Du
16.12.2013. Version PDF.
Actualisé : ven. 28 août 2015,
22.18.
Table
de ce document, RH-2013-…
9
- Sieur Luryio, les
Trahitionalistes gèrent la « Bibliothèque de combat »
de Luciabel !
9.A.1.a
- Et alors que
nous rédigeons l’ossature de cet article…
9.B
- Décortiquons
maintenant cet immonde article…
9.B.1
- La Volonté
divine serait que la femme domine l’Homme !
9.B.2
- Fausse formule ?,
que : la force prime le Droit !
9.B.2.a
- Pire !,
ce pervers de prêtre a introduit une dualité, une confrontation,
une révolte !
9.B.2.b
- Comme
Luciabel, l’abbé prône le reversement de : La force prime
le droit !
9.B.3
- Inaccoutumément,
nous n’éplucherons pas plus loin cet immonde torchon !
9.C
- Concluons, sauf
question(s), cette réponse.
9.D.1.a
- La mission de
la femme est de sanctifier son mari
Commencé
en la Notre-Dame de Lorette,
le
mercredi 10 décembre 2013 ;
publié en la Saint Eusèbe,
Évêque et Martyr,
le lundi 16 suivant ;
ce document
Leur est confié.
Chers
Sieur Luryio, Chefs et futurs Chefs de Famille,
Et
en lisant la page, juste au dessus de l’article et vers sa droite,
nous avons eu notre œil accroché par un bijou de désinformation
déjà tout contenu dans le titre ; nous nous sommes alors
empressés de suivre le lien, et, c’est de cet article, tellement
symptomatique de la décomposition de l’Église Catholique réalisée
par les Ecclésiastiques de l’Église Catholique (EÉc) et qui
seule entraîna dans sa chute le monde dit moderne, dont nous voulons
vous parler ici ; nous vous proposons de le lire au moins en
diagonale au préalable : La
mission de la femme est de sanctifier son mari.
Cet
article, dont nous conservons copie en les Annexes diverses,
de ce document point La mission de la femme est de sanctifier son mari,
n’est qu’une suite de mensonges si grossièrement emballés.
Et
ces monstrueux mensonges viennent que de prêtres :
→ l’auteur,
prêtre de l’Église Catholique (EC) l’écrit en 1885.
→ les
prêtres qui le relais en 2013 se disent Traditionalistes,
mais étant de fait au service de Luciabel, sont bien effectivement
Trahitionalistes
pour tout Catholique aimant l’Église fondée par Notre-Seigneur
Jésus-Christ (NSJC) !
Et,
pas n’importe lesquels, ces Trahitionalistes,
mais dedits purs de purs, dedits durs de durs !, des
sédévacantistes grand teint comme : les abbés de Sodalitium,
lesdits ‛italiens’ ; les abbés Paul Schoonbroodt &
Cie ; les abbés Hervé Belmont et Philippe Guépin & Cie ;
l’abbé Roger et l’abbé Xavier Grossin & Cie, et l’abbé
Joseph Vérité, et etc. ; et ici plus particulièrement l’abbé
Jean-Luc Lafitte !
Oui !,
comme vous le dites l’abbé Lafitte en Égypte ! (seul ceux
ayant côtoyé par nécessité ou pas ces pervers peuvent comprendre
l’allusion : Égypte) : À
force de fréquenter les poubelles, on finit par puer !,
ou, comme la Très-Sainte Vierge Marie (TSVM) aurait pu le dire très
justement à La Salette : À
force de fréquenter les impuretés, on finit par être cloaque !
Gardez-vous
des faux prophètes, qui viennent à vous sous des vêtements
de brebis, et qui au dedans sont
des loups ravisseurs. (Mat 7, 15)
Au
plus qu’ils se bêlent éraillement
Traditionalistes,
au plus ils sont vraiment Trahitionalistes,
hautement dangereux ; car, ne sortant et ne se montrant qu’avec
le parfait attirail du loup caché sous une peau de brebis, soit :
soutane très classique, barrette bien campée sur la tête,
goupillon et rituel en mains ! Tous sans aucune exceptionnelle
exception : de parfaits Raminagrobis !
9.A.1.a - Et
alors que nous rédigeons l’ossature de cet article…
… nous
arrive un message privé de notre Sieur Luryio, et c’est ce
message, la partie concernant cette affaire, que nous Lui avons
demandé de mettre en commentaire que vous verrez recopié en nos Annexes diverses,
point Luryio13 décembre 2013 20:16…
Nous
Lui avions transmis rien que le lien concernant l’origine des races
et des langues, sans rien y ajouter !, nous voulions connaître
sa sagacité, sa pugnacité… Ce message nous réconforta bien.
Lecteurs,
pensez que Sieur Luryio n’a qu’une vingtaine d’années tout
juste révolue, et qu’auparavant Il ne connaissait pour ainsi dire
rien à toutes ces questions ! ; honte à ceux qui ont (ou
devraient avoir) les facultés pour réagir et qui lâchement ne
disent rien !
Oui !,
la nuit n’avance que parce que le jour s’efface !
Oui !,
le mal gagne que le terrain que lui cède le Bien !
Oui !,
le silence est coupable et sera rémunéré très durement, notre
devoir est de témoigner : C’est
pourquoi, quiconque Me confessera
(témoignera) devant
les hommes, Je le confesserai aussi Moi-même devant Mon Père qui
est dans les Cieux. Mais quiconque Me reniera
(se taira) devant
les hommes, Je le renierai aussi Moi-même devant Mon Père qui est
dans les Cieux. (Mat 10, 32-33)
9.B - Décortiquons
maintenant cet immonde article…
Ainsi
vous allez vous apercevoir que ces gents qui se disent d’un
Collectif
Contre-Révolutionnaire (voir en haut à
droite de la page précitée), et tenant unedite Bibliothèque
de combat, sont bien réellement des
subversifs travaillant rampément
pour Luciabel l’éternel androgyne à la destruction de toutes les
sociétés humaines par la destruction de leur base infrangible
qu’est la Famille, et cette dernière par Sa base unique et son Âme
qu’est l’Homme, l’Époux et Père, Chef absolu de celle-ci !
Pour :
Luciabel l’éternel androgyne :
Lucifer
dit de Lui-même : [Je
suis]
Luciabel, que vous nommez Lucifer !, Je suis l’éternel
androgyne !
Pour :
Sa base unique et son Âme qu’est l’Homme :
Tartuffes
pour le moins, pervers pour le Vrai !
Voici
ce que dit ce cloaque d’impureté, eh oui !, toujours eux en
première ligne !, l’abbé Eugène Galais en son Influence
de la femme chrétienne sur la vie morale de l’homme
(1885), comme relaté par cet article…
9.B.1 - La
Volonté divine serait que la femme domine l’Homme !
C’est
exactement ce qu’écrit ce pervers d’abbé Eugène Galais :
Soumise
à l’homme, la
femme domine l’homme
: telle
est la volonté de Dieu.
Ils
sont, ces pervers, tellement obsédés par la Puissance de
l’Époux-Père qu’ils exècrent au plus au point parce-qu’Elle
les empêche de forniquer tranquillement avec nos femmes, qu’ils ne
se rendent même plus compte de la grossièreté du trait !
Où,
le oui
mais non dans toute son horreur :
soumise, la
femme dominerait !
C’est
exactement comme de dire :
→ Soumis
à Dieu, l’Homme Le domine !
→ Soumis
à ses parents, l’enfant les domine !
→ Soumis
à la loi de la pesanteur, l’Homme la domine !, eh bien !,
qu’ils le vérifient bien vitement du haut de la falaise !,
ceci nous épargnera la fatigue de devoir bientôt les poursuivre
pour les pourfendre !
La
réponse à cette monstrueuse ânerie, que la femme dominerait
l’Homme, se trouve en tous nos documents !
Rappelons
rien quelques paroles bien Saintes :
→ Le
Seigneur Dieu à la transgresseuse de femme : Je
multiplierai vos maux et vos grossesses. Vous enfanterez dans la
douleur : vous serez sous la puissance de votre mari, et il
vous dominera.
