Du
03.07.2015. Version PDF.
Actualisé : lun. 7 sept. 2015,
20.09.
Table
de ce document, RH-2015-…
3
- Cher Sieur Jean Mahezic,
confession des femmes ?, dites simplement oui ou non !
3.B
- Clarifications
diverses, ou conventions de lecture.
3.B.1
- Pour ce document
nous allons être féroces !, comme jamais !
3.B.1.a
- Voyons
nécessairement ce que veut dire Éternité !
3.B.1.b
- Voyons tout
aussi nécessairement ce que veut dire infini !
3.B.1.c
- Qu’est-ce
donc qu’un cloaque d’impureté ?
3.B.2
- Le principe de
non contradiction, ou le oui oui ou non non de NSJC !
3.C
- La confession des
femmes, oui certes, mais à qui ?
3.C.1
- Généralité
autour des mots confession, confesseur.
3.C.1.a
- Qu’est-ce
que la confession ?, se confesser ?
3.C.2
- À qui doit-on
confesser nos fautes ?, pour les Hommes !
3.C.3
- À qui
doivent-elles, les femmes confesser leurs fautes ?
3.C.3.a
- Respecter la
voie hiérarchique !, comme dans les entreprises.
3.C.3.b
- L’homme est
sujet de Dieu, la femme de l’Homme !
3.C.4
- Les dérives
fatales du commerce des femmes avec les prêtres.
3.C.4.a
- Voilà
l’histoire d’un Prince Allemand, les faits :
3.C.4.b
- Qu’avons-nous
vu en cette bien triste histoire :
3.C.4.c
- Henri VIII,
Roy Très-Chrétien et Très-Pieux !
3.C.5
- Qui doit, en sa
Maison, guider, recevoir la confession et absoudre ?
3.C.5.a
- La duplicité
des EÉc, visible particulièrement en le Concile de Trente !
3.C.5.b
- Au fait !,
direction spirituelle ?, qu’ils disent !
3.C.5.c
- Êtes-vous
Catholiques pour avoir une telle haine du prêtre ?
3.C.5.d
- Qui doit
gouverner en toutes choses l’épouse ?
3.C.5.e
- Comment
l’Époux doit-Il procéder pour ces actes saints ?
3.C.5.f
- Idem, pour les
autres femmes de la Maison, qui ?
3.C.5.g
- Idem, pour les
Gars de la Maison, qui ?
3.D
- La vocation des
femmes, oui certes, mais laquelle ?
3.E
- Concluons rien que
pour l’instant.
3.F.1.b
- Pour l’ŒRFAEP
: QJSIOJC, 18 juin 2015 19:19
3.F.1.c
- Pour l’ŒRFAEP
: QJSIOJC, 20 juin 2015 11:19
Commencé
en la Saint Éphrem le Syrien,
Confesseur et Docteur,
le
jeudi 18 juin 2015 ;
achevé en la Saint Léon II, Pape et
Confesseur,
& Saint Irénée, Évêque et Martyr,
le
vendredi 3 juillet 2015 ;
ce document Leur est bien confié.
Cher
Sieur Jean Mahezic, et chers Lecteurs,
Nous
venons répondre, cher Sieur Jean Mahezic, comme annoncé (Pour l’ŒRFAEP : QJSIOJC, 20 juin 2015 11:19),
à votre dernier commentaire lui aussi visible en les annexes (Jean Mahezic, 18 juin 2015 18:32),
et ayant déjà fort médité sur notre réponse depuis, nous la
faisons partir de ce même jour.
En
ce commentaire, après avoir bien apprécié, chose dont nous vous
remercions, notre dernière parution (RH-2015-02
- Cher Sieur Paul, comment se comporter avec son Père une fois
marié ?, aucune difficulté !), vous nous posez de
fait rien que deux questions, nous disant que nous n’avions fait
qu’effleurer ces sujets : Je
me permets de poser ces questions car à plusieurs reprises vous avez
mentionné les femmes consacrées, soit en tant qu’enseignantes de
filles ou en tant que soignantes. Et il me semble avoir lu que vous
prépariez à un moment un article sur la confession de la femme.
Tous ces sujets m’intéressent.
Voici
vos sujets qui vous intéressent, et résumées ainsi :
→ La confession des femmes, oui certes, mais à qui ?
Question
à laquelle nous allons répondre en ce document…, cette réponse
est la plus importante, elle contient la clef de l’autre, et
explique aussi l’apostasie actuelle qui était dans les tiroirs
depuis au moins le Concile de Trente.
→ La vocation des femmes, oui certes, mais laquelle ?
Question
à laquelle nous répondrons sur un autre document plus court dont le
titre pourrait être Cher
Sieur Jean Mahezic, vocation des femmes ?, dites simplement oui
ou non !, mais pour ceci il vous faudra
attendre encore un peu, peut-être fin juillet…
Toutefois,
avec ce que vous allez lire maintenant, vous pouvez très bien
imaginer dans quel sens nous allons écrire !
3.B - Clarifications
diverses, ou conventions de lecture.
Avant
d’entamer ces sujets nous devons clarifier certains points…
3.B.1 - Pour
ce document nous allons être féroces !, comme jamais !
Nous
allons être animés d’un zèle ardent, comme
jamais ! ;
… être
féroces, comme jamais ! ;
… dénonciateurs
des Ecclésiastiques de l’Église catholique (EÉc), comme
jamais ! ;
… sans
aucune langue de bois, comme
toujours ! ;
… en
effet !, comme vous allez le constater, il s’agit de la
protection de nos femmes !, nos épouses en premier, filles
ensuite, et mères conséquemment !, et les attaques, effectives
ou par silence ou complicité, ne viennent, étant les principaux
ennemis des Époux-Pères ou Chefs de Famille, quasiment que des
prêtres, les EÉc !
Pour :
les principaux ennemis des Époux-Pères :
→ L’une
personne dit que la
Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) est pire qu’une lionne lorsqu’il
s’agit de la défendre Ses enfants des attaques de démons !
(source perdue, cité de tête, esprit fidèle)
Quelle
autre prière pourrait mieux dire ceci :
Ô
ma Souveraine ! ô ma Mère ! souvenez-vous que nous Vous
appartenons. Gardez-nous, défendez-nous comme votre bien et votre
propriété.
→ Saint
Louis-Marie Grignion de Monfort dit, en son Traité de la Vraie
Dévotion à la Sainte Vierge, que
Marie
doit être terrible au diable et à ses suppôts comme une armée
rangée en bataille, principalement dans ces derniers temps, parce
que le diable, sachant bien qu’il a peu de temps, et beaucoup moins
que jamais, pour perdre les âmes, il redouble tous les jours ses
efforts et ses combats; il suscitera bientôt de cruelles
persécutions, et mettra de terribles embûches aux serviteurs
fidèles et aux vrais enfants de Marie, qu’il a plus de peine à
surmonter que les autres.
→ Le
Docteur Angélique, saint Thomas d’Aquin, dit que …
les
maris sont animés d’un zèle ardent contre ceux qui chercheraient
à leur disputer le cœur de leur femme, qu’ils veulent posséder
exclusivement et tout entier.
→ La
TSVM à La Salette a dit que les
prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres
demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes.
Malheur aux prêtres et aux personnes consacrées à Dieu lesquelles
par leurs infidélités et leur mauvaise vie crucifient de nouveau
mon Fils !
Alors !,
pourquoi voudrait-on que nous soyons lâches ou timorés ?, que
nous parlions moins fort et moins vrai (donc faux !) que ces
auteurs précités ? ; ne devons-nous pas dénoncer haut et
fort et constamment derrière la TSVM les prêtres comme cloaques
d’impureté ? ; ne devons-nous
pas être animés d’un zèle au moins aussi ardent que celui décrit
par le Docteur Angélique parlant de fait de façon extérieure ou
éloignée, alors que nous !, nous parlons de notre propre
chair, de nos propres femmes, nos propres épouses !
Pour :
nous parlons de notre propre chair :
NSJC :
Ils
ne sont plus deux, mais une seule chair…
Et
comme déjà dit, et peu nous importe que ces pervers de prêtres
nous entendent, et peu nous importe d’être entendus par quiconque,
en effet notre devoir est de témoigner et dénoncer le Mal, et non
que ceux qui devraient nous entendre entendent, tout ce que nous
disons en nos documents et maintenant particulièrement en celui-ci
servira d’acte d’accusation implacable de ces EÉc et de leurs
innombrables courroies de transmission en la vie civile (juges et
complices, politiques, et gents ordinaires) tous taiseurs
de la Vérité ou hurleurs de mensonges, ce devant le Grand Monarque
annoncé, et ensuite et surtout devant notre Juste-Juge au Jugement
général !
La
Vengeance sera alors sans commune mesure des crimes dénoncés, en
effet le Seigneur Dieu a dit : Je
n’aurai pas assez de l’Éternité pour épuiser ma soif de
vengeance à l’encontre des réprouvés ! (Cité de tête,
source oubliée, esprit fidèle)
Oui,
cette Très-Sainte Vengeance ne sera rien qu’une très pâle
rémunération de leurs crimes.
3.B.1.a - Voyons
nécessairement ce que veut dire Éternité !
Venant
de parler d’Éternité, pouvez-vous concevoir ce qu’est
l’Éternité ?!
En
premier il faut distinguer les mots éternel et infini :
- ce
qui est infini a commencé (l’humain à sa conception) et ne finira
jamais !
- ce
qui est éternel n’a pas commencé et ne finira jamais, seul Dieu
(Un et trois Personnes) est éternel, Il est !, et
maintenant et
avant et après,
tout est présent pour Lui !
Ainsi
donc nous constatons que nous, les humains, sommes infinis et non
éternels.
Dire
Éternité heureuse ou infernale, ceci est inexact :
1- nous
ne devrions pas dire Éternité mais Infinité !,
car comme vu nous avons commencé, bien que ne finissant jamais.
2- en
cettedite Éternité, cette Infinité, de plus, nous n’entrons pas
à notre mort, mais à notre conception !, et à notre mort nous
nous recevrons notre salaire, bien différemment pour le Bon (Ciel)
que pour le réprouvé (enfer) !
Toutefois,
comme notre Seigneur Dieu est la mesure (référence) de toute chose,
l’on peut donc considérer qu’au moment de notre conception nous
entrons effectivement dans Son Éternité, et plus concrètement à
notre mort où nous quittons cette succession de moments et nous
entrons dans le présent éternel ; Son Éternité qui nous est
proposée de jouir !
Alors
ceci dit, nous pouvons en effet dire que nous sommes proposés à
l’Éternité !, mais non éternels !
3.B.1.b - Voyons
tout aussi nécessairement ce que veut dire infini !
Nous
ne vous ferons pas l’affront de vous définir le mot infini, vous
le savez, c’est ce qui ne finira jamais !
Par
contre, saisissons-nous bien ce que veut dire concrètement :
infini ? Eh bien, considérons ceci : lorsque nous
rentrerons à notre Éternité ou Infinité, bienheureuse ou
bienmalheureuse,
nous en serons infiniment qu’au tout début ; et ce au point
que, bien que cela soit impossible, si nous nous portions notre
regard comme à la fin de cette Éternité ou Infinité, nous en
serions infiniment qu’au tout début de la première fraction de moment
de moment de cette Éternité !
