Du :
27.07.2010, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mar. 22 juil. 2014,
19.59.
Table
de la LF-2010-…
7
- Lettre à nos filles :
Dame Isabelle, vous parler dudit choix de vie, orgueil camouflé…
7.A
- Isabelle, du
travail féminin, du nécessaire et du superflu…
7.A.1
- Petites
digressions…, mises en bouche…
7.A.1.a
- Pourquoi :
salut très respectueux à votre Époux ?
7.A.1.b
- Dites-nous,
pourquoi ‘dame’ Isabelle ?
7.A.1.c
- N’écrivez
pas, sur vos cartons d’invitation, vos enveloppes, etc…
7.B
- Venons-en
maintenant à votre lettre, dame Isabelle
7.B.1.a
- La pauvresse
d’Anne Bersot : Mère au foyer - Choisir de rester à la
maison
7.B.1.b
- Je refuse
Votre Loi tout en m’imposant de plus grandes contraintes
7.B.1.c
- Revenons à la
pauvresse d’Anne Bersot
7.C
- Afin d’être
cohérents, et par respect pour votre Époux !
7.C.1.a
- Soyez une
sainte femme, soyez-Lui délicieusement soumise !
7.C.1.b
- Voici de beaux
Conseils donnés en 1393
7.D
- Concluons pour
l’instant
7.E
- Post-scriptum –
Ajouté après publication.
7.A - Isabelle,
du travail féminin, du nécessaire et du superflu…
Votre
exemple : la Très
Sainte Vierge Marie.
Votre
Fiat : Je suis la
servante de mon Époux,
qu’il me soit fait selon Sa Parole…
Écrit
principalement en la Sainte Anne,
mère de la Très-Sainte Vierge
Marie,
et publiée le lendemain en la Saint Pantaléon,
le
mardi 27 juillet 2010,
cette lettre Leur est confiée !
Dame
Isabelle, salut très respectueux à votre Époux !,
Voici
la réponse que nous vous annoncions, en voici les principaux
points :
7.A.1 - Petites
digressions…, mises en bouche…
7.A.1.a - Pourquoi :
salut
très respectueux à votre Époux ?
Puisque
nous vous savons maintenant très heureusement sous l’Autorité
d’un Époux, nous nous devons de Le saluer en premier, et c’est
ce même sentiment qui fit dire à Saint Paul : Je
fléchis les genoux devant le Père de Notre Seigneur Jésus-Christ,
duquel toute paternité dans les Cieux et sur la terre tire son nom.
7.A.1.b - Dites-nous,
pourquoi ‘dame’ Isabelle ?
Voyez-vous,
et cela participe un peu à la confusion générale actuelle, l’on
dit improprement monsieur,
madame,
mademoiselle,
etc. ; tout ceci est très important :
Si
vous dites : monsieur…
… ceci
est presque toujours impropre, en effet, cet Homme n’est pas pour
vous votre
Sieur ; aussi devrions-nous dire
ordinairement comme dans le temps : Sieur
Untel…
Pour :
ceci est presque toujours impropre :
Toutefois
cette erreur porte peu à conséquence lorsque ce terme est employé
entre Hommes.
Par
contre l’épouse peut dire mon
Sieur, ou mon
Maître et Seigneur, comme elle peut dire, et
qu’elle, mon
Époux !
Les
gens de Maison, serviteurs et servantes, peuvent dire mon
Sieur, comme ils peuvent dire aussi notre
Maître ou notre
Seigneur…
Si
vous dites : madame…
… ceci
est pratiquement toujours impropre, et de le dire porte fort à
conséquences, en effet, cette femme n’est pas pour vous votre
dame ; aussi devrions-nous dire
ordinairement comme dans le temps : dame
Untel…
Par
contre l’Époux peut dire Ma
dame, comme Il peut dire, et que Lui seul,
Mon
épouse !
Les
gens de Maison, serviteurs et servantes, peuvent dire ma
dame, comme ils peuvent dire aussi notre
dame ou notre
maîtresse…
Ci-dessus,
pourquoi dites-vous : dame
Untel,
… n’auriez-vous
pas dû écrire dame
Unetelle ?, non !, parce que
l’épouse porte le nom de son Époux, qui dans notre exemple
s’appelle Untel !
