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19.03.2009, existe
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Actualisé : mar. 7 août 2018,
08.17.
Table
de ce chapitre de notre Document
principal, DP-…
10
- Les épreuves,
tribulations et afflictions, l’Espérance (I).
10.A.1.a
- Sujet de ce
chapitre : Les épreuves, tribulations et afflictions,
l’Espérance (I). 605
10.B
- Non non, je ne
divorce pas, je me sépare ! 606
10.B.3
- La question est,
est-il donc permis de se séparer ? 609
10.B.3.b
- Quelle
Personne, de ce Dieu d’Amour, a uni les époux ? 611
10.B.3.c
- Ce que Dieu le
Père a uni, que l’homme ne le sépare point ! 612
10.B.3.d
- Dieu le Père
engendre, l’Esprit uni, et le Fils règne ! 614
10.B.3.e
- La séparation
des époux, un péché qui ne sera jamais remis ! 615
10.B.3.f
- Précision
très importante au sujet du : Non serviam mon Pape ! 620
10.C
- L’Église
catholique et ladite séparation matrimoniale… 627
10.C.1
- L’Église,
peut-Elle permettre la séparation matrimoniale ? 627
10.C.2
- L’Église,
permet-Elle la séparation matrimoniale ? 627
10.C.2.e
- Où nous
revenons à la constitution du Sacrement de Mariage. 632
10.C.3
- Voici, Je vais
faire toutes choses nouvelles… 634
10.C.3.d
- Le stade final
de la déliquescence de toutes les sociétés. 638
10.A - Propos
préliminaires.
Ce
présent chapitre est confié à Saint Joseph, Chef de la
Sainte-Famille, Patron et soutien des Chefs de Famille…
10.A.1.a - Sujet
de ce chapitre : Les
épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I).
– L’hypocrisie
de la séparation, ‘alternative’ au divorce
– L’Église
et la séparation matrimoniale, Elle l’interdit !
Ce
que Dieu a uni,
que l’homme ne le sépare donc pas.
Oui,
tout tourne autour d’une révolte, d’une immense hypocrisie en ce
qui regarde la destruction de la Famille : la
séparation-divorce !
Maintenant
donc nous allons dénoncer plus particulièrement la
séparation-divorce et révéler les
principaux instigateurs de cette destruction en tête de qui se
trouve essentiellement, ô douleur pour l’Époux et les enfants :
l’épouse !
10.B - Non
non, je ne divorce pas, je me sépare !
Dans
le monde, il y a belle lurette que l’on divorce allégrement !
Mais
dans certains milieux dits ‘pures’, ‘craignant Dieu’ qu’ils
disent, et donc par là contraints et forcés de maintenir une
façade, de garder le masque, ne pouvant ‘malheureusement’ pas
divorcer, on a inventé un mot-paravent d’une parfaite hypocrite :
la ‘séparation’.
Dans
ces milieux, même les plus traditionnels, qu’ils disent, tel celui
de la Trahition,
l’on connait bien ce terme, et l’on joue allègrement sur une
distinction que l’on prétend exister entre divorce
et séparation,
ou divorcer
et se
séparer.
Ainsi,
et toute honte bue, plein d’hypocrisie l’on dit : Non
non…, je ne divorce pas car c’est interdit par l’Église, mais
je me sépare de mon Époux car Elle le permet !
C’est chaque fois le même refrain que nous entendons, et même
répété par des prêtres des sectes FSSPX
et consœurs, même par les quatre fripouilles en chef de celle-ci,
les Mgrs Alfonso de Galarreta et Bernard Fellay, Bernard Tissier de
Mallerais et Richard Williamson :
l’Église
interdit le divorce, mais permet la séparation !
10.B.1 - Qu’est-ce
donc que le divorce ?
Le
divorce, en ce qui regarde le Mariage, inutile de le définir plus
que cela car tout le monde le sait : il est le prétendu
anéantissement du lien matrimonial.
Le
divorce est impossible, vu qu’il revient purement et simplement à
tronçonner
un seul et même corps Époux-épouse en deux ! De fait oui,
l’on aurait anéanti le lien du Mariage car en effet ce lien ne
subsiste pas à la mort d’un des deux époux, mais l’on aurait
rien arrangé car nous n’aurions au sol que deux moitiés d’un
même cadavre, un même corps fendu de par le haut ou
transversalement ! Mais comme personne ne s’aventure à lancer
le moteur de la tronçonneuse et à passer effectivement à l’acte,
alors le lien subsiste : pas moyen de s’en, le conjoint,
séparer !
Aux
Hommes, Époux, Chefs de Famille qui, tout en étant pour le divorce
en général, déploreraient celui qu’Ils subissent, même
peut-être très amèrement, voici la sentence de Jésus-Christ,
leurs dit :
Vous
m’avez méprisé pendant votre vie, vous vous êtes raillés
de mes lois, mais maintenant que
vous voulez avoir recours à moi, que vous me cherchez, je
vous tournerai le dos pour ne pas voir vos malheurs ;
je me boucherai les oreilles
pour ne pas entendre vos cris ; je
m’enfuirai loin de vous, crainte de me laisser toucher par
vos larmes.
On
ne peut soutenir l’œuvre du Malin, ‘défendre’ le ‘droit’
au divorce, et le déplorer pour soi-même !
10.B.2 - Qu’est-ce
donc que la séparation ?
La
séparation,
un crime d’une totale hypocrisie !
Comme
le terme le laisse entendre, la ‘séparation’ est la volonté
d’au moins une des deux parties (Époux ou épouse) de liquider
l’union tout en prétendant garder le lien, voici du reste ce que
l’on dit couramment pour se donner bonne conscience : on peut
se séparer, mais on ne peut pas se remarier !
L’hypocrisie
consiste donc à ne pas dire tout haut ce que l’on réalise bien en
son cœur et en son Âme : je
suis contre le divorce, sauf pour moi !
Alors, ne pouvant l’avouer, l’on joue sur les mots comme un
maestro de l’hypocrisie, un pharisien, et l’on dit : je
me sépare !
Cette
séparation de
toit, de table, de lit, et de tout du reste,
peut arriver à l’instigation :
→ D’un
des deux époux ; mais c’est la femme qui le demande (80%) ou
l’instigue (20%) !
Le
tableau de ce lèse doit être ainsi complété : l’Époux
s’est aussi marié pour avoir un remède à la concupiscence
(3ème fin du Mariage) n’est-ce pas ? Et
maintenant, Il fait quoi sans Son, Ses remèdes, Ses biens ?
Non,
l’épouse ne se sépare pas, elle trahit son Époux et donc ainsi
aussi son Dieu ! À son Époux, elle a volé tous Ses biens et
Ses remèdes ! Quelle responsabilité incroyable elle a prise !
Quelles foudres elle a accumulées sur sa pauvre tête creuse !
→ Des
deux époux, d’un ‘commun’ accord ; mais pour la
responsabilité objective de cet ‘échec’, c’est la femme qui
en est la ‘seule’ responsable. Voir :
Comme
le terme le laisse entendre, la ‘séparation’ est une ‘séparation
de corps’ qui implique une séparation d’habitat et de bien.