Donc
aussi, réalisons qu’en pensant que le Bon Dieu est infiniment Bon,
etc., nous mettons comme une limite à cette bonté ce afin de
pouvoir La saisir avec notre intelligence faible et limitée pour
l’instant. En effet nous pensons qu’Il est, notre Dieu,
très-très-très-Bon !,
or, non !, c’est limiter la Bonté de Dieu, non, aussi loin
que nous portions nos très-très…,
nous n’en serons infiniment qu’à la première fraction de
fraction de découverte de cette Bonté !
Il
en va de même de Sa Tout-Puissance, particulièrement de Sa
Miséricorde, etc !
Alors
quel Bonheur que d’avoir en partage infini ce Dieu d’Amour
infini ; et quel malheur que de souffrir infiniment atrocement
et ce infiniment !
3.B.1.c - Qu’est-ce
donc qu’un cloaque
d’impureté ?
La
TSVM à la Salette a dit (cf 3.B.1) : les
prêtres sont devenus des cloaques d’impureté !
Nous
avons déjà pas mal parlé de cette déclaration en nos documents,
où nous prouvons que ce sont tous
les prêtres sans aucune
exceptionnelle exception qui sont des cloaques
d’impureté ! Nous allons nous appuyer
ensuite sur ce tous
, tout en le développant et le prouvant toujours plus amplement,
comme en cette présente réponse.
Pour :
déjà pas mal parlé de cette déclaration :
Qu’est-ce
qui réunit donc tous ces prêtres en un même cloaque ?,
c’est, et ne
peut qu’être, que la violation du Sacrement de Mariage
par leurs, à ces EÉc, tripotages forcément vicieux, lubriques,
libidineux !, comme nous allons encore et encore et encore le
développer.
Pour :
tripotages forcément vicieux, lubriques :
Idem
page précédente ; point 15.B.1.a - Le
Sacrement de Mariage est bel et bien tripoté par tous les prêtres !
Donc
ce sont tous
les prêtres et ce depuis au moins 1846 !, mais, tout comme une
infection ne commence pas au moment de son irruption, cette infection
totale des EÉc fut souterraine bien bien avant !
Il
en va ainsi pour l’apostasie dudit Vatican II (11 octobre 1962 - 8
décembre 1965),
elle éclata au grand jour au moins en 1965, mais elle existait bien
avant ; en effet, ces apostats étaient en poste pour Luciabel
pour certains au moins avant 1900 !, et ceux-ci furent formés
par des antérieurs qui eux dataient de plus de 60 ans pour certains,
soit 1840 !, et remarquez que l’on rejoint notre 1846 vu plus
haut !
Or,
qui a formé ces professeurs, d’autres devanciers d’au moins 50
ans !, etc.
De
fait, comme nous l’avons déjà dit, le ver est vaillamment dans le
fruit depuis au moins le Concile de Trente !
Qu’est-ce
qu’un cloaque !?
Nous
savons que depuis fort longtemps tous
les prêtres sont des cloaques
d’impureté, voyons maintenant ce qu’est
un cloaque,
et d’impureté
de plus !
--Cloaque,
subst. masc. : Endroit prévu pour servir de réceptacle aux
eaux sales et aux immondices.
Un
cloaque est un endroit où aboutissent les divers égouts d’un
village par ex., l’on appelle cela maintenant des bassins de
rétention ou stations d’épuration.
L’invective
de la TSVM est bien marquante !
Remarquez
bien que parlant de cloaques
d’impureté :
1- pour
le moins il y a redondance, en effet un cloaque
ne peut qu’être un réceptacle de choses impures !, par ex.,
l’on ne dit pas cloaque
pour parler de l’endroit où aboutissent les rigoles qui partent de
divers pressoirs à huile ou à vin, mais de cuves !, d’où du
reste le mot cuvée !
2- de
plus, l’on doit remarquer qu’il n’est pas dit d’impuretés,
mais d’impureté !,
soit pas une ou plusieurs impuretés,
comme par ex. : l’injustice, le mensonge, le vol, l’adultère,
la fornication, etc., mais de l’impureté
même, soit la totalité de toutes les impuretés,
ou, pouvons-nous dire de l’impureté
par essence !
Donc,
par la TSVM, l’utilisation de cette invective serait de confirmer
par le deuxième mot le premier tout en le renforçant afin que le
coup porte encore plus et que l’on ne puisse pas ensuite en
minimiser sa portée !
Ainsi,
par ex., Notre-Seigneur Jésus-Christ (NSJC) dit souvent En
vérité, Je vous [ou te]
le dis, mais vingt-cinq fois Il dit : En
vérité, en vérité…, ce afin de bien
marquer la chose et ce qui suit.
Donc
chaque prêtre individuellement et particulièrement, ce toutefois
comme tous
les prêtres, n’est pas un égout !, mais un réceptacle de
tous
les égouts !, soit la somme de tous
les égouts, soit la somme de tous
les vices, qui iraient se vider en ce même cloaque !,
soit la somme de tous
les vices vomis par ces égouts !
Ainsi
donc, chaque prêtre individuellement, depuis au moins 1846, est à
lui-seul la somme de tous les vices !, qui tous ont à voir très
directement avec le Sacrement de Mariage comme nous allons encore
plus le découvrir plus loin.
Et !,
qu’un de ces pervers vienne enfin nous contredire si mensonge ou
nous détromper si erreur !, depuis bien plus de 40 ans nous
attendons toujours le premier inconscient !
Et !,
par pitié ne venez surtout pas nous servir comme dite contradiction
que, par exemple : Saint
Pie X est postérieur à 1846,
ainsi donc vous le mettez dans les cloaques d’impureté !
Oui !, selon le mot d’Arnaud Amaury :
Tuez-les
tous, Dieu reconnaîtra les siens !
, oui, hardiment, prudentiellement : Dénonçons-les
tous, Dieu reconnaîtra les siens !
Oui !,
Saint Pie X aussi !, il est né
le
2 juin 1835, mort le 20 août 1914,
et ordonné
prêtre en 1858 !, or, 1858 est bien
postérieur à 1846 !
Oui !
regardons deux points au milieu d’innombrables :
1- a-t-Il,
ce Saint Pie X, eu le courage de dénoncer le Concile de Trente qui
dit anathématiser ceux qui comme nous, et
comme Léon XIII en sa lettre encyclique Arcanum Divinae Sapientiae
du 10 février 1880, Innocent III (c. 8 de divort.) et Honorius III,
envisagent la vraie institution du Sacrement de Mariage ?
2- a-t-Il,
ce Saint Pie X, eu le même courage de dénoncer ce même Concile de
Trente qui dit que l’Église peut prononcer une séparation de
corps des époux, alors que NSJC a dit : Que
l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni. (Mat 19, 4-6)
Non !,
alors, dénonçons-Le, et tous les autres, vaillamment et sans
hésitation, et… le Bon Dieu
reconnaîtra les siens !
Oui,
et oui !, et toujours oui !, le ver rongeur, corrupteur,
est dans le fruit depuis au
moins le Concile de Trente !
C’est
pourtant simple !, soit :
→ nous
nous trompons ?,
alors, que ces EÉc nous détrompent !,
enfin ! Eux qui prétendent avoir la science des affaires
religieuses !, et la science de ladite interprétation qu’il
faudrait selon Eux !, et le soucis de toutes les Âmes !
→ nous
mentons ?,
alors, que ces EÉc nous dénoncent,
enfin ! afin qu’au moins nous cessions de mettre d’autres
Âmes que les nôtres en danger, Eux qui disent avoir le soucis de
toutes les Âmes !
… et
tout ceci avec des arguments probants, intelligents, soit tout
différemment que des boniches !, soit pas comme le pervers
cocotteux, jacasseur d’abbé Hervé Courcelle Labrousse !
(voir dernier renvoi)
-COCOTTEUX,
EUSE, adj. et subst. masc. - Vieilli et péj. (Ce) qui est propre au
monde des cocottes, des femmes (richement) entretenues, ou qui leur
ressemble par certains côtés. Au fond, une femme du monde pas mal
cocotteuse (E. et J. de Goncourt, Journal,1894, p. 582).
3.B.2 - Le
principe de non contradiction, ou le oui
oui ou non non de NSJC !
Le
principe de non contradiction est logé par notre Seigneur Dieu au
plus profond de notre Conscience ; il fait que, si nous ne nous
sommes pas déformés, nous ne supportons pas du tout ce qui est
divise, divisé !
Ne
pouvant se diviser, notre Conscience, faite à l’Image de Dieu, ne
peut être opposée à Elle-même ! Le Seigneur Dieu est Un, la
Conscience de l’Homme à l’Image de Dieu est Une !, et Celle
de la femme à l’Image de Celle de l’Homme est tout aussi Une !
→ Aristote
(385 av. J.-C.) : pose
le principe de non-contradiction comme une nécessité absolue. Il
est un axiome, c’est-à-dire : il est une vérité première
qui contribue à démontrer les autres vérités, mais lui-même ne
peut être déduit en vertu de sa simplicité et de son caractère
premier…
Ou bien ceci : Il
s’agit du principe de non-contradiction, qu’Aristote, sans le
nommer comme tel, définit ainsi : il est impossible qu’une seule
et même chose soit, et tout à la fois…
→ NSJC,
et qui peut-on trouver de mieux que Lui !, étant Dieu et ne
pouvant donc parler biaisement,
Lui qui se définit ainsi, Je
suis la voie, la vérité et la vie. Personne ne vient au Père, si
ce n’est par Moi,
dit-Il autre chose que notre Conscience droite, soit non dévoyée,
et Aristote, lorsqu’Il nous ordonne de raisonner et de dire ainsi :
…
que votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal.
→ Notre
Légitime Contradicteur, Professeur des Hautes Écoles, disait thèse
antithèse foutaise !, où le oui
mais non en guise de raisonnement
de boniche !, comme Il aimait aussi à
dire. Il nous disait aussi bien souvent, quelque peu agacé par la
prétention des méchants, Ils
ont des opinions (émotions) non des convictions (raisonnements),
ainsi ils vont au grès du vent de leurs pulsions (démangeaisons),
ce donc selon le mot de NSJC : Car
il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine
doctrine ; mais ils amasseront autour d’eux des docteurs selon
leurs désirs ; et éprouvant
aux oreilles une vive démangeaison, ils détourneront l’ouïe de
la vérité,
et ils la tourneront vers des fables.
Pour :
Notre Légitime Contradicteur, Professeur :
Ceux
qui ont lu nos documents connaissent un peu notre Légitime
Contradicteur, nous l’avons comme soutien bien avant la fondation
de ce site ; et malheureusement nous l’avons perdu voici
quelques temps, en parlant de lui nous disions par ex. vient
de nous dire, et maintenant nous venons
d’écrire disait.
Notre
Seigneur Dieu l’a rappelé à Lui, veuillez prier pour lui !,
pour le repos de son Âme…
Pour :
aux oreilles une vive démangeaison :
Il
est cocasse que dans ce monde où l’informatique devient de plus en
plus omniprésente, et où tout en elle n’est rien que 1 ou
0, soit rien que vrai ou
faux, l’on veuille dans le même temps que pour raisonner cela soit
oui
mais non !, soit 1 et
0, ou vrai et
faux !