Pour :
[tout ce qui précède] :
Voyez
aussi ce qui suit :
7.A.1.c - N’écrivez
pas, sur vos cartons d’invitation, vos enveloppes, etc…
Notes :
1) Ce
texte est le brouillon d’un prochain chapitre du document principal
(DP).
2) Pour
faire moins long, Monsieur est écrit M.,
madame, Mme ;
nous supposons que l’Époux se nomme Martin
Untel, et que l’épouse se nommait et non
se nomme, jeune fille donc, Marie
Unetelle.
3) Ce
texte devait être adressé aux Hommes…
Nous
l’avons toujours dit, sans aucune,
mais alors aucune langue de
bois !
N’écrivez
pas, disions-nous, sur vos cartons d’invitation, vos enveloppes,
etc. :
→ M.
Untel, mais M.
Martin Untel : Soyez fiers de votre
Saint Patron ; de plus ce prénom vous distingue des autres
Untel !
→ M.
Untel Martin, mais M.
Martin Untel : Irrespect du Saint et
inélégance, diriez vous Martel Charles ? Anglicisme, ou
perversion, c’est comme vous le voulez ! Du reste ne dit-on
pas prénom !,
et non subnom ;
pré…, veut bien dire avant !
→ M.
martin Untel, mais M.
Martin Untel : Idem, pourquoi minorer
votre Saint Patron en l’écrivant avec une minuscule au début ?,
quelle insulte ou pour le moins irrévérence pour le Saint Patron.
→ Mme,
M., mais M.,
Mme : Contre-nature, émasculé, l’Homme
passe toujours
avant la femme, et dans les discours il en va de même, et de plus
lors d’harangues, l’orateur ne peut que s’adresser qu’aux
Hommes qui sont de
toutes les façons les seuls à
être concernés par ces choses politiques ou sociales, par tout ce
qui est public.
Pour :
l’Homme passe toujours
avant la femme :
Voyez
notre réflexion sur ladite galanterie*
[Lisez-moi],
malicerie*
parmi les maliceries !
→ M.
Martin Untel & Mme Marie Unetelle, mais
M.
& Mme Martin Untel : Seriez-vous ‘à
la colle’ ?, concubins ? ; l’épouse ne peut que
porter le nom de son Époux ! D’avancer le nom qu’elle
porta, avant de changer de Maison par son Oui !,
n’est que révolte !
Pour :
ne peut que porter le nom de son Époux :
→ M.
Martin Untel & Marie Untel, mais M.
& Mme Martin Untel : L’épouse
porte le
nom entier de son Époux, soit le
prénom suivit du nom de son Époux comme un étendard ! ;
se cache, s’abrite derrière, ne doit pas livrer son prénom, hors
du cercle très restreint de la Famille de son Époux, doit être
modeste, effacée… Elle n’est visible, n’existe, comme l’ombre
du reste, que parce que son Époux brille, existe. Les petits vicieux
sont priés de ne pas se pointer avec le cas de la veuve, entre
autres !
→ Je
suis le mari d’Unetelle, ou, je
suis l’Époux de cette femme, mais Cette
femme est mon épouse : La référence,
la personne à qui est reportée l’autre, c’est Vous :
l’Époux ! Diriez-vous : Je
suis l’arbre de cette ombre ? Vous
direz : cette
ombre est mon ombre, ou cette
femme est Mon épouse. Elle n’est que celle
qui épouse l’Époux ; que Lui, est !
→ Etc.,
etc., etc.
7.B - Venons-en
maintenant à votre lettre, dame Isabelle
Vous
avez mis un commentaire où vous nous demandiez notre avis,
et nous allons maintenant vous répondre.
Pour
commencer, merci beaucoup pour vos prières, nous en avons tellement
besoin… ; comme votre Époux et tous les Siens aussi… ;
et tous ceux qui viennent sur ce site bien intentionnés, ou étonnés
mais désirant réellement comprendre, ou vicieusement comme le très
grand nombre qui se précipitent frénétiquement en enfer ; de
nous, sachez que tous les jours et de très nombreuses fois par jour,
nous prions pour tous…
Et,
ce qui vous choque, la passivité de ceux qui devraient se trouver en
première ligne pour défendre la Vérité, des Chrétiens et encore
plus des Catholiques : nous choque au moins autant que vous, et
ce depuis bien plus de trente cinq ans !