Cette séparation est maintenant systématiquement accompagnée de la
garde des enfants, alors qu’ils n’appartiennent,
et ce dans le sens le plus exacte du terme, qu’à l’Époux !,
par l’épouse qui est rappelons-le la ‘seule’ et ‘unique’
demandeuse d’une telle destruction de ce lien. Elle est donc la
seule responsable de toutes les conséquences si douloureuses et
scandaleuses pour l’Époux et les enfants, comme nous allons
continuer à le vérifier…
10.B.3 - La
question est, est-il donc permis de se séparer ?
Nous
avons déjà pulvérisé, entre de nombreuses autres, les fables :
→ du
viol de l’épouse par l’Époux.
→ de
la limitation du devoir d’obéissance en
toutes choses de l’épouse à son Époux.
→ de
‘la femme en danger’ physiquement, soit ‘la femme battue’,
‘la femme séquestrée’, etc.
→ de
‘la femme en danger’ moralement, soit ‘la femme anéantie’,
sous la tyrannie d’un ‘despote domestique’, etc.
Voir :
idem ci-dessus.
→ de
ladite intuition féminine, son fameux ‘6ème sens’.
Voici
certaines autres escroqueries que nous avons dévoilées : le
prêtre (ou Imam, Pope, Rabbin, etc.) directeur spirituel de l’épouse
et des enfants (faire de recherches sur : direction
spirituelle), la ‘nécessaire’ limitation
des naissances (faire de recherches sur : limitation
naissance.
Voir :
aussi 4.H.3.b - Essayons,
tels des fils candides, de ‘comprendre’ Dieu !),
etc.
Maintenant :
nous allons pulvériser la fable de la prétendue permission donnée
par Dieu (Père, Fils et Saint-Esprit) de se
séparer… Sachant que ces Trois Personnes
ne peuvent qu’être accordées ; et que l’Église ne peut
qu’être accordée à son Époux : le Fils, Notre Seigneur
Jésus-Christ.
10.B.3.a - L’inverse
de séparer, son antonyme, c’est unir !
Nous
allons voir que dans cette Union inséparable,
le Mariage, les Trois Personnes de la Très-Sainte Trinité, et
le Père et le
Fils et le
Saint-Esprit : interviennent !
→ Dieu
le Père
intervient : Il a uni les premiers époux,
la femme à Adam, et tous les suivants. C’est Lui le réel et
unique
inventeur (institution) du Sacrement de Mariage comme nous allons le
vérifier magistralement ensuite…
→ Dieu
le Saint-Esprit
intervient : Il maintient unis les époux, Il donne vie et
vigueur continuellement à ce Sacrement d’Union, le Mariage ;
Il le fait perdurer, car c’est Lui qui
tient unies toutes choses, donc qui
tient unis les époux ! Lisons ceci, et
nous allons le développer ensuite :
L’Esprit
du Seigneur a envahi l’étendue de la terre, alléluia ; et
lui qui tient unies toutes choses
perce le secret de chaque parole, alléluia, alléluia, alléluia •
Dieu se lève, que ses ennemis se dispersent ; que ceux qui le
haïssent fuient devant sa face.
→ Dieu
le Fils
intervient : Il était, est et sera le vengeur de toute atteinte
à cette Union, de toute séparation, car, Lui-même a dit :
→ selon
Saint Marc : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare donc pas.
→ selon
Saint Mathieu : Que
l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Tout
ceci, nous allons maintenant le vérifier, le développer…
10.B.3.b - Quelle
Personne, de ce Dieu d’Amour, a uni les époux ?
Le
Fils vient de dire : Ce
que Dieu a uni…
Quelle
est donc la Personne de ce Dieu, dont parle le Fils : Dieu
a uni ?
→ Les
trois Personnes ?, non, car à ce moment là Il
aurait dit, il nous semble : Nous
avons uni.
→ Le
Fils ?, non à ce moment là Il aurait dit :
J’ai
uni.
→ L’Esprit-Saint ?,
non car comme pour annoncer la Pentecôte où Il disait le
Paraclet que Je
vous enverrai,
Il aurait dit : Le
Paraclet a uni.
→ Le
Père, alors ?, oui, en
effet c’est bien Lui qui institua ce sacrement : Il
[Dieu le Père] les bénit et dit : Croissez et multipliez-vous,
et remplissez la terre, et assujettissez-là à votre empire.
10.B.3.c - Ce
que Dieu le Père a
uni, que l’homme ne le sépare point !
Si
c’est Dieu le Père qui a institué le Sacrement de Mariage, et qui
donc unit les époux par ce Sacrement, comment le Fils peut-Il
d’autorité interdire de séparer les époux alors qu’Il n’est
pas l’inventeur de ce Sacrement d’Union ?, car en effet
c’est bien Lui qui d’Autorité dit : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare donc pas…
Le
Fils parle d’autorité !, Il interdit de séparer ce qu’Il
n’a pas uni ! Question :
comment le peut-Il ? Réponse :
Il le peut car c’est à Lui que le Père a donné de juger, venger
et rétribuer :
Au
Fils revient de juger :
Car
le Père
ne juge personne ; mais il
a remis tout le jugement au Fils.
Je
t’adjure, devant Dieu et Jésus-Christ,
qui doit juger les vivants et les morts,
par Son avènement et par Son règne.
Au
Fils revient donc de venger ou rétribuer :
Ne
vous vengez point vous-mêmes,
mes bien-aimés, mais laissez
agir la colère ;
car il est écrit : A
Moi la vengeance ;
c’est
Moi qui rétribuerai,
dit le Seigneur.
Ce
Fils acquit très chèrement son titre de Roy en prenant notre
condition humaine par
obéissance à Dieu le Père,
et en mourant ignominieusement sur la Croix dans cette même
obéissance pour nous sauver.
Voici ce que dit Pie XI :
Quant
au fondement de cette dignité et de cette puissance de
Notre-Seigneur, saint Cyrille d’Alexandrie l’indique très bien :
« Pour le dire en un mot, dit-il, la
souveraineté que Jésus possède sur
toutes les créatures, il ne l’a point ravie par la force,
il ne l’a point reçue d’une main étrangère, mais c’est
le privilège de son essence et de sa nature » (22). En
d’autres termes, son pouvoir royal repose sur cette admirable union
qu’on nomme l’union hypostatique.
(22)
S. CYRILLE D’ALEXANDRIE, In Lucam X, PG LXXII 666.
Et
revient donc au Roy, à l’Aîné :
de nous, les fils adoptifs du Père, juger afin d’être vengés et
rétribués, ou châtiés éternellement !
10.B.3.d - Dieu
le Père engendre, l’Esprit uni, et le Fils règne !
