Table
de ce chapitre…
Du :
28.08.2008, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mar. 5 févr. 2013,
13.22.
6
-
Restaurer l’Homme,
l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…
6.A
- Rappel de la ‘Toute
Puissance’ du Chef de Famille. 297
6.A.2
- Le Chef se meut dans
deux mondes, Il est soutenu et combattu. 298
6.A.3
- Le Chef peut nouer et
annuler les vœux de toute sa Maison. 302
6.A.3.a
- Ce passage vient d’un
livre, plus que sujet à caution, de l’abbé Noël Barbara. 303
6.A.3.b
- Profitons de ce
passage pour tordre le cou à cette ‘référence’. 304
6.A.3.c
- Relisons bien le
texte de cet abbé Noël Barbara : 304
6.A.4
- Saint Jean Chrysostome :
Il peut la priver des Sacrements. 306
6.A.4.a
- Est-il bien, de
critiquer voire même dénoncer les écrits d’un Saint ? 309
6.A.5
- Le Chef peut donner et
retirer Sa bénédiction en Sa Maison. 310
6.A.5.a
- Nous vous engageons à
bien lire ce beau texte sur la bénédiction. 310
6.A.6
- Seul, l’Époux peut
porter et délier la bourse. 312
6.B
- Seul, et d’Obligation
divine, Il a Pouvoir sur Son épouse. 314
6.B.1
- Qui es-tu, toi, pour
t’ériger en juge de Ma servante ? 314
6.B.2.a
- Le législateur de la
famille chrétienne : saint Paul ? 315
6.B.2.b
- L’Époux doit à
tout prix sanctifier son épouse ! 317
6.B.2.c
- Où nous revenons à
la fable tétanisante de ‘la femme battue’ ! 317
6.B.2.d
- L’épouse doit à
tout prix sanctifier son Époux ? 319
6.C
- Seul Il a Pouvoir de
discipliner son épouse, seul Il le Peut. 321
6.C.1
- Propos préliminaires :
cessons de pratiquer la langue de bois. 321
6.C.2
- À tout prix !,
même dans le plus déraisonnable et impossible ! 324
6.C.2.a
- Quelle différence y
a-t-il entre l’Autorité du Supérieur et Celle de l’Époux ? 325
6.C.2.b
- Nous devons
considérer l’inférieur et l’inférieure : 326
6.C.2.d
- Qu’elle est donc
l’ampleur du devoir d’obéissance pour l’épouse ? 327
6.C.2.e
- Où nous voyons
encore plus l’escroquerie et la perversion d’Hommes
d’Église ! 328
6.C.3
- L’Apôtre St Thomas
conseille à un Époux de fouetter son épouse. 329
6.C.4
- Pie XII : il vaut
mieux perdre un de ses membres que son âme ! 330
6.C.4.a
- Il vaut mieux donc
qu’elle perde la vie plutôt que de perdre la Vie ! 331
6.C.5
- Saint Bernard :
Adam n’a pas discipliné Ève, il ne l’aimait pas ! 331
6.C.5.a
- S’il devait
compatir à sa femme, il devait la discipliner ! 332
6.C.6
- Saint Bernard :
Adam n’avait pas faim et soif de Justice… 332
6.C.7
- Sainte Françoise
Romaine : magistralement giflée par son Ange. 333
6.C.8
- Concile de Trente :
Il doit contenir son épouse dans son devoir. 334
6.C.9
- Saint Thomas d’Aquin,
Docteur de l’Église : user aussi de coups ! 335
6.C.9.a
- L’épouse coupable
de fornication ou de fornication doit être réprimandée, recevoir
des coups ! 335
6.C.10
- Saint Alphonse de
Liguori : vous pouvez sans doute la châtier… 336
6.C.11
- Un Seigneur justifie ses
garçons qui ont mis leur mère au cachot. 337
6.C.12
- Église de Brou :
correction maritale, ou la ‘femme battue’. 341
6.C.13
- L’Homme tranquille,
bon… bat Sa femme s’il le faut ! 342
6.C.13.a
- Scène 1 : voici
mon Époux un bâton pour me corriger… 343
6.C.13.b
- Scène II’1 :
Une ‘violence conjugale’ hautement légitime ! 343
6.C.13.c
- Scène II’2 :
Monsieur, voilà un bâton pour battre votre jolie dame. 344
6.D
- Évidemment !,
l’Homme est violent et la femme innocente… 345
6.D.1
- Femme en islam, sujet
développé par l’hebdomadaire Rivarol. 345
6.D.1.a
- Pour commencer, voici
un courriel que nous avons envoyé à Rivarol. 346
6.D.1.b
- Voici maintenant une
analyse complète de ce texte. 349
6.D.2
- Certes, elle doit plier,
mais maintenant que faire ? 353
6.D.2.a
- Un énième ‘fait
divers’, un Époux tue son épouse, puis se suicide : 353
6.D.2.d
- Où l’art de
s’enferrer ! où le serpent se mord la queue… 356
6.D.2.f
- Il est une chose dont
A. S. est bien condamnable… 360
6.D.2.h
- Reprenons l’origine
de cette nouvelle : Certes, elle doit plier, mais maintenant où
tout est renversé, que faire ? 364
6.D.3
- Deux pauvresses ont
laissé mourir leur enfant dans la voiture. 365
6.D.3.a
- Le crime de la mère :
avoir trahi, par pur orgueil, sa mission ! 366
6.E
- Seul le Père est
responsable de Ses enfants. 370
6.E.1.b
- Adam, devient le seul
Semeur, la seule Source de Vie : 371
6.F
- Les pièges pour l’Homme,
venant de son épouse, de la femme. 373
6.F.1
- L’intuition féminine,
son 6ème sens, une gigantesque escroquerie ! 373
6.F.1.a
- L’intuition
féminine, une bien triste plaisanterie… 373
6.F.2
- La nuit n’avance que
parce que le jour recule ! 376
6.F.2.d
- Sainte Thérèse
d’Avila : la malhonnêteté de ses larmes. 377
6.F.2.f
- L’honnêteté
féminine, ses sourires et ses larmes. 378
6.F.2.g
- La femme, « Le
combat de la pureté. - 1876 Georg Hoornaert ». 378
6.F.2.k
- L’honnêteté
féminine, lui dicte sa haine féminine. 380
6.F.2.l
- L’honnêteté
féminine, la danse et la vengeance. 380
6.F.2.n
- L’archétype de la
garce, qu’on donne à lire à nos enfants ! 381
6.F.3
- La femme…, ce qu’elle
est d’après la tradition ! 382
6.G
- Les douceurs pour
l’Homme, venant de son épouse, de la femme. 383
6.H
- Les dangers pour l’Homme,
venant de l’extérieur. 384
6.H.1
- Je ne crains que les
mauvais catholiques ! 384
6.H.2
- La haine de tout Roy, et
principalement du Roy de la Famille. 385
6.A - Rappel de la ‘Toute
Puissance’ du Chef de Famille.
1. Je t’adjure, devant Dieu et
Jésus-Christ, qui doit juger les vivants et les morts, par Son
avènement et par Son règne,
2. prêche la parole, insiste à
temps et à contretemps, reprends, supplie, menace, en toute patience
et toujours en instruisant.
3. Car
il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine
doctrine ; mais ils amasseront autour d’eux des
docteurs selon leurs désirs ; et éprouvant aux oreilles une
vive démangeaison,
4. ils détourneront l’ouïe de
la vérité, et ils la tourneront vers des fables.
6.A.1 - Propos préliminaires.
Nous avons écrit Toute
Puissance entre guillemets, non
pour limiter la Puissance du Chef en sa Maison, mais simplement pour
dire que cette Toute
Puissance se limitait à Sa
Maison ! Et aussi pour dire que cette Toute
Puissance ne lui permettait pas
forcément de ressusciter son épouse ou de déplacer sa Maison sur
un simple ordre. Cette Toute
Puissance qui est réelle est
largement définie par toute cette étude.
Aussi, notre étude pourrait
s’arrêter là, mais les textes qui suivent vont confirmer cette
Toute
Puissance et non, la définir…
Nous ne devrions pas avoir
besoin de ‘prouver’ cette Toute
Puissance par d’autres textes
ceux-ci :
Saint Paul a dit : Que
les femmes soient soumises à leur mari comme au Seigneur, car le
mari est le chef de la femme ;
point final !
Citons tout de même le Concile
de Trente : Enfin
il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous
ceux qui la
composent, et contenir chacun dans son devoir ;
qu’y a-t-il à ajouter ?
6.A.2 - Le Chef se meut dans
deux mondes, Il est soutenu et combattu.
Il existe bien deux mondes et
tous deux divisés en deux :
→ Un
monde invisible qui est
maintenant encore plus intensément actif, et plus particulièrement
au sein de la Famille. Ce monde invisible qui n’était qu’Un est
depuis le Non
serviam de Lucifer, deux :
1. Le premier est Dieu et
toute sa création invisible : les Anges ayant suivi Saint
Michel Archange, donc fidèles, et les humains défunts justifiés
(ciel et purgatoire). Ce monde ne veut que ce que Dieu veut soit le
Bien, l’Amour.
2. Le second est la
négation de Dieu, et est composé de toute la cohorte des réprouvés
que Lucifer a entraîné dans sa révolte et donc dans sa chute ainsi
que le très grand nombre des réprouvés. Ce monde veut tout
détruire, il ne veut que le mal, ne prône que la haine, le malheur.
→ Un
monde visible sous la domination
du monde invisible. Il est maintenant presque totalement sous la
domination du monde invisible révolté, il est contre le Vrai, le
Bien, et plus particulièrement contre la Famille, et donc encore
plus particulièrement contre son centre, son pivot, sa raison
d’être : son Chef, l’Époux-Père. Il est essentiellement
féminisé !
Le Chef, pivot de Sa Famille,
se meut dans ce monde
visible, sous l’influence du
monde
invisible, qui est, et il n’y a
que cette alternative, soit :
1. De
Dieu le
Père de Notre Seigneur Jésus-Christ de qui tire son nom toute
paternité au cieux et sur la terre,
soit une société d’Hommes qui : donnent la vie et peuvent la
reprendre, qui doivent d’Obligation divine soumettre les femmes et
les discipliner, qui disent oui ou non selon la Vérité,
2. De
Lucifer père de la révolte, du
mensonge, soit une société féminisée, efféminée, insoumise,
révoltée, tenant de ‘dame nature’, qui prétend que ‘les
femmes donnent la vie’, ‘qu’elles sont victimes de la brutalité
des Hommes’, qui a tout dit ‘oui, mais…’, et tout ceci selon
la démangeaison du moment, etc.
Pour l’aider et le protéger,
Dieu Lui a donné des secours venant tous du monde invisible, et donc
venant de Dieu, les voici :
Les
Anges gardiens.
Comme toute personne, le Chef
reçoit au moment de sa conception, une Âme et pour La garder un
Ange gardien.
Mais le Chef devant guider
toute Sa Maison, nous pouvons dire que les Anges gardiens de chacun
de Ses membres, épouse et enfants, sont là pour aider aussi le Chef
dans Sa si lourde tâche de pasteur de Son troupeau.
Nous pouvons même affirmer que
Dieu donne, au moment où l’épouse valide par son Oui !
le Sacrement de Mariage proposé par son futur Époux,
comme ‘cadeau’ au Chef de Famille un Ange gardien pour Sa
Famille.
Ange qui devra l’aider plus particulièrement dans son
gouvernement, et l’assister dans ses luttes.
N’oublions pas, Chefs de
Famille, d’invoquer et de faire invoquer ces Saints Anges de Nos
Maisons ! Remercions-Les tous souvent !
Les
Saint Patrons :
Chaque baptisé ‘reçoit’
au moment de son baptême un Saint Patron dont il porte le nom choisi
par son Père, qui l’assiste de ses prières si puissantes.
De même qu’il existe un Ange
gardien de la Famille, le Chef de Famille peut choisir un Saint
Patron pour sa Famille.
Les Saints patrons des membres
de la Famille prient évidemment pour obtenir des grâces pour le
Chef de Famille qui est responsable de leurs protégés…
N’oublions pas, non plus,
d’invoquer et de faire invoquer par nos sujets ces Saints Patrons
de Nos Maisons ! Remercions-les tous aussi !
Les
Grâces d’état :
Q. Pouvons-nous sans
secours de Jésus-Christ vivre chrétiennement et parvenir au ciel ?
R. Non, nous ne pouvons pas
sans le secours de Notre-Seigneur Jésus-Christ vivre chrétiennement
et parvenir au ciel ; car Lui-même nous a dit : sans moi,
vous ne pouvez rien faire.
Q. Comment Jésus-Christ
nous donne-t-il son secours ?
R. Jésus-Christ nous donne
son secours par la grâce.
Q. Qu’est-ce que la
grâce ?
R. La grâce est un don
surnaturel que Dieu nous accorde par pure bonté.
<À développer,
compléter, corriger>
Une aide est souhaitée.
|
Dans l’explication qui
précède l’on parle de la grâce en général, et nous parlions
des grâces d’état…
Les grâces ‘ordinaires’
sont des grâces que nous recevons ordinairement en tant qu’individu
pour nous aider à aller au Ciel : les grâces d’état sont
des grâces supplémentaires que nous recevons en plus des grâces
ordinaires pour nous aider à réaliser notre état particulier,
notre responsabilité.
Le maître d’école recevra
les grâces nécessaires à son enseignement, le médecin pour bien
soigner ses patients (bien faire son diagnostique, et résister aux
tentations par ex.), etc.
L’on reçoit ces grâces que
si l’on est dans son état ! Mais pire, si l’on fait quelque
chose qui n’est pas de son état, Dieu s’étant ‘retiré’,
l’on perd même ses grâces ordinaires, et la nature ayant horreur
du vide, c’est l’autre monde qui vient avec ses inspirations
démoniaques, sa méchanceté, ses maléfices.
Ainsi donc, dans la Maison d’un
Chef, si une personne, même prêtre, vient donner des ‘conseilles’
à l’épouse, celle-ci n’a bien sûr pas de grâces d’état
pour cela, elle est sans lumière, sans discernement, ‘aveuglée’,
et ne peut donc que se tromper. Mais pire encore, en effet, il y a
l’autre monde, et Dieu s’étant retiré, c’est carrément le
démon qui persifle par sa bouche !
Ainsi aussi, une femme jouant
médecin n’aura pas de grâces d’état ; mais pire, le démon
ayant pris place, elle sera positivement dangereuse, même si
apparemment cela ne se voit pas !, plus tard…
Par
rapport à la Famille, les grâces d’état seraient pour :
→ l’enfant : bien
faire ses devoirs d’écolier et remplir les petites missions qu’on
lui donne.
→ la mère : bien
servir docilement et amoureusement son Époux, Le révérer, et
soigner les enfants de Celui-ci, elle a des grâces d’état
inhérentes à sa mission d’épouse et de mère.
→ l’Époux, Lui :
pour diriger et enseigner toute Sa Maison, connaître les dangers et
y faire face, etc., ces grâces d’état sont proportionnées au
nombre de personnes de sa Maison, ses charges.
6.A.3 - Le Chef peut nouer et
annuler les vœux de toute sa Maison.
Une confirmation de la Toute
Puissance du Chef en sa
Maison !
L’auteur que nous allons lire
passe dans un certain milieu (de la Trahition)
pour la
référence en affaire de Mariage. À nos contempteurs qui vont
fatalement sortir du bois, nous désirons avancer ce que dit un de
leur gourou préféré quant au Mariage, et ainsi faire d’une
pierre deux coups :
1. donner le texte de ce
gourou confirmant nos dires,
2. démonter
correctement ce gourou.
Lisons :
89 Qu’est-ce que l’empêchement
de vœu simple ?
[…] Double façon d’annuler un
vœu.
1. Annulation directe. C’est
l’annulation à proprement parler, c’est-à-dire la suppression
de l’obligation du voeu par un supérieur dont dépend la volonté
même de celui qui l’a émis. « Quiconque a le pouvoir
légitime sur la volonté de celui qui a fait le vœu, peut
validement et même, pour une juste cause, licitement annuler ce vœu
de manière à faire cesser pour toujours son obligation 6 ».
Possèdent ce pouvoir : le
père de famille, les supérieurs religieux et le mari.
Le père de famille (quand il
n’est plus là pour exercer son pouvoir, la mère ou le tuteur)
jouit d’un pouvoir dominatif sur la volonté de ses enfants ;
il peut, de ce fait, annuler leurs voeux émis sans son consentement
et même, semble-t-il, avec
son consentement.
Le mari peut, au
moins probablement, annuler tous les vœux que son épouse
aurait émis depuis leur mariage.
6.A.3.a - Ce passage vient d’un
livre, plus que sujet à caution, de l’abbé Noël Barbara.
Ne sont envisagés dans ce qui
suit que les sujets du Chef.
L’abbé Noël Barbara
(ANB), sachant qu’Il a bien cité précédemment Saint Paul et le
Concile de Trente qui disent la ‘Toute Puissance’ du Chef, dit
ensuite semble-t-il
et au
moins probablement !
Disons nettement, ANB votre esprit est confus !, à moins que
par votre bouche parlait le Malin !
Pour l’épouse, tous les vœux
antérieurs à son Mariage, mais non invalidant pour Celui-ci,
peuvent être retirés, annulés, interdits par l’Époux. L’on
peut même dire que le Mariage est une remise ‘à zéro’
automatique de toutes ses obligations et contraintes antérieures,
parce que changeant d’Autorité !
Tout ce qui va suivre sera
reporté à l’épouse, pour les enfants, il est bien facile de
transposer, étant tous de la même façon sous l’Autorité du
Chef.
Après le Mariage, les vœux,
obligations ou engagements quelconques, pour faire court disons
toutes les promesses ne peuvent être faites qu’entre les mains du
Chef !
Toute promesse faite en
d’autres mains que celles du Chef est une violation de Son
Autorité, et est donc par là-même invalide. De plus, cette
promesse génère une faute très grave, un adultère ou viol, de
même pour celui qui l’a fait faire (prêtre dans la majeure partie
des cas). Un prêtre qui aurait abusé d’une ‘position
dominante’, sachant la particulière ‘faiblesse’ psychologique
de la femme, pour l’engager, pourrait bien être le seul à porter
tout le poids du crime de l’épouse en plus que ses propres crimes.
Pour les enfants, tout ceci
reste vrai, valable, tant qu’ils sont sous l’Autorité du Père.
6.A.3.b - Profitons de ce
passage pour tordre le cou à cette ‘référence’.
