Table
de ce chapitre…
Du :
26.09.2008, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : ven. 29 juin 2012,
15.40.
7
-
Restaurer la dignité de la
femme, par sa soumission (I)…
7.A.1
- Réitération d’un
avertissement : femme, passe ton chemin ! 394
7.B
- La femme, son
insoumission, origine de tous nos maux… 395
7.B.1
- Les démons n’attaquent
que les femmes affranchies de l’Homme ! 395
7.B.2
- L’intelligence de la
femme, avoir voulu être intelligente ! 396
7.B.3
- Saint Paul : dit la
révolte, la transgression de la femme ! 399
7.B.3.a
- Où nous en revenons
à parler de la direction spirituelle de la femme ! 401
7.B.3.b
- La dépendance
infrangible de la femme, une jouissance pour elle et pour Lui ! 407
7.B.3.c
- Nous devons revenir
au prêtre ‘directeur’ spirituel d’une femme. 411
7.B.4
- Saint Bernard :
commente la faute de la femme. 413
7.B.5
- Saint Jean-Marie
Vianney, commente la faute d’Ève… 414
7.B.6
- Prenez garde à ces
paroles de serpent, dit Pie XII à la femme. 415
7.B.6.a
- La femme doit être
toujours et en tout assujettie à l’Homme… 417
7.B.6.b
- Si nous ne sommes pas
vraiment Intransigeants, nous transigeons ! 419
7.B.6.c
- Si elle doit être
assujettie à l’Homme, elle ne doit donc pas prédominer ! 420
7.C
- La femme, en général,
ce qu’elle est. 421
7.C.1
- Par le signe de la
Croix, cette bonne femme en sait déjà tant. 421
7.C.2
- Mgr Gaume :
Est-elle capable de raisonner ? 421
7.C.2.b
- Faire reconduire la
fliquette ‘affranchie’ de son Homme, par un macro ! 423
7.D
- La femme, comme épouse,
ce qu’elle doit. 427
7.D.1
- L’épouse doit servir
son époux, et non point Dieu. 427
7.D.2
- Servante de son Époux !,
Saint Astère, dit-il autre chose ? 428
7.D.3
- L’épouse ne peut
aucunement sortir sans permission. 430
7.D.4
- L’épouse ne doit rien
estimer de plus que l’Époux. 430
7.D.5
- Pie XI : confirme
la fidèle et honnête subordination de la femme. 431
7.D.6
- Pie XI confirme :
la dignité de la servitude de l’épouse. 431
7.D.7
- Pie XI condamne :
ceux qui veulent que l’épouse s’émancipe. 433
7.D.8
- Une soumission pleine de
crainte et de respect, amoureuse. 433
7.D.9
- Nous insistons :
l’épouse est la digne servante de son Époux ! 434
7.D.10
- Obéir !, même
dans ce qui lui semble déraisonnable ou impossible. 435
7.E
- La femme, comme
insoumise, ce qu’elle encoure… 436
7.E.1
- Si elle désobéit, elle
pêche mortellement. 436
7.E.1.b
- Pourquoi désobéir à
l’Époux est un péché mortel pour l’épouse ? 438
7.E.1.c
- Les conséquences
incalculables d’une ‘petite’ faute ! 439
7.E.1.d
- De plus, vous
souvenez-vous de l’obéissance que demande l’Église ?… 440
7.E.2
- Si elle dépense sans
permission, elle pêche gravement. 441
7.E.3
- Si elle ne suit pas son
Époux, elle pêche gravement. 441
7.E.4
- Si elle affronte,
encolère son Époux, elle pêche gravement. 444
7.E.5
- Si l’épouse la
fermait, elle ne serait pas battue ! 444
7.E.6
- Veut-elle découvrir
l’eau miraculeusement contre-coups ! 445
7.E.7
- St Augustin : si
l’épouse est battue, cela ne vient que d’elle ! 445
7.E.8
- Notre Seigneur
Jésus-Christ dit-Il autre chose ? 446
7.E.9
- Allez, une petite
dernière pour la route… 447
7.E.9.a
- Où, nous devons plus
particulièrement parler des prêtres de la Trahition. 448
7.A - Propos préliminaires.
7.A.1 - Réitération d’un
avertissement : femme, passe ton chemin !
Comme nous le disions au début
de cette étude, et en plusieurs points de celle-ci :
La
notice d’utilisation n’est pas destinée à la machine, mais au
propriétaire de la dite machine, n’est-ce pas ! Pour cette
étude, idem…
Ce chapitre envisage la femme,
l’épouse qui est le cœur de son Époux, ainsi lorsque nous
parlions de l’Homme nous ne pouvions pas ne pas parler de la femme,
ainsi aussi, lorsque nous parlerons de la femme nous ne pourrons
encore moins ne pas parler de l’Homme pour qui elle fut ‘faite’,
engendrée !
Lorsque Saint Paul dit, que
les femmes soient soumises à leur mari comme au Seigneur, car le
mari est le chef de la femme.
Il s’agit bien de l’épouse, mais cela est dit à l’Époux !
7.B - La femme, son
insoumission, origine de tous nos maux…
Nous rappelons
que pour respecter la chronologie biblique des événements, nous
disons ‘femme’ s’il s’agit d’elle avant qu’elle ne suive
Adam chassé par Dieu de l’Éden ; après, nous l’appelons
Ève.
7.B.1 - Les démons n’attaquent
que les femmes affranchies de l’Homme !
Car le démon attaque bien
davantage les hommes lorsqu’il les voit seuls et séparés de tous
les autres. Ce fut ainsi qu’il
attaqua Ève autrefois, lorsqu’il la vit seule et séparée d’Adam.
Quand il nous voit unis avec d’autres, il n’a pas la même
hardiesse. Et c’est pour cette raison que nous devons nous trouver
le plus souvent que nous pouvons dans la compagnie des gens de bien,
afin de n’être pas si exposés aux attaques de notre ennemi.
‘Ils’ veulent qu’elle
soit séparée
physiquement, intellectuellement ou moralement de l’Homme ;
qu’elle soit affranchie comme ils disent ! ‘Ils’ veulent
la ‘libérer’ de la tutelle de l’Homme à qui elle fut donnée
par Dieu, afin de pouvoir la damner, et qu’ensuite elle entraîne
elle-même tout le foyer dans sa fuite suicidaire !
C’est pour cela uniquement
que les suppôts de Satan veulent libérer la femme, pour qu’elle
s’écarte de l’Homme afin de pouvoir la troubler avec leurs
pipeaux maléfiques.
Et l’ayant ainsi troublée,
amener cette petite cervelle à trahir les siens, et en premier son
Époux ; et ainsi l’amener à ruiner son foyer, sa Maison, car
une
femme insensée la [sa Maison]
renverse
de ses propres mains.
Que se dit-il de différent
dans les loges, courroies de transmission serviles de nos ‘Maîtres’,
de ce que disait Saint Jean dans son Apocalypse : la
société sera détruite par la femme et le commerce.
7.B.2 - L’intelligence de la
femme, avoir voulu être intelligente !
3,1. Or le
serpent était le plus rusé
de tous les animaux que le Seigneur Dieu avait formés sur la terre.
Et il dit à la femme :
Pourquoi Dieu vous a-t-Il
commandé de ne manger du fruit d’aucun des arbres du paradis ?
3,2. La
femme lui répondit :
Nous mangeons du fruit des arbres qui sont dans le paradis ;
3,3. Mais pour
ce qui est du fruit de l’arbre qui est au milieu du paradis, Dieu
nous a demandé de n’en point manger, et de n’y point toucher, de
peur que nous ne mourions.
3,4. Le
serpent repartit à la femme : Certainement vous
ne mourrez point.
3,5. Mais
c’est que Dieu sait
qu’aussitôt que vous aurez mangé de ce fruit, vos
yeux seront ouverts, et vous serez comme des
dieux, connaissant le bien
et le mal.
3,6. La femme
considéra donc que le fruit
de cet arbre était bon à manger, qu’il était beau à la vue, et
agréable à contempler. Et en ayant pris, elle en mangea, et elle en
donna à son mari, qui en mangea aussi.
Nous avons vu
que de Volonté divine l’interdit n’avait pas été donné à la
femme, mais qu’à Adam ; et ce pour qu’il l’enseigne
Lui-même à la femme, le lui fit connaître…
Ce que nous venons de lire nous
montre bien qu’Adam remplit bien sa mission d’enseignant, en
effet la femme dit : Dieu
nous a demandé de n’en point manger, et de n’y point toucher, de
peur que nous ne mourions.
Nous voyons le Serpent
dialoguer, discuter, négocier, comme le monde moderne, pour obtenir
l’embrouillement de la femme !
Et de fait, cela uniquement
parce qu’elle avait, bien avant de discuter avec le Malin, fuit
l’Autorité d’Adam, Sa protection ! Jamais Lucifer n’aurait
approché Adam, et donc d’elle, si elle était restée l’ombre
indissociable de son Maître. Jamais le Malin n’aurait pu
l’approcher !
Nous
avons vu ainsi que le péché originel était la faute :
→ d’Adam, de n’avoir
pas corrigé la femme qui avait forniqué avec le serpent, et donc
d’avoir ainsi validé sa révolte…, mais avant :
→ de la femme ayant pris
la pomme négociée, discutée par le Prince des psychiatres-violeurs
de consciences…, mais avant :
→ de la femme qui voulu
avoir la connaissance, l’intelligence, l’éclairement, les
lumières proposées par le prince des Illuminés… Elle a voulu une
connaissance qu’elle ne pouvait aborder !, mais avant :
→ de la femme s’étant
écartée d’Adam son Protecteur ce qui permit au serpent de
l’approcher, de dialoguer avec elle…
Donc la faute originelle est
qu’Adam n’a pas empêché la femme de s’écarter de Lui !
La faute originelle est donc l’‘émancipation’ de la femme
permise par la négligence d’Adam ! La faute originelle vient
donc de l’émancipation de la femme ! Le malheur est donc
rentré dans le monde par la révolte ‘émancipatrice’ de la
femme !
La
désolation de cette terre,
vient de la révoltée !
Reprenons,
la faute originelle :
→ La femme fut tentée
parce que ‘libérée’, écartée de son Maître !
→ La femme voulut avoir
la connaissance proposée par l’Illuminé, être ‘intelligente’
et pour cela…
→ La femme a pris la
pomme négociée par le serpent et la proposée à Adam, et au lieu
de la saisir…
→ Adam aurait dû
compatir à la femme en la corrigeant, en la disciplinant, et non en
lui cédant… CQFD !
La
désolation familiale,
vient de la ‘libérée’ !
La désolation de cette terre
vient de la révoltée !
Leur but, à ‘eux’,
actuellement et depuis plus de 200 ans, est la destruction de la
Famille.
Ainsi
‘ils’ poussent à ce que :
→ la femme s’écarte
un tant soit peu de son Maître, sorte sans permission, ou à cause
de la ‘lassitude’ de son Époux, pour que…
→ la femme soit
‘éclairée’, enseignée, ensemencée par les Illuminés avec qui
elle fornique, puis que…
→ la femme veuille son
autonomie, de l’argent, l’égalité d’avec son Homme, que sa
sujétion lui devienne insupportable, afin que…
→ la femme
s’‘affranchisse’ totalement de son ‘tyran’ d’Époux, s’en
sépare-divorce en s’emparant de la caisse et des enfants !
