Du
11.06.2014. Version PDF.
Actualisé : mar. 23 déc. 2014,
20.03.
Table
de ce document, RH-2014-…
1
- Soldat de Christ, doit-on
être soumis les uns aux autres, ou… les uns aux autres ?
1.A.1.a
- Votre brave
dame Isabelle, de bien heureuse mémoire…
1.B
- Ils n’ont de
cesse de tout tordre selon leur démangeaison du moment !
1.B.1.a
- Encore un
détournement de parole sainte : vous soumettant les uns aux
autres…
1.B.1.b
- Voyons la
soumission des uns aux autres – Autorité !
1.B.1.c
- Voyons la
soumission des uns aux autres – Devoir d’état !
1.B.1.d
- Voyons la
soumission des uns aux autres – Adversités !
1.C
- Votre pasteur
émasculé, amant de Luciabel !
1.D
- Critiquer un
article dont vous nous faites part…
1.D.1.a
- Déconstruction,
terme particulièrement débile…
1.D.1.b
- L’image de
Dieu est en l’Homme, et en la femme ?
1.D.1.c
- Égalité,
complémentarité, ou totale sujétion, pour la femme ?
1.D.1.d
- Concluons
l’analyse critique de cet article.
1.E
- Concluons pour
l’instant.
1.F.1
- Article à
étudier : Dans les choux - Septembre 2011
En
la Saint Barnabé, Apôtre,
le mercredi 11 juin 2014 ;
ce
document Lui est confié.
Chers
Soldat de Christ, et Lecteurs,
Cher
Soldat de Christ, vous avez déposé un
commentaire que nous retranscrivons en cette note
et que nous avons réceptionné comme vous le verrez en cette note ;
voici maintenant notre réponse annoncée.
1.A.1.a - Votre
brave dame Isabelle, de bien heureuse mémoire…
Vous
nous dites mon
épouse m'a fait remarquer, et privément,
nous vous avons donc demandé si nous pouvions établir le lien qui
nous facilitera la tâche entre vous et elle que nous connaissons
bien agréablement sur ce site sous le nom de dame Isabelle, et vous
nous avez répondu Oui
vous pouvez faire ce lien avec mon épouse. Vous avez ma permission.
Aussi
donc il est tout aussi utile de bien dire que le pseudo Ferdinand qui
vous fut donné un temps par nous ne le fut que parce que vous n’en
aviez pas encore choisi un vous-même…
Pour :
pseudo Ferdinand vous fut donné un temps :
1.A.1.b - Appréciation
d’un de nos articles.
Nous
vous remercions très sincèrement pour votre appréciation d’un de
nos articles : C'est
avec un intérêt certain que j'ai lu votre critique de l'article
d'un homme d'église du 19e siècle et son stupéfiant 'soumise à
l'homme , la femme le domine '. Votre parallèle avec l'apesanteur
était brillant et tellement logique.
Pour :
votre appréciation d’un de nos articles :
Si
seulement celle-ci, votre bonne appréciation, pouvait aider,
convaincre les timides à se manifester…
1.B - Ils
n’ont de cesse de tout tordre selon leur démangeaison du moment !
Puis
vous nous dites, J'aimerais
votre avis là -dessus, et voici ce passage
qui ne peut être tronqué : Et
dans la même lignée , toujours aussi hérétique, mon épouse m'a
fait remarquer que circulait de nos jours une idée de 'soumission
mutuelle' entre les époux qui prendrait sa source dans le verset d
'Ephésiens ( Soumettez-vous les uns aux autres dans la crainte de
Christ) . Je me demande comment la soumission mutuelle entre époux
dont je ne vois pourtant aucune trace dans les Ecritures ( Nombres 30
n'est-il pas suffisamment clair ?) , pourrait se mettre en
application au quotidien (si déjà c'est possible !) et ce qu'elle
engendrerait à plus ou moins long terme. On entend parfois des
femmes (chrétiennes ou pas) dire 'mon mari ne me domine pas mais je
ne le domine pas non plus . Ces femmes disent-elles la vérité ?
Si
soumission mutuelle il y a ,. les parents devraient-ils être soumis
à leurs enfants alors ? Devrais-je me soumettre à mes enfants même
si ce qu'ils me demandent est déraisonnable ? Et Christ , se
soumet-il à son église ?