C’est un cri d’alarme, il
s’agit de la sauvegarde de Mariages, l’ANB, ‘docteur sexe’
comme on le nommait en l’accueillant à l’aéroport aux USA, est
‘la’
référence dans le milieu catholique ‘traditionaliste’ pour la
question du Mariage. On devrait lui dire ‘Docteur, soigne-toi
toi-même’. Son livre est bourré d’erreurs par imprécisions, il
oblitère même des points très importants qui ouvrent des brèches
béantes, dont l’auteur de ces lignes est personnellement témoin,
etc. Il commence son livre en citant, à la page précédent la
préface, ledit pape nommé Jean XXIII.
6.A.3.c - Relisons bien le
texte de cet abbé Noël Barbara :
Il dit : Possèdent
ce pouvoir : le
père de famille,
[…] et le
mari.
Puis, sans rougir il poursuit :
Le
père de famille […] peut […] annuler leurs voeux émis sans son
consentement et même, semble-t-il,
avec son consentement.
L’auteur dit : Il
peut annuler les vœux faits sans son consentement,
mais pour ceux fait avec Son consentement de Chef, donc forcément
entre Ses mains, c’est semble-t-il,
enfin…,
peut-être !
→ Si ces vœux sont
faits en d’autres mains sans Son consentement, ce qui est
donc un adultère ou viol, un commerce illicite, une dépravation,
une fornication…, là le Chef peut annuler
leurs vœux !
→ Si ces vœux sont
faits en d’autres mains avec Son consentement, ce qui
revient à dire que l’Époux prostituerait son épouse à un prêtre
ou autre ! Là, et toute honte bue, ANB dit c’est
semble-t-il ?!
Pauvre ANB, voici ce que disait
Notre Seigneur Jésus-Christ : Je
suis venu en ce monde pour rendre témoignage de la Vérité.
- Celui
qui agit selon la vérité vient à la lumière.
- Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal.
Pauvre ANB :…
les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les
prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs
têtes. (ND de La Salette)
Car nous pouvons dire, nous ici
pour le moins, que l’ANB a fait des ravages dans certains milieux,
et continu à en faire depuis sa mort par livre interposé, il porte
la responsabilité au moins partielle de la destruction de nombreux
Mariages. Certaines de ces destructions se sont mêmes appuyées
‘exclusivement’ sur certains passages de son livre précité.
6.A.3.d - Aberration suivante
de l’abbé Noël Barbara :
Il dit, ce pervers : Le
mari peut, au moins probablement, annuler tous les vœux que son
épouse aurait émis depuis leur mariage.
Au
moins probablement, toujours la
même confusion, la même loufoquerie, c’est pas au
moins, c’est Oui,
oui ou Non,
non, tout ou rien, vrai ou
faux ! Tout
le reste vient du mauvais, tout
le reste est Paroles
de serpent !
Si c’est des vœux émis
depuis son Mariage, c’est forcément entre les mains de son
Époux !, et là, selon ANB, le
mari peut, au moins probablement, [les]
annuler !
Mais enfin, ANB, qui peut dissoudre des vœux, si ce n’est celui
dans les mains duquel on les a fait ? L’Église dissout bien
des vœux même perpétuels faits entre ses mains ! Et l’Époux,
Roy et Prêtre, parce que revêtu
de la double autorité du sacerdoce et de l’empire,
ne pourrait dissoudre des vœux faits entre Ses mains !!!
Cocasse !
6.A.4 - Saint Jean
Chrysostome : Il peut la priver des Sacrements.
Encore une confirmation
de la Toute
Puissance du Chef en sa
Maison !
« Mais, disent les maris, ma
femme veut se confesser et communier tous les jours. » Je leur
répondrai : Si vous avez un juste motif pour l’en empêcher,
comme, par exemple, si en fréquentant les sacrements elle doit
négliger la direction de son ménage, vous
le pouvez ; mais vous ne le pouvez pas sans ce motif ou
quelque autre motif valable.
Cette citation s’adresse aux
Époux, les Hommes évidemment, comme du reste toute cette étude,
aussi lorsque Saint Jean Chrysostome (SJC) dit ‘vous
le pouvez’, ceci n’est pas
mis comme repère pour l’épouse afin de savoir si elle doit obéir
ou pas à cette interdiction.
Ce ‘vous
le pouvez’, est simplement là
pour l’Époux, afin de le rassurer ou plutôt de l’encourager à
faire mieux, sachant que s’Il devait donner un tel interdit de
façon ‘exagérée’, ceci n’est point dirimant quant à
l’obligation de l’épouse d’obéir
en toutes
choses à son Époux.
En effet, qui va trancher pour
savoir si cela est ‘exagéré’ ou pas ?
→ Quelqu’un de
l’extérieur ?, non,
car alors il y aurait adultère ou viol ! Et à ce compte là le
Chef ne saurait pas la Chef, ayant des comptes à rendre à ce
violeur d’Autorité, et il y a pour le moins ménage à trois.
→ L’épouse ?,
non,
car elle n’a pas la capacité de juger et n’est pas informée
par Dieu de Sa Volonté en ce Foyer, comme :
1. Adam recevant l’ordre
de ne pas toucher au fruit défendu,
2. Abraham devant
sacrifier son fils Isaac,
3. Saint Joseph devant
prendre la femme et l’Enfant pour fuir en Égypte, etc.
→ L’Époux ?,
oui,
car c’est en sa conscience qu’Il devra répondre à la question
de savoir si cela est bien ou mal ! Et à personne, Il doit
donner son raisonnement afin de le faire ‘valider’, sinon donc
l’on revient à la case départ, au premier point !
Continuons : toujours avec
la même imprécision, ou ‘aberration’, en effet, SJC dit vous
le pouvez ; mais vous ne le pouvez pas sans ce motif ou quelque
autre motif valable :
→ Le ‘Vous
le pouvez’, dont nous prenons
bien acte, est une reconnaissance et non une permission ! En
effet ce n’est pas à un Homme d’Église, comme à quiconque du
reste, de dire ce qu’un Chef doit Légiférer ou pas en Son Foyer ;
en effet SJC ne peut que confirmer Son Droit de Législateur !
→ Le ‘mais
vous ne le pouvez pas sans ce motif’,
est vraiment le type d’argument ‘creux’ ! Qu’un Époux
interdise à son épouse quelque chose sans raison ! Sa raison
peut-être extrêmement ‘légère’, mais forcément il existe une
raison, si ce n’est une raison de convenance !
→ Avec ‘ou
quelque autre motif valable’,
nous touchons au summum, exactement la même bombe à retardement, de
fait très très peu à retardement, comme nous l’avions vu
précédemment !
Si c’est l’Époux qui lit ce texte, pas de
soucis, Il évitera le piège dialectique ; mais si c’est
l’épouse qui le lit, alors là : catastrophe !
→ C’est
déjà un viol de l’Autorité, et c’est ce que Saint Paul
confirme en disant que Si
elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent
leurs maris à la maison.
C’est bien évident qu’il ne peut y avoir deux Chefs qui dirigent
un même corps, deux Chefs qui ensemencent, et ce, dans toute
l’étendue du terme du reste, la même femme !
→ C’est
toujours la même imprécision !, en effet quelles sont les
quelques
autres motifs valables ?
SJC parle de motifs
valables
sans les énoncer !, pourquoi ? S’ils sont trop nombreux,
alors que les motifs
non valables
soient énoncés ! ; ou alors qu’une règle infaillible
soit énoncée pour appuyer son jugement ; ou alors que l’on
se taise !
Faisons une
parenthèse, et voyons la définition de (quelques
autres motifs valables) valable :
-- Valable :
Qui remplit les conditions requises pour être accepté
par une autorité.
-- Requérir :
(de requises, définition précédente) : Demander
solennellement quelque chose à quelqu’un ; prier fermement
quelqu’un de (faire) quelque chose en vertu d’un droit.
→ Qui
est l’Autorité de la femme, le Chef de l’épouse ? :
l’Époux et personne et quiconque d’autre ! Ni un juge, ni
prêtre ou pape, et ni même Dieu ! Ainsi donc une promesse (vœu
engagement, etc., cf ANB) ou une interdiction (d’approcher les
sacrements, cf SJC) pour être valable, doit être acceptée (pour la
promesse) ou émise (pour l’interdiction ou l’ordre) par
l’Autorité. Et comme le Chef de l’épouse est son Époux, donc :
ce qui est un
motif valable
c’est ce que le Chef accepte (veut) !
Ainsi donc ce que veut le Chef est forcément valable !
Reprenons : Saint
Jean Chrysostome (SJC) dit que pour pouvoir empêcher
votre épouse de fréquenter les sacrements
il faut un motif
valable,
et le dictionnaire dit que ce qui est valable est ce qui
remplit les conditions requises pour être accepté par une
autorité !,
donc Le Chef étant l’Autorité, c’est
ce que le Chef requière qui est valable !
En
sa Maison,
ce que dit le Chef est juste !
Au fait, ce
que voulait dire SJC aux Maris, c’est qu’évidemment
vous pouvez empêcher votre épouse de fréquenter les sacrements et
ce selon votre
conscience !,
point à la ligne. Et comme nous l’avons vu plus haut, ce discours
de SJC n’est pas une autorisation
à interdire d’approcher les sacrements, mais une reconnaissance
du Pouvoir du Chef de l’interdire.
Il suffisait
donc à SJC de rappeler à l’Époux, et
qu’à Lui seul,
et donc certainement pas devant Son épouse afin de ne pas lui donner
des idées de révolte, qu’Il devra rendre un compte rigoureux
devant Son Dieu de la gestion de Sa Maison pour l’exhorter à être
tempéré, prudent, et c’est tout ! Et aussi d’exhorter,
d’encourager le Chef à dire à Son épouse qu’elle doit
obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus
déraisonnables !
6.A.4.a - Est-il bien, de
critiquer voire même dénoncer les écrits d’un Saint ?
Un Saint est
Saint, c’est entendu, mais de son vivant tout ce qu’Il a fait et
dit était-il , sain ?, Saint ? Non pas forcément, c’était
un pécheur, Il était imparfait, c’est ce que dit cette
expression : un
Saint est admirable mais pas forcément imitable.
Certains ont dû se convertir
avant d’être Saints : Saint Augustin, Saint Paul, Saint
François d’Assise, Sainte Marie-Madeleine, etc.
Certains de leurs écrits ou
opinions pouvaient être inexactes, ‘discutés’, certains se sont
même ‘disputés’ entre eux sur des point précis :
→ Durant
le Grand Schisme, divers Saints soutirent un ‘Pape’ différent :
Saint Vincent Ferrier, Sainte Catherine de Sienne…
→ Ils
eurent des opinions divergentes sur l’Immaculée conception de la
Très-Sainte Vierge Marie : Saints Bernard de Clairvaux,
Saint Bonaventure et Saint Thomas d’Aquin…
Le Sacrement de Mariage fut
institué par Dieu le Père dans le Paradis terrestre pour l’union
de la femme à Adam (et non d’Adam à la femme !),
Il fut incorporé par l’Église à Ses Sacrements. Aussi, ne
pouvant toucher au Mariage, l’Église ne peut que confirmer la Loi
naturelle. À nous de ‘corriger’ les imprécisions ou erreurs
qu’Ils auraient pu commettre.
6.A.5 - Le Chef peut donner et
retirer Sa bénédiction en Sa Maison.
Il existe deux types de
bénédictions, celle d’ :
→ Un supérieur qui
bénit un inférieur : Dieu bénit un Homme, Il lui donne des
grâces.
→ Un inférieur qui
bénit Dieu pour une grâce reçue : il rend grâce, ou action
de grâce.
6.A.5.a - Nous vous engageons à
bien lire ce beau texte sur la bénédiction.
La bénédiction des enfants.
Et aujourd’hui encore, quoique
le sentiment de la dignité paternelle soit tristement affaibli dans
les âmes, on demande, on reçoit encore, avec respect, la
bénédiction d’un père. Il y a encore des pères qui bénissent
avec religion leurs fils et leurs filles.
Combien de fois n’ai-je pas vu,
à la veille d’une première communion, une mère pieuse amener
son fils, sa fille, aux pieds de leur père, et lui demander de les
bénir ! Et souvent aussi j’ai vu, avec attendrissement,
cette bénédiction découlant du cœur et des lèvres d’un père
sur ses enfants, remonter au cœur paternel, et devenir pour lui-même
la bénédiction de Dieu.
Non : Dieu ne passe pas
vainement entre un père, et une mère, et leurs enfants ; et la
bénédiction, c’est Dieu qui passe.
Un père d’ailleurs ne bénit
jamais ses enfants, sans éprouver une de ces vives émotions qui
saisissent et remuent le cœur jusqu’en ses profondeurs par tous
les plus puissants sentiments. L’émotion est plus vive encore chez
ceux qui se sentent moins dignes d’une fonction si pure : la
chose divine qu’ils font les émeut jusque dans ces dernières
retraites de l’âme où se fait le contact du cœur avec Dieu. J’en
ai vu me refuser obstinément de bénir leur fils, s’écriant :
Je ne puis pas ! je ne puis pas ! - Puis, cédant enfin à
ma voix, après cette bénédiction donnée, j’ai vu couler de
leur yeux des larmes qui ne pouvaient plus tarir.
Oh ! oui : Dieu est
admirable dans ses voies, et il a préparé à ses créatures, pour
revenir à lui, les invitations les plus inattendues, et les retours
les plus doux !
Cette religion de la bénédiction
paternelle est encore si avant dans les âmes, que si un père, à sa
dernière heure, l’a refusée a un fils coupable, l’épouvante se
répand aussitôt dans toute la famille consternée ; le
désespoir brise le cœur du malheureux enfant, et jusqu’à son
dernier soupir sa vie lui semblera maudite, et il craindra que ses
enfants ne soient maudits à cause de lui.
De là vient aussi que, pour un
bon fils la douleur de n’être pas au lit de mort de son père, et
de ne pas recevoir de sa main défaillante la bénédiction suprême,
est inconsolable.
Aussi en a-t-on vu, et en voit-on
encore, qui traversent les mers pour revoir une dernière fois celui
de qui ils ont reçu la vie, et pour lui demander une dernière
bénédiction sur eux et leurs jeunes fils.
Et quand des enfants ont eu le
malheur de perdre leur père dès le premier âge, et avant même
d’avoir pu le connaître, s’ils furent assez heureux pour
recevoir du moins la bénédiction paternelle, à cette heure
suprême, il n’y a dans la famille qu’une voix pour dire avec
consolation et espérance sur l’orphelin : Son père l’a
béni avant de mourir !
Et surtout si ce père était un
homme de grande vertu ; si ses dernières heures ont été
remplies pour lui-même des bénédictions de Dieu ; oh !
alors, la confiance est grande, on croit à la puissance de cette
dernière bénédiction, comme à la bénédiction de Dieu même.
Et ce n’est pas ici une opinion
vaine : c’est l’expression d’un sentiment profond,
impérissable dans le cœur des hommes c’est le témoignage de la
haute vérité que nous venons d’établir, à savoir : que le
père est, dans sa famille, le représentant même de Dieu et le
premier ministre de sa puissante et bienfaisante autorité.
Est-il bien nécessaire de
développer ce texte de cet Évêque qui a si bien parlé sur le
Mariage !!! ?!
6.A.6 - Seul, l’Époux peut
porter et délier la bourse.
6.B - Seul, et d’Obligation
divine, Il a Pouvoir sur Son épouse.
6.B.1 - Qui es-tu, toi, pour
t’ériger en juge de Ma servante ?
Qui es-tu, toi, pour t’ériger
en juge du serviteur d’autrui ? qu’il reste ferme ou qu’il
tombe, cela regarde son maître. Mais il restera ferme, car le
Seigneur a le pouvoir de le soutenir.
En effet, que sont-ils ‘eux’,
État illégitime et Hommes d’Église corrompus, pervers, pour
s’ériger en juge de Nos épouses ? Que l’épouse reste
ferme ou qu’elle tombe, cela ne regarde que son Maître, son Époux.
6.B.2 - L’Époux doit
sanctifier son l’épouse.
Le législateur de la famille
chrétienne, saint Paul, a dit : L’homme est le chef de la
femme ; comme Jésus-Christ lui-même est le chef de l’Église.
De même que le Verbe incarné à donné son sang pour sanctifier
l’Église à laquelle il s’est uni par des noces mystérieuses :
de même l’homme doit, à tout
prix, être le sanctificateur de celle que le mariage lui a donnée
pour épouse et pour sœur. De son côté, la femme fidèle,
ajoute saint Pierre, doit sanctifier l’époux infidèle. La
perfection, c’est-à-dire, le bonheur à son degré le plus élevé,
le bonheur commun, en deçà et au delà du tombeau, tel est donc le
noble but des alliances chrétiennes.
6.B.2.a - Le législateur de la
famille chrétienne : saint Paul ?
-- Législateur :
Celui qui donne (ou a donné) une législation à tout un peuple,
toute une civilisation.
Mais non ! Mgr Jean-Joseph
Gaume vous vous trompez, saint
Paul n’est pas le
législateur de la famille chrétienne,
et de plus, vous même avez dit ailleurs que le Législateur de la
Famille était le Chef de Famille : La
place du père est toujours beaucoup plus large que celle du
législateur : on dirait que Dieu n’est législateur que parce
qu’il est père…
Mgr Gaume, de grâce !,
accordez votre propre violon avant de prétende pouvoir nous jouer,
sauf que vous n’en avez pas le Droit vue que ce sacrement
n’appartient nullement à l’Église catholique comme suffisamment
démontré,
la partition : Famille, Sacrement de Mariage !
Vous
dites vous-même, ici, Mgr Jean-Joseph Gaume :
→ que la
place du Père est toujours beaucoup plus large que celle
du législateur !
→ donc le Père (Chef de
Famille) prime sur le(s) législateur(s) (autre(s) que Celui de la
Famille !
→ donc le Père est le
Législateur de sa Famille !
→ donc, ne pouvant avoir
deux législateurs pour une même promulgation de Lois, le Père de
Famille est le seul et unique Législateur en Sa Famille !
→ donc, pourquoi avoir
dit que Saint Paul était le législateur de la Famille, alors qu’Il
ne l’est pas ?
Toujours la même
confusion !, il vous faut choisir Mgr Gaume, en effet vous
venez de dire la chose et son contraire !, vous dites que c’est
Saint Paul que est le
législateur de la famille chrétienne,
et une autre fois vous dites que c’est le Père !
