CN-2011-5 - du
12.02.2011.
PDF : ND. Actualisé : ven. 11 avr. 2014,
09.54.
Table
de cette nouvelle, CN-2011-…
5
- Site ‘Réponses
catholiques’ – Vous persistez à vous prétendre catholiques !,
alors poursuivons…
5.A.1.a
- Notre
procédure pour dénoncer Réponses catholiques.
5.A.1.b
- Nous devons
relever une erreur guère involontaire.
5.A.1.c
- Petite
parenthèse, grande de par ses conséquences.
5.A.1.d
- Au sujet de
nos attaques véhémentes de l’Église catholique.
5.B
- Réfutation de ce
qu’avance vicieusement Réponses catholiques.
5.B.1
- L’Église
catholique ne triche pas !, Elle a simplement capté ce qui ne
Lui appartient nullement !
5.B.1.b
- Dans son texte
le SRC dit ‘interprétation’ !
5.B.1.c
- Un seul
baptisé constitue à lui seul l’Église catholique.
5.B.2
- SRC : Il ne
faut pas tout confondre, ne pas tomber dans la confusion.
5.B.3
- Alors les
pharisiens s’approchèrent de Lui pour Le tenter !, là est
la Vérité.
5.B.3.a
- Pour
commencer, le SRC, vicieusement, place une confusion.
5.B.3.b
- Le SRC
‘confond’ : il ne s’agit pas d’une question, mais d’un
piège !
5.B.3.c
- Notre analyse
antérieure de cette question de pharisien.
5.B.3.d
- Notre
complément d’analyse, pour vous SRC :
5.B.3.e
- Vous, du SRC,
vous faites le même glissement que les pharisiens.
5.B.3.f
- Soumise à son
Époux et en toutes choses…
5.B.3.h
- La séparation
vue du coté de l’Époux !
5.B.3.i
- Église et
État, main dans la main, complices de la luciférienne féminisation
de nos sociétés !
5.B.3.j
- Église et
État féminisés, tuent tous les jours ; le Patriarcat,
jamais !
5.B.4
- Un paragraphe
sans importance.
5.B.5
- La bêtise
crasse ?, non, la malhonnêteté intrinsèque du SRC !
5.B.6
- Il y a bien,
comme démontré ci-dessus, opposition frontale !
Publié
en la Sainte Eulalie,
le samedi 12 février 2011,
cette
nouvelle Lui est confiée !
Préféremment
avec vous,
mais toutefois malgré vous,
la Vérité éclatera !
5.A.1.a - Notre
procédure pour dénoncer Réponses
catholiques.
Pour
facilité pour vous lecteurs, nous le pensons, nous allons analyser
sadite réponse, paragraphe par paragraphe, nous commencerons chacun
point par « SRC,
paragraphe : ».
5.A.1.b - Nous
devons relever une erreur guère involontaire.
Lorsque
la première fois, le SRC,
vous répondîtes à notre question, celle-ci fut en effet bien
reprise !
Or,
là, comme par lâcheté, vous semblez réfuter quelque chose que
vous vous empressez de ne pas nommer !
Aucune
reprise même toute partielle de notre dénonciation !, vous
auriez au moins dû, pour éviter des reprises, mettre un lien vers
le texte que vous prétendiez analyser !
Vous
écrivez (source donnée ensuite)
que Le
correspondant insiste, et la lecture de son site internet ;
et c’est là qu’est le problème :
1. Quel
correspondant,
n’ayant pas envoyé de correspondance avec question ou insistance,
mais uniquement un avis de publication !
2. Quel
site
internet prétendez-vous réfuter lâchement
en ne le citant pas ?, ni lui, ni ce qu’il a dit !
Nous
pensons que ce n’est nullement
un oubli, mais bien une gêne de vous !, vous désiriez faire
ainsi d’une pierre trois coups :
1. avoir
du grain à moudre afin de nourrir à pas cher votre site, vous
dandiner professoralement.
2. plus
important, de dire ‘réfuter’ sans donner l’argument
de l’adversaire permet de tromper nettement plus facilement vos
lecteurs.
3. mais
surtout, vous évitiez ainsi que
vos lecteurs ne venant pas de par notre site, ne le connaissent, et
ainsi ne connaissent pas ce que nous révélons !
Vous
semblez donc, de fait, particulièrement malhonnête !, ce qui
augure bien un débat vicié par vous !
Couard !,
cela ne fait rien, nous allons poursuivre au moins pour nos lecteurs
votre dénonciation…
5.A.1.c - Petite
parenthèse, grande de par ses conséquences.
Vous
vous dites prêtre !, de l’Église catholique !, alors
cloaque
d’impureté !,
supprimez cette photo tout à fait impure où l’on voit sur la page
en question une femme en pantalon, en vêtement d’Homme !,
donc agissant de par là-même contre-naturellement ! Elle pue
l’émancipation, le non
serviam* !, la révolte d’Ève !
Et,
vous, en êtes son complice objectif !, et si d’aventure vous
cherchez à vous justifier sur ce point, ce ne peut être qu’en
ajoutant un mensonge à un crime…, car c’est injustifiable !
5.A.1.d - Au
sujet de nos attaques véhémentes de l’Église catholique.
Nous
disons pour faire court « l’Église catholique », pour
ne point avoir à dire chaque fois « les membres du clergé de
l’Église catholique, et ce du bas jusqu’en haut ».
Et,
pour votre facilité, nous en faisons la reprise en cette note :
.
5.B - Réfutation
de ce qu’avance vicieusement Réponses catholiques.
Réfutation,
paragraphe par paragraphe :
Vous
détestez la langue de bois ?,
vous allez spécialement aimer
ce qui suit !,
c’est garanti à 100% sans langue de bois !