Pour :
ce qui vous choque, la passivité :
De
fait complicité tout à fait objective, et même frénétiquement
active le plus souvent.
Pour :
et encore plus des Catholiques :
Ne
parlons même pas de ladite Église catholique qui éclipse*
la véritable.
Nous
avons validé votre message…, et même pas une heure après
arrivaient déjà des sarcasmes (tous refusés) à son sujet ;
comme quoi cette personne, Anne Bersot, dont nous allons parler
ensuite était très bien, et comme quoi vous seriez une oie blanche…
Les
chiens aboient, et la caravane passe…
7.B.1.a - La
pauvresse d’Anne
Bersot : Mère au foyer - Choisir de rester à la maison
L’hypocrisie
féminine dans toute son horreur, ou son non
serviam* en tenue de camouflage !
Voyez
ce que cela donne sans les principes : l’on choisit de faire
‘bien’, pour se faire accroire que l’on fait bien !, soit
le pire des mensonges, car il est dirigé vers soi-même, c’est
vouloir de volonté certaine se tromper, soit tromper soi-même, où,
le oui
mais non dans toute son horreur : oui
je veux être au foyer, mais
non parce que je le dois !
C’est
exactement comme si Adam s’était dressé devant Son Dieu que le
punissait très justement de n’avoir point compatit
à sa femme en Lui disant : Vous
mangerez votre pain à la sueur de votre visage,
pour Lui rétorquer : Je
ne travaillerai pas pour Vous obéir !,
refus donc de la Loi de Dieu et de Sa punition ;
mais uniquement par ‘choix de vie’, parce que Je le veux !
Pour :
de n’avoir point compatit à sa femme :
En
effet, il
devait la discipliner,
puisqu’elle était son inférieure !
Pour :
votre pain à la sueur de votre visage :
7.B.1.b - Je
refuse Votre Loi tout en m’imposant de plus grandes contraintes
Ce
n’est que cela partout, oui
mais non, ou non
mais oui ici :
L’on
refuse le carême prescrit par l’Église (le non) ;
mais
l’on se restreint pour garder sadite ligne (le oui) !
L’on
refuse de mortifier son corps (le non),
mais
l’on le mène encore plus durement pour être undit surhomme :
fakirs, para-commandos, etc. (le oui) !
L’on
refuse la Charité à son voisin (le non),
mais
l’on est philanthrope (orgueil, hypocrisie)
(le oui) !
L’on
refuse de s’habiller comme une femme (le non),
mais
l’on le fait pour séduire malicieusement (le oui) !
L’on
refuse d’accepter la Loi et la correction éventuelle de son Époux
(le non),
mais
l’on demande horriblement à son partenaire de vous faire souffrir
(le sadomasochisme) (le oui) !
L’on
détruit (contraception, avortement, limitation) la Vie (le non),
mais
l’on va faire
un enfant* (programmation, quand l’on veut)
(le oui) !
L’on
refuse de se donner à son Époux sous le regard attendri de son Dieu
d’amour, ce allant jusqu’à l’accuser dedit viol (le non),
mais
l’on dit ‘faire
l’amour*’, soit bestialement, pour
‘gagner sa vie’, de fait gagner l’enfer éternel (le oui) !
Pour :
L’on refuse de se donner à son Époux :
Devoir
conjugal : si il y a refus
(ou même passivité, ou résistance), c’est toujours un péché
mortel (faute (très) grave) pour l’épouse, dans ce cas l’Époux
peut, ou même doit utiliser la contrainte (où, l’escroquerie
dudit viol conjugal apparaît dans toute son horreur !) ;
si il y a refus de l’Époux, cela peut être péché mortel,
l’épouse peut, révérencieusement, utiliser la prévenance
appuyée, le charme, la séduction (ici légitime) !
Etc.,
etc., etc. !
Tout
est là !, ne voulant pas servir (non
serviam*) mais faire sa volonté, l’on
refuse le délicat ruban de la Loi de notre Dieu d’Amour, et l’on
s’impose les lourdes chaînes de nos lois inspirées par le
Malicieux en chef !