Le
refus du Discernement, le refus de ce Don du Très-Saint-Esprit (I
Cor. 12), dire que cela peut être et
oui
et
non,
est le Péché frontal contre L’Esprit-Saint !, c’est le
seul péché irrémissible et
dans ce monde et
dans l’Autre : C’est
pourquoi Je vous dis : Tout péché et tout blasphème sera
remis aux hommes ; mais le blasphème contre l’Esprit ne sera
pas remis. Et quiconque aura parlé contre le Fils de l’homme, il
lui sera pardonné ; mais si quelqu’un aura parlé contre le
Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle, ni dans le
siècle à venir. (Mat. 12, 31-32)
Maintenant,
répondons à vos légitimes questions…
3.C - La
confession des femmes, oui certes, mais à qui ?
Votre
première attente : Et
il me semble avoir lu que vous prépariez à un moment un article sur
la confession de la femme.
En
effet, c’est notamment ici : RH-2013-03, Sieur
Luryio, l’épouse fidèle n’a pas de cas de Conscience ; la
femme est le problème, pas la solution !; point 3.B.5 - Le
pervers de prêtre voulant jouir… de la Direction spirituelle de
l’épouse, que nous avons dit : Nous
préparons (et nous avons besoin que l’on nous motive pour cela !)
un document absolument détonnant sur la confession des épouses
(comme des autres femmes du reste !), véritable scandale si
elle est faite dans des mains autres que celles de l’Époux (ou
Père [ne confondez pas avec le pervers qui se fait appeler
scandaleusement et très illégalement : père]), etc.) !
3.C.1 - Généralité
autour des mots confession, confesseur.
Débroussaillions
courageusement ce fatras que les EÉc ont laisser savamment
s’accumuler.
Voyez-vous,
un prêtre qui s’emballe un peu, avance une idée vicieuse
(erronée), forcément touchant de près ou de loin la Famille, par
ex. sur les Sacrements de Confession ou de Mariage ; c’est une
saleté qui traîne dans l’Église. Cette poussière en entraîne
une autre, puis de fil en aiguille l’on se rend même plus compte
que l’on a un fameux petit tas d’ordures.
Alors,
soit l’on fait courageusement le ménage, ramener la Doctrine à sa
pureté originelle ; ou soit, pour ne pas passer pour des
gugusses et pour conserver les jouissances de ses erreurs, l’on
pousse tout ce tas sous le tapis, et ainsi comme sans s’en rendre
compte l’on arriva audit Vatican II !
Pour :
ramener la Doctrine à sa pureté originelle :
C’est
précisément ce qui est annoncé dans de nombreuses prophéties
touchant le Grand-Monarque et le Saint Pontife, tous deux, notamment,
ramèneront l’Église à l’originelle pureté évangélique, Il
réprimeront l’orgueil des clercs et leur imposeront la pauvreté,
etc.
3.C.1.a - Qu’est-ce
que la confession ?, se confesser ?
Sachant
que confession vient de confesser, le terme se
confesser, ou aller
se confesser est de fait faux !, ne
parlons même pas du aller
à confesse…, en effet vous pouvez, comme
nous allons le voir, confesser
une chose, mais non vous
confesser ! ; vous pouvez dire je
vais confesser (dire) telle chose, mais non
je
vais me confesser (me dire) telle chose.
Confesser
c’est dire quelque-chose, en Vérité !
Soit,
en prenant les quatre premiers synonymes :
→ reconnaître,
souvent suscité par une question, c’est dire une chose avantageuse
ou pas ;
→ révéler,
souvent sans question, c’est dire spontanément une chose
avantageuse ou pas ;
→ avouer,
comme reconnaître, sans qu’il n’y ait eu forcément question,
c’est dire une chose avantageuse ou pas ;
→ déclarer,
avec ou sans question, c’est dire une chose.
3.C.1.b - Qu’est-ce
qu’un confesseur ?
Un
confesseur c’est celui qui confesse, dit une chose :
Donc
l’on ne va pas se
confesser, mais confesser
quelque chose.
Donc,
de même, l’on ne va pas voir un confesseur !, une personne
qui entendra ce que vous direz !
Un
confesseur n’est point une personne qui entend une confession, mais
une personne qui confesse une chose !
L’on
dit ainsi, parlant de prochains Saints fêtés :
→ Ven.
3 juil. – Saint Léon II, Pape et Confesseur
- St Irénée, Évêque et Martyr
→ Dim.
5 juil. – St Antoine-Marie Zaccaria, Confesseur
→ Mar.
7 juil. – Sts Cyrille et Méthode, Évêques et Confesseur
- St Pierre Fourrier, Confesseur
Chacun
de ces saints n’était pas une personne entendant une ou des
confessions, mais une personne, un Homme ayant professé la Foi :
--CONFESSEUR,
subst. masc. : Confesseur : Chrétien
qui a professé sa foi aux temps des persécutions, qui n’est ni
apôtre, ni martyr, saint qui n’est ni apôtre ni martyr"
Pour :
personne, un Homme ayant professé la Foi :
Au
passage, vous pouvez remarquer, en ne prenant donc pas le missel de
Luciabel d’après 1961 !, que jamais
une femme n’est nommée comme ‘confesseuse’ ou
‘confesseresse’ !, ni du reste comme les gigolos,
gloussant lascivement comme des fols, le disent : ‘docteure’
ou ‘doctoresse’ !
Pourquoi ?,
tout simplement parce que la femme n’a pas de Puissance, et
qu’ainsi donc elle ne peut (Loi divine génitalement inscrite en
elle) et ne doit y prétendre : et
ni enseigner et
ni dominer !
Et
s’ils acceptaient humblement l’évidence, soit la Loi de notre
Seigneur Dieu d’Amour, ces gigolos n’auraient pas besoin de se
tripoter vicieusement les méninges afin d’accoucher
monstrueusement de termes plus abscons les uns que les autres comme
vu précédemment !
Bien
qu’embrouillant, l’on peut dire qu’une personne confessant,
avouant ses fautes à Dieu ou à quiconque est confesseur !,
confesseur de ses fautes, ou diseur de ses fautes !
Donc
en ce dernier cas, le confesseur n’est pas celui qui écoute une
confession, mais bien celui qui fait cette confession !, qui
confesse ses fautes, la Foi, une Vérité, etc.
3.C.2 - À
qui doit-on confesser nos fautes ?, pour les Hommes !
Pour
les femmes, nous allons en parler ensuite, donc ici il s’agit bien
que des Hommes, et non des femmes !
Voyez
ensuite en les annexes une remarque importante quant-au Je confesse à Dieu…
C’est
à Dieu que l’on doit avouer ses fautes, et au prochain à qui nous
avons fait du tort, par ex. voler un œuf !
Et
c’est cet aveux, doublé d’une contrition réelle (ferme désir
de ne plus recommencer) et d’une réparation (restitution de l’œuf
ou compense
de sa valeur) le cas échéant, qui nous obtient le pardon de Dieu,
et le cas échéant de notre voisin en plus. Ce sachant que nous
avons une peine supplémentaire (pénitence) à faire soit ici-bas ou
soit plus péniblement au Purgatoire, elle s’appelle satisfaction,
elle sera constituée par une dizaine du chapelet par ex., et pour
votre voisin d’un petit service gracieux.
Nous
vous donnons en les annexes une bien émouvante prière de réparation
que nous disons comme pénitence après nos confessions
spirituelles : Rorate Cœli desuper.
Le
prêtre est en principe, toutefois avec moult réserves qui seraient
à développer, le représentant de Dieu pour les Hommes ; mais
aucunement, et pas même de loin, pour les femmes comme nous le
verrons ensuite.
Mais
maintenant, où il y va particulièrement de notre Salut éternel en
ces temps d’apostasie, et où tous
les prêtres sont forcément des cloaques
d’impureté, il vaut mieux avoir des lieues
et des lieues entre ces démons et nos Âmes, vous penserez alors à
la confession spirituelle !
Lisez
ceci, et vous verrez que NSJC ne nous donne pas comme condition sine
qua non pour être justifié, pardonnés, d’aller voir un prêtre :
Deux
hommes montèrent au temple pour prier ; l’un était
pharisien, et l’autre publicain.
Le
pharisien, se tenant debout, priait ainsi en lui-même : Ô
Dieu, je Vous rends grâces de ce que je ne suis pas comme le reste
des hommes, qui sont voleurs, injustes, adultères, ni même comme ce
publicain.
Je
jeûne deux fois la semaine, je donne la dîme de tout ce que je
possède.
Et
le publicain,
se tenant éloigné, n’osait pas même lever les yeux au Ciel ;
mais il frappait sa poitrine, en disant : Ô Dieu, ayez pitié
de moi, qui suis un pécheur.
Je
vous le dis, celui-ci
descendit dans sa maison justifié, plutôt que l’autre ;
car quiconque s’élève sera humilié, et quiconque s’humilie
sera élevé. (Luc, 18, 10-14)
Pour :
condition sine qua non pour être justifié :
Et !,
qu’ils ne viennent surtout pas, ces vicieux, nous balader avec
cette parole de NSJC : Les
péchés seront remis à ceux auxquels vous les remettrez, et ils
seront retenus à ceux auxquels vous les retiendrez. (Jean 20, 23),
nous serions alors obligés de les confondre !
--CONFONDRE,
verbe
I.
- Empl. trans.
A.
- "Anéantir, détruire qqn ou qqc."
B.
- En partic. "Vaincre, réduire à l’impuissance"
C.
- P. ext.
1.
"Humilier qqn, faire que qqn est déconsidéré"
2.
"Réduire qqn au silence (en réfutant ses arguments, en le
démasquant…)"
Cet
aveu suscite souvent des demandes d’explications ou de conseils
avant ou après, l’on appelle cela des cas de conscience, un probe
Frère en NSJC peut parfois fort vous aider, demandez alors à
l’Esprit-Saint de vous y guider…
Pensez
bien aux étapes d’une bonne confession :
→ S’isoler,
fermer la pièce, portes et fenêtres,
→ faire
le calme (bruits et distractions),
→ rentrer
en soi (s’examiner devant Dieu),
→ pleurer
ses péchés (sincèrement les regretter, à cause de Dieu en
premier, puis à cause de soi ensuite),
→ les
confesser à notre Seigneur Dieu, en les disant avec calme, tous et
dans le détail, sans toutefois ranimer les passions !, ce
doublé du ferme propos de ne plus les recommencer.
→ dire
un acte de contrition le plus parfait possible : Mon
Dieu, j’ai un très grand regret de Vous avoir offensé, parce que
Vous êtes infiniment bon, infiniment aimable et que le péché Vous
déplaît.
Je prends la ferme résolution avec le secours de Votre sainte grâce
de ne plus Vous offenser et de faire pénitence.
→ faire
sur soi un ample et noble Signe de Croix absolutoire,
→ réparer
auprès du prochain le cas échéant (rendre l’œuf volé), la
réparation doit au moins équivaloir le tort !
→ satisfaire
le Bon Dieu, et le prochain le cas tout aussi échéant, par une
pénitence, par ex. : 1 dizaine du chapelet, et en cas d’œuf
volé aider aimablement votre voisin à rentrer sa volaille !
3.C.3 - À
qui doivent-elles, les femmes confesser leurs fautes ?
Approchons
droitement et par étapes ce point de la réponse.
3.C.3.a - Respecter
la voie hiérarchique !, comme dans les entreprises.
Hiérarchie :
Dans
une entreprise, comme du reste en toute société qui cherche
forcément à perdurer, l’Autorité est une, et part évidemment du
haut où les ordres se transmettent hiérarchiquement vers le dernier
échelon en bas.