CQFD !
7.B.3 - Saint Paul : dit
la révolte, la transgression de la femme !
11 Que
la femme reçoive l’instruction en silence, avec une entière
soumission.
12 Quant à enseigner, je ne (le)
permets pas à la femme, ni de
prendre autorité sur l’homme ; mais (elle doit) se
tenir dans le silence.
13 Car Adam a été formé le
premier, Ève ensuite ;
14 et ce
n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui,
séduite, est tombée dans la transgression.
15 Néanmoins elle sera sauvé par
la maternité, pourvu qu’elle persévère dans la foi, la charité
et la sainteté, unies à la modestie.
Que
la femme reçoive l’instruction en silence,
soit, et comme le dit la suite, avec
une entière soumission, ce qui
ne veut pas dire qu’elle ne puisse interroger pour s’instruire,
mais : que
son Époux, qu’en
sa maison et respectueusement.
Saint Paul nous le dit bien :
si
elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent
leurs maris à la maison ; il est, en effet, inconvenant
pour une femme de prendre la parole dans une assemblée.
Quant
à enseigner, je ne (le) permets pas à la femme ;
ni sur l’Homme évidemment ; ni sur les garçons comme nous le
verrons plus loin !…
Le ni
de prendre autorité sur l’homme
est une condamnation sans appel de la femme se comportant
contre-naturellement :
→ cheftaines diverses,
toutes castratrices de futurs Hommes ;
→ institutrice ou
professeur(e !), maîtresse de stage, etc. ;
→ médecin et même
infirmière,
soignante quelconque, etc. ;
→ juge et avocat,
huissier, etc. ;
→ patron et chef de tous
genres, etc. ;
→ maire, ou ayant mandat
politique quelconque,
etc. ;
→ policier et gendarme,
militaire, etc. ;
→ fonction publique
quelconque, etc. ;
→ etc., etc., etc. !
Bref tout ce qui donne à la
femme une position plus ou moins ‘dominante’ ou de domination sur
l’Homme est interdit parce que positivement contre-nature !
Saint Paul confirme aussi que
la femme est à l’origine de tous les malheurs du monde : ce
n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui,
séduite, est tombée dans la transgression.
Néanmoins
elle sera sauvé par la maternité…,
maternité naturelle ou spirituelle. Cette dernière, la spirituelle
est surtout compréhensible pour les chrétiens : femmes
consacrées (religieuses) se vouant à la prière pour le salut des
Âmes particulièrement ; ou religieuses enseignantes de
filles ; ou soignantes comme les Filles de la Charité…
7.B.3.a - Où nous en revenons
à parler de la direction spirituelle de la femme !
Nous avons lu un peu plus
haut : si
elles veulent s’instruire sur
quelque point,
qu’elles interrogent leurs maris à la maison.
Comme déjà vu copieusement tout au long de cette étude,
c’est l’Époux qui est chargé de la direction spirituelle de Son
épouse et
non le prêtre.
Pourquoi insister si fort sur
cette prérogative évidemment exclusive de l’Époux : la
direction spirituelle ? Parce que l’épouse cherche
maladivement, presque sans s’en rendre compte car il y a si peu
dans sa pauvre petite tête : un contre-pouvoir
à Celui de son Époux, afin de Le contrecarrer, de s’émanciper de
Lui !
Et
où cherche-t-elle ce contre-pouvoir ?, auprès :
→ de ‘sa’ famille,
famille d’origine, de naissance qu’elle quitta définitivement et
volontairement, soit : adultère, fornication.
→ des tribunaux du
‘pouvoir’ civil, toujours incompétents dans ce cas là et
totalement illégaux maintenant, après être passée par la
commissaire du peuple appelée aussi dans nos contrées ‘assistante
sociale’, puis police ou gendarmerie : adultère,
fornication.
→ des prêtres avant
tout cela, dans nos milieux dits catholiques, même ‘traditionnels’,
afin de vérifier si son Époux n’outrepasse pas Ses Pouvoirs, ne
dévie pas en Son enseignement, etc. : adultère,
fornication. Par ex. :
1. Question :
Il m’embrasse dans le cou, ou la…, ou lors de mes périodes
(quelle impudicité !), le peut-Il ?
Réponse :
mais non madame, refusez fermement, c’est un obsédé !
Comment ?,
un obsédé ?,
pervers de prêtres qui vous glissez dans le lit conjugal, violeurs,
cloaques
d’impureté ! ;
alors que Saint Jean Chrysostome rappelait, lui !, que c’est
pour la consolation de l’homme
que la femme a été formée ;
et Saint Astère, lui, rappelait le Droit de L’Époux ainsi :
elle
se montre sa servante assidue et dévouée ; elle est attentive
à satisfaire à ses
moindres
désirs.
2. Question :
Il veut me consommer [devoir, obligation conjugale !] quand je
ne le veux pas, le dois-je ?
Réponse :
mais non madame, il doit vous respecter !
Comment ?,
respecter une femme qui ne respecte pas ses obligations !, c’est
de fait bien la respecter que de l’obliger au Bien, à honorer ses
obligations !
3. Question :
Il veut me couper de telle relation, a-t-il le droit ?
Réponse :
mais non madame, il n’a pas le droit, c’est ‘votre’ Famille,
vos amis, il n’a pas le droit de vous couper de tout le monde,
etc. !
4. Question :
Il veut mettre les enfants dans telle école, puis-je m’y opposer ?
Réponse :
mais bien sûr madame, vous devez vous opposer à cette décision !
5. Question :
Il veut que nous quittions votre chapelle (paroisse) parce qu’Il
dit que votre enseignement dévie !
Réponse :
mais non madame, Il n’est pas compétent, Il n’ a pas à vous
imposer ses opinions,
il est urgent de résister !
6. Question :
Il veut que je le serve avec joie et empressement et que je me livre
pleine d’entrain, le dois-je ?
Réponse :
mais non madame, il a vraiment une conception musulmane
[textuel] du Mariage !
Commentaire :
Merci, pour les musulmans qui en cela, comme en beaucoup d’autres
choses que nous avons vues dans ce document, ne font strictement
rien de mal !
7. Question :
Il ne veut plus de telle opinion défendue par le prêtre X quant à
la situation dans l’Église, et il veut que nous allions dans une
autre chapelle, dois-je le suivre ?
Réponse :
mais absolument pas madame, restez
ferme, fidèle, et s’il vous empêche de venir ici, alors il
faudra vous en séparer !
Vous avez bien lu !, pour
rester ‘fidèle’, il faut être infidèle : vous en
séparer ! Ils disent la chose et son contraire !
Contradiction interne : pour être fidèle, il vous faut
trahir ! Pour rester ‘fidèle’, il vous faut être
infidèle !
Ce qui veut exactement dire :
pour rester ‘fidèle’ au prêtre fornicateur et forcément
illégitime, missionné donc par Lucifer, vous devez être infidèle
à votre Époux forcément légitime !
Vous pensez que c’est un peu
fort de café ?, voici un des cas que nous avons ici :
Dans un tout jeune couple, de pas
même trois ans de Mariage et le 2ème tout juste né, l’Époux,
seul responsable en Sa Maison, décide de couper d’avec un certain
courant Trahitionaliste. L’épouse se rebiffe pensant penser, et
menace son Époux à l’instigation des prêtres de cette mouvance !
L’Époux reste ferme, alors soutenue par ces prêtres l’épouse
trahit son Époux en demandant la séparation de corps ; et nous
vous le donnons dans le mille : pour attouchements sur les
enfants, etc. !
Le Père de cette épouse, Père
d’une famille bien nombreuse, plein de clairvoyance soutient
l’Époux de sa fille ! Eh bien voici ce qui arriva, ces
prêtres mirent la zizanie dans ce deuxième couple : l’épouse
du Père quitta son Époux, demanda la séparation de corps avec les
arguments classiques : attouchement sur les enfants, viol de Son
épouse, despotisme, etc.
Deux ménages mis en ruine par la
faute de la femme évidemment, mais ‘grâce’ à un gourou de ces
sectes en arrière plan, tapis dans le confessionnal et ensoutané de
ses peaux de brebis, un cloaque d’impureté !
Réfléchissons un tant soit
peu, devant l’éclipse, la ‘disparition’
de l’Église, comment un prêtre peut-il dire qu’il détient la
bonne opinion alors qu’il y a des centaines d’autres de ces
pervers qui donnent des centaines d’autres opinions dans ce temps
de confusion ? De plus, la femme ne sait pas, ne peut rien
savoir, devant suivre comme nous l’avons bien vu avec l’interdit
dit à Adam, elle ne peut et ne doit suivre que Lui !
→ Ce
n’est jamais une ‘inquiétude’
de la femme qui la pousse à aller voir à l’extérieur ce qui se
dit, et ici un prêtre, mais
uniquement l’envie d’échapper
à son Époux et de Lui opposer une ‘contre-autorité’, un
contre-pouvoir !
→ Ce
n’est jamais le ‘soucis’
des Âmes ou de la ‘défense’ de la Vérité qui pousse les
mauvais prêtres, soit tous les prêtres dans ce cas de relation
‘prêtre à épouse’, à ‘diriger’ une femme, mais
uniquement l’envie de se
hausser le col à pas cher, car avec une femme ce n’est jamais bien
difficile, et surtout avec celle qui a décidé de se révolter ;
l’envie de jouir (Oui, oui, voir ensuite) de sa ‘direction’, de
sa manipulation ; l’envie de liquider un Homme qui est
forcément plus clairvoyant et qui donc ne s’en laisse pas conter ;
l’envie d’avoir tout simplement une femme bien qu’ayant fait
vœu de chasteté, l’envie de forniquer !
Voyez-vous, l’on dirait que
ces mauvais prêtres ne pensent qu’à cela : de se venger de
leur célibat sacerdotal, de se défouler de leur privation de femme,
une véritable haine jalouse et vicieuse de l’Époux ! De
véritables obsédés, ce que disait la Très-Sainte Vierge Marie à
La Salette : Les
prêtres, ministres de mon Fils, les prêtres par leur mauvaise vie,
par leurs irrévérences et leur impiété à célébrer les saints
mystères, par l’amour de l’argent, l’amour de l’honneur et
des plaisirs, les prêtres sont devenus des cloaques
d’impureté.
Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue
sur leurs têtes.
Ils ne pensent qu’à faire
‘ménage à trois’ ! Et si l’Époux se refuse à ce
viol-adultère, à cette fornication en virant le cloaque
d’impureté,
le loup
déguisé en brebis ;
alors, afin de pouvoir faire que ‘ménage à deux’, ils poussent
fielleusement l’épouse à la séparation-divorce, sous couvert de
la libérer d’un Mari ayant une conception musulmane [re-textuel]
du Mariage par ex. ! Ils sont jaloux de la Puissance exclusive
et totale (en
toutes choses*) de l’Époux
sur Son épouse et sur toute Sa Maison !
Puissance exclusive
et totale
de l’Époux sur sa Maison ? Oui, et nous l’avons plus que
vérifié tout le long de ce document, et nous venons de le revoir
confirmé par Saint Paul : si
elles veulent s’instruire sur
quelque point,
qu’elles interrogent leurs maris à la maison !
