Du :
01.07.2010, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : ven. 20 juin 2014,
10.35.
Table
de la LF-2010-…
3
- Lettre à nos filles :
Réponse à notre Isabelle
3.A
- Notre réponse,
dame Isabelle…
3.A.1.a
- Nos Saintes
femmes, révélatrices d’Héros, susciteuses de volonté
3.B
- Un drame qui date
de 6’000 ans, et qui arrive comme à son terme
3.B.1.a
- Pourquoi
est-il nécessaire que Dieu n’existe pas ?
3.B.1.b
- Cette Loi
divine existant, il nous reste notre liberté, notre détermination
3.B.1.c
- Revenons à la
fable malicieuse de la femme dite violentée
3.B.1.d
- Digression
avec le malicieux slogan « mon ventre m’appartient »
3.B.1.f
- Mettre les
Hommes à terre, afin de les relever
3.B.1.g
- Faîtes de
l’apostolat auprès de vos sœurs !
3.A - Notre
réponse, dame Isabelle…
Votre
exemple : la Très Sainte Vierge Marie.
Votre Fiat :
Je suis la servante de mon Époux,
qu’il me soit fait selon
Sa Parole…
Publiée
en la Fête du
Très-Précieux Sang de Notre Seigneur
Jésus-Christ,
veille de la Visitation de la Très-Sainte Vierge
Marie,
le jeudi 1er juillet 2010,
cette lettre leur
est confiée !
Notre
bien-aimée fille, en Notre Seigneur et Notre Dame, Isabelle,
3.A.1.a - Nos
Saintes femmes, révélatrices d’Héros, susciteuses de volonté
Nous
avons dit en la page
d’accueil à nos
filles, que les femmes devaient être des
révélatrices d’Héros !, c’est un de leurs devoirs !
Pour
nous, vous ne fûtes pas révélatrice d’Héros, sachant comment
nous nous battons pour vous aussi les femmes, car pour le Mariage, la
Famille, ce depuis plus de trente ans, et en ce site depuis bientôt
trente mois, en défendant ‘bec et ongles’, sans aucune, mais
alors aucune langue de bois, la Loi divine en le Sacrement de
Mariage, en la Famille et résumée ainsi : un Homme Chef, Époux
à l’Autorité absolue, et une épouse dans une révérence totale
devant Lui, et en toutes choses…
Par
contre, pour nous, Isabelle, vous fûtes le déclencheur, le coup de
pouce, le signe du Ciel que nous attendions, la susciteuse de
volonté !
En
effet, quelle volonté il nous faut, pour nous attaquer à cette très
rude tâche, toucher les femmes et les aider à revenir sous
l’Autorité de qui elles devraient dépendre sachant que jamais une
femme ne peut être sans Tête ; pour cela, Isabelle, soyez
bénie !
Vos
deux lettres,
sont bien plus qu’un commentaire !, elles nous ont fortement
touché, nous tous ici.
Notre
Légitime Contradicteur était bien dubitatif quant-à l’utilité
de maintenir ce site, voyant la méchanceté qu’il suscite et le si
peu d’intérêt de ceux qui devraient être les premiers
intéressés, de vrais Hommes, vous l’avez tout requinqué !,
tout est grâce…
3.B - Un
drame qui date de 6’000 ans, et qui arrive comme à son terme
Vous
dénoncez raisonnablement la lâcheté des Hommes, et la félonie des
femmes…
Ce
drame, commença voici 6’000 ans, et précisément en la Famille
base et raison d’être de toutes les autres sociétés (État et
Église), ce fut le tout premier drame conjugal !
Il
commença par la révolte de la femme et trouva sa force de nuisance
dans la lâcheté de l’Homme qui ne voulu point la corriger !
Car,
et ce vous pouvez le voir en notre étude, la désobéissance d’Ève
ne fut nullement envers le Seigneur Dieu mais envers Adam qui lui fit
savoir l’ordre de Dieu !