Comme
nous vous le disions dans notre dernière lettre, au sujet du travail
féminin, tout dépend de l’intention : reste-t-on humblement
à la Maison pour servir son Époux et s’occuper des enfants de
Celui-ci ?, et ainsi faire la Volonté de Dieu ; ou
reste-t-on orgueilleusement à la Maison pour sondit épanouissement,
soit faire sa volonté propre !
Pour :
le disions dans notre dernière lettre :
Pour :
soit faire sa volonté propre :
7.B.1.c - Revenons
à la pauvresse d’Anne Bersot
1. Elle
pontifie orgueilleusement et suffisamment en prétendant amener
d’autres femmes vers son ‘choix de vie’, mais de fait pour se
pavaner devant des Hommes et leur faire la nique : je
reste à la maison parce que je le veux !,
et regardez comme je suis bien montée, équipée : diplômée
d'une grande école de Gestion française (Descaf, M.Sc. gestion des
ressources humaines) et a fait ses études de théologie à
l'Institut de Théologie Biblique de Léognan (France) puis avec
Global University (USA). Foutaise que tous
cesdits diplômes !
2. Elle
montre le très mauvais exemple à d’autres femmes qu’elle
enfonce en effet, comme vous le dite, dans un féminisme encore plus
dangereux, parce qu’apparemment lissé, propret !
3. Elle
n’est pas une ‘mère au foyer’ ; mais une femme qui
orgueilleusement travaille ; en effet, à la question :
Profession ?,
elle nous le dit elle-même : Fièrement
et posément, je lui répondis : « mère au foyer ».
L’humilité et la Vérité exigeaient toutes deux, si elle voulait
quelque peu bravader,
qu’elle répondit à la question stupide, Profession
? : comme
de Droit, aucune, je m’occupe du foyer de mon Époux !
4. Etc.,
etc., etc., arrêtons-nous là !
La
pauvresse d’Anne Bersot ne sert
pas le
Seigneur à plein temps depuis 11 ans auprès de son mari Jonathan
Bersot, qui est pasteur à Drummondville au Québec,
comme elle le prétend ; mais, croyant servir l’orgueilleuse
Anne Bersot, elle la dessert en l’entraînant à l’abîme ! ;
par contre, elle sert bel et bien le Malicieux en chef !
Cet
article scandaleux est de la scandaleuse Anne
Bersot !
Et
malheur
au monde à cause des scandales ! Car il est nécessaire qu’il
arrive des scandales ; mais malheur à l’homme par qui le
scandale arrive ! (Mat. 18, 7)
Et,
en considérant cette pauvresse et son Époux :
→ malheur
à son Époux, Jonathan Bersot, qui la laisse se pavaner et rependre
des mensonges, qui ne compatit
pas
à sa femme* vue que s’Il l’aimait :
Il
devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure ;
→ malheur
à elle, la pauvresse Anne Bersot, qui fait le mal et qui entraîne
bien d’autres femmes à le faire ;
→ malheur
à eux deux, m. & mme Jonathan Bersot, pour leur très mauvaise
éducation donnée à leurs enfants !
Ce
qu’a écrit cette femme, cette pauvresse d’Anne Bersot, n’a pas
un
arrière goût féministe indigeste, comme
vous le disiez bien intentionnellement, mais c’est du féminisme
pur et dur, qui hypocritement avance camouflé derrière de
soi-disantes bonnes intentions !
Anne
Bersot est objectivement une vicieuse, une perverse !
Tout
est dit de fait à la fin de votre message : Je
suis sidérée que de telles choses soient diffusées dans le
christianisme moderne.
Et
c’est justement là qu’est la clef : ladite modernité !,
soit la vieillesse du mensonge, qui arrive en effet maintenant à son
paroxysme : Car
il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine
doctrine ; mais ils amasseront autour d’eux des docteurs selon
leurs désirs ; et éprouvant aux oreilles une vive
démangeaison, ils détourneront l’ouïe de la vérité, et ils la
tourneront vers des fables.
7.C - Afin
d’être cohérents, et par respect pour votre Époux !
Maintenant,
et nous voulons tant le faire délicatement, nous désirons vous
parler de nos entretiens avec vous dame Isabelle, et ceci est valable
pour d’autres femmes dans le futur.