5.B.1 - L’Église
catholique ne triche pas !, Elle a simplement capté ce qui ne
Lui appartient nullement !
SRC,
paragraphe : Le
correspondant insiste, et la lecture de son site internet m’indique
que l’enjeu porte sur l’interprétation
du passage évangélique : « Ce que Dieu a uni, l’homme ne doit
pas le séparer ! » (Matthieu 19, 6). L’Église
catholique tricherait donc dans sa pratique.
5.B.1.a - En
titre, nous avons dit ‘capter’.
-- Capter :
XV e siècle. Emprunté du latin captare, « essayer
de saisir, de prendre », souvent dans un sens défavorable.
☆ 1.
DROIT . Obtenir par des
manœuvres artificieuses, et parfois
frauduleuses. Capter un bien, un héritage, une donation.
☆ 2.
Chercher à gagner, à attirer, à retenir, le plus souvent par
des manières insinuantes. Capter les suffrages du peuple, la
faveur du public. Capter l’attention de son auditoire. Il a réussi
à capter votre confiance.
Le
Sacrement
de Mariage*
appartient aucunement à l’Église catholique !
Lisons
Léon XIII, répétant Innocent III et Honorius III : C’est
pour cela qu’Innocent
III
(c. 8 de divort.) et Honorius
III
(c. 11 de transact.), Nos Prédécesseurs, ont
pu affirmer sans témérité et avec raison que le sacrement du
mariage existe parmi les fidèles et parmi les infidèles.
Sauf !,
sauf qu’Elle devait en être non le pire ennemi (dans l’énoncé !,
et dans les faits !), mais le Champion*
inconditionnel de Sa défense !, soit de la défense du centre
et de la raison d’être de la Famille : le Chef de Famille,
l’Époux-Père : Le
centre de la famille est le père ; la mère est son associée,
sa subordonnée ; les enfants sont la conséquence, et non le
centre. La femme est pour son époux et non pour les enfants comme
fin première [de la femme].
Pour :
Elle devait en être non le pire ennemi :
Recherchez
aussi : Champion.
5.B.1.b - Dans
son texte le SRC
dit ‘interprétation’ !
Au
passage, vous remarquerez, lecteurs, que le SRC
dit bien interprétation !,
et toute l’escroquerie, la duplicité de l’Église catholique est
là : il faut une interprétation* !,
il faut interpréter*…
Et,
qui
qui est qui est capable, selon eux
d’interpréter ?,
uniquement ceux qu’Elle autorise, soit le ‘Bibi Fricotin’
qui a capté les manettes du Sacrement
de Mariage, ce sont les membres de cette
coterie, les cloaques
d’impureté* !
Ainsi,
tout est bien protégé, bien verrouillé : Malheur
à vous, scribes et pharisiens hypocrites, qui payez la dîme de la
menthe, de l’aneth et du cumin, et qui avez abandonné ce qu’il y
a de plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la
fidélité
[lorsque l’on dit permettre la séparation, l’on est bel et bien
infidèle !].
Il fallait faire ceci, et ne pas omettre cela [soit
pile ce que ce tordu vient de dire : interprétation
du passage évangélique !].
Guides
aveugles, qui filtrez le moucheron, et qui avalez le chameau. Malheur
à vous, scribes et pharisiens hypocrites,
parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et qu’au
dedans, vous êtes pleins de rapines et d’impureté.
Soit
exactement le même discours que la Très-Sainte Vierge Marie (TSVM)
à La
Salette* (reconnu par la véritable Église
catholique !) : les
prêtres sont devenus des cloaques
d’impureté.
Oui, les prêtres demandent vengeance, et la
vengeance est suspendue sur leurs têtes.
Malheur
aux prêtres
et aux personnes consacrées à Dieu lesquelles par leurs
infidélités et leur mauvaise vie crucifient de nouveau mon Fils !
5.B.1.c - Un
seul baptisé constitue à lui seul l’Église catholique.
Réveillez-vous,
lecteurs catholiques, l’Église catholique, c’est vous ! Un
seul baptisé fait, constitue l’Église catholique !, et un
non baptisé peut engendrer un catholique !, donc l’Église
catholique !, lisez :
Le
pape Innocent IV (1243-1254) précisa :
Il
n’est pas nécessaire, pour que le baptême soit valide, que le
baptisant entende ce que veut et ce que fait l’Église, ni même
qu’il sache ou croie que l’Église existe.
Ce
qui revient à dire très précisément : que s’il n’y avait
plus aucun baptisé sur terre, un seul païen peut donner le baptême
à un autre païen : Le
ministre du baptême doit être distinct de celui que le reçoit :
autre est celui qui est baptisé, autre est celui qui baptise .
Pour :
un seul païen peut donner le baptême à :
Un
seul païen, comme vient de le rappeler Le pape Innocent IV saint, ne
connaissant même pas l’Église, et donc pas sa doctrine : ce
que veut et ce que fait l’Église, ni même qu’il sache ou croie
que l’Église existe !
Et
encore !, l’on pourrait pousser encore plus loin le
raisonnement en parlant du baptême de désir, alors, un seul païen
peut par désir (re)donner vie à l’Église !, et ainsi donc
il (re)donne vie à l’Église catholique.
Nous
rappelons la formule de baptême que tout un chacun devrait
connaître : Je
te baptise, Pierre [Marie, etc.], au nom du Père et du Fils et du
Saint-Esprit. ce, en versant de l’eau en
traçant en un même geste sur la personne, de préférence sur la
tête, le signe de la Croix.
Pour :
ce, en versant de l’eau :
Un
tout petit peu d’eau suffit !, elle peut être sale, venant du
caniveau...