Et, point à la ligne !
La
Puissance exclusive et totale,
de l’Époux sur Sa Maison !
Savons-nous lire oui ou non ?,
les mots ont-ils un sens oui ou non ? L’épouse !, et sur
quelque point que ce soit !,
soit : pour s’instruire, savoir, lever un doute, comprendre,
ou éclairer sa conscience, etc., doit interroger dans une totale
sujétion,
comme nous allons le voir ensuite, son Époux à qui Dieu le Père
l’a assujettie, et donc personne d’autre et qui que ce soit, et
ce, à
la Maison.
Interroger
son Mari à la Maison !,
donc pas devant des témoins, comme par envie, qu’elle aurait la
pauvrette, que son Époux soit pris à défaut devant un prêtre, ou
quiconque, forcément voyeur, vicieux, fornicateur !
Le à
la Maison, veut bien dire, sauf
hypocrisie caractérisée dont ces ensoutanés de peaux de brebis
sont de grands virtuoses : dans l’intimité, de visu, l’épouse
humblement prosternée demandant à son Époux et dans une totale
sujétion :
Son enseignement, Sa direction spirituelle !
7.B.3.b - La dépendance
infrangible de la femme, une jouissance
pour elle et pour Lui !
Histoire de nous préparer,
nous devons lire ceci qui ne peut être taxé de machisme, car c’est
une femme qui parle :
L’égoïsme
est l’épine dorsale de la vie ; les heureux mortels qui en
sont doués, qui peuvent se régler sur leurs émotions, ont au
dedans d’eux un point fixe sur lequel ils peuvent articuler leurs
actions à leur propre avantage, sur lequel ils peuvent les
coordonner.
L’égoïsme est un phare qui
éclaire lumineusement sa propre route ; l’homme qui le
possède n’a besoin de personne pour arriver au but qu’il s’est
fixé plus ou moins consciemment, il n’a pas besoin d’aide, il
n’a pas besoin d’appui, il sait où il va, il peut y aller seul,
la femme ne le peut pas ; la femme qui est altérocentriste a
besoin des autres, non seulement pour les aimer et en être aimée,
mais pour être dirigée par eux. L’altérocentriste est comme une
plante grimpante qui aspire à couvrir de verdure et de fleurs le
pieu desséché, le mur froid, auprès duquel elle se trouve, mais
qui meurt si elle ne trouve pas ce tronc aride où s’appuyer, cette
muraille inerte où accrocher ses radicelles.
La femme est privée de cette
épine dorsale que l’égoïsme fournit à l’homme ; elle est
privée de la direction fournie par les émotions personnelles :
telle est la cause pour laquelle elle a besoin de lui ; elle a
besoin de ce point fixe qui échappe à l’agitation continuelle à
laquelle elle est elle-même en proie, qui l’empêche de tourner à
tous les vents
où se disperseraient ses forces. Elle a besoin d’une énergie qui
concentre son ardeur et la dirige dans une direction donnée.
On prétend que cette soif d’appui
est due à une moindre intelligence, à une éducation défectueuse.
Non, l’éducation la plus soignée n’affaiblit pas chez la femme
ce besoin d’appui : il croît au contraire avec le
développement de son intelligence, avec la multiplication des idées
qui l’enveloppent dans un tourbillon de sensations, d’observations
dont elle ne comprend pas la raison, dont elle ne connaît pas la
portée, dont elle ne sait pas tirer parti. […] (« La
dépendance de la femme » pg 42-43)
L’incertitude, la sensation
d’égarement que la femme éprouve à la pensée d’être seule,
son besoin d’un homme qui la dirige et la soutienne, sont la raison
de l’humilité, de l’admiration sans bornes que la femme est
disposée à professer pour l’homme qu’elle considère
instinctivement comme son protecteur : humilité et admiration
qui attirent si fortement l’homme vers elle. L’homme, en effet,
qui a un égoïsme suffisant pour diriger la femme en même temps que
lui-même, est très flatté de cette preuve de sa supériorité
qu’elle lui donne et en fait volontiers usage à son profit. (« Les
énigmes de l’âme de la femme » pg 151)
Nous avions dit sans langue de
bois !
Seul
l’Époux,
peut jouir de la direction de Son épouse !
La
complémentarité ?, duel d’amour : dominant – dominée…
→ À l’épouse, comme
à la femme en général (fille, sœur, etc.), la dominée de Volonté
divine, il est absolument évident que d’être dirigée lui procure
une jouissance apaisante, tranquillisante, etc. ; à elle qui a
un besoin essentiel de direction spirituelle, intellectuelle et
matérielle !
→ À l’Époux, comme à
l’Homme en général (Fils, Frère, etc.), Le dominant de Volonté
divine, il est absolument évident que de diriger, enseigner,
rassurer, protéger, etc. procure une jouissance ; à Lui qui a
un besoin essentiel d’avoir une compagne soumise à son service :
l’homme
n’a pas été tiré de la femme, mais bien la femme de l’homme ;
et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais
la femme à cause de l’homme !
Nous avons tous deux ce besoin
essentiel : la femme d’être dominée, l’Homme de dominer.
Ce ‘besoin’ est tout simplement inscrit en nous par la Providence
divine ou par ‘dame nature’ pour les essentiellement
négationnistes. Et cette Loi, ce besoin se retrouve dans toute la
nature et ainsi donc nous voyons la lionne satisfaite d’être
inféodée au Lion dominant, la bufflonne docile devant son Buffle
dominant, etc.
Soit nous acceptons cette
hiérarchisation qui Est, ou soit nous nous révoltons ; et
alors, il n’ y a qu’une question à poser, est-ce que la révolte
changera la disposition de Dieu ou de ‘dame nature’ ? La
réponse n’est que : non !, alors ?…
Ce ‘besoin’ est tellement
infrangible, que si l’on se révolte contre cette amoureuse
relation dans la domination-soumission voulue par Dieu, et
principalement dans le Mariage, que fatalement ne pouvant s’en
affranchir on tombe sous les griffes du Malin qui installe alors,
après destruction de ce Mariage, une errance telle, que souvent elle
finit par une ‘relation’ de sadique-masochiste, avec toutes ses
variantes, toutes plus horribles les unes que les autres !
C’est ainsi !
7.B.3.c - Nous devons revenir
au prêtre ‘directeur’ spirituel d’une femme.
Ici, nous ne parlons pas de la
femme consacrée, qui n’a pu l’être qu’avec l’autorisation
de l’Homme
de la Maison (Père, Frère, etc.) et qui est épouse du Christ et
qui doit être dirigée par un prêtre avec des réserves que nous
verrons plus loin !
Nous avons bien vu qu’une
femme est totalement incapable, de Volonté divine, de se diriger,
et que conséquemment elle doit donc être dirigée. Nous avons aussi
bien vu qu’il y a une bien réelle jouissance hautement légitime
pour l’Homme à diriger une femme, et pour la femme à être
dirigée par un Homme. Nous avons aussi très bien vu que cette
jouissance ne peut qu’être !
Oui, l’on ne peut diriger
sans ressentir cette jouissance ; et l’on ne peut être
dirigée sans ressentir cette même jouissance.
Et donc ainsi, le prêtre qui
viole l’honnête sujétion
de l’épouse à son Époux
(ou de la fille à son Père ou son Frère…) qui de Volonté divine
doit la diriger, l’enseigner, car dit Saint Paul si
elles veulent s’instruire sur
quelque point,
qu’elles interrogent leurs maris à la maison,
commet bien une fornication avec cette épouse, ou fille. Il y a bien
adultère ou viol selon qu’elle consent ou pas !
Le prêtre qui dirige une femme
non consacrée, soit une femme forcément sous tutelle
d’un Homme, comme épouse ou mère, fille ou une sœur, est un
pervers, et c’est ce qui faisait dire à la Très-Sainte Vierge
Marie à La Salette :
les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les
prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs
têtes.
Oui, et nous voyons bien, et de
plus en plus, que c’est majoritairement la femme révoltée qui
détruit le Mariage, et ce, dans certains milieux avec l’aide
‘irremplaçable’ de ces mauvais prêtres et principalement ceux
de la Trahition,
qui ne pensent qu’à fricoter, forniquer avec Nos femmes :
épouses, sœurs ou filles !
Ce que nous venons de voir, le
s’instruire
sur
quelque point, confirme
bien aussi ce que nous énoncions précédemment,
que le Chef est aussi Prêtre en Sa Maison, car comme le confirmait
(et non : l’autorisait !, en effet, Il ne peut, ce Mgr
Jean-Joseph Gaume, et ce comme l’Église ou quiconque d’autre,
‛autoriser’, n’ayant aucune compétence ou pouvoir en la chose,
en le Sacrement Mariage , mais uniquement constater cette puissance
de l’Époux-Père) Mgr Jean-Joseph Gaume entre de nombreux autres
Saints auteurs : Il
est revêtu de la double autorité du sacerdoce
et de l’empire.
7.B.4 - Saint Bernard :
commente la faute de la femme.
Tu serais bienheureuse, toi aussi,
ô Ève, si après ta faute, tu avais cherché la consolation des
larmes ; si ton cœur s’était tourné vers le regret, tu
aurais promptement obtenu ton pardon. Mais voilà que tu as recherché
une bien misérable consolation, en entraînant
ton mari dans ta chute ; tu
as ainsi empoisonné toute ta race, en lui inoculant un poison
terrible, un vice affreux, tel
enfin, que de nos jours encore, on se console de son malheur par le
malheur des autres. Ô Ève, quelle malheureuse consolation
est la tienne, et combien malheureuse aussi est la consolation de
ceux qui t’imitent !
Une pauvresse a tenté de
mettre un message
sur notre site, et conformément à Notre
commentaire quant aux commentaires…,
et surtout à cause de son insensée méchanceté et grossièreté
nous ne l’avons pas accepté.
Elle disait, et elle ne peut
malheureusement plus le comprendre : Y
a t il un méfait, un drame sur terre qui ne soit pas de la faute des
femmes à vos yeux !?
Oui, il n’y a pas un méfait,
un drame dans le monde, et ce, sous toutes les latitudes, et à
toutes les époques, et pour notre plus grand malheur il en sera
ainsi jusqu’à la fin de ce monde, qui ne soit la faute de la
femme ! Cette intrigante rentre partout et de ses propres mains
détruit tout : Depuis
Adam, il n’y a eu guère de méfait en ce monde où une femme ne
soit entrée pour quelque chose.
(William Thackeray)
7.B.5 - Saint Jean-Marie
Vianney, commente la faute d’Ève…
Le démon qui, par son envie,
avait déjà perdu le ciel, ne pouvant souffrir que l’homme, qui
lui était très inférieur par sa création, fit si heureux dans le
paradis terrestre, voulut essayer de l’entraîner dans son malheur.
Hélas ! il ne réussit que, trop bien. S’adressant
à la femme comme à la plus faible, il
fit briller à ses yeux les
grandes connaissances qu’elle aurait de plus, si elle
mangeait le fruit que le Seigneur lui avait défendu de manger.
Elle se laissa tenter et tromper,
et porta son mari à faire de même.
