Du :
25.08.2009, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : ven. 30 oct. 2015,
10.49.
Achevé
en la Saint Louis (IX), roy de France,
le mardi 25 août
2009,
publié en la Saint Barthélemy,
le lundi 24 août
2009,
cette nouvelle Leur est confiée.
Quel
lien entre… ?, aucun !, si ce n’est qu’ils sont tous
trois, sujet à critiques pour nos détracteurs !
Table
de cette nouvelle, CN-2009-…
26
- Quel lien entre les
mots : pseudonyme, appartenir, obsession ?
26.A
- Critiquer
l’utilisation d’un pseudonyme, pourquoi ?
26.A.1.a
- Voyons des
pseudonymes particulièrement malicieux
26.A.1.b
- Revenons au
pseudonyme, ordinairement honnête…
26.A.1.c
- L’anonymat,
en ce qui regarde notre étude.
26.A.1.d
- Venons-en au
nom de plume qui pose problème : QJSIOJC
26.A.1.f
- Lorsque le Bon
Dieu le permettra, cela se saura !
26.A.1.g
- Ajouté en la
Saint Raphaël, le 24 octobre 2015
26.B
- Se scandaliser du
terme ‛appartenir’, pourquoi ?
26.B.1.a
- L’épouse
n’appartient qu’à son Époux, soumise entièrement et pour
tout !
26.B.1.b
- L’enfant,
n’appartient qu’à son Père, à qui il doit être soumis
révérencieusement !
26.B.1.c
- Tous les
autres biens, n’appartiennent qu’au Chef !
26.B.1.d
- Toute la
Puissance et ses prérogatives n’appartiennent qu’au Chef !
26.B.1.e
- Ainsi donc,
visiblement, tout tourne autour du verbe : appartenir
26.B.1.f
- Tournons
autour des dérivés du verbe appartenir
26.B.1.g
- Soit nos
détracteurs nous signalent nos erreurs, ou soit ils circulent
26.C
- Se scandaliser de
notredite obsession, pourquoi ?
26.C.1.a
- Nos
détracteurs se scandalisent par malicerie.
26.C.1.b
- Ceux qui
devaient nous aider comme des Frères nous traitent de fous !
26.C.1.c
- Car enfin,
interpréter il le faut !, tout est là même !
26.C.1.d
- Complices,
vous n’entrerez point dans le Royaume des cieux !
26.C.1.e
- Se prétendant
anti-libéraux, ils chérissent jalousement leur petit libéralisme !
26.C.1.f
- QJSIOJC et ses
collaborateurs du site Restauration de la Famille par l’Autorité,
des fous !
26.C.1.g
- Nous attendons
toujours un Frère nous montrant enfin ne serait-ce qu’une seule
erreur !
26.C.1.h
- Ils se
scandalisent alors que c’est eux qui produisent le scandale !
26.C.1.i
- Oser ?,
rien que ce terme prouve la malice !
26.C.1.j
- Vous voulez
oser ?, oser transgresser ?
26.C.1.k
- Vous, les
réactionnaires par opportunisme, à géométrie plus que variable !
26.A - Critiquer
l’utilisation d’un pseudonyme,
pourquoi ?
-- Pseudonyme :
Subst. masc. Nom d’emprunt (le plus souvent d’une personne
appartenant au monde littéraire artistique ou commercial). Synon.
faux nom.
26.A.1.a - Voyons
des pseudonymes particulièrement malicieux
Ainsi,
un pseudonyme est un nom
d’emprunt, un faux
nom, comme par exemple pour ce bien triste
personnage particulièrement corrompu :
L’abbé
Grégoire Celier (FSSPX) :
Lisez
bien cet extrait et même si possible tout l’article !
C’est
ainsi que, sous ses nombreux pseudonymes, il diffuse sa pensée
sournoisement moderniste.
Un
exemple : dans un article paru dans le n°163 de Fideliter, l’abbé
Celier sous son pseudonyme d’abbé « Michel
Beaumont » (qui est, lui-même, un des pseudonymes
d’Arsène Lupin dans l’œuvre de Maurice Leblanc !), renie tout
le combat des papes et de Mgr Lefebvre pour le Règne de Notre
Seigneur Jésus-Christ. La revue Lecture et Tradition, publiée par
les éditions de Chiré, dans son numéro 349 de mars 2006, lui
adressa une juste réplique en dénonçant son « étrange théologie
» ! Déjà au premier semestre 2005, l’article de l’abbé
Beaumont-Celier avait été
réfuté par Mr Arnaud de Lassus. […]
[…]
En novembre 2003 en effet, l’abbé Celier allait reprendre ce
travail, sous le pseudonyme de Paul
Sernine (anagramme d’Arsène Lupin !), en publiant « La
Paille et le sycomore ». Ce
pamphlet, publié par les éditions Servir de l’abbé de Tanoüarn
(cousin germain de Mr l’abbé de Cacqueray et propriétaire de
l’hebdomadaire Minute !) […]
Pour
ceux qui connaissent un peu la secte
FSSPX,
et satellites consœurs,
cette secte
n’est là que pour faire accroire à unedite résistance auxdites
dérives de ladite Église Catholique de Rome, faire accroire à
unedite suppléance auxdits manquements de cettedite Église !