→ Le
Père engendre, ou créé selon le
cas :
Paternité
|
Fruit
|
Tenu
uni par
|
Le
Père engendre
|
Le
Fils de toute éternité
|
L’Esprit
les maintient unis
|
Le
Père créé
|
Adam
en soufflant sur Lui un Souffle de vie
|
L’Esprit
maintient l’Âme unie à Dieu et à son corps
|
Adam
aidé par Dieu le Père engendre
|
La
femme (Ève) qui reçoit non un Souffle de vie, mais une Âme du
Père
|
L’Esprit
maintient l’Âme unie à Dieu et à son corps
|
Le
Père présente
(propose)
la femme en Mariage à Adam
|
Le
Sacrement de Mariage est réalisé par Adam qui la prend pour
épouse
|
L’Esprit
les maintient unis dans ce Sacrement qui vient d’être institué
|
L’Époux
qui est l’Image de Dieu le Père engendre
en Son épouse, et pour Lui
|
Un
fils (ou fille) qui reçoit non un Souffle de vie, mais une Âme
du Père
|
L’Esprit
maintient l’Âme unie à Dieu et à son corps
|
→ L’Esprit
unit, Il a toujours uni et unira toujours, Il ne peut qu’unir !
→ Le
Fils règne, Il règne de toute
Éternité ; et comme c’est les Attributs du Souverain, Il
commande !, et donc peut commander que l’on reste unis dans le
Mariage, et c’est pour cela qu’Il peut dire : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point !
Ses
Attributs de Roy Lui donnent de juger
les vivants et les morts,
comme vu ci-dessus, et donc à Lui aussi appartiennent
vengeance et rétribution ou condamnation selon le cas, comme Il nous
l’a dit Lui-même : A
Moi la vengeance ; c’est Moi qui rétribuerai !
Ainsi
nous avons bien vu que :
→ Dieu
le Père ne peut qu’unir (engendrer ou créer),
→ Dieu
l’Esprit ne peut que tenir uni,
→ Dieu
le Fils ne peut que rétribuer cette unité, ou venger celui qui aura
subi une désunion, une séparation !
10.B.3.e - La
séparation des époux, un péché qui ne sera jamais remis !
Attention !
Mais
était-il besoin de le préciser ?, la partie qui subit la
séparation, soit l’Époux dans au moins 80% des cas comme nous
venons de le voir, n’est nullement responsable de celle-ci !
Dans
ce qui suit, nous allons condamner gravement ceux qui instiguent,
réalisent, soutiennent, préconisent, etc. la séparation des époux,
aussi l’Époux (Chef de Famille, l’Homme) qui est essentiellement
victime de ces séparations n’est point visé !
En
continuation du point précédent, nous osons affirmer que ceux qui
instiguent, réalisent, soutiennent, préconisent, etc. la
séparation, comme ‘solution’ à un ‘problème’ matrimonial
dû du reste qu’à l’épouse comme nous allons encore le voir,
font un péché contre L’Esprit
du Seigneur qui tient unies toutes choses !
Lisons :
C’est
pourquoi Je vous dis : Tout péché et tout blasphème sera
remis aux hommes ; mais le
blasphème contre l’Esprit ne sera pas remis.
-- Blasphème :
Parole, discours outrageant
à l’égard de la divinité, de la religion, de tout
ce qui est considéré comme sacré.
Or,
de dire que l’on peut se séparer est bien une parole contre une
chose considérée comme sacrée : le Sacrement de Mariage
originel. C’est bien un discours outrageux
pour l’Esprit
qui tient unies toutes choses !,
donc un blasphème !
Et
quiconque aura parlé contre le Fils de l’homme, il lui sera
pardonné ; mais si quelqu’un
aura parlé contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans
ce siècle, ni dans le siècle à venir.
-- Contre :
Exprime
l’opposition. A.−
Exprime une relation d’hostilité,
de lutte. 1. Contre + subst., nom propre ou
pron. Le plus souvent contre exprime l’idée
d’hostilité ou de menace
conjointement avec le verbe, le syntagme verbal ou le subst. qui
précèdent. Il s’emporte contre qqn; il proteste contre le
projet.
La
suite que nous venons de lire nous le confirme bien : mais
si quelqu’un aura parlé contre
le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle, ni dans
le siècle à venir. Or, de dire que
l’on peut se séparer est bien : parler
contre
l’Esprit
qui tient unies toutes choses !;
c’est bien : s’opposer à l’Esprit,
être hostile à l’Esprit,
lutter contre l’Esprit,
contrecarrer l’Esprit,
menacer l’Esprit !
Quant
aux marigots de la chrétienté (chrétienté ici veut dire, non pas
du Christ, mais se prétendant du Christ), la secte visible à Rome
et tous ceux qui lui sont apparentés, cela est patent depuis belle
lurette, ils ont fait : le
péché contre l’Esprit.
Quant
à la FSSPX, nous osons dire, et ne parlons pas de ses prêtres qui
sont ‘moins’ responsables, que les quatre Évêques-cloaques
d’impureté de la
FSSPX, que les Mgrs
Alfonso
de Galarreta
et Bernard
Fellay,
Bernard
Tissier de Mallerais
et Richard
Williamson ont
fait depuis plusieurs années, quant au Mariage au moins : le
péché contre l’Esprit.
Ce
qui explique aussi la déliquescence
de plus en plus visible de cette secte appelée FSSPX et de ses
consœurs ; de la trahison, de la corruption de la ‘Tradition’
que nous appelons du reste Trahition !
→ Ces
quatre cloaques
d’impureté
sont
tous quatre effectivement
acteurs, à différents titres mais bien effectivement, de
séparations conjugales, nous
pouvons le prouver !
→ À
la remorque de ces quatre pervers, ayant des paroles
de serpents,
de très nombreux prêtres sont aussi acteurs bien actifs !,
et
ce, aussi, nous pouvons le prouver !
→ À
la remorque de ces quatre Évêques-Loups
déguisés en brebis, de très
nombreuses communautés religieuses (Hommes ou femmes),
toujours dans cette même mouvance, sont acteurs tout aussi prenantes
de séparations conjugales, et
ce encore, nous pouvons le prouver !
De
lutter contre l’Esprit
qui tient unies toutes choses, en
disant (ou en le préconisant, ou en aidant à, ou en se taisant ce
qui est complicité objective) que les époux peuvent se séparer ou
être séparés est un péché contre l’Esprit, comme nous venons
de le voir, péché qui ne sera
pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir !
Oui,
conjugalement parlant, en se séparant ou en disant qu’on peut le
faire, ou en le laissant le faire alors que l’on devrait le
dénoncer, on lutte bien frontalement contre l’Esprit qui Lui dans
le même temps travaille à cette unité, qui charitablement tient
unies toutes choses !
La
séparation des époux est une révolte frontale contre l’Esprit,
un péché contre l’Esprit ! Une
épouse qui se sépare de son Époux commet bien le péché contre
l’Esprit ! ; et aussi tous les acteurs de ce
meurtre par séparation d’une seule chair Époux-épouse, d’une
Union, d’un Mariage !
Donc,
et au moins sur ce plan :
La
FSSPX a fait le péché contre l’Esprit !
Oui,
la FSSPX, comme presque tous ses nombreux satellites, a bel et bien
fait le péché contre l’esprit, au moins sur la question du
Mariage en validant, et pire, en préconisant et même en imposant !
oui oui, la ‘séparation’ des époux qui est aussi dans ce
milieu : uniquement instiguée par l’épouse !
