans permission.

3. Ce signe visible permet aussi que l’épouse honnête ne soit pas troublée par une demande ne pouvant aboutir. En effet, étant donné que c’est l’Homme qui demande une femme, et non l’inverse, ce signe visible permet à l’Homme honnête de ne point s’illusionner, et de risquer de faire un impair en pensant que cette femme peut être demandée en Mariage.

4.I.2 - Luciabel a aliéné tous les prêtres, …

tous devenus ainsi cloaques d’impureté, depuis au moins ±1846, comme l’a dit la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) à La Salette.

Proverbe latin : Quos vult perdere Jupiter dementat !

Traduction : Quand Jupiter veut perdre un homme, il lui ôte la raison !

Qui est Jupiter ?, un faux dieu !, un vrai démon donc ; c’est même le maître des autresdits dieux ou vrais démons, c’est donc, pouvons-nous, dire Luciabel en personne !, qui se présenta Lui-même ainsi : Je suis Luciabel, que vous nommez Lucifer ! […] Je suis l’éternel androgyne !

Pour : Luciabel, que vous nommez Lucifer :

Voir RH-2013-01, Sieur Luryio, absolument rien autorise l’épouse à s’affranchir, se séparer de son Époux ! ; point 1.C.1.c - 3. Le désordre est essentiellement féminin, affranchi !

Qu’est-ce que l’androgynie ?, l’androgynie est la confusion des genres Masculin et féminin, ledit passage de l’Un à l’autre appelé dans le jargon luciférien : théorie du genre, dont l’imposition a été préparée depuis des décennies par l’acceptation forcée de ce qui est positivement inacceptable : la contrenaturalité poussée à son bout, l’homosexualité qui doit être rémunérée par la mort !, préférablement dès ici-bas et très certainement en l’au-delà.

Pour : homosexualité rémunérée par la mort :

RH-2013-03, Sieur Luryio, l’épouse fidèle n’a pas de cas de Conscience ; la femme est le problème, pas la solution !

L’androgynie travaillée au forceps par l’éternel androgyne Luciabel, nous est injectée, inoculée depuis plus d’une décennie de façon si violente par ses sbires ; et ceci de fait incroyablement et objectivement préparée en sous-main depuis plus de 500 ans (Concile de Trente) par les Ecclésiastiques de l’Église catholique (EÉc) qui inventèrent l’origine lointaine de toutes ces turpitudes, devant pour remédier toujours remonter à la source : l’enlèvement du Sacrement de Mariage (SM) à l’Époux, ce pour imposer à la femme sadite libération par leurdite séparation de corps !

La confusion des genres !, plus de Mâles et plus rien que des minets, des émasculés forcément indominateurs79, soit même plus femelles ; qui elles, dans le même temps, sont enférocées à blanc par leurs souteneurs maléfiques devant de toutes les façons être soutenues ; soit plus rien que des épaves !, des métis du sexe, en révolte contre la création de Dieu : Dieu créa donc l’homme à Son image ; Il le créa à l’image de Dieu, et Il les créa mâle et femelle. (Gn 1,27)

Pour : des émasculés forcément indominateurs :

Contrairement à leur mission de Droit divin ainsi rappelée par Saint Paul : Je ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme (I Tim. II, 12).

En effet, il faut fatalement que l’un domine sur l’autre, la nature ayant horreur du vide, ici du vide d’Autorité. Si donc l’Homme ne domine pas la femme alors Il est immanquablement, fatalement dominé par elle, ce conformément à ce texte : Malheur à l’impie, pour sa ruine, car il lui sera fait selon l’œuvre de ses mains. Mon peuple a été dépouillé par ses oppresseurs, et des femmes ont dominé sur lui. Mon peuple, ceux qui te disent bienheureux te trompent, et ils détruisent le chemin par où tu dois marcher. (Is 3,11-12)

Mais le plus cocasse, si l’on peut ainsi parler, c’est que la femme ne pouvant qu’être dominée, Loi infrangible de la nature, et nécessité donc pour elle qui ne peut congénitalement se diriger, c’est que forcément elle est sous la domination d’un autredit homme ayant occupé (squatté pour les défrancisés) la place libérée uniquement par la défection forcée (par des Prêtres, Juges, Police, Assistantes sociales, etc.) de son Homme légitime (Père, Époux, Frère, etc.) ; et ce donc non pour son bien ou pour sadite libération que l’on a fait miroiter devant ses yeux ainsi captés, mais par son authentique et atroce et infernal esclave pour le compte de Luciabel, le corrupteur des sexes et des races, et de toute chose !

Voilà la très juste Vengeance divine en réaction à la contrenaturalité, et il n’y a que des femmes, forcément stupides si débridées par leurs Hommes dramatiquement incompatissants, pour faire de telles choses :

→ Un fait : États-Unis. Un journaliste du Denver Post licencié par des femmes pour avoir écrit qu’il n’y avait que deux sexes

→ L’antidote : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)… ; point 6.C.5.a, S’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner !

Révolte humaine telle où une gonzesse complètement désarticulée par son manipulateur peut dire : Je suis né (et non née) dans un corps de fille, apparemment car qu’est-ce que cela prouve ; et, demain je ferai rectifier ceci en me faisant transformer en mec (ce aux frais de la société prise en otage) ; en mec que je prétends (dans ma révolte donc) être, mais sans les travers de sale macho grâce à mon dieu Luciabel ; et, plus-tard je pourrai être enceinte par insémination (ce aux frais de la société prise en otage) comme une grosse coche (femelle du cochon80) l’est d’un verrat (cochon non castré), qui sera en mon cas je l’exige un inconnu au bataillon, du machin dont je serai le père ; et, la mauviette d’émasculé que j’ai fait transformer en femelle (ce aux frais de la société prise en otage), et avec qui je vis pour l’instant, sera sa mère ! ; et, lorsque cette chose naîtra, dégueulasse cochonne que je suis, je lui imposerai le sexe de ma turpitude du moment (ce aux frais de la société prise en otage).

Toutes nos décadences actuelles, religieuses ou civiles (sociétales comme l’on dit bêtement maintenant), viennent exclusivement et très fatalement de la féminisation de nos sociétés, soit de ladite libération de la femme !

Les plus visibles sont au niveau des mœurs :

– destruction des familles, par les femmes exclusivement ;

Nous écrivons souvent : c’est la femme qui le demande (80%) ou l’instigue (20%) !, voyez notamment DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point 10.B.3.h - C’est soit une trahison, ou soit une trahison !

– homosexualité, et son corollaire fatal qui est l’exploitation sexuelle des enfants, notamment ;

– meurtre des enfants, fait uniquement des femmes libérées, leur responsabilité étant : – avant la naissance à 100%, et – après la naissance à 100 % encore ! ; ce donc : au grand minimum à 70% par action directe et le reste par incitation.

Pour : grand minimum à 70% par action directe :

Désolé, ce n’est point nous, les vrais Hommes vraies victimes de la méchanceté de la femme révoltées, qui sommes obsédés, c’est les faits qui sont misogynes !, lisez la presse officielle qui ne peut être taxée de parti pris, ou alors remettez vos têtes dans le sable de l’obstinée négation, regardez : CRIMINOLOGIE Selon une étude de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), publiée ce mercredi, 70 % des condamnations pour homicide sur mineur de moins de 15 ans sont des femmes…81

Et tout faux-fuyant ou dédouanement, forcément stupide, ou très féminin osons-nous dire, ne changera rien à la réalité : la libération de la femme oudit matriarcat égale, forcément !, la mort ; le Patriarcat égale la vie !

Le Patriarcat est l’organisation par excellence, divine donc, de la Famille :

CN-2011-05, Site ‘Réponses catholiques’ – Vous persistez à vous prétendre catholiques !, alors poursuivons… ; point 5.B.3.j - Église et État féminisés, tuent tous les jours ; le Patriarcat, jamais !

Avec profit nous engageons fortement à lire aussi ceci : CN-2009-20, La force publique, en 1823, assistait l’Époux voulant récupérer Ses enfants volés par Son épouse !

Oui, répétons-le, ces malheurs prennent leur très unique racine ici, ce donc préparé comme dit par les EÉc : Malheur à l’impie, pour sa ruine, car il lui sera fait selon l’œuvre de ses mains. Mon peuple a été dépouillé par ses oppresseurs, et des femmes ont dominé sur lui. Mon peuple, ceux qui te disent bienheureux te trompent, et ils détruisent le chemin par où tu dois marcher. (Is 3,11-12)

Dite libération de la femme, son infernal asservissement = enchaînement de l’Autorité maritale de Droit divin = divorce civil ou séparation de corps qui est le divorce ecclésiastique = enfants modifiés intellectuellement par le lavage de cerveaux de la République radicalement anti-chrétienne et sexuellement par ses monstrueux bricolages ce en vue de pédophilie pour le moins ! = destruction totale du divin plan d’Amour !

Vous allez voir maintenant que ces EÉc ne font pas dans la demi-mesure, dans la dentelle, lorsqu’il s’agit de tromper !

4.I.2.a - Texte totalement aberrant que nous allons étudier

Dans votre missel vous avez certainement ce texte à la rubrique La messe de mariage, passons tout de suite à cette partie :

Le consentement.

Puis, aux fiancés debout devant lui, il [le prêtre] demande solennellement, en les appelant par leur nom de baptême et de famille.

« N., voulez-vous prendre pour légitime épouse N. ici présente, selon le rite de notre mère la sainte église ? • R. oui, je le veux. »

« N., voulez-vous prendre pour légitime époux N. ici présent, selon le rite de notre mère la sainte église ? • R. oui, je le veux. »

Le prêtre confirme l’engagement dont il vient d’être témoin ; il invite les époux à se donner la main droite et dit :

« Je vous unis par le mariage au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen. »82

Notons que dans la citation que nous venons de lire, il y a cinq paragraphes (§), hors le titre : Le consentement.

4.I.2.b - Aberration, quant à la chronologie

Dom Gaspar Lefebvre est en pleine confusion toute démoniaque, étudions les 4ème et 5ème § où Il dit :

→ 4ème § : Le prêtre confirme l’engagement dont il vient d’être témoin… ; ce qui veut dire que le SM vient d’être réalisé, qu’Il est donc déjà réalisé !, il dit bien, le prêtre, vient d’en être témoin.

→ 5ème § : Puis, juste après, ensuite donc : Je vous unis par le mariage…, ce qui veut dire très exactement qu’Il prétend réaliser le SM !

Dom Gaspar Lefebvre est vraiment troublé par la femelle Luciabel, Il prétend réaliser un Mariage qu’il ne peut de toutes les façons réaliser (§ 5) alors qu’il vient tout juste de constater qu’Il était déjà réalisé (§ 4) !

Une telle confusion mentale quant à la chronologie des événements que le missel cite, prouve l’action du démon sur ces prêtres, tel Dom Gaspar Lefebvre.

4.I.2.c - Aberration, le prêtre demande solennellement

Ceci reprend largement ce que nous avons vu précédemment (4.B83), bien que, Dom Gaspar Lefebvre dit :

→ 1er § : Il, le prêtre, demande solennellement, mais de quoi je me mêle ! Pourquoi est-ce le prêtre qui demande, et de plus solennellement ? Nous sommes en plein accaparement, captation du SM, et en effet ledit Droit canonique confirme la captation ainsi : Sont seuls valides les mariages qui sont contractés devant le curé ou l’Ordinaire du lieu, ou un prêtre délégué par l’un d’entre eux, et devant deux témoins, selon les règles exprimées dans les canons qui suivent, et sauf les exceptions formulées aux Can. 1098-1099.84

Le Mariage est contracté par qui ?, par le prêtre ?, non !, par les époux seuls, et rien que par eux seuls !

Est-ce le prêtre qui a fait la demande en Mariage auprès de la demoiselle ?, non, c’est l’Homme !

Pourquoi donc Il, le prêtre, demande ?, pourquoi donc Il, le prêtre, demande de surcroît solennellement ?, pour laisser penser solennellement qu’il est acteur, et visiblement acteur indispensable, et même objectivement acteur principal, et même ensuite acteur exclusif du SM !, en effet il a eu l’impudence, le culot de dire : Je vous unis par le mariage (4.F.I).

Non, le prêtre n’est que et rien que le témoin pour l’Église, comme les deux autres témoins le sont, l’un pour l’Homme, l’autre pour la demoiselle !

Pourquoi donc Il, le prêtre, demande ?, l’Homme ne sait pas poser la question ?, alors qu’Il sut la poser lors de sa demande en Mariage !, que l’on appelle du reste déclaration !

Pourquoi donc, il, le prêtre, demande à la femme, et ainsi la viole, car le prêtre ne doit pas parler à une femme, comme nous l’avons déjà vu et le verrons bien copieusement ensuite ? La demoiselle épouse-t-elle le prêtre ?, répond-elle à sa demande en Mariage ?, ou bien répond-elle à la demande en Mariage de l’Homme ?

Répétons, c’est l’Homme qui demande la demoiselle, devant le prêtre témoin de l’Église et devant les Hommes témoins des époux : Voulez-vous m’épouser devant Dieu et les Hommes ?

Pour : Répétons, c’est l’Homme qui demande :

Voir : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.B.4, Revenons maintenant à la vraie conclusion de cette transaction.

Pour : devant les Hommes témoins des époux :

Seuls les Hommes, et donc jamais les femmes, peuvent témoigner, voir : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)… ; point 5.B.4, L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne…

Continuons, et voyons si ce que nous nommons accaparation85 du Mariage, plus qu’une invective malheureuse, n’est point une exagération ou même une pure calomnie, ou-bien très effectivement une volonté organisée des EÉc d’établir un Mariage à trois contractants, trois acteurs…

Pourquoi, le prêtre ayant été appelé en la Maison de l’Homme, ne demanderait-il pas : Untel, pourquoi m’avez-vous demandé de venir en ce jour ?

Ce à quoi l’Homme répondrait : Je vous ai demandé de venir pour que vous soyez témoin pour l’Église, du Sacrement de Mariage que je vais proposer à Unetelle, ici présente.

Ensuite, ceci fait, se tournant alors bien vers la demoiselle afin d’établir aucune confusion, viendrait la formulation de la question de l’Homme : Unetelle, ici présente, voulez-vous être ma femme devant Dieu et les Hommes, à laquelle, bien tournée vers Lui, la demoiselle répondrait par un Oui franc ou un Oui je le veux bien tout aussi franc, ou un non le cas échéant…

4.I.2.d - Quels sont les ministres du Sacrement de Mariage ?

Q. Quels sont les ministres du sacrement de mariage ?

R. L’homme et la femme qui s’épousent sont eux-mêmes les ministres du sacrement.

Q. Le prêtre présent à la cérémonie n’est donc pas le ministre du sacrement de mariage ?

R. Non. Sa présence, par la volonté de l’Église est nécessaire à la célébration du mariage, tellement nécessaire que, sans elle, l’engagement pris par les fiancés serait non seulement illicite, mais invalide. Il n’en est pas moins vrai que le prêtre n’est pas le ministre de cet auguste sacrement (Concile de Trente, sess. XXIV, Décret de la réforme du mariage.)86

Nous avons bien lu, ceci est bien clair, le prêtre présent à la cérémonie n’est pas du tout le ministre du Sacrement de Mariage !