Notre
Légitime
contradicteur* nous demande de bien préciser
ceci : « Dites bien à vos lecteurs : ‘N’ajoutez
pas ainsi
soit-il !’ » En effet, et Il a
bien raison, Il dit que le ainsi
soit-il est un souhait : que cela soit
ainsi ! Or, de dire ceci serait mettre en doute l’effet !,
baptisez-vous, oui ou non ?, alors baptisez sans douter de
l’effet !
Et,
s’il n’y avait pas d’eau !, dans le désert par ex….,
revoyez ce que nous disions ci-avant du baptême de désir !
5.B.2 - SRC :
Il ne faut pas tout confondre, ne pas tomber dans la confusion.
SRC,
paragraphe : Je
crois qu’il
ne faut pas tout confondre.
Nous reviendrons peut-être sur la lecture de l’Écriture Sainte
que tout catholique doit faire « en Église ». Quel est l’enjeu
du passage évangélique cité ? Précisons le sens des mots sous
peine de tomber dans la confusion.
Et
c’est ce loup*
caché sous ses vêtements
de brebis* qui nous dit qu’il
ne faut pas tout confondre, ne pas tomber dans la confusion !
Gardez-vous
des faux prophètes qui viennent à vous sous des vêtements de
brebis, mais au dedans sont des loups rapaces.
Avec
votre ‘En
Église’, c’est signé !, vous puez,
cloaque
d’impureté*, de l’odeur des égouts
dudit Vatican II.
Nous,
nous nous arrêtons aux textes antérieurs au Vatican de Lui, du
Prince des ténèbres (Voir : fumées de Satan). Lisez
2000
ans de complots contre l’Église
que vous trouverez à notre page Livres
& sources.
Mais
aussi, nous dénonçons bien effectivement les errances antérieures
de cette Église catholique, ce, dans le cadre de notre
avertissement : Au sujet de nos attaques véhémentes de l’Église catholique.
Eh
bien !, vous allez voir avec nous qui confond tout, qui est
tombé dans la confusion :
5.B.3 - Alors
les pharisiens s’approchèrent de Lui pour Le tenter !, là
est la Vérité.
SRC,
paragraphe : Jésus
est interrogé
sur la question de la répudiation (« apoluô », « délier » en
grec). La loi mosaïque, et c’est bien là le débat, permettait
une répudiation (Deutéronome 24, 1) dans certaines conditions.
Cette « séparation » (Matthieu 19, 6 – traduction de la Bible de
Jérusalem) est l’équivalent de notre divorce avec remariage. Pour
Jésus, c’est un adultère. La Loi de Dieu (Genèse 10) l’emporte
sur l’accommodement juridique des hommes. Voilà pourquoi l’Église
catholique n’accepte pas le remariage, fidèle à la parole du
Christ et à la pratique traditionnelle. On l’a dit, elle permet
une « séparation » des
époux en cas de risque pour les personnes.
5.B.3.a - Pour
commencer, le SRC,
vicieusement, place une confusion.
Il
dit, ce pervers : Jésus
est interrogé sur la question de la répudiation
[…] permettait une répudiation
[…] dans certaines conditions. Puis, et
c’est là qu’il glisse tout doucement afin de vicier le débat,
il poursuit en disant Cette
« séparation
».
Pervers
de SRC,
il s’agissait d’une répudiation,
d’un renvoi,
d’un divorce ;
et vous, pervers, en douce, pour les besoins de votre tromperie, de
votre dialectique, vous passez subrepticement de
répudiation-renvoi-divorce
à séparation,
vous faites un glissement de divorce
à séparation !
Divorce
et séparation !,
sont bien effectivement tous deux des crimes !, le premier est
un crime réalisé sans subterfuge, le second est le même crime,
mais réalisé hypocritement !, d’une certaine façon, l’on
pourrait dire que le second est pire que le premier qui lui avance
non masqué…
Mais
dans le piège (‛question’ selon la tromperie de SRC,
voir ensuite) tendu à NSJC il faut bien garder en vue qu’il est
question de répudiation-renvoi-divorce !
Mais
continuons, car vous êtes bien loin d’en être resté là !
5.B.3.b - Le
SRC
‘confond’ : il ne s’agit pas d’une question, mais d’un
piège !
Non !,
ce n’est pas nous qui semons la confusion, comme vous le disiez,
mais bien le SRC ;
en effet Notre Seigneur Jésus-Christ (NSJC) n’est pas interrogé
comme vous le dites si malicieusement : Jésus
est interrogé.
L’erreur
à laquelle on ne résiste pas,
on l’approuve,
et la vérité
que l’on ne sert pas,
on l’opprime
La
Vérité est celle-là : des pharisiens
s’approchèrent de Lui pour
Le tenter ;
et ils Lui dirent : Est-il permis à un homme de répudier
sa femme pour
quelque cause que ce soit ?,
nuance !, le SRC !
Par
cette désinformation par oblitération (substitution malicieuse de
mots : ‛tenter’ devient ‛questionner’ !), vous
cherchez à faire passer ce qui suit pour une simple inquiétude de
gens simples ayant le cœur simple, et posant respectueusement une
question simple demandant une réponse simple !
Ces
hypocrites viscéraux voulaient piéger NSJC ! Ces pharisiens,
race
de vipères,
qui n’entrerez
pas dans le royaume des Cieux,
tinrent
conseil contre Lui, sur les moyens de Le perdre,
ils étaient venus pour
Le tenter, Le piéger !
Jésus
est interrogé, dites-vous !, menteur !,
Il est tenté !, l’on cherche à le piéger !, voilà la
Vérité !