Et,
le Fils vengera toutes ces séparations qui auront contrecarré ces
Unions conjugales, ces Mariages maintenus par l’Esprit
qui tient unies toutes choses !,
c’est ce que nous allons voir ensuite…
Du
reste il y a un parallèle fort instructif à faire entre :
1. Le
Mariage :
La
révolte de l’épouse contre son Époux, révolte qui s’appelle
séparation de corps, et soi-disant permise par l’Église, et
préconisée puis validée, et même imposée par les sectes FSSPX et
consœurs, révolte qui lui fait dire : je
reste mariée mais je ne puis plus Lui obéir, donc je dois m’en
séparer !
Ou
soit : épouse,
vous devez obéir, sauf…
Le ‘Oui,
mais’ purement
luciférien opposé au ‘Oui’
exigé par Notre Seigneur Jésus-Christ : Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal(Math.
5, 37).
Ou
soit encore : le vous
êtes unie à votre Époux, mais vous pouvez vous en séparer,
opposé à L’Esprit
qui tient unies toutes choses.
Pécher
contre l’Esprit
qui tient unies toutes choses,
est une révolte purement luciférienne : Non
serviam mon Époux !
Ainsi,
à l’épouse qui a parlé
contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce siècle,
ni dans le siècle à venir !
2. L’Église :
La
révolte des sectes FSSPX et consœurs qui se disent de l’Église
(épouse), mais qui préconisent la résistance, la désobéissance
au ‘Pape’ Benoît XVI (Le vrai Pape est représentant de Notre
Seigneur Jésus-Christ, l’Époux de l’Église) !
Ou
soit : Église,
Vous devez obéir sauf… Le ‘Oui
mais’ purement luciférien
opposé au ‘Oui’
exigé par Notre Seigneur Jésus-Christ : Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal(Math.
5, 37).
Ou
soit encore : le vous
êtes soumis au Pape mais vous pouvez vous en séparer,
opposé à L’Esprit
qui tient unies toutes choses.
Pécher
contre l’Esprit
qui tient unies toutes choses,
est une révolte purement luciférienne : Non
serviam mon Pape !
Ainsi,
à cette secte FSSPX (de fait donc à ses membres, et à ceux de ses
consœurs aussi, ne les oublions surtout pas !) qui a
parlé contre le Saint-Esprit, il ne lui sera pardonné ni dans ce
siècle, ni dans le siècle à venir !
10.B.3.f - Précision
très importante au sujet du : Non
serviam mon Pape !
Nous
disons ci-dessus mon
Pape, car nous
parlons à la place de la secte FSSPX qui le reconnaît comme tel !
Pour
nous, disant et ne voulant dire que oui,
oui ou non,
non, nous disons
que ce n’est pas l’Église catholique que l’on voit à Rome, et
donc ce n’est que le ‘Pape’ de cette dite Église qui est sur
le Siège apostolique romain volé, usurpé !
C’est
à ses fruits que vous reconnaitrez la véritable Église :
Gardez-vous
des faux prophètes, qui viennent à vous sous des vêtements de
brebis, et qui au dedans sont des loups ravisseurs. Vous
les connaîtrez par leurs fruits. Cueille-t-on des raisins sur
des épines, ou des figues sur des ronces ? Ainsi, tout bon
arbre produit de bons fruits ; mais le
mauvais arbre produit de mauvais fruits. Un
bon arbre ne peut produire de mauvais fruits,
ni un mauvais arbre produire de bons fruits.
Ainsi
en se reportant qu’au Mariage, l’Église ne peut dire contre
l’Esprit
qui tient unies toutes choses :
vous pouvez vous séparer ! Or le disant, cette Église et cette
secte FSSPX, et ses satellites, ne peuvent être la véritable
Église, car : Un
bon arbre ne peut produire de mauvais fruits !
Nous
rappelons aussi que nous ne sommes pas du tout sédévacantistes ;
le sédévacantisme est une autre errance que nous ne pouvons prouver
ici pour l’instant… Par contre, quant à la destruction de
Mariages (séparation) nous pouvons déclarer des crimes
soit par action ou validation, ou soit par ‘silence’ : Un
prêtre,
d’aventure, descendait par ce chemin ; il le vit, prit l’autre
côté de la route et passa.
Ces
sédévacantistes n’ont rien, mais alors rien à envier à la secte
FSSPX, particulièrement les ‘Italiens’ et tous leurs satellites
en France ou ailleurs, les ‘Guérardiens’ et autres marigots !
Vous
les connaîtrez par leurs fruits ! Un bon arbre ne peut produire
de mauvais fruits !
Mais aussi, un bon arbre ne peut pas non plus ne pas en
produire !, en effet, une ‘absence’ de fruits, est bien de
fait une production de mauvais fruits !
Une
de leurs ‘œuvres’ en le Mariage qu’ils n’ont pas le droit de
toucher comme quiconque, c’est justement la raideur-révolte de
l’épouse soutenue par ces prêtres pour imposer forcément
illégalement (soumises
en toutes choses) à son Époux les ‘thèses’
sédévacantistes !, ce qui emmena une séparation demandée par
l’épouse ! Une autre consista à ne point désavouer une
épouse parce que les parents sont un de leurs principaux soutiens !,
ce qui est pile la caractéristique d’une secte !, toujours le
même clientélisme ! Une autre encore… etc. ;
Nous,
ici, nous nous voulons que de l’Église catholique, la véritable
il s’entend, et nous reconnaissons Son Pape pour successeur de
Pierre… L’on peut même dire que l’Église sera reconnaissable,
aussi, à ce que Son Pape dira comme Notre Seigneur Jésus-Christ :
Ce
que Dieu a uni, que l’homme,
laïc ou d’Église, ne
le sépare point !
Nous
prions intensément, et souffrons généreusement pour qu’Il ait,
de là où Il est : le courage de se déclarer ! Nous ne
pouvons le faire à sa place, mais nous ne demandons qu’à pouvoir
L’aider !
10.B.3.g - Le
premier synonyme de séparer
est : diviser !
Dieu
unit,
la séparation n’est que du Malicieux !
Lucifer
est le prince des ténèbres, Le révolté par excellence, Son cri
fameux était, est et sera éternellement, celui qu’Il susurra
à Ève, et qu’Il fait dire à toute épouse qui se sépare,
s’écarte
peu ou prou de son Époux : non
serviam !
Pour
Lui ce fut non
serviam mon Dieu !
Pour
l’épouse c’est non
serviam mon Époux !
Le
mot diable
veut dire : diviseur,
séparateur !
Et pour cela le Malicieux utilise éhontément le mensonge, la
séduction, la tentation, la calomnie, la malignité, etc. ;
soit de façon très troublante les leviers que l’épouse utilise
dans son action : séparation-divorce !
10.B.3.h - C’est
soit une trahison, ou soit une trahison !
Pour
en finir avec l’analyse du mot ‘séparation’ nous rappelons que
pour ‘se séparer’, bien qu’impossible ne faisant qu’une
seule chair et bien qu’interdit par NSJC, il faut que les deux
époux soient d’accord,
or dans :
→ 80%
des cas c’est l’épouse qui impose
cette séparation, donc le terme ‘séparation’ est dans ce cas là
bien impropre, il s’agit : d’une trahison !