1.B.1.a - Encore
un détournement de parole sainte : vous
soumettant les uns aux autres…
Il
faut vraiment être possédé, démoniaquement il s’entend, démangé
pour vouloir à tout prix orienter, tordre ces diverses paroles ou
dispositions saintes que nous avons déjà bien épinglées…
Pour :
possédé, démoniaquement il s’entend :
Pour :
tordre ces diverses paroles ou dispositions :
En
voici certaines :
→ Tu
aimeras ton prochain comme toi-même : Idem ;
point 13.B.3 - La
tarte à la haine : Tu aimeras ton prochain !
Pour :
démangés pour vouloir à tout prix orienter :
Je
t’adjure, devant Dieu et Jésus-Christ, qui doit juger les vivants
et les morts, par Son avènement et par Son règne, prêche la
parole, insiste à temps et à contretemps, reprends, supplie,
menace, en toute patience et toujours en instruisant. Car
il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine
doctrine ;
mais ils amasseront autour d’eux des docteurs selon leurs désirs ;
et éprouvant aux oreilles une vive démangeaison, ils détourneront
l’ouïe de la vérité, et ils la tourneront vers des fables.
Commençons
par redonner cette parole sainte : …
vous
soumettant les uns aux autres dans la crainte du Christ (Éph.
5, 21).
Pour
commencer, nous constatons que Saint Paul ne dit pas, et ceci est
important :
→ … vous
soumettant les uns aux autres et les autres aux uns…
→ … vous
soumettant mutuellement (ou réciproquement) les uns aux autres…
1.B.1.b - Voyons
la soumission des uns
aux autres – Autorité !
Nous,
nous avons bien lu vous
soumettant les uns aux autres, ceci dit comme
l’on dirait donc :
→ les
femmes (les un(e)s) vous soumettant aux Maris (les autres) ;
en effet, si vous
soumettant les uns aux autres, comme les
vicieux le prétendent, veut dire une réciprocité de soumission
(chose évidemment impossible), alors comment justifier, comprendre
ce que Saint Paul dit tout juste après : Que
les
femmes soient soumises à leurs maris,
comme au Seigneur ; car
le
mari est le chef de la femme,
comme le
Christ est le chef de l’Église,
qui est Son corps, et dont Il est le Sauveur. Or,
de même que l’Église
est soumise au Christ,
de même aussi les
femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses.
(Éph.
5, 22-24) ! ; Saint Paul se
contredirait-Il ?
→ ou
bien les
serviteurs (ou sujets, les uns) aux Maîtres (les autres) ;
en effet, si vous
soumettant les uns aux autres, comme les
vicieux le prétendent, veut dire une réciprocité de soumission
(chose évidemment impossible), alors comment justifier, comprendre
ce que Saint Pierre dit ailleurs : Serviteurs,
soyez soumis en toute crainte à vos maîtres ; non seulement à
ceux qui sont bons et humains, mais aussi à ceux qui sont
difficiles.
(Pierre
2, 18) ! ; Saint Pierre
viendrait-Il contredire Saint Paul ?
Le
…
vous soumettant les uns aux autres est à
accepter comme disant très exactement :
les assujettis ou les uns (épouses,
serviteurs, gents de royaume, ouvriers, etc.)
soyez soumis aux Autorités ou
les autres (Maris, Maîtres, Roys, Patrons,
etc.) et ce dans
la crainte du Christ [notre cru] qui tirera
vengeance de toute insoumission !, révolte…
1.B.1.c - Voyons
la soumission des uns
aux autres – Devoir d’état !
Il
existe un autre type de soumission, celle que nous impose notre
devoir d’état !, se soumettre à son devoir d’état, soit
le réaliser !
L’ouvrier
est soumis à son ouvrage, réalisation dont dépend son salaire !
La
femme est, doit être, soumise en toutes choses à son Époux, sa
soumission à son devoir d’état ; et, l’Époux à son
devoir d’état auquel il doit se soumettre, qui est de diriger de
main de maître Son épouse (enfants, gents de Maison, etc.).
Ainsi,
nous avons perdu le paradis terrestre par l’insoumission d’Ève,
ici les
uns, refus de son devoir d’état : ne
pas s’écarter d’Adam ; et validé par l’insoumission
d’Adam, ici les
autres, refus de son devoir d’état :
(re)brider Ève et la corriger !