Cette faute leur coûta bien cher ; dès cet instant, ils furent
condamnés à la mort : ce qui est la punition la plus
humiliante, l’homme étant créé pour ne mourir jamais.
Le Saint curé d’Ars,
confirme bien que la femme ne peut égaler l’Homme et ce, de
Volonté divine, Il dit : S’adressant
à la femme comme à la plus faible.
Il confirme aussi, chose qu’Adam étant véritablement intelligent
ne recherchait pas, qu’elle désirait : les
grandes connaissances qu’elle aurait de plus.
Elle se laissa tenter à
vouloir être intelligente, et elle entraina Adam !, non sur le
terrain de cette acquisition illégitime, car dit Saint Paul ce n’est
pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui, séduite,
est tombée dans la transgression,
mais sur celui de la lassitude, la lâcheté, Il a écouté
la voix de la femme. Or, s’il
devait compatir à sa femme, il devait la discipliner,
puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la
femme. Or il devait à Dieu obéissance et soumission.
7.B.6 - Prenez garde à ces
paroles de serpent, dit Pie XII à la femme.
Confirmation de la sujétion,
de la servitude
de l’épouse :
Nombre de voix autour de vous vous
la représenteront, cette sujétion
[à votre Époux], comme quelque chose d’injuste ;
elles vous suggéreront une indépendance plus fière, vous
répéteront que vous êtes en toutes choses les égales de vos maris
et que sous bien des aspects vous leur êtes supérieures. Prenez
garde à ces paroles de serpent, de tentations, de mensonges :
ne devenez pas d’autres Èves, ne vous détournez pas du seul
chemin qui puisse vous conduire, même dès ici-bas, au vrai
bonheur.
Pie XII s’adresse ici à la
femme déjà quelque peu égarée, car autrement c’est à son Époux
(ou Père ou Frère…) de le lui enseigner…
Nous venons de lire : des
paroles de serpent […] vous représenterons
votre sujétion
à votre Époux, comme à l’Homme en général, comme
quelque chose d’injuste.
-- Sujétion :
État de celui/ce qui est assujetti à quelqu’un ou à quelque
chose. État de dépendance (par rapport à quelqu’un),
d’assujettissement (à quelqu’un). Servitude, dépendance,
assujettissement, asservissement.
De
Droit, l’épouse doit être
totalement assujettie à son Époux !
Cette sujétion que la femme
doit à son Époux, elle la doit à l’Homme en général.
Ainsi, toute femme dans n’importe quelle situation ne peut, ne doit
jamais supplanter un Homme ; quand bien même le voudrait-elle,
elle ne le puis !, en effet il n’y a pas photo : taille,
puissance, force, intelligence, maitrise de soi, orientation,
investigation ou analyse, esprit de décision, etc.
Ceci nous donne l’occasion de
parler des reines, comme épouse et régnantes, qui sont positivement
des situations contre-nature. En effet, la femme ne peut dominer
l’Homme n’ayant aucune puissance ;
et donc une ‘reine’ d’Angleterre maintenant et avant, ou
d’Espagne ou du Portugal des années passées, est quelque chose de
scandaleux, contre-nature !
Si l’on regarde que le foyer
que cette femme a l’honneur d’habiter, elle doit être soumise à
son Époux alors que Celui-ci serait soumis à sa reine !
Comment gérer une situation de dominant dominé ?, impossible !
Comment peut-on dire la chose : soumise
à son Époux en toutes choses ;
et son contraire : soumis à sa ‘reine’ ! Comment
peut-on dire oui
mais
non !
Voici ce que disait Notre
Seigneur Jésus-Christ : Je
suis venu en ce monde pour rendre témoignage de la Vérité(Math.
18, 37).
- Celui
qui agit selon la vérité vient à la lumière(Jean
3, 21).
- Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal(Math.
5, 37).
→ Comment la ‘reine’
pourrait-elle gouverner le royaume, alors que pour toutes choses elle
doit tout soumettre à son Époux, à qui elle doit être totalement
assujettie ?
→ Comment, alors qu’elle
ne peut sortir comme le confirme le Concile de Trente, car :
elles
aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne
les oblige à sortir, et même alors
elles devront avoir l’autorisation de leurs maris,
peut-elle sortir pour s’occuper de ‘son’ royaume ?
→ Comment peut-elle
gérer un royaume, n’ayant pas de biens propres, vu que c’est
le mari qui est maître des biens communs,
et non pas la femme ?
→ Comment, et c’est ce
par quoi nous aurions dû commencer, prétendrait-elle gouverner un
royaume, alors qu’elle est totalement incapable, de Volonté
divine, de gouverner ne serait-ce qu’elle-même comme nous l’avons
vu dans toute cette étude ?
Le Droit salique
était fort juste, fort Droit !, ainsi lorsqu’une reine se
trouvait veuve, en attendant l’émancipation du dauphin, c’était
un régent qui gouvernait et qui était en avant.
7.B.6.a - La femme doit être
toujours et en tout assujettie à l’Homme…
Il n’y a pas de milieu,
c’est : oui ou non, soumis à la Loi divine ou révolté,
intransigeant ou transigeant, antilibéral ou libéral, intègre ou
corrompu, ordonné ou désordonné, etc.
Il n’y a pas de milieu :
soit l’on rame
intégralement à contre-courant, ou soit l’on se laisse filer plus
ou moins dans le courant.
C’est un tout, c’est un
paquetage indissociable, il n’y a pas de milieu :
→ À votre boulanger
vous ne pouvez demander de lécher la crème de ce gâteau si
appétissant et de ne payer que celle-ci ; et de lui laisser le
reste à ses larmes…
→ Au Père de cette si
innocente et délicieuse jeune fille (de fait ce qu’elle devrait
être !) vous ne pouvez Lui demander de la déflorer, de la
consommer qu’une seule fois ; et de laisser le reste sur le
comptoir, à Ses larmes…
C’est de l’hypocrisie :
La Vérité n’est pas un saucisson que l’on peut trancher ;
l’on ne peut se dire Intransigeant et transiger sur ne serait-ce
qu’un seul point ! Comment pouvons-nous moraliser nos ennemis
qui de fait sont des transigeants n’ayant transigé qu’un peu
plus que nous ?
C’est de l’hypocrisie :
Une jeune fille ne peut se perdre qu’une seule fois ‘seulement’
et dans le même temps jouer aux vierges effarouchées !
C’est de l’hypocrisie :
Nous ne pouvons enfreindre ne serait-ce qu’une seule fois La Loi et
dans le même temps se scandaliser de notre ennemi qui l’enfreint
un peu ou beaucoup plus !
C’est de l’hypocrisie :
Nous ne pouvons céder à une démangeaison et dans le même temps
nous scandaliser de notre ennemi qui cède à une plus grande
démangeaison. Démangeaison ?,
voici ce que Notre Seigneur Jésus-Christ disait : Car
il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine
doctrine ; mais ils amasseront autour d’eux des docteurs selon
leurs désirs ; et éprouvant aux oreilles une vive
démangeaison…
C’est de l’hypocrisie :
Que de vouloir, de fait, que notre ennemi ait la même démangeaison
que nous, en même temps que nous et avec le même intensité que
nous : pour ne pas le considérer comme notre ennemi !
Ainsi, soit nous sommes en
tout, intransigeants, intègres, antilibéraux, etc. ; ou soit,
et cela n’est qu’une question de temps, nous ferons même pire
que nos ennemis de cette heure !
Il est commun de dire que nous
avons 15 ans de ‘retard’ sur le matérialisme des USA !
Considérons que la déliquescence des USA n’ayant jamais diminué,
mais bien au contraire frénétiquement augmenté : qu’il y a
20 ans nous avions déjà 15 ans de retard sur eux ; et que dans
20 ans nous aurons encore ces mêmes 15 ans de retard sur eux !
Aussi, n’étant ‘que’ dans le wagon de queue, nous nous
scandalisons que nos ennemis soient dans le wagon de tête de ce
train infernal avançant tout droit vers l’abime éternel !
En étant pas intégralement
intransigeants, nous finirons forcément en enfer ! Et notre
seule ‘consolation’ serait que cette perdition n’arrivera, bien
fatalement soyons-en certains, que quelques secondes après celle des
passagers du wagon de tête ?
7.B.6.b - Si nous ne sommes pas
vraiment Intransigeants, nous transigeons !
Léon XIII aux Archevêques et
Évêques d’Italie, fin 1892 :
Il faut ensuite chercher toutes
les occasions favorables à la guérison de ceux-là mêmes qui
pèchent en cela par timidité ; Nous voulons parler de ceux qui
se laissent aller à favoriser les entreprises de la Maçonnerie, non
par l’effet d’une nature dépravée, mais par faiblesse d’âme
et manque de jugement. Ici s’applique cette grave pensée de Notre
prédécesseur Félix III : « l’erreur
à laquelle on ne résiste pas, on l’approuve, et la vérité que
l’on ne sert pas on l’opprime… Celui-là n’a pas de scrupule
pour la société secrète, qui cesse de s’opposer à un crime
évident ». Il importe de relever le courage de ces
hommes en leur proposant l’exemple des ancêtres, en leur rappelant
que la force est la gardienne du devoir et de la dignité, afin
qu’ils se repentent vraiment et qu’ils aient honte d’agir ou
d’avoir agi sans virilité. Car toute notre vie est une véritable
bataille, dont l’objectif surtout est notre salut, et il n’y a
rien de plus honteux pour un chrétien que de broncher dans le devoir
par lâcheté. / …
Dans cette citation, Léon XIII
parle ‘d’ignorance’ ou ‘silence’ au sujet de la vérité ;
alors lorsque c’est prémédité, intentionnel…, c’est bafouer,
renier la vérité : attaque du Sacrement de Mariage par ex.,
etc…, cela fait frémir !
1ère
transgression : peut-être lâcheté ;
2de :
apostasie !
Plus haut nous avons écrit
‘ignorance’ entre guillemets ; en effet c’est toujours une
ignorance bien coupable, bien volontaire ! Le Saint Curé d’Ars
s’écriait : Ô
mon Dieu ! que l’ignorance damne du monde…
Nous aurons beau dire comme le petit Gibus : Oh
ben mon vieux, si j’aurais su j’aurais pas venu… !,
nous y serons ! et nous ne pourrons que nous le reprocher, en
effet : nul
ne se sauve ou se damne sans l’avoir voulu de volonté certaine !
7.B.6.c - Si elle doit être
assujettie à l’Homme, elle ne doit donc pas prédominer !
La femme ne peut ni dominer ni
enseigner l’Homme, donc elle ne peut ni écrire d’article, ni
donner d’‘opinion’, ceci est une très grave transgression à
la Loi divine. L’on ne peut se ‘scandaliser’ de notre ennemi
qui est dans le wagon de tête, alors que nous sommes bien en queue
de ce train infernal !
Saint Paul le rappelle bien :
Que
les femmes se taisent dans les assemblées
(I Cor. XIV, 34) ; je
ne permets point à la femme d’enseigner
ni de dominer sur l’homme (I
Tim. II, 12).
7.C - La femme, en général,
ce qu’elle est.
7.C.1 - Par le signe de la
Croix, cette bonne femme en sait déjà tant.