De plus, vous deviez savoir,
Mgr Gaume, que Le
Législateur pourrait peut-être être Celui qui a institué le
Sacrement de Mariage, à savoir, non point Notre-Seigneur
Jésus-Christ,
mais Son Père lorsqu’Il assista aux épousailles de la femme,
lorsqu’Adam prit la femme, Ève, pour épouse…
De fait nous pourrions dire
qu’il y a ‘deux’ Législateurs de la Famille ; ou plutôt
un Législateur Père du Ciel qui passa la main au Législateur Père
de la terre ; un Père du Ciel qui céda irrévocablement son
Pouvoir au Père de la terre ; un Législateur du Ciel qui céda
irrévocablement son Pouvoir au Législateur de la terre :
→ Le Père du Ciel,
Législateur qui en instituant le Sacrement de Mariage, format la Loi
cadre : un Homme Chef absolu d’une femme, son aide, sa
servante, sa satisfaction ; et indissolubilité de cette union,
et génération.
→ Le Père sur terre,
qui reçoit Son Pouvoir des Mains de Son Père du Ciel au moment où
Il prend femme, devient le Législateur en sa Famille ; c’est
Lui qui forme les Lois de la Famille pour Son gouvernement et Sa
mission ; et ce, à l’intérieur de la ‘Loi cadre’.
Saint Paul n’est donc
nullement le législateur de la Famille, ni l’Église non plus, qui
Elle, ne fit qu’incorporer ce Sacrement aux siens, et encore cela
bien tardivement.
Saint Paul fut, par contre,
incontestablement, et nous l’aimons beaucoup ici, un défenseur du
Mariage, il défendit sans peur le Droit du Chef de Famille.
Mgr Gaume !, ne faites pas
endosser à Saint Paul, une erreur (et non une intention maligne,
nous l’espérons) due à votre enthousiasme intempestif !
6.B.2.b - L’Époux doit à
tout prix sanctifier
son épouse !
L’Époux est bel et bien le
directeur spirituel de Son épouse :
L’homme doit,
à tout prix, être le sanctificateur de celle que le mariage
lui a donnée pour épouse et pour sœur.
Ou, comme le Concile de Trente
le disait : Enfin
il [le Mari] doit régler sa famille, corriger
et former les mœurs de tous ceux qui la composent,
et contenir
chacun dans son devoir.
En effet, il y va de son Salut
éternel, Le Chef de Famille doit
à tout prix
sanctifier Son épouse, corriger et former ses mœurs, la contenir
dans son devoir !
Pas
de la langue de bois : et tout ceci à
tout prix !
6.B.2.c - Où nous revenons à
la fable tétanisante de ‘la femme battue’ !
Vaut
mieux la battre ,
que de devoir l’abattre !
Nous notons bien que l’Époux
le doit à
tout prix, Lui
et personne d’autre !
Relisons ce que Notre-Seigneur
Jésus-Christ disait : Si
ton œil droit te scandalise, arrache-le, et jette-le loin de toi ;
car il vaut mieux pour toi qu’un de tes membres périsse, que si
tout ton corps était jeté dans la géhenne. Et si ta main droite te
scandalise, coupe-la, et jette-la loin de toi ; car il vaut
mieux pour toi qu’un de tes membres périsse, que si tout ton corps
allait dans la géhenne.
Ainsi
donc, si par exemple :
→ Votre épouse devait
dans un de ses moments d’hystérie vouloir poignarder Votre enfant
qui est dans le berceau et qu’avec un direct Vous l’envoyez au
tapi pour dévier son geste, l’État vous traînera-t-Il devant ses
tribunaux ? Ou, n’est-ce pas plutôt si Vous ne deviez rien
faire, pour non assistance à personne en danger ?
→ Votre épouse devait
se précipiter dans le vide depuis la corniche qu’elle pratique, et
qu’usant de Votre force vous la mettiez au sol et l’y mainteniez
avec quelques bonnes claques pour lui faire reprendre ses esprits,
l’État vous traînera-t-Il devant ses tribunaux ? Ou,
n’est-ce pas plutôt si Vous ne deviez rien faire, pour non
assistance à personne en danger ?
→ Votre épouse devait
mettre son Âme, dont Vous, Époux, êtes hautement responsable
devant Dieu comme toute notre étude le prouve, en danger en Vous
résistant,
et que de Votre main de Maître
Vous la battiez
pour la corriger, l’État illégal vous mettrait en prison pour
assistance à personne
en danger de mort éternelle !
→ Votre épouse devait
être pécheresse publique, la vraie Église l’excommuniait pour la
corriger ; et à Vous qui en êtes Le premier et seul
responsable, l’Église vous dénierait ce Devoir et donc ce Pouvoir
de la corriger ?
Ne
dit-on pas :
qui aime bien châtie bien ?
Notre-Seigneur Jésus-Christ
n’a-t-il pas dit, comme vu précédemment, qu’il vaut mieux
perdre son œil, sa main, sa jambe, etc. plutôt que de perdre son
Âme ? Or, de l’Âme de Son épouse, comme de Son Âme propre
et de Celles de Ses enfants, l’Époux en est le seul responsable !
6.B.2.d - L’épouse doit à
tout prix sanctifier
son Époux ?
Non, nous notons bien que Mgr
Gaume dit : la
femme fidèle, ajoute saint Pierre, doit sanctifier l’époux
infidèle, et non : la
femme fidèle, ajoute saint Pierre, doit sanctifier
à
tout prix l’époux
infidèle.
Cette présence du à
tout prix pour
l’Époux veut simplement dire ceci, c’est que l’Époux doit
user de son Bras si nécessaire pour atteindre cette sanctification
de Son épouse, car à Lui appartiennent l’Autorité et la
Puissance.
Cette absence du à
tout prix pour
l’épouse veut dire que n’ayant pas d’Autorité et donc pas de
Puissance (ou vice-versa), elle doit tout mettre en œuvre dans une
totale docilité et dans une soumission déférente et amoureuse pour
atteindre ce but ; soit comme dit Saint Pierre : Femmes,
soyez de mêmes soumises à vos maris, afin que, si quelques-uns
n’obéissent point à la parole, ils soient gagnés sans parole par
la conduite de leurs femmes, en voyant votre manière de vivre chaste
et réservée.
Ceci sera bien développé plus
loin.
6.B.3 - L’Époux doit
ensemencer son épouse.
Voici donc ce que signifie la
parabole : La semence, c’est la parole de Dieu.
Nous pensons que ce point a
largement été développé précédemment…
6.B.4 - L’Époux doit nourrir
son épouse.
Car la parole de Dieu est la
nourriture de l’âme.
Seul le Chef peut et doit
nourrir l’épouse : son Âme, son intelligence et son corps !
Nous pensons que tout ceci a été largement développé.
6.C - Seul Il a Pouvoir de
discipliner son épouse, seul Il le Peut.
Oui, seul l’Époux a Pouvoir
d’enseigner, de discipliner Son épouse pour la contenir dans son
devoir, et donc seul Il Peut
(devoir) la discipliner,
la châtier si elle est revêche !
Bien que déjà largement
abordé, ce point va être re-développé, il est crucial, et est la
charnière de tous les ‘drames conjugaux’ !
6.C.1 - Propos préliminaires :
cessons de pratiquer la langue de bois.
Reconquête !,
vaut
mieux la battre…
Arrêtons d’utiliser la
langue de bois !, point de tartuferie, cessons d’être
terrorisés par le monde qui nous dit : qu’il faut ‘être
tolérant’ ; que les époux sont égaux en droits et devoirs ;
que l’un ne peut dominer l’autre ; que dans la Famille c’est
le partage de l’autorité ; que c’est le consensus mou ;
qu’il faut échanger, parler ; etc…
Encore un tout petit peu de
temps, et il va être obligatoire d’aimanter sur la porte du
réfrigérateur un papillon fait tout exprès portant un ‘n° vert’
pour les enfants voulant se plaindre d’avoir reçu une punition
corporelle ou autre ! Il y a déjà eu des plaintes en
Gendarmerie pour ceci !
Vous trouvez cela monstrueux,
attendez encore un peu et vous trouverez cela normal, et encore un
peu et vous trouverez le contraire monstrueux ; et vous
réclamerez une dureté sans pareille pour le ‘déviant’ que vous
auriez surpris en train de faire ne serait-ce que des gros yeux à
Son épouse !
Rappelez-vous le mot de Saint
Augustin : À
force de tout voir on finit par tout accepter, à force de tout
accepter on finit par tout approuver.
Eh bien, devant la contrainte
verbale ou physique de L’Époux envers l’épouse ce même
phénomène s’est passé, se passe… Sur même pas 100 ans en
arrière, vous seriez stupéfié de voir la régression
du statut de la femme ! Oui, cette ‘évolution du statut de la
femme’, cette marchandise frelatée que les médias nous vendent
pour le compte de nos Maîtres, est de fait une gigantesque
régression de son ‘statut’ ; et dans cette chute
vertigineuse et suicidaire l’épouse a entraîné toute la
Famille : une
femme insensée la [sa Maison] renverse de ses propres mains.
Pour réparer cela, des textes
vont être cités, avec leur référence à l’appui, et qui disent
tous La Loi naturelle.
Ils
diront entre autres :
→ L’homme est l’image
et la gloire de Dieu, tandis que la
femme est la gloire de l’homme. (Saint Paul)
→ L’Homme est fait pour
honorer, aimer et servir Dieu, tandis que, La femme est faite pour
honorer, aimer et servir l’Homme.
(source absente)
→ La femme doit être
soumise à l’homme.
(Genèse)
→ Femmes, soyez de mêmes
soumises à vos maris.
(Saint Pierre)
→ Vous femmes, soyez
soumises à vos maris, comme
il convient dans le Seigneur. (Saint Paul)
→ Elles aimeront aussi à
rester chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à
sortir, et même alors elles
devront avoir l’autorisation de leurs maris. (Concile de
Trente)
→ Ceci est le point capital
dans le mariage elles se souviendront qu’elles sont obligées […]
de leur être soumises et de leur
obéir avec joie et empressement. (Concile de Trente)
→ Enfin il doit régler sa
famille, corriger et former les
mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans
son devoir. (Concile de Trente)
→ De même l’homme
doit, à tout prix, être le sanctificateur de celle que le
mariage lui a donnée pour épouse et pour sœur. (Mgr Jean-Joseph
Gaume)
→ Vous le pouvez sans
doute, mais seulement lorsqu’il y a un motif grave ; et
particulièrement lorsque c’est un motif qui tient à la décence,
et lorsque, après avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne
s’est pas corrigée ; seulement alors
vous pouvez la châtier (Saint Alphonse de Liguori).
→ Elle [Votre épouse] se
montre sa servante assidue et
dévouée. (Saint Astère)
→ Obéir
encore dans les choses qui
lui semblent le plus
déraisonnables. (Dom Jean de Mauléon)
→ Les femmes doivent être
soumises à leur mari en toutes
choses. (Pie XII)
→ Etc., etc., etc…
L’Époux doit mener sa
Maison, et donc ce, en se faisant obéir de Ses sujets ; bien
que la Justice de Dieu ne Lui demande pas de
réussir (obligation de résultat), Elle Lui demande de tout
mettre
en
œuvre, soit à
tout prix,
comme nous l’avons vu plus haut (6.B.2.b), pour atteindre ce but !
Pour les enfants, il existe la
punition morale ou physique ; et pour l’épouse, que fait-on
en cas de résistance, de désobéissance ?
C’est ce que nous allons voir
maintenant, sans langue de bois !
6.C.2 - À tout prix !,
même dans le plus déraisonnable et impossible !
Nous devons lire très
attentivement ce texte un peu long mais vraiment crucial :
Le religieux doit
obéir encore dans les
choses qui lui semblent le plus déraisonnables. On
sait combien les anciens Pères s’appliquaient à mortifier leurs
disciples en ce sens. Le maître de l’Abbé Jean fit arroser à ce
dernier pendant deux ans, quelque temps qu’il fît, un petit
morceau de bois sec qu’il avait planté en terre. Saint Antoine
ordonna une fois à saint Paul le Simple de tirer de l’eau d’un
puits toute la journée, et de la répandre à terre ; il lui
prescrivait de défaire les paniers d’osier et puis de les
refaire ; de découdre son habit, et puis de le recoudre, et de
le découdre ensuite, etc. Par là, ces vrais maîtres de « l’art
spirituel » réussissaient à détruire jusque dans sa racine
la volonté propre. En même temps, ils donnaient à entendre que le
mérite réel, devant Dieu, ne s’obtient pas par l’accomplissement
de tel ou tel acte pris en lui-même, mais par les dispositions que
l’on apporte à l’exécuter.
Enfin, le religieux doit
s’efforcer d’obéir même dans les choses qui lui paraissent
impossibles :
S’il arrive, dit saint Benoît,
que l’on enjoigne à un frère des choses difficiles
ou même impossibles, il doit recevoir en toute
mansuétude et obéissance le commandement qui lui est fait.
Cependant, s’il voit que le poids du fardeau excède totalement la
mesure de ses forces, il devra
faire connaître avec patience et au moment opportun, à celui qui
lui commande, les raisons de son impuissance, ne témoignant ni
orgueil, ni résistance, ni contradiction. Que si,
après avoir entendu ses représentations, le supérieur persiste
dans sa pensée et maintient le commandement, l’inférieur saura
que la chose lui est avantageuse, et il obéira par amour, se
confiant dans le secours de Dieu.
Durant le temps de la vie
présente, celui qui embrasse
courageusement la voie de l’obéissance est assuré de trouver la
paix car, ce faisant, il se débarrasse de son plus cruel
ennemi, de cette volonté propre qui est le tourment de
l’homme et la source de tous ses maux. Mais c’est au moment de la
mort surtout qu’il comprendra le prix de cette vertu : quand
l’âme, sur le point de paraître devant le Juge suprême, verra
se dévoiler tout le mal qu’elle a commis et que son amour-propre
l’empêchait de discerner, quand elle sentira le désespoir
l’envahir devant tant de pensées, tant de paroles, tant d’actions,
qui furent siennes et qui se lèveront pour la condamner au tribunal
de Dieu, elle éprouvera un soulagement que rien ne peut
exprimer à voir soudain accourir, pour la défendre comme une armée
rangée en bataille, tous ses actes d’obéissance. Car ceux-là ne
seront pas examinés : ils sont déjà jugés, ils sont
acceptés, ils sont matière à récompense. Alors
elle comprendra pourquoi saint Benoît, père plein de sollicitude et
de prévoyance, lui avait prescrit d’obéir « en toutes
choses » !
6.C.2.a - Quelle différence y
a-t-il entre l’Autorité du Supérieur et Celle de l’Époux ?
Ou,
dites-nous, quelle différence existe-t-il entre :
→ L’obligation
d’obéissance en toutes choses
du religieux contractée par ses vœux envers son supérieur et vue
ci-dessus ; et…
→ L’obligation
d’obéissance en toutes choses
de l’épouse imposée par la Loi Naturelle (Dieu scellant le
premier Mariage en Adam et la femme) et les commandements de
l’Église, et contractée par les promesses de Mariage de l’épouse
envers son Époux ?
De fait, Il n’y en a une,
mais pas du tout en faveur de l’épouse :
→ L’obligation
d’obéissance en toutes choses
de l’épouse est considérablement plus étendue et plus sainte,
plus profonde et parfaite, car faisant jusqu’à qu’une seule
chair avec son Époux,
et n’étant ni de près ni de loin la Tête ; et que cette
obéissance est tellement totale que même son corps appartient à
l’Époux et est à Son entière disposition ; et que rien sur
terre ni aux cieux, ni
même Dieu !, ne peut les
séparer (sauf mort).
6.C.2.b - Nous devons
considérer l’inférieur et l’inférieure :
Considérons
l’inférieur dans un couvent, le moine :
1. Avant d’être
‘inférieur’, le moine était l’‘égal’ de son supérieur,
en tant qu’Homme
2. S’il est devenu
‘inférieur’ c’est de par sa propre volonté, par un acte
d’humilité scellé par ses vœux qu’il l’est devenu.
3. Ce moine, cet
‘inférieur’ peut être séparé : relevé de ses vœux,
passer supérieur, changer de couvent et donc de supérieur, etc. ;
4. De plus, il ne fait pas
une seule chair avec ce supérieur !
Considérons
l’inférieure dans le Mariage, l’épouse :
1. Ce n’est pas de par
sa propre volonté qu’elle est devenue inférieure, ni par un acte
d’humilité !, en effet elle est inféodée à l’Homme de
Disposition divine. Ainsi avant d’être l’inférieure de son
Époux, elle l’était de son Père et de son Frère, de tout Homme.
2. Étant divinement
ordonnée à l’Homme, elle n’a pas abdiqué d’une égalité
avec l’Homme !, lors de son Mariage elle n’a fait
qu’accepter un transfert d’Autorité sur elle : de son Père
à son Époux !
3. De plus, l’épouse ne
fait qu’une seule chair avec son Époux.
6.C.2.c - Séparer les époux ?!
Oui, impossible de séparer les
époux, ni par divorce ni par séparation de corps, et ce, par aucune
Puissance sur terre ou au ciel, soit : Ni
de toit, ni de table, ni de lit, ni de rien du tout !
Et toujours, l’épouse est dans la chair de son Époux, en en
faisant intégralement partie, comme l’ombre fait partie de l’objet
qui la projette. Elle est asservie à Son gouvernement, à Ses
mouvements, à Ses désirs !
Il est la Tête d’un même
corps, elle n’est que le cœur
de ce même corps ! Le cœur ne palpite que parce que la Tête
le lui demande ! La Tête pense, le cœur palpite au rythme des
cheminements de sa Tête, son Chef ! Elle, l’épouse-cœur,
palpite pour servir et soutenir les méditations de son Époux !
Il est fatigué, elle palpite tout doucement pour Le laisser
reposer ; Il est triste, elle palpite aimablement pour Le
consoler ; Il désire son affection, elle palpite à tout rompre
pour Son plaisir.
Inquiet ?, l’Époux
consulte Son épouse-cœur, et elle Lui palpite si respectueusement
et si doucement l’une ou l’autre suggestion : Saint
Thomas résume toute la théologie de la femme en disant qu’elle
n’est pas faite pour commander à l’égal de l’homme, et pour
cette raison ne fut pas formée de la tête d’Adam ; ni pour
lui être soumise à la manière d’une esclave et ne fut donc pas
tirée de ses pieds ; mais qu’elle fut formée de son côté,
tout près du cœur, pour être son épouse aimante, l’influencer
doucement
- comme Marie à Canna - et pour symboliser et imiter la
relation de l’Église au Christ, une relation de soumission
aimante.
Elle a été crée non pour
Dieu, contrairement à l’Homme, mais pour l’Homme comme nous
l’avons suffisamment vu !
6.C.2.d - Qu’elle est donc
l’ampleur du devoir d’obéissance pour l’épouse ?