Si
une remontrance doit être faite elle passe par la voie hiérarchique,
le Chef fait sa remarque au sous-Chef, celui-ci au Chef de service et
ce dernier au personnel de base ; ainsi le Patron ne se déplace
pas pour commander l’ouvrier de base, sinon l’édifice s’écroule
sur lui-même, l’on appelle cela violation des échelons, de la
hiérarchie.
Si
une réclamation doit être faite par le brave ouvrier, il en réfère
au Chef d’atelier, ce dernier au sous-Chef et celui-ci en réfère
au Patron ; sinon, tout pareil, l’édifice de par son
inutilité s’écroule…
Commerce :
Dans
cette entreprise, les ordres (commandes ou signature du devis) du
Client se font auprès du Patron, et non de l’ouvrier ; et, la
livraison ou réception du chantier, la fameuse cérémonie de la
remise des clefs !, se fait par le
Patron au Client, et non par l’ouvrier.
Si
un Client va voir l’ouvrier, l’on pense immédiatement qu’Il
veut ainsi obtenir par un commerce illégal quelques avantages :
commande dissimulée (au noir), favoritisme (qualité supérieure
pour un prix inférieur), etc.
Ingérence :
Si
une personne étrangère à cette entreprise met son nez au niveau
patronal ou ouvrier, l’on appelle cela de l’ingérence, et
immédiatement elle doit être empêchée de nuire par tout moyen
adéquate.
Ici
bien sûr nous envisageons par ex. les burlesques et criminels dits
syndicats d’ouvriers ou d’employés, organisations éminemment
luciabéliennes et diamétralement opposées à une organisation
Très-Chrétienne, les corporations médiévales.
Dans
ce Monde moderne l’on vous parle dudit droit d’ingérence, mais
qui donc inventa cedit droit d’ingérence ?, nous vous le
donnons dans le mille : les EÉc !
Le
où, et le quand et le comment :
Q- Quand
et en quelle société, et comment fut premièrement expérimenté
par Luciabel cedit droit d’ingérence qui mine maintenant tous les
sociétés humaines ?
R- Cedit
droit d’ingérence expérimenté en la Famille (le où) et inventé
au moins par le Concile de Trente (le quand) fût l’imposition par
Eux de la séparation de corps des époux (le comment) !, entre
autres monstruosités…
Respect
de la hiérarchie, et non ingérence !
Chose
que nous allons démonter encore plus ensuite, particulièrement en
la Famille…
Nous
allons voir que les EÉc imposèrent, au moins lors du Concile de
Trente où elle fut intronisée, la bicéphalité du Pouvoir ou
dichotomie de l’Autorité, et ces pervers l’expérimentèrent en
premier en la Famille ! Ce afin d’enfin d’évincer l’Époux
véritable empêcheur de forniquer pour Eux, par : ladite
confession et ladite direction spirituelle de la femme, soit
fornications, viols et adultères.
Pour :
confession et ladite direction spirituelle :
C’est
le Concile Latran IV (ouvert le 11 novembre 1215) qui imposa
malicieusement la confession comme nous la connaissons actuellement :
Le
concile réglemente en premier lieu la confession. Il établit
l’obligation de se confesser et de communier au moins une fois
l’an, à Pâques. Il instaure la confession auriculaire (à
l’oreille du prêtre) en remplacement de la confession publique,
rare et réservée aux actes graves et connus de tous. La religion
catholique confirme ainsi son emprise sur les populations d’Europe
occidentale.
Du
reste, comme déjà dit par nous, c’est à ce même Concile que les
EÉc se souvinrent subitement du Sacrement de Mariage, et qu’Ils
mirent leurs mains profanatrices sur Lui ; captation et fable de
l’institution par NSJC de ce bien réel Sacrement de Mariage :
C’est
au IVe concile de Latran en 1215 que le mariage est intégré dans la
liste officielle des sept sacrements de l’Église.
Et
c’est bien plus tard qu’Il fut codifié afin de d’affermir la
mainmise criminelle de ces EÉc : Au
concile de Trente (1563), on affirme que la procréation n’est pas
l’unique fin du mariage et qu’elle prend place à côté de la
réjouissance mutuelle. La cérémonie religieuse devient
obligatoire, les époux donnant leur libre consentement devant un
prêtre.
Ces
EÉc devinrent les féroces fossoyeurs du Sacrement de Mariage, au
lieu d’en être les héros de Sa défense ! L’Église
catholique pouvait en effet L’incorporer à ses Sacrements sans
toutefois en avoir l’exclusivité comme le confirment ces trois
papes : C’est
pour cela qu’Innocent
III
(c. 8 de divort.) et Honorius
III
(c. 11 de transact.), Nos [à Léon XIII]
Prédécesseurs, ont
pu affirmer sans témérité et avec raison que le sacrement du
mariage existe parmi les fidèles et parmi les infidèles.
Eux !,
au Concile de Trente, voulaient enfin mettre la main sur le Sacrement
de Mariage, et c’est pour cela qu’ils prétendirent
malicieusement que c’est NSJC qui institua ce Sacrement, afin de
par cette prétention dire pouvoir et devoir le régir, ce ensuite
pour prendre la Tête de la Famille !, alors que pas un n’est
capable de nous dire ne serait-ce que le où
et
le quand et
le comment de
cettedite institution par NSJC !
C’est
eux donc, ces EÉc, qui lancèrent…
… la
révolution en le Royaume-Famille, par :
1- la
bicéphalité de l’Autorité et du Gouvernement, où l’épouse
est dite soumise à deux Têtes : Époux et Église. Ce qui a
comme résultat que l’Époux a une épouse qui entrave fatalement
Son Autorité et Son Gouvernement car elle a une volonté soutenue
par ces EÉc ! Elle est tiraillée entre son Époux et le prêtre
qui la capte par la confession et ladite direction spirituelle.
2- l’éviction
de l’Époux et décapitation de Celui-ci par la séparation de
corps s’Il en vient à refuser finalement le prêtre en son lit
(ménage à trois), spirituellement ou plus !, car c’est bien
effectivement de cela qu’il s’agit…
… la
révolution en le Royaume-France, ou autres, par :
S’appuyant
sur l’expérience précédente qui servit de modèle n’ayant
aucunement besoin de retouches, les révolutionnaires de 1789, de
fait appuyés par ces mêmes EÉc, d’abord en cachette puis comme
prêtres jureurs, imposèrent :
1- la
bicéphalité de l’Autorité et du Gouvernement, où le Royaume est
dit soumis à deux têtes, le Roy et les Chambres ou parlements. Ce
qui a comme résultat que le Roy a ces Chambres qui entravent Son
Autorité et Son Gouvernement car Elles ont une volonté contraire
soutenue par les Loges ! Le Royaume est tiraillé entre le Roy
et les Loges (Chambres), Il verse dans la révolution…
2- l’éviction
du Roy (révolution) et décapitation de Celui-ci puisqu’Il en
vient à résister bien tardivement…
Pour :
de fait appuyés par ces mêmes EÉc :
Bien
avant le moment fatidique de la Révolution dite française Ils
étaient là en les Loges ou par leurs silences complices !,
puis ensuite bien largement et effectivement ils confortèrent,
sauvèrent même !, pouvons-nous dire, cette révolution et
d’autres, par ex. :
- Imposition
du ralliement par la grand traître de Léon XIII (encyclique Inter
sollicitudines, 20 février 1892) qui vint ainsi au secours de la
révolution qui s’épuisait, ce en imposant aux Vendéens de
déposer les armes, avec menace d’excommunication, rien que çà !,
pour lesdits récalcitrants !
- Idem,
au Mexique, pour les Cristeros.
- Etc.,
etc., etc !
3.C.3.b - L’homme
est sujet de Dieu, la femme de l’Homme !
Nous
allons tâcher de faire assez court, nous limiterons les sources
devant appuyer nos dires, aussi, ceux qui voudraient vérifier ce que
nous allons dire devront pour le moins lire notre Document
Principal en PDF ou par page sur le site :
Nos
divers documents.
Affirmations
mainte fois prouvées en nos documents :
→ L’Homme
est fait pour Dieu, la femme, non !, mais pour l’Homme…
→ L’Homme
est la Gloire de Dieu, la femme non !, mais de l’Homme…
→ L’Homme
est soumis à Dieu, la femme non !, mais à l’Homme…
→ La
cession de l’Autorité de Dieu en les mains de l’Homme, de
l’Époux-Père sur Sa Maison (femme(s) et enfant(s)), est la plus
haute Image de la Puissance de Dieu sur terre, aucun Souverain et
fût-Il même Pape ne l’égale, elle est de plus tout aussi
infrangible
et qu’inaliénable,
inamissible
qu’inabdicable !
→ L’Homme
est soumis à l’Église (ce si vérifiée, soit vraie !), la
femme non !, mais à l’Homme…
Pour :
ce si vérifiée, soit vraie :
1- Si
le sujet est lui-même catholique ;
2- Si
cette Église est la vraie et non l’éclipseuse ;
3- si
ce qu’Elle demande est bien effectivement de son champ de
compétence ; etc.
Le
Maître de la femme c’est l’Homme !
Généralement,
et très particulièrement en le Mariage :
→ Rien
que ce texte devrait suffire, nous sommes avant la faute originelle :
Et
le Seigneur Dieu forma la femme de la côte qu’il avait tirée
d’Adam, et il l’amena à Adam. (Gn 2,22)
En
ce renvoi vous verrez que le Seigneur Dieu ne demande pas à la
femme, ensuite renommée Ève, si Adam lui plaît, Il ne lui demande
pas son avis !
Présentée
à Adam, le Seigneur Dieu la Lui propose, Lui demande son agrément !,
nous remarquons bien qu’elle est amenée !, et à Adam…
→ Un
second vient confirmer ceci, plus durement car nous sommes après la
faute originelle : Dieu
dit aussi à la femme : Je multiplierai vos maux et vos
grossesses. Vous enfanterez dans la douleur : vous
serez sous la puissance de votre mari,
et il vous dominera. (Gn 3,16)
L’on
ne peut être sous la Puissance
de deux Autorités, pour la femme de deux Hommes ! Donc !
étant sous la Puissance
de son Homme, son Époux, le il
vous dominera, elle ne peut être sous une
quelconque domination d’un prêtre, ou autre perverse personne
(juge, etc.)
→ Saint
Paul nous donne des précisions : le
mari est le chef de la femme, comme le Christ est le chef de l’Église
(Éph. 5, 23)
Ceci
nous montre bien deux foyers bien distincts, ayant chacun et son
propre Chef et son propre sujet :
– le
premier, dont le
mari est le chef de la femme !,
– le
second, dont le
Christ est le chef de l’Église !
Nous
remarquons qu’il n’y a pas confusion ni imbrication !,
l’épouse du Second, le
Christ, ne vient pas régenter l’épouse du
Premier, le
mari !
Chacun,
sans interférer, régente sa propre épouse !
→ Puis
Saint Paul confirme et insiste : Or,
de
même
que l’Eglise est soumise au Christ, de
même
aussi les femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes
choses. (Idem, 24)
En
bon français, cela veut exactement dire que les
femmes doivent être soumises à leurs maris
ce exactement comme l’Eglise
est soumise au Christ ; et
vous
constaterez,
pas nous ni vous les honnêtes gents, mais les pervers d’EÉc,
qu’il est bien dit soumises
… en
toutes choses…, donc et
même pour la confession ! et
même pour la direction spirituelle !, et
même pour la vocation (voir ensuite), et
même pour celledite vicieusement vocation religieuse par vous les
cloaques d’impureté !