(Gn 3,16)
→ Saint
Paul, à la pécheresse de femme : Je
ne permets point à la femme d’enseigner ni
de dominer sur l’homme
(I Tim. II, 12).
→ Dom
Bernard Maréchaux OSB, à la responsable de tous nos malheurs :
elle,
la femme,
lui est
assujettie plus strictement encore,
en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle a une
réparation à lui faire et une punition de son péché à subir…
Ainsi
donc, comme Luciabel leur maîtresse, ils, ces pervers d’EÉc,
poussent nos femmes à la révolte !, ils leur susurrent du haut
de leur arbre, qu’ils appellent très scandaleusement chaire
de Vérité,
qu’il faut qu’elles dominent leurs Époux !, ils leur
prônent la révolte !, comme de fait ils le font depuis au
moins ledit Concile de Trente !
9.B.2 - Fausse
formule ?, que : la
force prime le Droit !
C’est
ce qu’écrit ce pervers d’abbé Eugène Galais : Ce
contraste, vu précédemment,
est singulier,
c’est le renversement de cette formule fausse : La force prime le
droit.
Rappelons
que prime
veut dire : Tenir la première place, passer avant.
Que
nous dit le Je crois en
Dieu : Je
crois en Dieu, le Père tout-puissant…,
tout-puissant soit tout-fort !, pouvant de par cette force
tout faire !, et donc ainsi de par cette force
être : créateur
du ciel et de la terre !
Et
cette force
créatrice Lui ouvre Droit !, ce qui Lui permit (il est Droit
que) donc de :
→ donner
à Ses créatures cet ordre : Un
seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement ! (Décalogue, 1)
→ menacer
Ses créatures ainsi : Je
suis le Seigneur votre Dieu, fort
et jaloux ! (Ex 20,5)
Ce
n’est que la Force
du Seigneur Dieu, Sa toute-puissance, qui Lui permit (pouvoir,
capacité) de créer ; et cette Force
Lui a ouvert un Droit : c’est d’être exclusivement adoré !
Ainsi
donc : La
force prime le droit !, bien réellement…
Ainsi
donc, disant que cette formule est fausse, l’Auteur blasphème !,
en effet, Saint Augustin nous dit que : Nous
blasphémons lorsque nous attribuons au bon Dieu quelque chose qu’il
n’a pas ou qui ne lui convient pas, ou bien qu’on lui ôte ce qui
lui convient, ou enfin, quand on s’attribue, à soi-même ce qui
convient à Dieu, et qui n’est dû qu’à lui seul.
Le
blasphémateur d’abbé Eugène Galais dans sa révolte contre
l’Ordre divin prône le
renversement de cette formule qu’il déclare
péremptoirement fausse !
Toute
force
dans la création découle de la force
de Dieu, et pour l’humain de Son souffle
de vie* qu’Il fit sur Adam seul, et donc
point sur la femme !, et cette force
procréatrice
ouvre le Droit de l’Époux-Père sur Son épouse et Ses enfants,
comme la force
créatrice de
Dieu Lui a ouvert ce Droit sur Ses créatures !
Oui !,
la
force prime le droit qu’elle lui ouvre !
9.B.2.a - Pire !,
ce pervers de prêtre a introduit une dualité, une confrontation,
une révolte !
En
effet, dans la formule la
force prime le droit il y a non
confrontation, mais découlement : la
force prime, elle est première, elle est
fontale, et le
droit découle de cette force,
elle en est le résultat !, la conséquence, elle en est
l’enfant !
Or,
l’auteur a sciemment introduit une dualité, une confrontation, une
séparation-divorce entre la
force et le
droit !, entre :
→ la
Source ou Père, la Force,
→ et,
la résultante ou enfant, le droit !
Comme
tout son torchon nous le prouve, ce pervers d’abbé Eugène Galais
oppose sciemment et mensongèrement ladite grâce de la femme à
ladite grossièreté de l’Homme inefféminé,
pas encore efféminisé !,
soit à ces rudes
pères de famille à l’autorité absolue et incontestée, gardiens
fidèles de leur gens…
(Pie XII)
9.B.2.b - Comme
Luciabel, l’abbé prône le reversement de : La
force prime le droit !
Oui,
La
Force prime le Droit qu’Elle génère !
Et
cet abbé Eugène Galais prêche, prône, annonce le
renversement de cette formule dite fausse :
La force prime le droit.
L’abbé
Eugène Galais prône son renversement, ainsi :
Alors
que le Force de Dieu Tout-Puissant impose à l’Homme l’adoration
et la servitude, cet abbé prône le renversement de Dieu au nom
desdits droits de l’homme !
Alors
que la Force de l’Époux tout-puissant impose à Son épouse la
vénération et
la servitude, cet abbé lui bêle éraillement le renversement de
l’Époux au nom desdits droits de la femme !
Quant-au
Sacrement de Mariage :
C’est
le Concile de Trente qui mit ce germe de révolte en terre :
séparabilité des époux, ou dite permission de se séparer de
corps, opposition frontale à NSJC.
C’est
cet abbé Eugène Galais qui en 1885 inaugura un arbre de la liberté
pour la femme en lui susurrant notamment que la femme dominerait
l’Homme.
C’est
ces pervers de prêtres Trahitionalistes
qui en 2013 font cette magistrale piqûre de rappel en leur
Bibliothèque
de Combat de Luciabel, en relayant ce
monstrueux article.
Tous
hurlent bien effectivement Non
Serviam !, je ne veux pas servir !
Eux, Dieu !, elles, leurs Époux !
Et,
si nous refusons, donc aussi pour l’Éternité, la Force et le
Droit de ce Dieu d’Amour, alors, la nature ayant horreur du vide,
c’est la force et le droit de Luciabel que nous subirons
affreusement, éternellement !
9.B.3 - Inaccoutumément,
nous n’éplucherons pas plus loin cet immonde torchon !
Cher
Sieur Luryio, inaccoutumément
nous vous cédons le pas, nous vous laissons la parole en
retranscrivant votre sagace analyse, que nos Lecteurs veuillent bien
bien la lire :
Cher
QJSIOJC,
[…]
Malheureusement, comme vous avez dû le remarquer, on trouve beaucoup
de ce genre de site (comme celui-ci [le Site
Bibliothèque de combat])
qui disent bien des choses édifiantes sur presque tout les sujets,
sauf évidemment quand il s’agit de parler de la nature de l’Homme
et de la femme.
Ce
que je n’aime pas surtout, c’est qu’il détourne vicieusement
de bons et même saints exemples. Il renverse tout, mais la première
phrase montre pourtant clairement l’absurdité de tels propos :
"Soumise à l’Homme, la femme domine l’Homme", soit cet
Abbé à un humour pitoyable, soit… eh bien on comprend qu’à
l’époque ils étaient déjà bien féminisés. Pourtant n’importe
qui raisonnant un minimum et ne se laissant pas berner par des
émotions aurait pu le reprendre…
Avec
lui, la femme s’apparente à la moral, au droit, à la raison
presque, alors que l’Homme n’est que force physique, une brute
sans esprit qui ne pourrait pas bien se diriger sans les
enseignements de sa bonne femme. Et là il confond gravement
enseignement et influence, il oublie surtout que c’est les Hommes,
Pères, qui seuls peuvent engendrer des filles chastes et pieuses qui
feront le plus grand bonheur de leur futur Mari. Il oublie simplement
la Genèse.
Voilà
donc ce que je pense.
Que
le Bon Dieu vous garde.
Oui !,
Sieur Luryio, et contrairement à ce que dit ce pervers parce que
prêtre comme l’on peut le dire maintenant, comme nous vous le
disions précédemment : la
femme est le problème, pas la solution !
9.C - Concluons,
sauf question(s), cette réponse.
Chers
Sieur Luryio, Chefs et futurs Chefs de Famille, nous espérons
sincèrement Vous avoir aidé et (ré)conforté par ce texte que nous
pouvons développer selon votre honnête demande.
Cher
Sieur Luryio, nous Vous remercions encore
pour votre bonne aide, que le Bon Dieu vous le rende au centuple
comme Il l’a promis !
Cette
Parole vue plus haut est bien pour Vous : quiconque
Me confessera
devant
les hommes, Je le confesserai aussi Moi-même devant Mon Père qui
est dans les Cieux !