L’obéissance de l’épouse
doit être celle du moine et encore plus :
→ soit comme le moine :
une
obéissance en toutes choses ;
→ soit comme le moine :
obéir
encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables ;
→ soit comme le moine :
obéir dans les choses
difficiles ou même
impossibles ;
→ soit comme le moine :
recevoir
en toute mansuétude et obéissance le commandement qui lui est
fait ;
→ soit comme le moine :
si le
poids du fardeau excède totalement la mesure de ses forces,
et après avoir fait connaître
avec patience et au moment opportun, à son Époux
les
raisons de son impuissance, ne témoignant ni orgueil, ni résistance,
ni contradiction, et que si
après
avoir entendu ses représentations
son Époux persiste
dans sa pensée et maintient le commandement,
l’épouse saura
que la chose lui est avantageuse, et
elle obéira
par amour, se confiant dans le secours de Dieu ;
→ soit et en
plus que pour le moine : de
livrer son corps à son Époux, à qui elle appartient, et ce, toute
pleine de joie et d’empressement, pour Son plaisir
et l’engendrement.
6.C.2.e - Où nous voyons
encore plus l’escroquerie et la perversion d’Hommes d’Église !
Nous venons de voir par la
plume (cela date de Mathusalem, pensez-donc : 1936) de Dom Jean
de Mauléon citant et commentant Saint Benoît dans ‘Les
Instruments de la perfection’, l’obéissance que l’Église
exige
de ses moines et inférieur(e)s, jusque dans les choses les plus
impossibles
ou difficiles,
les
plus déraisonnables ; et
dans le même temps, nous voyons les prêtres de cette même Église
qui disent à l’épouse (adultère ou viol) qu’elle peut ou doit
se séparer de son Époux parce que Celui-ci lui commanderait des
choses qu’Eux (viol et adultère), ces pervers, considèrent comme
‘déraisonnables’ !
Oui, ces pervers
de prêtres, moteurs principaux
et même exclusifs de la destruction de Mariages, viennent
à vous sous des vêtements de brebis, mais au dedans sont des loups
rapaces ;
oui, les
prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres
demandent vengeance, et la vengeance est suspendue
sur leurs têtes (ND de La
Salette).
Revoyons
ce que disent ces cloaques
d’impureté :
→ Pour ses
membres de ses
institutions, ses
inférieurs, les Hommes d’Église disent : obéir
encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables, […]
difficiles ou impossibles […] ;
et si le supérieur
persiste dans sa pensée et maintient le commandement, l’inférieur
saura que la chose lui est avantageuse, et il obéira par amour, se
confiant dans le secours de Dieu !
→ Pour l’épouse, qui
n’est pas du tout son
inférieure, mais celle de son Époux, ces mêmes Hommes d’Église
disent alors qu’Ils n’ont rien à dire, de quoi je me mêle ou
toujours le même ‘devoir d’ingérence’ : l’épouse
doit obéir en toutes choses, sauf, bien
entendu,
le cas où le mari lui demanderait des
choses que sa conscience à elle lui interdit !
Ce bien
entendu dit à
l’épouse (adultère ou viol) par ces Hommes d’Église est
particulièrement vicieux, démoniaque ! Pourquoi à l’inférieur
d’un couvent ces Hommes d’Église ne disent-ils pas : vous
devez nous obéir sauf, bien
entendu,
le cas où le supérieur vous demanderait des choses que votre
conscience à vous vous interdit ?
Oui, suivant l’exemple de la
Très-Sainte Vierge Marie à La Salette, nous disons : bande
d’hypocrites et de pervers, cloaques
d’impureté !
6.C.3 - L’Apôtre St Thomas
conseille à un Époux
de fouetter son épouse.
Il vint aussi vers [l’Apôtre
Saint] Thomas un homme distingué, savant, et qui vivait toujours au
milieu de ses livres. Ce brave homme implora le secours de l’apôtre :
sa femme et sa fille étaient énergumènes. Elles avaient mené une
vie dissolue, et lorsque le mari dans sa colère les avait maudites,
le démon s’était emparé d’elles. Thomas suivit cet homme, et
trouva dans sa maison les deux femmes dans un état affreux. Elles se
précipitèrent vers lui pour le déchirer, mais il leur
lia les mains à un poteau avec sa ceinture, prit un fouet et les
frappa sans ménagement. Alors elles devinrent très dociles, et
Thomas donna à cet homme plein pouvoir pour les soumettre chaque
jour au même traitement. Puis, quand la correction et le jeûne les
eurent mises à la raison, l’apôtre chassa l’esprit immonde et
les convertit.
Ce texte est nullement de Foi,
par contre il serait sûrement téméraire de l’exclure.
Toutefois, il n’est pas du
tout en opposition avec les autres documents, bien au contraire, qui
eux, engagent à l’obéissance envers le Chef, ce de Volonté
divine : discipliner l’épouse, la contenir dans son devoir,
etc.
6.C.4 - Pie XII : il vaut
mieux perdre un de ses membres que son âme !
L’Apôtre
des nations avoue au sujet de lui-même : « Je
traite durement mon corps et je le tiens en servitude
de peur qu’après avoir prêché aux autres, je ne sois moi-même
réprouvé » (I
Cor.IX,
27). Tous les saints et saintes ont veillé attentivement aux
mouvements de leurs sens et des passions et quelquefois les ont
maîtrisés énergiquement, selon les paroles du divin Maître
lui-même qui nous enseigne : « Et moi je vous dis que
quiconque regarde une femme avec convoitise, a déjà commis
l’adultère avec elle dans son cœur. Si ton œil droit est pour
toi une occasion de chute, arrache-le et jette-le loin de toi ;
car
il vaut mieux pour toi perdre un seul de tes membres et que ton corps
tout entier ne soit pas jeté dans la géhenne »
(Matth.V,
28,29).
6.C.4.a - Il vaut mieux donc
qu’elle perde la vie plutôt que de perdre la Vie !
Donc, vaut bien mieux perdre
son œil ou un de ses membres que d’être jeté dans la géhenne !
Ainsi donc, le Chef étant
responsable de Son épouse, il vaut mieux qu’elle perde son œil ou
un membre plutôt qu’aller en enfer !
Surtout que comme le dit Saint
Alphonse de Liguori : toutes
les fois qu’elles désobéissent à leurs maris elles commettent un
péché mortel ! Un péché
mortel est la mort de l’âme n’est-ce pas, et c’est ce qui
faisait dire à Blanche de Castille, la mère de Saint Louis :
Mon
enfant, j’aimerai mieux vous voir mourir
que de vous savoir coupable d’un seul péché mortel.
Avez-vous déjà vu un Époux
digne de ce nom aller jusqu’à tuer son épouse ? Et pourtant,
si vraiment son Ciel était à ce prix !?
Par contre, alors qu’il vaut
mieux mourir plutôt que de commettre un péché mortel, ‘on’
(‘opinion publique’, ou Église, ou État) condamnerait un Époux
qui apprendrait quelques pas de Polka
à son épouse histoire de l’obliger à ne point commettre de péché
mortel en Lui désobéissant !?
6.C.5 - Saint Bernard :
Adam n’a pas discipliné Ève, il ne l’aimait pas !
« Bienheureux ceux qui ont
faim et, soif de la justice, parce qu’ils seront rassasiés. »
Je crois que ces paroles sont dirigées contre Adams, qui peut-être
bien a eu une partie de la justice, puisqu’il compatit à sa
femme ; mais s’il eût eu véritablement faim de la justice,
il se serait mie en peine de rendre ce qu’il devait, non-seulement
à sa femme, mais aussi et surtout à son Créateur. S’il
devait compatir à sa femme, il devait la discipliner,
puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la
femme. Or il devait à Dieu obéissance et soumission.
6.C.5.a - S’il devait
compatir à sa femme, il devait la discipliner !
En effet, Il
faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes.
À Dieu plutôt qu’obéir (céder) à son épouse.
Adam, en toute justice, par
obéissance et soumission à Dieu, par Amour pour Lui, et parce qu’Il
devait compatir à sa femme (Ève)
son inférieure, l’aimer vraiment, Il devait la discipliner, étant
son Chef.
Adam en ne disciplinant pas Sa
femme, Son inférieure, était désobéissant et insoumis envers
Dieu, il ne L’aimait pas, et Il était injuste, insensible envers
Sa femme, Il n’agissait pas avec amour envers elle !
6.C.6 - Saint Bernard :
Adam n’avait pas faim et soif de Justice…
Mais que penser, mes frères, en
voyant que de tous ceux qui jugent si sévèrement ce qu’il a fait,
il y en a tant qui ont la folie de l’imiter ? Il y en a tant,
dis-je, qui s’indignent contre
lui, parce qu’il a écouté la voix de sa femme plutôt que celle
de Dieu, et qui eux-mêmes écoutent aussi leur Ève, je veux
dire leur propre chair, de préférence à Dieu ! Mes frères,
si en ce moment nous voyions Adam
placé, par les pensées qui s’élèvent dans son cœur,
entre les prières de sa femme et
le commandement de son Créateur, ne crierions-nous pas ;
Prends garde, malheureux, fais
attention, ne cède point ; ta femme a, été séduite, ne te
range pas de son côté ? Pourquoi donc, toutes les fois
que nous sommes exposés à une tentation pareille, ne nous
disons-nous point aussi la même chose avec la même conviction ?
« Car, bienheureux ceux qui
ont faim et soif de la justice, parce qu’ils seront rassasiés. »
6.C.6.a - Arrêtons de
pratiquer la langue de bois !
Ferons-nous, nous les Chefs de
Famille, comme Adam ?, nous écouterions la voix de notre ‘Ève’,
de notre femme (lorsqu’elle est indisciplinée, il s’entend)
plutôt que Celle de Dieu ?
Avons-nous faim et soif de la
Justice ?, aimons-Nous nos épouse ?
Nous le devons pour notre Dieu
d’Amour et de Justice, nous le devons aussi pour nos épouses
bien-aimées, nous devons : les corriger lorsqu’elles sont
indisciplinées !
6.C.7 - Sainte Françoise
Romaine : magistralement giflée par son Ange.
Le modèle le plus célèbre d’une
âme conduite tout au long de son pèlerinage ici-bas par son un ange
gardien -ses anges, plutôt-, est sans conteste Françoise Romaine :
les esprits célestes se succèdent auprès d’elle pour la faire
progresser dans les voies de la sainteté. Le premier est sévère,
et c’est à lui que nous devons l’épisode, resté fameux, de la
gifle : un jour que Françoise reçoit des amis dans son salon,
la conversation vient à déraper, et on se met à médire de tel et
tel. En bonne maîtresse de maison, Françoise veille d’habitude à
réfréner ces écarts de langage, cette fois elle ne dit rien :
aussitôt, le claquement d’un
soufflet magistral retentit et tous voient, bien imprimée sur la
joue de l’hôtesse, la marque écarlate d’une gifle. D’une
poigne vigoureuse, l’ange est intervenu pour la rappeler à ses
devoirs. Il ne lui passe rien, car il est chargé de purifier son âme
de toute imperfection, afin de la disposer à l’union avec Dieu. Il
ne lui fait grâce de rien, pas même du scrupule, pourtant bien
involontaire, comme le signale Valladier dans son Miroir de sapience
inspiré par le père Giovanni Matteotti, confesseur et biographe de
la sainte.
L’ange gardien nous a été
donné pour nous guider ? Oui ou non ? Lui, pour notre bien
peut donner (il existe de nombreux autres exemples) un soufflet
magistral !
Et l’Époux, qui doit régler,
corriger et former les mœurs de Son épouse, serait impuissant
devant sa mauvaise volonté à obéir et à être formée ?
Pire, l’épouse désobéissante pourrait contaminer les enfants et
d’autres personnes, et l’Époux devrait garder les mains derrière
le dos ?!
6.C.8 - Concile de Trente :
Il doit contenir son épouse dans son devoir.
Enfin il doit régler sa famille,
corriger et former
les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir
chacun dans son devoir.
6.C.8.a - Arrêtons de
pratiquer la langue de bois !
Ce texte dit bien que :
l’Époux
doit régler sa famille, corriger
et former les mœurs de tous ceux qui la composent.
Contenir
comment ?, corriger
comment ? Par l’exhortation patiente et amoureuse il
s’entend ; par le raisonnement mis à sa portée ?, soit,
mais après ? Si après
avoir été plusieurs fois avertie
l’épouse reste ‘sourde’ à l’ordre, ne ‘comprend’ pas,
soit ne veut pas comprendre, la bonté de son Chef ?
Si ayant des oreilles elle ne
veut point entendre, de yeux et ne veut point voir, une
‘intelligence’ et ne veut point comprendre, alors finalement il
faut en passer par la contrainte, la correction ! En effet, la
Famille doit fonctionner coût que coût, et cet acte héroïque, la
correction maritale, sera sûrement la sauvegarde du sujet épouse.
Doit-elle aller au ciel oui ou non ?, et Vous Chef, en êtes-vous
responsable oui ou non ?
Avez-Vous déjà vu un enfant
se mener rien qu’avec la raison ? C’est certes l’idéal,
mais lorsqu’il refuse d’entendre raison que fait-on ? On le
corrige !, et l’épouse idem !
6.C.9 - Saint Thomas d’Aquin,
Docteur de l’Église : user aussi de coups !
Le renvoi n’est pas le seul
moyen de corriger l’épouse
coupable de fornication on
peut user aussi des réprimandes et des coups. Si la femme est
disposée à se corriger sans cela, le mari n’est donc pas obligé
d’user du renvoi pour obtenir son amendement.
6.C.9.a - L’épouse coupable
de fornication ou de fornication doit être réprimandée, recevoir
des coups !
Fornication ou fornication,
qu’est-ce à dire ?
-- Fornication :
Au fig., HIST. D’ISRAÊL. Infidélité du peuple juif qui abandonne
le vrai Dieu pour adorer des dieux étrangers. Je pensais à Isaïe,
à la « fornication des hauts lieux » et je remontais la
rue de La Harpe, en me répétant cette fin de verset : « Et
son gosier est plus doux que de l’huile » (Flaub., Corresp.,
1853, p. 217). La fornication est, dans le langage prophétique,
toujours inséparable de l’idée d’idolâtrie (Renan, Antéchrist,
1873, p. 423). La grande Oolla ou Samarie, la petite Ooliba ou
Jérusalem, se sont livrées à la fornication en adorant les idoles
de l’Assyrie, de l’Égypte et de la Chaldée (Théol. cath. t. 4,
1 1920, p. 999).
Nous avons écrit ci-dessus :
L’épouse
coupable de fornication ou de fornication,
parce qu’il existe deux types fornications : une fornication
charnelle et une fornication intellectuelle, ou morale.
L’épouse qui échappe à la seule Autorité à laquelle elle est
assujettie de Droit divin, son Époux, fornique, ou comme nous
disions précédemment commet l’adultère. Chaque fois que l’épouse
regarde ailleurs que sur son Époux : veut ‘sa’ famille,
demande ‘conseil’ à un prêtre, cherche un appui pour regimber,
se révolter (gendarmerie, assistante sociale, cellule d’écoute,
et autres cochonneries du même tonneau) : elle
fornique ! Et c’est ainsi
que nous disions, nous, dans cette étude : adultère ou viol
selon son consentement ou pas !
Saint Thomas d’Aquin, Docteur
de l’Église, confirme bien que sur l’épouse
coupable de fornication on [le
Mari]
peut user aussi des réprimandes
et des coups
[…] afin d’obtenir son amendement !
Ne trouvez-vous pas que la
fable, l’escroquerie de la femme battue [évidemment par son
Homme !] parait de plus en plus monstrueuse ?
Bien
qu’ayant déjà fait un bon brin de chemin dans le ‘bon sens’,
continuons, ce n’est pas fini !
6.C.10 - Saint Alphonse de
Liguori : vous pouvez sans doute la châtier…
Comment,
disent-ils, je ne puis pas châtier ma femme lorsqu’elle se conduit
mal ? - Vous le pouvez sans doute, mais seulement
lorsqu’il y a un motif grave ; et particulièrement lorsque
c’est un motif qui tient à la décence, et lorsque,
après avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne s’est pas
corrigée ; seulement alors
vous pouvez la châtier ; mais il ne vous est pas permis
de battre une femme pour le motif le plus frivole, comme, par
exemple, pour une invective ou pour une désobéissance sur un objet
de peu d’importance.
6.C.10.a - Arrêtons de
pratiquer la langue de bois !
L’Enseignement de l’Église
d’un temps ne peut-être opposé à son Enseignement d’un autre
temps. L’Enseignement de notre Dieu Est ! Il est unique, Il
est constant… Ce que nous venons de lire a été écrit voici un
peu plus de 150 ans.
Saint Alphonse de Liguori
reconnaît
à l’Époux le droit de châtier sa femme, évidemment si elle le
mérite !
Soyons
sérieux, voyez-vous un Époux
châtier,
battre(idem) sa femme, lui donner des coups
alors qu’elle :
→ Lui
rendrait ses hommages car Il est son Seigneur ?
→ se
prosternerait devant Lui puisqu’Il est son Seigneur ?
→ Lui donnerait une
soumission amoureuse, une
obéissance joyeuse
et empressée ?
→ Le
révérerait ? (Éph 5,
22-25, 33)
→ etc. ?
6.C.11 - Un Seigneur justifie
ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.
Du :
24.07.2008, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mar. 5 févr. 2013,
13.22.
La source de l’histoire que
nous allons raconter manque, et donc le texte est donné ici de
mémoire, il est bien fidèle à l’esprit. Lorsque nous retomberons
sur ce texte tiré d’un livre sur les croisades nous donnerons la
source exacte. Voici donc l’histoire qui nous intéresse et qui est
le contre-pied magistral du bassinage mensonger et sidérant,
incapacitant que l’on nous fait encore plus ces derniers jours
(juillet 2008) quant à ladite violence faite aux femmes.
Réflexions
préliminaires ré-apprenant à raisonner :
→ Comment se fait-il
qu’un Homme puisse être ‘violent’ avec une femme étant donné
que nous serions ‘égaux’ selon eux ? En effet, une violence
physique et/ou psychologique ne peut exister que venant d’une
personne plus forte sur une personne plus faible, physiquement et/ou
psychologiquement parlant ! Et donc, où le serpent se mord la
queue, soit nous sommes égaux et il ne peut y avoir violence contre
la femme, ou soit il y a violence et donc nous sommes inégaux ;
il faut choisir une bonne fois pour toutes !
→ Pourquoi ne fait-on
pas une distinction entre un ordre ‘femme,
fait ceci’ et une punition :
réprimande, claque, martinet, etc. ? Parce que ce n’est pas
la ‘violence’ qui est visée, mais l’autorité :
→ Il leur faut détruire
la Famille selon le mot bien connu : Famille,
je vous hais.
