Du :
06.08.2008, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mar. 27 août 2013,
15.45.
Table
de ce chapitre de notre Document
principal,
DP-…
5
- Restaurer l’Homme,
l’Époux, le Père, sa Puissance (I)…
5.A.1.a
- L’Homme plus
grand que la femme ! même dans ou contre le sein de sa
mère ! 236
5.A.1.c
- Le Masculin
l’emporte toujours sur le féminin, Il l’inclut, Il est son
référent. 237
5.A.1.d
- Maintenant
étudions la Puissance de l’Homme en général… 238
5.B
- Restaurer L’Homme
en général, sa Puissance… 239
5.B.1.a
- Nous réitérons
formellement notre avertissement : 239
5.B.2
- L’Homme seul
porte la bourse, donc seul Il la remplie et la vide… 239
5.B.2.a
- Madame ne peut
demander à son Homme d’être Puissant que selon sa volonté
propre. 240
5.B.2.b
- Les sexes ne
sont nullement égaux, mais seulement ‘complémentaires’ ! 241
5.B.2.d
- Où nous
devons parler de la virginité de la femme. 244
5.B.2.e
- Cette
virginité qui fait hurler ces succubes et leurs maîtres les
incubes. 244
5.B.2.f
- Autres
qualités essentielles pouvant rendre le Mariage invalide : 248
5.B.2.g
- La virginité
les fait hurler, mais ‘eux’ veulent une ‘première main’ ! 248
5.B.2.h
- Nous disions
que la femme a été faite pour et à cause de l’Homme… 250
5.B.2.i
- Seul l’Homme
porte la bourse, seul donc Il peut la remplir et la vider 251
5.B.2.j
- Pourquoi, au
point précédent, avoir mis complémentaires entre guillemets ? 251
5.B.3
- L’Homme soigne,
comme Époux, Père, Prêtre, Médecin… 253
5.B.4
- L’Homme juge,
jure, atteste, certifie, témoigne… 256
5.B.4.d
- Quelle
différence dans ces deux touchements de bourse ? 260
5.B.4.e
- Reprenons
notre étude entre les deux touchements de bourse : 261
5.B.4.f
- Une femme ne
peut donc jurer, mais elle peut promettre. 262
5.B.4.g
- Voyons la
confirmation de ceci dans le film Brigadonn. 262
5.B.4.h
- Voyons ce que
librairiecatholique.com dit du livre Femme en Islam de Siblini
Marwan. 263
5.B.4.j
- Sur le même
sujet, voici un extrait d’article parut dans Rivarol. 265
5.B.5
- L’Homme
commande, dirige, gère, défend, attaque… 267
5.B.5.b
- La femme,
elle, ne peut ni commander, ni diriger. 267
5.B.5.e
- Protéger,
c’est mettre un bouclier, n’est-ce pas ? 269
5.C
- Restaurer l’Homme
en tant que Chef de Famille, sa Puissance. 271
5.C.1
- La femme n’est
que pour son époux, et non pour les enfants. 271
5.C.1.a
- Voyons donc ce
que ce prêtre disait, voici des notes prises par l’un de
nous : 272
5.C.1.b
- L’Homme seul
porte et délie la bourse, la remplie et la vide… 274
5.C.2
- Il y a trois
types de sociétés sur terre. 274
5.C.3
- Petit démontage
de la démocratie, l’anti-monarchie. 275
5.C.4
- Ayant trois types
de sociétés, il y a donc trois monarques. 277
5.C.5
- Ces prêtres qui
inventèrent le ‘devoir d’ingérence’. 277
5.C.7
- Le Chef n’est
pas revêtu de l’Autorité, elle lui est inhérente. 280
5.C.8
- Mgr Delassus :
Le Chef est au-dessus de toutes autorités. 283
5.C.8.a
- ‘Ils’
disent que l’ennemi, c’est le Patriarcat ! 283
5.C.9
- L’autorité du
Père est la plus complète : sacerdoce et empire. 285
5.C.10
- L’autorité du
Père plus large que celle du Législateur. 285
5.C.11
- Mgr Gaume :
l’autorité du père est la plus noble. 286
5.A - Propos
préliminaires.
Maintenant,
nous allons étudier la Puissance de l’Homme en tant qu’Époux et
Père car c’est la Famille qui nous préoccupe, mais auparavant,
nous devons voir la Puissance de l’Homme, du Mâle, en général.
Par
ex., l’Époux est physiquement plus grand que Son épouse, non
parce qu’Il est son Époux, mais parce que l’Homme est
généralement plus grand que la femme.
5.A.1.a - L’Homme
plus grand que la femme ! même dans ou contre le sein de sa
mère !
Oui
l’Homme est plus grand que la femme, et même sous certains aspects
lorsqu’Il est tout-petit enfant. En effet, considérez-Le fragile
qu’Il est au sein de sa mère toute émerveillée de tenir ainsi un
Homme.
Pour
imager, agrémenter ce que vient de prétendre ce dernier propos,
nous allons lire une histoire vraie que voici :
5.A.1.b - Une
émission sur Europe I, vers 2003…
Laissait
intervenir des auditeurs, et le sujet était ‘votre petit enfant’.
Dans ce genre d’émission de manipulation, de ré-éducation,
seules les femmes appellent… Une auditrice sortant notoirement du
lot se met à parler de son enfant qui a 20 mois avec beaucoup
d’amour et d’enthousiasme, puis elle dit : et
lorsque je le sors du bain, et qu’à genoux sur le carrelage,
j’essuie mon fils [seulement là, elle dit
que c’est un garçon] je
le trouve tellement beau ! La
ré-éducatrice de service, redresse immédiatement le tir et dit :
oui,
et si cela avait été une fille, vous auriez eu la même admiration.
L’auditrice reprend la parole et aggrave son cas en disant, avec
une voix où s’entend très bien une vive émotion : non
madame, je puis vous assurer que lorsque je le vois là debout, je ne
puis que penser qu’il y a évidemment une différence, je suis
incapable de l’expliquer, mais il est beau parce que c’est un
petit Homme, c’est tellement différent d’une fille, je le sais
comme femme… Inutile de dire que le
téléphone fut coupé, et que la
‘psy’ de service se mit à expliquer que garçon ou fille,
c’était tout comme…
5.A.1.c - Le
Masculin l’emporte toujours sur le féminin, Il l’inclut, Il est
son référent.
Garçon
ou fille c’est tout comme ? Du tout !, et ce n’est
point un lavage de cerveau organisé par les Hommes !, de tous
temps les femmes ont toujours été si fières de mettre un Homme au
monde. Les pauvres femmes qui n’avaient mis que des filles au monde
ressentaient ceci comme une réelle souffrance. L’inverse, que des
garçons, n’étant jamais ressenti de la même façon par elles, et
que l’on ne vienne pas nous promener avec la veille tarte à la
crème du regard culpabilisant des Époux sur leurs épouses.
Par
ex., dans des pays qui agissent si criminellement comme en Chine, que
désirent les femmes qui, les pauvres, ne ‘peuvent’ garder qu’un
enfant ?, voici : un petit Mâle !
Dans
notre histoire précédente, cette mère pressentait la Vérité,
elle ne savait pas comment l’exprimer car on La lui avait cachée,
mais rien à faire, la Vérité est inscrite de façon indélébile
en notre conscience, et aucun lavage de cerveau ne pourra l’effacer,
au point que même au tréfonds de l’enfer, cette Vérité
travaillera comme une vrille infiniment cruelle notre conscience,
mais sans remède possible alors.
Oui,
toutes les femmes de tous les temps doivent céder le pas à un seul
tout-petit Homme, qui est leur référant et qui les inclut toutes
car Il est générique, Il les a générées ! Le féminin,
depuis Ève, dérive du Masculin. Le féminin est le Masculin en plus
petit, et ce, en toutes choses !
Le
Masculin l’emporte toujours et en tout sur le féminin au point
que :
→ l’on
doit écrire : Mon
épouse (f) et Mes filles (f) et Mon chien
(M) se promènent, ils (M) vont bientôt rentrer !
→ par
contre on écrira : Mon
épouse (f) et Mes filles (f) promènent Mon chien (M), elles (f)
vont
bientôt rentrer !
Une
femme savait bien cela et mieux qu’aucune autre, c’est la
Très-Sainte Vierge Marie qui comme cette brave mère vue
précédemment, lorsqu’Elle lavait le Petit-Jésus devait adorer,
comme nous le verrons au ciel où nous vous donnons rendez-vous, de
façon incroyablement intense et pure cet Enfant, Le plus beau des
Hommes, et donc à plus forte raison des femmes.
5.A.1.d - Maintenant
étudions la Puissance de l’Homme en général…
… puis
ensuite, dans le Mariage, en tant qu’Époux et Père.
Est-il
nécessaire de rappeler que lorsque nous disons l’Homme
il s’agit bien du Mâle, lorsque nous parlons de l’homme et/ou de
la femme, de l’humain, nous disons l’homme
ou humain.
De
fait, les sujets que traitent ce présent chapitre l’Homme…,
et le suivant, la
femme…, sont difficilement dissociables, en
effet lorsque l’on dit que la
femme doit être soumise en toutes choses, on
le dit à l’Homme, mais il s’agit de la femme… Toutefois, nous
avons essayé de scinder ceci en deux chapitres.
5.B - Restaurer
L’Homme en général, sa Puissance…
5.B.1.a - Nous
réitérons formellement notre avertissement :
Nous
rappelons ce que nous disions au début de cette étude,
que La
notice d’utilisation n’est pas destinée à la machine, mais au
propriétaire de la dite machine, n’est-ce pas ! Pour cette
étude, idem…, et que donc tout ceci
s’adresse bien qu’aux Hommes. Si une femme lisait cela, elle
serait très gravement fautive et en très grand danger de se perdre.
Nous déclinons donc le plus formellement possible toute
responsabilité quant à son Âme, son Salut éternel.
5.B.2 - L’Homme
seul porte la bourse, donc seul Il la remplie et la vide…
L’on
entend de plus en plus des expressions bien vulgaires comme :
avoir
des couilles, ou : t’as
rien dans le pantalon, ou : bon !,
pas de coups-bas ! Et ainsi l’on dit
quoi au juste ? Surtout si c’est une femme qui dit cela d’une
autre femme, ceci devient carrément cocasse !
Le
terme honnête à la place de c…s
est testicules,
qui sont au nombre de deux et contenues dans une bourse
que seul l’Homme porte devant et entre les jambes, là où notre
Père qui fit tout beau et bon, les plaça.
Commençons
par définir le mot testicule, qui se trouvent donc au nombre de deux
dans cette bourse.
-- Testicule :
Latin testiculus, dérivé de testis, « testicule ».
Apparenté à témoin, tester, attester etc,
c’est ce qui atteste (de la virilité) !
Sont
apparentés :
-- Tester :
Faire son testament, exprimer par écrit, et selon les formes
requises, ses dernières volontés. Capacité, droit de tester.
Sont
apparentés aussi, testament, attester et attestation, témoigner et
témoignage :
-- Témoigner :
Attester ; donner des
preuves tangibles de la réalité, de la vérité ou de la véracité
d’une chose.
Sont
apparentés : garant et garantir, prouver et approuver,
vérifier, certifier, jurer, etc…
Et
pour tout ceci, il faut donc être porteur d’une Puissance dont la
partie la plus visible, après la hauteur physique, est la bourse qui
contient ces testicules.