→ Poursuivons
avec ce Saint qui est si intéressant et si précis : Mais
je veux que vous sachiez que le Christ est le chef de tout homme, que
l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef du Christ.
(Cor. 11, 3),
Ceci
veut dire exactement que le
Christ est le chef de … l’homme … qui
est
chef
de la femme !, nous, nous ne voyons pas
Saint Paul, qui fait intégralement partie du Nouveau Testament et
parce que baptisé de l’Église de NSJC, intercaler le mot Église
(les EÉc) entre l’Époux et l’épouse…
→ Continuons
encore avec Saint Paul, voici ce qu’Il dit de fort intéressant :
Que
les femmes se taisent dans les églises, car il ne leur est pas
permis de parler ; mais qu’elles soient soumises, comme le dit
aussi la loi. Si elles veulent s’instruire sur quelque chose,
qu’elles interrogent leurs maris à la maison ; car il est
honteux pour une femme de parler dans l’église. (Cor. 14, 34-35)
Nous
avons plusieurs choses à voir ici :
1- Que
les femmes se taisent dans les églises.
Or,
que fait-elle, la femme, si elle déblatère (elles disent les
supposés péchés de leur Époux comme disait une connaissances !,
soit médisance, et bien plus sûrement calomnies) avec un prêtre
dans le confessionnal ?, elle parle dans un confessionnal qui
est dans une église !, elle parle donc dans une église !
Note :
Selon leurs propres rubriques (codes, lois, régulant tous les actes
sacerdotaux), qu’Ils respectent si si peu !, la femme ne peut
être entendue qu’en un confessionnal, qui de plus doit être
impérativement dans une église !
Donc
ces EÉc font parler les femmes dans
les églises, Ils les font désobéir au
moins en cela à Saint Paul qui parlait au Nom de NSJC Lui-même
parlant en Vérité au Nom de Dieu le Père !
2- Si
elles veulent s’instruire sur quelque chose, qu’elles interrogent
leurs maris à la maison !, or une
confession de ses fautes ne va jamais, jamais sans un minimum
d’interrogation, soit dans un sens ou soit dans l’autre, par
ex. : de la pauvresse de femme, est-ce
que telle chose est permise ou interdite ?,
ou, du pervers de prêtre, combien
de fois cela est-il arrivé ?
Nous
avons donc une femme qui n’interroge pas son Mari à la Maison,
mais adultérinement
un autre homme (1, adultère) dans une église (2, profanation d’un
édifice consacré), et de plus en un confessionnal (3, profanation
d’un mobilier consacré), soit 3 gravissimes fautes toutes péchés
mortels !, faites par les deux personnages : la femme et le
prêtre !
→ Voyons
maintenant un auteur qui a dû s’oublier copieusement ce jour là,
c’est un de ces pervers de prêtres qui fait justement partie de
ladite Tradition (section italienne), alors, ne boudons point notre
plaisir de les culbuter avec leur propre boule : …
St Paul fait une affirmation générale : la
femme
est subordonnée
à l’homme
en particulier dans
l’enseignement et
non seulement à la
hiérarchie.
Et même dans l’épître aux Corinthiens : « que les
femmes se taisent dans les assemblées ». Et pourquoi ?
« Car il ne leur est pas permis d’y prendre la parole ;
mais qu’elles se tiennent dans la soumission, comme le dit aussi la
loi ». Soumises
à qui ?
Peut-être seulement à
l’Eglise hiérarchique, à l’Eglise enseignante ?
Non :
« si elles veulent s’instruire sur quelque point »,
poursuit St Paul, « qu’elles
interrogent leurs maris à la maison ;
il est, en effet, inconvenant pour une femme de prendre la parole
dans une assemblée ».
Vous
lisez bien, avec nous : Soumises
à qui ? Peut-être seulement à l’Eglise hiérarchique, à
l’Eglise enseignante ? Non !
Non !
en effet, la femme en rien du tout n’est soumise à l’Eglise
hiérarchique ou
enseignante !,
soit en très clair et non équivoquement, aux EÉc !
Or,
et comble de l’horreur et de l’aveuglement volontaire, ce et ces
mêmes prêtres qui viennent de nous dire que la femme n’est
aucunement soumise aux EÉc la confessent (comme ils disent, soit entendent sa confession) et la dirigent, et font
même dedites retraites spirituelles pour femmes !
Ô
notre Dieu, quand ?, quand cesserez-Vous de retenir Votre
Très-Juste Bras vengeur ?, quand détruirez-Vous enfin ces
cloaques d’impureté ?!, qui profanent tous Vos Sacrements, et
particulièrement et en premier le Sacrement de Mariage !, clef
de voûte de tous les autres.
→ Nous
pourrions ainsi, presque sans nous arrêter, continuer et continuer à
donner des textes qui vont tous dans le même sens…, mais
inutilement pour ces pervers que ne veulent pas de volonté
très-certaine rien que comprendre le premier !
Nous
venons de bien voir, très répétitivement, que la femme ne peut et
ni parler à un prêtre, et
ni l’écouter ce qui met un
point final à l’entente d’une confession de celle-ci par ces
pervers personnages d’EÉc.
Maintenant,
il nous reste à voir :
→ Les
dérives fatales du commerce des femmes avec les prêtres.
→ Qui
doit, en sa Maison, guider, recevoir la confession et absoudre ?
3.C.4 - Les
dérives fatales du commerce des femmes avec les prêtres.
Nous
commençons par ce point qui va bien nous confirmer pour les
suivants, il va même quelque peu anticiper leur développement ;
nous allons vous monter les conséquences de ces commerces adultérins
que sont l’aveu (confesser) et l’interrogation d’une femme à
un prêtre.
Un
temps, nous avions lu un livre parlant des Princes allemands et de la
confession, nous nous souvenons plus du titre, et impossible de
reparcourir toute notre très grande bibliothèque, aussi, fiez-vous
à notre mémoire et grande probité que vous ne pouvez décemment
pas mettre en doute.
Tout
ce que nous allons dire est d’esprit tout-à-fait exact…
Il
s’agit en ce qui va suivre d’un cas extrême, mais, ne dit-on pas
Qui
peut envisager le plus peut envisager le moins ?!
3.C.4.a - Voilà
l’histoire d’un Prince Allemand, les faits :
Un
Prince d’un petit royaume en Allemagne, voici peut-être 600 ans,
était parti une période certaine ; de retour à son château
Il eut de forts soupçons, et peu importe à quel sujet, quant-à son
épouse ! L’interrogeant, elle resta évasive ou même
silencieuse lors du ceinturement et de la presse que ce Prince
exerçait par Ses questions de plus en plus précises et pressantes.
Elle
en vint presque à craquer, mais ne voulant lâcher le morceau, elle
se raidit et dit, pesant avoir la parade : Mon
Époux,
j’ai confessé mes
fautes, et Dieu m’a pardonné !
Ce
Prince voyant qu’Il n’obtiendrait rien d’autre pour l’instant,
la fit enfermer au cachot, et aussitôt s’en alla voir ledit
confesseur, comme ils disent !, de Son épouse !
Celui-ci
évidemment se retrancha vicieusement derrière ledit, en ce cas ci,
secret de la confession ; ce Prince finit par faire exécuter ce
pervers de prêtre en ses cachots par son bourreau.
Puis
s’en retourna vers son épouse, qu’il pressa encore plus. N’ayant
encore rien obtenu, deux mois après plus aucun soupçon ne fut
possible de par sa rondeur affichée !, elle L’avait trahi au
plus haut point.
Ne
voulant, comme de Droit très divin, accepter encore cette épouse
adultérine, ce Prince fit enfermer son épouse qu’Il répudia, et
cet enfant une fois né fut donné…
Ce
Prince se considérant détaché très légitimement de son épouse,
convola en juste noce avec une nouvelle épouse…
Et
les EÉc, puis l’Évêque du lieu, puis finalement le Pape car ce
Prince faisait chaque fois appel de la décision précédente, le
condamnèrent pour :
1- la
tentative de viol dudit secret de la confession ! ;
2- le
meurtre, selon eux aussi, dudit confesseur ;
3- la
répudiation de l’épouse ;
4- ledit
adultère de l’Époux avec la seconde femme qu’Il considérait
comme étant sous le regard de Dieu une autre épouse !
3.C.4.b - Qu’avons-nous
vu en cette bien triste histoire :
1- La
femme a péché, et a caché sa faute à son Époux.
La
femme, pour quelque faute que ce soit, doit confesser cette faute à
son Époux !
Le
viol de cette prérogative peut conduire à ce qu’un Époux garde
en sa Maison un enfant qui ne peut y entrer. Et de plus, cet Époux,
ne le sachant pas, déposera sa semence sacrée (don de Vie du
Seigneur Dieu !) dans le vase irrémédiablement profané de
cette épouse.
Et
comble du comble !
Plus
haut nous avons dit : Et
c’est cet aveux, doublé d’une contrition réelle (ferme désir
de ne plus recommencer) et d’une réparation
(restitution l’œuf ou compense
de sa valeur) le cas échéant, qui nous obtient le pardon de Dieu,
et le cas échéant de notre voisin en plus.
Ainsi,
pour être pardonné il faut réparation !, et comble, les
propres rubriques de ces pervers exigent que le prêtre ne donne
l’absolution que si la réparation est réalisée et
prouvée !
Ainsi
l’œuf vu plus haut doit être effectivement rendu ou compensé, la
médisance ou la calomnie réparée (chose quasiment impossible !),
le coup porté consolé, etc., et en emportant la preuve au prêtre
l’on peut seulement alors obtenir l’absolution !, ça c’est
eux qui le disent !
Et
pour l’adultère de la femme !, elle pourrait être absoute,
et retourner comme si de rien était dans le lit sacré de par le
Sacrement de Mariage de son Époux !
Quels
criminels innommables ces pervers de prêtres !, et vous vous
étonneriez ensuite que la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) les ait
appelés cloaques
d’impureté ?!
2- Le
prêtre a péché, et est complice du crime de l’épouse.
Le
prêtre a couvert très criminellement ce que seul l’Époux devait
connaître, soit par confession spontanée de Son l’épouse, ou
soit enquête et contraintes appropriées et graduées !
Ce
prêtre, et ce comme tous les autres EÉc donc, a sur lui le crime de
l’épouse de par sa complicité avec elle, et ses divers viols :
intellectuel pour le moins de l’épouse, de l’Autorité de
l’Époux, etc.
3.C.4.c - Henri
VIII, Roy Très-Chrétien et Très-Pieux !
Et
là, mais par pitié laissez-nous souffler pour l’instant, nous
pourrions faire un parallèle avec l’affaire Henri VIII
d’Angleterre (28 juin 1491 – 28 janvier 1547,
soit pile dans les eaux quelque peu marécageuses du Concile de
Trente 13 décembre 1545 – 4 décembre 1563),
scandaleuse non pour ce Prince Très-Chrétien et très pieux, mais
pour les EÉc.
Ce
Prince, Henri VIII, reçoit en 1521 le titre de « Gardien de la
Religion » du Pape (Léon X ?) !, et est même cité
couramment comme exemple.