1.B.1.d - Voyons
la soumission des uns
aux autres – Adversités !
Ne
sommes-nous pas soumis aussi aux éléments ?, le vent, la
pluie, la chaleur, etc. ; à la maladie, la vieillesse, etc.
Et
là, l’Époux voyant son épouse alitée, n’est-Il pas alors,
aimant qu’Il est, soumis temporairement, le temps qu’elle se
rétablisse, aux tâches qu’elle doit normalement réaliser :
ménage, repas, enfants à s’occuper, etc ?
1.B.1.e - Concluons
ce point !
Oui,
bien certainement, afin d’être heureux ici-bas, et heureusement
justifiés plus tard à notre Jugement sans appel par Notre-Seigneur
Jésus-Christ (NSJC), soyons bien effectivement, et ce sans tordre
cette sainte parole selon nos luciabéliennes démangeaisons :
soumis
les uns aux autres dans la crainte du Christ !
1.C - Votre
pasteur émasculé, amant de Luciabel !
Ensuite
vous écrivez en votre courrier : Mon
épouse a entendu un jour un pasteur évoquer cette étrange
soumission mutuelle mais ce même pasteur , dans une prédication a
dit quelque chose du style : " j'aimerais faire ceci mais ma
femme ne veut pas … !! ". Il semblerait que la soumission
aille plutôt dans un sens ..et dans son sens à elle !
L’on
dit que La
nature a horreur du vide ! ; nous
devrions donc dire que Les
sociétés humaines ont horreur de l’absence d’Autorité !
Toute
société devant avoir une Autorité, et sachant pertinemment qu’une
Autorité ne peut se partager (mensonge notamment qu’est ladite
démocratie), ainsi :
→ si
l’Autorité légitime fait scandaleusement défection : Adam,
le Roy, votre Pasteur, l’Époux, etc.
→ alors
c’est unedite Autorité qui accapare les rênes, ou la houlette de
cette société : Ève, ladite démocratie, la femme du Pasteur,
l’épouse, etc.
Pour :
les rênes, ou la houlette de cette société :
Oui
bien en effet, si donc votre Pasteur ne fait pas Sa légitime
volonté, car de Droit divin, en Sa Famille ; c’est alors sa
femme qui impose contre-naturellement sa volonté dedit droit
luciabélien ! C’est l’Un ou l’autre qui exerce !
Il
a dit, ce pervers de Pasteur : j'aimerais
faire ceci mais ma femme ne veut pas… !!
Ou
soit dit clairement : je
suis un plat de nouille [émasculé donc] incapable de vouloir, et
bêlant stupidement un désir, que, sautant sur l’occasion qui lui
est scandaleusement donnée, ma femme s’empresse de me refuser afin
de me tenir sous sa tyrannique dépendance !
Pour :
et bêlant stupidement un désir :
1.D - Critiquer
un article dont vous nous faites part…
Vous
finissez votre bon message ainsi : Cette
'soumission mutuelle' , je l'ai revue dans dans un message chrétien
de 2011 dont j'ai partagé la lecture avec mon épouse.
Nous
aimerions tous deux que vous donniez à ce message récent le même
éclairage que vous avez donné à l'article datant du 19ème siècle
, pour le bien et l'édification de tous ceux qui vous liront. Car la
Vérité est atemporelle et le mensonge doit être combattu sans
relâche par les soldats de Christ.
Analysons
maintenant cet article que, Lecteurs,
vous trouverez en annexe, point 1.F.1, Article à étudier : Dans les choux - Septembre 2011,
ou en suivant le lien ci-dessus.
1.D.1.a - Déconstruction,
terme particulièrement débile…
… dénotant
bien un esprit à la remorque du monde… Le
terme qui n’existe que dans des cerveaux
détraqués,
déconstruction,
fut inventé par des
forcément luciabéliens
vers 1972 !