Cette
bourse est la partie visible de la Puissance de l’Homme, qui
transpire aussi en sa hauteur, sa musculature, sa maîtrise de soi,
son intelligence, sa capacité à se déterminer, s’orienter, et
surtout à pénétrer tant physiquement qu’intellectuellement ;
etc.
5.B.2.a - Madame
ne peut demander à son Homme d’être Puissant que selon sa volonté
propre.
La
Puissance donne à l’Homme de dominer, de pénétrer et
ensemencer…, et cette Puissance est insécable, indivisible, Elle
ne peut être abdiquée ! Il faut que les femmes l’acceptent,
c’est ainsi et personne ne peut quoique ce soit contre ; la
révolte ne change rien mais rend la vie en société impossible de
par son unique faute, et plus particulièrement dans le Mariage !
La
femme moderne, elle :
→ ne
veut aucunement être dominée, sauf dans la perversion
(sadomasochisme) ; alors qu’elle trouverait son véritable et
quiet bonheur dans cette sainte soumission à la sainte domination de
son Époux…
→ ne
veut aucunement être pénétrée, sauf pour ‘jouir’ ; alors
qu’elle trouverait la véritable jouissance d’être offerte à
son Époux pouvant ainsi la fertiliser tant moralement que
physiquement.
→ ne
veut aucunement être ensemencée, sauf pour ‘faire’ un enfant
selon sa volonté propre.
Elle
veut bien être pénétrée et que très rarement ensemencée, mais
que lorsqu’elle veut et avec ce qu’elle veut, et que pour ce
qu’elle veut !
5.B.2.b - Les
sexes ne sont nullement égaux, mais seulement ‘complémentaires’ !
Oui,
si l’on veut l’égalité des sexes, il va falloir couper tous les
Hommes, en effet, on peut couper ce qu’un Homme porte, mais
impossible de donner à une femme ce que Dieu dans sa Très-Charitable
Providence ne voulut lui donner : augmenter sa taille, lui
donner une Puissance, etc. : Qui
de vous, en se tourmentant, peut ajouter une coudée à sa taille ?
(Mt 6,27.)
C’est
cela que tente désespérément de faire le communisme et toutes les
idéologies qui prônent l’égalité en tout. Comme il est
impossible que tout le monde soit également intelligent, beau,
fort…, il leur faut niveler vers le plus petit commun
dénominateur : rendre tout le monde stupide, vilain, faible…,
ainsi ils sont tous égaux, et à ‘raz les marguerites’.
Comme
il est impossible
que les femmes aient une Puissance, alors, ‘ils’, les ennemis de
l’humanité, arrachent cette Puissance aux Hommes. C’est ce que
fait ce monde moderne : des minets, des lavettes, des
hommelettes à talons aiguille ou décalés, avec des breloques dans
tous les coins, tous les orifices, quitte à en faire de nouveaux !
Impossible
à la femme d’être l’égale de l’Homme ? qu’à cela ne
tienne !, il suffit de rabaisser l’Homme au niveau de la
femme, et pour ceci les ‘coupeurs de bourses’ sont lancés depuis
bien longtemps : révolter la femme et culpabiliser l’Homme,
convaincre la femme qu’elle égale son Époux et crier
continuellement à l’Homme qu’Il est violent, pousser la femme à
sortir de sa Maison et faire passer l’aspirateur à l’Homme, etc.
5.B.2.c - Où
l’on en vient à parler d’urinoirs…
Voyez-vous,
cela devient tellement agaçant, que cette ‘égalité des sexes’,
et puisque nous sommes entre Hommes, nous allons vous raconter une
histoire réelle que nous narra le témoin direct de la scène :
Il
y a de cela environ une vingtaine d’années, lors d’un repas
d’affaire mêlant comme maintenant scandaleusement
hommes et femmes, vers la fin de celui-ci, une
‘psychologue’ pas mal échauffée et toute pleine d’arrogance
inspirée par le ‘savoir’ qu’on lui a fait croire qu’elle
détenait, vient à dire hargneusement : ‘je ne vois aucune
différence entre un homme et une femme, nous sommes tout-à-fait
égaux’.
Un
des convives, ami de notre rapporteur, bien agacé par cette
péronnelle, placidement lui rétorqua, ‘moi j’en connais une !’,
à quoi elle répliqua bêtement ‘laquelle ?’ Notre placide,
finissant calmement sa part de tarte lui dit d’une façon fort
détachée ‘madame ! un
Homme ça pisse, et une femme ça fuit, et pour vous en
convaincre, nous pouvons tous sortir et devant un buisson je vous
propose de le constater !’
Le
silence qui s’en suivit fut si glacial, que notre garce verte et
écumante sortit et disparut pour toujours, et même de cette
entreprise ! Un fort applaudissement de la salle vient détendre
l’atmosphère et permettre enfin une fin de repas paisible et
chaleureuse.
Alors,
pour en revenir à notre titre, voici pourquoi avoir parlé
d’urinoirs, parce que : un Homme ça pisse debout,
‘noblement’, et une femme doit se plier, s’abaisser pour
pouvoir ‘fuir’ : c’est ce que tous, nous pouvons
constater. Et si l’on en est révolté, il faut voir cela avec
‘dame nature’ pour les essentiellement négationnistes, ou notre
Père du Ciel pour les croyants (révoltés)…
Un
Homme utilise un urinoir, comme un buisson ou un arbre, et Il lui
suffit de se retourner après s’être éloigné raisonnablement.
Une
femme doit, désespérément pour sa vessie de petite capacité,
chercher un endroit ‘praticable’, où se trouve les buissons
appropriés et ‘atteignables’ où elle pourra se dégager tout le
bas, se mettre accroupie et fuir tout son soûl. Dans la voiture,
depuis ‘belle lurette’ son Époux et ses fils attendent :
elle, l’épouse, et les filles…
Elles
doivent comprendre, ces
pauvresses, que jamais
un Homme ne pensera que Sa Mère et Sa sœur, Son épouse et Sa fille
fuient, si elles sont douces, totalement et amoureusement soumises.
Ce mépris, ‘elle fuit’, ne vient que du fait que la femme
regimbe ! Il ne faut pas provoquer les vrais Hommes (pas les
minets !), sinon la femme recevra une remarque acerbe quant à
sa position accroupie, et risque fort de trouver en son foyer un bon
professeur qui sera tout disposé à lui apprendre à danser la polka
histoire de la dégourdir quelque peu !
-- Polka :
s. f. Correction, danse, dans l’argot des faubouriens. Faire danser
la polka à quelqu’un. Le batte.
Comment
corriger cette ‘injustice’ criante du Créateur ? Comment
empêcher les Hommes de pisser debout vue qu’il n’y aura jamais,
au grand jamais moyen de le faire faire aux femmes ; et quoi
qu’on invente de plus débile et avilissant comme prothèse
(entonnoir et autres débilités du même genre).
Comment
corriger cette ‘injustice’ criante du Créateur ? En coupant
tous les Hommes pour les obliger à fuir accroupis !
Notre
solution ironique, ‘couper tous les Hommes pour les obliger à fuir
accroupis’ vous paraît exagérée ?, alors, lisez :
5.B.2.d - Où
nous devons parler de la virginité de la femme.
Michel
Fourniret, ce monstre fabriqué par nos Maîtres, était « en
quête de virginité », et pour cela il lui ‘fallut’
déflorer, violer et tuer ensuite de très nombreuses pauvres petites
filles.
Devinez
alors qu’elle fut l’avis de ‘spécialiste’, tous plus mabouls
les uns que les autres, mais tous ‘psy-tout-ce-que-vous-voulez’,
c’est qu’il fallait supprimer l’hymen à toutes les filles à
la naissance, ainsi il n’y aurait plus de viols parce que plus de
la virginité à quêter pour de tels vicieux !
5.B.2.e - Cette
virginité qui fait hurler ces succubes et leurs maîtres les
incubes.
Une
affaire a défrayé la chronique, ainsi nommée dans les ‘média’ :
l’affaire
de l’annulation de mariage pour cause de mensonge sur la virginité
de l’épouse.
Cette
‘affaire’ a été montée en sauce en mai 2008 par ‘Eux’ pour
faire avancer la révolution, voici les faits selon L’Express :
L’épouse
avait menti sur sa virginité, le tribunal annule le mariage.
En
avril, le tribunal de grande instance de Lille a annulé un mariage
car l’épouse avait menti sur sa virginité, a t-on appris ce jeudi
auprès de l’avocat du mari. La cour a estimé que l’époux avait
conclu cette union "sous l’empire d’une erreur objective".
[…]
Alors
que sa fiancée lui avait affirmé qu’elle était chaste, une
valeur essentielle pour lui, l’homme, musulman comme elle, avait
découvert le soir de leurs noces, le 8 juillet 2006, qu’elle ne
l’était pas. (…]
Le
tribunal a annulé l’union car il a estimé que l’époux l’avait
conclu "sous l’empire d’une erreur objective" et
qu’"une telle erreur était déterminante dans son
consentement", selon le jugement publié dans la revue juridique
le "Recueil Dalloz". […]
Ce
que dit le Droit naturel :
<À
développer, compléter, corriger>.
L’hymen,
cette ‘porte’ a été réalisée (voulue) par Dieu dans Son
infinie Bonté et Justice. Elle est là pour garantir que la femme
que l’Homme désire épouser est une
vierge […] inconnue à tout homme.
N’en
déplaise à ces suppôts de Satan, l’homme
n’a pas été tiré de la femme, mais bien la femme de l’homme ;
et l’homme n’a pas été créé à cause de la femme, mais la
femme à cause de l’homme.
Par
défaut, cette porte, cette
virginité est une condition
‘sine qua non’ des
épousailles, pour une femme, sauf :
→ de
prouver, car à tout péché miséricorde, que le Futur en ait été
dûment informé et qu’Il a accepté devant témoins de passer sur
ce très grave manquement, ou
→ évidemment,
s’Il savait que la jeune épousée était veuve et donc
potentiellement connue, ou
→ si
par ‘accident’
toutefois ‘incroyable’, ou viol, ou autre, et qu’Il en ait été
dûment informé devant témoins et qu’Il l’a accepté.
Ce
que dit l’Église :
<À
développer, compléter, corriger>.
Can.
1083
§
1 L’erreur sur la personne rend le mariage invalide.
§
2 L’erreur sur une qualité de la personne, même si elle est cause
du contrat, rend le mariage nul seulement :
1°
Si l’erreur sur une qualité se ramène à une erreur sur la
personne ;
2°
Si une personne libre contracte avec une personne qu’elle croit
libre, alors que celle-ci est de condition servile dans l’acception
propre du terme.
L’Église
dit que s’il y a erreur
sur une qualité de la personne, ceci rend
le mariage invalide ; ce, donc,
conformément au Droit naturel.
Ce
que dit la Médecine :
<À
développer, compléter, corriger>
Nous
avons lu (et aussi entendu dire), sans avoir retenu la source, qu’une
femme vierge est ‘magnétisée’, marquée de façon indélébile
par la (les) première(s) pénétration(s). Elle est marquée comme
au fer rouge par une empreinte indélébile autre que cette
défloraison qui est le témoin visible, sensible de cette virginité.
Ainsi,
une femme adultère commet un acte ‘contre-nature’ à cause de
cette empreinte en plus de son (ses) infidélité(s)
(péchés-mortels). Cette étude avançait que c’est pour cela que
dans l’ancien peuple juif une veuve devait être prise par le Frère
du défunt afin de préserver le ‘marquage’. (Une aide médicale
et scientifique sérieuse est hautement souhaitée).