→ Pour détruire cette
Famille, il faut y semer l’anarchie afin d’y amener la révolte,
et donc faire croire aux femmes qu’elles ne doivent pas être
‘asservies’ étant ‘égales’ à l’Homme.
→ Une fois la révolte
installée, l’Homme n’a plus d’issue que de discipliner son
épouse soit en la sermonnant, soit en la contraignant, et c’est
ceci que les ennemis de cette Famille appellent ‘violences’.
→ Puis, ensuite,
d’amener l’épouse à porter plainte contre son Époux ! Et
eux se réjouissent car ils disent : qu’enfin,
les femmes osent de plus en plus porter plainte contre les ‘violences
conjugales’ !
→ Car, enfin, et du
reste on y arrive, on y est même déjà, un Père qui dit à son
fils ‘ne
fait pas ceci’ est ‘violent’
maintenant ! Alors qu’Il a le Devoir, et donc le Pouvoir, de
corriger intellectuellement et ensuite s’Il le juge nécessaire
physiquement son enfant.
→ Comment cela se
fait-il que l’Autorité dans la Famille ne peut utiliser la
‘violence’ pour faire régner l’ordre, alors qu’Elle est de
Droit divin et donc qu’Elle le Doit ; et que dans le même
temps, l’État utilise une violence bien plus grande et bien
infernale en poursuivant et enfermant ces Chefs de Famille, et ainsi
en laissant errer ces femmes et en rendant ‘orphelins’ ces
enfants, alors que Lui, l’État, est forcément illégal dans ce
cas ?
Revenons à notre titre :
Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au
cachot.
-- Justifier :
2. a) Déclarer juste ; disculper, innocenter.
Voici
l’histoire :
Au temps des Croisades, un
Seigneur part et laisse Ses biens à la garde de Son épouse. S’étant
absenté plusieurs années, Il revient en Son domaine où Il est
accueilli par les Siens. Ne voyant pas Son épouse, le Seigneur
interroge Ses gens qui Lui disent que Son épouse est au cachot et
que c’est Ses deux fils aînés qui l’y ont mise. Sans se
départir de Son calme, le Seigneur convoque ses fils, qui maintenant
ont 13 et 15 ans,
en audience publique de même que son épouse qu’Il a fait
extraire. Puis devant tous ses gens, Il demande à Ses fils pourquoi
ils ont mis leur mère au cachot. Ceux-ci Lui expose les désordres
de leur mère quant à la gestion du domaine. Le Seigneur en
interrogeant Son épouse à la confirmation des dires de Ses fils. Et
devant Sa cour Il justifie en publique Ses fils, Il confirme la
sentence et fait renvoyer par Ses gardes l’épouse désordonnée
pour un bon moment au cachot.
Revoyons
cette histoire ensemble.
Le Seigneur s’absente
plusieurs années, et laisse Ses biens à Son épouse : les
biens comme l’épouse sont à Lui. L’épouse doit les gérer pour
Lui selon ses instructions explicites ou implicites.
Les enfants qui au départ de
leur Père étaient encore jeunes, ayant mûri, ont averti leur mère
de ses désordres, et devant son obstination, après l’avoir dûment
sommée, ils l’ont fait mettre au cachot car elle ne voulait pas
obtempérer.
L’Époux en sa Maison
(Famille) est bien, Lui aussi, le Seigneur, Comme
Sara, qui obéissait à Abraham et l’appelait son seigneur,
l’épouse doit ainsi considérer son Époux.
Nous avons aussi vu que,
puisque ton Époux s’est
épris de ta beauté : puisqu’il est ton seigneur,
prosterne-toi devant lui*.
Comme Il est son Seigneur, elle
doit
obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus
déraisonnables ; ou
sinon, son Seigneur, s’il
devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle
était son inférieure, car l’homme est le chef de la
femme.
Mesurez ainsi, le fossé qui
existe entre ce que suggère cette petite histoire qui précède et
ce que disent les mensonges de ‘la femme battue’ et ‘des
violences conjugales’.
Oui, ce monde est un monde de
mensonges, de renversement de toutes les valeurs, une révolte contre
Dieu qui est Ordre, Droit : libération de la femme ;
violences conjugales ; travail de la femme ; partage de
l’autorité dans le couple ; contraception, avortement ;
prise en main de l’enfant par l’État ; collages
contre-nature ; égalités en tous genres et plus
particulièrement des sexes ; séparation et divorce ; etc.
Il existe une violence bien
réelle qui est la désobéissance de la femme rebelle à son Époux,
et à cette infraction une ‘violence’ plus que légitime doit
être la ‘réponse’ de son Époux. Et c’est ainsi qu’agit
l’État légitime lorsque quelqu’un fait une infraction au code
de la route par ex., la ‘violence’ de l’amende est là pour le
ramener à la raison.
L’État ne peut aucunement
rentrer dans la Maison afin d’en ‘vérifier’ la gestion, seul
l’Époux est le Législateur et le Bras chargé de faire respecter
le Droit en sa Maison.
Mais évidemment, maintenant
que l’on a inventé le ‘droit d’ingérence’, purement
démoniaque, l’État dit que l’Époux n’est pas Roy, et que
c’est lui, l’État, qui doit tout chapeauter en la Famille.
Le charbonnier
n’est plus Maître en Sa Maison,
il n’est ‘toléré’ que s’il est démoncrate ; et
ainsi qu’un vaisseau ne peut avoir à sa tête deux Capitaines, un
foyer ne peut avoir deux Têtes ; alors, l’on coupe le
vaisseau en deux, c’est le divorce. En effet, de plus en plus de
Famille vont à la dérive, car comme ils disent : ils
‘éveillent’ de plus en plus la femme à la ‘liberté’ afin
de les amener à la révolte.
♣
6.C.12 - Église de Brou :
correction maritale, ou la ‘femme battue’.
Voici 3 photos
d’une miséricorde de stalle, visible en l’église de Brou, dans
l’Ain, France.
Vous voyez l’heureux temps où
l’Église et l’État ne trahissaient pas les Hommes, les Époux,
les Chefs de Famille.
Heureux
temps !,
où paisiblement…, l’Époux…
Heureux temps, où la chose
était réglée vite fait, bien fait (photo de droite, détails de
cette miséricorde ci-dessus.), et en Famille et sans scandale
toujours très hypocrite. Et l’épouse tout à son bonheur d’être
soulagée de son errance, voyant enfin clair, venait amoureusement
vous embrasser la main et vous bénir !
Cette représentation, montre
l’Époux nullement hésitant et même bien appliqué à Son Devoir,
avec un fouet en main comme le préconisait l’Apôtre Saint
Thomas.
L’épouse a la robe très
nettement relevée, le postérieur nu et bien dégagé, et subit
respectueusement le châtiment mérité, et sans rechigner. En effet,
l’Époux ne la tient que d’une main par l’épaule et s’applique
à son œuvre pie sans hésitation ; elle ne se roule pas à
terre !
Qui
aime bien, châtie bien, dit le
proverbe !
Nous pourrions ajouter l’épouse qui aime bien son Époux, aime à
être corrigée.
6.C.13 - L’Homme tranquille,
bon… bat Sa femme s’il le faut !
6.C.13.a - Scène 1 :
voici mon Époux un bâton pour me corriger…
Ici,
nous voyons Mary, l’épouse, qui a été particulièrement
difficile, et plus grave, elle s’est refusée lors de la nuit de
noce (péché mortel : devoir conjugal !).
Le lendemain l’Époux, Sam
Thorton (John Waine), rentre chez Lui, sombre ; Son épouse
l’accueille humblement et Lui tend un bâton pour qu’Il puisse la
battre (photo ci-contre) !
Oui, aucun Époux ne frappe,
corrige son épouse si elle est sage, ainsi nous voyons Sam Thorton,
devant les bonnes dispositions de Son épouse, devant sa contrition
bien visible, jeter à terre le bâton !
6.C.13.b - Scène II’1 :
Une ‘violence conjugale’ hautement légitime !
Dans cette scène
(photo ci-contre)
de ‘violence conjugale’ caractérisée Sam Thorton ramène Son
épouse récalcitrante qui a fui en la tirant, en la traînant sur le
sol, en la tenant par le col de son chemisier, afin de lui faire
passer un ‘mauvais’ quart d’heure ! Tout la panoplie de
l’Homme ‘violent’ y passe : femme jetée à terre,
arrière-train honoré de la visite du pied de l’Époux,
rudoiement, menaces diverses, etc. !
Tout le village, et même ceux
des alentours, suit cette pérégrination très mouvementée et haute
en couleur pour jouir du spectacle, les paris vont bon train !,
même le curé et le pasteur du lieu, et l’Évêque de ce dernier
s’y mettent. À voir tous ces gens réjouis de ce que cette épouse
soit remise dans le droit chemin, il est bien visible qu’ils n’ont
pas encore été contaminés par les commissaires du peuple, les
‘redresseurs’ de conscience du haut de leurs tubes cathodiques
appelés ‘téloches’ ; il est bien évident que ces braves
gens n’ont donc jamais reçu la ‘révélation’ au sujet de la
‘violence conjugale’, de la ‘femme battue’, ‘dominée’,
‘psychologiquement maltraitée’, etc… (la liste de ces
tromperies malignes
est trop grande et tellement désolante…)
6.C.13.c - Scène II’2 :
Monsieur, voilà un bâton pour battre votre jolie dame.
Un tout petit peu plus loin
(photo ci-contre),
une grand-mère pleine de bon sens, et sachant pertinemment, et
certainement de salutaire expérience !, de quoi il s’agit, et
ayant surtout compris le danger gravissime où se trouvait cette
pauvre épouse, c’est-à-dire celui de ne point être battue de
main de Maître afin d’y voir enfin clair, ramasse l’accessoire
oublié par ce pauvre Époux fort préoccupé : un bâton ;
elle se détache précipitamment du lot pour le tendre à l’Époux
oublieux en lui disant : Monsieur,
monsieur, attendez, attendez, voilà un bon bâton pour battre votre
jolie dame.
Alors que la donzelle Mary se
contente de dire ho !…,
l’Époux prend le bâton, et dit à la brave grand-mère :
Merci !
6.D - Évidemment !,
l’Homme est violent et la femme innocente…
Du :
25.05.2008, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mar. 5 févr. 2013,
13.19.
Nous disons au début de cette
étude : La
suite de notre étude va faire magistralement voler en éclats la
fable, l’escroquerie démoniaque de ‘la femme battue’ !
Alors, nous y voici, quoique nous ayons déjà bien besogné dans
cette voie…
6.D.1 - Femme en islam, sujet
développé par l’hebdomadaire Rivarol.
Voici un texte parut dans
Rivarol et que nous allons étudier :
Marwan SIBLINI - FEMME EN ISLAM
A s’en tenir au Coran qui est la
parole d’Allah et à ses commentaires (Hadith), la femme a à peine
plus de valeur, morale et marchande, qu’un animal. On
peut la répudier, la
battre, refuser de
l’entretenir, la spolier
de la garde de ses enfants ou de son héritage. Et pour cause,
la femme est une "oura", terme signifiant en arabe tare,
souillure. Outre son impureté, elle est de plus, selon Mahomet et
ses exégètes, congénitalement accablée de déficiences mentales,
intellectuelles et donc religieuses, qui justifient tous les mauvais
traitements et humiliations qu’on peut lui infliger.
Ce petit livre de l’islamologue
Siblini devrait être distribué par les mairies à toutes les
Françaises venant faire publier les bans de leur prochain mariage
avec un musulman. Ainsi sauraient-elles à quoi s’attendre. J. L.
6.D.1.a - Pour commencer, voici
un courriel que nous avons envoyé à Rivarol.
Début
extrait →
Restauration de la Famille par
l’Autorité ; de l’Époux, du Père.
France,
le mardi 6 mai 2008, à 13.17.
Messieurs,
Ce message n’est pas anonyme,
il est signé d’un pseudonyme afin d’aider à ne pas confondre la
Vérité avec celui qui La dit. Je vous demande de publier ce message
dans ‘droit
aux lettres’.
Je veux vous parler de votre
recension de ‘femme en Islam’ (n° 2856 page 10).
Je vous préviens que vous
minez vous-même le terrain sur lequel vous posez vos pieds, en
effet, peut-on montrer que l’Islam est une fausse et très mauvaise
religion en disant par ex. qu’Il préconise de punir l’enfant
rebelle ? Ou, qu’un Imam dirait qu’il faut respecter la
limitation de vitesse ?
Peut-on lutter contre une
fausse religion en faisant passer une vérité pour un mensonge, et
ce par confusion ou par peur d’aller contre l’air du temps ?
Je ne cite qu’un passage :
on
peut […] la battre […].
Concile de Trente : Enfin
il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous
ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.
Concile de Trente : Ceci
est le point capital dans le mariage elles se souviendront qu’elles
sont obligées
[…] de leur être soumises
et de leur obéir avec joie et empressement.
Saint Bernard en parlant à
l’Époux : Celui
qui se néglige, n’a
pas soin de chasser la fumée, de corriger sa femme, et de réparer
le toit de sa maison…
Saint Alphonse de Liguori :
[si] après
avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne s’est pas
corrigée ; seulement alors vous
pouvez la châtier.
Concile de Trente : Elles
aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne
les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir
l’autorisation de leurs maris.
Saint Astère : Elle
[Votre épouse] se
montre sa
servante
assidue et dévouée.
Saint Bernard : S’il
[l’Époux] devait
compatir à sa femme, il
devait la discipliner,
puisqu’elle était son
inférieure,
car l’homme est le chef de la femme.
Saint Benoit : [L’épouse]
doit
obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus
déraisonnables.
Pie XII : N’hésitez
donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point
à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités. La barre de la
nef domestique a été confiée à vos mains.
Pie XII : Épouses
et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif
d’usurper le sceptre familial !
Pie XII : [Épouses] Ne
vous contentez pas d’accepter et presque de subir l’autorité de
votre époux à qui Dieu vous a soumises par les dispositions de la
nature et de la grâce. Dans votre sincère soumission, vous devez
aimer l’autorité de votre mari, l’aimer avec l’amour
respectueux que vous portez à l’autorité même de Notre-Seigneur,
de qui descend tout pouvoir de chef.
Etc., etc., etc.
Oui, l’Islam est une très
mauvaise religion, mais dénonçons-la avec de vrais arguments et non
des ‘réflexes’ imposés par nos ennemis.
Ajouté le 1er aout
2009 :
Nous regrettons très
sincèrement ce paragraphe, nous le laissons uniquement pour mémoire.
Ce que nous voulions dire c’est que ce n’était pas la Vraie
religion.
Un musulman honnête lira toute
notre étude et verra ainsi comment de fait nous voulons que les
défendre et leur dire comment ils ont été trompés par les
‘ennemis
de tous les hommes*’
Ce musulman honnête verra même
comment, à certains égards, nous les magnifiions et les citons
comme exemple !
Que ce musulman de bonne
volonté* recherche aussi,
entre autres : honte
aux chrétiens*, honte
à nous*, musulman*,
Imam*,
voile*,
etc.
Que ce musulman honnête
constate comment dans ce chapitre nous les défendons sur des points
touchant : le Mariage, la Famille, l’assujettissement de la
femme à l’Homme et ce plus particulièrement dans le Mariage…
Et, si l’on approuvait et
bénissait comme de Droit le Droit qu’un musulman a à punir sa
femme rebelle, si l’on approuvait le voile (et non casque de
scaphandrier ou masque d’apiculteur) qu’ils font porter à leurs
femmes comme le demande Saint Paul, alors, nous pourrions
certainement convaincre charitablement ces pauvres musulmans de leurs
vraies errances.
Avec de faux arguments, nous
les scandalisons et ainsi nous les empêchons de se convertir, et de
ceci il faudra rendre compte au Jugement dernier !
Bien amicalement, que le Bon
Dieu vous bénisse !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
← Fin
extrait
Est-ce utile de vous dire que
cette lettre ne fut pas insérée dans leur ‘Droit aux lettres’…
6.D.1.b - Voici maintenant une
analyse complète de ce texte.
Reprenons la partie de texte
que nous allons étudier, le reste n’étant pas utile pour
l’instant :
La femme a à peine plus de
valeur, morale et marchande, qu’un animal. On
peut la répudier, la
battre, refuser de
l’entretenir, la spolier
de la garde de ses enfants ou de son héritage.
→ Que la
femme ait
à peine plus de valeur, morale et marchande,
qu’un animal, est certes à
déplorer et à combattre, avec la réserve que l’on ne peut
toucher à l’Autorité du Chef de Famille. Alors, comment peut-on
combattre ceci ?
1. En ne mélangeant pas
ce qui ne peut être mélangé, et donc en acceptant pas cela
chez-nous.
Mais une fois que l’on a fait rentrer ces pauvres Hommes porteurs
de cette erreur dans nos régions, nous devons en supporter les
conséquences.
2. En ne Les scandalisant
pas nous-mêmes en ‘marchandisant’ nos femmes par :
l’égalité des sexes mensongère parce que fondamentalement
irréalisable, la prostitution publicitaire et autres, la
pornographie en tous lieux et toutes circonstances et ce, jusqu’à
l’échangisme et la zoophilie, le refus des fruits de l’Amour, la
séparation et le divorce, etc. Et, dans le même temps nous nous
scandalisons plus que hypocritement de ce qu’Ils font et qui est
bien moins grave que ces crimes précités !
3. En étant des apôtres,
des missionnaires auprès de ces Hommes qui immanquablement
seront séduits par notre Image de Dieu. On ne peut bonifier qui si
l’on est bon soi-même, et on les bonifiera en commençant par la
Tête, l’Homme, le Chef de Famille. Nous ne devons aucunement
toucher à sa femme, c’est Lui, le Chef qui touché Lui-même par
notre Image de Dieu touchera ensuite Son épouse et Ses enfants.
→ Que l’on
peut la répudier est certes
mal, mais que l’on s’en scandalise hypocritement est bien plus
grave, en effet l’on accepte jusque dans nos cercles les plus
restreints, la séparation, le divorce, le concubinage… On
l’accepte, on l’accueille, et même nos prêtres jusque dans la
Trahition
(cf FSSPX & Cie) l’imposent à des épouses au nom de
l’obéissance !
→ Que l’on peut la
battre, ou plutôt ce qui est
plus heureux et exacte comme terme la
corriger est vrai !
L’Époux le Peut parce qu’Il le Doit, et si nécessaire même
physiquement. Ceci a été suffisamment développé un peu plus haut
et dans tout l’ensemble de
notre étude.
Oui, cessons de pratiquer la
langue de bois, il y va du salut de l’épouse revêche et de
l’Époux qui sera jugé sur le dépôt qui Lui fut fait par Dieu
même.
Résumons :
L’Époux doit corriger,
châtier son épouse si nécessaire, et Lui seul sait ce qui est
nécessaire à celle-ci.