Pour :
un esprit à la remorque du monde :
→ N’aimez
pas le monde, ni les choses qui sont dans le monde. Si quelqu’un
aime le monde, l’amour du Père n’est point en lui, car
tout ce qui est dans le monde est concupiscence de la chair, et
concupiscence des yeux, et orgueil de la vie ; et cela ne vient
pas du Père, mais du monde. (Jean 2,
15-16)
→ Eux,
ils sont du monde ; c’est pourquoi ils parlent selon le monde,
et le monde les écoute. Nous, nous sommes de Dieu. Celui qui connaît
Dieu nous écoute ; celui qui n’est pas de Dieu ne nous écoute
pas. C’est par là que nous connaissons l’esprit de vérité et
l’esprit de l’erreur. (Jean 4, 5-6)
Il
y en a qui :
→ déconstruisent
une maison, cela évite de dire qu’ils la démolissent.
→ déconstruisent
une automobile, pour ne point dire la mettre à la casse.
→ arrivent
à déconstruire
un plan mal fait,
ce qui évite de dire qu’il doivent
refaire ce qui a été mal fait !
→ déconstruisent
des préjugés, pour ne point dire qu’ils subvertissent tout
l’Ordre divin ou naturel.
→ etc.
Ainsi
le site qui publie cet article dit :
→ s’inscrit
dans un vaste projet de déconstruction, et
plus loin dans le même tortillage de la pensée cet
enseignement, qui repose plus sur une idéologie que sur une base
scientifique, ce afin de ne point dire la
Vérité, qui est que cedit
enseignement n’est qu’idéologie luciabélienne, et évidemment
ne repose aucunement sur une base scientifique, parce que divine.
→ déconstruction
de la reproduction, pour ne point dire
tripotage de la vie, et ce de façon chaque fois plus scandaleuse et
monstrueuse.
→ déconstruction
de la famille, comme si l’on pouvait se
séparer de soi-même, ce pour ne point dire destruction de cette
Famille par notamment la séparation-divorce.
Pour :
si l’on pouvait se séparer de soi-même :
→ etc.
À
force d’inventer malicieusement des mots, comme fratrie,
et le plus possible passe-partout et de préférence vides de sens,
l’on habitue les gents à ne plus penser, mais qu’à entendre
d’une oreille un verbiage nauséabond ; l’on appelle cela du
lavage de cerveau !, du conditionnement !, et l’on en
vient à entendre des conversations presque que formées par des
slogans tous à la mode du jour dans des bureaux et partout où à
tout bout de champ fusent des tout
à fait, ou autant
pour moi, des c’est
trop, ou le créer
du lien, etc.
Pour :
malicieusement des mots, comme fratrie :
Pour :
des c’est
trop :
C’est
trop, comme en dernier l’un disait :
Ce
mouton avait trop l’air heureux, obligé qu’on le mette sur le
blog! ;
quel français !, s’entent-il parler ?, comment peut-on
trop
aimer, ou trouver trop
beau un enfant, son agneau ou une fille ?
L’on
peut ne pas assez aimer, mal aimer en gâtant, mais trop aimer !,
même le Bon Dieu qui nous aime infiniment ne nous aime pas de trop !
Oui !,
leur Éternité en enfer ne sera pas certainement de
trop pour leur faire payer leurs crimes !,
leur suivisme de Luciabel !
Pourquoi ?,
mais pourquoi donc doit-on bêler toujours comme le plus
grand nombre et avec le plus
grand nombre, les autres ?, sur
la même flûterie
que les autres ?, l’on appelle cela
l’esprit de troupeau !, le
suivisme !, l’abdication de sa réflexion et sa pensée :
tous
ensemble, tous ensemble !, ouais !, ouais !,
vers les abîmes éternels !
Pour :
ouais !,
ouais !,
vers les abîmes éternels :
Tout
cet article est pas mal jargonné
comme intentionnellement,
assurément, ce
en plus du fameux déconstruire…
Nous
n’allons que pointer certains passages.
1.D.1.b - L’image
de Dieu est en l’Homme, et en la femme ?
L’auteur
dit bien, et ce sans césurer son texte :
C’est
la création d’Adam (Gen. 1 :27) qui porte cette image et non
celle d’Eve
(Gen. 2 :22.)
L’image
de Dieu se trouve dans
l’homme et la
femme,
qui, bien que différents, se complètent pour former un seul corps
(Gen 2:24.)