La
désobéissance d’Ève à Adam (comme de la femme à son Chef, et
qui est chaque fois péché mortel comme le rappelle Saint Alphonse
de Liguori : toutes
les fois qu’elles désobéissent à leurs maris elles commettent un
péché mortel* ! [Lisez-moi])
nous entraîna tous dans la faute originelle.
En
effet, et ceci fait éructer les ‘modernes’, ceux qui comme des
Louis ou Pierre, et Cie (voir les commentaires), sont si fiers d’être
de 2010, c’est chaque fois par la femme que le démon passe, comme
on le savait si bien en cette époque bénie que l’on appelle
malicieusement époque
de ténèbres du moyen-âge,
c’est toujours par la femme que le démon passe pour tout
détruire !
Revenons
à la transgression d’Ève, comme le dit Saint Paul : Adam
n’a pas été séduit ; mais la femme, ayant été séduite,
est tombée dans la transgression,
ce n’est pas cette transgression, qui transmit à toutes les
générations la faute originelle, mais la faiblesse d’Adam devant
une femme comme le dit Saint Bernard de Clairvaux, Docteur de
l’Église : S’il
devait compatir à sa femme, il devait la discipliner,
puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la
femme. Or il devait à Dieu obéissance et soumission.
Résumons
donc :
Bien
que ce point soit plus développé en notre étude,
résumons ainsi :
1. Le
Serpent, le Malicieux, veut corrompre (perdre) toute l’humanité à
travers la Semence d’Adam, mais ne pouvant atteindre Adam, Il
décide de passer par la femme, Il discute (le dialogue, si cher à
nos ‘modernes’, est toujours satanisé, l’on ne doit pas
dialoguer, mais enseigner pour les Hommes et écouter pour les
femmes !) avec elle et ainsi la séduit pour l'amener à
transgresser l’ordre d’Adam : ne point toucher à l’Arbre
de Vie.
2. La
femme vient tortiller devant Adam pour qu’Il valide sa révolte (sa
désobéissance à Adam, son péché mortel) en le poussant à
croquer Lui-même en cette pomme, alors qu’Il aurait dû tancer de
première cette pauvresse ; ainsi donc Il, Adam, endossa le
péché d’Ève qui devint alors le Sein et qui irrémédiablement
corrompit Sa Semence ; et ainsi donc toutes les générations…,
car la Vie ne passe que par l’Homme, Elle n’appartient qu’à
Lui !
Et
là, l’escroquerie, la fable de la femme battue, violentée,
psychologiquement opprimée, apparaît dans toute son immense
monstruosité !
Elle
ne put, cette escroquerie, être réalisée qu’en faisant
disparaître Dieu !, ce qui nous conduit à :
3.B.1.a - Pourquoi
est-il nécessaire que Dieu n’existe pas ?
Si
Dieu n’existe pas, la transgression devient la norme !
Et
c’est pour cela que ces vicieux tortillent tant et tant leurdite
science avec notamment leur malicieuse théorie de l’évolution,
et qu’ils édulcorent, pour les neutraliser, les religions, et plus
particulièrement la Catholique.
Car
si Dieu existe (passé, présent et futur fondus en l’Éternité),
Il a Sa Volonté, et de cette Volonté découle une Loi devant
laquelle nous devons nous soumettre.
Mais
si Dieu n’existe pas, chose que jamais personne n’a pu et ne
pourra jamais démontrer, et qui défie le plus simple entendement,
alors il n’y a pas de Volonté suprême, et donc de Loi explicitant
cette Volonté suprême ; et alors, l’on peut oser toutes les
turpitudes possibles et imaginables, oser toutes les transgressions,
plus aucun frein n’existe, même pas le plus proche prochain,
l’épouse pour l’Époux.
Le
seul but de chaque individu devient, à plus brève échéance que
l’on le croit, de le supplanter (mise en esclavage) dans le ‘moins
pire’ des cas, et presque toujours de le liquider.
Ce,
si l’on revient à la Famille, nous donne :
→ Si
l’on croit que Dieu existe, alors Sa Loi est !, et Sa Loi
c’est : un Homme Chef en Sa Maison, une épouse, sa servante,
révérencieusement et amoureusement prosternée à ses pieds !
