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mardi 23 septembre 2008

CN-2008-14, La nature de la femme dans le plan divin.

La nature de la femme dans le plan divin.

Du : 23.09.2008, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : sam. 5 mars 2011, 12.07.

Extraits tirés du n° xxx de la revue ‘Pour qu’Il Règne’ de la FSSPX ; Laquelle FSSPX devant des pressions et des hauts cris de certains de Ses prêtres émit des plates ‘excuses’ dans le n° suivant !

Ce qui confirme aussi ce que nous disons dans notre étude, que cette FSSPX qui se comporte exactement comme une secte (enfermement psychologique de ses membres et manipulations des femmes pour mettre au pas les Hommes ‘récalcitrants’) : dit, mais ne fait pas ce qu’Elle dit !

Avis : Les gras et souligné sont de nous. Nous recherchons le n° en question, si quelqu’un pouvait nous aider à avoir la source complète…

Comme l’enseigne expressément saint Paul, à la suite de la Genèse : « L’homme est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire de l’homme. En effet, l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais bien la femme de l’homme; et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause de l’homme » (I Cor., XI, 7-9). La parole même de Dieu nous apprend donc que les rapports de l’homme et de la femme consistent en une subordination hiérarchique.

Saint Thomas enseigne encore que l’image de Dieu n’est pas présente de la même façon chez l’homme et la femme. Au sens primaire, tous deux la possèdent par leur nature raisonnable, mais « en un sens secondaire, dit saint Thomas, l’image de Dieu se trouve chez l’homme et non chez la femme, par le fait que l’homme est le principe et la fin de la femme, comme Dieu est le principe et la fin de toute créature ».

Saint Thomas dit que la femme a été créée pour aider l’homme dans l’œuvre de la génération et dans la sphère du foyer et de la famille. Dans les autres domaines, dit-il, l’homme peut être aidé plus efficacement par un autre homme.

L’idée, la réalité et la primauté, y est essentielle. Le récit de la création d’Eve et la nature de la femme ne permettent pas que celle-ci partage la primauté de l’homme. C’est une impossibilité. Même une simple tentative dans ce sens constituerait une perversion de l’esprit et du cœur et il ne pourrait y avoir de sacrement par défaut ontologique de base naturelle. Ce serait un simulacre démoniaque procédant d’un esprit de rébellion contre l’ordre divin de la création.

La femme est divinement ordonnée à être pour l’homme une aide comme épouse et mère .

Saint Thomas résume toute la théologie de la femme en disant qu’elle n’est pas faite pour commander à l’égal de l’homme, et pour cette raison ne fut pas formée de la tête d’Adam; ni pour lui être soumise à la manière d’une esclave et ne fut donc pas tirée de ses pieds; mais qu’elle fut formée de son côté, tout près du cœur, pour être son épouse aimante, l’influencer doucement - comme Marie à Canna - et pour symboliser et imiter la relation de l’Église au Christ, une relation de soumission aimante.

Les hommes doivent aussi considérer leur vocation divine de chef dans l’ordre de la création et refuser de collaborer encore aux tentatives de destruction de cet ordre divin. Ils le doivent aux femmes aussi bien qu’à eux-mêmes. Ils le doivent à l’Eglise, à Dieu et à l’humanité.

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