Ainsi
en deux phrases bien juxtaposées, cet auteur dit la chose et son
contraire, sauf erreur de notre part :
1. Ève
ne porte pas l’image de Dieu : C’est
la création d’Adam qui porte cette image et non
celle d’Eve.
2. Ève
porte l’image de Dieu : L’image
de Dieu se trouve dans
l’homme et la
femme.
Que
l’on ne nous dise pas que l’auteur veut dire simplement que la
femme réunie à l’Homme porte conséquemment l’Image de Dieu que
l’Homme porte !
Non !,
seul l’Homme est à l’Image de Dieu, et la femme réunie ou non à
l’Homme de par le Sacrement de Mariage, ne porte aucunement cette
Image de Dieu !
La
femme réunie ou non à l’Homme de par le Sacrement de Mariage
n’est que
la gloire de l’Homme : L’homme
est l’image et la gloire de Dieu, tandis
que la femme est la gloire de l’homme.
Pour :
La femme […] que la gloire de l’Homme :
Remarquons
bien le et
en ce texte : L’homme
est l’image et
la gloire de Dieu !
Et
remarquons maintenant que Saint Paul dit que la
femme est la gloire de l’homme,
uniquement !, et non qu’elle est l’image
de l’Homme comme nous, nous l’avions dit
par pure charité comme vous le verrez en le renvoi ci-dessus !
Ainsi
donc, la femme ne serait même pas l’Image
de l’Homme, mais rien que sa
gloire !
Toutefois,
insistons, nous, par Amour pour elles, nous pensons, et Saint Paul
certainement ne nous contre-dirait pas, que la femme est une certaine
(car diminuée, proportionnée, ordonnée) image de l’Homme, en
plus que sa gloire !
1.D.1.c - Égalité,
complémentarité, ou totale sujétion, pour la femme ?
Cet
auteur continu ainsi : Par
exemple, Christ, existant en forme de Dieu, n’a pas regardé comme
une proie à arracher d’être égal avec Dieu (Phil. 2 :6) De même
qu’il n’y a aucun conflit d’égalité entre le Père le Fils et
l’Esprit du Dieu Un, il ne peut y avoir aucun conflit entre homme
et la femme au sujet de l’égalité ou de la supériorité. Car Eve
a été créée semblable et non égale à l’homme (Gen. 2 :18)
Tout
cela pour dire quoi ?, pourquoi tant
tortiller sadite pensée ?,
dans le but de confusionner !, alors qu’il suffit d’aller
droit au but, à la Vérité :
Saint
Paul : Que
les femmes soient soumises à leurs maris, comme
au Seigneur ;
car le mari est le chef de la femme, comme le Christ est le chef de
l’Église, qui est Son corps, et dont Il est le Sauveur. (Éph. 5,
22-23)
Et
en effet, le comme
au Seigneur peut faire penser, pour la
femme, comme à une double inféodation !, soumise
à son mari et soumise
au Seigneur ; alors, pour dissiper cette
grossière erreur, car une double Autorité ne peut évidemment
exister, lisons sur le même sujet une meilleure expression :
Saint
Pierre : Femmes,
soyez soumises à vos maris, comme
il convient dans le Seigneur.
(Col.
3, 18)
Ou,
comme le dit une
ancienne source : Femmes,
foyez foumifes à vos maris, comme
il eft raifonnable, felon le Seigneur.
Ou,
redit en français actuel : Femmes,
soyez soumises à vos maris, comme
il est raisonnable, selon le Seigneur.
[notre cru]
Ou,
redit plus clairement ainsi : Femmes,
soyez soumises à vos maris, comme
il est raisonnable, selon la volonté du Seigneur.
[notre cru]
Ainsi,
il est évident que ladite complémentarité est une tentative de
noyer la Vérité !, d’introduire une égalité comme
proportionnée (contradiction interne !), soit une dualité,
soit une confrontation, soit une mine bien réelle dans les
fondations sacrées de l’institution de la Famille : le
Sacrement de Mariage !
En
complément bien nécessaire, voyez lire :
Plus
loin, l’auteur confirme bien son intention de tout confusionner, il
dit : Dans
un couple chrétien où le mari est soumis au Seigneur, si
la femme est soumise au Seigneur
comme le Seigneur est soumis au Père, alors le mari et la femme sont
réciproquement soumis l’un à l’autre dans la crainte du
Seigneur. C’est ce que dit Eph. 5 :22 : « Que les femmes le soient
comme le Seigneur »
Répétons,
et cela en devient bien lassant, la
femme n’est
pas, aucunement soumise
au Seigneur [Dieu], mais uniquement à son
Époux !, Époux qui Lui est soumis au Seigneur Dieu !