Il doit être soutenu,
encouragé, glorifié par quiconque, Église ou mosquée, État, et
‘opinion publique’, etc.
→ Que l’on peut
refuser
de l’entretenir, est aussi
évident, encore faut-il s’entendre sur l’expression.
→ S’il s’agit
d’entretenir sa femme qui par ailleurs va coucher n’importe où,
il est évident que l’on ne le doit absolument pas.
→ S’il s’agit
d’entretenir de quelque façon
que ce soit Sa femme qui aurait demandé la séparation de corps ou
le divorce, certainement non plus !
→ Si nous parlons d’une
épouse revêche et ayant fuit chez ‘ses’ parents, idem !
→ S’il s’agit d’une
épouse digne et totalement soumise, il est évident que quelqu’Époux
que ce soit ne penserait pas à : refuser
de l’entretenir !
Dans ce propos il y a du reste
une gigantesque hypocrisie, en effet, Rivarol parle de l’entretenir,
or, l’on ne peut entretenir que ce qui est dépendant ! On ne
peut clamer l’égalité des sexes, le droit au travail et au
salaire, à son ‘indépendance’, et ensuite demander d’être
entretenue !
→ Que l’on peut la
spolier de la garde de ‘ses’ enfants,
fait montre aussi d’une particulière inconscience ou hypocrisie.
En effet, en premier lieu, selon les canons actuels, les enfants
appartiennent aux deux parents, or, la
spolier de la garde de ‘ses’ enfants,
entend qu’il y a séparation ou divorce, et comme l’enfant ne
peut être partagé, arrêtons de pratiquer la langue de bois, c’est
soit elle qui est spoliée de la garde des enfants, soit Lui. Il y en
aura au moins un des deux qui sera spolié !, et donc au nom de
quoi plus elle que Lui ?
Mais, comme tout ce document le
prouve, les enfants appartiennent, et ce, dans tous les sens du
terme, qu’au Père ! Donc de dire la
spolier de la garde de ‘ses’ enfants,
est un mensonge, il aurait fallu dire, la
séparer des enfants !
Mais de plus elle n’est pas séparée des enfants si elle s’en
va, c’est elle qui abandonne les enfants, puisque c’est elle qui
part ! Si madame ne veut pas être séparée des enfants,
qu’elle ne s’en sépare pas !, qu’elle soit réellement
sage et reste auprès de son Maître, son Époux !
→ Que l’on peut…
la spolier de son héritage,
est aussi faux que tout le reste. En effet, qu’a-t-elle besoin de
‘ses’ biens tant qu’elle est avec son époux ? Si elle a
quitté son Époux et veut revoir ‘ses’ biens, comme pour les
enfants, qu’elle s’amende, obtienne le pardon de son Époux, et
revienne auprès de Lui dans une plus parfaite soumission ! Si
elle est avec son Époux, comment peut-elle gérer ‘ses’ biens
qui ne sont qu’une dot, et alors qu’elle
doit obéir en toutes choses ?
Saint Alphonse de Liguori,
entre de nombreux autres auteurs, après avoir dit que
toutes les fois qu’elles désobéissent à leurs maris elles
commettent un péché mortel,
ajoute que la
femme pèche si,
sans le consentement de son mari, elle dépense sur les revenus
communs une somme plus forte que les femmes de son rang ont coutume
de dépenser, parce que c’est
le mari qui est maître des biens communs,
et non
pas la femme…
Ce texte de Rivarol montre bien
à quel niveau nous sommes descendus dans l’infernal libéralisme
dont la principale facette est le féminisme. Ce texte est, par
ignorance coupable
pour le moins, un bijou de désinformation.
Et ainsi, au lieu de ra-mener à
la Vérité des Hommes égarés par le Menteur et ses suppôts, ces
textes, comme celui de Rivarol, dressent une barrière, en Les
scandalisant. Ceux qui se disent catholiques devraient, en Vérité,
les soutenir quant aux points vus ci-dessus! Mais non, l’on se dit
catholique, et nous les scandalisons ! Les prêtres en premier,
et surtout les prêtres de la Trahition
qui prétendent sonner l’alarme alors qu’ils jouent du pipeau
pour nous capter, et sont ainsi les ‘seuls’ responsables.
♣
6.D.2 - Certes, elle doit
plier, mais maintenant que faire ?
Du :
21.07.2008, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mar. 5 févr. 2013,
13.02.
Cette nouvelle a été offerte aux
Chefs de Famille ‘Les
Intransigeants’
sous le nom : Certes,
elle doit plier, mais maintenant où tout est renversé, que faire ?
Certes, elle doit plier, mais
maintenant où tout est renversé, que faire ?
Nous, ici, et c’est ce que
devrait penser quiconque, c’est la Famille qui nous intéresse car
que d’Elle tout découle ! ; et donc tous les
problèmes de ce pauvre monde, découlent des ‘problèmes’ de la
Famille. Commençons par restaurer le Famille et immanquablement tout
le reste se résoudra forcément, et comme par ‘enchantement’, ou
plutôt comme par miracle !
Analysons un ‘drame conjugal’
dû à la ‘violence’ de l’Homme il va sans dire !, parmi
une très longue litanie qui s’allonge, et s’allongera de plus en
plus vite, lisons :
6.D.2.a - Un énième ‘fait
divers’, un Époux tue son épouse, puis se suicide :
Etupes (Doubs) : Drame de
la séparation
Un homme s’est suicidé vendredi
à Etupes (Doubs) après avoir abattu sa femme qui, voulant divorcer,
s’était présentée au domicile conjugal pour récupérer ses
affaires et discuter de la garde de leurs trois enfants, a-t-on
appris de source judiciaire.
Les enfants, deux fillettes âgées
de 10 et 12 ans et un garçon de 7 ans, sont indemnes et ont été
pris en charge par la famille du meurtrier, a précisé le parquet de
Montbéliard.
L’homme, un ouvrier de 42 ans, a
tué sa femme, âgée de 30 ans, au rez-de-chaussée de la maison
qu’ils venaient de faire construire dans un quartier pavillonnaire
d’Etupes, une commune de l’agglomération de Montbéliard.
Il est ensuite monté à l’étage
avant de retourner son fusil de chasse contre lui, selon les premiers
éléments de l’enquête.
La veille, il s’était présenté
à la gendarmerie pour signaler le départ de sa compagne. L’avocate
de cette dernière a précisé à l’AFP qu’elle avait l’intention
de demander le divorce. Selon des voisins, le couple et ses enfants
étaient arrivés il y a moins d’un an à Etupes.
6.D.2.b - Le Mariage relève du
Droit naturel !
Le Mariage, en son Sacrement
(Sacrement de Mariage catholique particulièrement), en soit n’a
rien à voir avec une culture particulière ou une religion
particulière ; Il est religieux, de Droit divin : le Droit
naturel !
Ne regardons donc pas le nom du
‘coupable’ que nous nommerons A. S., ne regardons pas non plus la
religion ou la culture à laquelle ce Chef de Famille pourrait
appartenir. Ne regardons que le Droit naturel qui doit régir chacun
ici-bas, et qui est inscrit en notre Conscience par le Seigneur Dieu
même.
6.D.2.c - L’origine du drame,
la trahison de l’épouse.
La
séparation-divorce est interdite, impossible ! en effet,
physiquement
et dans le sens le plus exacte possible, les époux ne font qu’une
seule et même personne, qu’une seule et même chair !,
renfermant donc ainsi deux Âmes.
Et même si
des prêtres parmi les plus ‘sûrs’, de fait parmi les plus
dangereux, corrompus, ceux de la Trahition,
vous disent que l’on peut se séparer, c’est uniquement parce
qu’ils font partie de la cohorte des prêtres corrompus, ces
cloaques
d’impureté,
tout couverts de vêtements
de brebis,
et qui ont des paroles
de serpent,
et qui osent contredire sciemment Notre-Seigneur Jésus-Christ qui a
dit : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point !
Regardons
bien ce drame, comme tous les drames de ce genre du reste, ce n’est
pas d’une séparation
qu’il s’agit, mais d’une fuite, d’un abandon, d’une
trahison ! Pourquoi ?
Quoi qu’impossible et
interdite dans le Mariage, pour une séparation il faut être
d’accord ! Ainsi, deux associés d’entreprise peuvent se
séparer en rompant le contrat les liant, et ensuite se partager la
caisse.
Mais si l’un des associés
tire sa révérence ‘à la cloche de bois’ et part avec tout ou
une partie de la caisse, l’on appelle pas cela une séparation !
mais bien trahison doublée d’un vol !
Donc, si une femme fuit, en
emportant toujours tous les biens du reste, enfants compris,
elle ne se sépare pas, mais fuit, trahit ! Donc, ne
dites plus jamais ‘ils se sont séparés’, mais dites la Vérité
sans peur : elle
a trahi son Époux et a emporté les enfants et la caisse !
Nous n’insisterons jamais
assez en rappelant encore une fois que c’est toujours
la femme qui fuit et demande de tronçonner cette même chair en
deux ! Les statistiques les plus ‘favorables’ à la femme
disent bien : 80/20 ! Faîtes honnêtement,
Vous-mêmes, un tour d’horizon, regardez autour de Vous ou dans les
‘média’, et Vous constaterez même un chiffre bien supérieur à
80% d’initiatives féminines !
La réponse
épidermique, irréfléchie, que vont avancer certaines personnes, et
certainement ultra-majoritairement des femmes, c’est que :
bien
sûr ce sont les femmes qui le demandent car c’est elles qui sont
victimes des ‘violences conjugales’ !
6.D.2.d - Où l’art de
s’enferrer ! où le serpent se mord la queue…
Comment se fait-il que les
femmes soient victimes de ‘violences’ compte-tenu qu’elles
égaleraient l’Homme ? Nous attendons toujours, ici, quelqu’un
qui nous apporterait ne serait-ce qu’un début de réponse !
Il
faut une bonne fois pour toutes choisir :
→ Soit elles égalent
l’Homme et donc il n’y a pas plus de violences faites aux femmes
(sous-entendu venant des Hommes) que de violences de la femme faites
à l’Homme ; ou,
→ Soit il y a violence
faites aux femmes (sous entendu venant des Hommes) alors, c’est
qu’elles sont inférieures à l’Homme !
De
plus, si elles égalent l’Homme :
→ Comment
se fait-il qu’il a fallu plus de 6’000 ans (pour les ‘croyants’
en Dieu) ou plus de x (et là il n’y en a pas un qui soit d’accord
avec l’autre !) millions d’années (pour les essentiellement
négationnistes !)
pour s’en rendre compte ? Et subsidiairement comment, égalant
l’Homme, se sont-elles trouvées en position d’infériorité,
soit ‘asservies’ par les Hommes ?
→ Comment se fait-il que
dans un monde ‘éclairé’ qui vit maintenant dans le ‘soucis’
de ‘respecter’ ‘dame nature’ (toujours le même féminisme,
la même inversion des valeurs) l’on ne veuille pas que la femelle
soit soumise quand il s’agit de l’humain, mais que l’on est
admiratif lorsque l’on voit le Lion sou-mettre sa femelle par un
bon coup de patte lorsqu’elle est indisciplinée, lorsqu’elle la
ramène ?
→ Comment
se fait-il aussi que dans ce règne animal, comme pour l’humain, le
Mâle est toujours plus beau, plus fort, plus grand, plus autonome,
plus décidé, plus capable de s’orienter, de juger, etc. que la
femelle ? Plus capable nous disions…, c’est ce qui fait dire
à un personnage dans le tout début du film Hatari avec John Wayne,
alors qu’ils poursuivent en Jeep un rhinocéros pour le capturer :
à
son allure c’est sûrement une femelle, elle ne sait pas très bien
où aller, elle tourne en rond !,
textuel ! Et c’est pour cela que le Bon
Dieu donna à la femme une Tête, un Chef : son Époux !
→ Comment
se fait-il que depuis que la femme est ‘libérée’ de la
‘tyrannie’ de son Époux, elle est comme jamais au grand jamais
aussi asservie que maintenant : dévêtues sur les affiches ;
dans les films comme en tous lieux du reste ; sur les trottoirs
et commerçable dans des réseaux de ‘traite des blanches’ ;
une pauvre gamine livrée à des pervers ; ou seule dans un
appartement vide de bonheur paisible mais plein d’orgies
sexuelles ; etc. ? Uniquement parce qu’elle est
‘libérée’. Uniquement parce qu’elle s’est révoltée et a
perdu ainsi la tête, sa Tête, son Chef, son Époux, et qu’alors
elle ne peut que divaguer, errer lamentablement ! en effet la
femme est incapable de se gouverner, de s’orienter, tout comme la
rhinocère !
Et toute cette désolation,
‘uniquement’ parce qu’elle n’est plus capable (ne veut plus)
d’accepter le Gouvernement d’un Père, puis d’un Époux que
Dieu voulu lui donner dans Son infinie Bonté !
6.D.2.e - Revenons maintenant à
ce qu’a fait A. S.
Ce pauvre
Homme a abattu
Sa femme puis s’est suicidé. Si vous ouvrez les oreilles ou les
yeux, les (dés)informations ne disent que cela, et de plus en plus,
drame
familial dans le cadre d’un divorce :
→ Le Mari a abattu sa femme
qui voulait le quitter ;
→ Le Mari est rentré dans
le commissariat qui a reçu la plainte (!) de l’épouse et a fait
feu, blessant…
→ Le Mari a abattu les
épouses de ses fils (instrumentés contre le Père), puis plus loin
Sa femme, puis a tenté de se suicider.
→ Le Mari a tiré sur
l’assistante sociale qui ‘suivait’ (manipulait) son épouse.
→ Le mari a abattu Sa femme
et Ses enfants puis a mis le feu à la maison avant d’en ‘finir’
(de fait juste avant que la Vraie Vie ne commence !)
→ etc., etc., etc. !
Et cela n’ira qu’en
empirant, fatalement !
Relisons,
parmi tant d’autres, cette parole avouant sans honte le
crime
incroyable, le véritable crime, celui qui génère ledit crime des
Maris :
De plus en plus de femmes se font
battre !… Elles se font battre parce qu’elles résistent…
Elles résistent parce qu’elles savent que nous les soutenons !
Par
compassion, s’Il l’aimait,
Il devait la discipliner !
Un Homme sait, car c’est
inscrit ‘dans ses gènes’ qu’ils disent, nous, nous dirons dans
sa Conscience, que sa femme doit Lui être soumise, et que le cas
échéant : Il est Droit, Il
en a donc le Devoir, de l’obliger
à se sou-mettre :
S’il
devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle
était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme.
Maintenant,
car ‘ils’, ‘eux’, veulent briser la Famille
selon le mot plein de haine d’André Gide
(?) : Famille,
je vous hais !,
ils viennent empêcher les Époux de régner comme de Droit. De fait
c’est une guerre totale qui est livrée par les ennemis de la
Famille, et donc de toutes les sociétés (État et Église, etc.),
et qui trouve bien trop souvent ses sapeurs dans nos propres rangs :
et en premier Nos épouses ‘libérées’ !
Ce geste de A. S. est
évidemment un geste de désespéré, inutile pour Lui comme pour la
cause de Sa Famille, de la Famille. Mais de fait qui en est
responsable ? Eux, nos ‘Maîtres’ et les femmes qui sapent
nos Familles.
Ils détruisent tout, et en
premier la base de la société, la première des sociétés, la
société par excellence : la Famille.
Ils ont
inventé le ‘devoir d’ingérence’ pour les pays : Irak,
Iran, et autres ; mais déjà avant, leur frénésie d’ingérence
s’est abattue sur la Famille. Ils veulent partout : l’ordre
par le chaos ! Ordo ab chao !
Pour finir,
qui est responsable, car ‘eux’ ne pourraient rien sans son aide
irremplaçable : c’est elle, celle qui regarde ailleurs que
sur son Époux, l’épouse qui répète le cri de son gourou en
chef, Lucifer : non
serviam,
mon Époux !
6.D.2.f - Il est une chose dont
A. S. est bien condamnable…
A. S. s’est
lourdement trompé de cible, et c’est ce que nous disions en
premier en cette étude :
Oui, le temps n’est plus du tout
à la romance, mais à la réaction ; il faut
absolument remettre les pendules à l’heure ! Les codes
étant brouillés, il faut rétablir la Vérité. Notre Salut à nous
les Hommes, et donc à Nos épouses et Nos enfants, de Notre Famille,
est à ce prix !
Reconquête !,
cessons
la langue de bois !
Pour A. S., ce n’est pas Son
épouse (tant qu’elle n’est pas passée à l’ennemi en livrant
son Époux à la gendarmerie puis en le traînant devant les
tribunaux) qui est Son ennemi, mais ‘eux’ !, et c’est
‘eux’ qui devaient être pourfendus et c’est Nous, autres
Chefs, qui devions nous armer pour venir à Son secours.
Votre
Mariage n’est pas touché que vous croyez bêtement ; alors,
dites-vous, ceci ne vous concerne pas ! Déjà, quelle lâcheté,
quelle manque de charité, de solidarité !, faites bien
attention : un
jour alors que l’atmosphère était tendue depuis longtemps à
cause de l’insoumission continuelle de Votre épouse
(excitée par ‘sa’ Famille, par l’extérieur, et par des
prêtres dans certains milieux de la Trahition),
vous recevrez des baisers enflammés, elle vous honorera même comme
rarement, le lendemain vous partirez tout rasséréné pensant que la
partie est gagnée, et lorsque vous reviendrez de votre travail, plus
personne, plus d’épouse ni d’enfants, elle aura tout volé !
C’est
exactement et toujours le même scénario que nous entendons ici, tel
celui-ci : avec moins de deux ans de Mariage et un 2ème
tout nouveau-né !, chez des ‘vrais’ catholiques (?), de la
Trahition !
Plusieurs jours après vous serez convoqué au tribunal pour divorce
(ou ‘séparation’, ne boudons pas une petite hypocrisie), et les
‘raisons’ seront immanquablement : viol sur votre épouse,
attouchements sur vos enfants, violences physiques et psychologiques
sur elle et les enfants, et nous en passons et des meilleures !
Seul, ou que deux ou trois
Chefs, nous ne pouvons rien !, il en existe bien quelques
autres, et même de très très nombreux dès que cela se saura,
alors, faites connaître l’Œuvre de la Restauration
des Familles par l’Autorité, de l’Époux, du Père.
Nous ne connaissons aucune
œuvre qui agisse pour la Famille en allant tout à fait au fond du
raisonnement, sans aucune langue de bois, sans concession, sans peur,
et ayant comme objectif d’agir effectivement et concrètement pour
restaurer la Famille. Œuvre qui irait courir au secours d’un autre
Chef en détresse, et ce quoi qu’Il ‘aurait’ fait !