Il
fut littéralement poussé audit schisme par les EÉc ! En
effet, pour le premier Prince comme pour Celui-ci, et ce comme pour
quiconque du reste car la chose ne regarde aucunement ces pervers qui
manipulent selon leurs intérêts du moment le Sacrement de Mariage
(dite annulation du Mariage pour l’un et pas pour l’autre, ayant
pourtant une stricte similitude, etc.), la prise d’une seconde
épouse était et restera quoi qu’ils en disent légitime et bénie
par notre Seigneur Dieu à l’événement duquel il est souhaitable
d’inviter NSJC comme lors des noces de Cana !
Nous
pouvons donc vous dire que si l’Église n’avait pas très
scandaleusement saccagé l’affaire, fort étudiée avec notre
Légitime contradicteur :
– Henri
VIII aurait pu en effet renvoyer sa première épouse qu’Il ne
pouvait alors épouser, les EÉc ayant donné scandaleusement
dispense !, et en aurait pris une autre ! Voyez-vous, Ils
font une boulette, dispense donnée à la légère, puis ne voulant
perdre la face, se dédire, ils maintiennent criminellement le cap !
– Sachant
de plus, que même ce premier Mariage non illégitime, soit légitime,
Henri VIII pouvait de plein Droit divin en prendre une seconde…
– Ainsi
l’Angleterre n’aurait pas versé dans le schisme, Elle serait
encore Catholique, et ce Prince n’aurait pas, car soutenu comme de
Doit par l’Église catholique, versé dans certains excès
ultérieurs. Comme le dit Saint Vincent de Paul : il
n’est que trop vrai que la dépravation de l’état ecclésiastique
est la cause principale de la ruine de l’Église de Dieu.
Ayant
vu en ces deux cas extrêmes les conséquences gravissimes qu’elles
eurent sur la chrétienté, nous verrons ensuite les conséquences
ordinaires de l’ingérence de ces pervers par ladite confession et
ladite direction spirituelle des femmes.
3.C.5 - Qui
doit, en sa Maison, guider, recevoir la confession et absoudre ?
3.C.5.a - La
duplicité des EÉc, visible particulièrement en le Concile de
Trente !
Voyez-vous,
et ceux qui ont lu tous nos documents ne peuvent que le confirmer
flagramment, tout,
oui bien tristement tout
ledit enseignement des EÉc, quant-aux Sacrements de Mariage de
Confession et de Baptême pour le moins !, n’est basé que sur
le oui
mais non !, donc il vient bien
effectivement du Malin, ce selon le mot de NSJC vu au début : …
que votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal.
Regardez
rien que cela, le Concile de Trente dit : Enfin
il
doit régler
sa famille, corriger
et former
les mœurs de
tous ceux
qui la composent, et contenir
chacun dans son devoir.
Savons-nous
lire, oui ?,
ou non ?,
que dit ce Concile de Trente ?, exactement la chose et son
contraire, en effet Il dit vicieusement le sauf
ou le mais !,
parfois implicitement ou indirectement et le plus souvent
explicitement ou directement…
Décortiquons
ce texte avec le oui
mais non implicite :
→ Il
doit régler : comment voulez-vous que
l’Époux puisse régler
sa famille, lui donner des règles à
observer, suivre (le oui),
si un prêtre le fait à sa place (confession et direction) ?
(le non),
et qu’ainsi tout la conscience de son épouse, et des autres membres
de Sa Maison, Lui échappe totalement par cette confession et cedit
secret de la confession !
→ Comment
voulez-vous que l’Époux puisse corriger
et former les mœurs de tous ceux qui la composent
(le oui),
si le prêtre le fait à sa place au confessionnal (le non) !
→ Comment
voulez-vous que l’Époux puisse contenir
chacun dans son devoir (le oui),
alors que c’est le prêtre qui, pour le moins par ladite confession
et les conseils luciabéliens qui suivent, le fait à sa place (le
non),
et fatalement contre Lui !
Par
exemple : Un époux, affaire
on ne peut plus classique, interdit une chose à son épouse, elle va
évidemment, cherchant maladivement
une opposition à son Époux, voir le prêtre en ou hors confession,
et lui expose la chose, évidemment cerise sur le gâteau à sa
manière ! ; et, que lui répond le prêtre tout content
d’avoir ferré une belle gourde ?, évidemment : Mais
madameee !, l’air fort important et sentencieux comme un roué
Raminagrobis, votre mariii n’a pas à vous interdireee de,
par ex. :
→ téléphoner
à qui vous voulez
si
vous ne dites pas de mauvaises choses,
→ vous
habiller comme vous le voulez si vous restez décente,
→ d’aller
à la messe si vous allez assister à une de celles de la FSSPX,
etc.
Vous
remarquez bien l’habilité démoniaque de ces Raminagrobis !,
ils ajoutent toujours à leur pousse au crime, pour ne pas ébouriffer
la pauvresse par un simple vous
n’avez pas à obéir ! qui risquerait
de la réveiller de sa torpeur luciabélienne, le fameux si…
bien mielleusement glissé !,
qui ici, remplace bien effectivement le mais
ou le sauf
déjà copieusement pointés !
Pour :
habilité démoniaque de ces Raminagrobis
Oui !,
nous disons bien Oui !
uniquement, ces EÉc sont des pervers roués dans l’art de la
duplicité, tous leurs enseignements ne sont que des oui
mais non !
Regardez
encore comme ils disent et ne font pas, conformément à cette parole
de NSJC, Observez
donc et faites tout ce qu’ils vous disent ; mais n’agissez
pas selon leurs œuvres, car ils disent, et ne font pas.
Regardez,
ils vous citent, seulement si vraiment vous les y avez bien acculés
comme nous avec ledit abbé Hervé Courcelle Labrousse du site
Réponses catholiques :
→ cette
autre parole de NSJC, Que
l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni,
soit le Observez
donc et faites tout ce qu’ils vous disent,
→ et
dans le même temps ils disent autoriser et souvent même ils
imposent ladite séparation de corps ! Époux résistez autant
que possible, et certes très héroïquement pour beaucoup parmi
vous, suivez le conseil de NSJC : mais
n’agissez pas selon leurs œuvres, car ils disent, et ne font pas !
Pour :
ledit abbé Hervé Courcelle Labrousse :
N’importe
quelle dénonciation de notre part, et aussi violente puisse-t-elle
être, restera quant-aux prêtres toujours bien bien copieusement
en-deçà de ce que le TSVM a dit, Elle Reine du Sacerdoce : …
les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les
prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs
têtes…
Oui !
les
maris sont animés d’un zèle ardent contre ceux qui chercheraient
à leur disputer le cœur de leur femme, ce
qui est exactement le cas par leurdite confession et leurdite
direction spirituelle de nos épouses !, qu’ils
veulent posséder exclusivement et tout entier ! (revoir 3.B.1)
3.C.5.b - Au
fait !, direction spirituelle ?, qu’ils disent !
Justement
en écrivant ci-dessus : ce
qui est exactement le cas par leurdite confession et leurdite
direction spirituelle de nos épouses, nous
nous sommes aperçu de l’incroyable malignité de ce terme :
direction
spirituelle !
Chapeau
bas les pervers !
Qui
gouverne une personne ?, si ce n’est l’Esprit !
À
quoi servirait-il qu’un Époux donne un ordre au corps de Son
épouse ?
En
donnant un ordre à Son épouse, c’est bien à l’Esprit de Son
épouse que l’Époux s’adresse !, n’est-ce pas ? ;
Esprit qui alors, si non révolté, donnera l’impulsion au corps
qui exécutera l’ordre.
Ainsi
ces pervers pour ne pas ébouriffer les Hommes, et pour faire docte
comme de parfaits Raminagrobis, ont trouvé la parade :
→ de
ne point dire : faire
la direction de la femme, ce qui évidemment
serait bien débusquable et bien visiblement en opposition à ce que
ce vicieux Concile de Trente disent ailleurs : Enfin
il doit régler sa famille ;
→ et
de dire, idée géniale du génie de Luciabel, la chose en
l’appelant : faire
la direction spirituelle de la femme !,
maquillage de maîtres en tromperie !
Donc
en cas de cettedite direction spirituelle par le prêtre, l’Époux
croirait tenir le corps de Son épouse, qui de fait Lui échapperait
(ce qu’est du reste la séparation de corps qu’ils veulent à
tout prix) car le prêtre tiendrait, dirigerait l’Esprit de
celle-ci !, quel chef d’œuvre de duplicité !
Donc
rien que l’idée de direction
spirituelle est éminemment une idée avec
contradiction interne violente, tout pleine de duplicité
luciabélienne.
Merci
ô notre Seigneur Dieu de nous avoir mis le doigt dessus !,
soyez loué !, vous qui avez dit : Je
vous donnerai une bouche et une sagesse auxquelles tous vos
adversaires ne pourront résister et contredire. (Luc 21, 15)
3.C.5.c - Êtes-vous
Catholiques pour avoir une telle haine du prêtre ?
Avertissement !,
tout ce point s’adresse bien sûr qu’aux méchants !
Vous
nous demanderez, Lecteurs de peu de religion, soit bien informés, ou
bien déformés, Êtes-vous
Catholiques pour avoir une telle haine du prêtre ?…
Pour :
soit bien informés, ou bien déformés :
Nous
vous répondrons exactement lorsque vous nous aurez répondu à ces
questions :
→ Selon
vous, NSJC est-Il de l’Église fondée par Lui-même ?, Lui
qui a dit, poursuivant de la même dite haine Ses propres prêtres, à
Sainte Catherine de Sienne : Du
temple de leur âme, de la sainte Eglise qui est un jardin, ils
ont fait un repaire d’animaux.
[…] Vois-le ce prêtre ! Ce n’est pas le bréviaire qui est
son épouse, ou il ne le traite que comme une épouse adultère. Une
créature du démon a pris sa place et vit avec lui dans le crime.
[…] C’est là qu’il exerce son ministère, sans s’apercevoir
que le
flot de la mort va le prendre et l’emporter avec les démons, ses
maîtres, qu’il a si bien servis.
[…] De quelque côté que tu regardes, séculiers et religieux,
clercs et prélats, petits et grands, jeunes et vieux, gens de toute
condition, partout tu ne vois qu’offenses. Tous
répandent l’infection de leurs pêchés mortels ?,
répondez-nous !
→ Selon
vous, la TSVM est-Elle de l’Église fondée par son divin Fils,
NSJC ?, Elle qui a dit, poursuivant de la même dite haine les
prêtres de son Fils, à La Salette : …
les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les
prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs
têtes… ?, répondez-nous !
Vous
poursuivrez peut-être ainsi alors, en nous disant, Au
pire des cas, ne mettriez-vous point un voile comme le manteau de Noé
sur les crimes que vous dites êtres ?
Alors,
nous vous répondrons, Est-ce
que la TSVM et
NSJC ont-Ils poussé ces immondices sous le tapis ?
Peut-être,
obstinés à vouloir couvrir les crimes incommensurables de ces
cloaques
d’impureté direz vous encore, donc
vous participez à la destruction de l’Église,
nous vous répondrons…
Comble,
comme ladite Justice de maintenant, l’on couvre les criminels, et
principalement ceux placés tout en haut, et l’on accuse de
destruction, d’inconvenance ou d’obsession ceux qui refusent
héroïquement de se taire !, les alerteurs !,
les corneurs !
3.C.5.d - Qui
doit gouverner en toutes choses l’épouse ?
Particulièrement,
pour l’épouse : À qui doit-elle confesser ses fautes, cette
personne est-elle habilitée à l’absoudre ?, qui doit-elle
interroger ?, qui doit la diriger ?