→ 20%
des cas c’est l’épouse qui instigue
cette séparation, donc le terme ‘séparation’ est tout aussi
impropre, il s’agit aussi : d’une trahison !
En
effet, dans le deuxième cas, les 20% restants et instigués par
l’épouse, l’Époux en est arrivé là pourquoi ? Peut-on
dire que vous avez donné spontanément votre portefeuille à la
personne qui dans la rue vous menace d’une arme à feu en vous
criant la
bourse ou la vie ! Si l’atmosphère
devient irrespirable en la Maison, si l’Époux est ‘obligé’
d’en sortir pour reprendre son souffle et ses esprits,
à qui la faute ?
Notez
bien ! Que cet argument ne
peut pas s’appliquer à l’épouse qui est bel et bien
la
seule
à mettre le bazar dans la Maison, en effet qu’à
elle revient le devoir de tout
supporter
comme nous allons encore le vérifier.
Évidemment,
nous ne nions pas que l’Époux pourrait aussi ne point reculer
devant la possibilité de gagner héroïquement son Ciel !
Il
n’en reste pas moins que l’épouse est la
seule et unique responsable de la séparation, relisons
ces quelques textes que nous avons vus plus haut dans notre étude :
→ Notre
Seigneur Jésus-Christ : Si
les époux ne vivent pas en bonne intelligence,
si le mariage n’atteint pas son but, qui est de procréer des
enfants bons et purs, la
faute en est presque toujours à la femme.
Son devoir est de tout supporter et de souffrir.
→ Dom
Bernard Maréchaux : elle
lui est assujettie plus strictement encore, en ce que, séduite et
l’ayant entraîné au mal, elle
a une réparation à lui faire et une punition de son péché à
subir.
→ L’abbé
Philibert Rigaud : La
décadence touche les meilleures familles. Deux familles identiques :
l’une est paisible, l’autre est difficile. Un
seul responsable mesdames,
je suis désolé, c’est
la femme,
l’épouse, la mère.
À
l’Époux, Son Seigneur Dieu a donné des moyens : Sa voix
grave qui en impose à Sa criarde d’acariâtre, Sa hauteur physique
et de vue qui domine facilement cette tête de linotte hystérisée
par le Malicieux, Sa puissance tant corporelle que morale qui lui
permet de régler le problème vite fait et bien fait, etc. ;
ce, afin d’obtenir la paix matrimoniale, et même par la
correction
si elle ne veut point entendre la raison de l’Époux, comme nous le
lisons ici :
Il
y a trois choses, dit le Sage (Prov. XXVII, 15), qui
font de la maison un désert, ce sont la fumée, la pluie
et une femme acariâtre.
Or, comment le négligeant pourrait-il s’en garder ? Celui
qui se néglige, n’a pas
soin de chasser la fumée, de
corriger sa femme, et de réparer le toit de sa maison…
Mais
maintenant où tout est renversé, que faire ?, comme
nous disions plus haut.
La talocher de main de maître, car elle ne veut plus rien entendre ?
La battre comme de fait elle le réclame à
cor et à cris ?,
car c’est sûr elle vous l’embouche bien copieusement son cor
afin d’essayer de vous sonner, elle vous crie même vas-y,
tu n’attends que cela !, histoire de
vous pousser à bout et de vous faire ainsi passer à l’acte
‘fatal’, devant témoins si possible !
Dans
ces fameux 20% restants, il est bien évident que c’est une
violence caractérisée sur une personne (l’Époux !) ne
pouvant plus
se défendre, à qui ‘on’ a enlevé les moyens de Son Autorité !
Comme disait le Capitaine Collins commandant de la canonnière du
San-Pablo :
Je
n’ai que l’autorité sur ce bâtiment, que dans la mesure où je
ne tente pas de l’exercer ! En effet
si l’Époux bat sa femme comme Il
le peut, et comme il
le doit si nécessaire, et ce,
sans avoir de compte à rendre à quiconque sur terre, Il se retrouve
en ‘justice’ qui en ‘affaire’ familiale est totalement
illégale, incompétente, criminelle !
Oui,
à 80% ou à 20%, c’est comme vous le voulez, donc à 100% :
une
femme insensée la [maison] renverse de ses propres mains !
Nous
vous l’avions promis :
sans langue de bois !
L’épouse
est donc bel et bien la seule
et unique responsable de la
séparation-divorce !
10.C - L’Église
catholique et ladite séparation matrimoniale…
10.C.1 - L’Église,
peut-Elle permettre la
séparation matrimoniale ?
Non !,
en
aucun cas l’Église ne peut
permettre la séparation des époux ! Elle ne peut, comme
l’État, que constater la nullité d’un Mariage :
→ défaut
de consentement, Mariage forcé,
→ liens
de parenté prohibitif,
→ erreur
sur la personne : défaut de virginité de l’épouse, etc.,
→ consanguinité :
frère et sœur, etc.
→ etc.
En
aucun cas Elle ne peut, une fois
ce Mariage validement contracté devant les Hommes,
ordonner ou permettre une séparation !, c’est ce que nous
allons voir maintenant.
10.C.2 - L’Église,
permet-Elle la
séparation matrimoniale ?
L’Église,
humble et docile Épouse de Notre Seigneur Jésus-Christ, ne peut
aller contre la Volonté de son Époux qui a dit, comme nous venons
de bien le voir : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point !
Ceci
devrait nous suffire n’est-ce pas ?, mais ‘vérifions’
maintenant nos derniers propos qu’avec ces quelques textes
seulement :
10.C.2.a - Pie
XII ‘permet’-Il que les époux se séparent ?
Mais
contre toutes ces insanités se dresse, Vénérables Frères, une loi
de Dieu irréfragable, très amplement confirmée par le Christ, une
loi qu’aucun décret des hommes, aucun plébiscite, aucune
volonté des législateurs ne pourra affaiblir : « Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point. »
Nous
faisons bien remarquer que Pie XII confirme bien qu’aucun
décret des hommes, ni même d’Église
donc, aucun
plébiscite, aucune
volonté des législateurs, donc ceux de
l’Église aussi, ne
pourra affaiblir cette loi !
Nous
insistons encore ici pour faire remarquer que Notre-Seigneur
Jésus-Christ commande que : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point !
Prenez
garde, chers Chefs de Famille, à
ces paroles de serpents(Pie
XII) venant principalement de ces
prêtres corrompus, les cloaques
d’impureté(ND
de La Salette) qui vous diront que NSJC
voulait seulement interdire le divorce, mais que la séparation est
permise et même hautement souhaitable parfois, vous vous souvenez…,
‘pour sauver les enfants’ par ex. !
Non !,
NSJC a dit :
2.
Et s’approchant, les pharisiens Lui demandèrent, pour Le tenter :
Est-il permis à un homme de renvoyer sa femme ?
3.
Mais Il leur répondit : Que vous a ordonné Moïse ?
4.
Ils dirent : Moïse a permis d’écrire un
acte de divorce, et de la renvoyer.
5.
Jésus leur répondit : C’est à cause de la dureté de votre
cœur qu’il a écrit pour vous cette ordonnance.
6.
Mais au commencement de la création, Dieu fit un homme et une femme.
7.