Il
est nécessaire de bien garder à l’esprit que la question est
piégée !, elle a un tiroir secret, elle est là uniquement
pour
Le tenter !
5.B.3.c - Notre
analyse antérieure de cette question de pharisien.
Où
notamment nous écrivions :
Ainsi,
la question de ces pharisiens est ‘peut-on divorcer ?’,
n’est-ce pas ?, et que répond NSJC ? Il répond tout de
suite à la deuxième question qui n’aurait pas manqué de venir si
Il S’était contenté de dire non à la première : alors
peut-on se séparer ? Et que répond-donc
NSJC ? Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
donc pas !
Ainsi
donc, à la première question ‘peut-on divorcer’, NSJC répond
immédiatement à la deuxième allant venir : que
l’homme ne le sépare
pas !
5.B.3.d - Notre
complément d’analyse, pour vous SRC :
Ainsi,
en Vérité, cette (donc seconde) réponse, Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
donc pas, vient répondre à la (donc
première) question-piège-tentation qui finissait ainsi : pour
quelque cause que ce soit !
Reprenons,
NSJC répond bien en Vérité !, soit Oui,
oui ; Non,
non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal.
NSJC
répond à la question cachée le tiroir dans la 1ère :
→ Q :
Est-il
permis
à un homme de se séparer
de sa femme
pour
quelque cause que ce soit ?
→ R :
Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
donc pas !
Alors,
devant chercher la Vérité, s’impose à nous ceci :
→ Q :
L’église ne pouvant ni Se tromper, ni nous tromper, comment se
fait-il qu’Elle dise que l’on peut se séparer alors qu’Elle ne
peut qu’obéir à ce que Lui dit son Époux, NSJC, soit en ce qui
nous préoccupe actuellement : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
donc pas ?
→ R :
C’est fort simple, c’est que ce n’est pas l’Église, mais des
Hommes d’Église, ou l’Église cléricale, réunis en assemblée
plénière avec Pape en tête qui répondait à une question hors de
leur compétence et qui de plus était déjà bel et bien résolue
tout différemment qu’Eux par NSJC : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
donc pas !
Répétons-nous,
nullement inutilement :
Les
pharisiens sont venus pour
Le tenter, et pour ce ils posent à
NSJC la question : peut-on répudier
(donc divorcer de) sa
femme pour
quelque cause que ce soit ?
Or,
sachant tout, et ce hors du temps
soit dans le présent, NSJC savait très bien que Son Église allait
se ‘pencher’ sur la question : Peut-on se
séparer ?, dans certains cas,
est-il toujours ajouté très hypocritement ; pour jouer sur le
levier féministe de l’émotion à pas cher ! Et, NSJC Lui
répondit : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
donc pas !
Pour
complément, (re)voyez :
5.B.3.e - Vous,
du SRC,
vous faites le même glissement que les pharisiens.
Pervers,
vous avez écrit : Voilà
pourquoi l’Église catholique n’accepte pas le remariage, fidèle
à la parole du Christ.
Remariage ?,
dites-vous, fidèle
à la parole du Christ !, vous jouez
carrément à l’idiot !, où voyez-vous que NSJC autorise ou
non le remariage ?
NSJC
ne parle pas de remariage !,
il parle de séparer !,
nous !, nous avons lu séparer !,
et c’est séparer
qu’Il a interdit !
Ainsi
donc l’Église doit rappeler que : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
donc
pas !,
et ce pour
quelque cause que ce soit !
5.B.3.f - Soumise
à son Époux et en toutes choses…
Tous
les catéchismes disent, tous les prêtres, et ce du dernier au
premier, tous en cœur, et résumé ainsi : La
femme doit obéir en toutes choses, sauf
bien entendu…,
soit exactement ce que vous avez écrit aussi : en
cas de risque pour les personnes. Mensonges !
Menteurs !,
voici ce qu’a dit NSJC : Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal.
Et
eux disent toujours, comme vous le verrez en toute notre étude (voir
ensuite une liste à lire) : oui,
mais non !, ou non,
mais oui !, par exemple :
→ La
femme doit obéir en toutes choses à son Époux
[le oui],
sauf
bien entendu [le mais
non]…
→ Premier
réponse du SRC
résumé ainsi : L’on
ne peut pas se séparer [le non],
sauf si les êtres faibles (épouse ou enfants) sont en danger
[le mais
oui !]…
Ces
réponses viennent bien du mal, de Lucifer !, du Malin, car
contenant le oui
mais non !, ou non
mais oui !
Pour
compléter, (re)voyez :
→ Plus
particulièrement : idem ci-dessus ; point DP-6C2e, Où
nous voyons encore plus l’escroquerie et la perversion d’Hommes
d’Église !
Il
est impossible de réécrire chaque fois tout !, aussi, soit
vous cherchez à comprendre, ou soit abandonnez-vous au démon !
Si
vous cherchez à comprendre il vous faudra bien lire :
Où
vous verrez clairement que :
→ La
femme fut engendrée par l’Homme, et qu’elle fut faite asservie à
la volonté et à la jouissance de l’Homme ; et non pour
Dieu ! Comme fin première il s’entend, Dieu, sa fin dernière,
elle ne peut L’atteindre en sautant ou violant la première !
→ La
femme ne ressemble pas à Dieu, elle n’est pas Sa Gloire ;
elle ressemble à l’Homme dont elle est Sa gloire ; elle n’est
pas pour Dieu, elle est pour l’Homme.
→ La
femme n’est pas asservie à Dieu, mais à l’Homme contre
l’Autorité duquel (Époux, Père, Frère) Dieu ne peut rien ! ;
Dieu ne violera jamais l’Autorité de l’Homme, par contre Il
sanctionnera l’Homme fautif, et parfois dès ici-bas !