1.D.1.d - Concluons
l’analyse critique de cet article.
Cher
Soldat de Christ, il est bien difficile
de faire une critique plus étendue de cet article volontairement
confus, en effet, contrairement à celui dont vous nous avez parlé
et qui énonçait un
grossier mensonge
et une grossière
contradiction en disant que soumise
à l’homme, la
femme domine l’homme
: telle
est la volonté de Dieu,
celui-ci ne sort pas une
grosse et bien crasse erreur ; mais
soûle avec desdits raisonnements
bien alambiqués et des textes opposés les uns aux autres, voire
même biaisés, l’erreur est plutôt
diffuse.
Pour :
à celui dont vous nous avez parlé :
L’intention
de l’auteur est bien maligne, en effet, tout en se disant
dénonceur
des courants luciabéliens actuels, il ancre sournoisement au
moins unedite égalité des sexes qu’il
masque bien soigneusement en l’appelant complémentarité…
1.E - Concluons
pour l’instant.
Cher
Soldat de Christ nous espérons bien avoir répondu à votre légitime
attente : J'aimerais
votre avis là -dessus.
Biens
fatigués, nous désirons nous consacrer encore plus à la prière,
sachant surtout que bien semblement
les jours inouïs annoncés
prophétiquement arrivent
si dramatiquement et inexorablement.
Pour :
les jours inouïs annoncés
prophétiquement :
Chers
Soldat de Christ et Chefs et futurs Chefs de Famille, nous restons
tout de même à votre disposition ! ; mais de grâce
priez, priez pour vous et les vôtres, et pour nous nous vous le
demandons ; soyez tous assurés bien réellement de nos prières
journalières et ardentes pour tous ceux qui visitent ce site et
principalement pour ceux que nous connaissons bien agréablement de
par les commentaires…
Que
le Bon Dieu Vous bénisse tous, Vous et Vos Maisons !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
1.F.1 - Article
à étudier : Dans les choux -
Septembre 2011
Il
est fini le temps où la cigogne déposait les petits garçons dans
les choux et les petites filles dans les roses. Depuis une
quarantaine d’année, certaines normes de la société ont changé.
Elles redéfinissent la femme, l’homme, le mariage et la famille.
Les premiers mouvements féministes ont donné une certaine
légitimité aux revendications initiales d’égalité des
sexes et de parité. Le droit de vote des femmes fut leur première
victoire en France. Puis vinrent les lois sur la contraception et
l’avortement. Maîtrisant sa fécondité, la femme repoussa alors
aux frontières du couple, de la famille et de la société, l’époux,
le père et l’homme.
Jusqu’à
présent, le genre masculin correspondait au sexe masculin et le
genre féminin au sexe féminin. L’analyse marxiste de l’histoire
selon laquelle la « classe des puissants » opprimerait la « classe
des faibles » s’en mêla. En occident, la différence des sexes
fut analysée comme la domination de l’homme sur la femme. Selon
cette idéologie, les valeurs de la société rabaisseraient la femme
par rapport à l’homme. Le remède consisterait à « gommer » les
différences homme femme, notamment le vecteur majeur de leur
inégalité la famille issue d’un mariage monogame.
De
même que dans les années 1950-1960 il était inconcevable qu’un
intellectuel critique le marxisme, tant la culture officielle
encensait cette idéologie, la nouvelle idéologie condamne par des
lois tout ce qu’elle ne formate pas au nom de l’homophobie ou de
la discrimination.
En
France, l’une des prochaines « avancées » dans l’égalité
homme femme sera probablement la légalisation du mariage de deux
personnes de même sexe, puis de l’homoparentalité. Ce
nouveau type de « mariage » n’a pu être défini qu’à partir
de droits qui n’ont jamais existé, ceux des hétérosexuels à se
marier entre eux. La nouvelle « famille » vient alors en réponse à
cette question : « pourquoi les hétérosexuels seraient les
seuls à avoir le droit de fonder une famille ? »
Ce
n’est cependant pas l’orientation sexuelle des hétérosexuels
qui a fondé le mariage ou la parenté dans toutes les civilisations,
mais le sexe, c’est à dire ce qui différencie un homme d’une
femme. Cette distinction sexuelle est indélébilement écrite dans
les chromosomes de chaque être humain. Quelle que soit son
orientation sexuelle, personne ne peut modifier ce marqueur sexuel
indélébile.