Lorsque tu portes la main à ton
front en disant au nom, sans s, le signe de la croix t’enseigne
l’indivisible unité de l’essence divine. Par ce seul mot, enfant
ou bonne femme, tu en sais plus que tous les philosophes du
paganisme. Quel progrès d’un seul coup !
Époux,
commence par l’enseigner par le Signe de la Croix.
Par Lui, enseigne-lui le
renoncement, l’abnégation, l’esprit de sacrifice, enseigne lui
la soumission, sa soumission.
Ainsi elle comprendra qu’elle
doit craindre, pleine de respect, son Époux ;
ainsi, elle Lui obéira amoureusement.
Et, en en sachant déjà plus
que tous les philosophes du paganisme,
doit-elle en connaître plus que ce Signe de la Croix ? Soyons
un tout petit peu provocateurs : Non !, ce Signe de la
Croix lui suffit amplement ! Surtout si l’on se souvient que
La
femme n’est que pour son époux, et non pour les enfants.
Nous verrons,
quelle doit être l’éducation de la fille en vue de sa Mission :
son Mariage…
7.C.2 - Mgr Gaume :
Est-elle capable de raisonner ?
Chez les enfants, comme chez les
femmes, les axiomes ne bougent plus, parce qu’ils se fixent en eux
par impression et non
par raisonnement.
7.C.2.a - Femme, Marie-Ségolène
Royal pense penser !
Du :
16.10.2008, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : ven. 29 juin 2012,
15.41.
Écoutez (sur internet cela est
bien facile), lisez tous les discours de cette pauvresse, écoutez
bien, ce n’est que : je
pense…, c’était
particulièrement flagrant pendant la campagne électorale de 2007.
Marie-Ségolène pensait tellement bien, qu’elle pensait penser !
Un Homme dit je ferais ceci, je
vais faire cela !, et notre pauvresse comme toute femme du reste
disait : je
pense !
Elle
pense et pensait tellement bien que :
→ Elle a traité
ignominieusement son Père,
semé la révolte dans ses Frères et sœurs, poussé positivement sa
mère à se révolter contre son Époux ; puis a trainé son
Père devant les tribunaux ! Une fille parfaite !, même
pas capable de jeter un voile pudique sur son Père, en supposant
que !, de jeter sur Ses épaules le manteau de Noé.
De fait, une ‘parfaite’ révoltée !
→ Elle ne fut même pas
capable de se comporter un tant soit peu honnêtement avec son poupon
de ‛prince consort pas’ : François Hollande.
→ Elle ‘pense’,
devant des millions de téléspectateurs, faire protéger la femme
par un Homme autre que le sien, son Protecteur naturel !…
7.C.2.b - Faire reconduire la
fliquette ‘affranchie’ de son Homme, par un macro !
Vous souvenez-vous du débat
pour la présidentielle 2007, le face à face Sarkozy-Royal du 2 mai
2007 pour le 2ème tour du grand cirque démoncratique ?
Révisons ce passage absolument
surréaliste, ubuesque :
Nicolas Sarkozy : […] Le
groupe socialiste ne les a pas votées, mais passons, ce n’est pas
le plus important.
Ce
qui est très important, vous avez parlé de cet abominable
viol dans le parc de Bobigny. Dites-moi, si vous devez faire
raccompagner toutes les femmes fonctionnaires chez elles la nuit…
Ségolène Royal :
Parfaitement !
Nicolas Sarkozy : Il y aura
une fonction publique au service des Français et une autre fonction
publique au service des fonctionnaires qui rentrent chez eux.
Ségolène Royal : Cela
ne m’amuse pas, mais avez-vous une autre solution ?
Reprenons le drame que cette
femme a objectivement cherché :
Alors qu’elle quittait son
service à la Direction départementale de la sécurité publique de
Seine-Saint-Denis de Bobigny, une jeune policière a été violée
dimanche matin, par des agresseurs qui n’ont pas pu être
identifés. Selon une source policière, deux ou trois personnes
auraient été interpellées, puis mises hors de causes.
Nous, nous disons à la suite
de la Loi naturelle : la femme en sa Maison, protégée par son
Époux !
‘Eux’, disent que la femme
est libre parce qu’égale à l’Homme, elle est capable et
autonome !
Elle est libre parce que
l’égale de l’Homme ! Nous vous rappelons que de cette
égalité, nous avons dû attendre plus de 6.000 ans pour nous en
apercevoir !
Et étant donc égale à
l’Homme, comment peut-elle être violée par Lui ?, là, il y
a un mystère !
Et c’est les mêmes tartuffes
qui ont obligé la femme à se ‘libérer’ qui veulent UN flic,
pour chapeauter LA fliquette qui est sur le trottoir, soit : un
macro !, un souteneur ! Oui, les mêmes qui
l’ont violemment arrachée à son Protecteur naturel, son Époux,
veulent lui imposer un ‘protecteur’ contre-nature ; soit,
étant sur le trottoir pour la ‘protéger’ au moment où cette
pauvresse de fliquette rentre chez elle : un macro !,
un souteneur !
La femme étant l’‘égale’
de l’Homme, son Époux, après l’avoir ‘libérée’, ‘ils’
la mettent sous la protection d’un illégitime, d’un
contre-nature, d’un macro !, d’un souteneur !
C’est bien ce que nous disions précédemment, devant être
dominée, si elle refuse la domination de son Époux, fatalement elle
tombe sous une domination perverse !
Ainsi nous avons vu la pensée
fulgurante d’une ‘pensante’ pensant penser :
Marie-Ségolène Royal !
De fait, elle ne ‘pense’
que ce que ‘eux’, en en étant totalement incapable de par
elle-même, et ce de Disposition divine, lui ont mis dans sa pauvre
petite tête d’écervelée.
Oui, répétons-le, la femme
est incapable de penser, bien qu’ayant une ‘intelligence’, car
comme femme, votre épouse n’a pas du tout, de Disposition divine, de discernement : de politique, de gestion, d’orientation, de choix, etc. Mais uniquement un discernement applicable au fait de savoir si ce qu’elle fait correspond exactement à l’ordre reçu, implicite ou explicite, auquel elle doit une obéissance totale, ‘en toutes choses’, à ‘ce que son Époux lui a marqué’ implicitement ou explicitement !
Ségolène Royal finit en
disant : Cela
ne m’amuse pas, mais avez-vous une autre solution ?
→ Oui !, pauvresse,
celle qui fut testée de tous temps et que le Concile de Trente
confirme ainsi : elles
aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne
les oblige à sortir, et même
alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris.
→ Ou, si vous préférez
qu’on le dise plus gaillardement : bobonne
aux fourneaux et ainsi pas de
viol à l’extérieur !
Qu’il
nous soit permis cette boutade, l’on peut résumer cette campagne
ainsi :
→ Sarkozy :
faire reconduire les clandestins à la frontière par des flics, pour
‘rassurer’ ceux qui veulent absolument croire aux promesses qui
n’engagent que les écouteurs des sornettes flûtées
malicieusement !
→ Ségolène :
faire reconduire les femmes à la maison par des
hommelettes-flics-macros, pour les empêcher de voir qu’elles se
détruisent elles-mêmes !
Quel programme pour gogos !
Voilà où en est rendu leur
pauvre monde : un troupeau de désorientés, de déboussolés,
conduit par des aveuglés d’orgueil ; et qui, conduits et
conducteurs, ne font que dire : Non
serviam !
♣
7.D - La femme, comme épouse,
ce qu’elle doit.
7.D.1 - L’épouse doit servir
son époux, et non point Dieu.
Ce n’est pas que l’Époux
passe avant Dieu !, c’est simplement que la femme n’ayant
pas été engendrée pour Lui mais pour l’Homme, elle doit servir
que l’Homme en général. Et plus particulièrement selon sa
destinée première, dans le Mariage : son Époux. C’est
uniquement dans la mesure où elle sert que
son Époux, et parfaitement, que conséquemment elle sert ainsi Dieu.
Par ex. : un manant sert
son Seigneur. Aucunement il doit servir le Roy. Et c’est en servant
le Seigneur que conséquemment, le Seigneur étant au service du Roy,
que le manant sert son Roy !
Lisons
ceci : L’homme
est crée pour louer, honorer et servir Dieu, notre Seigneur, et par
ce moyen sauver son âme. Et les autres choses qui sont sur la terre
sont crées à cause de l’homme
[donc la femme aussi : mais
la femme pour l’Homme, voir
ensuite 11,9.] et
pour l’aider dans la poursuite de la fin que Dieu lui a marqué en
le créant. D’où il suit qu’il doit en faire usage autant
qu’elles le conduisent vers sa fin et s’en dégager autant
qu’elles l’en détournent.
Lisons
ceci aussi :
11,7. L’homme
ne doit pas se voiler la tête, parce qu’il est l’image et la
gloire de Dieu ; mais la femme est la gloire de l’homme.
11,8. Car
l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été
tirée de l’homme ;
11,9. et
l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais
la femme pour l’homme.
11,10. C’est
pourquoi la femme, à cause des Anges, doit
avoir sur sa tête la marque de la puissance de l’homme.
Nous disions que la femme n’est
pas faite pour servir Dieu ! De même du reste nous voyons
qu’elle n’est pas faite pour la Gloire de Dieu mais pour la
gloire de l’Homme ! Elle n’est ni l’Image de Dieu, ni Sa
Gloire, ni à Son Service.
Elle est l’image de l’Homme
(dérivée), la gloire de l’Homme, et à Son service.
Nous l’avions bien promis :
sans aucune langue de bois !
De
son Époux :
l’image, la gloire, la servante.
Sa servante ? N’est-ce
pas un peu délirant comme terme ?
Non, ce n’est pas de notre
faute si tous les termes sont faussés maintenant : soumission,
sujétion, subordination, servante, vénération, honoration, faite
pour, obéissance totale, humilité, etc.
Relisons
bien : 11,10 C’est
pourquoi la femme doit, à cause des anges, avoir sur la tête un
signe de sujétion.
Revoyez plus haut
ce que veut dire cette sujétion
que vient de confirmer Saint Paul…
7.D.2 - Servante de son
Époux !, Saint Astère, dit-il autre chose ?
Confirmation
de la sujétion,
de la servitude
de l’épouse :
Elle [la femme, l’épouse] est
une partie de vous-même ; elle vous environne constamment de
ses soins ; vous la voyez toujours à vos côtés ; vos
enfants l’appellent leur mère ; elle est votre secours dans
vos maladies, votre consolation dans vos malheurs ; c’est la
gardienne de votre maison et de tout ce qui vous appartient. Elle
partage vos douleurs et vos joies ; dans la fortune, la
possession de vos richesses lui est commune ; dans la pauvreté,
elle soutient avec vous le poids de la misère, et cherche, en les
partageant, à diminuer les maux qui vous accablent ; enfin que
de peine ne se donne-t-elle pas pour élever les enfants qu’elle a
eus de vous ? [X] Qu’un
malheur survienne, voilà le mari dans l’abattement et le
désespoir ; les amis, ou ceux que l’on croyait tels, réglant
leur attachement sur les faveurs de la fortune, se retirent à
l’approche de l’orage, les esclaves fuient leur maître et la
misère dans laquelle il est tombé. La femme reste seule auprès de
son mari dans l’affliction ; elle
se montre sa servante assidue et dévouée ; elle est
attentive à satisfaire à ses
moindres désirs, elle essuie ses larmes, elle répand sur ses
plaies un baume salutaire ; elle le suit jusqu’au fond des
cachots, et si l’on ne veut pas lui laisser une libre entrée, elle
demande à s’enfermer avec lui ; qu’on lui refuse cette
faveur, et, comme un chien fidèle, elle ne quitte point les portes
de la prison. Nous avons connu nous-même une femme qui s’était
fait couper les cheveux et, qui avait pris des habits d’homme pour
ne pas se séparer de son mari obligé de s’enfuir et de se tenir
caché. Tandis qu’elle se livrait aux pénibles travaux d’un
esclave, cette femme admirable obéissait aux affections de son
cœur ; elle mena cette pénible vie pendant plusieurs années
de suite, changeant continuellement de retraite et allant avec son
mari de solitude en solitude.