→ Si
l’on prétend que Dieu n’existe pas, alors l’on fait fi de Sa
Loi, et n’ayant aucun frein, c’est fatalement : une bête
mettant en esclavage une truie.
Ce,
avec le fugace intermède de désolations qu’est la période où la
femme croit être libérée et que l’Homme applaudit car il suppute
l’intérêt qu’il va pouvoir tirer de la mise à l’encan
de sa truie.
Résumons :
→ Dieu
existe, alors la femme est la servante amoureuse, disciplinée par et
pour l’Époux amoureusement attentif.
→ Dieu
est dit inexistant, alors la truie est le jouet-esclave de la plus
brutale des bêtes du moment !
C’est
ainsi !, ou Dieu, ou Lucifer ; ou la Loi d’Amour, ou
l’anti-Loi, la haine. Et c’est eux, les véritables ennemis des
femmes, qui disent que nous haïrions les femmes !, alors que
nous sommes les seuls à vraiment les aimer d’Amour !
3.B.1.b - Cette
Loi divine existant, il nous reste notre liberté, notre
détermination
Oui !,
nous sommes libres, et c’est en effet cela qui fait, avec l’appel
à être cohéritiers de Notre Seigneur Jésus-Christ, toute notre
noblesse, notre grandeur !, faits à l’Image de Dieu (Sachant
que la femme n’est l’Image de Dieu qu’à travers l’Homme,
comme le rappelle Saint Paul : L’homme
est l’image
et la gloire de Dieu,
tandis
que
la femme est la gloire de l’homme),
appelés à être cohéritiers de Dieu.
Oui !,
nous sommes libres de dire ‘oui’ ou ‘non’ ; comme la
demandée en Mariage est libre de dire son oui ou non…
Dire
oui ou non, c’est là que se trouve toute la noblesse de notre
liberté :
→ Oui :
pour pouvoir coucher notre tête sur Son Sein toute l’Éternité ;
ou
→ Non :
dans un refus horrifiant et éternel de l’Amour !
Résumons
ainsi :
Oui,
nous sommes libres de nous conformer à l’Amour afin d’en jouir
éternellement, ou de le refuser éternellement, ce dans les
hurlements inassouvissants.
3.B.1.c - Revenons
à la fable malicieuse de la femme dite violentée
Certes
il existe des Hommes ‘violents’ !, mais à qui la faute ?
Devant
plier de toutes les façons, la question que l’on doit se poser
est : pourquoi a-t-il fallu user de violence alors que la Loi
devait suffire ?
Pourquoi
l’Époux a-t-Il dû sévir, l’épouse devant de toutes les façons
plier, et de plus plier de très bonne grâce ?, parce qu’elle
ne veut pas obéir en se taisant !, son orgueil, sa révolte,
son non
serviam* à elle !
→ Adam
fut mis très justement en prison par Dieu (chassé du Paradis
terrestre) parce qu’Il manqua de Charité en ne disciplinant pas la
femme pour lui rappeler la Loi, l’interdit !
→ L’Époux,
maintenant, est mis très injustement en prison lorsque par Charité,
certes parfois quelque peu enthousiaste, Il discipline Son épouse
qui ne respecte de bonne grâce Sa Loi !
3.B.1.d - Digression
avec le malicieux slogan « mon ventre m’appartient »
Tous,
oui, tous les drames familiaux ont pour unique origine et unique
moteur, pouvons-nous dire : l’épouse !
Tous
les séparations-divorces*
ont comme uniques acteurs : les épouses !
Toutes
ces séparations entraînent immanquablement : à moins de 20%
des cas le déchirement des enfants en deux ; et à plus de 80%
des cas ils sont donnés contre toute Justice à l’épouse ;
tout ceci sachant qu’ils n’appartiennent*
qu’à l’Époux !
Or,
ces pervers ont un slogan qu’ils ne respectent même pas comme nous
venons de le voir (20%/80%) : les
enfants appartiennent aux deux parents !
Soit,
pervers, nous allons vous suivre sur votre propre chemin malicieux,
alors quid des enfants avortés
contre le désir des Pères s’y opposant ?