C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et il
s’attachera à sa femme,
8.
et ils seront deux dans une seule
chair. Ainsi ils ne sont
plus deux, mais une seule chair.
9.
Ce que Dieu a uni, que l’homme ne
le sépare donc pas.
Ainsi,
la question de ces pharisiens est ‘peut-on divorcer ?’,
n’est-ce pas ?, et que répond NSJC ? Il répond tout de
suite à la deuxième question qui n’aurait pas manqué de venir si
Il S’était contenté de dire non à la première : alors
peut-on se séparer ? Et que répond-donc
NSJC ? Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
donc pas !
Ainsi
donc à la première question ‘peut-on divorcer’, NSJC répond
immédiatement à la deuxième : que
l’homme ne le sépare
pas !
10.C.2.b - Damnés
pour n’avoir point respecté cette Parole.
Voici
ce que dit le Saint Curé d’Ars de ceux qui non point respecté la
Parole de Dieu, et donc celle-ci aussi : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
donc pas ; lisons :
Mon
Dieu, que votre sainte parole,
qui ne nous est donnée que pour nous aider à nous sauver, précipite
d’âmes dans les enfers ! Je vous ai bien dit, en
commençant, que la parole de Dieu porte toujours du fruit bon ou
mauvais, selon nos dispositions. […]
Combien
de personnes qui sont allées au ciel sans avoir reçu le sacrement
de Pénitence ! Combien
d’autres sans avoir reçu celui du Corps adorable et du Sang
précieux de Jésus-Christ ! et combien
d’autres qui sont dans le ciel, qui n’ont reçu ni celui de la
Confirmation ni celui de l’Extrême-Onction ! Mais pour
l’instruction qui est la parole de Dieu, dès que nous avons l’âge
capable de nous faire instruire, il nous est aussi difficile d’aller
au ciel sans être instruits que sans être baptisés. Hélas !
M.F., nous verrons malheureusement au jugement que le
plus grand nombre des chrétiens damnés, l’auront été parce
qu’ils n’ont pas connu leur religion.
Oui,
l’on peut se sauver sans aucun de ces sacrements précités, mais
pas sans la Parole de Dieu ! L’on peut se
confesser, communier, faire tout ce que l’on peut pour ‘bien’
suivre les préceptes de la Religion catholique, être
‘Traditionaliste’, Lefévriste, sédévacantiste, ou
‘autre-chosiste’ !, si l’on ne respecte pas la Parole de
Dieu, soit ce qu’Elle nous dit au Mariage, Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point, l’on ne peut pas se sauver !
Une épouse peut être très ‘pieuse’, très ‘sainte’, si
elle s’est séparée, et ce, même avec ‘permission’ de
l’Église qui du reste ne peut donner cette permission
qu’illégalement comme nous venons de le voir : l’épouse ne
peut que se perdre éternellement !
10.C.2.c - Que
nous dit Pie XI ?
Mais
contre toutes ces insanités se dresse, Vénérables Frères, une loi
de Dieu irréfragable, très amplement confirmée par le Christ, une
loi qu’aucun décret des hommes, aucun plébiscite, aucune volonté
des législateurs ne pourra affaiblir : « Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point. » […]
ces paroles du Christ s’appliquent à n’importe quel mariage,
même seulement naturel et
légitime ; car cette indissolubilité convient à tout
vrai mariage, qui, par elle, pour ce qui est de la rupture du lien,
est soustrait au bon plaisir des
parties et à toute puissance séculière. […]
Nous
remarquons que Pie XI confirme bien que :
→ les
époux ne peuvent être séparés : …
une loi qu’aucun décret des hommes, aucun plébiscite, aucune
volonté des législateurs ne pourra affaiblir : « Ce que
Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point. » Et nous constatons bien qu’Il
ne dit pas : une
loi qu’aucun décret des hommes sauf ceux
d’Église,
aucun plébiscite sauf venant de l’Église,
aucune volonté des législateurs sauf ceux
de l’Église,
ne pourra affaiblir…
→ le
Mariage naturel a la même indissolubilité que le Mariage religieux,
car il est le vrai Sacrement de Mariage : ces
paroles du Christ s’appliquent à n’importe quel mariage, même
seulement naturel et légitime.
Par
contre, remarquons encore une fois le SAV en tenue de camouflage :
est
soustrait au bon plaisir des parties et à
toute puissance séculière. Pie XI
aurait dû dire à
toute puissance quelle quelle soit !, ou
à
toute puissance séculière et ecclésiastique !
Toujours
la même contradiction interne, toujours la chose et son contraire :
→ l’on
lit ci-dessus à
toute puissance séculière, donc Pie XI
laisse entendre, et de fait Il dit bien : à
toute puissance séculière,
mais la puissance ecclésiastique le peut !
→ alors
que Lui-même disait juste avant : une
loi qu’aucun décret des hommes, aucun plébiscite, aucune volonté
des législateurs ne pourra affaiblir !
Notre
Seigneur Jésus-Christ a bien dit : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point !, et point à la ligne.
Il
n’a pas dit : …
que l’homme séculier ne le sépare point, mais l’ecclésiastique
le peut.
10.C.2.d - Que
nous dit l’abbé Dehaut sur ce sujet ?
Ce
point, et ses suivants, est très important, il va bien préciser
certaines caractéristiques du Sacrement de Mariage.
… le
mariage chrétien est un sacrement qui met à l’union de l’homme
et de la femme un sceau de perpétuité que nulle puissance, même
l’Église, ne peut plus rompre ; il n’est que l’écho
véridique de la parole de Jésus-Christ lui-même, reconstituant
le mariage tel qu’il fut établi au commencement : (c
Non legistis quia qui fecit hominem ab initio… ? Quod ergo
Deus conjunxit, homo non separet. »
L’abbé
Dehaut dit bien très précisément, que
nulle puissance, même
l’Église,
ne peut plus rompre, donc ni divorce ni
séparation qui sont bien une seule et même chose comme nous l’avons
bien étudié ; sauf d’être particulièrement, comme les
scribes et pharisiens : hypocrite !
Oui,
si un prêtre (Évêque, et même Pape) dit que des époux peuvent se
séparer, alors c’est à lui aussi que s’applique cette parole de
Notre Seigneur Jésus-Christ : Malheur
à vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous fermez le
royaume des Cieux devant les hommes ; car vous
n’y entrez pas vous-mêmes, et vous ne laissez pas entrer ceux qui
désirent entrer.
10.C.2.e - Où
nous revenons à la constitution du Sacrement de Mariage.
Vous
souvenez-vous que depuis le début de cette étude nous nous battons
‘bec et ongles’ contre ceux qui affirment malicieusement que le
Sacrement de Mariage a été institué par Notre Seigneur
Jésus-Christ Lui-même, ce afin de faire accroire que l’Église
(de fait des vicieux pour certains, mais majoritairement des trompés
s’étant laissés emporter par un zèle quelque peu intempestif en
la matière) pouvait légiférer en matière de Mariage ?
Mais
aucune
personne n’a jamais, et du
reste ne donnera jamais, ne serait-ce que le début d’une preuve de
cette institution du Sacrement de Mariage par Notre Seigneur
Jésus-Christ ! Nous attendons très sereinement le premier
suicidaire qui oserait s’y aventurer !