Par contre, en effet, le Mariage serait non seulement illicite, mais invalide, hors la présence du témoin de l’Église, comme il le serait hors la présence des témoins de l’Homme et de la demoiselle. Ces trois témoins sont indispensables.

Pour les non-chrétiens se donnant le Sacrement de Mariage, seuls deux témoins suffisent : celui de l’Époux et celui de la demoiselle, et plus selon la juste coutume locale.

De fait, non par désir d’évincer l’Église, bien loin de nous ceci, ne rendons pas la mal pour le mal, mais le Mariage peut être licite et valide, entre deux chrétiens, et ce, sans présence du prêtre, si celui-ci ne peut être là dans un délai raisonnable, moins d’un mois (cf. pendant plus de 400 ans au Japon, entre catholiques)…

Même, et pour quiconque, l’absence de ces deux témoins ne rendra pas le Mariage invalide, par ex. deux naufragés, libres quant au lien matrimonial, et désirant sur leur île s’unir, sans attendre un hypothétique sauvetage, ce sous le Regard de Dieu.

4.I.2.e - Pie XII dit exactement la même chose de ces ministres

Chers nouveaux mariés, vous échangiez, il y a quelques jours, sous le regard de Dieu et en présence du prêtre, vos solennels et libres engagements ; devenus vous-mêmes les ministres du grand sacrement que vous receviez, vous vous engagiez à une indissoluble communauté de vie87.

Le Pape confirme bien que c’est vous, les époux, qui échangiez [vos solennels et libres engagements] en présence du prêtre, qui n’est que témoin et non acteur, et que vous êtes devenus vous-mêmes les ministres du grand sacrement de Mariage…

Le prêtre doit être présent comme témoin et, excusez le mot, mais trop c’est de trop, et : il la boucle ! Et en sa présence le Mariage est réalisé par l’Homme qui propose le Sacrement et la demoiselle qui permet le Sacrement par son Oui !

Le prêtre n’a pas à toucher, à capter le Sacrement de Mariage. Il n’a pas à laisser penser qu’il serait pour quelque chose dans ce Sacrement. Le prêtre, sans ornement spécial, doit être à l’arrière, et bien ouvrir ses oreilles comme simple témoin qu’il est, ce uniquement pour pouvoir ensuite témoigner comme quiconque.

4.I.2.f - Aberration, le prêtre prétend être le ministre du Sacrement

Nous avons vu en premier l’erreur gravissime quant à la chronologie de leur verbiage satanique, voici maintenant l’analyse de ces paroles de serpents.

Nos détracteurs, et mauvais prêtres nommés solennellement cloaques d’impureté par la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) à La Salette, nous avons écrit analyse et non ergotage ou chicanerie ; voyez le mal où il existe et non en les dénonciateurs où il n’existe pas ! Qu’ils viennent, ces porteurs de paroles de serpent, nous contredire courageusement afin que nous puissions publiquement les démasquer encore plus, que nous puissions leur arracher entièrement leurs vêtements de brebis (NSJC) afin de révéler les loups qu’ils sont !

Pour : nommés solennellement cloaques d’impureté :

DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique. ; point 9.C, Les mauvais prêtres, accablante majorité avant Vatican II…

Idem ; point 9.C.13, ±1846 - La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette.

Pour : ces porteurs de paroles de serpent :

DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)… ; point 7.B.6, Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie XII à la femme.

Oui, Quand Luciabel veut perdre un prêtre, il lui ôte la raison !, vous avez bien lu Je vous unis par le mariage au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen (§ 5), alors que juste avant Le prêtre confirme l’engagement dont il vient d’être témoin, (§ 4).

Reprenons, comme vu précédemment ce sont les fiancés qui se donnent le Sacrement de Mariage ! Qui s’unissent eux-mêmes et par eux-mêmes et pour eux-mêmes, ce de Volonté divine, par ce Sacrement tout autant naturel que chrétien !

Nous savons que le Sacrement de Mariage appartient uniquement, exclusivement aux époux ! Et nous savons que ce Sacrement, c’est les époux qui se le donnent. Du reste, le comble c’est que Dom Gaspar Lefebvre le dit bien puisqu’il dit au 4ème§ : Le prêtre confirme l’engagement dont il vient d’être témoin

Nous avons bien lu, Dom Gaspar Lefebvre dit bien :… confirme [ce dont] il vient d’être témoin… Or, s’il est témoin, c’est qu’il n’est pas acteur ! Il, le prêtre, n’est que le témoin de l’Église !

Dom Gaspar Lefebvre confirme bien que c’est quelqu’un d’autre qui a généré le Sacrement, et aussitôt après il dit au 5ème§ : Je vous unis par le mariage…

Dom Gaspar Lefebvre connaît-il le poids des mots, sait-il que des mots peuvent plomber, tuer la Vérité ?

4.I.2.g - Tant d’aberrations prouvent le sabotage de la Famille par l’Église

Nous ne cessons de rappeler que lorsque nous disons l’Église il s’agit de fait des Ecclésiastiques de l’Église catholique (EÉc), évidemment ! ; l’Église Elle-même, étant l’Épouse de Notre-Seigneur Jésus-Christ (NSJC), est immaculée. Ainsi lorsque la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) dit, comme vu plus haut, à La Salette que les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté, il s’agit bien de ces pervers de prêtres, et non de l’Église qui ne peut devenir cloaque d’impureté !, ceci étant confirmé si besoin était par Saint Vincent de Paul qui a dit, voir plus bas : l’Église, qui va ruinée en beaucoup de lieux par la mauvaise vie des prêtres ; car ce sont eux qui la perdent et qui la ruinent…

Pour : [référence à La Salette & St Vincent de Paul] :

St Vincent de Paul : DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique ; point DP-9.C.7, ±1655 - Saint Vincent parle des mauvais prêtres.

La Salette : DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique. ; point 9.C.13, ±1846 - La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette.

Cessons de pratiquer la langue de bois !

Qui a provoqué ces quelques drames uniquement :

→ 1600 au moins

– Qui a provoqué le recul général de l’Église à travers tout le monde ?, demande notamment Saint Vincent de Paul.

– Les EÉc, voire Pape en tête !, lire tout DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique.

→ 3 mars 1793 - 18 janvier 1800

– Qui, non seulement n’a pas aidé, mais a livré de facto les Vendéens aux sbires de la finance apatride, identifiable mais innommable, cachés derrières les loges Francs-maçonnes ?

– Les EÉc en général, Papes en tête, qui gênés regardaient vicieusement ailleurs, au lieu de lancer le reste de l’Europe dans une très-sainte croisade contre les vrais envahisseurs innommables présentement !

→ 1892

– Qui a prôné, avec drastiques menaces d’excommunication, le ralliement à la Ripoublique de Luciabel ?

– L’Église avec Léon XIII en tête.

→ 1926

– Qui a condamné, fort arbitrairement et opportunément pour la Ripoublique, l’Action française ?

– L’Église, avec Pie XI.

→ 1926-29

– Qui a lâché puis désarmé les Cristeros ?, ce avec menace d’excommunication !

– L’Église !, Pie XI en tête, faisant prudemment endosser cela par les larbins !

→ 1962-65

– Qui a organisé l’apostasie de Vatican II ?

– L’Église !, avec Papes en tête !

→ 1545-1563

– Qui a détruit positivement la Famille ?, sciemment ou pardite ignorance ? Voici ce que le Saint Curé d’Ars disait : Ô mon Dieu ! que l’ignorance damne du monde.88

– Les EÉc lors de leur Concile de Trente, qui après un long travail souterrain mirent enfin le couvercle sur le Sacrement de Mariage, Ils finalisèrent sa captation en plaçant leur mine redoutable appelée malicieusement séparation de corps !

Ce n’est pas le prêtre, accapareur en ce cas, et ni de loin et ni de près, qui est ministre du SM ; SM qui de plus existe de tout temps, ayant été institué par Dieu le Père même en l’Éden ou Paradis terrestre !

Mensonge donc, confusion fatale qui permettra plus tard à l’épouse, en qui on a insufflé fielleusement l’idée que ce Sacrement était généré par l’Église et que le prêtre en était le ministre, le garant, le législateur, d’opposer à son Époux, ladite cocasse sagesse du prêtre !

Avec de telles contradictions internes prouvant une confusion mentale toute démoniaque révélée notamment par l’erreur de chronologie, il vient d’être témoin et je vous unis, qui disent sans avoir l’air de le dire, et la chose et son contraire, simultanément et oui et non89, avec de telles paroles de serpent (Pie XII), ces faux prophètes, qui viennent à vous sous des vêtements de brebis, mais qui au dedans sont des loups rapaces (Mat 7, 15), ces prêtres corrompus, véritables cloaques d’impureté (La Salette), ont fait entrer de la pauvre petite tête des épouses, que l’avis du prêtre, fatalement violeur dans ces cas-là, aurait non seulement la primauté, mais même l’exclusivité de l’Autorité en la question du Mariage.

Alors que le prêtre n’a rien à dire, et ni de près et ni de loin, sur cette question-là ! Après de telles paroles, l’Époux n’est plus que géniteur dans le meilleur des cas, mais toujours avec droit de regard du prêtre jusque tout au fond du lit conjugal !

Ne trouvez-vous pas que ce que nous venons de découvrir à de quoi fortement nous préoccuper ?

4.I.3 - Autre sévère critique des trois textes vus ci-devant

Les trois textes vus précédemment comportent des faussetés mortifères que nous avons remarquées après une relecture sérieuse, pouvons-dire mot à mot ; voyons cela :

4.I.3.a - 1er texte, ou essais sur l’éternité du lien matrimonial

Relisons la partie qui nous intéresse, tirée de ce 1er texte étudié, ensuite dénonçons, corrigeons !

Fausseté : ce petit cercle d’or qui attache deux êtres jusqu’à la tombe !

Tiré de : Combat de la pureté90, dudit père Georges Hoornaert

Vérité : ce petit cercle d’or qui attache deux êtres éternellement !

Nous-même avons répété cette affirmation dans tous nos documents, et nous corrigerons au fur et à mesure de nos relectures entreprises : l’on est marié jusqu’à mort nous sépare !, répété parce que tant et tant lancinement répétée par d’autres et ce depuis si longtemps !

Cette affirmation nous heurtait naturellement, intuitivement, mais ne pouvant tout faire, ayant tellement de choses à redresser quant-au Sacrement de Mariage (SM), et ne voyant point que cela était prioritaire, nous avions mis à plus tard notre réflexion.

Ayant parlé dudit remariage pour les veuves, avec un commenteur et Ami, il y a un an environ, et dans la foulée de la polygamie dont nous avons déjà bien dit sur notre site ; et passant notre temps à réfléchir, méditer et prier, ce qui nous heurtait naturellement, intuitivement, en vint à nous heurter intellectuellement !, d’où cette extension…

Pour : polygamie dont nous avons déjà bien dit :

→ CN-2012-01, Tous cesdits bien-pensants, Civitas et Cie, tous sacrilèges !, subversifs. ; point 1.C.3 - 2de tromperie, la polygamie serait donc pire que l’homosexualité !

→ RH-2015-01 - Cher Sieur Jean Mahezic, l’Époux-Père est l’Image la plus noble de Dieu le Père !; point 1.C.2 - Il rentre de Son devoir, et entend être délicieusement servi !

4.I.3.b - L’Amour se révolte en entendant le mot séparation

Il faut avouer que les EÉc sont les champions de la séparation ou destruction, ils sont les inventeurs de ce mot destructeur :

– ici, jusqu’à ce que mort vous sépare : ce petit cercle d’or qui attache deux êtres jusqu’à la tombe ;

– , séparation de corps prétendument permise par ces EÉc et donc imposée à l’Époux, ce en opposition frontale à ce qu’a dit NSJC : Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. (Mat. 19, 5-6.), ceci ayant du reste ouvert la porte toute grande au divorce républicain ;

– ailleurs, séparation de l’Église et de l’État dont ils sont de fait les initiateurs et applaudisseurs !, et pour le moins par silence acquiesçant et même approuvant ; etc.

Si l’on aime saintement son épouse, l’on ne se voit pas séparé d’elle par la mort !, ceci nous heurte bien fort ; et, d’elle évidemment l’on attend par sainte jalousie pour le moins la même chose !, et, l’on verra que ceci n’empêche par l’Époux de contracter un autre Mariage (polygamie consécutive ou successive), mais que ceci est une confirmation, comme nous l’avons affirmé de nombreuses fois, que jamais une femme ne peut prétendre convoler en une autredite juste noce, ne le pouvant que pour une, devant être vierge pour ce, soit n’ayant jamais été mariée !

Pour : l’on attend par sainte jalousie pour le moins :

Saint Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église, en parlant de la Sainte-Jalousie, de la Sainte-Colère, dit que Les maris sont animés d’un zèle ardent contre ceux qui chercheraient à leur disputer le cœur de leur femme, qu’ils veulent posséder exclusivement et tout entier !

Repris de RH-2013-03, Sieur Luryio, l’épouse fidèle n’a pas de cas de Conscience ; la femme est le problème, pas la solution ! ; point 3.B.5 - Le pervers de prêtre voulant jouir… de la Direction spirituelle de l’épouse.

Voir aussi DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II)… ; point 8.E.10.a - Saint Augustin : La bonne épouse craint son Époux !, et la mauvaise bien différemment !

Si l’on réfléchit un peu, cette affirmation, jusqu’à mort nous sépare, nous frappe par son mensonge de fait !, voyons-le :

4.I.3.c - Prenons ceci par la bande, alors, au Ciel

Réfléchissons quelque peu, si au Ciel le lien du Mariage ne subsiste pas selon la méchanceté des EÉc : ce petit cercle d’or qui attache deux êtres jusqu’à la tombe, donc plus d’Époux et ni d’épouse, donc en toute logique tout ce qui découle de ce lien primordial est de même anéanti : plus de Fils ou fille, et donc plus de Père ou mère !

Cette affirmation, ce bourrage de crâne est de fait inventé et lancinement répété par les EÉc, ce en se basant vicieusement ou fielleusement sur une parole de NSJC : à la résurrection, les hommes ne prendront pas de femmes, ni les femmes de maris ; mais ils seront comme les Anges de Dieu dans le Ciel. (Mat. 22, 30)

Or, et nous l’affirmons, ceci ne veut point dire que le lien matrimonial contracté sur terre sera dissous, mais que l’on n’en contractera plus un nouveau ou premier au Ciel !, et que la jouissance des liens réalisés sur terre sera sublimée au Ciel ; chose que ces EÉc ferait bien d’étudier pour peut-être donner une meilleure réponse qu’ici.

4.I.3.d - Si !, jusqu’à mort nous sépare, posons-leur alors la question

→ Au Ciel, Saint Joseph est-Il toujours l’Époux de la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) !?,

oui !, donc le lien matrimonial subsiste !, il n’est point rompu par la mort !

→ Au Ciel, la TSVM, est-Elle toujours la mère de Dieu le Fils ?,

oui !, donc le lien matrimonial dont découle le lien filial ne peut que subsister, il n’est donc pas rompu par la mort !

→ Au Ciel, NSJC est-Il, de même, toujours le Fils de la TSVM ?,

oui !, donc le lien matrimonial dont découle ce lien filial ne peut que subsister !, il n’est point rompu par la mort !