Et
celle-ci est bien pour
ces cloaques
d’impureté parce
que prêtres (Cf. la Très-Sainte Vierge
Marie à La Salette) : quiconque
Me reniera
devant
les hommes, Je le renierai aussi Moi-même devant Mon Père qui est
dans les Cieux !
Chers
Sieur Luryio, Chefs et futurs Chefs de Famille, que le Bon Dieu Vous
bénisse tous, Vous et Vos Maisons !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
Soumise
à l’homme, la femme domine l’homme : telle est la volonté de
Dieu. Ce contraste est singulier, c’est le renversement de cette
formule fausse : La force prime le droit.
C’est,
en effet, la force morale ou le droit qui prime la force physique ou
l’injustice. Or, la femme exerce sur l’homme cette influence
morale. Cette domination de la femme, si elle est bonne, c’est la
vie, le salut ; au contraire, si elle est mauvaise, c’est le pire
des malheurs, c’est la mort.
Que
cette domination ait été funeste et néfaste, l’histoire même
des enfants d’Israël en fournit la preuve. D’une parole, Eve a
fait d’Adam un complice et un grand coupable. La force de Samson et
la sagesse de Salomon n’ont pas même trouvé grâce devant la
femme. «Et David, le malheureux David, dit Bossuet, qui ne connaît
sa lamentable histoire ?»
Nous
n’avons point à parler ici de l’influence mauvaise d’une Agnès
Sorel, d’une Gabrielle d’Estrées, mais de cette douce et
bienfaisante influence d’une sainte Clotilde, d’une sainte
Bathilde, d’une Blanche de Castille, d’une sainte Geneviève,
d’une Jeanne d’Arc.
Un
homme des plus célèbres, un des savants contemporains les plus
versés dans les sciences d’économie progressiste et sociale, un
philosophe, qui établissait sa doctrine sur des fondements solides,
M. le Play, dont les profonds et utiles ouvrages, trop peu connus,
devraient être aux mains de tous les vrais économistes, M. le Play
écrit : «Les hommes qui se distinguent par leur talent et leurs
vertus doivent, pour la plupart, leur supériorité aux premiers
enseignements de leurs mères et aux conseils de leurs femmes».
Qui
fait une nation florissante?
«C’est
le cœur des mères, des sœurs, des épouses. Donnez à un peuple de
fortes et courageuses mères, et l’on répond de ce peuple !
L’antiquité même le savait et voilà pourquoi les plus célèbres
cités, très attachées à leur gloire, très jalouses de posséder
dans leur sein d’intrépides héros, mettaient tous leurs soins à
former le courage des femmes, persuadées que c’était le seul
moyen de voir grandir l’âme des guerriers.
Si
Sparte le pensait ainsi, combien plus doivent le penser les
chrétiens. Jésus-Christ venu pour tout relever dans le monde, a
relevé d’une manière divine l’empire spirituel des femmes et Il
leur a donné la puissance de former vraiment les âmes, de leur
transmettre les premiers trésors nécessaires : Dieu, la loi morale,
la justice, la pureté, l’honneur. Oui, c’est sur l’influence
des épouses et des mères que nous comptons pour que la France soit
forte et respectée, pour que la chaîne de ses gloires se continue
par l’accomplissement des grands devoirs».
Eh
bien ! mes frères, c’est cette influence religieuse et morale de
la femme sur la vie publique des hommes, que nous allons constater ce
soir à l’aide de l’histoire. Dans une seconde conférence, nous
verrons cette influence de la femme s’exerçant sur la vie privée
et publique de l’homme, à l’aide d’une triple puissance : la
charité patiente, la lumière prudente de l’apostolat, la force.
Sanctifier son mari, telle est la mission de la femme chrétienne.
Abbé
Eugène GALAIS – Influence de la femme chrétienne sur la vie
morale de l’homme (1885)
Cher
QJSIOJC,
Je
prends l’occasion de commenter cet article, et de vous dire que
j’ai aimé ces répliques, cela nous donne un bon aperçu de notre
dégradation, rien qu’en l’espace de ces cinquante ans.
D’ailleurs, les films montrent bien l’état de la société, il
n’y a qu’à voir ceux d’aujourd’hui, prônant rien que par
exemple l’homosexualité.
Malheureusement,
comme vous avez dû le remarquer, on trouve beaucoup de ce genre de
site (comme celui-ci) qui disent bien des choses édifiantes sur
presque tout les sujets, sauf évidemment quand il s’agit de parler
de la nature de l’Homme et de la femme.
Ce
que je n’aime pas surtout, c’est qu’il détourne vicieusement
de bons et même saints exemples. Il renverse tout, mais la première
phrase montre pourtant clairement l’absurdité de tels propos :
"Soumise à l’Homme, la femme domine l’Homme", soit cet
Abbé à un humour pitoyable, soit… eh bien on comprend qu’à
l’époque ils étaient déjà bien féminisés. Pourtant n’importe
qui raisonnant un minimum et ne se laissant pas berner par des
émotions aurait pu le reprendre…
Avec
lui, la femme s’apparente à la moral, au droit, à la raison
presque, alors que l’Homme n’est que force physique, une brute
sans esprit qui ne pourrait pas bien se diriger sans les
enseignements de sa bonne femme. Et là il confond gravement
enseignement et influence, il oublie surtout que c’est les Hommes,
Pères, qui seuls peuvent engendrer des filles chastes et pieuses qui
feront le plus grand bonheur de leur futur Mari. Il oublie simplement
la Genèse.
Voilà
donc ce que je pense.
Que
le Bon Dieu vous garde.
♣
Bonjour,
RépondreSupprimerJe ne sais pas si la page est appropriée mais j'avais une question à vous poser.
"→ Soumis à ses parents, l’enfant les domine !"
Les enfants sont soumis à leurs parents père et mère et doivent les honorer, donc aussi la mère qui est deuxième dans la hiérarchie de la famille.
Mais comme la femme doit toujours être sous tutelle le jour ou elle deviendra veuve elle devra donc être sous l’autorité d'un des fils.
Comment doit-elle être soumise à son fils qui lui doit l'honorer toujours (vu qu'il doit honorer son père et sa mère)?
Y a t 'il donc une particularité à la tutelle de la mère par son fils par rapport à celle qu’elle devait à son mari?
Comment doit faire le fils pour être le chef tout en ayant toujours un profond respect pour sa mère?
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres.
Cher Sieur Pierre Le moyen,
SupprimerMerci beaucoup pour votre commentaire, cela nous fait plaisir de vous voir bien régulièrement et bien sympathiquement...
Lecture de la messe et autres dévotions dominicales, repas et petite sieste sont les causes de votre attente.
Le "Soumis à ses parents, l’enfant les domine !", comme vous l’avez remarqué, est de fait une critique de ce pervers abbé qui disait l’énormité satanique cause de cet article : Soumise à l’homme, la femme domine l’homme : telle est la volonté de Dieu.
Du reste nous avions écrit en cette petite liste d’où ce que vous épinglez est retiré : « soumise, la femme dominerait ! […] C’est exactement comme de dire : »
Puis vous nous dites « Les enfants sont soumis à leurs parents père et mère et doivent les honorer, donc aussi la mère qui est deuxième dans la hiérarchie de la famille. »
Nous pensons que vous confondez « soumission » et « honoration », voulez-vous bien voir si vous avez la réponse attendue ici : RH-2013-05, Cher Sieur Luryio, à Son Père le Gars doit soumission en l’enfance, respect toujours !; point 5.C.4.f - Différence entre soumission et honoration.
Adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2013/05/rh-2013-05-cher-sieur-luryio-son-pere.html
De plus la mère n’est pas deuxième en la hiérarchie de la famille, mais elle est revêtue de l’Autorité de son Époux pour autant qu’elle soit dans Son exacte giron !, son Autorité n’est qu’une Autorité par délégation, et non comme celle d’un sous-directeur qui à la mort de son patron devient « césar à la place de césar ! »
Donc, son Époux mort, la mère perd cette délégation d’Autorité, qu’elle retrouvera, s’Il le veut, en son Fils dont elle devient la déléguée d’Autorité !, et, ce le temps où elle reste dans l’exacte giron de ce Fils et le temps où Il le veut !