Nous
avons du reste bien vu les numéros de funambulisme, conscients ou
inconscients, de divers auteurs et Saints, et même Pie XI
comme nous venons de le voir.
Rien
de plus faux ! Revoyons pour confirmation ce que l’abbé
Dehaut dit bien plus haut, …
Jésus-Christ lui-même, reconstituant
le mariage tel qu’il fut établi au commencement.
-- Reconstituer :
Constituer, former de nouveau (un tout, quelque chose disparu
récemment), à l’aide d’éléments épars. Reconstituer sa
fortune.
L’abbé
Dehaut dit-il que Jésus-Christ
constitua le Sacrement Mariage ?, non Il
ne le constitua
pas, ne l’institua pas plus qu’Il ne l’améliora !, Il ne
le modifia pas non plus. Jésus-Christ
reconstitua
le mariage tel qu’il fut établi, donc
constitué, au
commencement ! On ne peut être plus
clair, l’abbé Dehaut dit bien tel
qu’il fut établi au commencement, donc par
Dieu le Père, et Jésus-Christ
lui-même, reconstitua[nt] le mariage tel qu’il fut établi !
Le
Mariage dit catholique est exactement le même Mariage, et
avec toutes les mêmes prorogatives, que
le Mariage dit naturel qui fut institué par Dieu le Père
dans l’Éden, par unir Ève à Adam !
Le
Sacrement de Mariage dit naturel est le Sacrement de Mariage par
excellence, Il est le seul et unique Sacrement de Mariage, et Il fut
incorporé par l’Église à Son catalogue de Sacrements :
Jésus-Christ
lui-même, reconstitua[nt]
le mariage
tel
qu’il fut établi, … et c’est
uniquement comme cela qu’Il est devenu Sacrement de l’Église
catholique !
Le
Sacrement de Mariage dit naturel fut incorporé par l’Église
catholique à ses autres Sacrements que bien bien tardivement,
vers le XIIème ou XIIIème siècle, ce qui est
fort ‘négligeant’ de la part de l’Église catholique si ce
Sacrement de Mariage avait été réellement institué par Notre
Seigneur Jésus-Christ !
Oui !,
c’est :
→ Dieu
le Père qui inventa, créa, institua le Sacrement de
Mariage, et ce Sacrement ne fut que très tardivement homologué par
l’Église Catholique ;
→ Dieu
l’Esprit-Saint qui tient
unis les époux comme toutes
choses, dans ce Sacrement de Mariage ;
→ Dieu
le Fils qui après avoir restauré, reconstitué le
Sacrement de Mariage le rétribuera
ou le vengera !
10.C.3 - Voici,
Je vais faire toutes choses nouvelles…
Renouveler :
Dans son film La
Passion du Christ,
Mel Gibson fait dire(1 :15 :07)
par la Très-Sainte Vierge Marie à Son Fils, alors que Jésus
rencontre sa Très-Sainte Mère
nous dit le Chemin de Croix (1Vème
Station), très tendrement, toute pleine d’Amour et de Compassion :
Je
suis là ! Et
à ceci le Christ répond du fond de Son Âme si douloureuse :
Vois,
Mère : Je rends toute chose nouvelle.
1. Renouveler :
Ce que Mel Gibson fait dire au Christ c’est ce que nous trouvons au
Livre de Apocalypse de saint Jean, Chapitre 19, 5 : Voici,
Je vais faire toutes choses nouvelles.
2. Restaurer :
Dans notre missel, celui de l’Église Catholique il s’entend,
celui d’avant Son éclipse,
à l’offertoire nous lisons : Dieu
qui d’une manière admirable avez créé la nature humaine dans sa
noblesse, et qui l’avez restaurée
d’une manière plus admirable encore…
3. Reconstituer :
Et que nous disait plus haut l’abbé Dehaut ?, que la
parole de Jésus-Christ lui-même, reconstituant
le mariage tel qu’il fut établi au commencement.
Renouveler,
restaurer,
reconstituer
sont des synonymes, comme revigorer, réparer, rétablir, remonter,
etc. Aucun ne veut dire : changer, créer, constituer, inventer,
instaurer, innover, instituer, etc. !
-- Renouveler :
Faire renaître.
1. a) Faire que quelque chose reparaisse,
se manifeste de nouveau dans
toute sa force, sa fraîcheur. […] Faire reprendre
à quelque chose, à quelqu’un toute sa force, sa vigueur,
régénérer.
Remarquons
bien ci-dessus : se
manifeste de nouveau ; comme la Parole
de NSJC : faire
[…] nouvelle !; c’est renouveler,
manifester de nouveau et comme avant !
-- Restaurer :
Remettre
en bon état une chose dégradée.
-- Reconstituer :
Reproduire
quelque chose appartenant au passé, le rétablir
dans sa forme originale, à l’aide d’éléments nouveaux, de
recherches
diverses.
Le
préfixe re
ne veut, et ne voudra jamais dire nouveau,
mais il veut bien dire de
nouveau nouveau,
comme avant, comme au commencement, comme au début :
Le
préfixe " re- " est rattaché à des racines pour donner
le sens de " en arrière " ou " de nouveau ".
Exemple : réflexe (effectuer une flexion ou un mouvement vers
l’arrière, par exemple en réponse à un stimulus important).
Parmi
les nombreux préfixes que comporte notre langue, un des plus
courants est sans conteste le préfixe re- : accolé à quelque
verbe que ce soit, il en modifie le sens, exprimant généralement la
répétition (refaire, redire, repeindre, recompter, relire, etc.) ou
le retour au point de départ (revenir, reconduire, recoucher,
redescendre, redonner, etc.)
Ainsi
donc : Renouveler,
restaurer,
reconstituer,
n’ont jamais voulu dire : nouveler (DMF
1330-1500), instaurer, constituer, mais bien : nouveler
comme au commencement, instaurer comme commencement, constituer comme
au commencement !
Ceci
prouve encore, donc, que NSJC n’est pas venu constituer (point 3,
ci-dessus) le Sacrement de Mariage, mais bien le reconstituer,
et pour qu’il y ait pas confusion, l’abbé Dehaut confirme bien,
comme au commencement :
Jésus-Christ
reconstitua[nt]
le mariage tel qu’il fut établi au commencement !
10.C.3.a - Avant
la venue du Christ :
Il
est vrai que le Sacrement de Mariage, au cours des siècles qui ont
précédés la venue du Christ, a subi de grands dommages à cause
des attaques répétées du Malicieux qui commencèrent du reste au
pied de fameux Arbre de Vie. Nous remarquons bien que cette première
attaque, car le Malicieux
ne peut rien directement et doit donc utiliser un traître,
se fit par une femme, la femme, Ève !, ce comme dans la
séparation-divorce !
10.C.3.b - Du
temps du Christ :
Les
ennemis
de tous les Hommes*, qui avaient déjà en
leur cœur trahi leur mission divine et élaboré la plan Malicieux
de Son Immolation, l’Holocauste par excellence, virent demander
comme vu plus haut si l’on pouvait se séparer, ce à quoi Notre
Seigneur Jésus-Christ répondit : Ce
que Dieu a uni, que l’homme de le sépare point !