Il
paraitrait qu’en France, on enseignerait à certains élèves de
terminale que leur identité sexuelle résulte d’influences
culturelles arbitraires. Tout type de relation sexuelle serait donc
acceptable. Est-ce le rôle de l’école laïque que de s’immiscer
dans l’intimité des familles ? Et puis, la sexualité
n’apparaissant qu’à un certain âge pour disparaître à un
autre, les gens sans sexualité sont probablement les plus nombreux.
Quelle valeur peut avoir une identité des individus basée sur
certaines orientations sexuelles minoritaires ?
Cet
enseignement, qui repose plus sur une idéologie que sur une base
scientifique, s’inscrit dans un vaste projet de
déconstruction. Déconstruction du sexe en lui donnant une
définition nouvelle caractérisée par une absence de définition
permettant à chacun de choisir son « genre » en fonction de son
inclination sexuelle. (A sa naissance l’être humain serait
sexuellement neutre. C’est son milieu culturel qui lui imposerait
un rôle masculin ou féminin.)
Déconstruction
de la reproduction, puisqu’elle serait socialement déterminée.
D’ou le contrôle de la fécondité féminine (avortement,
insémination artificielle) Déconstruction de la famille, d’où
l’apparition de familles homoparentales.
Déconstruction
de la société. Le marxisme promettait l’homme nouveau, le nazisme
l’homme pur, l’idéologie du « genre » annonce un homme et une
femme interchangeables au nom de fausses valeurs égalitaires et
promet une famille fondée en fonction de l’orientation sexuelle.
Un parent ne serait plus nécessairement celui qui donne l’existence
à son enfant, mais celui qui s’engagerait à l’élever. Cette
déconstruction touche certaines églises qui acceptent la
notion de « partenaire » d’activités (issue du nouveau mariage
qui n’est plus indissoluble,) puis la reconnaissance de ministères
pastoraux féminins voire homosexuels.
Au
Dieu se révélant sur le Sinaï comme le « je suis celui qui suis»
(Ex. 3 :11), certains rétorquent : « moi aussi, je suis, »
refusant d’être le sujet, c’est à dire d’être assujetti au «
je suis » divin. Car être soumis, serait ne pas être soi-même
mais être ce que le supérieur exige, et serait entrer dans un
rapport créateur créature. Par exemple, être sexuellement
déterminé sans y être pour quoi que ce soit suppose l’acceptation
de la réalité des choses ou la soumission à la volonté supérieure
qui a déterminé le sexe. C’est le rejet de l’ordre de la nature
ou le refus de se soumettre à une volonté supérieure à la sienne
qui conduit l’homme à rejeter le Dieu qui se définit comme le «
je suis »
Pour
créer sa nouvelle identité, la créature usurpe la place du
créateur. Dans cette perspective, l’homme n’a plus à se
soumettre à l’ordre naturel des choses surtout s’il sait qu’il
a été voulu par Dieu. Désormais, chaque individu peut choisir son
genre, son orientation sexuelle et le type de famille qu’il
souhaite fonder.
La
Bible évoque la révolte de l’adversaire de nos âmes, qui, dans
les temps anciens, voulait avec certains anges s’élever au dessus
de Dieu (Esaïe 14 :12-14) Sous le nom de « fils de la perdition »
il doit réapparaître à la fin des temps se proclamant Dieu
lui-même (2 Thes. 2 :2-3) C’est le tentateur qui, dans le jardin
d’Eden, incitait les créatures à se prendre pour le créateur
(Vous serez comme des dieux Gen. 3 :5)
Au
lieu de chercher à unir l’homme et la femme dans leur
complémentarité, la société actuelle pousse la femme à
revendiquer un pouvoir qui exclut l’homme de la procréation et de
la vie familiale. L’altérité humaine trouve son origine dans
celle de Dieu qui est un en trois personnes. De quelle manière
l’image de Dieu se retrouve-elle dans l’homme ? C’est la
création d’Adam (Gen. 1 :27) qui porte cette image et non celle
d’Eve (Gen. 2 :22.) L’image de Dieu se trouve dans l’homme et
la femme, qui, bien que différents, se complètent pour former un
seul corps (Gen 2:24.) Sans différence, pas d’altérité, pas
d’amour de l’autre.