Et vous aurez aussi, il nous semble, la réponse à cette autre interrogation : « Comment doit-elle être soumise à son fils qui lui doit l'honorer toujours (vu qu'il doit honorer son père et sa mère)? »
Oui ! Il y a « une particularité à la tutelle de la mère par son Fils par rapport à celle qu’elle devait à son Époux », c’est qu’évidemment le Fils aîné tuteur de sa Mère, exerçant donc l’Autorité de Son Père qui est défunt, ne peut prétendre au lit conjugal !, sinon, il n’y a pas de différence fondamentale !
À la lecture du renvoi précité et du peu que nous mettons ici (les commentaires ne permettent pas un développement bien profond et structuré), nous pensons que vous avez la réponse à « Comment doit faire le fils pour être le chef tout en ayant toujours un profond respect pour sa mère? »
Si vous deviez désirer, ce que nous pensons !, un développement plus probant et documenté n’hésitez pas à nous le dire, alors nous vous répondrons en une page spéciale ; n’hésitez pas à nous le faire savoir...
Nous prierons particulièrement pour vous et les vôtres en cette sainte nuit et ce saint jour de Noël, nous coucherons nos prières pour vous en la litière de notre doux Sauveur, tout-près de Son Sacré-Cœur...; veuillez avoir la bonté de faire de même pour nous.
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
"le Fils aîné tuteur de sa Mère, exerçant donc l’Autorité de Son Père qui est défunt, ne peut prétendre au lit conjugal !, sinon, il n’y a pas de différence fondamentale !"
SupprimerÉvidement sur ce point mais le fils ne doit-il pas avoir un respect supplémentaire dans sa façon de se conduire avec sa mère dans sa façon de s'adresser à elle un respect plus exigeant que le mari doit avoir envers sa femme?
En effet il doit être toujours reconnaissant de l'amour et l'affection que sa mère lui a donné lorsqu'il était enfant.
Le fils ne doit pas respecter sa mère uniquement parce qu'elle est déléguée de son père mais aussi pour ces raisons.
Et cette reconnaissance fait qu'il ne peut à mon avis pas réprimander ou discipliner sa mère exactement de la même manière qu'un homme peut le faire avec sa femme ou qu'un père avec sa fille ou un frère envers sa sœur?
Même s'il est son chef il me paraît inconcevable qu'un homme corrige sa mère alors que corriger son épouse de la part de l'époux est un acte normal.
Il me paraitrait personnellement inconcevable le jour où je mourrais que mon fils ose manquer de respect à mon épouse et ose lever la main sur elle.
Et merci pour vos prières..je prierais également pour vous pendant les fêtes de Noël!
Je vous envoie juste une précision:
Supprimer"Le fils ne doit pas respecter sa mère uniquement parce qu'elle est déléguée de son père"
Lorsque son père est vivant le fils doit obéir à sa mère autorité que la mère a de son mari mais lorsque le mari meurt elle perd effectivement cette autorité sur lui et il devient à son tour son chef mais il doit l'honorer toujours et cet honneur ne part pas à la mort du père!
Ce qui est différent si un homme à l'autorité sur sa sœur: il n'a pas accès au lit conjugal évidement mais par contre son comportement ne nécessite pas autant de respect qu'un fils envers sa mère car dans ce cas il doit se souvenir d'avoir été nourrit au sein par elle consolé par elle enfant, etc...
En la Sainte Victoire.
SupprimerCher Sieur Pierre Le moyen,
Merci encore pour vos deux derniers commentaires...
C’est bien visible en vos commentaires, et de cela soyez loué, que vous êtes bien en accord avec tout ce que nous disons en ce site, et que votre soucis très louable est d’être tempéré, de prêcher cette tempérance très chrétienne comme nous le faisons aussi constamment, ce pour l’opposer à la tolérance entendue dans le sens Luciabélien : lâcheté de l’Homme devant la femme qui tente de se rebeller, de s’émanciper.
Ainsi tout ce qui suit appuie donc ce que vous dites aussi.
Votre premier commentaire
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En effet, dans le cas où l’Aîné exerce l’Autorité de Son Père, et même si Son Père n’est point mort, le respect qu’il doit à Sa mère est de la maintenir avec fermeté dans la Vérité, coûte que coûte !, ce donc :
→ soit Son Père mort
→ soit du vivant de Son Père si Celui-ci n’est point là pour gouverner Son épouse (voyage, guerre, etc.)...
Avec profit, veuillez bien lire cette nouvelle : CN-2008-04, Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.
Adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/07/un-seigneur-justifie-ses-garons-qui-ont_24.html
Le respect et la galanterie sont des mots vidés de leur sens profond, Vrai !, ils sont carrément luciférianisés ; pour complément bien nécessaire, veuillez lire DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II)… ; point 8.F.1 - Mensonge, que la ‘galanterie’ !
Adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/11/restaurer-la-dignit-de-la-femme-par-sa.html
Non, le fils ne doit pas avoir un respect supplémentaire dans sa façon de se conduire avec sa mère, dans sa façon de s’adresser à elle, un respect plus exigeant que le mari doit avoir envers sa femme !, il est certes quelque-peu différent dans son expression, mais point supplémentaire... Par exemple, en cas d’insolence de la femme épouse ou mère :
→ l’Époux dira : femme tais-toi, et prosterne-toi devant ton Seigneur et Maître !, sinon il t’en cuira et tu finiras au cachot !
→ l’Enfant dira : femme tais-toi, et prosterne-toi devant l’Autorité dont je suis investi et de Droit Divin et du Droit de Mon Père, ton Seigneur et Maître !, sinon il t’en cuira et tu finiras au cachot ! (voir lien précédent !)
Le gars, héritier de l’Autorité de Son Père pourrait dire à Sa mère : femme !?, oui en effet comme vous allez encore le voir ensuite.
Vous dites que l’enfant : « En effet il doit être toujours reconnaissant de l'amour et l'affection que sa mère lui a donné lorsqu'il était enfant. », certes, certes, et c’est pour cela que si elle veut des bisous, des petits cœurs et de la dentelle dans les paroles qu’Il lui adresse, elle doit en prendre les moyens, soit donc d’être parfaitement à sa place, soit d’être parfaitement ordonnée aux Hommes, Époux, ou Fils en ce cas.
N’oubliez qui nous sommes maintenant complètement féminisés, efféminisés par Luciabel, et que nous ne savons plus nous comporter normalement, oui !, normalement avec les femmes, soit comme ces exemples le montrent bien :
→ Ces rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée, gardiens fidèles de leur gens (Pie XII)
→ Femme, qu’y a-t-il entre Moi et Vous ? Mon heure n’est pas encore venue. (NSJC, Jean 2, 4)
Cher Sieur Pierre Le moyen, il faut lire les renvois que nous vous avons donnés en le commentaire précédant et en celui-ci, sinon il ne sert à rien que nous nous étalions à vous répondre. Si vous les aviez lu, vous n’auriez pas écrit : « Et cette reconnaissance fait qu'il ne peut à mon avis pas réprimander ou discipliner sa mère exactement de la même manière qu'un homme peut le faire avec sa femme ou qu'un père avec sa fille ou un frère envers sa sœur »
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SupprimerPlus loin vous nous dites : « Même s'il [l’Aîné donc] est son chef il me paraît inconcevable qu'un homme corrige sa mère alors que corriger son épouse de la part de l'époux est un acte normal. », veuillez vous reporter au renvoi plus haut : Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.
Si vous mourriez, comme vous le dîtes, et si vous êtes au Ciel, ce que nous voulons absolument pour vous comme pour nous, et comme pour tous nos Lecteurs, vous trouveriez alors tout-à-fait concevable que, si nécessaire, votre Fils lève la main sur sa mère ! Il le devrait par respect pour elle en premier (pour son Âme), et par respect pour vous dont Il tient justement cette Autorité qui lui permet un tel acte !, qui rend cet acte Droit !