C’est
si simple pourtant !, notre titre le dit bien : …
dites
simplement oui ou non !
Lecteurs,
répondez-nous ensuite rien que Oui,
oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal,
comme vu au début !
Donc,
Lecteurs, oui,
oui, ou non,
non la femme fut-elle faites à cause de
Dieu, pour Dieu ?, non ?,
alors lorsqu’elle pèche c’est contre Celui pour qui elle fut
faite : l’Homme, et ici son Époux !
Est-elle,
Lecteurs, oui,
oui, ou non,
non la Gloire de Dieu ?, non ?,
alors, lorsqu’elle s’avilit, elle pèche non contre de Dieu qui
ne peut être sa Gloire, mais contre son Époux qui devrait être sa
Gloire !
S’abîmant,
Lecteurs, oui,
oui, ou non,
non abîme-t-elle l’Image de Dieu ?,
non ?,
en effet elle abîme l’Image de son Époux !
Donc,
Lecteurs, oui,
oui, ou non,
non en tous ces cas est-ce que la femme pèche
contre Dieu ?, non ?,
alors en effet elle pèche contre Celui pour qui elle fut faite, doit
être la Gloire, dont elle devrait être l’Image : l’Homme,
et particulièrement son Époux !
Elle
ne pèche contre Dieu que conséquemment, vu que son Époux est Lui
fait pour Dieu !
Oui,
bien sûr, Dieu tirera tôt ou tard vengeance de ses fautes contre
son Époux, si celles-ci ne furent pas avouées à Lui et pardonnées
par Lui…
Alors,
Lecteurs, oui,
oui, ou non,
non doit-on confesser sa faute auprès de qui
on pèche ?, oui ?,
alors elle doit confesser sa faute auprès de, recevoir sa pénitence
de, faire réparation à, offrir satisfaction à : son Époux !,
qui Lui doit faire pour Lui-même la même chose auprès de Dieu !
Lecteurs,
oui,
oui, ou non,
non la femme doit-elle être soumise
en toutes choses à son Époux ?, oui ?,
alors pour confesser ses fautes et être dirigée spirituellement,
elle doit s’adresser à son Époux et non au prêtre criminel en
cela !
Lecteurs,
oui,
oui, ou non,
non, la femme est-elle soumise
à l’Eglise hiérarchique ou
enseignante ?, non ?,
alors lorsque ces EÉc reçoivent sa confession ou la dirige
spirituellement, ils sont criminels, et ces actes sont nuls et non
avenus !, en effet : qu’elles
interrogent leurs maris à la maison.
Ainsi,
vous venez de donner vous-mêmes la réponse à la question :
qui doit recevoir la confession de l’épouse, la diriger
spirituellement ?, c’est
l’Époux !
Toute
autre personne est forcément illégitime et ces actes illégaux,
nuls et non avenus ; et de plus ce sont des viols ou adultères,
ils surchargent l’épouse et le(s) complice(s) de péchés
mortels !
3.C.5.e - Comment
l’Époux doit-Il procéder pour ces actes saints ?
Tout
simplement !, et le Seigneur Dieu validera car Il est
engagé par l’acte de l’Époux qui agit en Son Nom !
Sachez,
vu que nous avons copieusement pointé le très criminel et vicieux
dit secret de la confession du prêtre, que l’Époux qui reçoit la
confession d’un des sujets de Sa Maison, est évidemment tenu par
ce Saint et sain secret de cette confession !
Prenons
quelques exemples de fautes :
→ Maladresse :
- Faute :
L’épouse vient de casser une pile d’assiettes ?
- Examen :
elle contemple le résultat de son inattention
- Confession :
qu’elle aille alors bien vitement et amoureusement demander pardon
à son Époux !
- Absolution :
et Il lui pardonnera sa faute,
- Direction :
et lui prodiguera l’un ou l’autre conseil,
- Réparation :
une fois les dégâts ramassés par un bon balayage (réparation),
- Pénitence :
après avoir dit pieusement le Je
vous salue Marie que son Époux lui a dit de
réciter,
- Satisfaction :
elle sera (doit !) alors encore plus gracieuse envers son
Époux.
Pour :
Il lui pardonnera sa faute (absolution) :
À
ce moment précis, l’épouse est évidemment à genoux (deux) aux
pieds de son Époux, les mains bien jointes et la tête humblement
inclinée, car venant confesser, avouer une faute :
→ l’Époux
procédera à une belle imposition
des deux mains sur sa tête en disant distinctement et calmement,
bien empreint de Sa Mission divine comme prêtre de Son foyer :
Ma
fille (et ce même pour l’épouse, pour les gars Mon Fils) je te
pardonne (ou je t’absous),
va
et ne pèche plus contre Moi, car au final c’est à notre Dieu
d’Amour que tu déplais !
→ Il
lui ordonnera la réparation, lui donnera la pénitence qu’elle
doit faire, et ses conseils.
→ Il
est souhaitable que le choix de la satisfaction vienne d’elle…
→ Là,
l’épouse réclamera humblement la bénédiction
et les prières de son Époux.
Pour :
à l’imposition […] la bénédiction :
→ Irrévérence :
- Faute :
Elle s’est impatientée ? auprès de quiconque du reste,
- Examen :
alors dès l’énervement passé,
- Confession :
qu’elle vienne confesser la chose à son Époux,
- Direction :
Il lui dira comment elle doit se corriger,
- Réparation :
comment elle devra ensuite réparer, et si la faute est vers un
étranger de la Maison, Il lui dira si elle doit réparer auprès de
lui ou qu’Il le fera Lui-même en son nom,
- Pénitence :
Il lui donnera une pénitence bien proportionnée,
- Satisfaction :
et lui dira comment elle doit faire pour plaire à l’offensé,
Lui-même, ou si c’est un étranger de la Maison par ex. un petit
raccommodage pour aider l’épouse de celui-ci.
→ Insuffisance :
plats mal préparés, brûlés, ménage négligé, linge abandonné,
etc., voir l’un ou l’autre point ci-dessus.
→ Négligence :
sur elle-même ou les enfants, quant-à l’Âme ou au corps, idem :
faute, examen, confession à son Époux, direction et réparation et
pénitence et satisfaction toutes imposées par l’Époux !
→ Vol
ou tromperie : par ex. elle aurait volé une
pâtisserie (faute), si c’est interne à la Maison, voir un des
points précédents (examen, confession à son Époux, direction et
réparation et pénitence et satisfaction toutes imposées par
l’Époux !) ; si c’est à l’extérieur :
- soit
elle ne s’est pas fait surprendre, alors voir le point
Irrévérence ;
pour la réparation soit l’Époux lui dira de l’accompagner pour
avouer elle-même sa faute au boulanger en apportant l’objet volé
ou la contre-valeur, ou soit Il le fera en son nom, puis pour le
reste enchaîner comme déjà décrit.
- soit
elle s’est fait surprendre ; là le boulanger la saisie par le
collet et la ramène à son Époux, ou soit (préférable) il va voir
l’Époux pour lui signaler la faute de son épouse. Dans les deux
cas le volé (boulanger) doit essayer que ceci soit le plus discret
possible afin que l’Honneur de l’Époux de la voleuse ne soit pas
compromis (charité). Pour le reste voir le point Irrévérence.
→ Désobéissance :
donc forcément envers son Époux !, ceci, et d’autre fautes
aussi, est un péché mortel (PM), aussi il convient d’être bien
sévère, surtout si récidive. Par exemple, vous lui avez comme de
Droit (il est Droit que !) interdit de téléphoner hors
permission expresse ou danger immédiat, chose très très
prudentielle avec les femmes !, et elle le fait en cachette :
soit elle l’avoue et en effet s’amende, là l’on pourra
tempérer (PM tout de même) ; ou soit elle ne l’avoue pas et
l’Époux le découvre (PM bien confirmé), et surtout s’il y a
récidive (PM confirmé et réitéré), alors il convient d’être
extrêmement vigilant et extrêmement sévère (cachot, chaîne,
boulet). En tous les cas enchaîner ensuite autant faire se peut le
processus, ou rubriques de la confession à l’Époux : faute,
examen, confession à son Époux, direction et réparation et
pénitence et satisfaction toutes imposées par l’Époux !
Pour :
est un péché mortel (PM), aussi il convient :
Pour :
extrêmement sévère (cachot, chaîne, boulet) :
3.C.5.f - Idem,
pour les autres femmes de la Maison, qui ?
Soit
elles font partie de la Maison.
Si
elles, ces femmes, font partie de la Maison, soit comme l’épouse :
les filles, la mère dont l’Époux serait mort, les sœurs qui
seraient encore sous la responsabilité du Chef de Famille parce que
non mariées, une servante orpheline en service attaché, etc., se
reporter en tous points à ce que nous disons quant-à l’épouse
ci-dessus : 3.C.5.e,
Comment l’Époux doit-Il procéder pour ces actes saints ?
Soit
elles ne font pas partie de la maison.
Soit
les servantes en service détaché, donc envoyées par l’Homme de
leur Maison, alors l’on se comportera comme le boulanger vu
précédemment (voir : là
le boulanger la saisie par le collet et la ramène),
ramener cette pécheresse à son Maître et Lui faire un rapport
détaillé de la chose afin qu’Il puisse prendre les mesures
adéquates en toute connaissance de cause…
3.C.5.g - Idem,
pour les Gars de la Maison, qui ?
Pour
eux, les Gars :
→ jusqu’au
premier Âge, l’on agira comme vus 3.C.5.e,
Comment l’Époux doit-Il procéder pour ces actes saints ?
→ jusqu’au
deuxième Âge idem, mais en commençant à envisager la confession
spirituelle (léger glissement vers elle) ;
→ au
troisième Âge, de façon solennelle (organiser comme une petite
cérémonie) l’on pourra détacher le Gars de cette confession
vernaculaire au Père et Lui faire faire très sérieusement la
confession spirituelle. Ce en insistant sur le devoir de conseil que
le Père a auprès de Lui et le devoir donc qu’Il a de consulter
son Père.
Pour :
[signification des divers Âges] :
Pour :
sur le devoir de conseil que le Père a auprès :
3.D - La
vocation des femmes, oui certes, mais laquelle ?
Votre
interrogation : …
porte sur la femme consacrée : dans le temps lointain où l’Eglise
n’était pas pervertie, les Pères laissaient-ils Leurs filles
entrer facilement des les ordres ? Comment cela se déroulait-il ?
Quel était leur place dans une société chrétienne ? Je
me permets de poser ces questions car à plusieurs reprises vous avez
mentionné les femmes consacrées, soit en tant qu’enseignantes de
filles ou en tant que soignantes.
Comme
dit tout au début, la réponse suivra sur un autre document…
3.E - Concluons
rien que pour l’instant.
Bien-cher
Sieur Jean
Mahezic,
ce
document perfectible doit, nous l’espérons, bien répondre à
votre attente ; si vous désiriez des précisions sur ce que
nous venons
d’écrire,
faites-le
nous
savoir et nous ajouterons les
réponses à
la deuxième partie de ce
document…
Répétons
ce que nous disions en notre dernier document : Que
sommes-nous ô notre Dieu ?!, ne nous répondez pas ô notre
Seigneur Dieu
bien-aimé,
nous le savons fort bien : rien !, et de plus nous sommes
si grand pécheur !