→ Au
début, nous avons eus une Isabelle, qui par son humilité nous a
touché : Veillez,
je vous prie, accepter de faire une entorse à votre règle stricte
car je suis une femme…
→ Puis
nous avons eus une Isabelle avec quatre enfants, beau début d’une
bien belle couronne : Que faut-il de plus
comme preuve à ces fils du malin ? que je dise que je suis
mariée et mère de quatre enfants ?
→ Inquiets,
il nous manquait l’Époux !, qui arriva ainsi : Sachez
que mon mari l’a lue et l’approuve entièrement, voyant votre
attachement si sincère à la Vérité.
Vous
savez que nous sommes gênés de parler avec les femmes autres que
celles de nos Maisons, ô non par mépris, mais par respect !,
et nous savons que vous le croyez !
C’est
que voyez-vous, ici, nous dispensons un enseignement, et cet
enseignement, comme le dit tous nos écrits, est un ensemencement !
Et
nous ne voulons pas faire ce que nous reprochons si violemment, en
les traitant de cloaques
d’impureté*, à ces prêtres qui
prétendent diriger nos femmes, et qui de fait les violent
allègrement !, ce leurdits sermons, dite direction spirituelle,
retraites, etc., et même confession à de très nombreux égards !
Aussi,
nous serions beaucoup plus à l’aise, bien que nous sachions que
votre Époux, devant qui nous fléchissons les
genoux* (revoir plus haut), vous surveille,
si c’était votre Époux qui nous posait ces questions ! ;
et à Lui de vous dispenser cet enseignement, ou à vous le faire
lire éventuellement. Dans les deux cas, c’est alors Lui qui vous
parle…
→ [par
ex.] Ferdinand a dit… : Messieurs,
mon épouse m’a signalé un article d’une certaine Anne Bersot,
dont je vous donne la source ici […], pourriez-vous nous dire…
Nous pourrions ainsi Lui répondre : Sieur
Ferdinand, nous venons répondre à votre message et à vos
préoccupations…
Une
alternative serait que, et de fait nous sommes sûr que pour vous
c’est cela, vous agissiez à sa demande, comme une secrétaire ;
pour cela vous devriez nous écrire, le cas échéant ainsi :
→ [par
ex.] Isabelle a dit… : Messieurs,
mon Époux Ferdinand me demande de vous écrire. Nous avons vu un
article d’une certaine Anne Bersot, dont je vous donne la source
ici […], pourriez-vous nous dire… Nous
pourrions ainsi Lui répondre : Sieur
Ferdinand, nous venons répondre au message que Votre épouse nous a
transmis, et à Vos préoccupations…
7.C.1.a - Soyez
une sainte femme, soyez-Lui délicieusement soumise !
Dame
Isabelle, vénérez, vénérez votre Époux, estimez-Le au-dessus de
tout : Enfin,
- et ceci est le point capital dans le mariage elles se souviendront
que, selon Dieu, elles ne doivent ni aimer ni estimer personne plus
que leurs maris,…
7.C.1.b - Voici
de beaux Conseils
donnés en 1393
Vous
devez être, belle sœur, attentionnée et soigneuse de la personne
de votre mari. Soignez le amoureusement, tenez son linge bien propre,
car c’est là votre affaire. Aux hommes le soin des affaires du
dehors ; le mari doit s’en occuper aller, venir, courir de çà
et de là, par pluie, vents, neige, grêle ; un jour mouillé et
un jour sec ; un jour suant, un jour transi ; mal repu, mal
hébergé, mal chauffé, mal couché. Mais rien ne lui fait mal,
parce qu’il est réconforté par l’espérance qu’il a des soins
que sa femme prendra de lui à son retour… comme de se déchausser
devant un bon feu, de se laver les pieds, d’avoir chausses et
souliers frais, d’être bien repu, bien abreuvé, bien servi, bien
obéi, bien couché en blancs draps avec couvre-chef blanc, bien
couvert de bonnes fourrures et
rassasié des autres joies et ébattements, privautés, amour, et
secrets dont je me tais. Et le lendemain, chemise et vêtements
nouveaux.
Souveniez
vous du proverbe rural qui dit qu’il y a trois choses qui chassent
l’homme, de sa maison, savoir : Maison sans toit, cheminée
qui fume, femme disputeuse. Et pour cela, chère sœur, je vous prie
que, pour vous tenir en amour et en grâce de votre mari, vous lui
soyez douce, aimable et débonnaire.