Ces
prêtres-cloaques
d’impureté, Celier, de Cacqueray, de
Tanoüarn, Pivert, etc., ne faisant certainement pas partie de
l’Église
éclipsée, sont des acteurs ô combien
prenants de la destruction d’Unions Conjugales, de Mariages !,
en cette mouvance appelée la malicieusement Tradition !
Pour :
certainement pas partie de l’Église
éclipsée :
ND
à La Salette : Rome
perdra la foi et deviendra le siège de l’antéchrist… L’Eglise
sera éclipsée, le monde sera dans la consternation.
Ce
terme Tradition ne veut du reste
rien dire, en effet, le Malicieux en Chef Lui-même, Lucifer, a aussi
sesdites traditions !, et donc aussi sesdits traditionalistes :
les lucifériens !
Si
vous saviez combien cette racaille, cette coterie,
cette meute de loups
ravisseurs, se tenant si fraternellement par
la main !, ces prêtres absolument corrompus,
ces cloaques
d’impureté comme les appelait la
Très-Sainte Vierge Marie (TSVM) à La Salette, se chamaillant si
bien comme les démons le font constamment en Enfer, se réconcilient
instantanément dès le premier coup de téléphone apportant le
cri de détresse convenu : Au
secours mes Frères du Goupillon Malicieux !
Nous
vous engageons très fortement à lire tout :
Poursuivons
avec un extrait ne dénotant nullement d’avec le premier :
L’abbé
Célier, écrivant dans la revue Certitudes de
l’abbé de Tanoüarn, sous le
pseudonyme de Paul Sernine (anagramme d’Arsène Lupin,
référence à Rennes-le-Château qui n’est pas inconnue d’Emile
Poulat, ni des loges rose-croix de la FM, à en croire sa conférence
en 1995 à Politica Hermetica)
26.A.1.b - Revenons
au pseudonyme, ordinairement honnête…
L’usage
du pseudonyme est bien répandu et ordinairement accepté non comme
pour cacher une intention malhonnête, mais pour :
→ éviter
une confusion de genre, par exemple : un très grand et célèbre
chirurgien voulant publier un livre de ses recettes culinaires
(éviter le mélange de genre).
→ préserver
sa modestie, par exemple : une personne ne voulant pas faire
ombrage à une très belle prière à la Très-Sainte Vierge Marie,
dont il serait l’auteur (souci d’humilité).
→ préserver
sa sécurité et/ou son intimité, comme le fait honnêtement le El
Cristero du site Les
Intransigeants ;
ou, comme le ferait un grand patron ayant essuyé des revers de
fortune, et voulant avertir des postulants au patronna des erreurs à
ne pas faire, sans mettre en danger de risée sa Famille (protection
et/ou modestie, etc.…).
→ etc.
Le
pseudonyme n’est donc pas à priori un acte malveillant, une
malhonnêteté ! Donc pourquoi s’en offusquer hypocritement ?
26.A.1.c - L’anonymat,
en ce qui regarde notre étude.
Il
est bon, ayant des doutes sur l’opportunité d’écouter une
parole, un avis, etc., de connaître l’auteur
de ces paroles (texte, citation, affirmation, etc.). Surtout si l’on
connaît peu le sujet et qu’ainsi l’on ait peur de se fourvoyer !
Par
contre, il est inutile que vous connaissiez le rapporteur
d’une parole, car le rapporteur
n’est en effet nullement l’auteur !
Dans
notre étude nous ne sommes jamais que des rapporteurs
et non des auteurs !
Sauf de quelques raisonnements, mais qui ne sont toutefois que des
développements autour de l’énoncé d’un texte d’auteur.
Il
est en effet vicieux d’accepter ou pas, selon le crédit supposé,
bon comme mauvais du reste, du rapporteur :
une parole d’un auteur
donné ! Souvent même, malicieusement l’on s’obstine à
confondre le rapporteur
et l’auteur.