→ Au Ciel, Saints Joachim et Anne sont-ils fêtés séparément ?, ou ensemble comme parents de la TSVM ?,

oui !, donc le lien matrimonial origine du lien filial subsiste bien après la mort !

→ Au Ciel, etc., etc., etc.

4.I.3.e - Pour les EÉc de maintenir que la mort sépare les époux

La clientèle féminine est facile à manipuler, congénitalement inconstante et rebelle, elle ne cherche qu’une chose, et ce sans discontinuer depuis Ève et son péché mortel ou faute originelle, c’est de s’éloigner de son Homme !, et pour ce elle cherche à l’extérieur un soutien à son opposition à Lui !

Depuis Ève cherchant appui auprès du séducteur en chef, le serpent ou Luciabel, les épouses dites bonnes et les mauvaises surtout, et non les très-très rares vraies, cherchent maladivement ou frénétiquement appui auprès des suppôts de Satan : les EÉc qui disent pouvoir les diriger et entendre leurs confessions !

Or, toutes les religions, et particulièrement La vraie, sont affaires d’Hommes, aussi tout clergé s’insinuant, s’infiltrant en la Famille, ce pour séduire et capter avec ses paroles fielleuses de serpent l’épouse notamment, est ennemi de tous les Hommes. Le clergé de l’Église catholique est totalement efféminisé, en effet plus l’on devait être haut et plus rude et profonde et infernale est la chute !

Pour : Église catholique est totalement efféminisé :

L’Église, de fait les EÉc, a commencé à draguer nos femmes, véritable racolage sous couvert d’évangélisation, ce dès avant le Concile de Trente ; femmes qui sont évidemment plus facilement évangélisables parce que très influençables, instables, soit aucune réflexion et rien que de l’émotion nombrilisée, voyez le renvoi où nous disions alors : L’Église, par sa féminisation intellectuelle et morale, par sa fornication : est la seule responsable de sa chute.

Renvoi : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4K4, Certainement par l’éviction du Chef de Famille, l’Église a reculé partout !

Voyez aussi : CN-2010-05, Le christianisme moderne, féminisé ! celui de la Tradition, non ?

Pour : racolage sous couvert d’évangélisation :

Suffisamment en nos documents nous prouvons, et dénonçons l’inverse donc, que toujours l’Église commençait par la tête pour convertir un peuple : par le Prince. Mais, il est vrai qu’il existe de nombreux cas contraires et scandaleux…

Toutefois, en la Famille ceci est net et précis, par exemple l’Église interdisait de baptiser des enfants à l’encontre de l’Autorité paternelle, et les violations d’une telle règle ont produites de nombreux scandales.

Ainsi, l’épouse étant au rang des sujets de l’Époux, rien qu’un simple effleurement intellectuel de l’épouse pour une prétendue évangélisation est positivement son viol, et viol de l’Autorité maritale tous aussi infrangible qu’inaliénable, inamissible qu’inabdicable. Seul l’Époux, de Droit très divin, est habilité par donc le Seigneur Dieu à enseigner Son épouse, et toute Sa Maison !

DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point 7.B.3.b - La dépendance infrangible de la femme, une jouissance pour elle et pour Lui !

Pour : soit aucune réflexion et rien que de l’émotion :

Voilà comment une femme agit avec les prêtres pour leur faire gober toutes ses manigances et sesdits cas de conscience, eux qui nous les détournent, alors que seuls nous sommes de par Grâce divine habilités à les gouverner, et voilà comment ces rouées91 les mènent, eux, ces EÉc, qui nous les ont captées :

→ Sainte Thérèse mettait en garde son Provincial, le P. Gratien, dans une lettre du 1er septembre 1582 : « Tenez, mon Père ! Souffrez que je vous donne un avis : c’est de ne jamais vous fier à des femmes… lorsque vous verrez de la vivacité dans leurs désirs, car leur envie de réussir leur fera imaginer cent mauvaises raisons, qu’elles croiront admirables »

Voir : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)… ; point 6.F.2.d - Sainte Thérèse d’Avila : la malhonnêteté de ses larmes.

→ Défie-toi des ensorceleuses : de leurs sourires, et aussi de leurs larmes. C’est leur stratagème. Cela leur coûte si peu, ces larmes ! Quand un homme en verse, c’est son âme qui pleure. Quand une femme en verse, souvent, ses yeux seuls se mouillent. Elle pleure (pas de trop, du reste, pour ne pas enlever le fard) et, de ces pleurs faciles et sans conséquence, elle sort plus fraîche, comme une pelouse après une fine ondée si légère.

Voir : Idem ; point 6.F.2.f - L’honnêteté féminine, ses sourires et ses larmes.

Pour : capter avec ses paroles fielleuses de serpent :

Textes s’appliquant si bien à ces prêtres :

→ Saint Paul : Quant à moi, je sais qu’après mon départ s’introduiront chez vous des loups ravisseurs qui n’épargneront pas le troupeau.

→ Pie XII : Prenez garde à ces paroles de serpent, de tentations, de mensonges.

De flatter une femme ne pensant qu’échapper à son Autorité (Père, Époux, Frère ou Tuteur), qui ne cherche qu’un contre-pouvoir, c’est si facile !, il suffit de fredaines (d’où les cloaques d’impureté de la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) à La Salette)) et l’on remplie les églises d’écervelées bien cornaquées, et l’on vide l’Église en ce même temps, comme le disait Saint Vincent de Paul au milieu d’une moultitude d’autres dont NSJC : l’Église, qui va ruinée en beaucoup de lieux par la mauvaise vie des prêtres ; car ce sont eux qui la perdent et qui la ruinent ; et il n’est que trop vrai que la dépravation de l’état ecclésiastique est la cause principale de la ruine de l’Église de Dieu.

DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique. ; point 9.C - Les mauvais prêtres, accablante majorité avant Vatican II…

De convaincre un Homme, alors il leur faut travailler, étudier, argumenter, et cela demande un effort notamment pour mettre leur propre vie en concordance avec ce qu’ils disent !, cela remplirait sainement, honnêtement les églises, et saintement l’Église ; et, en effet, au lieu de constater que dans les églises il n’y avait que des femmes, et suite fatale maintenant même plus !, Église efféminisée, l’on verrait qu’elles sont remplie d’Hommes dans l’ombre desquels l’on pourrait apercevoir en y regardant bien donc, étant bien plus petites et bien humblement mises : leurs femmes (filles, épouses, sœurs) !

Pour : leur propre vie en concordance avec ce qu’ils :

Texte si troublément applicable aux EÉc : Observez donc et faites tout ce qu’ils vous disent ; mais n’agissez pas selon leurs œuvres, car ils disent, et ne font pas. Ils lient des fardeaux pesants et insupportables, et ils les mettent sur les épaules des hommes ; mais ils ne veulent pas les remuer du doigt. (Mat 23, 3-4)

DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique. ; point 9.A.5 - Tout dignitaire religieux, même d’une autre religion…

Il y a si longtemps, certains disaient encore mais ne faisaient pas !, maintenant ils ne disent même plus ; et pire, ils disent presque toujours carrément le contraire, par exemple : vous pouvez vous séparer de corps, et ce que rapporte Saint Mathieu dans son enthousiasme effréné n’est pas du tout ce que voulait dire NSJC : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point !

Voir : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; points :

→ 10.B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare !

→ 10.C, L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…

Pour : mais ils ne veulent pas les remuer du doigt :

RH-2015-04 - Cher Sieur Jean Mahezic, vous répondre quant-à la vocation religieuse !, point 4.D.1.a - Le frustratoire célibat des prêtres, raison de leur haine du SM ?!

4.I.3.f - La mort ne brise pas mais sublime le lien matrimonial

Au Ciel tout ce que nous aurons fait de bien sur terre sera magnifié, sublimé.

Pour les sauvés, tous les sept (7) sacrements subsisteront en la Vie éternelle, au Ciel, par leurs effets, mais, plus un ne sera donné :

→ Le Baptême, l’on dit sauvé parce que baptisé et justifié, subsistera donc, mais plus un ne sera donné !, et ce même en enfer évidemment !

→ L’Eucharistie subsistera, ne dit-on pas Jésus-Hostie, mais plus une messe ne sera dite et consécration ne sera faite, ni Hostie donnée, étant éternellement en possession de notre Dieu.

→ La Confirmation subsistera, en effet nous serons entièrement baignés, irradiés par le Très-Saint-Esprit (TSE).

→ le Sacrement de pénitence subsistera en ses effets, sinon nous ne serions point au Ciel, mais plus une absolution ne sera évidemment prononcée, le péché étant définitivement détruit.

→ L’Extrême-onction subsistera en ses effets, sinon nous ne serions point au Ciel !

→ Le Mariage, mariés pour l’éternité, subsistera, mais plus Un ne sera donné.

→ La Prêtrise subsistera, prêtre pour l’éternité, mais ne sera plus donnée, et utilisée : plus de messe et consécration, etc.

Ainsi donc nous constatons, et avons constaté ceci particulièrement avec la Très-Sainte Famille, que le SM subsiste bien au Ciel, en effet s’il n’était point sacré (sacrement), alors il serait profane ! et pourrait en effet être profané par la mort finalement !

Et ces EÉc paonnent orgueilleusement, faisant la roue ils braillent ou craillent qu’ils sont prêtres pour l’éternité, et en leur haine viscérale et pathologique du SM, ils disent, à vous les mariés : votre SM subsiste jusqu’à ce que mort vous sépare, comme nous l’avons vu : ce petit cercle d’or qui attache deux êtres jusqu’à la tombe, soit donc jusque ce que mort vous sépare, selon Eux !

Paonnent : Paonner : étaler ses plumes comme le paon» (1616, François de Sales), «se montrer vaniteux»92

Qu’Ils attendent rien qu’un peu, et toute l’éternité Ils auront loisir de tourner en rond en chantant infernalement, déhanchément, en se trémoussant nécessairement le derrière au son des tam-tams de Luciabel, Ils vociféreront éternellement : Tous ensemble, tous ensemble !, ouais !, ouais !, nous sommes tous des cloaques d’impureté !

Pour : leur haine viscérale et pathologique du SM :

RH-2015-04 - Cher Sieur Jean Mahezic, vous répondre quant-à la vocation religieuse !, point 4.D - La pathologique haine du Sacrement de Mariage des EÉc !

Pour : vociféreront : Tous ensemble, tous ensemble :

CN-2012-02, Le Salon Beige : Défoncer la Famille par le féminisme et le sodomisme ! ; point 2.B.2 - Desdits Catholiques, grands promoteurs de la sodomie !

Au fait, jusqu’à ce que mort vous sépare, poursuivons :

→ énoncée des EÉc : le Sacrement de Mariage (SM) attache deux êtres jusqu’à la tombe, soit donc il subsiste jusqu’à ce que mort vous sépare !

→ considérons alors que la mort est bien effectivement, selon ces pervers, une séparation de corps !

→ ainsi, ils nous disent que le SM de ne peut subsister à la séparation, et, en tout logique quelle-qu’elle soit : naturelle (mort, tombe) ou ecclésiale (séparation des époux) !

→ confirmons, lorsque les EÉc permettent ou imposent une séparation de corps, tout pareillement le SM ne lui subsistera pas ne le pouvant !

Les pervers, réponse !, et Que votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal. (Math. 5, 37)

→ conséquemment, la séparation de corps, quelle-qu’elle soit, ayant brisé par séparation le SM, elle ouvre droit à un nouveau mariage de fait !

Les pervers, réponse !, et Que votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal. (Math. 5, 37)

→ ce qui est du reste pile-poil la prétention du divorce républicain !

Ainsi ce que nous disions au point 4.I.3.b quant-à la séparation de corps, est effectivement et concrètement vérifié : ceci ayant du reste ouvert la porte toute grande au divorce républicain !

Se rendent-Ils compte de leurs turpitudes !?, de l’idiotie de leurs énoncées !?, oui, vraiment, comme vu plus haut, Quand Jupiter-Luciabel veut perdre un EÉc, il lui ôte la raison !

4.I.3.g - Ils sont soit stupides ou irresponsables, ou menteurs patents !

Voici un texte qui devrait clore définitivement le bec pervers de ces EÉc, qui ne sont pas à une contradiction près, en effet c’est un des leurs qui le dit, ledit Mgr Jean-Joseph Gaume, parlant du SM :

La perfection, c’est-à-dire, le bonheur à son degré le plus élevé, le bonheur commun, en deçà et au delà du tombeau, tel est donc le noble but des alliances chrétiennes.93

Voir : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)… ; point 6.B.2 - L’Époux doit sanctifier son l’épouse.

Cet EÉc dit bien que les époux sont unis en deçà et au delà du tombeau !, il contredit donc magistralement les autres pervers qui disent comme ledit père Georges Hoornaert qui mentait, ou qui déclarait son irresponsabilité notoire, en disant dans le 1er texte étudié : ce petit cercle d’or qui attache deux êtres jusqu’à la tombe !

4.I.3.h - 2d texte, le prêtre bénit et remet l’anneau, son viol

De même, relisons la partie licencieuse, vicieuse : Le prêtre procède alors à la bénédiction de l’anneau nuptial (alliance) qu’il remet à l’époux. Celui-ci le passe au doigt (annulaire gauche) de son épouse en signe d’amour et de fidélité.

Voir : P. 74, q. 83, § 2.« Catéchèse catholique du mariage – 1963 – abbé Barbara »

Nous passons notre temps à constater et dénoncer l’entrisme de ces EÉc en la Famille, soit Son viol par eux, ou, leur captation du SM !, poursuivons cette investigation avec ce qui dit ce cloaque d’impureté dedit père Noël Barbara en sadite Catéchèse catholique du mariage.

Première partie :

Pourquoi donc Le prêtre procède alors à la bénédiction de l’anneau nuptial ?, le Chef de Famille n’est-Il pas prêtre en Sa Maison ?, comme le rappelle notamment Mgr Jean-Joseph Gaume : il est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire.

DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)… ; point 5.C.9, L’autorité du Père est la plus complète : sacerdoce et empire.

Ainsi, aux yeux de l’épouse, et aussi à ceux du nigaud d’Époux, le prêtre se donne vicieusement la première place !, et concède comme à un enfant de chœur à qui l’on accorde le droit d’allumer le charbon de l’encensoir, une action dérisoire à Ce dernier : placer l’anneau bénit par un intrus au doigt de l’épouse ! Ce pervers avance sa prêtrise pour violer le SM !, l’intimité des épousailles.

Pourquoi pénètre-t-il cette intimité, pourquoi viole-t-il la nuptialité ? ; pourquoi donc ce mariage à trois somme-toute ?, pour bien faire entrer dans la petite tête de l’épouse que le prêtre est son garant et le gestionnaire de ce SM, et que donc il en sera le législateur et Raminagrobis qui aura à mettre au pas, à recadrer comme l’on dit, le dadais d’Époux en cas dedit différent !, soit donc en premier sous la couette : madame, votre Époux n’a pas le Droit de…

Seconde partie :

Comment, pervers dedit père Noël Barbara : il, le pervers, remet à l’époux. Celui-ci le passe au doigt (annulaire gauche) de son épouse en signe d’amour et de fidélité ?