Et, vous trouveriez donc, selon le même cas, tout-à-fait inconcevable que votre Fils vous trahisse ainsi et laisse votre épouse glisser bien confortablement vers les précipices infernaux, l’enfer !
Votre second commentaire
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En effet l’enfant (Gars ou fille) doit toujours honorer, soit faire honneur, ses parents ; et, si le Père est mort, l’Aîné honorera Son Père en aimant et honorant Sa mère, et cet honoration et cet amour qu’Il lui doit, à Sa mère, est de bien la gouverner, et ce sans compromis !, comme son Père l’aurait fait de son vivant.
Et en effet aussi, et en premier, l’humain doit faire honneur à notre Dieu d’Amour en étant bon chrétien notamment, et ses parents aussi, et bien-sûr aussi, comme vous le faites remarquer, ses frères et sœurs parce-qu’ils sont du même sang parce-que du même Père.
L’Aîné ayant autorité sur sa mère par suppléance temporaire (Père en voyage) ou définitive (Père mort), se souviendra avec émotion ordonnée « d'avoir été nourrit au sein par elle consolé par elle enfant, etc... », ce qui le motivera à agir avec tempérance et sans faiblesse !
Concluons pour l’instant
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Veuillez bien lire tous les renvois que nous vous avons donnés en les deux commentaires, et peut-être à bientôt après Noël que nous vous souhaitons bien saint et bien chaleureusement entouré des vôtres.
Merci beaucoup pour vos promesses de prières pendant les fêtes de Noël !, nous en avons bien besoin.
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Cher Sieur Le moyen, Vous et tous les Vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Bonjour,
Supprimer"C’est bien visible en vos commentaires, et de cela soyez loué, que vous êtes bien en accord avec tout ce que nous disons en ce site,"
Oui je suis d'accord avec vous sur l'essentiel même si parfois je trouve que vous manquez (un peu) de tempérance.
"certes, certes"
Je fais peut-être une erreur mais j'ai eu l'impression que le certes voulait dire que vous minimisiez l'importance de la reconnaissance que le fils doit à sa mère pour l'amour qu'elle lui a donné.
Il ne faut pas oublier que l'amour maternel est essentiel pour l'enfant essentiel pour son bonheur et que tous les enfants aiment profondément leur mère.
J'ai lu votre lien et il s'agit d'une circonstance exceptionnelle (les biens de al famille étaient en jeu) sans circonstance exceptionnelle et dans la mesure où la femme reconnait l'autorité de son fils il est normal que le fils lui soit aimable qu'il lui parle gentiment et aussi qu'il fasse attention à son âge car la plupart des veuves sont âgées.
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Cher QJSIOJC, Vous et tous les Vôtres.
En la Saint Étienne.
SupprimerCher Sieur Pierre Le moyen,
Vous nous dites « je trouve que vous manquez (un peu) de tempérance. »
Alors que le mensonge règne en maître maintenant, alors que la haine de la Famille et de l’Époux-Père en particulier est la seule raison d’être de tout mouvement prétendant se pencher sur la pauvre petite femme qui est justement à l’origine de tous nos maux, oui !, ladite tempérance est la vrille, la sape permettant à très court terme, de fil en aiguille, d’imposer le silence aux défenseurs de la Vérité !, ladite tempérance est castratrice !, révolte contre l’Ordre divin.
Nous sommes en une société d’Hommes, pour les Hommes, et gérée par Eux !, ce de Doit divin ; et, le reste n’est rien que du pipeautage, flûteries de Luciabel ! Une fois qu’elles auront convenu qu’elles doivent être totalement asservies par L’Homme, Père ou Époux, ou Fils ou Tuteur, alors, l’on aura bien le temps de passer, comme dit précédemment : aux bisous, petits cœurs et dentelle dans nos paroles !
Oui !, « la femme doit être soumise à l’homme comme à son chef naturel, elle lui est ASSUJETTIE PLUS STRICTEMENT ENCORE, en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle a une réparation à lui faire et une punition de son péché à subir. » (La modestie chrétienne de la femme, qui reprend Dom Bernard Maréchaux OSB qui fut un ami écouté de saint Pie X.)
Vous épinglez notre « certes, certes », et poursuivez ainsi « … j'ai eu l'impression que le certes voulait dire que vous minimisiez l'importance de la reconnaissance que le fils doit à sa mère pour l'amour qu'elle lui a donné. », non !, il remet simplement en ordre le choses, soit le Premier en premier et la subordonné en subordination !, et si elle veut le reste, la femme, soit damoiselle ou épouse, mère ou veuve, ou veille-fille ou et que sait-on d’autre, alors qu’elle Lui soit délicieusement asservie !, à son Chef de moment, ici, l’Aîné !
L’amour maternel n’est pas essentiel pour l'enfant, et ni pour son bonheur !, l’Amour Paternel, oui !, et très strictement, Il est très absolument fontal, exclusif si l’on doit faire un partage : Amour paternel, amour maternel !
Et si « tous les enfants aiment profondément leur mère », c’est presque toujours dit pour l’opposer à l’Amour paternel, pour entraver ces « rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée, gardiens fidèles de leur gens »… (Pie XII),.
Si ces enfants aiment profondément leur mère, c’est que cedit Amour est désordonné, opposé à l’Amour exclusif (prioritaire, fontal) dû au Père, ce qui du reste est seule et unique cause de la féminisation ou efféminisation desdits Hommes..., de la sodomie.
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SupprimerNous luttons pied à pied ici-bas, acculé par les attaques Lucifériennes, aussi le temps n’est certainement pas à la romance, il n’aurait jamais dû l’être et ne devra jamais l’être ; remettons en place les choses !, la vraie galanterie est de corriger nos femmes !, vous n’avez pas lu, semble-t-il bien, le renvoi vu plus haut : Mensonge, que la ‘galanterie’ !
Puis vous dites « J'ai lu votre lien et il s'agit d'une circonstance exceptionnelle (les biens de al famille étaient en jeu) », toutes les circonstances, avec la femme, sont forcément exceptionnelles, elle qui ne pense qu’à tirer tout vers le bas !, elle qui est encore en ce moment, nous devrions même dire aujourd’hui comme jamais, cause de tous nos malheurs !
Oui donc, et certes certes !, dans ces circonstances toujours et forcément exceptionnelles et dans la mesure où la femme reconnaît l'Autorité absolue de son Fils, il est normal que le Fils lui soit aimable, qu’Il lui parle gentiment, soit très fermement !, soit en Vérité..., là est la vraie Charité envers la femme !
Faites attention !, le féminisme luciabélien commence justement par cette dite douceur avec les femmes !, la galanterie que l’on lui doit, c’est de la rebrider !, et seulement alors, suivrons naturellement : des bisous, des petits cœurs et de la dentelle dans les paroles !
Cher Sieur Pierre Le moyen, que le Bon Dieu Vous bénisse, Cher Sieur Le moyen, Vous et tous les Vôtres ; comme promis, nous avons bien prié pour Vous devant la crèche, et aussi pour tous nos Lecteurs.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
"L’amour maternel n’est pas essentiel pour l'enfant, et ni pour son bonheur !, l’Amour Paternel, oui !"
Supprimerje ne suis sur ce point pas du tout d'accord avec vous l'amour paternel est essentiel et peut-être même plus que l'amour maternel mais il reste aussi essentiel.Si vous pensez à votre enfance pensez vous que l'amour de votre mère était sans importance ??
"Et si « tous les enfants aiment profondément leur mère », c’est presque toujours dit pour l’opposer à l’Amour paternel, "
Je ne suis pas d'accord non plus sur ce point:
Personnellement j'aime ma mère ce qui n'entrave pas le respect et l'amour que j'ai envers mon père JAMAIS je n'ai imaginé faire une opposition mon fils aime mon épouse et moi aussi et je n'ai pas besoin pour qu'il reconnaisse mon autorité de père et que mon épouse reconnaisse mon autorité d'époux de rabaisser l'amour maternel que mon épouse a envers lui.
"Si ces enfants aiment profondément leur mère, c’est que cedit Amour est désordonné, opposé à l’Amour exclusif (prioritaire, fontal) dû au Père,"
Tous les Hommes ont toujours aimé leur mère et ce avant la perversion des féministes sans que ces hommes ne soient féminisés.