Concluons :
Les
médias, première et irremplaçable courroie de transmission de nos
‘Maîtres’, mentent copieusement, évidemment :
1. L’Époux
en question ne semble pas avoir avancé le ‘défaut de virginité’
(qu’Il aurait put toutefois avancer), mais bien le mensonge sur
cette virginité. Ce qui veut donc dire qu’Il a demandé au
préalable à la donzelle si elle était bien vierge !
2. Selon
nous, cet argument manque de courage, car en effet, la virginité est
une qualité essentielle, pourquoi ? Pourquoi cette virginité
a-t-elle été voulu par Dieu (ou ‘dame nature’ dirons les
essentiellement négationnistes) ?, voyons !, pour que
l’Homme puisse vérifier qu’elle est une
vierge […]
inconnue à tout homme !
3. Ils
disent que cette course à la virginité poussent ces femmes
musulmanes (et d’autres aussi, car le mensonge règne sur toute la
terre) à recourir à la chirurgie pour se faire ‘refaire’ un
(faux) hymen (Hymenoplastie). Ce qui revient à dire que c’est
l’enquête de police qui pousse le malfaiteur au crime ! Cette
réfection d’un pseudo d’hymen est un crime aggravant le premier
péché mortel : la perdre cet hymen ! Et là, il y a
tromperie encore plus grande, double, sur une qualité essentielle de
la femme.
4. L’Homme
n’avait point à poser la question ! En effet, comment,
finalement, démarrer une union indissoluble, de confiance, sur une
telle méfiance, étant donné que la
promise, la donzelle doit être vierge !
Si elle ne l’est pas, c’est qu’elle a caché un Mariage, car,
une ‘union’ hors Mariage est impossible parce que criminelle !
Si elle n’est plus vierge, elle a donc bien caché un crime, et à
ce compte là il y a bien dissimulation, comme l’Homme qui
cacherait qu’Il aurait perpétré un meurtre avant son Mariage !
5.B.2.f - Autres
qualités essentielles pouvant rendre le Mariage invalide :
→ Un
époux qui a caché, non son impuissance qui ne peut être prouvée
que dans le Mariage du reste (épreuve dans le Mariage), mais une
malformation génitale évidente. Etc.
→ Une
épouse qui a caché, non son infertilité qui ne peut être prouvée
que dans le Mariage du reste (épreuve dans le Mariage), mais une
malformation génitale évidente. Ou par ex. qui aurait caché par
prothèse la perte d’un sein, une calvitie, etc.
5.B.2.g - La
virginité les fait hurler, mais ‘eux’ veulent une ‘première
main’ !
-- Main :
De première main. (Acquis) directement à la source, sans
intermédiaire.
Leur
voiture, à ‘eux’, doit être une ‘première main’, mais pour
nos épouses ‘ils’ nous interdisent de rechercher une ‘première
main’ !
N’écoutez
pas la fulgurante et géniale remarque : Et pour l’Homme, on
ne parle pas de ‘première main’, de virginité ! ?
Pour commencer, combien d’Hommes, et ce, sans ‘héroïsme’
(encore que !), sont arrivés vierges dans le Mariage ?
La
virginité de la femme n’a pas la même importance que pour
l’Homme. Pourquoi ?, parce que la femme est faite pour
l’Homme, et qu’elle est marquée par sa pénétration, son
ensemencement tant intellectuel que physique. Ainsi une veuve, à
laquelle Saint Paul conseille fortement de ne point se remarier, ne
peut le faire en blanc.
La
femme est faite pour
et à
cause de l’Homme et non
l’inverse ! Ainsi, l’on ne demande pas au chien, comme à la
voiture du reste, s’il veut bien pour maître une ‘seconde main’,
car l’un et l’autre sont fait pour l’Homme et non l’inverse.
L’Homme
veut une ‘première main’, pour :
→ Sa
voiture, pour bien la roder selon Son goût et Ses critères ;
→ Son
chien, afin de pouvoir bien le dresser selon Ses critères, l’avoir
bien en main ;
→ Son
épouse, afin qu’elle soit pure, vierge et marquée et formée par
Lui selon Ses désirs !
Pour
son Époux, elle se doit vierge !
Plus
haut nous disions que la femme était ‘magnétisée’, marquée
physiquement par ses premières pénétrations. La
femme n’a
pas été
créée (engendrée) pour Dieu, mais à
cause de l’homme ; et elle doit être
à son Époux : soumise
en toutes choses,
ce qui veut bien dire qu’elle est aussi marquée
intellectuellement, moralement, en son éducation et ses habitudes,
etc. par l’Homme qui le premier la connue !
Ce
qui faisait dire, dans le temps pas si lointain où nous étions pas
encore ‘éclairés’ par ‘les lumières’ que l’éducation
des filles est bien moins importante que celle des garçons, en effet
c’est à l’Époux d’achever l’éducation
de sa toute belle ! Nous reverrons cela plus loin dans le
détail.
Donc
la femme est en effet toute marquée de ses premières pénétrations
de tous ordres ! Or, si elle se remarie (et c’est pour cela
que Saint Paul le déconseille fortement pour elle) elle devra être
‘reprogrammée’ (nouvelles habitudes, cuisine, latitudes,
contraintes de son Époux, etc.), ce qui est quasiment impossible,
par son nouvel Époux. Mais pire, ayant été magnétisée
précédemment, et ne pouvant l’être de nouveau car le marquage
est indélébile, elle portera les enfants de son nouvel époux dans
un utérus qui ne serait pas ‘celui de leur Père’, mais ‘celui
d’un autre Homme’ !
Ce qui reviendrait à faire la soupe au pot familial dont le pot du
voisin qui en aurait fait on ne sait trop quoi avant !, ce n’est
vraiment pas ragoûtant !
Et ainsi, plus de pot vierge et plus de soupe sûre ; plus de
femme vierge plus d’honnêtes Mariages, car renfermant en Eux le
Ver Rongeur qui sape, sape le foyer…
Ainsi
donc, vous commencez à mesurer l’escroquerie gigantesque qui se
cache derrière cette affaire, montée intentionnellement par ‘eux’,
de ‘défaut de virginité’ !
5.B.2.h - Nous
disions que la femme a été faite pour et à cause de l’Homme…
L’Homme
a été créé pour Dieu, et la femme ?
La femme n’a
pas été
créée (engendrée) pour Dieu, mais à
cause de l’homme, et donc pour l’Homme.
Et
ainsi en va-t-il dans toute la création, le Mâle domine la femelle
qui a été tirée de Lui, à cause de Lui, pour Lui, ce qui nous
fait voir le Lion rugissant, et la lionne craintive et tapie devant
son Mâle, sou-mise. Et ainsi que l’épouse, c’est la lionne qui
dresse la table pour son maître !
‘Ils’,
les ennemis de la famille, nos ‘Maîtres’, hurlent lorsque l’on
dit que la femme doit,
d’Obligation divine, être à ses fourneaux et non à l’extérieur
de la Maison de son Époux, comme le confirme très bien le Concile
de Trente : Elles
aimeront aussi à rester chez elles, à moins que la nécessité ne
les oblige à sortir, et même alors elles devront avoir
l’autorisation de leurs maris (voir plus
loin). Ce n’est que là, sûrement, que la femme (fille, épouse,
sœur, etc.) peut trouver le véritable Bonheur, la véritable
Liberté, et par cela uniquement
l’éternelle jouissance de Dieu !
En
effet, elle ne peut aller à Dieu qu’en passant par l’Homme,
étant faite pour l’Homme (sa Fin première ou intermédiaire) et
non pour Dieu (sa Fin seconde et dernière). Pour atteindre la Fin
dernière, Dieu, elle doit obligatoirement passer par la Fin
première, l’Homme, et par cet intermédiaire inévitable, et que
dans la mesure où elle l’aura parfaitement remplie, et pour
laquelle elle fut engendrée, atteindre la Fin seconde et dernière :
Dieu !
5.B.2.i - Seul
l’Homme porte la bourse, seul donc Il peut la remplir et la vider
Et
c’est pour cela que seul l’Homme peut donner et que la femme ne
peut que recevoir, et c’est ce qui fait dire à Saint Thomas
d’Aquin que dans
l’acte conjugal, [comme dans tous le
reste,] le
rôle le plus noble appartient au mari.
Nous
remarquons bien que la bourse que l’Homme porte et délie est
devant et entre ses jambes.
5.B.2.j - Pourquoi,
au point précédent, avoir mis complémentaires entre guillemets ?
Parce
que, si nous sommes complémentaires, les Hommes et les femmes, cette
complémentarité est :
→ une
complémentarité de ‘confort’ pour l’Homme en général, et
plus particulièrement pour l’Époux :
→ L’homme
n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause
de l’homme. (I Cor., XI, 7-9).
→ Car
c’est pour la consolation
de l’homme que la femme a été formée…
(Saint Jean Chrysostome, développé ensuite).
→ une
complémentarité de ‘servitude’ pour la femme, qu’elle soit
fille, épouse (ou religieuse) ou mère :
→ la
femme doit être soumise à son Mari [ou à
l’Homme en général] en
toutes choses,
→ et
l’aimer
avec l’amour respectueux que vous portez à l’autorité même de
Notre-Seigneur, de qui descend tout pouvoir de chef.
Par
exemple, il ne s’agit donc pas d’une obligation pour l’Époux
de demander son avis à l’épouse ! Comme si cette
complémentarité était une obligation d’utiliser ce complément
afin d’obtenir l’assentiment en vue de l’achat d’une Maison,
du choix d’école, etc.
Oui,
comme pour tout Homme, c’est une complémentarité de confort pour
l’Époux, s’Il en ressent le besoin :
→ pour
Son bien-être : repas, affection, porter et élever Ses
enfants, etc.
→ obtenir
l’avis de Son épouse afin de vérifier par
devers Lui son choix.
→ pour
avoir une occasion d’enseigner son épouse par rapport à sa
réponse erronée ou pas.
Cette
complémentarité n’est pas un partage de l’Autorité de l’Époux
par l’épouse, ni à 49.9%, ni à 30%, ni à 10%, ni même à 1% de
l’Autorité ! Cette complémentarité est pour l’Époux, une
aide selon sa demande, point à la ligne !
Relisons
Pie XII :
N’hésitez
donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point
à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités. La barre de la
nef domestique a été confiée à vos mains.
[…] Épouses
et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif
d’usurper le sceptre familial !
La
complémentarité en la Famille.
Les
Hommes et les femmes sont en effet complémentaires ; en la
Famille cette complémentarité est que :
→ l’Un,
l’Homme, doit gouverner, ensemencer, alimenter et défendre son
foyer…
→ l’autre,
la femme, doit s’occuper en premier (voir ensuite) de son Époux,
être fertile dans tous les sens du terme, porter de beaux et bons
fruits de tous ordres, soigner joyeusement sa Maison…
|
5.B.3 - L’Homme
soigne, comme Époux, Père, Prêtre, Médecin…
5.B.3.a - L’Homme
soigne, comme Époux…
Seul
l’Époux, Lui-même, est responsable de la santé morale et
physique de son épouse, et en cela il n’a de compte à rendre à
personne.
Il
décide s’Il doit être aidé, et par qui : prêtre,
sage-femme, médecin, conseil… Cette demande d’aide n’est pas
une cession d’Autorité, Il garde continuellement la main sur les
soins de tous ordres. De cette responsabilité, il n’a de compte à
rendre à quiconque, sauf à Son Dieu.