Inutile de commenter ce texte,
si nos ennemis ne veulent pas comprendre, que pouvons-nous y faire ?…
Lisez bien aussi après le [X]
que nous avons placé, ce texte est très important, nous le
reverrons plus loin.
7.D.3 - L’épouse ne peut
aucunement sortir sans permission.
Concile de Trente : Un
autre devoir essentiel des femmes c’est l’éducation religieuse
des enfants, et le soin assidu des choses domestiques. Elles aimeront
aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige
à sortir, et même alors elles devront avoir l’autorisation de
leurs maris.
Nous pensons l’avoir déjà
bien développé !
7.D.4 - L’épouse ne doit
rien estimer de plus que l’Époux.
Concile de Trente : Enfin,
– et ceci est le point capital dans le mariage – elles
se souviendront que, selon Dieu, elles ne doivent ni aimer ni estimer
personne plus que leurs maris…
Il dit : Elles
ne doivent ni aimer ni estimer personne plus que leurs maris,
donc personne !, ni ‘sa’ famille, ni le prêtre, ni le Pape,
etc. !
-- Estimer :
Avoir une opinion sur, juger, croire.
Estimer personne plus que
l’Époux, ce qui veut bien dire estimer que Lui !, n’est-ce
pas ?
Ainsi la meilleure opinion est
pour Lui !, le meilleur jugement est pour Lui, la meilleure
croyance est pour Lui.
Ou…, dit l’épouse :
j’opine que par Lui, je juge que par Lui, je crois que Lui !
Et c’est cela que veut dire
le : estimer
personne plus que leurs maris !
Ceci confirme encore :
qu’une femme qui va ‘vérifier’, en consultant de quelque façon
que cela soit (livre, personne, etc.) la véracité de ce que lui dit
son Époux, ne l’estime pas ! Elle commet un péché mortel de
désobéissance,
un adultère, une fornication avec un loup ensoutané de peaux de
brebis, un cloaque
d’impureté !
7.D.5 - Pie XI : confirme
la fidèle et honnête subordination de la femme.
Les mêmes maîtres d’erreurs
qui ternissent l’éclat de la
fidélité et de la chasteté nuptiales n’hésitent pas à attaquer
la fidèle et honnête
subordination de la femme à son mari.
Une
femme doit être, est forcément subordonnée, soit :
→ Dans le beau, le bon,
elle l’est à un Chef légitime comme fille, épouse…
→ Dans le laid, le
péché, elle l’est à un manipulateur comme prostituée, ou comme
‘folle’ suivant un leurre tel qu’une idée orgueilleuse
d’émancipation, de ‘liberté’…
7.D.6 - Pie XI confirme :
la dignité de la servitude de l’épouse.
Confirmation
de la sujétion,
de la servitude
de l’épouse :
Nombre d’entre eux poussent
l’audace jusqu’à parler d’une
indigne servitude d’un des deux époux à l’autre ;
ils proclament que tous les droits sont égaux entre époux ;
estimant ces droits violés par la
« servitude » qu’on vient de dire, ils
prêchent orgueilleusement une émancipation de la femme, déjà
accomplie ou qui doit l’être.
-- Servitude :
État de celui, de celle qui est serf. […] Obligation impliquée
par cet état. […] État d’absence de liberté, de soumission
absolue à un maître. […] Rapport social de soumission volontaire
ou imposée.
Pie XI confirme bien que
l’épouse est dans une digne servitude de son Époux, mais
que contrairement à ce que disent ces audacieux, cette servitude
est pleine de noblesse et de bonheur vraiment chrétien.
N’étant pas tirée de la
tête, elle n’est pas Chef ; n’étant ni tirée du pied,
elle n’est pas esclave.
Qu’existe-t-il entre la tête
et le pied ?, à l’intérieur de la poitrine de son Époux ?,
précisément de là où elle fut tirée par l’Accoucheur divin :
le cœur !
Ce cœur, intermédiaire entre
la tête et le pied, est fameusement bien placé, bien plus près du
Chef que du pied !
Supposons un Homme de 170 cm,
entre l’axe de son front (± 10 cm du haut du crâne) et l’axe
des pieds (hauteur négligeable) il y a donc environ 160 cm ;
ainsi :
→ Entre l’axe du
front, sphère du commandement, et l’axe du cœur, sphère de la
servitude, il y a moins de 40 cm !
→ Entre l’axe de ce
même cœur, sphère de la servitude, et les pieds, sphère de
l’esclavage, il y a plus 120 cm !
Ainsi l’épouse-cœur-servante
se trouve bien plus près du Chef que de l’esclave, à moins d’¼
de la distance qui sépare ces deux points extrêmes : le Chef,
l’esclave ! Qu’elle considère, l’épouse-cœur-servante,
la position si avantageuse où la Providence divine la plaça :
si, si près du Chef !
Que pourrait-elle désirer de
plus ?, palpiter si près du Gouvernement sans en avoir
aucunement les affres ! Avoir le bonheur, la chance incroyable,
que dans Son infini Bonté Dieu lui donna, d’être la servante
d’un Prince
(Léon XIII), d’un Empereur
(Mgr Gaume), d’un Roy
(Mgr d’Orléans), d’un Maître
(Saint Paul), etc., d’un Époux qui l’aime même plus que sa
propre personne, c’est là toute sa dignité, sa gloire et son
bonheur, son honneur et sa sauvegarde…
Et Pie XI de rappeler au
passage que ce qui empêche la femme d’être la très heureuse et
paisible servante de son Époux, c’est ‘ils’,
‘ceux’ qui flattant son orgueil, prêchent
orgueilleusement une émancipation de la femme.
7.D.7 - Pie XI condamne :
ceux qui veulent que l’épouse s’émancipe.
Ils
décident que cette émancipation doit être triple, qu’elle
doit se réaliser dans le gouvernement
de la vie domestique, dans l’administration
des ressources familiales, dans la faculté
d’empêcher ou de détruire la vie de l’enfant, et ils
l’appellent sociale, économique, physiologique :
physiologique, car ils veulent que les femmes soient à leur gré
affranchies des charges conjugales et maternelles de l’épouse (ce
qui n’est pas émancipation, mais crime détestable, Nous l’avons
suffisamment montré) ; économique ils entendent par là que la
femme, même à l’insu de son mari, et contre sa volonté, puisse
librement avoir ses affaires, les gérer, les administrer,
sans se soucier autrement de ses enfants, de son mari et de toute sa
famille ; sociale enfin : et par là ils
enlèvent à la femme les soins domestiques, ceux des enfants
et ceux de la famille, pour que, ceux là négligés, elle puisse se
livrer à son génie naturel, se consacrer aux affaires et occuper
des charges, même les charges publiques.
Y a-t-il besoin de
commentaires ? Tout ceci a déjà été largement développé
tout au long de cette étude…
7.D.8 - Une soumission pleine
de crainte et de respect, amoureuse.
Q. Saint Paul
n’indique-t-il pas pour la femme deux devoirs tout spéciaux envers
le mari ?
R. Oui, la crainte et
l’obéissance. « Que l’épouse craigne son mari. »
(Eph., v. 32.) « Que les femmes soient soumises à leur mari
comme au Seigneur, car le mari est le chef de la femme. »
(Eph., v, 22, 24.)
Q. Quelles doivent être
la crainte et l’obéissance de l’épouse ?
R. Non point une
crainte pleine de terreur, mais pleine
de respect ; non point une obéissance servile, mais une
obéissance amoureuse, car la femme n’est pas l’esclave,
mais l’aide et la compagne : Adjutorium simile sibi.
Y a-t-il besoin de beaucoup de
commentaire sur ceci ?
7.D.9 - Nous insistons :
l’épouse est la digne servante de son Époux !
Confirmation de la sujétion,
de la servitude
de l’épouse :
Toutes ces citations ne sont
pas de Saints, mais toutes sont saines parce que conformes à La Loi
naturelle, à la Volonté divine :
Saint
Astère (350-410) :
Elle [l’ épouse] se montre sa servante
assidue et dévouée.
Pierre
de Roubaix (1415-1493) : Et
tout en s’occupant, il aura toujours son regard et son cœur à
vous et à votre amoureux service.
Il abandonnera toute autres maisons, toutes autres femmes, tous
autres services
et intérieurs.
Shakespeare
(1564-1616) :
J’ai honte de voir des femmes assez simples pour offrir la guerre
là où elles devraient demander la paix à genoux, et pour prétendre
au pouvoir, à la suprématie et au gouvernement, là où elles sont
tenues de servir,
d’aimer et d’obéir.
Pie XI
(1930) : Nombre
d’entre eux poussent l’audace jusqu’à parler d’une indigne
servitude
d’un des deux époux à l’autre…
Pie XI
(1930) : estimant
ces droits violés par la « servitude »
qu’on vient de dire…
Pie
XII (1941) :
Nombre de voix autour de vous vous la représenteront, cette sujétion
[à votre Époux], comme quelque chose d’injuste.
7.D.10 - Obéir !, même
dans ce qui lui semble déraisonnable ou impossible.
7.E - La femme, comme
insoumise, ce qu’elle encoure…
St Alphonse de Liguori :
quant à la femme, elle pèche…
7.E.1 - Si elle désobéit,
elle pêche mortellement.
St Alphonse de Liguori :
1° Si elle n’obéit pas à son mari lorsqu’il ne lui donne
que des ordres légitimes ; et spécialement à l’égard des
devoirs du mariage, que
les femmes sachent bien que toutes les fois qu’elles désobéissent
à leurs maris elles commettent un péché mortel.
Par soucis de ne pas trop se
répéter, pour ce qui touche aux ordres
légitimes, voir le commentaire
un peu plus loin (7.E.3)…
Comme titre nous aurions pu
mettre : Si
elle désobéit, donc
forcément à son Époux,
elle pêche mortellement. En
effet, ne devant obéissance qu’à son Époux, sa désobéissance
ne peut être qu’envers son Époux !
L’auteur, St Alphonse de
Liguori, fait certainement une distinction entre désobéissance et
négligence ; voyons cela de plus près…
7.E.1.a - Une ‘petite’
désobéissance, un péché mortel ?
Supposons,
par ex. que : l’Époux
commande à son épouse de ne point trop saler les aliments ; et
ayant négligé son Époux,
elle a trop salé, ici, nous pouvons dire que c’est une
‘imperfection’. Mais objectivement, effectivement, c’est une
négligence bien coupable. Bref, soyons même très ‘libéral’,
large : une fois…, deux fois…, et si après cela les
aliments sont toujours trop salés ?