Et donc ainsi Il a renouvelé,
restauré,
reconstitué,
le Sacrement de Mariage qui existait depuis le commencement : au
Jardin d’Éden !
10.C.3.c - Depuis
la venue du Christ :
L’Église,
bien que très très tardivement comme nous l’avons vu plus haut,
homologua ce Sacrement de Mariage, voulu légitimement le magnifier.
Elle
se le devait comme Épouse de ce Jésus, mais des Hommes d’Église,
et de plus en plus nombreux et hautement placés, troublés par leur
impureté voulurent mettre une main profanatrice sur ce Sacrement
qu’Ils ne pouvaient manipuler à leur guise : rentrer dans la
Famille afin d’avoir par l’épouse un levier sur les Chefs
‘indociles’.
Le
Sacrement de Mariage est pastoral, et le Seul et Unique Pasteur et
Législateur de la Famille était, est et sera que l’Époux, qui
est
revêtu de la double autorité du sacerdoce
et de l’empire !
et que Sa Puissance en Sa Famille est beaucoup
plus large que celle du législateur !
L’Église
devait être une Tigresse vigilante protégeant jalousement le
Sacrement de Mariage qu’Elle hérita du Père et que Son Époux
renouvela !
Elle aurait aussi ainsi attiré à Elle des infidèles qui auraient
vu en Elle une garante de la pérennité de leur propre Sacrement
Mariage dit naturel, mais bien effectivement tout aussi religieux que
le dit Sacrement de Mariage de l’Église catholique !
Mais
de mauvais prêtres (et non l’Église !) en vinrent à
‘permettre’ à l’épouse de se séparer de son Époux, et ainsi
ces cloaques
d’impureté firent penser que l’Église
luttait contre la Parole de Son propre Époux : Ce
que Dieu a uni, que l’homme de le sépare point,
et aussi contre l’Esprit
du Seigneur qui tient unies toutes choses !
Ce
péché contre l’Esprit, qui sera
pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir,
peut aussi expliquer le recul de l’Église partout dans le monde,
et ce, donc par la seule et unique responsabilité des prêtres !
Voir : DP-9.C - Les
mauvais prêtres, accablante majorité avant Vatican II…
10.C.3.d - Le
stade final de la déliquescence de toutes les sociétés.
Voici
plus d’un an, le 11 mars 2008, nous disions au tout début de cette
étude :
→ (1.B.1.c)
Tout
s’écroule !, tout est ruiné, c’est
une évidence qui crève les yeux, sauf pour ceux qui obstinément
veulent rester aveugles ; nous pouvons même affirmer que nous
sommes dans les convulsions signe évident de la phase terminale
(1.B.1.c)…
→ Pour
tout restaurer, ne faut-il pas commencer par le début, la base, et
la fin ne viendra-t-elle pas d’elle-même (idem) ?
→ C’est
bien faux !, c’est vouloir reconstruire la famille-État et la
famille-Église, sans aucune fondation, sans arrêter le travail de
sape de nos Familles qui se fait le plus souvent de l’intérieur
même (1.B.1.f).
→ Le
Chef de Famille est donc la base exclusive de la Famille, qui est
Elle-même la base exclusive de l’État et de l’Église
(1.B.1.i).
La
restauration de toutes les sociétés,
passe par celle du Chef
de Famille !
Souvent
ceux qui sont soucieux de la Famille, qu’ils prétendent, disent :
La restauration des sociétés passe par celle de la Famille !
Ceci est totalement faux ! La restauration des sociétés passe
par celle du Chef de Famille ! Et, en effet, Celui-ci étant
restauré, la Famille se portera à merveille et ainsi la société
sera guérie ! Nous le disons depuis le début :
L’association de ces premiers Chefs de Famille constitua la
première grande Société, la Société des Pères de Famille,
l’État (1.B.1.h).
Tous
hypocrites, fanatiques destructeurs, révoltés :
→ Les
gens du monde qui s’agitent et veulent sauver leurs petits
intérêts,
mais qui acceptent au moins pour les autres la séparation-divorce :
pour eux point de rédemption, même dans les événements monstrueux
qui sont là, juste derrière cette porte toute prête à voler en
éclats sous la pression des cataractes qui s’accumulent depuis si
longtemps derrière ! Il y a La Justice de Dieu, aussi appelée
Justice immanente ! On ne peut impunément détruire la Famille
par la séparation-divorce sans entraîner à très très brève
échéance la destruction de toutes
les sociétés. Pour reconstruire les sociétés, il faut donc
commencer par la restauration du Chef de Famille, le reste est
utopie, gesticulations !
→ La
soi-disante Église catholique fait semblant de tirer des sonnettes
d’alarme mais laisse les épouses (80% directement et 20%
indirectement) réaliser la séparation-divorce. Elle ment, Elle est
complice de ‘eux’ !
→ Les
sectes FSSPX et consœurs, qui reconnaissent, acceptent, préconisent
et même imposent au nom de l’obéissance
la séparation-divorce, et qui dans le même temps font semblant de
maintenir la flamme de la Tradition en l’‘Église’ :
mentent ! Elles détruisent elles-mêmes les sociétés Église
et État en détruisant des Chefs de Famille ! La Colère
vengeresse de Dieu est sur leurs têtes : les
prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres
demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes.
→ Les
sédévacantistes et autres marigots-cloaques
d’impureté dissidents ou connexes qui au
moins par clientélisme, comme vu plus haut, se taisent et acceptent
l’inacceptable au confessionnal et au banc de communion (péchés
contre l’Esprit comme vu plus haut), soit la séparation-divorce,
mentent aussi lorsqu’ils font semblant d’être purs en dénonçant
ce qu’ils croient être leur aile gauche : la secte de Rome et
ceux qui s’y sont ralliés : FSSP, FSSPX, Fraternité de la
Transfiguration, Les moines de Morgon et les Dominicains d’Avrillé,
les Dominicaines-harpies, etc., etc., etc. Oui !, ces
sédévacantistes et leurs complices détruisent eux-mêmes
frénétiquement ce qu’ils prétendent défendre, les sociétés
civiles et religieuses, en détruisant des Chefs de Famille !
Complices du Malicieux, qui détruisez la Société de base, la
Famille, en sapant son unique fondement, le Chef de Famille, pour
vous aussi la
vengeance est suspendue sur leurs têtes.
En
conclusion de ces deux derniers points :
L’on
ne peut prétendre Tout
restaurer dans le Christ, alors que dans le
même temps l’on détruit ardemment le premier maillon de toutes
les sociétés : Le Chef de Famille !
L’on
ne peut prétendre protéger la Famille, comme la FSSPX notamment,
alors que l’on préconise comme ‘solution’ à un ‘problème’
conjugal : la séparation-divorce !
L’on
ne peut avoir la prétention de rétablir les sociétés Église et
État, et comble de l’hypocrisie la Famille, et dans le même temps
saper la seule et infrangible Autorité de cette dernière en
prétendant pouvoir la limiter et la contrôler, et ce avec la menace
permanente pour le Chef de Famille : la séparation-divorce !
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