Refusons l’émotion,
tenons-nous aux principes ! oui, et ceci est écrit (à la Saint
Ignace de Loyola, le 31 juillet 2008) après que nous ayons pris
connaissance de l’intérêt qu’a porté le site ‘Les
Intransigeants’
à notre œuvre, ne transigeons pas avec la Loi naturelle
qui régie la Famille depuis Adam. Soyons Intransigeant quant à la
Puissance du Chef de Famille, seul Roy et Prêtre en sa Maison, donc
seul Législateur et Bras séculier, seul Directeur spirituel de
Celle-ci !
Nous devons courir au secours
du Chef, sans considération d’origine ethnique ou religieuse, car
il s’agit du Droit naturel, mais ce sans toutefois cacher, bien au
contraire, son étendard de catholique, disons-Lui que nous venons au
Nom de Notre-Seigneur Jésus-Christ !
Et ainsi par exemple, si nous
aidions un musulman à sauver ou défendre Son foyer, nous en ferions
forcément une Âme touchée ! Un chrétien doit être un bon
samaritain, et pas seulement si le Chef roué de coups et laissé
pour mort sur le bord du chemin vers la Vie a répondu favorablement
à la question de sa filiation à l’Église catholique !, le
reste suivra forcément !
De ne pas aider un Chef de
Famille (enseignement, aide effective, réconfort, etc.) est une
transgression à la Loi naturelle, à la Charité chrétienne, soyons
intransigeants, comme les Vendéens, les Cristeros !
S’agissant d’une croisade,
il faut un Fédérateur, un Chef des Chefs de Famille !
Organisons-nous, Chefs de Famille, pour la sauvegarde de Nos
Maisons !
Reconquête !
un
Chef des Chefs de Famille !
N’attendons
pas : Reconquête !, il faut investir un Chef des
Chefs de Familles !
6.D.2.g - Revenons au cas d’A.
S.
L’épouse d’A. S. n’était
pas Son ennemi, ni Ses enfants du reste, tant qu’ils étaient sous
sa protection. Et c’est pour les empêcher de divaguer, dans ce
monde affolé, où la femme est la plus ‘folle’, que le Concile
de Trente confirmait
(et non l’autorisait !, en effet, Il ne peut, ce Concile, et
ce comme l’Église ou quiconque d’autre, ‛autoriser’, n’ayant
aucune compétence ou pouvoir en la chose, en le Sacrement Mariage,
mais uniquement constater cette puissance de l’Époux-Père) le
Droit et donc le Devoir du Chef de Famille en disant : Enfin
il doit régler
sa famille, corriger
et former
les mœurs de tous
ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.
Et c’est pour l’empêcher
de fuir, afin évidemment de trahir, que le cas échéant l’Époux
a non pas le ‘droit’,
mais le Devoir,
découlant de son Droit, de la
corriger de main de Maître car
l’Époux doit
contenir chacun dans son devoir :
→ Saint Bernard :
S’il
devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle
était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme. Or il
devait à Dieu obéissance et soumission.
→ Saint Alphonse de
Liguori : […]
« Comment, disent-ils, je ne puis pas châtier ma femme
lorsqu’elle se conduit mal ? - Vous le pouvez sans doute, mais
seulement lorsqu’il y a un motif grave ; et particulièrement
lorsque c’est un motif qui tient à la décence, et lorsque, après
avoir été plusieurs fois avertie, votre femme ne s’est pas
corrigée ; seulement alors vous pouvez la châtier ; mais
il ne vous est pas permis de battre une femme pour le motif le plus
frivole, comme, par exemple, pour une invective ou pour une
désobéissance sur un objet de peu d’importance.…/…
Sachant que le Chef est seul
Législateur et Bras séculier de Sa Maison :
1. Il devait évidemment
corriger de main de Maître son épouse comme toute notre étude le
montre bien…
2. Défendre sa pauvrette
d’épouse des sirènes extérieures en la coupant de toute mauvaise
influence, quitte, la contre-attaque étant la meilleure des
défenses, à charger et détruire les ennemis de Sa Maison.
La faute de ce pauvre Époux a
donc été de ne pas connaître son Droit et donc de ne connaître
son Devoir que dans un brouillard, confusément, instinctivement, les
codes étant brouillés !, et ainsi, n’agissant que dans la
colère non gouvernée par la Raison, car il existe une sainte
colère : d’avoir non pas battu son épouse comme Il le
devait, mais de l’avoir dans un geste de désespoir : abattu
(et comme souvent les enfants aussi).
6.D.2.h - Reprenons l’origine
de cette nouvelle : Certes, elle doit plier, mais maintenant où
tout est renversé, que faire ?
Que faire ?,
oui nous sommes descendus tellement bas que la cause semble
humainement perdue, sauf que de mésestimer la Toute-Puissance de
Dieu et Sa soif de Justice que Saint Paul nous rappelle ainsi :
Ne
vous vengez point vous-mêmes, bien-aimés ; mais laissez agir
la colère de Dieu ; car il est écrit : « A moi la
vengeance ; c’est moi qui rétribuerai, dit le Seigneur. »
Chefs de Famille dans la mesure
du possible et même héroïquement maintenant, soutenez-Vous,
encouragez-Vous mutuellement, ne condamnez pas Celui qui gouverne Son
épouse avec les moyens qu’Il estime nécessaires : conseil →
ordre → réprimande →
menace →
punition !, au contraire, félicitez-Le !
La Justice
de Dieu ne nous demande pas de réussir (obligation de résultat),
Elle ne nous demande que de mettre tout en œuvre pour réussir !,
selon le mot de Sainte Jeanne d’Arc : Vous
combattrez et Dieu vous donnera la victoire !
♣
6.D.3 - Deux pauvresses ont
laissé mourir leur enfant dans la voiture.
Du :
20.07.2008, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mar. 5 févr. 2013,
13.22.
Reconquête !,
la
femme à et pour sa Maison !
Pourquoi dire ‘Deux
pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture’, alors
que c’est des Hommes qui ont oublié leur enfant, comme nous le
lisons ici :
Mort d’une fillette oubliée
dans une voiture au soleil : le père mis en examen
Publié le mercredi 23 juillet
2008 à 22H14
[1er
enfant] Le père
de la petite Zoé, fillette de trois ans décédée mardi après
avoir été oubliée dans une voiture stationnée en plein soleil à
Saint-Marcel (Saône-et-Loire), a été mis en examen mercredi pour
homicide involontaire et placé sous contrôle judiciaire.
L’homme de 38 ans, qui se trouve
"dans un état de détresse important" selon le parquet,
s’est vu notifier sa mise en examen à l’hôpital de
Chalon-sur-Saône où il est en observation depuis mardi soir.
[2ème
enfant] Cette
tragédie intervient une semaine après celle de Pont-de-Chéruy
(Isère) où un garçon de deux ans et demi était décédé après
avoir été laissé seul par son père dans sa voiture.
Voici donc, comme nous venons
de le lire que deux enfants sont morts affreusement parce que oubliés
par leur Père dans la voiture !, et nous disions, nous, qu’ils
ont été assassinés par leur mère, pourquoi ?
Nous allons parler que d’un
cas, car il sont parfaitement identiques. Nous parlerons de la
‘faute’
du Père ensuite, commençons par voir le crime
de la mère.
6.D.3.a - Le crime de la mère :
avoir trahi, par pur orgueil, sa mission !
En effet, comme nous le voyons
dans toute notre étude, la femme est faite pour l’Homme, pour
l’aider, le servir, pour son ‘confort’, et en premier pour
soigner et élever les enfants que son Époux lui a donné à porter
et lui confie dans les premières années !
Voici, parmi tant d’autres
personnes, ce que dit Pie XII qui date de Mathusalem comme chacun le
sait (10 septembre 1941 !) : A
la femme, Dieu a réservé les douleurs de l’enfantement, les
peines de l’allaitement et de la première éducation des enfants,
pour qui les meilleurs soins de personnes étrangères ne vaudront
jamais les affectueuses sollicitudes de l’amour maternel.
Il existe
bien bien d’autres textes que nous donnons dans cette étude, qui
disent tous que la femme doit être en sa (celle qu’elle a
l’honneur d’habiter, celle donc de son Époux) Maison afin d’être
là à la disposition de son Époux, qui lui demande, parmi d’autres
services, de s’occuper de Ses (dans le sens propre du terme, soit
les enfants à Lui)
enfants.
Comme sa
variante hypocrite, la séparation de corps toute aussi interdite,
le divorce est ‘uniquement’ instigué par la femme. La déshérence
et la mort des enfants n’est que leur fruit !
Ainsi donc
que la séparation-divorce, le travail de la femme est la demande de
la femme. Ce n’est pas l’Époux qui veut que Son épouse
travaille, bien au contraire !, c’est l’épouse qui le veut,
parce qu’elle veut regarder ailleurs que sur son Époux, Lui
échapper ! Rappelons-nous ce que disait Saint Jean
Chrysostome :
Ce
fut ainsi qu’il [Lucifer] attaqua Ève autrefois, lorsqu’il la
vit seule et séparée d’Adam.
Elle,
l’épouse, veut être
l’égale de l’Homme,
être
libre,
vivre
sa vie,
avoir
son autonomie financière,
ne
plus étouffer sous le carcan de l’Autorité,
etc…
Alors, de volonté certaine
elle veut errer, vagabonder, et pour cela il lui faut larguer le
poids de l’enfant : contraception-avortement ; et, pour
le ‛choisi’, crèches, garderie, etc.
Et donc, le ‛choisi’, le
rescapé du massacre féministe, le rescapé de sa révolte
luciférienne, son ventre lui ‛appartenant’, elle doit le
trimbaler ou obliger, sous peine de dénonciation pour « non
partage des tâches ménagères », l’Époux à trimbaler
cette pauvre petite victime ‘immolée’ sur l’autel de la
‘libération’ de sa mère.
L’Homme est fait pour des
vues plus hautes, plus étendues que Son épouse, et contrairement à
elle Il est fait pour l’extérieur. Il est, d’Obligation divine,
obligé, Lui, de ramener du pain à la Maison, et c’est pour cela
que Dieu Lui donna cette aide, la femme, Sa femme, Son épouse, Sa
servante, pour garder Sa Maison et Ses enfants…
Ce (l’un ou l’autre) Père
a oublié l’enfant dans la voiture, parce que ce n’était pas Sa
mission (absence de grâces d’État), d’où ces deux drames !
Ainsi, il
est évident que la femme est la cause première et ‘exclusive’
de ces deux drames, qui sont arrivés uniquement à cause de son
orgueil ! Elle a dit, devinez quoi ? Lucifer ayant dit :
non
serviam,
mon Dieu ! ; cette(ces) épouse(s) a(ont) dit : non
serviam,
mon Époux !
6.D.3.b - La ‘faute’ du
Père, quelle est-elle ?
La ‘faute’
du Père n’est point d’avoir, le pauvre, oublié Son enfant dans
la voiture, et c’est pour cela que nous avons mis faute entre
guillemets, en effet l’Époux a une femme pour le soin Ses enfants
pour
qui les meilleurs soins de personnes étrangères ne vaudront jamais
les affectueuses sollicitudes de l’amour maternel.
Par contre, il existe bien un
crime du Père, et c’est pas dans les ‘média’ que nous le
verrons dénoncé, c’est de n’avoir pas appliqué ceci :
Enfin
il [l’Époux] doit régler sa famille, corriger et former les mœurs
de tous ceux [donc épouse comprise] qui la composent, et contenir
chacun dans son devoir.
Ainsi, comme la faute
originelle ne fut point la faute d’Adam,
mais celle d’Ève ; la mort de cet(ces) enfant(s) n’est pas
la faute du Père, mais celle de la mère.
Celle du père est que :
S’il
devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle
était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme. Or il
devait à Dieu obéissance et soumission.
Cessons une
bonne fois pour toutes de pratiquer la langue
de bois : oui répétons-le sans
aucune hésitation, ces enfants ont été sacrifiés par la femme, à
l’instigation de nos ‘Maîtres’, à l’autel de sa
‘libération’, à l’autel de sa révolte : Non
serviam,
mon Époux !
♣
6.E - Seul le Père est
responsable de Ses enfants.
Vous
vous souvenez ?…
→ au point DP-3.B.4, Nous allons parler de fontaine… :
La
vie immense qui est cachée en lui [Dieu], cette vie fontale et
originelle…, et de tout le
reste de ce point…
→ au point DP-3.A.3, Adam est engendré, formé par Le Seigneur Dieu. :
Le
Seigneur Dieu forma donc l’homme du limon de la terre, et Il
souffla sur son visage un souffle de vie, et l’homme fut fait âme
vivante…
→ au même point :
Je
fléchis les genoux devant le Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ,
de qui toute paternité, au ciel et sur la terre, tire son nom,
et de tout le reste de ce point…
Est-ce bien nécessaire d’y
revenir, ce point n’a-t-il pas été assez développé au fil
d’autres raisonnements ?
Résumons :
C’est le Père qui donne la
vie, et non la mère qui elle ne fait qu’être féconde et doit
ensuite restituer le Fruit à son Époux. Étant le seul dispensateur
de cette vie, Il en est donc le seul propriétaire et ainsi le seul
responsable ! (cf. toute cette étude…)
La femme donne la vie ?,
et ainsi tout serait femelle ? Comme ‘dame nature’, la
tolérance, la révolte, etc.
6.E.1.a - Dieu le Père Est
Source de Vie :
→ Dieu le Père ‘Source
de Vie’ engendre Son Fils Jésus de toute éternité.
→ Dieu le Père ‘Source
de Vie’ ‘engendre’, forme
L’Homme [Adam] du
limon de la terre, et souffle sur son visage un souffle de vie ;
et ainsi Dieu cède la source de Vie dont Adam devient le seul
dépositaire et dispensateur !
6.E.1.b - Adam, devient le seul
Semeur, la seule Source de Vie :
→ Dieu le Père, devient
Accoucheur,
et aide la femme à sortir du sein d’Adam ‘Source de Vie’, qui
Lui, donne la Vie !
→ Adam ‘Source de Vie’
ensemence Ève qui Lui donne des enfants…
→ Tous les Mâles
‘Source de Vie’, depuis Adam, étant les dépositaires de la
Semence de Vie par leur Père Adam, ensemencent leurs épouses,
donnent la Vie !
6.E.1.c - Une ‘confirmation’
venant du sergent McDuff…
Le sergent McDuff
de l’armée des Indes (2ème depuis la gauche, ou :
)
recherche dans le cantonnement deux petits chiens (en laisse aux
pieds de l’enfant) qui ont ‘disparu’… Le ‘coupable’ est
ce petit ‘soldat’ (à gauche) de ± 12 ans qui vient de les
prendre à Priscilla Williams la mascotte du régiment des
highlanders.
McDuff : Le
voilà, le voilà. Et à
l’enfant : Veux-tu
me donner çà [les deux petits
chiens].
L’enfant qui défend son
‘bien’ : Mais
ces chiens sont à moi…
McDuff dit à l’enfant qu’il
se trompe et lui montre le père des petits chiens (derrière lui, en
laisse) en lui disant qu’ils sont à leur père. Devant
l’étonnement de l’enfant, McDuff poursuit : c’est
lui leur père, tu ne vas pas nier les droits d’un père sur sa
progéniture n’est-ce pas ?
L’enfant se défend et
répond : mais
je les teins de leur mère.
McDuff hilare avec ses
camarades : Ha !
Ha ! De leur mère, mais c’est le père qui compte, c’est
l’homme qui a des droits sur
ses propres fils !
6.F - Les pièges pour l’Homme,
venant de son épouse, de la femme.
Bien sûr il s’agit de la
femme, aussi ceci devrait se trouver dans le chapitre DP-7, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)…
Mais ce que nous allons étudier
maintenant, sont les pièges venant d’elle, pour son Époux (ou
l’Homme en général), aussi nous préférons voir ceci ici,
surtout qu’ainsi aussi nous garderons l’esprit du titre Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I)…,
en n’étudiant au chapitre 7 que ce qui la valorise, ce qui
restaurera sa dignité !
Tout ce que nous allons lire
n’est guère ragoûtant, mais les mauvaises femmes existent et nous
devons nous en défendre, les saintes femmes seront étudiées
ensuite.
6.F.1 - L’intuition féminine,
son 6ème sens, une gigantesque escroquerie !
Son
‘intuition’,
rentra le malheur dans le monde !
6.F.1.a - L’intuition
féminine, une bien triste plaisanterie…
Qui parle d’intuition
féminine ?, regardez, écoutez, c’est : la femme. Elle
vous le dit bien fièrement, s’en vante toujours, et ce, en
regardant avec ‘compassion’ l’Homme qui en est notoirement
dépourvu, le pauvre…
Où
l’art de s’enferre, s’empaler !
Elle dit ‘intuition’, elle
dit donc ainsi, et le confirme, qu’elle ne sait pas, qu’elle est
donc limitée par rapport à l’Homme, devant se fier non à un
jugement objectif dont elle est dépourvue de Volonté divine, mais
au hasard de la devinette, de la supputation, qu’elle appelle
malicieusement
‘intuition’ ou 6ème sens…
Nous les Hommes, les vrais,
depuis la nuit des temps, depuis l’engendrement de la femme, nous
savons que cette ‘intuition’ est la ‘feuille de vigne’, la
tenue de camouflage, le cache misères de l’intrigante, de la
révoltée.
C’est évident, tout-à-fait
évident, et là-dessus nous sommes tout à fait d’accord avec ces
donzelles, Adam n’avait pas du tout d’intuition, de 6ème
sens ; Il était même ‛dramatiquement’ dépourvu de cette
intuition qui est, heureusement pour lui, que féminine. Lui, levait
la tête et méditait, Il interrogeait Son Dieu.
Il existe bien une femme
(future Ève) qui eut un très grand 6ème sens, un 6ème
sens comme aucune autre femme ; une si si fine intuition
féminine, c’est la femme, Ève, qui, toute forte de cette
intuition toute féminine, alla consulter sa toute nouvelle
cartomancienne, le Serpent, Lucifer. Et c’est Lui, qui lui fit
deviner ‘intuitivement’ qu’il fallait saisir le Fruit afin de
connaître le Bien et le Mal, ‘comme Dieu’ qu’Il disait !
Pauvresse ! Oui, c’est bien vrai, l’Homme, était et est
totalement dépourvu de ce 6ème sens, de l’intuition,
et c’est pour cela que : ce
n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui,
séduite, est tombée dans la transgression.