L’épouse dans son début de
révolte, lui rétorque : mais,
j’ai l’habitude ; ou :
mais,
je préfère salé ainsi, etc.
Nous faisons tout de même remarquer qu’elle s’excuse,
fuit ses responsabilités : mais… ;
alors qu’elle devrait s’accuser : Oui,
mon Époux je vous ai négligé, je vous prie de me pardonner,
veuillez être patient avec moi, je me corrigerais…
Qu’elle ait cette mauvaise
habitude est justement ce que son Époux le lui reproche, mais
passons… ; son Époux trop patient lui commande formellement
de saler avec une réelle modération, voire même de ne plus saler.
L’épouse ‘innocemment’ passe à l’étape suivante :
elle persiste à ‘oublier’ l’ordre…
Devant le reproche que son
Époux lui fait d’avoir outrepassé son interdit formel, d’avoir
encore ‘oublié’ de ne pas saler :
1. elle ne s’accuse pas
en se précipitant aux pieds de son Époux afin d’obtenir Son
pardon ;
2. mais de plus c’est
elle qui accuse son Époux d’avoir fait cette remarque devant les
enfants. Chose, cette dernière, qu’elle utilisera malicieusement
devant le ‘juge’ en retournant la chose : Il
me faisait des reproches devant les enfants !
Mais dites, petite, qui a
résisté, désobéi à son Époux devant les enfants, et qui ainsi
les a scandalisé ? Qui a acculé son Époux à lui faire cette
remarque devant les enfants en désobéissant devant les enfants et
en les prenant comme témoins de la ‘tyrannie’ de son Époux ?
Là, alors : c’est bien
une faute grave, un péché mortel, même pour une ‘petite’
chose, doublée d’un autre péché mortel : les enfants
scandalisés et qui de plus sont pris à témoin contre leur Père !
7.E.1.b - Pourquoi désobéir à
l’Époux est un péché mortel pour l’épouse ?
Parce que l’épouse doit
obéir comme à Dieu à son Époux
qui est Son représentant auprès d’elle ; et dont elle
est la servante car c’est précisément pour cela qu’elle fut
donnée à son Époux par Dieu même ; et non l’inverse ;
et non ‘l’un pour l’autre’, mais ‘une pour l’Un’ :
la femme, ici l’épouse, pour l’Homme, ici son Époux !
Dans notre exemple elle a de
volonté certaine, même en une relative petite chose, désobéi
formellement, frontalement à son Époux ;
et donc à Dieu !
Ce
fait précis fut conté à l’un de nous…
Un prêtre de la secte FSSPX en
fut un acteur principal, il osa, ce pervers, ce cloaque
d’impureté :
→ ‘relever’ l’épouse
de son devoir d’obéissance envers son Époux ; chose
impossible en effet cette autorité n’est
amissible, ni même abdicable,
et que de plus l’Autorité de l’Époux est beaucoup
plus large que celle du législateur :
adultère ou viol selon le consentement ou pas de l’épouse,
fornication !
→ la convaincre qu’elle
avait à faire à un tyran, calomnie renforcée : Chef de
Famille !
→ la pousser à demander
la séparation de corps devant le ‘juge’ civil, révolte frontale
devant Dieu : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point ! (Notre Seigneur
Jésus-Christ)
→ après lui avoir lui
avoir obtenu de la ‘rote’ plus qu’illégale de cette secte, la
FSSPX, l’autorisation de poursuivre cette criminelle action au
civil…
7.E.1.c - Les conséquences
incalculables d’une ‘petite’ faute !
Comme la ‘toute petite’
faute de la femme, avoir pris la pomme interdite, eut des
conséquences absolument incalculables !, il suffit de regarder
autour de soi la désolation de cette terre ; idem, une ‘petite’
faute de l’épouse entraine une désolante désolation…
Nous ne pouvons nous disperser,
aussi nous ne faisons que signaler un très bon livre à (re)lire Le
bénédicité au XIXème
siècle ou la Religion dans la Famille
de Mgr Jean-Joseph Gaume, où celui-ci parle du caractère sacré :
du sel et de la salière ; de donner ou recevoir le sel ;
de le disperser ou verser, ou même renverser le sel ; les
bénédictions ou maléfices (il ne s’agit nullement de
superstitions) passant par le sel… Ainsi, nous avons ici, au moins
trois affaires ayant une certaine articulation autour du sel, de la
salière…
Reprenons notre affaire de
salière, résultat des courses, voici les péchés mortels d’une
‘simple’ ‘petite’ désobéissance :
1. l’‘oublis’
persistant de ne pas saler ;
2. le scandale de l’épouse
et non de l’Époux devant les enfants : Mais
si quelqu’un scandalise un de ces petits qui croient en Moi, il
vaudrait mieux pour lui qu’on suspendit à son cou une de ces
meules qu’un âne tourne, et qu’on le plongeât au fond de la
mer. (Mathieu, 18,6)
3. les frondes ultérieures
parmi les enfants (autant de frondes autant de péchés mortels) ;
4. la fornication avec un
loup
déguisé en brebis :
si
elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles
interrogent leurs maris à la maison ;
il est, en effet, inconvenant pour une femme de prendre la parole
dans une assemblée.
5. l’adultère dans un
confessionnal ! crime particulièrement aggravant (Cf St curé
d’Ars)
6. viol de l’autorité
de l’Époux, crime particulièrement grave ;
7. destruction d’un
foyer… avec tous les péchés mortels de tous les différents
acteurs cléricaux et judiciaires, ‘témoins’, etc. ;
8. toutes les
conséquences : enfants orphelins éplorés et perturbés dans
leur éducation, ruine matériel, scandales publiques, mauvais
exemples auprès d’autres épouses, etc…
Oui, que
les femmes sachent bien que toutes les fois qu’elles désobéissent
à leurs maris elles commettent un péché mortel,
ayant lui-même des conséquences incalculables et toutes plus
monstrueuses les unes que les autres ! Que ces prêtres sachent
bien qu’ils ne resteront pas impunis : Oui,
les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur
leurs têtes. (ND de La
Salette)
7.E.1.d - De plus, vous
souvenez-vous de l’obéissance que demande l’Église ?…
Vous souvenez-vous comment les
Hommes de cette Église envisagent l’obéissance de ses membres
subalternes : Le
religieux doit obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus
déraisonnables. […] difficiles ou même impossibles !
Et ces mêmes prêtres
‘affranchissent’ nos épouses de l’obéissance infrangible
qu’elles doivent à leurs Époux !
Et ce, alors que l’Autorité
de l’Époux sur Son épouse est considérablement plus grande, plus
totale que l’autorité du supérieur sur son inférieur(e).
7.E.2 - Si elle dépense sans
permission, elle pêche gravement.
Poursuivons avec St Alphonse de
Liguori : 2° Si,
sans le consentement de son mari, elle dépense sur les revenus
communs une somme plus forte que les femmes de son rang ont coutume
de dépenser, parce que c’est
le mari qui est maître des biens communs,
et non pas la femme ; elle pourrait seulement dépenser quelque
chose pour les besoins de la famille, lorsque le mari néglige d’y
pourvoir ;
Ceci a été largement étudié
précédemment…
7.E.3 - Si elle ne suit pas son
Époux, elle pêche gravement.
Toujours avec St Alphonse de
Liguori : 3° Si
elle refuse sans
motif
de suivre son mari dans l’endroit où il veut se choisir une
habitation, parce que la femme est obligée d’habiter avec son
mari ;
Toujours
la même criminelle imprécision…
Un peu plus haut (7.E.1), nous
avions dit que nous reparlerions des ordres légitimes : si
elle n’obéit pas à son mari lorsqu’il ne lui donne que des
ordres
légitimes.
Toujours la même bombe à
retardement : Ordres
légitimes, ou sans
motifs… !
Forcément !,
elle
n’a aucun motif de désobéissance….
Contrairement à ce que dit St
Alphonse de Liguori,
qui ici se trompe lourdement :
→ l’Époux a forcément
que
des ordres
légitimes, car seul
l’Époux a la légitimité exclusive
pour commander l’épouse, étant son Époux !
→ l’épouse est
forcément sans
motif pour ‘pouvoir’
ne pas suivre son Époux : elle a tout quitté pour Lui ;
pour Lui appartenir, et vice-versa du reste.
Et…, pour ces deux points,
ordres
légitimes, ou sans
motifs, elle doit Lui
obéir
en toutes choses,
jusque
dans les choses qui lui semble les plus déraisonnables et les plus
impossibles,
et même le
suivre
en prison !
Cela devient bien lassant…,
nous avons une réfutation qui est facilement transposable au point
DP-4.E.1.e, On ne peut dire une chose et son contraire, pour l’Église.
et contexte.
De plus, supposons…, alors,
en cas de ‘scrupule’ de l’épouse et du maintient de l’ordre
de l’Époux, qui va trancher entre les motifs
valides et invalides ?, ou
l’ordre
légitime ou illégitime ?
Une tierce personne ?, non car alors elle n’aura pas interrogé
son Époux à la Maison
sur quelque
point que ce soit et ce dans
une
entière soumission, et donc il
y a adultère, fornication !
‘Ils’ aiment l’absurde ?,
continuons dans l’absurde, bien que ceci soit un affront à la
raison et à la Vérité contenue dans la Loi naturelle : devant
‘départager’ les époux, supposons que ceux-ci fassent appel à
l’extérieur (et qui s.v.p. ?) et que :
→ l’Époux trouve un
soutien disant que son épouse doit
le suivre ou que son ordre
est bien légitime ; et
→ l’épouse trouve un
soutien pour ne pas
suivre son Époux, et déclarer
l’ordre
illégitime.
Que fait-on ? Situation
burlesque !, à qui fait-on appel ensuite ?
Histoire de fous !
Oui, véritablement une bombe à retardement, car à sa première
démangeaison,
l’épouse ne manquera pas de dire que St Alphonse de Liguori a dit
que :
→ je pouvais ne pas
suivre mon Époux pour un motif valable !, or mon motif, peu
importe lequel, est valable, donc je peux ne pas Le suivre ;
soit me séparer de Lui pour ce motif.
→ je ne devais pas obéir
à un ordre illégitime, or cet ordre en ‘conscience’ est
illégitime, donc je dois ne pas Lui obéir ; soit me séparer
de Lui pour ce motif.
Nous
avions dit :
sans aucune langue de bois !
St Alphonse de Liguori aurait
pu dire, ce qui aurait été plus court et identique, et là au moins
pas d’ambiguïté, pas de doute :
→ l’épouse ne fera
jamais de péché mortel en ne suivant pas son Époux, car forcément
elle a un motif !
→ l’épouse ne fera
jamais de péché mortel en n’obéissant pas à son Époux, car
forcément pour elle cet ordre est illégitime !
Triste à pleurer !, et
l’on s’étonne du nombre toujours croissant de
séparations-divorces ?
Irresponsabilité !
Irresponsabilité totale mais logique, en effet, l’on ne peut
que se tromper si l’on essaye de définir ce qui ne revient
qu’au Chef de définir à l’intérieur de la Loi cadre,
la Loi naturelle, comme toute notre étude le montre bien.