Donc vous n'aimiez pas votre mère vous-même?
"la vraie galanterie est de corriger nos femmes !, vous n’avez pas lu, semble-t-il bien, le renvoi vu plus haut : Mensonge, que la ‘galanterie’ ! "
Si j'avais lu et je suis d'accord sur ce point mais qu'un homme corrige son épouse est une chose mais faire croire que l'amour entre une mère et ses enfants est sans importance là non!
que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres
En la Saint Jean Apôtre et Évangéliste.
SupprimerCher Sieur Pierre Le moyen,
Il ne faut pas tourner autour du pot, jouer à l’anguille !, vous dites bien « l'amour paternel est essentiel et peut-être même plus que l'amour maternel mais il reste aussi essentiel. »
Que veut dire « essentiel », qui est l’essence !, d’essence !, c’est pour cela que nous vous avons aussi parlé de fontal, d’origine en disant : « Il est très absolument fontal » ; ce, pour vous avertir que vous preniez une bien mauvaise direction.
L’Amour divin est fontal (source), essentiel, l’amour que l’on Lui doit est essentiel (retour), nous ne pouvons aimer personne d’autre que Lui : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, et de tout ton esprit. (Mat 22, 37)
L’amour que l’on doit au prochain n’est pas essentiel, il dérive de l’Amour que l’on doit à Dieu : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. (Mat 22, 39)
→ Donc l’Amour de Dieu est essentiel (Source), et donc l’amour que l’on Lui doit (retour) est tout aussi essentiel !
→ Donc, l’Amour que l’on doit au prochain dérive de l’amour que l’on doit à Dieu, il ne fait que dériver de cet amour ; il est donc nullement essentiel !
→ Donc, si ledit amour du prochain nous éloigne de l’Amour essentiel, l’on ne doit pas le pratiquer (fréquenter), l’on pourra le pratiquer au second degré, pouvons-nous dire, en priant pour sa conversion.
L’amour maternel n’est qu’une émanation, et une émanation amoindrie, ordonnée, dérivée de l’Amour paternel qui Lui est fontal, essentiel, originel !
Nous ne pouvons rien de plus pour vous, car gangrené par le féminisme que ne date pas d’une période moderne comme vous le pensez, mais de l’apparition de l’éternel androgyne, Luciabel, du haut de son arbre à malice en le jardin d’Éden à Ève ; vous semblez ne pas vouloir comprendre, or vous le pourriez !
Veuillez lire, absolument : CN-2010-16, La Paternité Est, éternelle ; la maternité, qu’une fontaine, souvent malicieuse.
Source : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2010/11/la-paternite-est-eternelle-la-maternite.html
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SupprimerSecondement, dans votre texte se glissent de forte contradiction, une forte confusion :
→ Vous écrivez : « l'amour paternel est essentiel et peut-être même plus que l'amour maternel », or !, si l’Amour paternel est essentiel, l’amour maternel ne l’est donc pas, ou alors l’Amour paternel ne l’est pas, il ne peut y avoir deux essences, deux origines, deux sources !, toutes deux fontales !
→ Du reste, vous insistez violemment en disant en votre contradiction interne « mais il reste aussi essentiel », voyez-vous le « mais » se pointer pour essayer de masquer votre violente contradiction interne : « peut-être même plus » et « il reste aussi essentiel » ! ; alors, c’est « plus » ou « aussi » essentiel ?!
Notre-Seigneur Jésus-Christ a dit « Que votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal. » (Math. 5, 37)
Désolés, que vous vouliez nier l’évidence vous regarde, il est absolument vrai que, et surtout maintenant, l’amour maternel est opposé à l’Amour paternel, ceci est un fait !, et, ce qui fait que maintenant, et systématiquement, et ne soyez pas tenté par l’exposition d’une exceptionnelle exception qui du reste après examen n’en sera même pas : les enfants sont systématiquement volés au Père à qui seuls ils appartiennent de Droit divin, pour les donner audit amour maternel dit essentiel, afin qu’ils finissent comme efféminés, efféminisés !
Votre interrogation qu’en à l’amour que nous porterions à nos mères est un artifice enfin de nous mettre endite difficulté, aussi, par charité, nous ne répondrons pas !
Pour pouvoir continuer cette intéressante causerie, nous pensons qu’il faut au strict préalable avoir votre acquiescement non équivoque et entier sur le fait que :
→ l’Amour du Père est essentiel, donc absolument exclusif !, fontal.
→ l’Amour que nous devons à nos Pères doit être absolument exclusif !
Conséquemment, que :
→ l’amour de la mère pour les enfants n’est nullement essentiel, car ordonné, subalterne, dérivant !, et ce pour autant qu’il soit donc bien ordonné !
→ l’amour que nous devons à nos mères n’est que subalterne, dérivant, ordonné à l’Amour que l’on doit à nos Pères !, et ce pour autant qu’il ne nous éloigne point de l’Amour que nous devons exclusivement, essentiellement à nos Pères !
Cher Sieur Pierre Le moyen, nous sommes dans l’attente de votre acquiescement entier et sans réserve.
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Eh bien je dirais que l'amour paternel est essentiel et l'amour maternel très important
RépondreSupprimerQuand aux enfants qu'on vole aux pères savez-vous que la plupart des pères ne réclament même pas la garde des enfants?
Donc qu'ils commencent par la réclamer et qu'ils se plaignent après!
Juste pour rajouter un point:
RépondreSupprimerLorsque l'enfant est nourrisson il ne peut survivre que grâce à sa mère en le nourrissant au sein et le père ne peut pas le faire survivre car le lait materne lest indispensable à sa survie.
Sur votre lien:
la maternité est une fontaine pourquoi employer "que":
Avez-vous déjà entendu un agriculteur dire "ceci n'est QUE ma terre"?
De plus ce n'est pas la maternité qui est malicieuse mais le REFUS de maternité de la part des femmes (contraception et avortement)
Mon exemple sur le nourrisson signifie qu’une fois né la mère est indispensable car il ne peut vivre sans sa mère le père n'est pas directement indispensable à sa survie car le père ne peut nourrir le nourrisson et sur ce point je me demande bien ce que vous pourrez objecter!
RépondreSupprimerEn la Saint Jean Apôtre et Évangéliste.
RépondreSupprimerCher Sieur Pierre Le moyen,
Votre premier des trois commentaires.
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Nous vous avions demandé « votre acquiescement entier et sans réserve. », et lâchement, par manque d’humilité, par orgueil donc, vous finassez !
Soit !, dit avec manque d’humilité, mais soit, vous nous dites : « Eh bien je dirais que l'amour paternel est essentiel et l'amour maternel très important » ; mauvais perdant l’on dit dans les cours de récréation...
Donc, et tous cela, et encore ces trois derniers commentaires, pour ne pas avouer que vous aviez fait une très grave erreur, grave de par la fausseté intrinsèque du propos et de par ses conséquences incalculables, en écrivant vous-même : « Il ne faut pas oublier que l'amour maternel est essentiel pour l'enfant essentiel pour son bonheur et que tous les enfants aiment profondément leur mère. », pur bijou de féminisme luciabélien.
Puis, pour vous enfoncez en votre fange, vous poursuivez votre marotte en ajoutant « Quand aux enfants qu'on vole aux pères savez-vous que la plupart des pères ne réclament même pas la garde des enfants? »
Alors là !, c’est carrément de la mauvaise foi !, toutes les chroniques en parlent !
→ Untel a récupéré ses enfants et est parti en Algérie avec (Akim Seba),
→ Untel autre a disparu avec ses enfants pour ne point les rendre à leur mère ()
→ Untel autre encore les a tué pour que ladite Justice ne puisse les lui reprendre (Xavier de Ligonnès)
Nous sommes loin d’avoir dressé une liste exacte, mais nous en avons une certaine et longue, et à cause de votre mauvaise foi manifeste, de votre violent féminisme rampant, nous n’allons même pas surcharger ici avec tous nos liens !
Trois fois honte à vous de salir si bassement ces Pères, par un mensonge (ou erreur ?, pas moins criminelle du reste) éhonté en plus !
Votre second des trois commentaires.