5.B.3.b - La
femme peut soigner, que comme épouse…
Comme
épouse, elle soignera son Époux selon le conseil qu’Il lui
donnera ou lui fera donner.
Comme
épouse de Notre-Seigneur Jésus-Christ (Âme consacrée, par ex. Les
Filles de la Charité, appelées Sœurs de Saint Vincent de Paul),
elle pourra sous tutelle porter les soins ordinaires même à des
Hommes… Les femmes qui déshabillent un Homme alors qu’elles ne
sont point consacrées commettent l’adultère, elles ne peuvent
être infirmières, et sont évidemment incapables, dans le sens
exacte du terme, d’être médecin (absence d’intelligence, de
maîtrise, et pire de grâces d’état). Nous énonçons des
principes découlant de la Loi naturelle, que l’on ne vienne pas
nous mettre dans les pieds que s’il n’y a plus d’infirmières,
qui soignera ?, ce n’est pas nous, ici, qui avons généré ce
monde de fous, contrairement à ceux qui par ex. votent.
5.B.3.c - L’Homme
soigne, comme Père…
Idem,
DP-5.B.3.a, L’Homme soigne, comme Époux…
5.B.3.d - La
femme peut soigner, comme mère…
Comme
épouse, elle soignera les enfants de son Époux selon le conseil
qu’Il lui donnera ou lui fera donner.
Comme
épouse de Notre-Seigneur Jésus-Christ, idem le point précédent.
5.B.3.e - L’Homme
soigne, comme prêtre de l’Église…
Seul,
l’Homme, comme prêtre, est habilité à ausculter et prescrire
pour soigner l’Âme, avec les restrictions vues aux points
précédents, sachant surtout que le Chef est prêtre en sa Maison,
et qu’à Lui reviennent : la moralisation, la direction
spirituelle, les conseils de tous ordres, la bénédiction et
malédiction, les vœux, etc., et ce, pour toute Sa Maison.
5.B.3.f - La
femme ne peut soigner, comme Prêtre.
Pourquoi ?
Parce qu’elle ne peut être prêtre ! Nous savons très bien
la distinction qu’il existe entre pouvoir et pouvoir :
→ Pouvoir,
comme ayant la capacité de le faire, mais pas forcément la
possibilité :
1. Le
malade pourrait se lever si sa très grande faiblesse ne le lui
interdisait pas.
2. L’estropier
pouvait marcher, mais ne le peut plus maintenant.
→ Pouvoir,
comme volonté de faire tout ce que l’on voudrait : Les
humains ne peuvent voler comme les oiseaux (avant le Jugement
dernier !) quand bien même le voudraient-ils.
C’est
pour cela qu’il est scandaleux de dire, et ce jusque dans les
sphères élevées de l’‘Église’ (apparemment), que l’Église
ne veut pas que les femmes soient
prêtres ; alors que ces Hommes d’Église devraient avoir le
‘courage’ de dire que les femmes
ne peuvent pas être prêtre.
Il
s’agit en effet, non d’une impossibilité due :
→ à
l’absence de permission, par ex. : je
ne vous permets pas de,
→ mais
d’une impossibilité inhérente à la nature, par ex. :
absence
d’ailes pour pouvoir voler ;
… en
l’occurrence, ici, l’impossibilité de représenter un Homme,
Notre-Seigneur Jésus-Christ, parce que n’étant pas des Hommes
(absence de testicules) !
Si
Dieu, qui peut tout, voulait par impossible que la femme soit prêtre,
Lui-même ne le pourrait pas, car il ne peut changer la nature de ce
qu’Il a fait ; en effet, Dieu Est !
L’Homme
peut
dominer l’Homme (chef d’atelier…), et l’Homme doit
dominer la femme ; et la femme ne
peut même pas
dominer la femme,
alors, dominer l’Homme, pensez donc !
Saint
Paul dit bien : Je
ne permets point à la femme d’enseigner
ni de dominer sur l’homme (I Tim. II, 12).
5.B.3.g - L’Homme
soigne, comme Médecin…
Seul
l’Homme, comme médecin, est habilité à ausculter et prescrire
pour soigner le corps, avec les restrictions vues aux points
précédents.
5.B.3.h - La
femme ne peut pas soigner, comme Médecin.
Elle
ne peut (capacité) ausculter un Homme, ni poser un jugement médical
(capacité), en plus elle n’en aurait évidemment pas les grâces
d’état, et cet acte serait éminemment contre-nature et suicidaire
pour le malade.
Par
contre, comme servante de Notre-Seigneur Jésus-Christ, elle le peut
comme vu précédemment avec Les Filles de la Charité, pour assister
un Médecin (Médecin = substantif Masculin !).
5.B.4 - L’Homme
juge, jure, atteste, certifie, témoigne…
Au
chapitre DP-08, Restaurer
la dignité de la femme, par sa soumission (II)… ;
point DP-8.G,
vous trouverez un tableau présentant l’‘Évolution’ ?, non régression du statut de la femme !
Vous verrez ainsi que cette ‘évolution’ du
statut de la femme est une régression due à une révolte
relativement récente.
Étant
le Chef, Il jugera les gens de sa Maison : épouse et enfants,
et le cas échéant les serviteurs de sa Maison.
Comme
Juge, Il peut juger son semblable (un autre Homme), sous réserve de
légitimité. Mais Il ne peut juger la Maison d’un autre Homme.
Ainsi, si une femme devait être répréhensible (vol dans l’épicerie
du village) c’est forcément vers l’Époux que l’épicier
portera sa plainte, il reviendra à l’Époux de rembourser puis de
corriger de main de Maître son épouse. En cas de contestation,
c’est à l’Époux, assisté d’un avocat
s’Il le doit, de se défendre en Justice, pour laver l’honneur de
son épouse.
5.B.4.b - La
femme ne peut juger.
Toujours
la même chose, la femme ne peut (capacité) juger, même sa
semblable ! Du reste, il n’y a qu’à voir comment elles se
‘jugent’ si charitablement entre-elles, comment elles se
comportent dans les bureaux ou les ateliers, où il faut
immanquablement, sans le dire ouvertement à cause de l’air du
temps dévoyé, avoir un Homme, comme dans les couvents de femmes du
reste, derrière la ‘responsable’ de ce groupe de femmes pour
impulser et diriger, départager.
Mais
comme nous sommes dans une société qui se meut plus que
contre-naturellement, nous voyons maintenant la ‘magistrature’
presque exclusivement aux mains de viragos. Et ainsi, dans des drames
conjugaux, instigués pratiquement exclusivement par les femmes (et
avec des prêtres derrière dans certains milieux),
et portés devant des tribunaux forcément incompétent car rien ne
peut contre l’Autorité de ce Chef, nous voyons des femelles
assurément dépourvues de jugeote ‘juger’ un Homme, un Époux et
Père, et ainsi humilier l’Autorité qu’Il détient de
Dieu-même !
Ici,
nous ne parlons par du jurement qui fut tant combattu par le Saint
curé d’Ars, et qui est une profération, un péché mortel, telle
que ‘nom de D…’, etc. Même l’invective ‘putain’ sortie
hors sens est un jurement… Nous parlons du jurement pour une chose
grave, tel que : de jurer de dire la vérité en Justice…
Vous
vous souvenez
que nous avions dit que nous verrions l’explication très très
importante de ceci, ‘sous
la cuisse’, nous y voici, reprenons la
citation :
24,1. Or
Abraham était vieux et fort avancé en âge, et le Seigneur l’avait
béni en toutes choses.
24,2. Il
dit donc au plus ancien de ses serviteurs, qui avait l’intendance
sur toute sa maison : Mets ta
main sous ma cuisse,
24,3. Afin
que je te fasse jurer par le Seigneur, le Dieu du ciel et de la
terre, que tu ne prendras aucune des filles des Chananéens parmi
lesquels j’habite, pour la faire épouser à mon fils ;
24,9. Ce
serviteur mit donc la main sous la cuisse d’Abraham son
maître, et s’engagea par serment
à faire ce qu’il lui avait ordonné.
Voyez-vous,
dans le temps où la société n’était pas encore culbutée,
renversée, on pourrait penser qu’il y a de cela bien bien
longtemps, la subversion et la sidération étant si totales dans
l’esprit des Hommes, mais de fait il y a moins de 60 ans, soit vers
les années 1950, lorsque la société était encore une société
d’Hommes, l’on savait cela.
Du
temps où la ‘téloche’ n’avait pas encore nivelé, par la bas
évidemment, les populations de nos campagnes ‘arriérées’,
qu’ils disent, sur les marchés aux bestiaux, ou lors de toute
transaction un peu importante, pour sceller une entente, l’on se
serrait la main droite et en même temps, avec les trois doigts de la
main gauche, pouce index et majeur, l’on se touchait (fugacement)
la bourse.
Voyez-vous,
il y a de cela 3 ans (2005), même pas, nous parlions avec un prêtre
italien qui nous certifia avoir encore vu cela dans des transactions
en son pays, il nous disait que c’était encore courant dans
certaines régions.
Bien
sûr, afin de nous mettre au banc des femmes, au niveau des femmes,
l’on va pousser des cris d’orfraies, et vous verrez que les plus
excités seront des prêtres qui taxeront ce geste qui est un geste
de Puissance : d’obscénité !
En
effet, ces cloaques
d’impureté veulent l’Homme émasculé,
enfin de pouvoir régenter le Mariage par la femme, et c’est pour
cela qu’ils cachent tous les textes que nous donnons ici, comme
ceux-ci :
→ Mets
ta main sous ma cuisse, afin que je te fasse jurer par le Seigneur.
→ Ce
serviteur mit donc la main sous la cuisse d’Abraham son
maître, et s’engagea par serment.
Dans
ce texte précité, nous remarquons bien que contrairement à ce qui
se passait pour la transaction sur un marché aux bestiaux :
1. ce
n’est pas Abraham et le serviteur qui se touchent leur propre
bourse ;
2. mais
uniquement le serviteur qui touche la bourse ;
3. et
qu’il ne touche non pas sa propre bourse, mais celle d’Abraham !
5.B.4.d - Quelle
différence dans ces deux touchements de bourse ?
La
différence entre ces deux touchements de bourse :
1. touchement
réciproque de sa propre bourse sur le marché aux bestiaux, et
2. touchement
par un Homme de la bourse d’un autre.
C’est
simple, déjà, nous savons parfaitement que les femmes sont
inférieures à l’Homme et en toutes choses, subordonnées est plus
heureux à cause de l’‘émotion’ scandaleuse que génère le
mot ‘inférieur’ dans nos sociétés dépravées, dégénérées.
Nous
savons aussi que la femme la plus ‘intelligente’ ou la plus
‘élevée’, la mieux ‘instruite’, est inférieure à l’Homme
le plus ‘simple’. Ainsi, si une titrée Duchesse venait à
épouser un charbonnier, elle devra être
sou-mise à son époux en toutes choses.
C’est ce qu’exprime aussi le proverbe qui dit bien : Le
charbonnier est maître dans sa maison, et
donc en premier Maître de Sa Duchesse ; laquelle Duchesse ne
devra pas jouer à la ‘duchesse’ avec Lui, sinon gare à la
trique… !
De
Volonté divine, nous sommes dans une société d’Hommes, et dans
cette société d’Hommes, une hiérarchie existe,
et est
nécessaire.
Une
hiérarchie existe :
certains Hommes sont plus forts, d’autres plus intelligent,
d’autres plus sages, etc.