Nous regrettons vraiment
l’erreur de St Alphonse de Liguori que nous savons involontaire,
mais entachant tout de même le but qu’évidemment Il se
proposait !
7.E.4 - Si elle affronte,
encolère son Époux, elle pêche gravement.
Fin de ce passage de St
Alphonse de Liguori : 4° Lorsque,
par ses réponses impertinentes, elle est cause que son mari profère
des blasphèmes.
Si l’épouse fait blasphémer
l’Époux, elle commet un péché mortel, mais aussi si elle
l’expose à blasphémer, si elle le ‘fatigue’ et qu’Il en
vient ainsi à perdre patience idem, etc.
7.E.5 - Si l’épouse la
fermait, elle ne serait pas battue !
Autre texte de St Alphonse de
Liguori : Certaines
femmes se plaignent de ce que leurs maris les battent
continuellement ; mais elles-mêmes, lorsqu’elles les voient
en colère, les excitent au lieu de garder le silence ! Il y
avait un chêne et un roseau ; il survint un grand vent ;
le chêne voulut résister et il fut déraciné et brisé, le roseau
au contraire plia sous les coups du vent, le laissa passer, et évita
de cette manière d’être brisé par sa fureur. Comprenez-vous ce
que cela signifie ? Gardez le silence lorsque votre mari est
courroucé, laissez passer le vent de sa colère, et bientôt il vous
laissera tranquille et ne vous battra plus.
Oui, si l’épouse la fermait,
sa bouche, au lieu de toujours tenir tête, de se révolter, point de
coups alors ; d’où il suit que les coups qu’elle reçoit ne
viennent que de sa faute, de ses insolences.
Pourquoi tenir tête, devant de
toutes les façons plier devant son Chef, son Maître ?
Ne trouvez-vous pas que la
fable sidérante de la femme battue est pulvérisée ?
7.E.6 - Veut-elle découvrir
l’eau miraculeusement contre-coups !
Encore St Alphonse de Liguori :
C’est
ce qui arriva exactement à une femme qui se plaignait toujours
d’être battue par son mari ; un homme de bien lui dit :
« Je
veux vous donner une eau que vous tiendrez dans la bouche, lorsque
votre mari sera irrité et vous ne serez plus maltraitée. »
Il lui donna l’eau, la femme suivit son conseil et son mari ne la
battit plus. Elle pria ensuite l’homme de bien de lui enseigner où
il puisait cette eau. « Je la prends, répondit-il, dans tous
les puits ; ce qui revient à dire, ne répondez point lorsque
votre mari est en colère et vous ne serez plus alors maltraitée. »
Un verre d’eau ‘miraculeuse’
dans la bouche, et plus de coups ! Plus de femmes battues, plus
de Maris ‘violents’ !
Mettez
en parallèle ces deux textes :
→ Conseil d’un saint
Homme : Un
verre d’eau ‘miraculeuse’ dans la bouche, et plus de coups !
→ Conseil d’une
garce : De
plus en plus de femmes se font battre !… Elles se font battre
parce qu’elles résistent… Elles résistent parce qu’elles
savent que nous les soutenons !
7.E.7 - St Augustin : si
l’épouse est battue, cela ne vient que d’elle !
St Alphonse de Liguori, Docteur
de l’Église, cite St Augustin, autre Docteur de l’Église :
XXX. Saint Augustin rapporte (l.
9, conf. cap. 9) de sainte Monique, sa mère, que, bien qu’elle eût
un mari très fâcheux, elle
vivait cependant en paix avec lui, de sorte que ses voisines, qui
étaient souvent en discorde avec leur mari, lui demandèrent un jour
de quel moyen elle se servait : pour vivre en si grande paix
avec son mari. La sainte leur répondit : « Mes sœurs,
les désagréments que vous
éprouvez de la part de vos maris ne viennent
pas tant de leurs imperfections que
de la vôtre ; vous répondez, vous répliquez, et par là
vous exaspérez leurs esprits ; mais quand
je vois mon époux en colère, je ne réponds pas, je supporte ses
aigreurs, et je prie Dieu pour lui, et par là je vis en paix :
faites-en autant, et vous aussi vous vivrez en paix… »
Ceci est à rapprocher de ce
que nous avons vu plus haut : La
décadence touche les meilleures familles. Deux familles identiques :
l’une est paisible, l’autre est difficile. Un seul responsable
mesdames, je suis désolé, c’est la femme, l’épouse, la mère.
7.E.8 - Notre Seigneur
Jésus-Christ dit-Il autre chose ?
Nous avons gardé la meilleure
pour la fin, afin de donner le coup de grâce à la fable de la femme
battue.
Ce texte qui va suivre n’est
nullement de Foi, toutefois il serait sûrement téméraire de
l’exclure. En effet, il n’est pas du tout en opposition avec les
autres citations, bien au contraire, qui elles disent bien l’entière
responsabilité de la femme dans la mésentente conjugale, soit
directement ou indirectement : les fameux 80/20.
Lisons Anne Catherine
Emmerich : A
cette occasion, Jésus parla aussi d’une manière simple mais
profonde sur le mystère du mariage. Les paroles suivantes du
Seigneur me parurent remarquablement claires et convaincantes :
« Si
les époux ne vivent pas en bonne intelligence,
si le mariage n’atteint pas son but, qui est de procréer des
enfants bons et purs, la
faute en est presque toujours à la femme.
Son devoir est de tout supporter et de souffrir ; elle est le
vase qui reçoit, qui conserve et qui forme ; elle peut, en
purifiant son âme, réparer beaucoup en elle et dans son fruit. Elle
façonne cet être qui est en elle ; il est en son pouvoir, en
régénérant son âme et son corps, d’effacer tout ce qui est
mauvais dans l’enfant, à qui tout ce qu’elle fait nuit ou
profite. […] L’homme et la femme sont une seule chair : mais
la
femme a pour mission d’expier et d’effacer le péché originel
en se purifiant dans la souffrance et la prière. »
Jésus parla longtemps encore sur
le mariage, et je fus tellement frappée de la vérité de ses
enseignements, et du besoin qu’auraient les hommes de les
connaître, que je me dis en moi-même : « Pourquoi ces
paroles ne sont-elles pas écrites, et pourquoi n’y a-t-il pas de
disciples pour les recueillir et les faire connaître à tous ? »…
Pour nous, il n’y a rien à
ajouter…
7.E.9 - Allez, une petite
dernière pour la route…
L’apôtre établit la
prééminence de l’homme sur la femme ; il a été formé le
premier. La femme est sortie de lui : il est son chef dans
l’ordre de la création.
Mais, si la femme doit être
soumise à l’homme comme à son chef naturel, elle
lui est assujettie plus strictement encore, en ce que, séduite
et l’ayant entraîné au mal, elle
a une réparation à lui faire et une punition de son péché à
subir.
D’avoir été l’introductrice
du péché, cela lui impose une retenue particulière. Elle n’a
aucun droit d’enseigner ; elle ne doit pas sortir de la
condition d’humble disciple ; qu’elle se tienne dans le
silence. (Les féministes feront bien de méditer ces enseignements).
Ces considérations font ressortir
le précepte de la modestie qui lui est enjointe. Il ne sied pas à
une inférieure de prendre le sceptre, à
une pécheresse de s’afficher superbement. Il convient que
la femme s’habille décemment ; mais aussi elle doit éviter
tout ce qui attire le regard et provoquerait la convoitise, artifices
de coiffure, or et perles, vêtements de prix. Son ornement, ce sont
les bonnes œuvres, c’est la vraie piété, c’est aussi le soin
des enfants, c’est la foi, la charité, la sainteté, avec une
grande retenue.
En
s’effaçant ainsi le plus possible, la femme se réhabilitera
pleinement, elle deviendra pour l’homme un appui, une force,
un instrument de salut. Humiliée
par le souvenir d’Ève, et acceptant son humiliation, elle se
revêtira peu à peu de Marie, et deviendra la femme
chrétienne, miracle de la grâce, exemplaire de toutes les vertus.
Cette citation vient d’une
étude nommée La
modestie chrétienne
de la femme, qui reprend Dom
Bernard Maréchaux OSB qui fut un ami écouté de saint Pie X.
7.E.9.a - Où, nous devons plus
particulièrement parler des prêtres de la Trahition.
À la sectaire FSSPX (et à ses
multiples consœurs), ce texte qui précède ne peut lui paraître
suspect, car la revue Sel
de la Terre vous est
copieusement inféodée n’est-ce pas ?
Cette citation, comme toute
notre présente étude, servira au moins à votre Jugement dernier,
comme pièce contre vous. Fraternité (comme fraternité
franc-maçonne ?!) de fornicateurs,
de cloaques
d’impureté comme disait la
Très-Sainte Vierge Marie à La
Salette : les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté.
Oui,
les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur
leurs têtes.
Voici que
quelques accusations, car nous en connaissons tellement d’autres,
et ce, depuis bien plus de 30 ans, et toutes plus sidérantes les
unes que les autres, parmi celles qui alors vous seront faites :
→ Multiples Mariages que
vous avez détruits avec vos fornicateurs
tapis dans vos confessionnaux et ensoutanés de peaux
de brebis, loups
rapaces !
→ Votre ‘Rote’ plus
qu’illégale : illégalité de constitution, illégalité de
juridiction, illégalité procédurale, illégalité de conclusion,
etc.
→ Multiples enfants que
vous avez ‘émancipés’, affranchis de l’obéissance qu’ils
doivent à leur Père et que vous avez même retournés contre Lui
avec l’aide du MJCF et Cie entre autres ;
→ Multiples enfants que
vous avez détournés, embarqués, embrigadés dans des choses toutes
plus douteuses les unes que les autres.
→ Garçons que vous avez
émasculés en leurs apprenant à être ‘tolérants’ dans le
Mariage comme en tout ; et en leurs cachant leur future
Puissance sur leur femme et Maison afin de préparer votre mainmise
sur ces futurs Mariages, de braves petits moutons bêlants au son de
vos pipeaux maléfiques… ! Etc…
→ Menace de procès au
civil, alors que des personnes portaient plainte contre vos
inférieurs, et ce, comme de Droit, auprès de ses quatre Évêques !
→ Menaces contre
certains de vos prêtres subalternes ayant essayé de déclarer de
très graves choses, touchant particulièrement le Mariage, afin
qu’ils cessent de remuer les immondices des écuries de la FSSPX,
des cloaques
d’impureté…
→ Et bien d’autres
choses collectées ici depuis bien plus de trente ans.
7.E.9.b - Si nous devions avoir
fauté…
Conscients et vraiment navrés
de devoir faire ces très graves accusations que nous portons en ce
dernier point comme dans l’ensemble de ce document du reste, nous
sommes totalement prêts à une confrontation publique et
contradictoire qui devra alors durer le temps nécessaire, à
laquelle seraient présents les prêtres que nous citerons, et qui se
passerait en un point facilement accessible par quiconque, par ex.
Saint Nicolas du Chardonnet !
Si nous devions nous être
trompés, par déformation, exagération ou minimisation, omission ou
mutilation, si nous devions avoir commis quelque erreur que ce soit,
nous nous engageons formellement par ce même canal à rectifier et à
demander pardon !
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