Et voici ce que nous avons
obtenu grâce à cette toute première intuition féminine, voici ce
que nous sommes devenus, des : Pauvres
enfants de la malheureuse Ève, et, comme tels, coupable aux yeux de
Dieu de la même faute et condamnés à la même peine, nous errons
çà et là dans cette vallée de larmes, exilés de notre patrie,
gémissant sous le poids de maux innombrables qui nous affligent dans
le corps et dans l’âme !
Son
absence d’intuition,
permit la Paix !
Pourtant, parmi ces intuitives
sans qui rien ne va, qu’elles disent, il existe bien une femme qui
fut totalement dépourvue d’intuition féminine, qui n’eut aucune
‘prescience’, aucun 6ème sens, et ce au point qu’il
fallut que Dieu envoya un Ange prévenir son Époux qu’un danger
imminent arrivait : voici
qu’un Ange du Seigneur apparut en songe à Joseph, disant :
Lève-toi, prends l’Enfant et Sa Mère, et fuis en Égypte, et
restes-y jusqu’à ce que je te parle ; car il arrivera
qu’Hérode cherchera l’Enfant pour Le faire mourir.
C’est la femme, qui si
totalement démunie de tout ce qui fait la femme si bien ‘supérieure’
à l’Homme, qui s’appelle la Très-Sainte Vierge Marie !
Alors, écouterez-vous encore
‘l’intuition’ de la femme, de votre épouse, de vos filles ?
Résumons :
1 - La femme, Ève, est
intuitive, et grâce à son 6ème sens la mort et la
violence dont elle se plaint est entrée dans le monde, et ‘grâce’
à elle nous avons tout perdu !
2 - La Femme, la Très-Sainte
Vierge Marie, est totalement dépourvue d’intuition, et par
Elle, nous avons retrouvé la Paix, l’Amour, la Vie ; grâce
à son absence de 6ème sens nous avons tout retrouvé
par Notre-Seigneur Jésus-Christ qu’Elle nous donna…
|
Voulez-vous vraiment savoir ce
que la femme veut obtenir par son escroquerie qu’elle appelle
intuition, alors lisez tout ce qui suit sur ce sujet.
6.F.2 - La nuit n’avance que
parce que le jour recule !
6.F.2.a - Notre ennemi
ressemble à une femme.
Notre ennemi ressemble à une
femme : il en a la faiblesse et l’opiniâtreté. C’est le
propre d’une femme, lorsqu’elle se dispute avec un homme, de
perdre courage et de prendre la fuite, aussitôt que celui-ci lui
montre un visage ferme ; l’homme, au contraire, commence-t-il
à craindre et à reculer, la colère, la vengeance et la férocité
de cette femme s’accroissent et n’ont plus de mesure.
De même, c’est le propre de
l’ennemi, de faiblir, de perdre courage et de prendre la fuite avec
ses tentations, quand la personne qui s’exerce aux choses
spirituelles montre beaucoup de fermeté contre le tentateur et fait
diamétralement le contraire de ce qui lui est suggéré. Au
contraire, si la personne qui est tentée commence à craindre et à
supporter l’attaque avec moins de courage, il n’est point de bête
féroce sur la terre, dont la cruauté égale la malice infernale…
Oui, la femme revêche,
rebelle, se traite comme le démon, faites face et montrez-vous bien
ferme, ce que de fait elle désire intensément, et comme le démon
elle reculera. Le démon fuira, elle, se prosternera, mais attention,
ne lui tournez jamais le dos et ne baissez jamais votre garde, votre
regard !
6.F.2.b - La femme, vue par
Georg Hoornaert.
Convictions successives.
Au reste, les femmes, mêmes
excellentes, restent souvent impressionnables, changeantes.
Mentent-elles ? Je n’oserais le dire. Elles ont plutôt des
convictions successives… Surtout, elles sont de fines diplomates et
sont remarquablement habiles, pour arriver à leur but.
Tout est dit, vigilance !
6.F.2.c - L’honnêteté
féminine, sa duplicité
La femme a toujours un mystère
qu’elle ne doit dévoiler.
Et l’on parle de l’honnêteté
féminine !
6.F.2.d - Sainte Thérèse
d’Avila : la malhonnêteté de ses larmes.
Sainte Thérèse mettait en garde
son Provincial, le P. Gratien, dans une lettre du 1er septembre
1582 : « Tenez, mon Père ! Souffrez que je vous
donne un avis : c’est de ne jamais vous fier à des femmes…
lorsque vous verrez de la vivacité dans leurs désirs, car leur
envie de réussir leur fera imaginer cent mauvaises raisons, qu’elles
croiront admirables »
Sachez bien que vous verrez
sans aucune possibilité d’erreur si les larmes de votre épouse
sont vraies, elles sont d’une extrême rareté, et toujours très
humbles, très discrètes et ne réclament que le pardon !
6.F.2.e - L’honnêteté
féminine, sa lettre.
Voulez-vous connaître le
véritable objet d’une lettre féminine ? Généralement, il
faut le chercher tout à la fin. Ce qui précède n’a été que la
savante préparation des travaux d’approche.
Toujours l’honnêteté
féminine !
6.F.2.f - L’honnêteté
féminine, ses sourires et ses larmes.
Défie-toi des ensorceleuses :
de leurs sourires, et aussi de leurs larmes. C’est leur stratagème.
Cela leur coûte si peu, ces larmes ! Quand un homme en verse,
c’est son âme qui pleure.
Quand une femme en verse, souvent,
ses yeux seuls se mouillent. Elle pleure (pas de trop, du reste, pour
ne pas enlever le fard) et, de ces pleurs faciles et sans
conséquence, elle sort plus fraîche, comme une pelouse après une
fine ondée si légère.
S’Il
regarde ses ‛larmes’,
c’est Lui qui n’y voit plus clair !
Méfiez-vous de ses câlins, si
précédemment elle a été difficile !
6.F.2.g - La femme, « Le combat de la pureté. - 1876 Georg Hoornaert ».
Il faut conquérir cette puissance
[sur l’homme] et cela est si vrai que tous les artifices dont se
servent les femmes, tous les frais de coquetterie, d’habilité, de
diplomatie, toutes les modes nouvelles, qu’elles suivent, n’ont
d’autre but que de se faire remarquer, adorer.
Sans commentaire…
6.F.2.h - Savoir circonvenir
l’ennemi, l’Homme.
Il est indispensable de savoir
employer les moyens que nécessite ce genre de sport ; l’ennemi
est défiant : il faut de la finesse, varier les procédés,
parer les feintes ; c’est une science complexe que nous devons
déployer, ne livrant rien au hasard, visant avec justesse, non
seulement pour conquérir, mais aussi pour retenir, ce qui est
parfois difficile… c’est en un mot la femme dans toute sa
féminité, son adresse de charmeuse.
Rapprochez ces textes que nous
venons de lire à ce que nous révélons au sujet de la perverse
comtesse de Ségur en ce document, (Re)Voyez ND :
Et après cela, c’est elles
qui disent que nous considérons les femmes comme une sous-espèce,
que nous les méprisons ! Jamais, vous ne verrez un Homme
écrire, comme vous y verrez cette comtesse de Ségur parler si
méchamment des Hommes, ainsi de la femme en général, et encore
moins de Son épouse ou de Ses filles !
6.F.2.i - L’honnêteté
féminine…, comme dans un miroir.
On peut conquérir par l’étude
la manifestation extérieure de sensations irréelles… Le miroir
est le maître, par excellence, pour acquérir cette science profonde
de l’expression factice.
Sans commentaire…
6.F.2.j - L’honnêteté
féminine, la femme perverse.
L’esprit vient au secours des
moins bien partagées : c’est à leurs intuitions qu’il
convient de savoir quelles sont les armes dont elles se servent :
la hautaine indifférence, l’enjouement, le luxe, la méchanceté,
peuvent, selon la psychologie masculine, être des armes
souveraines.
Sans commentaire…
6.F.2.k - L’honnêteté
féminine, lui dicte sa haine féminine.
… Hérodiade en était outrée
et méditait une vengeance digne de sa haine féminine.
Sans commentaire…
6.F.2.l - L’honnêteté
féminine, la danse et la vengeance.
[La tête de saint Jean Baptiste
est en jeu…]
Toujours et partout la cruauté
donnait la main à la volupté. Tel était l’effet enivrant de ces
danses lascives, que les philosophes païens eux-mêmes ne craignent
pas d’affirmer que l’âme la plus virile ne pouvait y résister.
Avant eux le saint-Esprit avait dit : « Ne
te trouve pas avec la danseuse, n’écoute ni le son de sa
voix ni le bruit de son instrument de musique, de
peur que tu ne périsses sous la puissance de sa séduction(1). »
(1)
Cum saltatrice ne assiduus sis, nec audias illam, ne forte pereas in
efficacia illius. Eccli, IX, 4.
Attention à sa ‘séduction’
toute démoniaque, rappelez-vous Lucifer est ‘femelle’, de fait
efféminé, où, tout se tient !
6.F.2.m - L’honnêteté
féminine, sa langue de vipère.
Hérodiade, sa sœur, en fut
profondément irritée. Comme c’est le propre des femmes, elle
commença par se venger en paroles.
Revoyez aussi comment un ange
gardien a corrigé physiquement une sainte femme, Sainte Françoise
Romaine, qui malgré tout conserve les travers ordinaires de la
femme, ce pour avoir écouté des paroles venimeuses venant tout
droit du Serpent.
6.F.2.n - L’archétype de la
garce, qu’on donne à lire à nos enfants !
Voici la comtesse de Ségur qui
parle des Hommes, et plus particulièrement des Époux : À
bas les maris ! Ce sont des méchants drôles que le Bon Dieu a
créés pour exercer la patience des femmes et pour leur faire gagner
plus sûrement le ciel pour lequel elles ont été créées. Je suis
sûre que parmi les gens du monde, une bonne moitié si précipité
dans l’enfer ; quatre dixième grimpent difficilement jusqu’au
purgatoire ; et un seul petit dixième arrive dans le paradis
(je parle des hommes) les coquins ! Ils méritent bien leur
sort.
C’est-y pas beau comme elle
parle de l’Homme, du Père, et plus particulièrement de l’Époux !,
de son Époux !
Connaissez-vous la littérature
pour enfants de cette pauvre personne ? Personne recommandée
chaudement par Louis Veuillot, auteur pourtant nullement indigne et
inintéressant nous vous le rappelons et qui fut si opposé à Mgr
d’Orléans !
Voici, tous les personnages
principaux sont des femmes, des filles. On dirait presque un monde
d’Amazones. Les filles sont riches, aisées, intelligentes, belles,
sages, pétillantes, éveillées, charitables, aimant glisser une
pièce aux pauvres (Hommes il s’entend), etc. Toutes des filles
modèles, excepté Sophie, mais rassurez-vous cela lui est vite venu.
Un monde de femmes, de filles, de dames passant d’une partie de thé
à une autre. Un monde de femmes, les Hommes que l’on croise
accidentellement, sont lourds, bourrus (Général Dourakine) et ont
heureusement les femmes pour les guider. Les petits garçons, sont
pauvres (pauvre Blaise) peu malins, et dans le meilleur des cas des
‘faire-valoir’ pour leurs sœurs, leurs cousines, et toutes ces
‘grandes’ dames, etc…
Et c’est les Hommes qui
méprisent la femme !?,
parait-il…
6.F.3 - La femme…, ce qu’elle
est d’après la tradition !
6.F.3.a - bons mots et facéties
des pères du désert.
→ Ces philosophes qui
croient à la logique absolue n’ont jamais essayé de discuter avec
une femme !
→ La femme est un être
superficiel. Mais rien de plus insondable que la superficialité
d’une femme.
→ Les femmes âgées sont
comme les buissons de roses, une fois les roses tombées, demeure les
épines.
→ Les femmes devinent tout
et ne se trompent que lorsqu’elles réfléchissent.
→ Les femmes vertueuses
sont inconsolables des fautes qu’elles n’ont point commises.
→ Lorsque les yeux d’une
femme sont voilés par les larmes, c’est l’homme qui n’y voit
plus clair !
Sans commentaire…
6.F.3.b - Le mensonge femelle :
l’hypocrisie.
L’hypocrisie est la forme
femelle du mensonge.
Sans commentaire, encore.
6.G - Les douceurs pour
l’Homme, venant de son épouse, de la femme.
La
bonne femme existe !,
mais, où se cache-t-elle maintenant ?
Eh oui ! Elle existe la
bonne femme, mais il faut la trouver ! Et maintenant, où ?
6.G.1 - Livre des proverbes, la
bonne épouse.
- Que ta source soit bénie,
et mets ta joie dans la femme de
ta jeunesse.
- Qu’elle te soit comme une
biche très chère,
et comme un faon plein de grâce.
- Que ses mamelles t’enivrent
en tout temps ;
que son amour fasse à jamais tes
délices.
- Pourquoi, mon fils, te
laisser séduire par une étrangère,
et te reposer dans le sein d’une
inconnue ?
Pour les
commentaires, (Re)Voyez ND :
→ et précédents et
suivants, soit tout le point 4.H, Les trois fins du Mariage.
6.H - Les dangers pour l’Homme,
venant de l’extérieur.
6.H.1 - Je ne crains que les
mauvais catholiques !
Comme Sainte Bernadette
Soubirous, ne craignons que les mauvais catholiques : Je
vais vous lire ce passage et, ensuite, un bref commentaire qui est
paru sur Il Tempo d’hier. Nous sommes en décembre 1870, il y a la
guerre entre la France et la Prusse, guerre qui a eu, pour l’Italie
aussi, des conséquences importantes : c’est dans le contexte
de cette guerre que la prise de Rome a été possible. Bernadette
[Soubirous, ou Ste
Bernadette de Lourdes]
n’est désormais plus à Lourdes, mais dans le couvent des sœurs
de Nevers. Les Prussiens sont désormais aux portes de Nevers, ils
sont arrivés dans tous les départements voisins. Un notable de la
ville est alors allé trouver Bernadette pour lui poser des
questions. “Avez-vous eu dans la grotte de Lourdes, ou depuis cette
époque, quelques révélations relatives à l’avenir et aux
destinées de la France ? La Sainte Vierge ne vous aurait-elle
point chargée pour la France de quelque avertissement, de quelque
menace ?”. “Non” [Les Prussiens étaient protestants.
C’est un peu comme si l’on parlait aujourd’hui, dans certains
milieux, de musulmans]. “Il n’y aurait donc rien à craindre ?”.
“Je
ne crains que les mauvais catholiques”.
“Ne
craignez-vous rien autre chose ?”.
“Non,
rien”.
Cette réponse me semble très actuelle.
Il n’y a rien de tel que de
‘vrais amis’, ou des amis naturels, de par la religion, pour vous
trahir.
Ne dit-on pas : Seigneur,
occupez-vous de mes amis, je m’occuperai
de mes ennemis.
En effet, partout, et surtout
dans le milieu catholique, et pire chez les ‘meilleurs’,
qu’ils disent ! Chez les Trahitionaliste
c’est toujours
des prêtres qui sont à l’origine des drames conjugaux.
Indéniablement, l’épouse
cherche un ‘contre-pouvoir’, et ce depuis Ève, pour ‘encadrer’,
contrecarrer, handicaper son Époux.
Et, ce contre-pouvoir chez de ‘bons’ chrétiens est le prêtre,
ainsi que nous l’avons bien vu tout au long de cette étude.
6.H.2 - La haine de tout Roy,
et principalement du Roy de la Famille.
Santerre donne le signal du
retour. Dans la cour des Feuillants, le roi est souffleté par les
cris de gens de la Halle qui s’y sont assemblés : « Vive
la nation ! Mort au tyran ! » Puis ils entonnent le
refrain de la Marseillaise.
La haine du Roy, du Chef ne
date pas d’aujourd’hui, revoyons les trois règnes :
1. Règne spirituel,
de Notre-Seigneur Jésus-Christ combattu depuis le massacre des
Saints Innocents et même bien avant… et dont le Dépositaire de
cette Autorité est le Pape.
Pape qui fut si férocement combattu jusqu’à la fin du Règne de
Pie XII ; et ‘Pape’ qui très ‘bizarrement’ depuis n’est
que chahuté et ‘désobéi’, afin de laisser penser à une
opposition, mais point du tout combattu.
2. Règne temporel,
du Roy sur une Patrie ;
Roy qui en France fut assassiné
un certain lundi 21 janvier 1793 (d’où notre dernière citation)…
3. Règne spirituel
et temporel, du Chef de Famille
sur l’ensemble de Sa Maison, et qui est encore plus
particulièrement combattu depuis la dernière (!?, soit 1945)
guerre, et à qui l’on a déclaré une guerre totalement depuis
plus de 30 ans…
♣
Bien que l’ayant déjà fait précédemment, et venant juste de l’actualiser et le compléter, nous remercions sincèrement Dicopsy.com (1) de s’être (re)fait le relais de notre travail ainsi : « Un document créé par des catholiques pour remettre les choses au point à propos du mariage. Critères de valeur, preuves historiques et philosophiques, etc. Leur site ici : Restauration de la famille. »
RépondreSupprimerEnsuite vient un extrait de cette page, les cinq (5) premiers paragraphes du point « 6F1A, L’intuition féminine, une bien triste plaisanterie… ».
Nous ne manquerons point de bien prier pour le responsable de ce site.
Que le Bon Dieu le bénisse, lui et tous les siens !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Chers Lecteurs !,
RépondreSupprimer- Un jour pas si lointain !, vous en souvenez vous ?, il y avait de vrais Hommes !, qui rien qu’avec une petite chiquenaude mettaient au tapis leur femme revêche, et ensuite l’on en parlait plus !
- Maintenant ce n’est des féminisée qui sont mis au tapis rien que par une drôlesse !, certes enférocée et galvanisée par lesdits libérateurs de la femme....
Hommes !, c’est cela que vous avez vous-même très sciemment établi rien que par votre lâcheté, en écoutant les pipeautages de vos laveurs de cerveaux, vosdits Maîtres à penser :
J.O à la maison: Une femme tue son mari de... 318 coups de couteau !
Adresse : http://www.wikistrike.com/article-j-o-a-la-maison-une-femme-tue-son-mari-de-318-coups-de-couteau-122285713.html
Veuillez absorber ce radical contre-poison :
- C’est le propre d’une femme, lorsqu’elle se dispute avec un homme, de perdre courage et de prendre la fuite, aussitôt que celui-ci lui montre un visage ferme ; l’homme, au contraire, commence-t-il à craindre et à reculer, la colère, la vengeance et la férocité de cette femme s’accroissent et n’ont plus de mesure.
Source : voir ci-dessus en cette page, point 6.F.2.a - Notre ennemi ressemble à une femme.
Hommes, pitié pour vous!, sortez de la torpeur où ils vous ont mis !...
Pour la Vérité,
QJSIOJC