Une
hiérarchie est nécessaire :
ces Chefs de famille doivent s’organiser, nommer : des Chefs
de village, des gardes, des organisateurs, et aussi, et il y a une
très grande noblesse dans cela, des serviteurs.
5.B.4.e - Reprenons
notre étude entre les deux touchements de bourse :
1. Touchement
réciproque de sa propre bourse sur le marché aux
bestiaux.
Ici,
il s’agit de deux Hommes ‘égaux’, qui s’entendent d’égal
à égal sur une transaction future, car souvent la livraison ou
l’enlèvement se faisait qu’ensuite. Et donc chacun scelle cette
entente sur une transaction future en se touchant, en même temps que
le serrement de main, sa propre bourse.
Du
reste, nous nous souvenons que nous avions vu le commerce entre le
Père de la demoiselle et l’Homme, futur Époux, la pâtisserie
mise de côté.
Ainsi, il est tout à fait envisageable qu’une telle ‘cérémonie’
existe au moment où le Père de la demoiselle, après son
consentement (fiançailles), scelle son accord avec le futur Époux !
2. Touchement
par un Homme de la bourse d’un autre.
Là,
nous n’assistons pas à une transaction, mais à un serment que
fait un serviteur à son Maître de remplir une mission donnée. Et
donc le serviteur est invité par le Maître à jurer non sur sa
propre bourse, mais sur celle de son Maître ; et de là la
demande d’Abraham : Mets
ta
main sous ma
cuisse, afin que je
te
fasse jurer
par le Seigneur, et ce
serviteur mit
donc la
main
sous la
cuisse d’Abraham
son maître, et
s’engagea par serment.
5.B.4.f - Une
femme ne peut donc jurer, mais elle peut promettre.
Nous
venons de voir que pour jurer, faire un serment, un engagement, il
fallait être Puissant, et donc ainsi il est évident que la femme ne
peut jurer, faire un serment ou être assermentée, s’engager ou
engager, etc, n’ayant pas de Puissance, de bourse !
Cela,
dans une époque ‘antédiluvienne’, pensez-donc, moins de 100
ans, on le savait ! Les Hommes étant des Hommes, jamais ils
n’auraient demandé à une femme de jurer. Les femmes étant encore
des femmes sou-mises, belles de leur humilité, jamais elles
n’auraient eu la folie de vouloir le prétendre.
C’est
pour cela aussi, du reste, que l’engagement de la demoiselle à
convoler en juste noces, les fiançailles, s’appelaient aussi
‘promesse
de Mariage’ !
5.B.4.g - Voyons
la confirmation de ceci dans le film Brigadonn.
Dans
ce film de 1954, Brigadonn, à la 70 mn,
il y a une scène de Mariage, et l’Homme dit : Je
jure
de t’aimer fidèlement, la femme lui
répond : je
promets
de t’aimer fidèlement. Ne dites pas que
c’est accidentel, c’est ainsi, de Droit divin, l’Homme peut
jurer, la femme ne peut que promettre, et les preuves et les exemples
foisonnent !
Alors,
lorsqu’en ‘Justice’ l’on demande à une femme de jurer, ceci
est un acte hautement subversif, contre-nature et par là impossible,
aberrant, et son jurement n’a aucune valeur. Elle peut mettre ses
trois doigts principaux de la main gauche entre ses jambes tout en
levant la main droite, elle ne touchera que son vide !
Alors
aussi, lorsqu’en ‘Justice’ une femme demande un serment à un
Homme, le fait jurer puis le ‘juge’, elle ne fait qu’étaler
lamentablement son néant, et ainsi insulte et avilie toutes les
braves et honnêtes femmes, en commençant par la Très-Sainte Vierge
Marie !
5.B.4.h - Voyons
ce que librairiecatholique.com dit du livre Femme
en Islam de Siblini
Marwan.
Pour
s’en moquer bien sûr !, mais non pour dénoncer ce qui
pourrait être critiquable.
Lisons :
Donc,
la femme est inférieure sur le plan intellectuel et sur le plan
religieux. Jamais son intellect ne pourra atteindre le niveau de
celui d’un homme, et il faut le témoignage de deux femmes pour
équivaloir à celui d’un homme. N’étant pas destinée à
l’exécution des ordres divins.
Ainsi
donc,
cette femme vient en effet de bien prouver son ‘égalité’ et son
‘intelligence’, elle se scandalise qu’il faille le
témoignage de deux femmes pour équivaloir à celui d’un homme !
Mais
non !, femme stupide, vous pouvez en mettre autant que vous le
voulez, des témoignages de femmes, ceci ne changera jamais rien à
la Vérité ! Un Homme peut jurer, témoigner sous serment, une
femme ne le peut ! Et même si une ‘loi’ le lui ‘permet’,
ceci est inconséquent, en effet cette impossibilité, répétons-nous,
ne découle pas de l’absence de permission, mais de l’absence de
possibilité venant de la nature même de la femme ! Et si elles
veulent s’en plaindre, donc se révolter, qu’elles s’adressent
au Bon Dieu, Nous, les Hommes, ni pouvons rien et nous n’y sommes
pour rien !
La
scribouillard(e) est choquée que le Coran
dise (nous nous fions à ce qu’elle nous annonce) que la
femme est inférieure sur le plan intellectuel et sur le plan
religieux. Alors,
il va falloir condamner l’Église catholique aussi !, et le
Droit naturel en premier, et encore avant tout notre Créateur !
Mais
elle, cette pauvresse, ne s’arrête pas en si bon chemin, pensant
être intelligente, elle s’offusque que la femme soit considérée
par le Coran comme inférieure à l’Homme, et nous citons :
N’étant
pas destinée à l’exécution des ordres divins.
Pauvre petite, malheureusement cette étude vous est interdite,
autrement vous auriez su que ceci est vrai de Volonté divine et en
soit n’a rien à voir avec le Coran qui ici ne fait que rapporter
la Loi naturelle. Ce que nous lui souhaitons, c’est qu’un Homme
puisse la détromper, l’enseigner, la discipliner, pour la sauver !
Voyez-vous,
c’est comme le mot d’ordre de nos ‘Maîtres’ « il faut
sauver la nature, la respecter », ainsi donc :
→ ils
‘respectent’ la nature, en admettant que la lionne se tapisse
craintivement devant son Chef le Lion, et reçoive la cas échéant
un coup de patte pour la remettre à sa place ;
→ mais
de fait ils ne la respectent pas du tout, puisque pour l’humain,
qui est le sommet de la nature, ils n’admettent pas que l’épouse
craigne son Époux, et que Celui-ci lui donne un coup de patte, soit
la corrige, afin
de la contenir dans son devoir
(Concile de Trente) !
5.B.4.i - L’Homme
atteste, certifie, témoigne…
De
fait, juger ou jurer, ou attester ou certifier, témoigner, etc.,
nécessite la même Puissance. Une simple tentative ou prétention
d’une femme vers cette Puissance est une action contre-nature et
donc qui ne peut aboutir, une révolte, une subversion, un mensonge.
Un Homme qui dirait qu’une femme peut juger, etc., est à mettre au
ban de la société pour acte contre-nature, pour révolte contre son
Dieu.
Que
cette pauvre femme se scandalise n’est pas étonnant, car
maintenant tout ce qui est normal ou conforme au Droit naturel est
devenue ‘anormal’ ; et tout ce qui était anormal, ou
contre-nature, est devenu ‘normal’ ! Tout se tient !
5.B.4.j - Sur
le même sujet, voici un extrait d’article parut dans Rivarol.
On
peut rappeler que nos compagnes durent
attendre le 29 avril 1945 pour voter la première fois… Que
les femmes mariées durent attendre
la loi du 2 février 1938 pour être relevées de l’incapacité
juridique qui les frappaient jusqu’alors… Qu’en 1848, l’une
des premières décisions de la Constituante de la IIème
République fut d’interdire aux
femmes de participer aux réunions politiques…
Rivarol
est un journal tenu par des femmes, un journal féministe de
‘droite’, certains disent d’extrême-droite pour faire peur,
nous, nous disons extrêmement libéral, anti-naturel, mais qui se
dit ‘bien pensant’, les Hommes qui y écrivent sont plus ou moins
châtrés. Toutefois, il faut reconnaître que dans l’état actuel
de la presse, ce journal remet tout de même certaines pendules à
l’heure, et donne des informations que vous ne trouverez pas
ailleurs.
Rivarol
serait condamné, dans une société vraiment chrétienne, pour
libéralisme, relisons : durent
attendre, et ce sans
le dénoncer.
En
effet, ces scribouillard(e)s, n’auraient pas écrit au sujet de
l’avortement, étant apparemment violemment (?) contre : elles
durent attendre 1975 pour pouvoir disposer de leur corps et avorter,
mais : cette
loi infanticide fut votée en 1975.
Donc,
le fait de dire : durent
attendre le 29 avril 1945 pour voter la première fois…
et : être
relevées de l’incapacité juridique qui les frappaient
jusqu’alors, etc., est un acquiescement,
par silence pour le moins, à ces dispositions, en effet, elles ne
les ont point condamnées ! Nous pensons même qu’elles les
approuvent et seraient choquées de ce que nous écrivons, elles sont
donc féministes ‘modérées’ !, des démons ‛modérés’ !
Quant
à ce passage : interdire
aux femmes de participer aux réunions
politiques, ceci est absolument nécessaire
et obligatoire.
Nécessaire
et obligatoire ?, voici :
Obligatoire :
notre société est de Droit divin une société d’Hommes, et en
excluant le fait que la femme parle souvent à contre-temps et à
contre-sens, et ce, sans comprendre un traître mot de son propre
babillage, elle est irresponsable dans le sens où elle n’est pas
responsable, responsable de quoique ce soit, si ce n’est de bien
faire ce que son Époux lui aura marqué. Et donc, si elle prend la
parole en publique, c’est forcément contre un Homme, voire même
contre son Homme ! Et c’est aussi ce qui dit Saint Paul :
si
elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent
leurs maris à la maison ; il est, en effet, inconvenant
pour une femme de prendre la parole dans une assemblée.
Et donc, à quoi servirait-il qu’elle puisse participer aux
réunions publiques ? Si !, nous nous en connaissons une :
brouiller les cartes !
Nécessaire :
comme prudent ! Voici une histoire qui nous fut racontée :
Quatre
paysans décidèrent, pour s’affranchir d’une coopérative
dévoreuse de fermes, d’acheter entre-eux une moissonneuse, et
s’entendaient pour l’utiliser à tour de rôle et l’entretenir.
Tout allait bien, et les épouses se plaignirent d’être tenues
à l’écart. Alors, ils laissèrent venir ces donzelles ; et
ce qui devait arriver immanquablement arriva, nos braves paysans
furent à la limite du ‘divorce’ entre-eux, en pleine
mésentente !
S’étant
réunis en ‘cachette’ ils décidèrent de virer ces
perturbatrices,
et du jour au lendemain tout revint dans l’ordre.
Mettez des bonnes femmes dans une organisation quelconque, et le
crêpage de chignon est lancé, et la zizanie est mise entre les
Hommes.
5.B.5 - L’Homme
commande, dirige, gère, défend, attaque…
5.B.5.a - L’Homme
commande, dirige.
C’est
évident, comme l’enseigne expressément saint Paul, à la suite de
la Genèse, L’homme
est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire
de l’homme. En effet, l’homme
n’a pas été tiré de la femme, mais bien la femme de l’homme ;
et l’homme
n’a pas été créé à cause de la femme, mais
la femme à cause de l’homme (I Cor., XI,
7-9).