Bien que nous notions comme ci-devant l’aveu quant-à l’unique anneau pour l’épouse, l’objet premier de nos propos (4.I.3.h), en ce texte il y a une équivoque, un vice mortifère, il est hautement féministe ; en effet, cet écrit vicieux, en signe d’amour et de fidélité à son épouse donc, se reporte bien à l’Époux !

Or, ce n’est pas l’Époux qui doit amour et de fidélité à son épouse, mais l’épouse qui doit cet amour et de fidélité à son Époux !, et que conséquemment donc, l’Époux doit amour et de fidélité à son épouse, soit remplir sa mission : de protéger, gouverner et corriger son épouse !

DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.L.2 - Qui prend, qui est pris, qui porte l’anneau nuptial ?

4.I.3.i - 3ème texte, même viol de l’Autorité maritale, et du SM

Relisons le passage de Dom Gaspar Lefebvre à dénoncer : Puis il [le prêtre donc] bénit l’anneau …/… L’époux passe au doigt de son épouse l’anneau qui ne la quittera plus. Le prêtre bénit ce geste.

Tiré de : La messe de mariage - Missel quotidien Présenté, traduit et commenté par Dom Gaspar Lefebvre. – 1960

Ici encore, nous constatons bien le même entrisme de ces pervers, ou cloaques d’impureté comme les dénonce la TSVM à La Salette, dans la cérémonie de la donation du SM par l’Époux : il [le prêtre donc] bénit l’anneau, et pour bien enfoncer le clou dans le cercueil du SM : Le prêtre bénit ce geste ; ainsi, il, le pervers, valide cette donation de l’anneau et prend la gloire de ce geste.

Par cette double prétendue bénédiction, prétendues bénédictions de l’anneau et du geste, ce pervers ne laisse aucun doute sur sa déprédation du SM !

4.I.4 - Oui, les EÉc se sont accaparés le SM

4.I.4.a - En une moultitude d’autres, nous venons de voir 3 extraits d’égarés

Les 3 égarés par Jupiter-Luciabel, entre tous les autres :

1er, dudit père Georges Hoornaert

2d, dudit père Noël Barbara

3ème, dudit dom Gaspar Lefebvre

Récapitulation des scandales dénoncés en ces points :

→ 4.C.1.a, Devant l’Église ne dit pas dans l’église

Les EÉc obligent scandaleusement à ce que la donation du SM se fasse dans l’église.

Alors que de Droit divin la donation du SM par l’Époux doit être réalisée au seuil de la Maison de l’Époux, comme vu avec Isaac et Rébecca.

→ 4.B.2.e, Revenons à Isaac et Rébecca qui sont maintenant fiancés

Les EÉc, scandaleusement, font mettre la femme à leurs genoux, devant eux ! ; soit, qu’elle leur prête donc allégeance !, et pour le dadais d’Époux de même !

Alors que de Droit divin la jeune fille couverte d’un voile, doit se prosterner à genoux aux pieds de son Futur qui est au seuil de Sa maison pour Lui dire son Oui franc et bien audible à Sa demande : Veux-tu, devant Dieu et les Hommes, être mon épouse ?

→ 4.F.1.d, Quels sont les ministres du Sacrement de Mariage ?

Les EÉc, scandaleusement, prétendent avoir réalisé le SM, ne le pouvant de toute façon pas, alors que de plus, en une confusion toute démoniaque, ils viennent tout juste de constater qu’Il était déjà réalisé !

Alors que de Droit divin c’est le futur Époux qui propose ce SM à la jeune fille qui Le valide par son Oui franc !

→ 4.F.1.f, Aberration, le prêtre prétend être le ministre du Sacrement

Les EÉc, scandaleusement, se posent en pièce maîtresse, et même pire en condition ou position sine qua non de la donation du SM !, les époux, ne sont somme-toute rien que des faire-valoir de ces Raminagrobis, ils sont tous deux sur le même rang devant de ce pervers, et à ses pieds.

Alors que de Droit divin, comme vous le verrez dans tout la chapitre 4 du reste, ils ne peuvent rien qu’être témoins au tout même rang que les deux autres témoins Hommes !, et pouvons-nous dire tout à l’arrière !, comme invisibles.

4.I.4.b - Et ce, pour jouir peinards de Nos femmes

Église efféminisée par les EÉc féministes, efféminisés jusqu’au bout des ongles.

Nous avons dit (4.I.3.e) qu’il était facile de détourner nos femmes en prétendant les évangéliser, femmes qui du reste ne cherchent qu’un contre-pouvoir à opposer à la Toute Puissance de leurs Époux, ou Pères, Frères, etc.

Or, que constatons-nous toujours depuis pour le moins le Concile de Trente, et maintenant comme jamais !, que c’est toujours la femme qui veut s’éloigner et jamais l’Époux !

En effet, c’est seule l’épouse qui y a intérêt, d’où sa révolte quasi congénitale qui la pousse maladivement depuis le Jardin d’Éden à saper l’Autorité maritale de Droit divin, pour renverser de fond en comble la Maison dont elle a l’honneur d’en faire partie ; c’est elle seule qui est à 100% responsable de toutes les séparations-divorces, soit 80% directement et 20% par instigations ou incitations, comme nous le répétons constamment, ce n’est qu’elle qui demande la destruction du Foyer : une femme insensée la [sa Maison] renverse de ses propres mains.

Pour : et 20% par instigations ou incitation :

Harcèlement continu, grève du devoir conjugal particulièrement, refus d’obtempérer aux ordres, manipulation des enfants et des étrangers à la Famille, pourrissement de l’atmosphère et calomnies, toutes choses pour lesquelles la femme est si experte, si prolixe et fine, le tout savamment emballé dans des larmes toujours feintes évidemment.

Voyez notamment :

→ DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)… ; points 6.F.2.d - Sainte Thérèse d’Avila : la malhonnêteté de ses larmes.

→ Idem ; point 6.F.2.f - L’honnêteté féminine, ses sourires et ses larmes.

→ DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point 3.C.4.e, Et c’est la femme qui se plaint du mal entré en ce monde !

Pour : une femme insensée la [sa Maison] renverse :

DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II)… ; point 8.D.1 - L’épouse insensée renverse sa Maison de ses propres mains…

Or, qui lui susurrent mielleusement, tapis au fond de sa boîte infernale appelée trompeusement confessionnal, ce tout en faisant très très attention que sa queue fourchue de luciabélien ne le dénoncent pas en dépassant le portillon, que : l’on peut ou pourrait se séparer !

Qui, depuis ces époques enférocent94 la femme pour lui faire enfin insupporter l’Autorité maritale par leurdite direction spirituelle en lui certifiant pas exemple que : en ceci ou en cela vous n’avez pas à obéir à votre Époux !

Qui ?, depuis au moins ledit Concile de Trente c’est les Raminagrobis d’EÉc !, ou les pervers comme nous les appelons souvent, ou les cloaques d’impureté comme la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM), reine du sacerdoce, les nomma à La Salette.

Évidemment, le but est ainsi atteint !, voici comment ces pervers raisonnent : Il nous faut remplir les églises, mais comme nous sommes paresseux et vénaux, et qu’avec les Hommes c’est difficile et non rentable, faisons-le avec les femmes avec lesquelles c’est tellement facile et tellement jouissif ! Donc, idée !, disons leur, à ces femelles insensées que nous violons au moins intellectuellement allègrement en nos confessionnaux notamment, que si l’Autorité de leurs Époux que nous leur avons fait insupporter leur pèse, qu’elles viennent se réfugier en nos églises sous nos jupes !, et nous leur accorderont immédiatement ledit droit de se séparer !95 Ce donc notamment en totale opposition à ce que NSJC, leur empêcheur de forniquer en rond, a dit : … ils seront deux dans une seule chair ? Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. (Mat. 19, 5-6.)

Pour : tellement facile et tellement jouissif :

Oui !, de diriger une femme procure une intense jouissance de Droit à l’Époux ! ; et cette même jouissance existe totalement illégalement pour le pervers de prêtre au confessionnal !

L’on dit du reste communément jouir d’une Autorité !, n’est-ce pas ?!

Repris de RH-2013-03, Sieur Luryio, l’épouse fidèle n’a pas de cas de Conscience ; la femme est le problème, pas la solution ! ; point 3.B.5 - Le pervers de prêtre voulant jouir… de la Direction spirituelle de l’épouse.

Pour : NSJC, leur empêcheur de forniquer en rond :

Nous serions si irrespectueux de la dignité du prêtre !?, autre Christ sur terre !, comme ils aiment tant et tant à le répéter.

Qui est irrespectueux de la prêtrise ?

→ nous ? qui dénonçons ces libidineux.

→ la TSVM ?, qui les dénonça avec bien plus de violence que nous en disant : les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes.

Voir : DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique. ; point 9.C.13, ±1846 - La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette.

→ ou eux ?, les EÉc, qui nous arrachent nos épouses par la séparation-divorce permise (imposée) et instrumentalisée par eux, ce afin de pouvoir jouir frénétiquement en elles, pour le moins intellectuellement !

Qui ?, finalement, est irrespectueux de la prêtrise : nous ?, ou eux-mêmes !

4.I.4.c - Et qu’ils ne nous disent surtout pas que nous chicanerions

Nous chicanerions lorsque, des EÉc :

→ nous déclarons leur totale confusion mentale révélée par une prétention de réaliser un SM alors qu’ils viennent tout juste de constater sa réalisation antérieure (4.F.1.d) ?

→ nous dénonçons leur spoliation du SM, eux qui prétendent radicalement impossiblement Le réaliser (idem) : Je vous unis par le mariage au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen. (idem) ?

→ marquons leur viol de l’Autorité maritale de Droit divin lorsqu’ils s’adressent à la future épouse par-dessus la tête de l’Époux : il [le prêtre] demande solennellement, en les appelant par leur nom de baptême et de famille, lui faisant penser ainsi qu’elle serait inféodée à ces pervers alors que St Paul après le Seigneur Dieu dit que : de même que l’Église est soumise au Christ, ainsi les femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses (Eph. V, 23-24) ?

→ nous relevons leur stupidité et leurs paonnades lorsqu’ils prétendent, eux, être éternellement bénéficiaire du Sacrement de la prêtrise, et, que dans le même temps ils prétendent que pour les fieffés gueux, les laïcs comme ils aiment à le dire la bouche pleine de dédain, les gents qui ont pris bêtement la moins bonne part comme ils aiment tant et tant, refoulés qu’ils sont, à le répéter, que : le SM est détruit par la mort ?

Pour : leur stupidité et leurs paonnades :

Exemple d’utilisation du mot paonnades : VIII. — Mettez-moi un paon dans une cour qui marche à l’ordinaire d’un pas rassis grave et tout plein de majesté faisant ses paonnades et la roue avec le damasquin de son plumage et les étoiles de son petit ciel emplumé toutes les autres volailles l’envisageant d’un œil de silence le craignent le respectent et l’admirent mais sitôt qu’il met le bec au plat commun et fripe avec les autres la crainte cesse le respect se perd 1’étonnement s’en va et bien souvent le pauvre paon y est frotté et à grands coups de bec et de griffes est chassé de la compagnie.96 (Les apanages d'un cavalier chrétien, qualités ou vertus que Dieu requiert et ...)

Dénonciation de NSJC exactement transposable avec ces paons ensoutanés : Ils font toutes leurs actions pour être vus des hommes ; c’est pourquoi ils portent de larges phylactères et de longues franges. Ils aiment les premières places dans les festins, et les premières chaires dans les synagogues, et à être salués dans les places publiques, et à être appelés Rabbi par les hommes. (Mat 23, 5-7)

→ leur prétention de séparer, de corps précisent-ils bêtement, alors que leur Maître leur a le plus expressément possible interdit cette séparation de cette unique chair : … ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. (Mat. 19, 5-6.) ?

4.I.4.d - C’est pourquoi l’épée ne sortira jamais de votre maison

Et, nous eûmes donc, de catastrophes en apostasies, fatalement Vatican II !

Voir notamment :

→ RH-2019-01, Chers Lecteurs de bonne volonté, et particulièrement cher Sieur Pierre-Marie ; point 1.A.1.d - Tous nos malheurs ne viennent que des EÉc

→ RH-2015-04, Cher Sieur Jean Mahezic, vous répondre quant-à la vocation religieuse !; point 4.D.1.c - Parallèle entre Nathan accusant David et notre accusation des EÉc !

4.J - Exclusivité du lien du Mariage, surtout pour l’épouse.

4.J.1 - Oublie ton peuple et la maison de ton père.

Écoutez, ma fille, voyez, et prêtez l’oreille, et oubliez votre peuple et la maison de votre père.97

Un triste travers existe en l’épouse, la mauvaise il s’entend, mais la plus courante ‘évidemment’, c’est de parler de la Famille dont elle fut tirée avec son propre consentement, et donc de par sa propre volonté, et par la volonté de son Père, en disant ma famille.

Et ainsi, de comparer son Époux avec ‘sa’ Famille, et de dire ‘mon Père ceci’, ‘mes Frères cela’, ‘à la maison l’on faisait comme cela’, ‘je veux faire ceci, cela, comme l’on me l’a appris’, ‘tu n’as pas à m’imposer tes habitudes’, etc…

Si pour des raisons quelconques son Chef ne veut pas, ou ne veut plus aucune relation avec la Famille dont elle fut tirée, elle rétorque que l’on a pas le droit de la couper de ‘sa’ Famille.

Mais dites-donc, de par son Mariage où est la Famille de cette petite ? En son Époux uniquement, exclusivement !

4.J.2 - Napoléon s’adressait à Metternich, qui lui répond…

Voyez-vous, Napoléon pensait que parce l’archiduchesse Marie-Louise, fille de l’empereur d’Autriche, l’avait épousé, que Celui-ci hésiterait à faire partie de la coalition contre la France.

Napoléon fait donc part de ses réflexions à Metternich, qui Lui répond :

Sire, l’Empereur d’Autriche ne se laissera guider que par ses besoins, sans s’arrêter au sort de sa famille. Il est avant tout un souverain et n’hésitera pas à sacrifier sa famille pour le besoin de son empire !98

Que nos détracteurs ne nous sortent pas le vieux et éculé registre de ‘la raideur autrichienne’, c’est simplement du bon sens, et les exemples sont très nombreux à travers tous les époques et dans les peuples. Vous pouvez être sûrs, que comme tout Père responsable, L’Empereur d’Autriche, avait dit à Sa fille, l’archiduchesse Marie-Louise, écoute ma fille, regarde et tends l’oreille, oublie ton peuple et la maison de ton père… L’Empereur d’Autriche restait simplement fidèle à Sa parole.

4.J.3 - Pourquoi plus particulièrement : un lien exclusif pour l’épouse ?

Pourquoi plus particulièrement, parce que c’est elle qui :

1. est le maillon faible du Mariage, et ô combien,

2. cherche maladivement un ‘contrepoids’ à l’autorité de son Époux,

3. veut toujours regarder en arrière, telle la femme de Loth, revenir vers les liens qu’elle a bien voulu rompre99, de volonté certaine et devant témoins, vers ‘sa’ famille,

4. ne doit pas avoir de commerce quel qu’il soit et avec quiconque, alors que son Époux de son côté doit lier des liens tels que de travail,

5. est liée, tandis que l’Époux n’est lié, et que dans une certaine mesure toutefois, qu’en conséquence du lien que Son épouse a avec Lui !