Si vous êtes par exemple un voleur connu mais repenti, peut-être
qui si vous rapportez le Commencement de Dieu, tu
ne voleras point…, vous risquez de
provoquer la risée, et qu’à cause de cela vous préfériez garder
l’anonymat.
Par
contre, que vous vouliez connaître de l’auteur
de cette parole : ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point !, peut être tout-à-fait
nécessaire ! En effet, par exemple, étant peu versé en cette
matière si grave, le Sacrement
de Mariage, sacrement qui ne regarde pas que
le Catholique, mais tout un chacun comme nous vous le rappelons dans
toute notre étude !, et ayant peur de vous fourvoyer, vous
préférez vous en remettre à un auteur bien sûr…, ici
Notre-Seigneur Jésus-Christ (NSJC) !
Pour :
vous le rappelons dans toute notre étude :
Recherchez
bien dans toute notre étude : Sacrement
de Mariage. Le Sacrement
de Mariage n’a pas été institué par
NSJC, mais par Dieu le Père dans l’Éden.
Le
Sacrement
de Mariage n’est pas un Sacrement que de
l’Église catholique, qui du reste ne l’incorpora
que très très tardivement
au catalogue de ses Sacrements !
Revoyez
bien bien notre étude !, ce n’est point des supputations mais
des faits attestés par des textes de Papes et de Saints !
En
voici certains, voici ce qu’ils disent du Sacrement
de Mariage :
→ Genèse :
Et
Dieu les
bénit,
et Il leur dit : Croissez
et multipliez-vous, remplissez la terre.
Les bénit !, les bénit alors qu’Ève, par son oui,
dans ce cas uniquement implicite, a déjà validé le Sacrement de
Mariage, proposé par Adam en la prenant pour femme !
→ Pie
XI à la suite de Pie VI, confirme bien que le Sacrement de Mariage
est contracté pour tous ceux qui s’unissent honnêtement :
… ce caractère de lien perpétuel qui, depuis l’origine, est de
droit divin, tellement inhérent au mariage qu’aucune
puissance politique n’a de prise sur lui.
Aussi bien, quel que soit le mariage que l’on dit contracté, ou
bien ce mariage est contracté en effet de façon à être
effectivement un mariage véritable, et alors il
comportera ce lien perpétuel inhérent, de droit divin,
à tout
vrai mariage ;
ou bien on le suppose contracté sans ce lien perpétuel, et alors ce
n’est pas un mariage, mais une union illicite incompatible comme
telle avec la loi divine : union dans laquelle, en conséquence,
on ne peut ni s’engager ni demeurer.
→ Saint
Curé d’Ars : C’est
pour tous,
infidèles
et chrétiens,
un contrat indissoluble que la mort seule peut briser.
Avec
Notre Seigneur Jésus-Christ,
point de doute !,
Sa
Parole est La plus sûre !
Généralement,
comment connaître si l’auteur
d’une parole (ou texte) est bien sûr ?, voici !, et
c’est justement l’Auteur de la Parole précédente qui nous en
donne la recette infaillible : Gardez-vous
des faux prophètes,
qui viennent à vous sous des vêtements de brebis, et qui au dedans
sont des loups ravisseurs. Vous
les connaîtrez par leurs fruits.
Cueille-t-on des raisins sur des épines, ou des figues sur des
ronces ? Ainsi, tout bon arbre produit de bons fruits ;
mais le mauvais arbre produit de mauvais fruits. Un
bon arbre ne peut produire de mauvais fruits, ni un mauvais arbre
produire de bons fruits.
Pour :
[développement sur cette citation] :
Afin
que vous soyez absolument sûrs de ce que nous rapportons
dans toute notre étude, nous vous donnons systématiquement toutes
nos sources, les auteurs,
et cela de la façon la plus complète !
26.A.1.d - Venons-en
au nom de plume qui pose problème : QJSIOJC
Le
pseudonyme, appelé du reste couramment nom de plume, qu’utilise en
notre site celui qui a la responsabilité peu enviable et fort
astreignante de coucher
le fruit commun de nos cogitations, recherches, confrontations,
discussions, etc. n’est pas un pseudonyme, un ‛faux nom’, comme
Paul
Sernine que l’abbé Celier utilise comme
vêtements
de brebis, mais plutôt un :
-- Acronyme :
subst. Masc., Groupe d’initiales abréviatives plus ou moins
lexicalisé. On les prononce comme s’il s’agissait d’un nouveau
mot, «prononciation intégrée» (l’/Urs/) ou en considérant
chaque lettre séparément, «prononciation disjointe»
(/U.R.S.S./)`` (Dupr. 1980).