Et
tout en s’occupant, il aura toujours son regard et son cœur à
vous et à votre amoureux service. Il abandonnera toute autres
maisons, toutes autres femmes, tous autres services et intérieurs.
Tout ne lui sera que terne en comparaison de vous.
7.D - Concluons
pour l’instant
Dame
Isabelle, veuillez recevoir notre très respectueuse amitié en Notre
Seigneur Jésus-Christ et Notre Dame à travers Votre Époux…
Merci
à votre Époux de vous avoir permis ces entretiens sous Son regard,
Sa surveillance, merci pour votre humilité et votre délicatesse,
pour vos encouragements, pour vos bonnes prières, pour tout !
Nous
espérons avoir bien répondu à votre attente…, nous restons bien
évidemment au service de votre Époux, directement ; ou,
indirectement…
Que
le Bon Dieu bénisse votre Époux, Lui, et tous les Siens : Sa
bonne dame Isabelle, et Ses enfants !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
7.E - Post-scriptum
– Ajouté après publication.
En
la Saint Michel Archange (apparitions de),
le mercredi 8 mai 2013.
Chers
lecteurs,
Au
point 7.A.1, Petites digressions…, mises en bouche…
de ce document, nous parlons d’un sujet dont vous trouverez un
prolongement bien probant dans l’article que nous relayons ensuite.
En
effet, ce jour, nous venons de recevoir une lettre de diffusion de x,
et cette lettre commence lamentablement et subversivement ainsi :
Chères
lectrices et chers lecteurs,… !
Nous
avons informé ce émetteur de sa très grave erreur, et nous l’avons
envoyé vers :
→ cette
présente page,
Et
ceci nous a remémoré un document dans la droite ligne de ce que
nous disions en ces deux précédents renvois, dont nous vous en
donnons maintenant la retranscription, et ensuite nous apporterons
tout de même une correction :
«
A toutes et à tous »… Pitié pour notre langue !
9
août 2011
On
entend et lit de plus en plus souvent, y compris dans la « mouvance
nationale », des expressions comme « à toutes et à
tous », ou « à celles et ceux »…
Or,
il s’agit là d’innovations qui défigurent notre langue, de
surcroît pour des motifs idéologiques.
En
français, le masculin est le genre neutre, asexué, commun. Ainsi,
au pluriel, quand les sujets désignés sont masculins et féminins,
on utilise le masculin. Par exemple, quand on s’adresse à un
groupe de personnes dont on ignore le sexe, ou qui comprend hommes et
femmes, on recourt au masculin, qui englobe tout le monde.
Bannissons
donc les « à toutes et à tous », les « à celles et ceux »,
etc., au profit de l’usage classique « à tous », « à ceux »,
etc.
Le
combat pour la sauvegarde de notre magnifique et précieuse langue se
double en l’occurence d’une résistance aux assauts
idéologiques imbéciles des féministes fanatiques et tous ceux qui
rampent devant.
Rectificatif
ajouté le jeudi 8 août 2013.
Le
site qui a publié cet article précité vient d’en faire une
rediffusion. Et là, pourquoi ne l’avions-nous pas vu la première
fois ?, nous avons tout de même remarqué une erreur grotesque
qui montre simplement que le lavage de cerveau progresse bien...
Voici
cette erreur : En
français, le masculin est le genre neutre, asexué, commun.
Et
voici dans l’esprit ce que nous venons d’écrire à Contre-info
comme rectificatif :
Vous
écrivez, et de fait cet article est en effet une reprise et alors
nous nous étions tus ne pouvant tout reprendre, ceci : « En
français, le masculin est le genre neutre, asexué, commun. »
Or,
ceci est faux !
Le
Masculin l'emporte sur le féminin, il est son infrangible référant
!, ce dernier découle de façon limitée du Masculin.
Le
masculin englobe le féminin qui lui n'est qu'une partie de ce
Premier !
Le
Masculin selon vous serait "asexué" !!!, ceci est la
preuve que vous êtes bien lavé !, réfléchissez... Le reste de
votre article est bon !, et du reste nous l'avions déjà signalé à
nos lecteurs...
♣