Pour :
par contre Il sanctionnera :
Sanctionner :
récompense ou punition, l’on dit couramment Dieu est rémunérateur.
--Sanctionner,
verbe transitif, définition :
Confirmer
quelque chose, lui apporter une consécration officielle ou quasi
officielle : Sanctionner les propositions d'un médiateur.
Réprimer
une infraction, une faute, les punir par une sanction, une pénalité
: Une loi sanctionne ce genre d'infractions.
→ C’est
la femme qui a péché, et c’est pour cela qu’elle doit Lui être
encore plus durement asservie ; il s’en suit que si elle
ressent durement l’Autorité de son Époux, cela vient de la
punition qu’elle doit souffrir.
→ La
femme n’est pas asservie, et ce en quelque chose que ce soit, à
l’Église, contrairement à l’Homme, baptisé, et ce dernier que
dans une certaine mesure.
→ La
femme est l’unique responsable d’une mésentente dans le foyer,
ce qui est du reste confirmé par Saint Pierre : Honorez
tous les hommes ; aimez vos frères, craignez Dieu, honorez le
roi. Serviteurs [donc encore plus servante],
soyez soumis en toute crainte à vos maîtres ; non seulement à
ceux qui sont bons et humains, mais aussi
à ceux qui sont difficiles.
Car c’est
une grâce d’endurer des peines et de souffrir injustement,
par motif de conscience envers Dieu.
[…] Que
les femmes soient pareillement soumises à leurs maris, afin que, si
quelques-uns ne croient pas à la parole, ils soient gagnés sans
parole par la conduite de leurs femmes, lorsqu’ils verront votre
conduite chaste et respectueuse.
Ainsi donc, si l’Époux n’est pas gagné, c’est que l’épouse
est insoumise, impieuse* !,
etc.
→ La
femme n’est malheureuse que parce qu’elle manque de religion, de
religiosité : Cette
femme qui est méprisée de son mari
n’est donc pas malheureuse dans son état parce qu’elle est
méprisée, mais parce
qu’elle ne connaît pas sa religion,
ou parce qu’elle ne pratique pas ce qu’elle lui ordonne.
Apprenez-lui sa religion, et, dès que vous verrez qu’elle
pratiquera, elle cessera de se plaindre et de se croire
malheureuse !
→ Etc.
5.B.3.g - La
séparation vue coté femme !
Elle
est la seule (80%*+20%* !)
à mettre le bazar dans le foyer, voici rien qu’un texte entre des
centaines d’autres : La
décadence touche les meilleures familles. Deux familles identiques :
l’une est paisible, l’autre est difficile. Un
seul responsable mesdames, je suis désolé, c’est la femme,
l’épouse, la mère.
Elle
est la seule (80%*
directement +20%*,
indirectement, par harcèlement , etc.!) à demander la
séparation-divorce*,
ce n’est qu’elle qui y a ‘intérêt’.
Et
toujours par révolte, elle vole de plus les enfants qui ne lui
appartiennent nullement, et ce selon Dieu ! (ou ladite dame
nature* pour les essentiellement
négationnistes*), et ce ni de près, ni de
loin !
La
demande de séparation auprès de l’Église est :
1) une
fornication avec le prêtre ;
2) un
viol du Sacrement de Mariage ;
3) un
viol de l’Autorité la plus haute et la plus complète sur terre :
l’Époux ! ; etc.
Pour
complément, lisez donc !, lisez les
renvois que nous vous donnions ci-dessus : DP-03 à 09 ; ou
sinon…, taisez-vous et damnez-vous !
5.B.3.h - La
séparation vue du côté de l’Époux !
Nous
vous avons toujours parlé
sans aucune langue de bois !
Point
besoin de l’Église, sachant toutefois que l’État et l’Église
doivent (devraient) appuyer le bras séculier de l’Époux !,
pour que l’Époux se ‘sépare’ de Son épouse revêche !
Si
l’épouse n’est pas sage, si elle ne plie pas de bonne grâce,
alors, l’Époux remonte ses manches héroïquement et corrige de
main de Maître la récalcitrante ! (Saint
Thomas Apôtre*, Saint
Augustin*, Saint
Jean Chrysostome*, etc.)
Il
peut indifféremment, mais de préférence modérément : la
fouetter ; la priver des sacrements ; la mettre au cachot ;
l’enchaîner ; la mettre au pain sec et à l’eau claire (ne
la privez pas de nourriture, il faut qu’elle puisse servir !) ;
etc.
Et
ainsi, l’Époux peut S’en ‘séparer’, sans se séparer de Sa
légitime jouissance ! En la mettant au cachot, cette
‘séparation’ a un très grand avantage, c’est que la révoltée
a le temps de méditer, et, que l’Époux n’est pas privé de
l’honnête jouissance de Son épouse, voyez-vous, sur une paille
fraîche…
Pour
les autres jouissances, un anneau au centre de la cuisine et 3 à 5
mètres de chaîne permettront la préparation de petits plats.
Un
boulet, que de temps à autre l’Époux devra déplacer, permet de
fixer l’épouse à son devoir d’état du moment : faire le
ménage et les lits, épousseter, ravauder, etc.
Lorsque
la sortie de classe est là, il suffit de ranger la récalcitrante,
afin qu’elle ne contamine pas les jeunes enfants : à la
cave ; et le cas échéant sous la bonne garde des aînés,
encore donc faut-il qu’Ils soient sainement élevés ; et, que
jamais les aînées
ne viennent à s’approcher de la punie !, méfiez-vous de
ladite solidarité féminine toute luciférienne !