Ce
document dont nous ne voulons plus retarder la parution a été très
peu relu, veuillez donc être biens indulgents pour nous ; comme
tous du reste, il est susceptible de corrections ou de
fluidification, si celles-ci devait toucher le sens ou le
développement vous en seriez avertis, chers lecteurs, par les
commentaires…
Pour
tout, nous nous en remettons à la divine Providence !
Dans
la suite que nous allons donner à cette réponse, quant-à la
vocation de la femme, et
de celle
dite malicieusement religieuse, nous vous révélerons aussi
ce
que veut dire l’acronyme de notre pseudo : QJSIOJC…
Bien-cher
Sieur Jean
Mahezic,
et Lecteurs, soyez
bien assurés de nos prières pour vous, nous comptons aussi sur les
vôtres.
Que
le Bon Dieu Vous
bénisse, Vous et tous les Vôtres !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
Bonjour.
Un très bon article, comme toujours, avec un sujet des plus
importants parfaitement expliqués par vos soins.
J’en
profite pour vous faire d’une de mes interrogations qui m’est
venue à la relecture de certaines de vos précédentes publications
: bien normalement, puisqu’il s’agit du titre de votre site, vous
avez beaucoup parlé de l’Epoux et de l’épouse. Mais cette
fois-ci, mon interrogation porte sur la femme consacrée : dans le
temps lointain où l’Eglise n’était pas pervertie, les Pères
laissaient-ils Leurs filles entrer facilement des les ordres ?
Comment cela se déroulait-il ? Quel était leur place dans une
société chrétienne ?
Je
me permets de poser ces questions car à plusieurs reprises vous avez
mentionné les femmes consacrées, soit en tant qu’enseignantes de
filles ou en tant que soignantes. Et il me semble avoir lu que vous
prépariez à un moment un article sur la confession de la femme.
Tous ces sujets m’intéressent.
Je
conçois parfaitement que ceci s’éloigne un peu de l’objectif de
votre site, aussi je comprendrais parfaitement si vous souhaitiez ne
pas accéder à ma demande.
Sur
ce, je vous souhaites une bonne journée.
Cher
Sieur Jean Mahezic,
Merci
pour votre aimable appréciation de cet article, nous sommes bien
conscients que cela nous donne une rude responsabilité ; que par la
Grâce de Dieu nous ayons écrit en Vérité et pour Sa plus Grande
Gloire !
Oui,
la consécration des femmes.., permise ou pas !?, et la confession de
celles-ci, et des mariées…
Oui,
nous savons, nous, très bien quoi en penser, mais trouver l’énergie
(quelle fatigue) et les mots pour le bien dire, va falloir que le Bon
Dieu nous force à écrire comme Il força Jonas à crier pour
avertir !, peut-être va-t-Il nous envoyer une baleine pour nous
forcer aussi…
Laissez-nous
en peu souffler, méditer et prier, et par les commentaires nous vous
répondrons, ou par une page spéciale car le sujet est bien vaste et
grave…
Entre
les deux, cher Ami en Notre-Seigneur Jésus-Christ et Notre-Dame,
demandez bien véhémentement pour nous pauvres hères des Grâces de
Lumière et de Force au Très-Saint Esprit…
À
dans quelques jours, et en tous les cas à Dieu !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
Cher
Sieur Jean Mahezic,
Nous
devons vous demander un peu de temps car nous allons vous répondre
sur une page spéciale ; vous devrez peut-être patienter une
quinzaine de jours.
Nous
allons vous répondre, et nous pensons que cela va vous plaire, de
façon très très incisive et vraie au sujet de la confession des
femmes, et aussi des nombreux scandales entourant lesdites vocations
de celles-ci !
Comme
vous l’avez dit, oui nous avons plusieurs fois rien qu’effleuré
ce sujet, mais maintenant nous allons aller comme tout au fond de la
chose !, nous pensons que cela va faire bien grincer !
Comme
dit, Il va falloir attendre un peu, compte tenu de la très grande
gravité du sujet, pour voir cette publication…
Cher
Sieur Jean Mahezic, que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les
vôtres…
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
3.F.1.d - Je
confesse à Dieu…
Voici
la prière donnée habituellement, où nous avons très saintement
barré, car il ne faut surtout pas les dire, les …
et à vous, mon Père.
Pourquoi ?,
tout simplement parce-qu’ils ne sont d’aucune manière nos Pères,
et ni par
génération et
ni spirituellement !, ce que confirme bien NSJC : Et
ne donnez à personne sur la terre le nom de père, car vous n’avez
qu’un seul Père qui est dans les Cieux. (Mat 23, 9)
Et
ceci est valable en tout premier pour ledit Très-Saint-Père !,
le Pape, quel scandale de se faire appeler ainsi, de se donner ce nom
de Père qui n’appartient qu’à Dieu le Père, et à ses seuls
représentants à Lui sur terre, soit rien que les Époux-Père qui
sont seuls Son Image la plus parfaite, alors que les EÉc sont
(devraient être !) rien que l’Image de NSJC : C’est
la seule, l’Autorité de l’Époux-Père,
qui soit le plus complètement possible à l’image de l’autorité
divine, et, Le
pouvoir du père est celui qui, dans l’ordre naturel, offre au plus
haut degré les caractères d’une institution divine.
2de
citation : Idem ; point 5.C.8 - Mgr
Delassus : Le Chef est au-dessus de toutes autorités.
Voyez-vous,
Hommes bons, vous, vous avez bien réalisé ce cette Parole de NSJC,
mais ces pervers, étant corrompus au plus haut point, vont répliquer
en se gaussant : Vous
dites dans tous vos documents qu’Il faut magnifier l’Époux-Père
de Famille, et là, vous venez avec cette phrase qui vous condamne
aussi : Et ne donnez à personne sur la terre le nom de père… !
Pauvres
vicieux !, il est dit ne
donnez à personne !, ce qui est bien au
moins une condamnation de votre pervers …
et à vous, mon Père, cela vous ne pouvez
que le confirmer !, et maintenant, s’agissant des Époux-Pères,
nous, honnêtes gents, nous nous arrogeons point le nom de Père
comme vous !, l’entant de par génération !
Nous
ne nous donnons pas le nom de Père, nous sommes Pères !, comme
notre Père qui est dans le Cieux !
Et
qu’a dit NSJC, vous qui vous prétendez suffisamment être des
autres Christ ?, Lui que vous dites hypocritement imiter afin de
mieux nous tromper ? qu’a-t-Il dit de Lui ?, aux Saintes
femmes qui vinrent visiter le tombeau vide, alors donc qu’Il est
ressuscité, voici : Alors
Jésus leur dit : Ne craignez point ; allez, dites
à Mes frères
de partir pour la Galilée ; c’est là qu’ils Me verront.
(Mat. 26, 10)
Pauvres
traîtres, vous qui devriez être rien que nos Frères !
Voici
le Je
confesse à Dieu… :
Je
confesse à Dieu Tout-Puissant,
à
la Bienheureuse Marie toujours vierge,
à
Saint Michel Archange,
à
Saint Jean-Baptiste,
aux
Saints Apôtres Pierre et Paul,
à
tous les Saints,
et
à vous, mon Père,
que
j’ai beaucoup péché, par pensées,
par
paroles et par actions.
C’est
ma faute, c’est ma faute, c’est ma très grande faute.
C’est
pourquoi je supplie la Bienheureuse Marie toujours vierge,
Saint
Michel Archange,
Saint
Jean-Baptiste,
les
Saints Apôtres Pierre et Paul,
tous
les Saints et vous mon Père,
de
prier pour moi le Seigneur notre Dieu.
3.F.1.e - Rorate
Cœli desuper.
Cieux,
répandez d’en haut votre rosée et que les nuées fassent
descendre le juste.
1. Ne
te mets pas en colère, Seigneur, ne garde plus souvenir de
l’injustice. Voici, la cité sainte est devenue déserte, Sion a
été désertée, Jérusalem est en désolation, la maison de ta
sanctification et de ta gloire, où nos pères avaient dit tes
louanges.
Cieux,
…
2. Nous
avons péché et sommes devenus impurs. Nous sommes tombés comme des
feuilles mortes et nos iniquités nous ont balayés comme le vent. Tu
as détourné de nous ta face, et nous as brisés sous le poids de
nos fautes.
Cieux,
…
3. Vois,
Seigneur, l’affliction de ton peuple, et envoie celui que tu dois
envoyer : envoie l’Agneau, le maître de la terre, de Pétra
dans le désert jusqu’à la montagne de ta fille Sion, afin qu’il
ôte le joug de notre captivité.
Cieux,
…
4. Consolez-vous,
consolez-vous, mon peuple : vite viendra ton salut, pourquoi
es-tu consumé dans l’affliction, pourquoi la douleur se
renouvelle-t-elle en toi ? Je te sauverai, n’aie pas peur,
moi, je suis le Seigneur Dieu, le Saint d’Israël, ton Rédempteur.
Cieux,
…
♣
Bonsoir. Je vous remercie pour votre réponse, qui répond à beaucoup de mes interrogations. Au risque de me répéter, je trouve votre style clair et direct, sans compromis, ce qui fait la force de vos articles.
RépondreSupprimerJe vous remercie encore d'avoir pris le temps et l'effort pour répondre à mes interrogations.
Nous avons corrigé une étourderie :
RépondreSupprimerCeci : thèse synthèse foutaise !
Par : thèse antithèse foutaise !
Nous avions oublié de relire et corriger un point en les annexes le point 3.F.1.d - Je confesse à Dieu…, il s'y trouvait plusieurs fautes et défauts de rédaction, veuillez nous excuser...
Nous venons de corriger une erreur en le nom d'un point :
RépondreSupprimerErreur : 3.C - La confession des femmes, oui certes, mais par qui ?
Corrigé : 3.C - La confession des femmes, oui certes, mais à qui ?
En effet, et ce comme tout notre texte le dénonce, l'on n'est pas confessé par quelqu’un, mais l'on confesse à quelqu'un ; et ce donc, à Dieu pour l'Homme, au Chef de Famille pour les femmes...
Ah !, l'importance de l'écriture exacte !
Veuillez nous excuser, nous sommes si peu de chose...
Veuillez considérer que nous avons modifié notre texte :
RépondreSupprimerOrigine : ramèneront l’Église à l’état de l’ancienne pauvreté évangélique,
Corrigé : ramèneront l’Église à l’originelle pureté évangélique,
Idem...
RépondreSupprimerOrigine : qualité supérieure pour un article inférieur
Corrigé : qualité supérieure pour un prix inférieur
Tout vient à point à qui sait attendre !, dit le proverbe...
RépondreSupprimerBien-cher Sieur Jean Mahezic,
Enfin nous venons de finir notre réponse promise, et en ce document vous verrez la raison de ce temps bien écoulé...
Le titre en est : Cher Sieur Jean Mahezic, vous répondre quant-à la vocation religieuse !
Il sera visible à l’Assomption de la Sainte Vierge, le 15 à 00:00, parce que nous voulons particulièrement le mettre sous la protection de cette Très-Sainte Vierge mère de Notre-Seigneur Jésus-Christ notre Sauveur, et notre Mère...
Le lien n’est pas encore disponible, ce document n’étant pas visible..., aussi, le 15 il vous suffira d’utiliser le lien de notre site et vous tomberez dessus : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres...
Pour la Vérité,
QJSIOJC.
Nous venons de corriger une faute de sens :
RépondreSupprimerOrigine : Si cette Église est la vraie et non l’éclipsée
Corrigé : Si cette Église est la vraie et non l’éclipseuse