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Dans votre envie rage de vous justifier, au lieu de reconnaître humblement votre erreur grossière sur le mot ‛essentiel’, vous n’avez de cesse d’en rajouter, vous écrivez : « Lorsque l'enfant est nourrisson il ne peut survivre que grâce à sa mère » ! Faux !, et encore faux !, et faux par intention malicieuse !
Que cela soit clair, nous sommes carrément pour l’allaitement, et nous avons même dénoncé en nos documents les mères qui disent que cela abîmerait leur poitrine, alors que cela est positivement faux !, car de fait l’allaitement embellit cette déjà belle poitrine !
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RépondreSupprimerMaintenant, pour répondre à notre trait génial, génie de Lucifer, comment faisaient, il y a plus de cent ans, les mères qui ne pouvaient (vraiment, ou faussement le bien plus souvent) allaiter ?
Elles louaient les bons office d’une nourrisse !
Comment faisaient les Pères qui perdaient leurs épouses lors de l’accouchement ?
Ils louaient les bons office d’une nourrisse !
Et ainsi est démonté votre vicieuse (contenant un défaut) argutie.
Puis vous poursuivez ainsi : « la maternité est une fontaine pourquoi employer "que" », lisez donc pauvre Sieur Pierre Le moyen, ce texte en question, et nous verrons peut-être ensuite !
Votre troisième des trois commentaires.
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Ce que nous pouvons objecter ?!, et cela nous évitera malheureusement pas vos chicanes luciabéliennes (Un temps, il existait des Hommes !), c’est que comme dit au-dessus, puisque vous voulez absolument nous pousser à cela : la mère n’est pas du tout essentielle pour l’allaitement !, et ni la femme en général non plus !, car il existe de nombreux cas de nourrissement avec du lait d’animaux !, ou autres remplacements plus ou moins heureux !
Pour clôturer...
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Sauf si vous changez très radicalement de ton et d’intention !, par exemple en mettant à la porte de votre bureau votre féminisme et même peut-être votre épouse elle-même qui ne peut que vous trier vers le bas pour le compte de Luciabel avec des « rends-toi compte de ce qu’il dit ! », et que vous vous décidiez enfin à parler Vrai, en Vérité !, soit comme un Homme donc !, vous ne répondrons plus à vos commentaires.
S’il en arrive, patiemment nous les publierons afin que nos autres Lecteurs puissent juger de votre acharnement.
Ce débat devient carrément indécent, nous avons des charges énormes et de si si faibles moyens ; et des courriers privés notamment nous attendent pour des débats non stériles et que nous postposons pour vous à fond perdu...
Que le Bon Dieu ait pitié de Vous, qu’Il Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Après un survol rapide nous avons relevé plusieurs distractions, la fatigue en est bien la cause.
SupprimerAu lieu de : votre texte se glissent de forte contradiction
Veuillez lire : votre texte se glissent de fortes contradictions
Au lieu de : Donc, et tous cela, et encore
Veuillez lire : Donc, et tout cela, et encore
Au lieu de : Maintenant, pour répondre à notre trait génial
Veuillez lire : Maintenant, pour répondre à votre trait génial
Il en reste certainement, veuillez nous excuser...
Voilà un bon exemple de ravages du féminisme sur un Homme transformé ainsi en efféminisé !
RépondreSupprimerNous lisons le livre, de Pierre Lance qui dans l’intention est au demeurant bien louable : Savants maudits – Chercheurs exclus – Un réquisitoire implacable contre la "nomenklatura" scientifiques.
Il introduit son sujet, et tout confus, tout rougissant, Il s’empresse de se dédouaner de machisme en disant à la page 12, § 2 : « Dois-je préciser qui si ce livre ne présente que des chercheurs masculins, ce n’est évidemment pas un choix ? J’y eus volontiers intégré quelques femmes s’il s’en était trouvé de telles sur ma route, mais je n’en ai pas rencontré. »
Pauvre Pierre Lance la Vérité vous navre ?, Elle vous donne des soucis ?, avez-vous vu, et ce en quelque science que ce soit, et même en celle de la boulangerie, une femme inventer si peu que cela soit ?
Voulez-vous savoir, Pierre Lance, ce que dit une femme non des moindres de la femme : « que la femme a besoin d’être bridée, canalisée, ordonnée, qu’elle est bruyante, hyperactive, fatigante à l’Homme, elle s’agite, s’affaire, embelli certes la maison et les gardes-robes, mais n’invente rien, ne construit rien !, et certainement pas des pensées élevées… »
Tiré de : LF-2010-09 - Lettre à nos filles : Dame Isabelle, oui, la religion est une affaire d’Hommes !
Adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2010/08/lettre-nos-filles-dame-isabelle-oui-la.html
Voir aussi : LF-2012-01, Lettre à nos filles : Dame Amande, la femme n’est pas l’égale de l’Homme !; point : 1.C.2 - Ben voyons, la femme est éminemment supérieure à l’Homme !
Adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2012/06/1-lettre-nos-filles-dame-amande-la.html
Aux petits malins, qu’ils se croient, par pitié pour vous !, ne venez surtout vous pointer, par exemple avec la garce parmi les garces qu’est la Marie Curie !, et qui n’inventa strictement rien d’autre que le débauchage, le dévergondage de Père de Famille nombreuse !
La femme n’inventa qu’une chose !, et la plus spectaculaire qu’il puisse exister ici-bas !, et là, bizarrement l’on ne l’entend pas revendiquer cette invention, ni Pierre Lance la signaler, Lui qui aurait eu ainsi une très fameuse inventeuse à nommer : Ève !, qui inventa la perte du monde et l’entrée de tous nos malheurs en celui-ci !
Nous ne sommes qu’au début de ce tome I de Pierre Lance, et déjà, L’auteur a accumulé notamment, en plus de son stupide féminisme, bien des attaques contre l’Église catholique !
Bref, ce livre est tordu !, 18€,30 de perdus !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Je trouve dommage que Pierre Le Moyen n'ait pas poursuivi plus loin la conversation, en reconnaissant honnêtement les erreurs qu'il a avancé. Le fait de reconnaître ses erreurs doit par la suite amener une vigilance particulière sur ce que l'on dit, en effet, si l'on admet avoir dit une chose bien féministe en s'égarant, il est probable que l'on puisse se tromper à nouveau. On ne se débarrasse pas si facilement du mensonge.
RépondreSupprimerPour en revenir à Pierre Le Moyen, je pense cerner le malheureux problème. L'émotion féministe, et donc négative parce que se détournant de Dieu, de la Vérité, est en cause. C'est un peu comme se cacher les yeux pour ne pas voir, ou se boucher les oreilles pour ne pas entendre. Cette émotion se galvanise tant, qu'elle veut s'établir avant la vérité, avant la bonne compréhension, elle ne fait qu'usurper la raison. Ici, elle crée délibérément la confusion. Alors que l'on reconnaît raisonnablement que l'autorité de l'Homme, du Chef, est fondamentale, et que l'amour Paternel est essentiel, s'accordant donc avec la vérité ; pourtant, l'émotion nous prend, et on a l'impression que l'amour maternel est dévalorisé, ça nous dérange et on en oublie la vérité.
Cette émotion est la marque de l'emprise du Crochu. Le but est de nous détourner de la droite raison pour nous jeter dans la confusion.
Ainsi l'on pourra résumer la réaction de Pierre Le Moyen dans cet échange, et à mon avis celle de la plupart des gens qui s'indignent de ce site : Ce que l'on ne considère donc pas, c'est que ce n'est pas la femme qui est dévalorisée ( réaction féminisée, c'est à dire découlant exactement d'une direction diabolique), elle n'est rien que remise à sa place originelle, mais qu'en vérité c'est l'Homme qui est revalorisé (réaction raisonné, masculine, que l'on obtient avec beaucoup de sincérité, de recul et réflexion), restauré de sa place originelle et donc de son autorité. Pourtant tout est bien dans le titre.