4.J.4 - Catastrophe !, lorsque l’épouse ne regarde pas son Époux.

L’épouse ne doit regarder que son Époux, pas ailleurs et certainement pas derrière !

Or, lorsqu’elle regarde vers ‘sa’ Famille, que fait-elle, si ce n’est de regarder derrière ? Elle regarde derrière, elle se retourne pour voir ce qu’elle laissa de sa propre volonté : son peuple et la Maison de son Père !

Qu’est-ce qui arrive lorsque la femme regarde derrière, pour voir ce que son Époux le Lui avait interdit, de Droit divin ?, une catastrophe :

4.J.4.a - Catastrophe ?, voyons cela avec Adam et Sa femme.

Adam regardait Son Dieu, et pendant ce temps, la femme (Ève) a été tentée parce qu’elle s’est éloignée d’Adam, voulant échapper à sa surveillance100, à son Autorité : Ce fut ainsi qu’il attaqua Ève autrefois, lorsqu’il la vit seule et séparée d’Adam101.

Et voilà ce qui arrive forcément à l’épouse lorsqu’elle s’écarte si peu que ce soit de la surveillance de son Époux, et qu’elle regarde en arrière.

4.J.4.b - Catastrophe ?, voyons cela avec Loth et Sa femme.

19,1. Sur le soir deux Anges vinrent à Sodome, lorsque Lot était assis à la porte de la ville. Les ayant vus, il se leva, alla au-devant d’eux, et se prosterna jusqu’en terre.

19,12. Ils dirent ensuite à Lot : Avez-vous ici quelqu’un de vos proches, un gendre, ou des fils, ou des filles ? Faites sortir de cette ville tous ceux qui vous appartiennent ;

19,13. Car nous allons détruire ce lieu, parce que le cri des abominations de ces peuples s’est élevé de plus en plus devant le Seigneur, et Il nous a envoyés pour les perdre.

19,17. L’ayant ainsi fait sortir de la maison, ils le conduisirent hors de la ville, et ils lui parlèrent de cette sorte : Sauvez votre vie ; ne regardez point derrière vous, et ne vous arrêtez point dans tout le pays d’alentour ; mais sauvez-vous sur la montagne, de peur que vous ne périssiez aussi vous-même avec les autres.

19,24. Alors le Seigneur fit descendre du Seigneur qui est au Ciel une pluie de soufre et de feu sur Sodome et sur Gomorrhe,

19,25. Et Il perdit ces villes, et tout le pays d’alentour, et tous les habitants des cités, et tout ce qui avait quelque verdure sur la terre.

19,26. Or la femme de Lot regarda derrière elle, et elle fut changée en une statue de sel.102

Nous remarquons bien, vous et nous, que, comme nous le voyons dans toute cette étude :

→ Qu’ils, les deux Anges, ne parlent qu’à Loth.

→ Qu’à Loth est donné l’ordre de sortir de cette ville, et avec tous ceux qui vous appartiennent (19,2).

→ Qu’ils, les Anges, le, donc que Loth, conduisirent hors de la ville (19,17). Ce qui veut bien dire que les siens à Loth, tous ceux qui vous appartiennent, ne suivirent non les Anges, mais comme de Droit Loth !

→ Qu’ils, les Anges, lui, qu’à Loth, parlèrent de cette sorte : Sauvez votre, que celle de Loth, vie, et à charge pour Loth de le dire à : tous ceux qui vous appartiennent. Ainsi donc, tous ceux qui appartiennent à Loth, et qui voulurent sauver leur vie comme Loth le leur avait dit, ne suivent pas les Anges, mais Loth !

→ Qu’ils, les Anges, lui, qu’à Loth, dirent ne regardez point derrière vous, et à charge pour Loth de dire l’ordre à : tous ceux qui vous appartiennent. Ainsi donc, en ne regardant pas derrière, Loth obéit aux Anges, et tous ceux qui appartiennent à Loth obéissent à Loth et non aux Anges !

Nous nous rappelons103 de ceci, Dieu la, la femme ensuite nommée Ève, comprit dans cette défense, afin qu’Adam la lui fît ensuite connaître, idem pour Loth, les Anges comprenaient les ceux qui vous appartiennent dans cette recommandation.

Comme la femme d’Adam, la femme de Loth n’a pas entendu, elle-même, l’interdit ! Mais cet interdit a bien été donné par Loth à sa femme, comme Adam le fit envers la sienne.

Nous pouvons donc dire avec certitude, que la femme de Lot fut changée en une statue de sel, que parce que la femme de Lot a désobéi à l’ordre de Loth qui était ne regardez point derrière vous !

Reprenons :

1. La femme de Lot fut changée en une statue de sel, parce qu’elle a désobéi à son Époux !

2. La femme de Lot a désobéi à l’ordre de Loth qui était justement ne regardez point derrière vous !

Cessons de pratiquer la langue de bois ! Regardez :

1. la femme de Loth désobéit à son Époux,

2. elle regarda,

3. elle regarda derrière !

Ceci fait trois erreurs, alors que la femme a soi-disant une intelligence ! Ne trouvez-vous pas que cela fait beaucoup pour undit être intelligent ?

Et au long de cette étude, nous prouverons encore plus que la femme, l’épouse n’a pas du tout, de Disposition divine, de discernement : de politique, de gestion, d’orientation, de choix, etc. Mais uniquement un discernement applicable au fait de savoir si ce qu’elle fait correspond exactement à l’ordre reçu, implicite ou explicite, auquel elle doit une obéissance totale, en toutes choses, à ce que son Époux lui a marqué implicitement ou explicitement !

4.J.4.c - Il existe bien d’autres exemples.

Et toujours la Loi des 80/20104 :

→ 80% : Toujours est-il que dans l’écrasante majorité, à plus de 80% des cas de drames conjugaux, disputes, séparations, divorces, etc., c’est la femme, et toujours elle depuis Ève, qui est l’initiatrice105, la responsable au premier plan, et ce uniquement parce qu’elle regarde ailleurs, et de plus derrière !

→ 20% : Nous verrons même, que dans les 20% restants, elle est de fait et objectivement responsable au premier plan !

4.J.5 - La Vierge Marie ne fait plus partie de la Maison de son Père.

2-… Ce premier dénombrement fut fait par Cyrinus, gouverneur de Syrie. Tous allaient pour se faire enregistrer, chacun dans sa ville. Joseph partit aussi de la ville de Nazareth, qui est en Galilée, et se rendit en Judée, dans la ville de David, appelée Bethléem, parce qu’il était de la maison et de la famille de David, pour se faire enregistrer avec Marie son épouse, qui était enceinte. (Luc II, 1-17)106

4.J.5.a - Joseph fait inscrire Marie dans sa maison.

Relisons :

Joseph […] se rendit […] dans la ville de David, […] parce qu’il était de la Maison et de la famille de David […] pour se faire enregistrer avec Marie son épouse.

D’où il est bien confirmé que Marie ne fait plus partie de son ancienne Maison (Famille), mais qu’Elle fait bien partie de la Maison de Joseph (Maison de David). Et s’inscrit-Elle Elle-même ? non c’est Joseph son Chef qui l’inscrit.

Même pour être inscrite où que ce soit, la femme n’est pas autonome !, elle ne peut le faire d’elle-même !

4.J.6 - Le Mariage, l’emporte sur les liens les plus sacrés.

1) sainteté du mariage. - Dieu a lui-même établi le mariage dès les premiers jours de la création de l’homme : il est la suite nécessaire de la distinction des sexes. C’est une union tellement sainte qu’elle doit l’emporter même sur les liens les plus sacrés, tels que ceux qui unissent un père à ses enfants.107

Nous connaissons le travers dévastateur de l’épouse parlant de ‘sa’ Famille, en parlant de celle dont elle fut tirée de par sa propre volonté.

Répétons, le Chef, pour quelques raisons que ce soit, peut ne pas (ou ne plus) vouloir quelque relation que ce soit avec quiconque, et en premier, et même surtout avec la Famille dont l’épouse fut tirée.

L’épouse ne peut rétorquer que son Époux n’a pas le droit de la couper de ‘sa’ Famille. Dans le cas contraire, elle commet l’adultère.

De par son Mariage où est sa Famille, dites-donc ? En son Époux exclusivement, et pour son Époux, car en effet, c’est une union tellement sainte, le Mariage, qu’elle doit l’emporter même sur les liens les plus sacrés, tels que ceux qui unissent un père à ses enfants !

4.J.7 - L’un ou l’autre ne peut se séparer de soi-même.

L’époux et l’épouse ne font qu’une seule chair ; l’un des conjoints ne peut pas plus se séparer de l’autre, que se séparer d’avec soi-même.108

Si l’on ne peut se séparer de soi-même, c’est que l’on ne peut, pour l’épouse, car c’est toujours elle qui veut se séparer, mais jamais l’Époux109 : regarder ailleurs ! Et encore moins vers ce qu’elle appelle malignement, dans sa révolte naissante, ‘sa’ Famille.

4.K - L’Église catholique, principal ennemi du Sacrement de Mariage ?!

Notez : Si vous lisez ce chapitre 4 sur le site, ayant dû le scinder à cause de sa longueur, nous vous prions de lire la suite, ce point 4K ici : DP-04K, L’Église catholique, principal ennemi du Sacrement de Mariage ?!

Du : 21.03.2010, existe110 en PDF ici : ND. Actualisé : jeu. 8 oct. 2020, 17.05.

4.K.1.a - Préliminaire

Ce point DP-4.K, L’Église catholique, principal ennemi du Sacrement de Mariage ?!, devrait se trouver au point DP-4.B.9, Extension au sujet du Sacrement de Mariage ; nous l’avons placé là pour ne point chambouler la numérotation des chapitres.

Ce chapitre est confié à la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) dont nous fêtions l’Annonciation le 25 mars 2010, neuf mois avant que, Cette toujours vierge, livra Son Fruit d’Amour, Notre Seigneur Jésus-Christ, Vrai Dieu et Vrai Homme, notre Sauveur.

4.K.2 - Ce que nous allons voir en ce chapitre

Nous allons voir magistralement confirmé ce que nous avons déjà vu, et qui est totalement contraire à ce que disent des Hommes d’Église (l’Église Elle-même ne peut ni se tromper ni nous tromper !), jusqu’à des Saints et des Papes.

Nous allons voir :

→ Que le Sacrement de Mariage est absolument le même pour tous, en l’Église ou hors l’Église, pour les fidèles et pour les infidèles !

→ Que ce Sacrement de Mariage n’a pas été institué par Notre Seigneur Jésus-Christ (NSJC), mais par Dieu le Père en le Paradis terrestre, pour sceller irrévocablement l’union d’Ève à Adam !

→ Que l’Église catholique ne pouvait se L’attribuer ; mais que par contre, qu’Elle se devait d’être le Champion de Sa défense.

→ Que, au lieu de cela, Elle accapara ce Sacrement de Mariage pour Le manipuler selon l’intérêt de ces cloaques d’impureté*, ce au point que maintenant, nous pouvons dire, que l’Église catholique est le principal ennemi de ce Sacrement de Mariage !

→ Un cas particulier, un cloaque d’impureté faisant partie de la GFGM, l’abbé Hervé Belmont : qui dit, et fait exactement l’inverse de ce qu’il dit !

Pour : faisant partie de la GFGM :

Pour les novices en notre étude : GFGM = Grande Fraternité du Goupillon Malicieux. Recherchez ce sigle en notre étude…

4.K.2.a - Pour commencer, rappelons que dans notre étude…

lorsque nous attaquons, dénonçons l’Église catholique, c’est ses membres que nous dénonçons, et non l’Église en Elle-même, car Elle ne peut ni se tromper ni nous tromper, comme nous le rappelle l’Acte de Foi : Mon Dieu je crois fermement toutes les vérités que Vous avez révélées et que Vous nous enseigniez par votre Église, parce que Vous ne pouvez ni Vous tromper, ni nous tromper.

De plus, aimant intensément l’Épouse de NSJC, la Très-Sainte Église catholique, sachez que c’est avec douleur que nous dénonçons haut et fort les turpitudes de l’écrasant grand nombre de ses membres.

Recherchez en notre étude, principalement cloaques d’impureté* et mauvais prêtres*, loup*, etc.

4.K.2.b - L’Église catholique ne peut se tromper, mais qu’en son champ de compétence !

Si, et ce jusqu’au Pape, des, et même tous les membres, de l’Église disent que le jour est le moment où le soleil n’éclaire plus la terre ; et que la nuit est le moment où l’on y voit parce que le soleil nous prodiguerait ses rayons, il est aisé et Droit de dire que ceux-ci se trompent, ou pire, veulent tromper !

Mais, l’Église ne pouvant nous tromper, pourquoi ne pas croire que le jour est le moment où l’on ne peut pas voir, puisqu’Elle nous le dirait ?, tout simplement, parce que ce qu’Elle nous dit en cette chose ne regarde pas son champ de compétence !, de fait, ce n’est pas l’Église qui le dit, mais bien des Hommes d’Église !, voire même le Pape.

Si l’Église, en la personne de Son Pape, nous dit que dans une autre religion nous pouvons nous sauver, alors qu’en réalité, et ce faisant bien partie de son champ de compétence [ en effet : en dehors de l’Église il n’y a point de salut ! ], c’est signe qu’Elle n’est pas l’Église ! Ce qui est pile la situation depuis au moins ledit Vatican II.

4.K.2.c - Si quiconque annonce un autre évangile qu’il soit anathème !

Voici ce que disait Saint Paul : Je m’étonne que vous vous détourniez si vite de celui qui vous a appelés à la grâce du Christ, pour passer à un autre évangile. Non pas qu’il y en ait un autre ; mais il y a des gens qui vous troublent, et qui veulent renverser l’Évangile du Christ. Mais si quelqu’un, fût-ce nous-même ou un Ange du Ciel, vous annonçait un autre évangile que celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème ! […] fût-ce nous-même ou un Ange du Ciel, [ ou le Pape donc, ] vous annonçait un autre évangile que celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème ! (Gal. 1, 6-8)

Ainsi, comme l’Église dit que l’on peut séparer ce que Dieu a uni, ce en opposition frontale à ce qu’a dit NSJC, et qui fait partie du dépôt de la Foi, de l’évangile : que nous vous avons annoncé (Saint Paul, ci-dessus) : Ce que Dieu a uni,
que l’homme ne le
sépare point !, c’est que :

1. ce n’est pas l’Église qui a parlé ; ou

2. ce qu’Elle a dit ne rentrait pas dans son champ de compétence.

Pour : que l’homme ne le sépare point :

Voir : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; points :

10.B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare !

10.C, L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…

Il n’y a aucune autre explication !

Répétons : comme l’Église, d’avant ledit Vatican II évidemment, disait que l’on peut se séparer (dans certains cas est-il toujours précisé très hypocritement), et le validait (dans certains cas tout aussi hypocrites), ce en opposition frontale à l’interdit de NSJC vu plus haut, et en opposition frontale à L’Esprit qui tient unies toutes choses*, c’est qu’Elle, ne pouvant ni se tromper ni nous tromper, s’occupait tout simplement d’une chose n’entrant pas dans son champ de compétence !