Ainsi
donc, l’Époux peut très aisément se ‘séparer’ de son
épouse, tout en gardant toute la légitime jouissance de celle-ci !
Ce
régime de correction, de redressement, peut durer le temps que seul
l’Époux le juge nécessaire.
Garantie
sur procédé : une agnelle
vous mangeant dans la main et vous baisant très respectueusement,
très amoureusement, est garanti !, seul le délai d’obtention
de ce beau tableau dépend du degré de révolte du sujet et de la
détermination du Maître.
5.B.3.i - Église
et État, main dans la main, complices de la luciférienne
féminisation de nos sociétés !
Attention !,
nous n’entendons pas qu’il y ait une féminisation chrétienne !,
une féminisation qui serait bonne !
La
féminisation est essentiellement luciférienne, elle ne peut qu’être
luciférienne !, elle est intrinsèquement perverse, elle
commença lorsque lâchement, au lieu de la corriger, Adam laissa la
femme (Ève) qui cherchait à être ‘intelligente’ s’approcher
de l’arbre où se trouvait le Serpent !, Lucifer.
Cette
féminisation ne peut être partielle, même qu’à 0,01% c’est
100% de féminisation !, c’est Oui,
oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal.
Un
Époux qui interroge Sa toute belle et amoureuse épouse humblement
prosternée à ses pieds afin de savoir ce qui lui plairait, ce n’est
pas de la féminisation !, comprenne qui veut bien comprendre !
5.B.3.j - Église
et État féminisés, tuent tous les jours ; le Patriarcat,
jamais !
Ce
titre parodie le fameux slogan de la garce de Benoîte
Groult* : Le
féminisme n’a jamais tué personne, le machisme tue tous les
jours.
Lisez
les médias, débouchez vos oreilles qui ne veulent plus entendre,
décillez vos yeux qui ne veulent pas voir la Vérité, ce n’est
que cela, et ce résumé par la toute dernière affaire : un
pauvre Suisse Matthias Schepp, victime de la trahison de Son épouse,
dont les complices objectifs, et même prégnants, sont l’État et
l’Église, a récupéré, et non volé ou enlevé, comme de Droit
Ses propres
enfants*,
et prévoyant ce qu’on Lui réservait, au lieu de faire
héroïquement front, tua (semble-t-il) Ses deux filles, Alessia et
Livia, puis se suicida.
Vous
pouvez voir la mère scandaleuse et triplement homicide se pavaner,
et dire ‘mes enfants’, alors qu’à aucun titre, une fois peu ou
prou détachée de son Époux, elle ne peut dire la chose, en effet,
et dans le sens le plus exacte et exclusif de terme, les enfants
n’appartiennent qu’au Père : Matthias
Schepp !
→ Oui,
l’Église est responsable au tout premier chef devant Dieu et les
Hommes de l’assassinat par la mère de son Époux et des enfants de
celui-Ci !
→ Oui,
l’État est responsable au tout premier chef aussi devant Dieu et
les Hommes de l’assassinat par la mère de son Époux et des
enfants de celui-Ci !
→ Oui,
l’épouse est responsable au tout premier chef aussi devant Dieu et
les Hommes de l’assassinat de son Époux et des enfants de
celui-Ci !
→ Oui,
cet Époux, au lieu d’aller à une telle extrême, aurait pu
supporter l’insupportable, et offrir à Dieu ses souffrances ;
tout en Lui réclamant en Ses prières bien haut et fort Sa toute
Justice vengeresse.
Pour :
et offrir à Dieu ses souffrances :
5.
Bienheureux ceux qui pleurent, car ils seront consolés.
6.
Bienheureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront
rassasiés.
10.
Bienheureux ceux qui souffrent persécution pour la justice, car le
royaume des Cieux est à eux.
11.
Bienheureux serez-vous lorsqu’on vous maudira, et qu’on vous
persécutera, et qu’on dira faussement toute sorte de mal contre
vous, à cause de Moi.
12.
Réjouissez-vous alors, et tressaillez de joie, parce que votre
récompense sera grande dans les Cieux ; car c’est ainsi qu’on
a persécuté les prophètes qui ont été avant vous.
Pour :
bien haut et fort Sa toute Justice vengeresse :
5.B.4 - Un
paragraphe sans importance.
SRC,
paragraphe : On
ne peut donc pas honnêtement confondre…,
du blablabla !
5.B.5 - La
bêtise crasse ?, non, la malhonnêteté intrinsèque du SRC !
SRC,
paragraphe : Si
on poussait à fond la logique de l’interlocuteur, la « séparation
» des époux, les empêchant de vivre sous le même toit, pour des
motifs légitimes de travail, de maladie,
de guerre, etc. serait peccamineuse. C’est absurde.
Non !,
tordu(s) du SRC,
vous n’avez pas poussé
à fond votredite logique !,
en effet, un bon tordu comme vous aurait dû écrire à ce
compte-là : « du premier moment où l’Époux connaît
Sa jeune épouse, Il ne pourrait plus jamais s’en retirer sous
peine de pratiquer ainsi une séparation
de corps* et donc de désobéir à NSJC qui a
dit : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point. »
Oui,
le SRC,
c’est
absurde, en effet ce que vous dites !,
mais pire, c’est vicieux, tordu au plus haut point !
Il
faut vraiment être vicieux pour avoir écrit ce que vous avez
écrit : des
motifs légitimes de travail, de maladie, de guerre, etc.