La
parole même de Dieu nous apprend bien que les rapports de l’Homme
et de la femme consistent en une subordination hiérarchique.
Ce
que confirme tous les textes que nous avons déjà étudié et que
Saint Paul résume ainsi : la
femme doit être soumise à son Mari en toutes choses.
Ceci
est confirmé jusqu’à Pie XII qui dit : Ne
vous contentez pas d’accepter et presque de subir l’autorité de
votre époux à qui Dieu vous a soumises par les dispositions de la
nature et de la grâce. Dans votre sincère soumission, vous devez
aimer l’autorité de votre mari, l’aimer avec l’amour
respectueux que vous portez à l’autorité même de Notre-Seigneur,
de qui descend tout pouvoir de chef.
5.B.5.b - La
femme, elle, ne peut ni commander, ni diriger.
Comme
déjà développé plus haut, à cause de l’absence de Puissance
voulue par la Providence divine, les femmes ne peuvent ni commander
ni diriger, et c’est ce que confirme entre autres Saint Paul qui
dit : Je
ne permets point à la femme d’enseigner
ni de dominer sur l’homme (I Tim. II, 12).
Commander,
diriger, c’est bien dominer n’est-ce pas ?, donc cela leur
est interdit sur l’Homme. Et comme la femme ne veut pas être
dirigée par sa semblable, elle ne peut non plus dominer la femme.
Voyez déjà une mère et ses filles qui ne s’entendent que pour
faire bloc contre l’Époux. Voyez aussi dans les ateliers, où
elles ne s’entendent que pour contester une autorité, une ordre,
sinon quelle cacophonie !, que des piaillements, des jérémiades…
Oui,
la femme :
1. ne
peut gérer, n’ayant pas de bourse, comme vu précédemment ;
en effet, un peu de bon sens !, pour pouvoir gérer une bourse,
il faut commencer par en avoir une !, puis ensuite la remplir
pour pouvoir en disposer légitimement.
2. ne
peut légalement avoir du bien à gérer car devant rester
chez elles, à moins que la nécessité ne les oblige à sortir, et
même alors elles devront avoir l’autorisation de leurs maris.
3. ne
peut gérer se souvenant qu’elles
sont obligées […] de leur [Époux] être soumises et de leur obéir
avec joie et empressement (Concile de
Trente).
4. ne
peut gérer les biens de son Époux et les ‘siens’,
parce
que c’est le mari qui est maître des biens communs, et non pas la
femme.
5.B.5.d - L’Homme
défend, attaque…
Seul
l’Homme est armé d’une Puissance, et cette Puissance Lui permet
d’attaquer pour se défendre… Nous pourrions même dire cela
autrement, l’Homme étant le Seul à pouvoir donner la vie, à Lui
seul revient donc le Pouvoir de l’enlever pour une juste cause.
Reconquête,
c’est
l’Homme qui donne la Vie !
Contrairement
à ce que tout le monde répète bêtement dans ce monde de
dégénérés, féminisé, ou tout est renversé par la révolte, ce
n’est pas du tout la femme qui donne la Vie !,
c’est Dieu qui est Vie !, et ici-bas, le dépositaire de cette
Vie, le dispensateur de cette Vie, le semeur de cette Vie c’est
l’Homme. C’est
l’Homme qui donne la vie !
comme Il donna la Vie à Ève. La
femme ne fait que porter cette Vie,
elle doit La faire fructifier, elle doit rendre son fardeau,
l’enfant, à qui il appartient, soit à : l’Époux. Ainsi
lorsqu’elle assassine son Fruit (avorte) en plus de son crime
incroyable, elle vole son Époux ! Son ventre ne lui appartient
pas du tout, appartenant entièrement, elle-même, à son Époux à
qui elle fut donnée par Dieu pour cela en premier !
Et
donc, étant Le
dispensateur de la Vie en Sa Maison il revient qu’au Chef de
protéger la Vie en cette Maison : épouse, enfants, etc. !
De plus, défendre la Vie, n’est-ce aussi re-donner la Vie ?
5.B.5.e - Protéger,
c’est mettre un bouclier, n’est-ce pas ?
Le
Chef porte un bouclier, et derrière Lui, et donc derrière Son
bouclier, se trouve Sa
Maison !
Ce
bouclier que le Chef seul peut porter, protège Sa Maison des
agressions physiques et morales (voir plus loin dans l’étude pour
ce point).
Un
bouclier a deux faces :
→ Une
face ‘intérieure’, concave, qui est pourvue de lanières pour
tenir le bouclier, derrière laquelle face, la personne est
protégée ; cette face est l’aspect ‘défense’ de
l’objet.
→ Une
face ‘extérieure’, convexe sur laquelle glisse l’agression.
Cette face visible par l’ennemi est l’aspect attaque de l’objet.
En effet c’est de derrière cette face visible par l’ennemi et
qui protège son porteur, que va surgir au moment opportun, le glaive
qui va tenter de terrasser l’ennemi de la Famille !
Donc,
de prendre un bouclier, évidemment, a un aspect ‘défense’ et un
aspect ‘attaque’.
La
protection de la Maison par le Chef implique donc un bouclier qui est
une ‘défense-attaque’ !
Par
exemple, lorsque l’on va devant un tribunal, que l’on subit un
procès, l’on dit bien « qu’on se défend en justice »,
ou si l’on fait un procès « que l’on attaque en justice ».
Dans
tous les cas, c’est bien l’obligation l’attribut du Chef de
porter le bouclier, et donc éventuellement de s’en servir pour
défendre-attaquer, pour protéger sa Maison !
5.C - Restaurer
l’Homme en tant que Chef de Famille, sa Puissance.
Nous
disions juste avant que les époux étaient complémentaires dans le
Mariage, mais que cette complémentarité n’était pas un partage
de l’Autorité, c’est ce que nous allons confirmer maintenant.
5.C.1 - La
femme n’est que pour son époux, et non pour les enfants.
Voici
le résumé d’une conférence donnée par un prêtre de la FSSPX.
Ce n’était malheureusement, pour ce conférencier, que des paroles
en l’air car effectivement la FSSPX détruit des Familles (enfants
contre parents, épouse contre Époux, etc.) en appliquant un
programme tout contraire à ce que vous allez lire.
Ce
conférencier, conformément au bon mot, faites
ce que je dis, mais pas ce que je fais, est
très très bien au courant de désastres dus à cette FSSPX, et
lâchement comme d’autres que nous connaissons,
il a préféré faire comme le prêtre de la parabole du bon
samaritain : Un
prêtre,
d’aventure, descendait par ce chemin ; il le vit, prit l’autre
côté de la route et passa.
5.C.1.a - Voyons
donc ce que ce prêtre disait, voici des notes prises par l’un de
nous :
Le
centre de la famille est le père ; la mère est son associée,
sa subordonnée ; les enfants sont la conséquence, et non le
centre. La femme est pour son époux et non pour les enfants comme
fin première [de la femme].
La
décadence touche les meilleures familles. Deux familles identiques :
l’une est paisible, l’autre est difficile. Un
seul responsable mesdames, je suis désolé, c’est la femme,
l’épouse, la mère.
N’obéissez
pas à l’abbé Rigaud, au prêtre, je n’ai aucune autorité sur
vous !
Les
études, l’école évincent maintenant le père, seul éducateur –
enseignant.
Que
les filles soient élevées pour être des épouses et des mères…,
les études les brisent et les poussent à la révolte. Elles leur
enlèvent l’intelligence ! L’enseignement par les choses
sensibles est supérieur à l’enseignement « classique »
(saint Thomas) !
Le
prêtre n’a pas de compétence pour donner des conseils dans le
choix d’un devoir d’état…
De
cette causerie, nous pouvons dire que :
→ le
pivot et la raison de la Famille sont reconnus :
Le
centre
de la famille est le père.
→ la
subordination de la femme est reconnue :
la
mère est son associée, sa subordonnée.
→ la
servitude de la femme envers son Époux est reconnue :
La
femme est pour son époux et non pour les enfants comme
fin première [de la femme].
→ la
responsabilité de la femme est reconnue
quant à la mésentente : Un
seul responsable mesdames, je suis désolé, c’est la femme,
l’épouse, la mère.
→ le
prêtre ne peut rien dire en la Famille est reconnu :
N’obéissez
pas à l’abbé Rigaud, au prêtre, je n’ai aucune autorité sur
vous !
→ seul
le Chef de Famille est l’enseignant de sa Maison est reconnu :
Les
études, l’école évincent maintenant le père, seul éducateur –
enseignant.
→ la
nécessité d’élever les filles que pour n’être que
des épouses-mères est reconnu : Que
les filles soient élevées pour être des épouses et des mères…,
→ l’enseignement
non approprié, ou égal aux garçons génère des révoltées est
reconnu :
…
les études les brisent et les poussent à la révolte. Elles leur
enlèvent l’intelligence ! L’enseignement par les choses
sensibles est supérieur à l’enseignement « classique »
(saint Thomas) !
→ la
direction spirituelle et temporelle du Chef tant sur Son épouse que
sur Ses enfants est reconnue :
Le
prêtre n’a pas de compétence pour donner des conseils dans le
choix d’un devoir d’état…
Nous
avons écrit ‘est reconnue’,
nous avons pas mis ‘autorisée’ car bien sûr le Mariage n’est
pas légiféré par l’Église, mais par la Loi naturelle. L’Église
doit être au service du Chef de Famille, comme l’État du reste,
elle ne peut donc que reconnaître ce
Droit, le confirmer, le magnifier,
le défendre, etc, et non
« l’autoriser » !
La
causerie précitée est un bon résumé de la Doctrine naturelle du
Mariage qui a déjà été et va être confirmée par de nombreux
saints auteurs, de même que par bien d’autres. Malheureusement
dans les faits, c’est exactement le contraire qui est fait par ces
prêtres corrompus, cloaques
d’impureté (ND de La Salette) !
5.C.1.b - L’Homme
seul porte et délie la bourse, la remplie et la vide…
La
bourse (photo ci-contre)
est aussi, un sac dans lequel l’on met une puissance qui est la
monnaie.
-- Bourse :
Petit sac de cuir, de peau ou d’étoffe que l’on ferme à l’aide
d’un petit cordon resserré, utilisé pour porter sur soi des
pièces de monnaie. Ouvrir, fermer, remplir sa bourse.
Qui
travaille pour remplir la bourse ? l’Homme !
Qui
porte la bourse ? celui qui la remplit !
Qui
peut vider la bourse ? celui qui la porte !
Cette
bourse se portait (et se porte encore un peu en Écosse) devant et
entre les jambes, suspendue à la ceinture, par l’Homme, la femme
n’ayant pas le droit de la porter.
<À
développer, compléter, corriger>.
Il
existe des textes, si nous pouvions avoir de l’aide…
|
5.C.2 - Il
y a trois types de sociétés sur terre.
La
société Famille, la société civile ou État, et la société
religieuse ou Église (ou selon la religion plus ou moins éloignée
de la Vérité).
Nous
avons vu amplement que de ces sociétés, la société Famille est la
principale, et de par son ancienneté, et de par le fait que les
autres dépendent d’Elle pour leurs membres.
Nous
avons vu que le Chef de Famille est le pivot Celle-ci, et qu’Il est
la seule ‘interface’ pour parler comme en informatique, avec
l’extérieur de cette Famille.
Les
sociétés État et Église ne furent constituées que
pour aider le Chef de Famille, et donc à travers Lui la Famille :
l’une, l’État, pour l’aider matériellement ; l’autre,
l’Église, pour l’aider spirituellement.