Répétons encore : en disant que l’on peut se séparer, le clergé de l’Église catholique dans son ensemble (avez-vous entendu une autre voix ?) annonçait un autre évangile que celui que nous vous avons annoncé et qui dit : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare donc pas ; donc, ce clergé, comme tous ceux qui le disent, est anathème !

Pour : annonçait un autre évangile [] annoncé :

Ici donc, par Sts Matthieu (19, 6) & Marc (10, 9)

4.K.2.d - L’Église catholique ne peut toucher au Sacrement de Mariage !

Nous allons voir encore mieux que nous l’avons vu depuis le début de notre étude, que l’Église catholique ne peut toucher à un Sacrement que ne Lui appartient aucunement !, et ce : et ni de près et ni de loin.

→ Nous venons de voir que l’Église disait un autre évangile que celui annoncé par les Apôtres : que l’on peut se séparer !, dans certains cas ajoutent-ils toujours très hypocritement. Or, comme l’Église ne peut ni se tromper ni nous tromper, c’est qu’Elle s’occupe d’une chose qui ne la regarde pas : le Sacrement de Mariage !

→ Nous avons déjà bien vu, par d’autres chemins, que ce Sacrement de Mariage ne Lui appartenait aucunement, parce que institué par Dieu le Père !, et que Celui-ci n’a jamais eu une quelconque modification, amélioration, etc., venant de NSJC.

Et pourtant, témérairement, Ils, ces Hommes d’Église, disent le contraire !, par ex. : Le Sacrement de Mariage […] est un sacrement qui a été institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ*.

Voir : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.B.6, Le Curé d’Ars parle du Mariage naturel. ; et en bien d’autres endroits.

On notera bien que, dans ce même texte dont l’extrait ci-dessus est tiré, le Curé d’Ars précise bien : Il [le Sacrement de Mariage] les oblige à se garder une fidélité mutuelle et inviolable, à cohabiter… ; ce donc, conformément à la Parole de NSJC : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point !

Il est du reste bien transparent, sauf erreur de notre part qui ne justifierait alors nullement la chose, que dans les écrits de ce Saint, jamais Il n’envisage la permission d’une séparation qui serait dite nécessaire !

4.K.3 - Léon XIII : Mariage naturel ou religieux, même Sacrement !

Le Pape Léon XIII, dans sa lettre encyclique Arcanum Divinae Sapientiae du 10 février 1880, dit :

[11] … En effet, puisque Dieu lui-même a institué le mariage, et puisque le mariage a été dès le principe comme une image de l’Incarnation du Verbe, il s’ensuit qu’il y a dans le mariage quelque chose de sacré et de religieux, non point surajouté, mais inné, qui ne lui vient pas des hommes, mais de la nature elle-même. C’est pour cela qu’Innocent III (c. 8 de divort.) et Honorius III (c. 11 de transact.), Nos Prédécesseurs, ont pu affirmer sans témérité et avec raison que le sacrement du mariage existe parmi les fidèles et parmi les infidèles. Nous en attestons les monuments de l’antiquité, les usages et les institutions des peuples qui ont été les plus civilisés et qui ont été renommés par la connaissance plus parfaite du droit et de l’équité ; il est certain que, dans l’esprit de tous ces peuples, par suite d’une disposition habituelle et antérieure, chaque fois qu’ils pensaient au mariage, l’idée s’en présentait toujours sous la forme d’une institution liée à la religion et aux choses saintes. Aussi, parmi eux, les mariages ne se célébraient guère sans des cérémonies religieuses, l’autorité des Pontifes et le ministère des prêtres, tant avaient de force sur des esprits, même dépourvus de la doctrine céleste, la nature des choses, le souvenir des origines, la conscience du genre humain ! Le mariage étant donc sacré par son essence, par sa nature, par lui-même, il est raisonnable qu’il soit réglé et gouverné, Non point par le pouvoir des princes, mais par l’autorité divine de l’Eglise qui, seule, a le magistère des choses sacrées.

4.K.3.a - Relisons ensemble ce que nous dit Léon XIII

Relisons certains passages de ce que vient de nous dire Léon XIII, et avant Lui donc, les papes Innocent III et Honorius III :

1. Il est évident que lorsque Léon XIII dit : Dieu lui-même a institué le mariage, Il parle de Dieu le Père, ou comme l’on le lit dans l’ancien testament : le Seigneur Dieu.

Par exemples :

- Le Seigneur Dieu forma donc l’homme,

Voir : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.A.3, Adam est engendré, formé par Le Seigneur Dieu.

- Le Seigneur Dieu prit donc l’homme, et le mit dans le paradis de délices,

Idem : point DP-3.A.4, Adam, établi maître de toute la création, nomme les animaux.

- Le Seigneur Dieu dit aussi : Il n’est pas bon que l’homme soit seul,

DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.B.2, Il ne se trouvait point d’aide pour Adam qui lui fût semblable.

- etc.

Ainsi donc nous pouvons dire que Léon XIII a dit : Dieu le Père lui-même a institué le mariage.

Or, ceux qui ont voulu accaparer ce Sacrement de Mariage disent : chez les infidèles il y a Mariage, et certains, un peu gênés aux entournures, ajoutent qu’Il est sacré, mais tous s’empressent de dire qu’Il n’y a pas de Sacrement.

Par exemples :

- Pie VI et Pie XI : C’est pourquoi, bien que le mariage puisse exister sans le sacrement — c’est le cas du mariage entre infidèles.

Voir : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.B.5, Le Mariage naturel a tous les caractères de celui de l’Église…

Faux !, comme nous allons le voir ensuite encore mieux.

Ils disent, bêtement ou malicieusement, c’est comme vous le voulez, que seul le Mariage contracté en l’Église catholique produit le Sacrement qui aurait été institué par NSJC, par ex. Le Saint Curé d’Ars : c’est un sacrement qui a été institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ ; ou, le même : Pour les chrétiens ce contrat, avec ses caractères et ses obligations, est de plus le signe productif de la grâce, car il a été transfiguré par le Christ qui l’a élevé à la dignité de sacrement. Faux !

Pour : [ces extraits du Curé d’Ars] :

Idem ci-dessus; point 4.B.6, Le Curé d’Ars parle du Mariage naturel.

Voyez !, et tout est là !, ils disent tous ainsi retranscrit : Oui…, évidemment…, le Mariage naturel, comme le Mariage religieux, est sacré, indissoluble, etc. ; mais, ce n’est pas un Sacrement. Seule l’Église catholique peut produire ce Sacrement qui, ajoutent-ils obstinément, fut institué par Notre Seigneur Jésus-Christ. Faux !

Et ce, pourquoi ?, pour pouvoir mettre la main sur ce Sacrement !, et ainsi, le régenter, l’arranger selon l’air du temps et l’intérêt de ces cloaques d’impureté*.

Attention !, nous ne sommes pas entrain de dire que le Saint Curé d’Ars était un cloaque d’impureté, ou tous les autres tenants de cette très grave erreur, mais il est évident qu’ils répétaient ou répètent sans trop réfléchir ce que l’on leur avait inculqué, enseigné erronément, ou, qu’ils désiraient croire de par leur mauvaise éducation.

Les cloaques d’impureté* sont ceux qui conscients de cette très très grave erreur se taisent ; ou pire, l’ont inventée pour s’en servir. La nomination de ces pervers ne nous revient pas, c’est à l’Église hiérarchique de faire son ménage en Elle-même ; nous, nous nous contentons du constat, de la dénonciation !

2. Ce passage suivant, dans le mariage quelque chose de sacré et de religieux, non point surajouté, mais inné, qui ne lui vient pas des hommes, mais de la nature elle-même, a déjà été bien développé.

Voir : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point DP-4.H.3, 1ère fin - Le petit catéchisme du Mariage, l’abbé Joseph Hoppenot.

4.K.3.b - Reconnaissance absolue du caractère sacramentel du Mariage naturel !

3. Voici surtout ce qui nous intéresse, et seul le pape Léon XIII, derrière les papes Innocent III et Honorius III, à notre connaissance, l’a dit si clairement : C’est pour cela qu’Innocent III … et Honorius III … ont pu affirmer sans témérité et avec raison que le sacrement du mariage existe parmi les fidèles et parmi les infidèles.

Enfin un !, Léon XIII, derrière Innocent III et Honorius III, qui dit bien clairement, sans emberlificotes111 particulièrement malicieuses, et qui contredit donc tout aussi clairement ceux qui prétendent que le Sacrement de Mariage n’existe qu’en l’Église catholique : le sacrement du mariage existe parmi les fidèles et parmi les infidèles !

4.K.3.c - Volonté maladive de vouloir mettre la main sur le Sacrement de Mariage.

4. Puis, Léon XIII dérape : Le mariage étant donc sacré par son essence, par sa nature, par lui-même, il est raisonnable qu’il soit réglé et gouverné, Non point par le pouvoir des princes, mais par l’autorité divine de l’Eglise qui, seule, a le magistère des choses sacrées.

Non !, Léon XIII, le Mariage ne doit pas être réglé et gouverné (ingérences, manipulations, viol de l’épouse, de l’Autorité maritale, etc.), mais défendu plus particulièrement par l’autorité divine de l’Église, qui seule reçut de Son Époux la Mission de nous enseigner ce que nous dit l’évangile […] que nous vous avons annoncé (Saint Paul ci-dessus) : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point !

Pour : viol de l’épouse, de l’Autorité maritale :

La femme doit-elle être soumise à l’Église (au prêtre), enseignée (ensemencée donc !, recherchez ce terme si important en toute notre étude ensemencé) par Elle ?, non : […] Et pourquoi ? « Car il ne leur est pas permis d’y prendre la parole ; mais qu’elles se tiennent dans la soumission, comme le dit aussi la loi ». Soumises à qui ? Peut-être seulement à l’Eglise hiérarchique, à l’Eglise enseignante ? Non : « si elles veulent s’instruire sur quelque point », poursuit St Paul, « qu’elles interrogent leurs maris à la maison ; il est, en effet, inconvenant pour une femme de prendre la parole dans une assemblée ».

Voir : CN-2009-04, La petite Sainte Thérèse, une femme !, docteur de l’Église…

Pour : que l’homme ne le sépare point :

Voir : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point 10.B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare ! ; et 10.C, L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…

L’Église doit être extrêmement humble, ne pas vouloir régenter (réglé et gouverné […] par l’autorité divine de l’Église, dit Léon XIII ensuite, se contredisant donc ainsi !) le Sacrement de Mariage, et donc le Mariage, la Famille, etc., mais se mettre radicalement au service des Chefs de Famille, parmi les fidèles et parmi les infidèles, pour leur apporter le plus sûr et indéfectible soutient à leur Autorité ; ce que du reste l’État doit dans sa sphère à ces mêmes Chefs de Famille !

De plus, si, selon Léon XIII, l’Eglise seule a le magistère des choses sacrées, en ce qui regarde le Sacrement de Mariage, comme cela se passe-t-il vu que ce Sacrement existe aussi chez les infidèles ?, comme Il vient de le reconnaître, enfin, Lui-même… Veut-Il, l’Église veut-Elle, régenter (réglé et gouverné…) le Sacrement de Mariage des infidèles ?

Voilà où l’on en arrive lorsque l’on veut impérativement s’occuper de ce qui vous regarde ni de près ni de loin !

4.K.4 - Certainement par l’éviction du Chef de Famille, l’Église a reculé partout !

Certainement !, par la Restauration de l’Autorité absolue (Saint Paul : en toutes choses) du Chef de Famille et par l’inséparabilité absolue (donc aucune restriction mentale, ni exception exceptionnelle etc.) des époux, que, l’Église, qui va ruinée en beaucoup de lieux, pourra faire cesser cette désolation qui ravage l’Église, cette déplorable diminution qu’elle a souffert en tant de lieux !

Voir, pour cEtte citation : DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique ; point DP-9.C.7, ±1655 - Saint Vincent parle des mauvais prêtres.

Oui, à la suite de Saint Vincent de Paul que nous venons de citer partiellement, nous pouvons dire que l’Église est La seule et unique responsable de Son état actuel qui est bien bien pire qu’en 1655 !

Et c’est ce que nous disons partout en notre étude depuis plus de deux ans, et pour lequel nous nous battons pour certains ici depuis bien plus de trente ans :

→ si l’Église respectait vraiment, totalement l’infrangible Autorité des Époux ; si Elle refusait radicalement tout commerce avec les épouses (Viol ou adultère, ensemencements tels que : conseils, direction dite spirituelle, retraites, etc. ! ;

→ si Elle poursuivait de ses foudres celles qui désertent (même ‘battues’ ou ‘violentées’, qu’elles disent dans leur errance) ;

→ oui !, beaucoup d’Hommes n’auraient pas déserté les églises, l’Église ; et ce, bien au contraire, car Elle aurait engrangé de très nombreuses conversions d’infidèles voyant en Elle le Champion toutes catégories du Sacrement de Mariage !

L’Église, par sa féminisation intellectuelle et morale, par sa fornication : est la seule responsable de sa chute !

Recherchez sur internet : « Église féminisée »

Lisez une extension très importante à cette note, Voir : CN-2010-05, Le christianisme moderne, féminisé ! celui de la Tradition, non ?

Mais, si au lieu de pleurnicher avec les pauvresses, ce selon l’air du temps qui commença voici plus de 500 ans, Elle avait radicalement et indéfectiblement défendu le Sacrement de Mariage parmi les fidèles et parmi les infidèles, en défendant vaillamment et effectivement (par ex. : en ces temps-ci, en témoignant en ladite justice civile en faveur uniquement, et comme de Droit, de l’Époux) la seule et totale Autorité de Droit divin de l’épouse : l’Époux ; oui, l’Église aurait touché, puis infailliblement converti les infidèles dont Elle se serait fait le plus sûr et vaillant garant, le Champion de leur Sacrement de Mariage !

Voir, pour compléments :

→ DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point DP-6.D.1, Femme en islam, sujet développé par l’hebdomadaire Rivarol.

→ CN-2008-022 - L’islam est le contraire des droits de l’homme !?

→ CN-2009-008 - Le Salon Beige : De la démocratie en Afghanistan.

→ CN-2009-009 - N’ayant plus de prêtres, c’est un musulman qui nous rappelle Saint Paul et tout un pan du Droit naturel !

→ CN-2009-014 - Valérie Létard, l’insensée renverseuse en chef, empêtrée dans la burqa, lance ses deux dernières sapes.

→ CN-2009-017 - Moi, Moloch, je réclame le non-lieu pour Cheb Mami !

→ CN-2009-021 - Pour Lubna Hussein, non pas 40 coups de fouet !, mais la peine de mort !

→ CN-2009-025 - Un maire d’Italie interdit le “burkini” : les raisons …

→ CN-2009-030 - Les Intransigeants : ‛bien intentionnés’, véhiculent le criminel féminisme.

→ CN-2009-031 - Le Salon Beige, E-deo & Cie : mêmes mensonges, mêmes maliceries, même féminisme au sujet de la Patrie !

Mais de fait, non seulement Elle ne défend pas le Mariage des infidèles, mais Elle détruit bien effectivement, au moins par sape, le Mariage des fidèles !; et, la GFGM* avec encore plus d’acharnement et de ‘science’ toute démoniaque !

Pour le moins, qui dit mot consent !, et donc fait !

4.K.4.a - La GFGM, avec plus d’acharnement, détruit malicieusement des Mariages ?