Les
motifs
légitimes de travail, de maladie, de guerre, etc.,
n’ont jamais empêché la cohabitation
habituelle de l’épouse dans la
Maison de son Époux, là où celui-Ci est sûr de la retrouver
lorsqu’Il rentre de Son devoir d’état, en l’espérance
qu’il a des soins que sa femme prendra de lui à son retour…
comme de se déchausser devant un bon feu, de se laver les pieds,
d’avoir chausses et souliers frais, d’être bien repu, bien
abreuvé, bien servi, bien obéi, bien couché en blancs draps avec
couvre-chef blanc, bien couvert de bonnes fourrures et
rassasié des autres joies et ébattements, privautés, amour, et
secrets dont je me tais.
Et le lendemain, chemise et vêtements nouveaux.
5.B.6 - Il
y a bien, comme démontré ci-dessus, opposition frontale !
SRC,
paragraphe : Il
n’y a donc pas opposition
entre l’enseignement
de Jésus
et la pratique
de l’Église catholique.
Sauf à
ce que l’on démontre le contraire.
Le
SRC
a le culot de dire cela, alors que l’Église dit pouvoir permettre
la séparation
ce en opposition à ce qu’a dit NSJC : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point.
Nous
avons largement prouvé, démontré
le contraire, oui en ce point, « l’Église »
est bel et bien opposée à son Époux, NSJC ; par contre, et
c’est ce que nous disons dans tous nos documents, ce n’est pas
l’Église catholique, à qui le Sacrement de Mariage n’appartient
nullement, qui a dit cela, mais les Hommes d’Église !, et ce
depuis plus de 1’000 ans…
Le
jour où la Justice divine va éclater, le jour des vengeances du
Seigneur Dieu, où les comptes vont se régler rien qu’en ce qui
regarde le Sacrement
de Mariage*, de l’Autorité
absolue* de l’Époux-Père*
sur Sa Famille, et certainement dès ici-bas !, cela va
saigner !
Et
vous, les pervers du SRC
et compagnie, les intrinsèquement pervers devrions-nous dire, ou
cloaques
d’impureté* comme disait la TSVM à La
Salette*, ce comme tous les Hommes d’Église ;
tous les Hommes de tous les rouages d’État plus ou moins
impliqués ; tous les lâches qui ont dénoncé ou applaudi ou
approuvé au lieu de secourir ces pauvres Époux ; tous les
médias qui ont lessivé les cerveaux ; tous ceux qui
soutiennent ou pratiquent peu ou prou et de près ou de loin ladite
libération de la femme ; tous les autres complices de tous
genres ; etc., etc., etc. ; vous ne pourrez pas dire :
nous
ne savions
pas, nous ne pouvions pas savoir…
Oui !,
Les
maris sont animés d’un zèle ardent contre ceux qui chercheraient
à leur disputer le cœur de leur femme, qu’ils veulent posséder
exclusivement et tout entier.
(Saint Augustin, Évêque d’Hippone, Docteur et Père de l’Église).
♣
Chers amis chrétiens
RépondreSupprimerJe voudrais partager avec vous deux situations dans lesquelles je me suis trouvée la semaine dernière afin que chacun et chacune puisse réfléchir à la mentalité qui est inculquée à la femme actuelle que je résumerais en quelques mots : victimisation systématique d'elle-même, auto-suffisance et mépris du sexe opposé.
Par deux fois je me suis surprise en train d'écouter une conversation à la caisse de deux magasins différents.
La première fois , j'étais passée à la caisse et finissais de ranger mes articles dans le caddie quand arrive un homme âgé poussant une poussette avec un bébé de quelques mois. Cet homme voulant faire un peu d'humour déclare que son petit fils est à vendre car les temps sont durs mais qu'il ne trouve pas preneur car , dit-il avec un sourire " un enfant c'est plus vite fait que vendu !". A quoi la caissière répond en gros "vite fait , c'est vite dit car il faut le porter pendant neuf mois et puis le mettre au monde" et continue de se lamenter en lançant des piques à tous les hommes : "on voit bien que c'est pas eux qui les portent et surtout qui accouchent ,de toute façon ça risque pas vu que le moindre bobo pour eux ,c'est la fin du monde ...alors un accouchement ,ils ne supporteraient pas les pauvres "...
La différence qu'il y avait entre la caissière et le client c'est que la caissière elle ne faisait pas d'humour ,elle était au contraire très sérieuse.
C'est tout de même curieux que la femme actuelle en est arrivée à croire qu'elle a toujours souffert plus que l'homme . Certes , l'accouchement est une torture (et encore ,il est apaisé par les techniques modernes) mais qu'en est-il de tous les hommes morts sur les champs de bataille ,qui trimaient et triment encore dans les mines ,dans les hauts fourneaux ,qui étaient enrolés de force dans les armées royales ,les forçats ,les bagnards ,les SDF actuels ,les chômeurs (grace à l'arrivée massive des femmes sur le marché du travail et aux stratégies des grands groupes bulldozers) ,des garçons ,enfants-soldats , dans les pays du tiers monde qui portent des armes dès le plus jeune âge au lieu d'étudier , de tous les gamins privés de père (par toute la débauche et la destruction du mariage) qui grandissent dans la révolte et l'instabilité et finissent sans foi ni loi dans la délinquence ?
C'est bien curieux que face à toute cette misère masculine ,la femme ne sache se concentrer que sur son ventre ... Qu'en pensez-vous ?
.../...
…/...