Ce
que veut dire l’acronyme QJSIOJC ne peut vous être dévoilé sans
nuire à l’anonymat recherché ; anonymat bien nécessaire
pour préserver nos vies de Famille, nos intimités !
26.A.1.e - Libre
à vous de supputer !
Sachez
toutefois, que :
1. l’acronyme
QJSIOJC est positivement honnête, il est là pour obtenir ce que
précisément il veut dire ;
2. le
pseudonyme QJSIOJC est là pour préserver nos vies de Famille !
Du
reste il est particulièrement hypocrite de se scandaliser de ce
pseudonyme, sachant que pratiquement tout le monde utilise un pseudo
sur n’importe quel forum ou autres lieux similaires !
26.A.1.f - Lorsque
le Bon Dieu le permettra, cela se saura !
Il
vaut mieux, pour cette coterie
de prêtres corrompus,
pour ce marigot
de loups
ravisseurs
que nous dénonçons tout au long de nos documents, que pour
l’instant l’on ne connaisse pas celui (mais aussi nos
collaborateurs !) qui se cache derrière le pseudonyme-acronyme
QJSIOJC !; car, si un jour, avant le Jugement Dernier !, le
Bon Dieu devait le permettre dans sa Toute-Puissante et Aimable
Volonté, dans son Infinie Miséricorde : ce serait la panique
dans cette Confraternité du Goupillon
Malicieux, FSSPX
et consœurs
et autres marigots.
Pas
un de cette multitude de pervers
n’en sortirait indemne !
26.A.1.g - Ajouté
en la Saint Raphaël, le 24 octobre 2015
26.B - Se
scandaliser du terme ‛appartenir’,
pourquoi ?
Nous
disons dans toute notre étude, preuves de Droit
à l’appui, que rien ne peut contre l’Autorité de l’Époux et
Père, parce que :
26.B.1.a - L’épouse
n’appartient
qu’à son Époux, soumise entièrement et pour tout !
Tout
au long de notre étude nous disons sans ambages que l’épouse ne
s’appartient
nullement, mais qu’elle appartient
pleinement et irrévocablement qu’à son Époux !, et ce dans
toute l’étendue de la Puissance que cela suppose. Nous disons
même, appuyé énergiquement par Pie XI, sa digne et totale
servitude !
Pie
XI : Nombre
d’entre eux poussent l’audace jusqu’à parler
d’une indigne servitude d’un des deux époux à l’autre ;
ils proclament que tous les droits sont égaux entre époux ;
estimant ces droits
violés par la « servitude » qu’on vient de dire, ils
prêchent orgueilleusement une émancipation de la femme,
déjà accomplie ou qui doit l’être. (Casti
Connubii - 1930)
26.B.1.b - L’enfant,
n’appartient
qu’à son Père, à qui il doit être soumis révérencieusement !
Tout
au long de notre étude nous disons la même chose pour l’enfant,
sauf que cette appartenance
est plus limitée dans ses prérogatives et dans le temps que celle
de l’épouse ; nous insistons surtout en disant que les
enfants n’appartiennent
nullement à l’épouse-mère, mais bien qu’à l’Époux-Père !
26.B.1.c - Tous
les autres biens, n’appartiennent
qu’au Chef !
Tout
au long de notre étude nous disons rien d’autre que ceci :
tous les autres biens, les matériels et autres, n’appartiennent
qu’au Chef de Famille qui ne peut être que l’Époux-Père !
26.B.1.d - Toute
la Puissance et ses prérogatives n’appartiennent
qu’au Chef !
Tout
au long de notre étude nous disons rien d’autre que ceci :
toute la Puissance, et tout ce que cela implique, n’appartient
qu’à l’Époux-Père ; car cette Puissance
Lui est inhérente
et Il en est Le seul détenteur. Ainsi, Il est Le seul législateur,
bras
séculier, et directeur
spirituel de Sa Maison !
26.B.1.e - Ainsi
donc, visiblement, tout tourne autour du verbe : appartenir
C’est
donc bien autour du terme appartenir,
qui donne tant de boutons particulièrement proéminents et suppureux
à tous nos détracteurs, que tout tourne !
Ce
verbe appartenir
est bien le pivot d’entente de tous nos contempteurs.
Pourtant,
il suffit de rechercher ce terme appartenir
et tous ses dérivés dans notre étude pour voir qu’il est
copieusement développé et prouvé, et surtout radicalement
innocenté ;
ce, dans la largeur, et la longueur, et la hauteur, et la profondeur.
Mais
nos contempteurs continuent à jouer hypocritement à la vierge
effarouchée, alors qu’ils picorent eux-mêmes allégrement et à
tout va : soit n’importe où !