Cette impression faussée que l'on a, vient principalement du fait que depuis trop longtemps on considère la femme, si ce n'est comme l'égale de l'Homme, au moins de façon à lui attribuer des choses qui ne lui reviennent pas. En fait, le seul moyen fut de rabaisser, de déprécier terriblement l'Homme et ses attributs. Finalement, l'impression viciée qui se fonde sur la femme, et qui est de croire que c'est d'elle-même qu'elle a pu se faire l'égale de l'homme ou quelque chose de la sorte, est identique à celle qui est de croire que lorsque qu'on relève l'Homme, qu'on le restaure, eh bien c'est forcément en rabaissant la femme, ce qu'elle représente. Le point de vue est complètement subjectif et erroné.
Je terminerai sur le sens des valeurs. En reconnaissant que la femme est ordonnée à l'Homme, qu'elle dépend forcément de lui, comment peut-on penser qu'en élevant et restaurant la dignité de l'Homme, l'on rabaisse la femme. C'est bien tout le contraire, l'Homme étant par essence son Seigneur, qu'elle doit être heureuse de servir un puissant Seigneur, sa condition de servante n'en est que plus digne. A l'inverse, que la femme est malheureuse, comme à notre époque, de ne pas pouvoir servir dignement son bon Maître, et au lieu de remplir son devoir, elle ne fait que l'entraîner au mal, pour son plus grand malheur. On peut résumer tout ceci par la question suivante : Vaut-il mieux servir le Bon Dieu ou le diable ?
Cher Sieur Luryio,
SupprimerC’est avec un bon plaisir que nous vous avons lu !, merci pour votre bon commentaire si bien écrit.
Oui, comme vous le dites au sujet de notre pauvre Pierre Le moyen que nous voudrions bien revoir, l’Homme est maintenant non guidé par Sa Raison éclairée par l’Esprit-Saint, mais par des émotions insufflées par Luciabel ! ; de fait, l’Homme est devenu femme !, et ce sur vraiment tous les plans...
Vous dites « … depuis trop longtemps on considère la femme, si ce n'est comme l'égale de l'Homme, au moins de façon à lui attribuer des choses qui ne lui reviennent pas. En fait, le seul moyen fut de rabaisser, de déprécier terriblement l'Homme et ses attributs. »
C’est pour cela que du reste nous avons nommé quatre chapitres de notre document principal (DP) aussi :
→ Pour lutter contre la dépréciation luciférienne de l’Autorité de l’Homme :
1 : DP-05, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (I)… ; adresse http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/08/restaurer-lhomme-lpoux-le-pre-sa.html
2 : DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)… ; adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/08/restaurer-lhomme-lpoux-le-pre-sa_28.html
→ Pour lutter contre la dépréciation de la très-digne servitude de la femme :
3 : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)… ; adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/09/restaurer-la-dignit-de-la-femme-par-sa.html
4 : DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II)… ; adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/09/restaurer-la-dignit-de-la-femme-par-sa.html
Où nous disons notamment :
- … il leur faut niveler vers le plus petit commun dénominateur…
- Comme il est impossible que les femmes aient une Puissance, alors, ‘ils’, les ennemis de l’humanité, arrachent cette Puissance aux Hommes.
- Impossible à la femme d’être l’égale de l’Homme ? qu’à cela ne tienne !, il suffit de rabaisser l’Homme au niveau de la femme, et pour ceci...
Vous écrivez : « comment peut-on penser qu'en élevant et restaurant la dignité de l'Homme, l'on rabaisse la femme » ?
C’est évident, sauf qu’avec bien bien plus de 200 ans de matraquage (de fait depuis plus 500 ans, Concile de Trente), l’on ne peut pratiquement plus le comprendre, en effet :
- Comment le peuple, les sujets, en est venu à penser qu’il pouvait égaler le Prince ? – Eh bien en lui faisant croire orgueilleusement que nous sommes tous égaux !
- Comment amener le Prince au niveau du peuple, ne pouvant amener les sujets au niveau du Prince ? – Eh bien, en coupant sa Tête !, comme l’on le fit avec un Louis XVI...
Comme vous le dites si bien, oui !, plus le Prince (légitime) est élevé, puissant, et plus le sujet, épouse ou peuple, est fier et élevé : son Prince est respecté, sa Maison, Famille ou pays, est crainte et considérée !
Non !, les lucifériens, « puissance » est radicalement, essentiellement antonymique à « tyrannie », mais ceci vous ne pouvez, de volonté certaine, plus le comprendre...
Et, maintenant, comparez ceci avec l’impuissance (en le Bien, et non en le mal) congénitale d’un Flamby dit François Hollande dit président de feu la France, et de l’inconsidération totale que la France à forcément sur la scène internationale !
L’on a fait lâcher au sujet, épouse ou peuple, la proie en agitant l’ombre de celle-ci devant ses yeux aveuglés d’orgueil !, le sujet a ainsi saisi rien qu’une illusion, et a par là tout perdu...
Voir la fable de Jean de La Fontaine : Le corbeau et le renard, femmes ! « … Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute… »
Rappelons-nous que le démon, Lucifer ou Luciabel, s’appelle Le trompeur !
Soyez tous assurés de nos prières ardentes, de nous ce n’est jamais une parole en l’air...
Que le Bon Dieu vous bénisse, Sieur Luryio, de même que tous nos Lecteurs, vous tous et tous les vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
C'est avec un intérêt certain que j'ai lu votre critique de l'article d'un homme d'église du 19e siècle et son stupéfiant 'soumise à l'homme , la femme le domine '. Votre parallèle avec l'apesanteur était brillant et tellement logique.
RépondreSupprimerEt dans la même lignée , toujours aussi hérétique , mon épouse m'a fait remarquer que circulait de nos jours une idée de 'soumission mutuelle' entre les époux qui prendrait sa source dans le verset d 'Ephésiens ( Soumettez-vous les uns aux autres dans la crainte de Christ) . Je me demande comment la soumission mutuelle entre époux dont je ne vois pourtant aucune trace dans les Ecritures ( Nombres 30 n'est-il pas suffisamment clair ?) , pourrait se mettre en application au quotidien (si déjà c'est possible !) et ce qu'elle engendrerait à plus ou moins long terme. On entend parfois des femmes (chrétiennes ou pas) dire 'mon mari ne me domine pas mais je ne le domine pas non plus . Ces femmes disent-elles la vérité ?
J'aimerais votre avis là -dessus .
Si soumission mutuelle il y a ,. les parents devraient-ils être soumis à leurs enfants alors ? Devrais-je me soumettre à mes enfants même si ce qu'ils me demandent est déraisonnable ? Et Christ , se soumet-il à son église ?
Mon épouse a entendu un jour un pasteur évoquer cette étrange soumission mutuelle mais ce même pasteur , dans une prédication a dit quelque chose du style : " j'aimerais faire ceci mais ma femme ne veut pas ... !! ". Il semblerait que la soumission aille plutôt dans un sens ..et dans son sens à elle !
Cette 'soumission mutuelle' , je l'ai revue dans dans un message chrétien de 2011 dont j'ai partagé la lecture avec mon épouse.
Nous aimerions tous deux que vous donniez à ce message récent le même éclairage que vous avez donné à l'article datant du 19ème siècle , pour le bien et l'édification de tous ceux qui vous liront. Car la Vérité est atemporelle et le mensonge doit être combattu sans relâche par les soldats de Christ.
Lien de l'article :
http://ruedusentier.free.fr/TF/2005-2015/2011/juilletaout.html
Bien Fraternellement
Soldat de Christ,
SupprimerQuel nom de choix !
Merci pour votre commentaire bien aimable et encourageant.
Nous allons mieux vous lire, et lire l’article que vous incriminez et dont vous nous avez donné le lien ; et ensuite nous vous répondrons sur une page pour vous.
De cette publication vous en serez prévenu par un commentaire sur cette même page et par votre adresse électronique.
Cher Soldat de Christ, que Celui que Vous voulez servir Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Soldat de Christ,
SupprimerComme annoncé, nous venons de publier notre réponse en une page spéciale...
Son titre : RH-2014-01 - Soldat de Christ, doit-on être soumis les uns aux autres, ou… les uns aux autres ?
Son lien : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2014/06/rh-2014-01-soldat-de-christ-doit-on.html
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres...
Pour la Vérité,
QJSIOJC