Notez : GFGM* = Grande Fraternité du Goupillon Malicieux, recherchez bien ce sigle en tous nos documents !

Oui !, nous ne pouvons nous entendre plus ici, l’ayant déjà tant fait en notre étude, mais sachez que :

→ Tous les Mariages qui tiennent en ladite Tradition*, sont ceux où l’Époux a ‘accepté’ de remettre son sceptre*, peu ou prou, entre les mains profanatrices de ces avides et vénaux cloaques d’impureté !

Nous connaissons une multitude de foyers où l’épouse, appuyée très énergiquement et effectivement par les cloaques d’impureté*, surtout en ladite Tradition, a lancé un et deux avertissements, ce jusqu’à destruction totale, parfois avec un vague sursis appelé ‘seconde chance’ : de l’Époux !

Ayant donc ainsi, enfin réussi à se saisir de la bourse de l’Époux et a la Lui arracher ; soit à l’opposé de ce que disait Pie XII : Épouses et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif d’usurper le sceptre familial*.

Voir, pour compléments :

→ DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.D.1.b, Ci-dessus, nous avons écrit en cas de ‘différent’. ;

→ DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I) ; point DP-5.B.2.j, Pourquoi, au point précédent, avoir mis complémentaires entre guillemets ? ; et en divers autres endroits.

Et malgré cela, certains très rares Époux, rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée, gardiens fidèles de leur gens, ‘non pas voulu comprendre l’avertissement’, ‘saisir la balle au bond’, ‘saisir leur seconde chance’, et ont refusé très héroïquement, véritables martyrs du Sacrement de Mariage, de plier devant leur démon en jupon, devant leur Ève voulant se saisir de la pomme interdite comme leur prime aïeule.

Pour : rudes pères de famille à l’autorité absolue :

DP-11, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (II) ; points :

- 11.C.5, 2) Que l’on le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant.

- 11.C.11, Et bien que Pie XII nous soit pas si cher, voici un bon texte : ;

- et divers autres endroits.

Pour : saisir leur seconde chance :

Il est frappant qu’elles disent toutes, et vous l’avez certainement entendu vous-mêmes : seconde chance. Or, de dire seconde chance, entend donc bien qu’il y a eu première chance !

Ainsi, vu que c’est à la première crise qu’elles nous disent, à nous les Époux !, seconde chance, cela veut tout simplement dire qu’au moment où par son Oui l’épouse valide le Sacrement de Mariage – proposé par l’officiant de ce Sacrement, le Demandeur, futur Époux (Voir : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4B3f, L’Homme est l’officiant, forcément unique, du Sacrement de Mariage.) – , elles pensent toutes qu’elles offrent la première chance à l’Époux !

De faite, pour toutes les filles qui se marient, il s’agit comme d’un Mariage à l’essai ; tous les Époux sont en sursis !, en surveillance !, au moment où ces pauvresses disent Oui !, elles disent de fait Oui, je veux bien t’offrir une première chance !

Elles disent (nous parlons en ce moment pour le milieu de ladite Tradition, les autres, nous en parlons même pas !), par leur Oui : Je serai soumise en toutes choses à mon Époux tout en pensant fondamentalement le contraire !, elles disent donc de fait Je serai soumise en toutes choses à mon Époux, si Il saisit bien la première chance que je Lui offre magnanimement !’

Elles déclarent donc bien expressément qu’elles sont les maîtresses, et leurs Époux leurs féaux !, elles se saisissent bel et bien du sceptre familial, ce donc en opposition à ce que rappelait Pie XII : Épouses et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif d’usurper le sceptre familial !

Ainsi par son Oui, véritable ‛oui, mais non’ – voir CN-2010-11, Oui !, nous disons radicalement non à tous les ‘oui mais non’ ! –, elles déclarent bien toutes leur révolte : non serviam les Époux !

L’on pourrait même dire et affirmer qu’une telle disposition de l’épouse rend le Sacrement de Mariage nul : vice caché, restriction mentale quant à la promesse d’obéissance qui est un des fondements du Sacrement de Mariage !

Ainsi donc l’Époux, le plus légitimement possible et sous le Regard de Son Dieu d’Amour, pourrait, étant donc libre, contracter Mariage ; le premier étant dans ce cas nul et non avenu !

Nous ne levons qu’une question !, un jour il va falloir y répondre ! Pour beaucoup, comme le Bon Dieu nous le demande, ces Époux n’attendent que la Très-Sainte Vengeance de leur Dieu d’Amour !

Que de crimes dans le Sacrement de Mariage, et tout cela qu’à cause des prêtres !, qu’à cause des cloaques d’impureté. Quel compte allez-vous rendre, pervers !, cela fait frémir !, que de prêtres en enfer !

Mais aussi, que de palmes à recevoir pour ces pauvres Époux enfin justifiés, magnifiés, consolés au delà de toutes attentes, véritables martyrs du Sacrement de Mariage !

Pour : de plier devant leur démon en jupon :

DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point tout DP-6.F.2, La nuit n’avance que parce que le jour recule !

Et alors, soutenue à pleins bras, jusqu’à financièrement parlant et ayant en sus dedits conseils juridiques susurrés du fond du confessionnal, par ces membres de la synagogue de Satan*, les cloaques d’impureté* de la GFGM*, elles mirent enfin, se dit leur Maître Lucifer : la menace à exécution !

Elles, en opposition frontale à L’Esprit qui tient unies toutes choses*, violèrent leur promesse de fidélité, profanèrent le Sacrement de Mariage, foulèrent au pied l’interdit de Notre Seigneur Jésus-Christ : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare donc pas.

→ Ainsi donc, tous les Mariages qui n’ont pas tenus, où l’épouse a fui (séparations de corps instiguées et même imposées par ces cloaques d’impureté, revoir notre toute étude) sont des Mariages où l’Époux n’hésitait point à exercer Son Autorité !, et donc à évincer comme de Droit ce qui se mettait en travers de Celle-ci, et malheureusement les prêtres en premier !

Pour : Époux n’hésitait point à exercer Son Autorité :

Adaptation d’une parole de Pie XII (allocution aux jeunes mariés, 10 septembre 1941), dont voici un extrait original : Maris, vous avez été investis de l’autorité. Dans vos foyers, chacun de vous est le chef, avec tous les devoirs et toutes les responsabilités que comporte ce titre. N’hésitez donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités. La barre de la nef domestique a été confiée à vos mains.

Voir : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; points

- 3.D.1.b, Ci-dessus, nous avons écrit en cas de ‘différent’. ;

- DP-5.B.2.j, Pourquoi, au point précédent, avoir mis complémentaires entre guillemets ? ;

- et divers.

4.K.4.b - Où l’on en vient à reparler d’un cloaque d’impureté, l’abbé Hervé Belmont

Préliminaire à ce point :

Nous sommes bien bien conscients des très graves accusations que nous faisons à l’encontre de la GFGM* entre autres, c’est pour cela que nous vous demandons de lire notre proposition de confrontation contradictoire, ici :

→ DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.E.9.b, Si nous devions avoir fauté… ;

→ et CN-2009-03, Conseils pour réussir une famille chrétienne, selon l’abbé Alain Delagneau de la FSSPX.

Passage regardant cette proposition de confrontation contradictoire :

[…] Il peut aussi utiliser notre site…

Par contre, nous nous réservons le droit ‘d’appeler’ comme témoin tout prêtre de cette secte ou consœurs, et ce jusqu’aux 4 évêques ! Cette condition n’est pas négociable ! L’abbé Alain Delagneau aura le même droit !

Ainsi, tout un chacun pourra vérifier les arguments et juger de la tenue du débat. Si nous devions être confondus, nous nous engageons formellement à faire amende honorable sur tous nos ‘errements’ par le même canal !

Nous ne pouvons pas être plus honnêtes !

QJSIOJC

Voici l’affaire :

En faisant une recherche Google, sur Arcanum Divinae Sapientiae, la Lettre encyclique que nous venons d’analyser, nous sommes tombé sur, à la 3ème position, le site de l’abbé Hervé Belmont : quicumque112 !

Sur son site, cet abbé Hervé Belmont qui est un fossoyeur de Mariages au moins par son silence coupable, a le culot d’écrire en introduction pour cette Lettre encyclique : Le dix-neuvième siècle, en triste héritier de la Révolution, a vu se répandre une vaste entreprise de démolition du saint Mariage.

Oui !, parfait hypocrite, comme tous les cloaques d’impureté, pendant qu’il fait semblant de défendre le Sacrement de Mariage, il participe au moins par son silence criminel à la destruction de ceux qui ne lui conviennent pas !, et ce, pour le moins, pour ménager sadite clientèle plus qu’étriquée… Gardez-vous des faux prophètes […] c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez !113, disait Notre-Seigneur Jésus-Christ !

4.K.4.c - Un exemple parmi tant d’autres

Un de nos correspondants, nous ayant permis de parler de son cas sans citer son nom pour ménager Sa pauvre épouse et pour le bien de Ses enfants, a eu Son Mariage mis en l’air par les cloaques d’impureté de la Trahition*.

Ce loup déguisé en brebis, cet abbé Hervé Belmont qui est le gourou patenté de la Famille dont fut tirée l’épouse, ne cria pas au scandale !

Croyez-vous :

→ qu’il menaça ladite Famille de l’épouse d’exclusion de sa chapelle ?, comme de Droit ! ;

→ qu’il leur refusa l’absolution ?, comme de Droit ! ;

→ qu’il leur refusa la communion ?, comme de Droit ! ;

→ qu’il fit savoir à l’épouse en question qu’il condamnait tout à fait sa procédure de séparation de corps, son crime ?, comme de Droit !

Ce que Dieu a uni,
que l’homme ne le
sépare point114 !

Non !, il valida bien effectivement la longue chaîne de crimes (comme toujours dans ces cas là : profanation du Sacrement de Mariage, déshonneur de l’Époux, séparation si douloureuse, tronçonnage d’un seul et même corps – … ils seront deux dans une seule chair ? Ainsi, ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. (Mat. 19, 5-6.) – , flot de calomnies, vol et malheur des enfants, vols de tous les autres biens, scandale pour l’Église, etc. Tous, péchés mortels irrémissibles !) de l’épouse, et de celui de la Famille dont elle fut tirée par son Oui, et des autres prêtres qui la soutiennent, principalement ceux de la secte FSSPX !

Pour : Tous, péchés mortels irrémissibles :

La calomnie est un péché mortel aggravé, irrémissible [qui ne peut être remis sans réparation préalable et prouvée] ! Un prêtre qui donne l’absolution [qui donc est nulle] sans que cette réparation ait été prouvée fait retomber sur lui aussi la faute, ce en plus de la confession sacrilège.

Transmis par ce même correspondant : Dom Jean De Monléon et autres.

À preuve, c’est que l’épouse en question dit bien haut et bien fort, comme pour se rassurer dans sa fuite en avant, se justifier, ou plutôt pour se tromper, tromper les derniers souffles de remords que sa pauvre Âme pas encore tout à fait assassinée exhale en ses derniers spasmes : tous les prêtres me soutiennent !, ils disent tous que je peux me séparer, etc.

Et l’abbé Hervé Belmont que dit-il ?, rien !, il dit donc qu’elle peut se séparer !, évidemment ! Ayant effective connaissance de la chose et ne disant rien !, il consent bien !

4.K.4.d - L’abbé Hervé Belmont fait partie de l’immense cohorte de mauvais prêtres.

Voici diverses citations au sujet de ces prêtres :

Pour les sources et bien d’autres citations, voir DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique ; point 9.B.3, Les prêtres damnés, relativement plus ou moins nombreux ?

→ Saint Jean Chrysostome : Je ne parle point témérairement et sans fondement, ce n’est pas par exagération que je m’en explique, mais je m’explique suivant mes sentiments et suivant la conviction et la persuasion où je me trouve ; je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de prêtres sauvés et je crois qu’il y en a beaucoup plus de ceux qui se damnent que de ceux qui se sauvent.

→ Saint Bernard : Hélas ! Seigneur mon Dieu, les plus ardents à vous persécuter, ce sont ces mêmes prêtres que vous comblez d’honneur dans votre Église !

→ Notre Seigneur Jésus-Christ : Plus lourde est sa [du prêtre] responsabilité que celle de tout autre. Aussi, la même faute est-elle punie plus sévèrement en lui que dans les hommes du monde.

→ Maurice Pinay : … ce danger interne [les mauvais prêtres], danger souvent bien plus destructeur et plus mortel que celui présenté par les ennemis du dehors.

→ Notre Seigneur Jésus-Christ : Gardez-vous des faux prophètes qui viennent à vous sous des vêtements de brebis, mais au dedans sont des loups rapaces. C’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez : instiguent-ils des séparations de corps, soutiennent-ils ces épouses révoltées, valident-ils au moins par leur silence criminel leur révolte ?

→ Notre Seigneur Jésus-Christ parle de l’écrasante majorité des prêtres : Du temple de leur âme, de la sainte Eglise qui est un jardin, ils ont fait un repaire d’animaux. […] Tous répandent l’infection de leurs pêchés mortels !

→ Saint Vincent de Paul : … l’Église, qui va ruinée en beaucoup de lieux par la mauvaise vie des prêtres ; car ce sont eux qui la perdent et qui la ruinent…

→ Saint Alphonse-Marie de Liguori : Mon Père, pardonnez-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. Mais cette prière ne compte pas pour les mauvais prêtres ; elle est bien plutôt leur condamnation, car ils savent parfaitement ce qu’ils font.

→ Bourdal : Les plus grands persécuteurs qu’ait Jésus-Christ ne sont pas les laïques, mais les mauvais prêtres.

Etc., etc., etc., voilà ce qu’est toute la GFGM dont fait ô combien partie cet abbé Hervé Belmont.

Évidemment, au sujet de ce qui va suivre, il dira qu’il s’agit des modernistes, ou de la FSSPX*, mais aucunement de lui !, cela ne fait rien, rappelons à ce cloaque d’impureté d’Hervé Belmont, ce que disait Notre Dame à La Salette : Les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes. Malheur aux prêtres et aux personnes consacrées à Dieu lesquelles par leurs infidélités et leur mauvaise vie crucifient de nouveau mon Fils !

Donnons à ce cloaque d’impureté, cet abbé Hervé Belmont, une dernière chance, rappelons-lui ce que Saint Jean-Marie Vianney disait : Si un pasteur reste muet [ce qui est exactement son cas en l’affaire dont nous nous sommes fait l’écho] en voyant Dieu outragé [profanation du Sacrement de Mariage, interdiction de se séparer] et les âmes s’égarer, malheur à lui ! S’il ne veut pas se damner, il faut que, s’il y a quelques désordres dans sa paroisse, il foule aux pieds le respect humain et la crainte d’être méprisé ou haï de ses paroissiens ; et serait-il sur d’être mis à mort après être descendu de chaire, cela ne doit pas l’arrêter. Un pasteur qui veut remplir son devoir doit toujours avoir l’épée à la main pour défendre les innocents, il poursuivra les pécheurs jusqu’à ce qu’ils soient revenus à Dieu ; cette poursuite ne doit cesser qu’à sa mort. S’il ne se conduit pas de cette manière, c’est un mauvais prêtre, qui perd les âmes au lieu de les conduire à Dieu.