RépondreSupprimerLa deuxième fois ,
Je mets mes articles sur le tapis de caisse et me surprends une fois de plus à écouter une conversation entamée entre une cliente âgée et la caissière . J'entends que cette dernière parle de "tester la marchandise avant de l'adopter". Je croyais bien entendu qu'elle parlait de biens de consommation courante mais quelle ne fut pas ma surprise quand tendant un peu plus l'oreille je compris qu'elle parlait des...hommes !!!!! Et elle continuait en disant qu'il ne fallait pas se marier avant d'avoir testé l'objet en question ,et qu'elle -même avait dit à sa future belle -mère éventuelle que si son fils ne lui plaisait pas ,elle lui retournerait la marchandise. J 'étais sidérée d'entendre cela d'autant plus que la vieille femme approuvait totalement (pourtant une femme âgée devrait donner l'exemple ...). Pas étonnant qu'autant de divorces viennent des femmes avec une telle mentalité .
Je me suis fait cette réflexion d'autant qu'on venait de nous bassiner une fois de plus aux infos avec la journée de la femme (inventée par ce cher Lénine ...) et toutes ces sornettes de femmes objets dans les pubs et les magazines afin de continuer le travail de sape entre les sexes : comment se fait-il que les femmes osent se plaindre d'être soi-disant considérées comme des objets par les hommes alors qu'elles -mêmes en parlent comme de la marchandise ??? Je peux même vous citer un article paru il y a quelque temps dans un magazine féminin intitulé : "RECYCLONS nos ex , ils peuvent encore servir" . Recycler les hommes comme on recycle de vulgaires bouteilles en plastique ????... je finirais presque par croire qu'il n'y a plus la moindre once de moralité naturelle chez la femme actuelle . C'est effrayant.
Je vous souhaite le meilleur à vous et à tous vos collaborateurs.
Que le Seigneur vous accompagne et vous entoure de sa grâce en ses temps si sombres .
Tous unis dans la Justice , l'Amour et la Vérité.
Isabelle
Dame Isabelle, salutation à votre Époux !
RépondreSupprimerEncore une fois, nous venons d’agréer sans aucune hésitation un de vos commentaires ; pour lui soyez remerciée...
Nous allons lui répondre, directement ou indirectement.
Que le Bon Dieu bénisse votre Époux, et par Lui, vous-même et Ses enfants...
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Dame Isabelle, salutation à votre Époux !
RépondreSupprimerNous venons, comme annoncé, de répondre à votre commentaire : RH-2011-01, Sieur Ferdinand, oui !, bien vraiment, loin de Leurs Hommes, elles ne sont rien !
Adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2011/04/rh-2011-01-sieur-ferdinand-oui-bien.html
Que le Bon Dieu bénisse votre Époux, et par Lui, vous-même et Ses enfants...
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Nous avons lu le sermon du Saint Curé d’Ars de ce jour, vous verrez que ceux qui disent, comme ce pervers de ci-dessus, l’abbé Hervé Courcelle Labrousse cloaque d’impureté qui a dit : « Il existe des situations où, objectivement, le conjoint et les enfants sont en danger si la vie commune persiste. Danger moral ou matériel, peu importe. », que l’épouse peut se séparer de son Époux pour sauver son Âme (ou son corps) sont des assassins d’Âmes (et de corps)...
RépondreSupprimerLisons, en transposant (les accolades sont de nous!) :
Voulez-vous, M.F., savoir ce que sont les chrétiens de nos jours ? Écoutez-moi, le voici. Si deux personnes [comme les époux au premier chef donc!] qui sont ensemble sont de même humeur, de même caractère, ou bien ont les mêmes inclinations, vous les voyez s’aimant bien, vivre ensemble ; ce n’est encore pas difficile. Mais, si l’humeur ou le caractère ne s’accordent pas ; il n’y a plus ni paix, ni amitié, ni charité, ni prochain. Hélas ! M.F., ce sont des chrétiens qui n’ont qu’une fausse religion : ils n’aiment leur prochain [Époux, selon notre transposition] qu’autant qu’il est de leur inclination, et qu’il entre dans leurs sentiments et leurs intérêts ; autrement, l’on ne peut plus se voir, se souffrir ensemble : il faut se séparer [séparation-divorce donc], dit-on, pour avoir la paix et sauver son âme. Allez, pauvres hypocrites, allez, séparez-vous de ceux qui ne sont pas, dites-vous, de votre caractère, et avec qui vous ne pouvez pas vivre ; vous ne vous éloignerez pas aussi loin d’eux que vous l’êtes de Dieu. […] Allez, pauvres aveugles, priez, faites pénitence, assistez bien aux offices, fréquentez les sacrements, tous les jours, si vous le voulez ; donnez tout votre bien à ceux qui vous aiment, vous ne laisserez pas que d’aller brûler à la fin de votre vie ! […] Il faut se quitter, il faut se séparer pour avoir la paix, dit-on. Ô mon Dieu ! que de chrétiens se damnent par le défaut de charité ! Non, non, M.F., quand vous feriez même des miracles, vous ne serez jamais sauvés, si vous n’avez pas la charité. Non, M.F., ce n’est pas connaître sa religion ; ce n’est avoir qu’une religion de caprice, d’humeur et de penchant. Allez, allez, vous n’êtes que des hypocrites et des réprouvés ! Sans la charité, jamais vous ne verrez le bon Dieu, jamais vous n’irez au ciel !…
Source : Tome troisième, 12ème dimanche après la Pentecôte, I, sur le premier Commandement de Dieu.
Vous trouverez le livre en notre page Livres & sources (http://restaurationdelafamille.blogspot.com/p/livres-sources-utilisees-aidez-nous_18.html)
Veuillez nous excuser !
RépondreSupprimer-> Ci-dessus, en fin, nous avons mis la source : Tome troisième, 12ème dimanche après la Pentecôte, I, sur le premier Commandement de Dieu.
-> Veuillez avoir l'obligeance de lire : Tome troisième, 12ème dimanche après la Pentecôte, III, sur l’amour du prochain.
Le reste est exact, merci pour votre indulgence...