Si
un Père s’oppose à l’avortement de son épouse, cette
pauvresse, bonne soixante-huitarde, et ladite Justice disent, dressés
orgueilleusement sur les barricades du Malicieux : mon
(son) ventre lui appartient !
Reprenons
ainsi :
Si
Dieu existe, Il a Sa Loi. Et l’Époux possède le ventre de Son
épouse et y fait jaillir la Vie, pour Lui. Vie qu’Il tient, Lui
seul, de Dieu à travers la Semence d’Adam !
Si
Dieu n’existe pas, qu’ils prétendent, il n’y a pas de Loi.
L’épouse possède son ventre, et frénétiquement : elle vole
ou le plus souvent détruit tous les fruits de l’Époux !
Il
n’y a pas de milieu, constatez-le vous même…
3.B.1.e - Réponse
à vos questions :
Où
allons-nous cher frère ? Selon vous, de telles injustices
peuvent-elles encore perdurer ?
Impossible
d’y répondre exactement !
Où
allons-nous ?, nous ne savons, Dieu le
sait !
Ce
que nous pouvons dire c’est que la chute, tel un corps tombant dans
un immense précipice, s’accélère ; et tel un fou, les
foules volontairement aveugles disent en cœur : jusqu’à
présent tout va bien !
Oui,
tout
va bien, en attendant l’écrasement au fond
de ce ravin, là où Dieu les attend, Lui qui dit : Ne
vous vengez point vous-mêmes,
mes bien-aimés, mais laissez
agir la colère ;
car il est écrit : A
Moi la vengeance ;
c’est
Moi qui rétribuerai,
dit le Seigneur*.
De
telles injustices peuvent-elles encore perdurer ?,
non certes, la patience de Dieu a un terme, et Il nous a dit
Lui-même : Moi,
le Seigneur, Je ferai tout à coup ces choses en leur temps.
(Is. 60, 22)
3.B.1.f - Mettre
les Hommes à terre, afin de les relever
Dans
votre deuxième lettre vous nous disiez : Mettez-les
à terre
spirituellement !
Ce
que nous voulons, oui, c’est effondrer, pulvériser les fables
malicieuses de ce monde dit moderne, mais vieux comme le péché,
vieux de plus de 6’000 ans…
Et
ceux qui veulent y voir, car cherchant effectivement la Vérité,
nous voulons les aider à se relever et à reposséder, reconquérir
comme de Droit leur trône, incontestable par quiconque, de Chef de
Famille !
3.B.1.g - Faîtes
de l’apostolat auprès de vos sœurs !
Forcés
par vous, Isabelle, ce site est maintenant accessible aux femmes avec
les réserves émises en les pages suivantes :
Alors,
à vous maintenant de faire venir d’autres femmes désirant révéler
des Héros en leur Maison !
Elles
le doivent !, c’est Justice, ayant entraîné à travers Ève,
et effectivement elles-mêmes le plus souvent, les Hommes à la
lâcheté !
3.B.1.h - Concluons
pour l’instant
Isabelle,
encore une fois recevez nos remerciements en notre Dieu Unique et
Vrai, qu’Il bénisse la Maison dont vous dépendez…
Demain,
jour de la visitation de la Très-Sainte Vierge Marie à sa cousine
Élisabeth, nous Lui demanderons, à cette bonne Mère du Ciel,
qu’Elle vienne vous rendre visite…
Isabelle,
à Dieu !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
Pour :
… à Dieu !
Peu
de gents savent que l’expression qu’ils utilisent, adieu !,
et qu’ils assimilent souvent au fait que l’on ne reverra jamais
la personne à qui l’on l’adresse, vient de l’expression À
Dieu !
Ce
À
Dieu ! veut dire tout autre chose, il
dit : si
nous ne devions pas nous revoir ici-bas que l’on se revoit en Dieu,
à Dieu !, ce qui est un souhait
hautement chrétien, celui de vouloir son interlocuteur pour Dieu
comme l’on se veut soi-même pour Lui !
♣