Pour cette citation : DP-09, Les Prêtres de l’Église catholique ; point 9.C.12, ±1840 - Saint Jean-Marie Vianney, curé d’Ars.

Cette prière peut l’aider : Dieu qui montrez aux égarés la lumière de votre vérité pour qu’ils puissent rentrer dans la voie de la justice, accordez à tous ceux qui professent d’être chrétiens de repousser ce qui s’oppose à ce nom et de s’attacher à ce qui lui convient. (Collecte, 3ème dimanche après Pâques)

L’expression de notre espoir : … Mes frères, si l’un de vous s’écarte de la vérité et qu’un autre l’y ramène, sachez que celui qui ramène un pécheur de la voie où il s’égarait sauvera son âme de la mort et fera disparaître une multitude de péchés. (Saint Jacques)

Ainsi soit-il.

4.L - Annexes diverses

4.L.1 - Modifications apportées à ce document

Depuis sa publication, le 3 mai 2008, sur le site et en PDF, nous avons apporté le 7 octobre 2020 ces modifications :

1. De nombreuses fautes ont été corrigées.

2. Nous avons ramené des notes de bas de page dans le corps du texte, mais en retraits, ce qui facilite la lecture.

3. Nous avons aussi fait ces ajoutes :

→ Point 4.B.6, le retrait :

Pour : a été institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ :

→ Point 4.H.5.j,

Le titre : Peut-on évoquer la sanctification du dimanche pour ‘éviter’ le devoir conjugal ?

A été renommé : Peut-on prétexter de la sanctification du dimanche pour fuir le devoir conjugal ?

→ Point 4.I.1.b,

Le texte : Remarquons qu’il n’y a pas :

Renommé : Remarquons qu’il n’y a pas deux liens :

La suite a été agrémentée jusqu’à : Toutefois, en effet, l’Époux est lié conséquemment, au sens second, à son épouse.

→ Point 4.I,

Ajoute d’une sévère critique des trois textes étudiés :

4.I.3, Autre sévère critique des trois textes vus ci-devant

4.I.4, Oui, les EÉc se sont accaparés le SM

3Voir : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)… ; point DP-6.C.2, À tout prix !, même dans le plus déraisonnable et impossible !

4D’après Wikipédia, sujet à creuser. Demande d’aide. Source http://fr.wikipedia.org/wiki/Renaissance_du_xiie_si%C3%A8cle)

5D’après Wikipédia, sujet à creuser. Demande d’aide. Source http://fr.wikipedia.org/wiki/Renaissance_du_xiie_si%C3%A8cle)

6Genèse 1,28. « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 753.

7Voir : DP-5.B.4, L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne…

8Pour cela voyez la sagesse de l’Église pouvant pour quiconque servir de cadre, Voir : DP-4.C, L’Église confirme, et parfait le Mariage naturel.

9(idem ensuite) Genèse, « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 753.

10Bobotes, de notre invention, féminin pluriels de bobo. Bobo est contraction de bourgeois-bohème. Celui-ci est un pur nanar fripé, soit donc un anarchiste fils à papa !, qui tout en jouant en bourse refile la vérole de révolution aux ratés de prolétaires.

11Genèse 24,… « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 753.

12Voir : votre missel, et un peu plus loin.

13Voir : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I) ; point DP-5.C.9, L’autorité du Père est la plus complète : sacerdoce et empire.

14Voir : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I) ; point DP-5.C.7, Le Chef n’est pas revêtu de l’Autorité, elle lui est inhérente.

15Voir : DP-18.E.2, Psaume 44, XLV, (hébreu 45).

16Pie VI, Rescript. ad Episc. Agriens. 11 juillet 1789, cité par « Casti Connubii - 1930 - Pie XI », réf. page 758.

17Chapitre I, « Nature et effets du sacrement de mariage »,. « Le Saint Curé d’Ars et la famille - ± 1830 », réf. page 757

18« Le petit catéchisme du mariage – 1920 - abbé Joseph Hoppenot », réf. page 758.

19Idem ci-dessus.

20Voir : DP-3.B, L’Homme, engendre la femme, Il est son Maître.

21Voir : DP-3.C.3.b, Ils seront deux dans une seule chair.

23Chapitre IV, De la préparation au mariage, « Le petit catéchisme du mariage – 1920 - abbé Joseph Hoppenot », réf. page 758.

24N° 1017, §1, « Droit canonique - 1917 », réf. page 758.

25« Droit canonique - 1917 », réf. page 758.

26De fait, l’Église n’aurait pas le Droit de légiférer sur la donation du Sacrement de Mariage… Ceci est pour nous trop aventureux actuellement, une discussion pour valider ou invalider cette proposition est ouverte !

27Voir ensuite.

28Voir : DP-6.C.8, Concile de Trente : Il doit contenir son épouse dans son devoir.

29Voir : DP-18.C.2, Pie XII, allocution aux jeunes mariés, 10 septembre 1941

31Notre-Seigneur Jésus-Christ - Évangile selon Saint Matthieu, Chapitre 5, verset 17.

32Voir : DP-5.C.9, L’autorité du Père est la plus complète : sacerdoce et empire.

33Voir : DP-2.C.2.b, Les commandements de Dieu ont été donnés à qui ?

34Épître de Saint Paul aux Éphésiens, chapitre V, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 753.

35Chapitre VI ~ Devoirs mutuelles des époux. - « Le petit catéchisme du mariage – 1920 - abbé Joseph Hoppenot », réf. page 758.

36Votre missel, voir plus loin.

37Voir : DP-3.A.6, Dieu donne à Adam d’enseigner la femme encore inexistante…

39La messe de mariage - Missel quotidien présenté, traduit et commenté par Dom Gaspar Lefebvre. – 1960

40Voir : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.B, Le Mariage naturel, définition et caractéristiques.

41N° 1094, « Droit canonique - 1917 », réf. page 758.

43Chapitre II Le mariage sacrement. Ministère de ce sacrement, « Le petit catéchisme du mariage – 1920 - abbé Joseph Hoppenot », réf. page 758.

44Voir : DP-18.C.2, Pie XII, allocution aux jeunes mariés, 10 septembre 1941

45Le Saint Curé d’Ars et la famille, fin du chapitre II.

46Notre-Seigneur Jésus-Christ dit : Mais que votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal. (Mt 5,37.)

47Voyez la note 24, ch. 18.G.2

48Cf en Hollande, mais aussi bien que moins avancé, en France.

49Des motifs et des fins du Mariage, Le mariage, « Concile de Trente - 1545 - Le Mariage », réf. page 755.

50Note de l’auteur : Voici le texte de Léon XIII : Quam matrimonium habeat Deum auclorem fuerilque sel a principio qædam Incarnationis Verbi Dei adambratio, idcirco inest in eo sacrum et reliqiosum quiddam, non adventitium sed ingenitum, non ab hominibus acceplum, sed natura insitum… igilur cum mairimonium sit sud vi, sud nalard, sud sponte sacrum… D’où il déduit que l’autorité civile, comme telle, n’a aucun pouvoir sur le lien matrimonial.

51« Le petit catéchisme du mariage – 1920 - abbé Joseph Hoppenot », réf. page 758.

52D’après Wikipédia, sujet à creuser. Demande d’aide. Source http://fr.wikipedia.org/wiki/Renaissance_du_xiie_si%C3%A8cle)

53Voir : tout le point DP-9.C, Les mauvais prêtres, accablante majorité avant Vatican II… ; DP-9.C.13, ±1846 - La Très-Sainte Vierge Marie à La Salette.

54Le Mariage, Question 64, Article 3, « Somme Théologique de Saint Thomas - 1272 - Le mariage », réf. page 754.

55Saint Thomas d’Aquin, Le mariage, T3, Q61, A1, D3.

56III, Q64, Conclusion « Somme Théologique de Saint Thomas - 1272 - Le mariage », réf. page 754

57Chapitre VI, Devoirs mutuels des époux, « Le petit catéchisme du mariage – 1920 - abbé Joseph Hoppenot », réf. page 758.

58« Cantique des cantiques. - Traduction catholique de Fillion », Ancien Testament que vous trouverez en notre page Livres & sources.

60L. de la Brière, la jeune Mariée. Cité par « Le petit catéchisme du mariage – 1920 - abbé Joseph Hoppenot », réf. page 758.

61Livre des proverbes, 5, 18-20. Ancien Testament que vous trouverez en notre page Livres & sources.

62Cantique des cantiques Ch. 4,5

63Voir plus haut, 3.B.4.a - Notre épouse est un jardin fermé, une fontaine scellée

64Et Jésus le Fruit de Vos entrailles [à Vous TSVM] est béni !

65Voir : DP-3.B.10, Homélies sur la Genèse de Saint Jean Chrysostome.

66Voir : DP-7.D.2, Servante de son Époux !, Saint Astère, dit-il autre chose ?

68Voir : DP-3.C.4.a, Parce que vous avez écouté la voix de votre

femme…

69Voir : DP-7.E.9, Allez, une petite dernière pour la route…

70Voir : DP-3.B.3.h, Et, c’est ainsi que sera béni l’Homme qui craint le Seigneur :

71Recherchez ce terme ‘femme battue’ dans toute notre étude et sur notre site http://restaurationdelafamille.blogspot.com/.

72Idem ci-dessus, Voir : DP-5.B.2.c, Où l’on en vient à parler d’urinoirs… ; et DP-6.C.9.a, L’épouse coupable de fornication ou de fornication doit être réprimandée, recevoir des coups !

73Le Mariage, « Somme Théologique de Saint Thomas - 1272 - Le mariage », réf. page 754.

74Saint Paul aux Corinthiens, I, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 753.

76Le combat de la pureté, p. 162, §1 et s.

77P. 74, q. 83, § 2.« Catéchèse catholique du mariage – 1963 – abbé Barbara », réf. page 759.

78La messe de mariage - Missel quotidien Présenté, traduit et commenté par Dom Gaspar Lefebvre. – 1960

82La messe de mariage - Missel quotidien présenté, traduit et commenté par Dom Gaspar Lefebvre. – 1960

83Voir : DP-04, Le Mariage, définition, célébration, règles et usage… ; point 4.B, Le Mariage naturel, définition et caractéristiques.

84N° 1094, « Droit canonique - 1917 », réf. page 758.

86Chapitre II Le mariage sacrement. Ministère de ce sacrement, « Le petit catéchisme du mariage – 1920 - abbé Joseph Hoppenot », réf. page 758.

87Voir : DP-18.C.2, Pie XII, allocution aux jeunes mariés, 10 septembre 1941

88Le Saint Curé d’Ars et la famille, fin du chapitre II.

89Notre-Seigneur Jésus-Christ dit : Mais que votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal. (Mt 5,37.)

90Le combat de la pureté, p. 162, §1 et s.

91Roué : C. − Vieilli. [Corresp. à roué (sous-vedette infra) II B et à rouerie] Tromper, abuser quelqu'un, en particulier une femme. Pourquoi cet homme est-il dans un hôtel et moi dans un garni…, se disait Contenson. Il a trois fois roué ses créanciers, il a volé, moi je n'ai jamais pris un denier (Balzac,Splend. et mis.,1844, p. 129):

Il y a au fond de moi, enfouie, toute prête, (…) l'ambition de prendre une femme qui en mérite la peine, de lui être impénétrable en paraissant m'abandonner à elle, de la rouer [it. ds le texte], comme disait le xviiiesiècle. Non que j'aime le mal et la souffrance, mais cela me paraît une supériorité flatteuse, de garder son masque dans l'amour, de ne paraître à la femme qu'un enfant et d'être son maître. Goncourt,Journal,1862, p. 1096.

https://www.cnrtl.fr/definition/rou%C3%A9es

Synonymes : roublard, rusé, malin, futé, retors, habile, tortueux, matois, madré, astucieux, finaud

https://www.cnrtl.fr/synonymie/rou%C3%A9es

93Chapitre V – La femme et l’homme. « Histoire société domestique – 1844 – Mgr Gaume », réf. page 757.

94Exemple d’utilisation : Enférocer : lorsque le cocardier s'échauffe et poursuit ses assaillants avec une vigueur accrue, on dit qu'il s'enféroce

6https://fr.wikipedia.org/wiki/Lexique_de_la_course_camarguaise

95Au cas où l’on ne l’aurait pas deviné ce texte est de notre cru, et est pourtant bien vrai.

97Psaume XLIV (Ps 44), 11. Ancien Testament que vous trouverez ici : Livres & sources.

98Le fils de l’Empereur, d’André Castelot page 12, § 7.

99Comme l’épouse infidèle qui veut retourner en arrière, furent : Ève qui se retournait vers l’arbre, la femme de Loth, Voir :

→ DP-3.C.4.c, Reprenons, résumons notre dernier propos. et conteste ;

→ DP-4.J.4.a, Catastrophe ?, voyons cela avec Adam et Sa femme. ;

→ DP-4.J.4.b, Catastrophe ?, voyons cela avec Loth et Sa femme.

100Notons bien que surveiller ne veut pas dire espionner, épier, harceler, comme trop souvent on fait accroire malicieusement. Surveiller veut dire sur-veiller, veiller au-dessus, comme notre Père éternel veille sur nous, nous sur-veille, comme une mère sur-veille son bébé, etc. Sur-veiller, c’est veiller pendant que l’autre est inconscient, vu : son jeune âge, ou qu’il dort, ou qu’il est incapable de se gouverner lui-même comme l’épouse…

Nous notons aussi que pour que l’Époux puisse sur-veiller, veiller au-dessus, il faut impérativement que l’épouse soit sou-mise, mise en-dessous ! Une est sou-mise, l’autre sur-veille, au-dessus ! Chacun à sa place, sinon c’est une révolte et cela finit par un combat de ‘coqs’, c’est la séparation-divorce…

101Voir : DP-7.B.1, Les démons n’attaquent que les femmes affranchies de l’Homme !

102Genèse, « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 753.

103Voir : DP-3.A.6, Dieu donne à Adam d’enseigner la femme encore inexistante…

104Voir : DP-13, La loi des 80/20 de Vilfredo Pareto et la femme…

105Voir : DP-5.C.1, La femme n’est que pour son époux, et non pour les enfants.

106Saint Jean Chrysostome, Homélie sur la fête de la Nativité de Notre Seigneur Jésus Christ.

https : //mail.google.com/mail/ ?ui=1&attid=0.1&disp=vah&view=att&th=10fb4f3fca03e1e5

107Louis Veuillot. Vie de Jésus, cité par « L’Évangile expliqué, défendu médité… - 1904 - abbé Dehaut », réf. page 757.

108Idem note précédente.

109Attendre la suite de l’étude pour lire ce que de multiples auteurs disent tous, dans un parfait unisson…

* - Pour connaître la raison de cet astérisque et des suivants en nos documents, veuillez lire : Leur mode d’emploi…, point Nos documents comportent des astérisques ‘*’…

111Une emberlificote : selon notre site, une tromperie, une énoncée malicieusement alambiquée, voir par ex. le dictionnaire officiel du scrabble : http://www.funmeninges.com/dicoplus-consulter-mot-EMBERLIFICOTES.html

113Mat. 7, 15-16. Nouveau Testament que vous trouverez ici : Livres & sources.

114Voir : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point DP-10.B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare ! ; et DP-10.C, L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…