Nous
venons de rappeler, et nous allons le voir plus amplement ensuite,
que ces sociétés État (légitime) et Église (La vraie)
avaient été constituées, l’une par les Chefs et l’autre par
Dieu (NSJC), pour aider la Famille, et non point pour prendre le
contrôle de la Famille. Ces deux sociétés sont donc ‘inféodées’
(au service de…) à la famille qui est leur finalité ici-bas.
5.C.3 - Petit
démontage de la démocratie, l’anti-monarchie.
Nous
savons pertinemment que le démocratie
est une vaste fumisterie. Elle est de fait la révolte par excellence
contre la Loi naturelle, et donc contre Dieu, elle est la négation
de l’Autorité, de la Royauté :
→ Royauté
de Notre-Seigneur Jésus-Christ sur toute la société, ou Règne
social de Notre-Seigneur Jésus-Christ.
→ Royauté
du Chef de Famille, Règne de l’Époux-Père sur sa Maison.
→ Royauté
du Pape, Règne du Représentant de Notre-Seigneur Jésus-Christ sur
l’Église.
→ Royauté
d’un Prince nommé par qui de Droit, Règne de Celui-ci sur un
pays.
Il
est encore de bon ton de dire que la
démocratie est le moins pire des systèmes.
→ Cette
assertion prouve déjà que l’on peut faire gober n’importe quoi
aux Hommes qui ont décidés d’être tranquillement tondus, nous
devrions dire émasculés par les coupeurs de bourse !
→ Cette
assertion est aussi essentiellement mensongère, elle ne propose
qu’une gamme de systèmes mauvais, ils disent bien : ‘le
moins pire des systèmes’ ! Selon ‘eux’, il n’y a donc
que le mal, le pire !
→ Cette
assertion apprend aux Hommes à choisir que dans le mal et à ne plus
voir le bien. Et dans ce mal, pour qu’Ils ne s’effraient pas de
ce que l’on veut leur faire faire, on leur avance un mal prétendu
‘moins mal’ (par ex. le Jean-Marie Le Pen, ou assimilés).
→ Cette
assertion prouve donc, étant dans le renversement des valeurs, ou
plutôt la négation du bien, que l’on impose le mal aux Hommes et
dans ce mal, l’on Leur impose le pire des systèmes qui est la
démocratie universelle. Ou, comme la pauvresse Ségolène Royal
l’appelle : la ‘démocratie participative’ !
La
démocratie est la termite, le Ver
Rongeur* qui vient saper les fondations de
toutes les sociétés, et principalement la société Famille, où
l’on prône maintenant, « la ‘participativité’ des
enfants », « la co-responsabilité parentale »,
« le dialogue » qui est purement démoniaque, « le
consensus », « la liberté de conscience », etc.,
etc., etc…
Revenons
à notre propos.
5.C.4 - Ayant
trois types de sociétés, il y a donc trois monarques.
→ De
la société Famille, le monarque est : l’Époux
– Père, le Chef.
→ De
la société État, le monarque est : celui qui est délégué
plus ou moins directement par les Chefs de famille.
→ De
la société Église, le monarque est : celui qui est désigné
par acclamation, voire même par l’unique voix d’un enfant
(mâle).
De
ces trois monarques, un seul n’est pas investi de sa charge, car sa
monarchie Lui vient de sa nature :
→ Le
monarque de la Famille est : essentiellement
monarque (voir plus loin).
→ Le
monarque de l’État est nommé par acclamation plus ou moins
directe.
→ Le
monarque de l’Église est nommé par acclamation plus ou moins
directe.
5.C.5 - Ces
prêtres qui inventèrent le ‘devoir d’ingérence’.
Nous
sommes dans une époque où le subjectivisme est le système de
‘réflexion’ en toutes choses, ce, uniquement le temps
d’installer le mal évidemment, alors après, une loi d’airain
sera instaurée et n’admettra plus aucune interprétation
subjective.
De
fait nous sommes bien dans un système féminin, efféminé,
démoniaque, essentiellement subjectif ; oui, tout se tient :
‘dame nature’, ‘les femmes donnent la vie’, ‘les femmes
sont non violentes’, ‘elles sont victimes de la violence de
l’Homme’, ‘il faut être tolérant’, etc.
Comment
faire comprendre que notre société est une société d’Hommes
voulue par Dieu qui est Père et non ‘mémère’ ; et, que
pour détruire cette société, partout Lucifer avance le féminin,
l’efféminé, le subjectivisme, la tolérance,
etc.
Grâce
au système de pensée luciférienne, féminin et donc
essentiellement ‘indécis’ sauf pour se révolter :
→ pour
l’un c’est oui, pour l’autre c’est non ;
→ un
temps c’était à faire, maintenant c’est mal ;
→ à
une époque c’était la loi, maintenant c’est à exclure ;
→ du
temps de Saint Paul la femme devait être
sou-mise en toutes choses à son Époux, mais
maintenant non car elle a été ‘éclairée’ par les Lumières du
Père des
cloaques d’impureté, Lucifer ;
→ elle
doit obéir
en toutes choses, sauf sauf sauf… qu’elle
est libre d’opposer sa ‘conscience’ à son Époux (comme vu
précédemment) ;
→ etc.
C’est
les Hommes d’Église qui inventèrent le devoir d’ingérence dans
le Mariage, principalement, par ‘la question bien vicieuse qu’ils
ne pouvaient poser’,
et par la ‘direction’ spirituelle de l’épouse et des enfants.
Ces
‘directions spirituelles’, sont des profanations de l’Autorité
du Chef, des viols de Ses sujets : épouse et enfants ! Ces
mauvais prêtres, l’immense majorité, disent être les seuls à
pouvoir guider la conscience de l’épouse, ce afin de pourvoir lui
susurrer, lui persifler, selon leur humeur, en utilisant
malicieusement
le secret de la confession où ils distillent fielleusement de ‘bons’
conseilles :
→ Votre
époux n’a pas à vous commander ceci, vous n’êtes pas sa
servante,
→ Vous
devez demander la séparation pour sauver votre Âme,
→ Ne
surestimez pas vos forces, Dieu ne vous demande pas un tel héroïsme,
→ Vous
devez sauver ‘vos’ enfants afin qu’ils ne reproduisent pas les
erreurs de leur Père, etc. !
Ainsi,
il ne faut pas s’étonner que ce ‘devoir d’ingérence’ soit
si à la mode dans les États, État Église et État civil, et ceci
met toutes les sociétés dans tous leurs états !
Car
enfin, depuis Adam, et même avant la faute originelle, la femme doit
être soumise à son Époux et à personne d’autre, et les prêtres,
maintenant, font comme Lucifer, n’arrivant pas à manipuler
l’Homme,
ils ont inventé le ‘devoir d’ingérence’, ils manipulent la
femme (qui veut toujours regarder ailleurs que sur son Époux) comme
le fit le Serpent, le Malin dans le paradis terrestre !
5.C.6 - Léon
XIII : l’Homme est le Prince.
L’homme
est le prince de la famille et le chef de la femme. Celle-ci
cependant est la chair de sa chair et l’os de ses os. Comme telle,
elle doit être soumise à son mari et lui obéir, non à la manière
d’une esclave, mais d’une compagne. Ainsi l’obéissance qu’elle
lui rend ne sera pas sans dignité ni sans honneur. Dans celui qui
commande, ainsi que dans celle qui obéit, puisque
tous deux sont l’image, l’un du Christ, l’autre de l’Église,
il faut que la charité divine soit la règle perpétuelle du devoir,
car le mari est le chef de la femme comme le Christ est le chef de
l’Église. Mais de même que l’Église est soumise au Christ,
ainsi les femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes
choses (Eph. V, 23-24).
5.C.6.a - Léon
XIII dit bien que :
L’Homme
est le prince de la famille, Roy, qu’Il est
Chef de Sa femme et de toute Sa Maison, et a droit à ce titre à une
soumission
en toutes choses de Son épouse.
Soumission
en toutes choses, veut donc dire aussi pour
sa direction spirituelle, et tout le reste en découlant, sinon ce
n’est pas une soumission
en toutes choses. L’épouse ne pouvant être
soumise à deux têtes, le prêtre ne peut aucunement et de quelque
façon que ce soit interférer dans la pauvre petite tête de nos
bien-aimées, sinon il y a bien adultère ou viol, cela selon qu’elle
consent ou pas.
5.C.7 - Le
Chef n’est pas revêtu de l’Autorité, elle lui est inhérente.
Dieu
ne transmet pas au père l’autorité par un décret nouveau,
positif et spécial : il lui transmet, il lui communique la
paternité, et l’autorité en est la conséquence essentielle.
[Le
patriarche] Il régnait parmi eux Souverainement : il y exerçait
toutes les fonctions de la puissance
publique et aussi de l’autorité
sacerdotale. […]
Oui,
un père est encore aujourd’hui roi dans sa famille : son
royaume est inviolable : c’est sa maison et son foyer
domestique : nul, fût-il roi de la société temporelle, ne
peut s’y asseoir malgré lui.
[…]
Mais par-dessus tout, son royaume, c’est sa femme et ses enfants :
c’est leur âme, c’est leur vie, c’est leur honneur.
Lui
enlever ses enfants ou sa femme ; violer indignement le droit
qu’il a d’élever son fils et sa fille, est un attentat contre
nature. […]
Je
dis : par un droit inaliénable, et j’insiste sur ce mot :
car il le faut bien entendre : l’autorité paternelle n’est
pas amissible, ni même abdicable, comme l’autorité sociale, comme
les autres autorités humaines.
Sans
aucun doute, elle n’est pas ; la plus étendue, mais elle est
la plus intime, la plus profonde, la plus imprescriptible de toutes
les autorités. […]
On
dit des dépositaires de l’autorité parmi les hommes, qu’ils
sont revêtus de l’autorité.
Il
n’y a que l’autorité paternelle dont on n’est pas revêtu,
dont rien aussi ne saurait dépouiller, et que celui-là même en
qui elle réside ne peut abdiquer. C’est la seule qui soit le plus
complètement possible à l’image de l’autorité divine.
Non :
le père n’est pas simplement revêtu de l’autorité paternelle :
il la possède. Dieu pouvait ne pas lui communiquer la paternité
elle-même : mais la paternité une fois reçue, l’autorité
paternelle y est essentiellement attachée et inaliénable.
Aussi,
la première idée de puissance qui ait été parmi les hommes, est
manifestement l’idée de la puissance paternelle.
Nous
venons de lire Mgr d’Orléans qui dit bien que :
→ Le
Chef de l’État et le Chef de l’Église sont revêtus
d’une autorité inhérente à la charge dont-Ils ont été
investis ;
→ le
Chef de Famille, Lui, possède de par et dès sa
conception cette Autorité.
Nourrisson,
petit garçon, jeune Homme, il ne peut encore exercer l’Autorité
qu’Il possède (et non dont Il est revêtu), n’ayant pas encore
d’Empire, de Royaume où exercer cette Autorité, n’ayant pas
encore fondé une Famille.
De
plus, n’en étant pas revêtu, le Chef ne peut en être dépossédé
au même titre que l’âme par ex…
Et
donc aussi, nul ne peut Lui retirer l’Autorité qui lui fut cédée
par Dieu à sa conception. Dieu même ne peut lui enlever cette
Autorité, Elle Lui a été donnée, Elle est fondue en cet Homme.
→ Le
Pape est un Souverain spirituel, Il n’a
qu’un sceptre.