La
Bible est à comprendre à la lumière de l’amour de Dieu et non à
travers la lutte des classes. Une lecture marxisante de Gen. 3 :16 «
ton mari dominera sur toi » répliquera que la femme n'a pas à être
dominée par l'homme.
La
traduction Segond 1910 d’Eph. 5 :22 invite les femmes chrétiennes
à être « soumises à leur mari comme au Seigneur». Un titre,
généralement « les devoirs familiaux et sociaux » (qui ne fait
pas partie du texte inspiré de la Bible) vient obscurcir le sens des
versets 21 22 en les séparant. Le verset 22 dit : « Que les femmes
le soient comme le Seigneur » et non que les femmes soient soumises
à leur mari. Ce passage ne demande pas à la femme d’être soumise
à son mari mais lui propose d’être soumise comme le Seigneur a
été soumis. Il est la suite du verset 21 : « vous soumettant les
uns les autres dans la crainte de Christ. » La crainte Christ n'est
pas la peur d'une sanction mais la crainte engendrée par l'amour. A
force d'aimer Dieu, on craint de lui déplaire. Le verset 21 invite
chaque croyant, homme, femme ou enfant, à une soumission réciproque
dans la crainte de Christ.
«
Car le mari est le chef de la femme » continue Eph. 5 :23 La nature
de cette soumission à un chef se retrouve dans 1 Cor. 11 :3 «
Christ est le chef de l’homme, l’homme est le chef de la femme et
Dieu est le chef de Christ » Le mot « chef » utilisé, qui veut
également dire « tête » permet de comprendre la soumission. Ce
passage souligne que s’il n’y a pas d’égalité dans la
création de Dieu, cette inégalité n’est pas source de conflit
quand elle est vécue dans la crainte (l’amour) de Dieu.
Par
exemple, Christ, existant en forme de Dieu, n’a pas regardé comme
une proie à arracher d’être égal avec Dieu (Phil. 2 :6) De même
qu’il n’y a aucun conflit d’égalité entre le Père le Fils et
l’Esprit du Dieu Un, il ne peut y avoir aucun conflit entre homme
et la femme au sujet de l’égalité ou de la supériorité. Car Eve
a été créée semblable et non égale à l’homme (Gen. 2 :18)
C’est
par l’image du couple que Dieu a voulu faire comprendre la place de
l’Eglise. Christ est le chef de l’Eglise ce qui l’a conduit non
à la soumettre par la force mais à se soumettre, lui, le fils de
Dieu, à la volonté du Père et l’a conduit, par amour, à mourir
pour elle. Dans la mesure où le mari aime sa femme de cette manière,
il en devient autant le chef que Christ est devenu le chef de
l’Eglise. Il devient alors celui qui est en tête, qui donne
l’exemple à suivre et qui prend les coups dans la bataille.
Dans
un couple chrétien où le mari est soumis au Seigneur, si la femme
est soumise au Seigneur comme le Seigneur est soumis au Père, alors
le mari et la femme sont réciproquement soumis l’un à l’autre
dans la crainte du Seigneur. C’est ce que dit Eph. 5 :22 : « Que
les femmes le soient comme le Seigneur »
Dans
la forme finale de l’humanité, les femmes ne revendiqueront aucune
égalité avec les hommes puisque dans l’éternité, les
ressuscités (sauvés ou perdus) seront «semblables aux anges.»
(Marc 12 :25.) Alors, «les enfants de Dieudeviendront semblables à
lui parce qu’ils le verront tel qu’il est.» (1 Jean 3:2)
Les
croyants peuvent avoir l’avant goût de cet état céleste dans la
mesure où ils sont un en Jésus-Christ. (Gal 3:28) et où leur vie
chrétienne les conduit à être membre du «de Christ» ( Col 3:15
Eph 5:23.)
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