→ Le
Roy est un Souverain temporel, Il n’a
qu’un sceptre.
→ Le
Chef de Famille, l’Époux-Père est un Souverain
temporel et
spirituel, Il a les deux sceptres en
main :
1. l’un,
la Puissance
publique en Sa Famille,
2. l’autre,
l’Autorité
sacerdotale en Sa Famille.
Le
Chef est Roy et
Prêtre. C’est ce que nous dira plus nettement, plus loin, Mgr
Jean-Joseph Gaume : il
est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire.
Nul
ne peut rien sans Sa permission en Sa Maison, ni y rentrer, ni s’y
asseoir, ni rien y faire.
Le
Chef ne peut même pas se dépouiller Lui-même de cette, de Son
Autorité ; et personne ne peut le faire, pas même Dieu !
Le
Chef est l’Image la plus parfaite et le plus complète de
l’Autorité divine : C’est
la seule qui soit le plus complètement possible à l’image de
l’autorité divine. Ce qui veut dire que
s’il devait y avoir un jour, par impossible car nous avons vu les
trois monarchies possibles (Famille, État, Église), un nouveau type
d’Autorité, celui-ci serait forcément une image de l’Autorité
divine moins complète, moins parfaite que celle du Chef de Famille.
En effet, le Chef est le
plus complètement possible à l’image
de l’autorité divine, soit :
totalement.
5.C.8 - Mgr
Delassus : Le Chef est au-dessus de toutes autorités.
M.
Benoît Malon, dans son livre : Le socialisme intégral, dit :
« L’important est d’abolir radicalement l’autorité du
père et sa puissance quasi-Royale dans la famille. L’égalité ne
sera, en effet, parfaite qu’à cette condition. Les enfants ne
sont-ils pas autant que les parents ? Pourquoi les commander ?
De quel droit ? Plus d’obéissance, sans quoi plus
d’égalité ! »
Aujourd’hui,
« Tous déplorent la rupture des liens familiaux et ses suites
qui sont :
-la
disparition du respect,
-et
de l’obéissance chez les jeunes gens,
-leur
émancipation,
-et
comme conséquence, une corruption extrême des mœurs privées et
des mœurs publiques ;
-enfin,
la déchéance de la race et la société française mise en péril. »
« Il
est donc souverainement urgent de restaurer l’autorité paternelle.
Aucune n’a plus de titres plus
légitimes, aucune n’est plus nécessaire. »
« Le
pouvoir du père est celui qui, dans l’ordre naturel, offre au plus
haut degré les caractères d’une institution divine. Il se
classe au-dessus de celui du
souverain dont le rôle se borne à diriger une société sur
laquelle il ne peut revendiquer des droits qu’il tiendrait de la
nature : tandis que l’autorité attribuée au père est une
conséquence légitime de cette dignité naturelle, qui est de
continuer l’œuvre de la création en reproduisant des êtres qui
ont le sentiment de l’ordre moral, et qui peuvent être élevés à
la connaissance et à l’amour de Dieu. »
5.C.8.a - ‘Ils’
disent que l’ennemi, c’est le Patriarcat !
Toujours
le même discours féminin de haine de ce qui est de Droit divin
(Droit naturel).
Les
ennemis de l’humanité haïssent l’Autorité, toute Autorité et
d’où qu’Elle vienne, ce qui :
→ fit
que l’on écrivit sur le RMS Titanic ‘Ni Dieu, ni maître’,
→ fait
crier aux ‘alter-mondialistes’ que tant que l’on aura pas
éradiqué le Patriarcat, qu’ils appellent fielleusement le
‘paternalisme’
et qui est selon eux la cause de tous les maux de la terre, de
l’‘oppression’ des femmes et du malheur des enfants, etc. !
Reprenons
notre citation précédente :
Mgr
Delassus dit qu’il faut restaurer
l’autorité paternelle. Et qu’aucune
n’a plus de titres plus légitimes, aucune n’est plus nécessaire.
Donc l’Autorité du Chef a plus
de titres, est plus
légitime et est
plus nécessaire que celle de toute autre
Autorité : celle du Roy et celle du Pape, etc.
Le
Chef est ‘tout-puissant’, rien, aucun pouvoir ne peut égaler,
contrecarrer Son Autorité de Droit divin.
5.C.9 - L’autorité
du Père est la plus complète : sacerdoce et empire.
Instructions
nécessaires au père, à qui elles redisent,…, qu’une grande
dignité lui est conférée, mais qu’une grande responsabilité
pèse sur lui ; qu’il est revêtu de la double autorité du
sacerdoce et de l’empire, non pour être un despote, mais le
ministre de Dieu pour le bien ; qu’il doit, image vivante de
Dieu, commander, reprendre, gouverner sa maison avec sagesse et
équité, comme Dieu lui-même gouverne le monde.
Mgr
Jean-Joseph Gaume vers 1869 dit : Instructions
nécessaires au père !
En
effet, il était vraiment bien nécessaire de le dire et de le redire
déjà à cette époque, alors, pensez-donc maintenant où un tel
matraquage médiatique démoniaquement culpabilisant est déversé,
ayant très souvent même, parmi nos plus proches, un relais plus que
‘zélé’ et conscient, et violent : les ‘amis’, les
prêtres cloaques
d’impureté, la famille et même l’épouse.
Mgr
Jean-Joseph Gaume le dit bien, le Chef, image
vivante de
Dieu est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire.
5.C.10 - L’autorité
du Père plus large que celle du Législateur.
Mgr
Jean-Joseph Gaume, ailleurs : Vous
n’êtes pas sans avoir remarqué, monsieur et cher ami, que, dans
tous les commandements de Dieu, la
place du père est toujours beaucoup plus large que celle du
législateur :
on dirait que Dieu
n’est législateur que parce qu’il est père…
Où
il est bon de revenir sur une évidence :
Oui,
le Père, le Chef est le,
donc le seul et unique, Législateur en Sa Maison et est en effet au
dessus du législateur civil (et ecclésiastique de même !,
nous attendons toujours le premier contradicteur) qui ne peut
strictement rien contre Lui. Il est Législateur parce que Père !,
comme Dieu !
Ceci
doit être rappelé encore plus maintenant où les drames familiaux
explosent exponentiellement et où des ‘juges’ vicieux veulent
faire la loi ‘grâce’, presque toujours, à l’errance d’épouses
révoltées et soutenues systématiquement par un gourou.
En
effet, la femme est incapable d’opérer de par elle-même, comme il
est visible dans cette étude, il lui faut donc toujours un ‘mentor’.
Lorsqu’elle se révolte contre son Époux,
représentant de Dieu en sa Maison. Infailliblement elle
tombe, comme ‘inconsciemment’, dans les griffes d’un gourou qui
sert de paravent, de relais au Malin.
Souvent
même, dans le monde ‘catholique’, le gourou est ensoutané,
c’est de lui dont Saint Mathieu parle dans son Évangile au
chapitre 7, verset 15 :
Gardez-vous
des faux prophètes qui viennent à vous sous des vêtements de
brebis, mais au dedans sont des loups rapaces.
5.C.11 - Mgr
Gaume : l’autorité du père est la plus noble.
Te
figures-tu Noé, Abraham, Jacob, assis sous un chêne séculaire, ou
dans leur tente, environnés de leurs
nombreuses familles et racontant avec la double
autorité de l’âge et de la paternité, les grands faits de
la création, de la chute de l’homme, de la rédemption promise ;
les miracles éclatants opérés en faveur du peuple choisi ;
les magnifiques promesses faites à sa fidélité ? c’était
le catéchuménat de l’ancienne loi.
Mgr
Jean-Joseph Gaume parle de la double
Autorité de Noé, Abraham et Jacob sur leurs
nombreuses Familles.
Cette
double Autorité, de l’âge et de la Paternité, est dans tous les
Hommes, Chefs, depuis Adam, et jusqu’à la fin des Temps.
Il
dit aussi, non sur leur
Famille nombreuse, mais sur leurs
nombreuses Familles, au pluriel ! Il ne
s’agit donc pas d’une seule Famille, voire grande, nombreuse ;
mais de plusieurs Familles ! Ceci veut dire que le Chef de
Famille, l’Ancien
comme l’on disait un temps, garde une certaine Autorité, bien
certaine toutefois, sur tous Ses Garçons ayant déjà été
émancipés de par leur Mariage. C’est ce qu’on appelle le
Patriarcat. Cette autorité sacrée sur la Première de toutes les
Patries : le Patriarcat, leurs
très nombreuses Familles est depuis Adam, et
ce, jusqu’à la fin des mêmes Temps.
♣
Bonjour, voilà je voudrai demander plus de précision quant au sujet de la virginité de la femme que vous développez au point : 5.B.2.E - CETTE VIRGINITÉ QUI FAIT HURLER CES SUCCUBES ET LEURS MAÎTRES LES INCUBES.
RépondreSupprimerVous parlez de cette virginité comme condition "sine qua non" du Mariage, mais en dégageant certaines exceptions. Ce qui me dérange parmi celles-ci, c'est que selon la volonté du futur Mari, il pourrait passer outre cette condition du moment qu'il est au courant. Et là il y a un problème, puisque dans ce cas, la virginité perdrait tout son sens. Il est clair que nous ne pouvons empêcher un Homme de prendre une femme qui n'est pas vierge, celle-ci étant sans attache. Cependant cela ne veut pas dire qu'il y a forcément Mariage. Je sais bien que c'est une question difficile, et que de s'étendre dessus pourrait en troubler certains ; mais comme dans la suite vous ne considérez plus vraiment ces exceptions...
Il y a aussi le fait que la virginité n'est pas que physique, mais bien surtout spirituelle. Lorsqu'une femme se donne à un Homme, elle perd effectivement sa virginité physique, mais surtout sa virginité spirituelle, elle est marquée comme vous le dites plus bas, et je ne crois pas que ce soit une affaire de la médecine d'ailleurs. En revanche, il y a deux cas extrêmes qui s'ensuivent. C'est je pense, qu'une femme peut perdre sa virginité spirituelle sans passer par une perte physique, la limite est floue, mais c'est au Père de bien élever sa fille, si une femme a l'esprit souillé d'impureté (comme c'est beaucoup le cas aujourd'hui), on ne peut pas dire qu'elle reste vierge. L'autre cas, ce serait une perte de l'hymen comme par exemple une malformation ou un accident légitime, et là comme vous me l'aviez dit une fois, le Père devrait le faire noter, en avoir une preuve disculpant contre toute accusation.
Voilà, une précision me paraît nécessaire, au moins pour exposer votre opinion, et exprimer de sérieuses et légitimes questions sur le sujet, puisque malheureusement l'Eglise n'a jamais vraiment tranchée là-dessus.
En la Saint Paul de la Croix, le lundi 28 avril 2014.
SupprimerCher Sieur Luryio,
Merci beaucoup pour votre commentaire..., si seulement nos autres lecteurs pouvaient lire comme vous, tout, et aussi, s’il pouvaient oser poser des questions comme vous le faites toujours si plaisamment !
Nous allons vous répondre sous peu (temps de réflexion et de rédaction), en une page spéciale ou en une annexe sur cette page.
De cette réponse vous serez avisé comme de coutume par un commentaire sur cette page et par un message à votre adresse.
Dans cette attente, veuillez considérer, cher Sieur Luryio, notre amitié bien réelle en Notre-Seigneur Jésus-Christ et Notre Dame.
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres...
Pour la Vérité,
QJSIOJC