Ceci
veut simplement dire que ces primaires volontaires ont lu un mot, tel
appartiennent,
dans un contexte donné, par exemple : les
enfants n’appartiennent qu’au Père, et,
tels des pavloviens
bien conditionnés, dressés, ont immédiatement criés : au
scandale !
Pourquoi
crient-ils hypocritement au scandale ?, soit :
→ parce
que, primaires volontaires qu’ils sont, ils n’ont pas voulu lire
le (ou même les) contexte des emplois de ce terme appartenir
en notre étude ; et les preuves que cette dernière apporte
quant-à cette appartenance
de l’épouse et des enfants qu’à l’Époux-Père ; ou
→ parce
que ils ne veulent pas voir et/ou entendre !, ce, comme le dit
ce proverbe : Il
n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Il n’est pire
sourd que celui qui ne veut pas entendre.
Proverbe qui du reste ne fait que reprendre ce que disait Notre
Seigneur Jésus-Christ (NSJC) : regardant
ils ne voient point, et qu’en écoutant, ils n’entendent et ne
comprennent pas (Mat
13, 13).
26.B.1.f - Tournons
autour des dérivés du verbe appartenir
Les
adjectifs possessifs, mon,
ma,
mes,
marquent la possession, indiquent : qui est à moi, qui
m’appartient, etc. ; par exemple :
→ ceci
est Mon corps […] car
ceci est Mon sang = le corps et le sang qui
m’appartiennent.
→ Je
veux sauver mon Âme = l’Âme qui m’appartient.
→ Je
m’appelle Untel
= Untel est mon nom, il m’appartient.
→ L’enfant
dit c’est mon école = l’école qui m’appartient.
→ Il
dit aussi voici mes parents = les parents qui m’appartiennent.
→ l’Époux
dit voici mon épouse = épouse qui m’appartient.
→ L’épouse
dit cet Homme est mon Mari = le Mari qui m’appartient.
Dans
ces exemple, mon
(mes…) marque bien toujours une appartenance, mais cette
appartenance varie d’importance ou de signification selon le cas :
→ Ainsi,
l’enfant qui dit c’est
mon Âme, déclare bien une appartenance
absolue ; mais s’il dit c’est
ma maison, il déclare une appartenance
relative. Il signifie de fait j’habite
dans cette Maison, la Maison de mon Père !
S’il dit c’est
mon école, là aussi l’appartenance n’est
pas absolue, mais relative ; il dit de fait c’est
l’école où mon Père m’a inscrit !
→ Par
contre s’il dit c’est
mes parents, cette appartenance est bien
absolue, mais ce sans qu’il en soit la cause ; il en est
plutôt l’effet !, ainsi lorsqu’il dit c’est
mes parents, il déclare de fait son
appartenance
à ses parents !
→ Lorsque
le petit chien court au devant de son maître, que dit-il en tournant
autour de cet Homme, la queue toute agitée de bonheur ?, il dit
c’est
mon maître !, mais de fait il dit bien
c’est
le maître à qui j’appartiens !
→ Lorsqu’un
Époux vous déclare fièrement c’est
ma femme !, il marque bien une
appartenance
des plus absolues !
→ Mais,
comme pour l’enfant, une femme qui dit toute émue c’est
mon Mari !, dit aussi une appartenance
des plus absolues, mais toutefois de conséquence, elle dit de fait :
c’est
le Mari à qui j’appartiens !
Pour :
c’est
le Mari à qui j’appartiens :
26.B.1.g - Soit
nos détracteurs nous signalent nos erreurs, ou soit ils circulent
Soit
nos détracteurs lisent effectivement toute notre étude, et
recherchent le verbe appartenir
avec tous ses drivés (par exemple : appartient,
appartiennent,
appartiens,
etc.) et viennent avec des arguments, non de boniches, mais d’Hommes,
avec preuves ou sources à l’appui pour nous montrer notre (nos)
erreur(s) ; ou soit :
ils circulent !
Avant
donc de réagir impulsivement, ou plutôt, bien pavloviennement,
ces détracteurs devront au moins lire les textes suivants, en leur
entièreté :
- DP-3A,
L’Homme
est établi Propriétaire, Maître de toute la création !;
- plus
particulièrement, DP-3A2, Définition
des termes nommer et appartenir.
- DP-3B,
L’Homme,
engendre la femme, Il est son Maître.
- DP-3C,
L’Homme,
épouse la femme, Il est son Maître.
- DP-3D,
L’Homme,
engendre Son enfant, Il est son Maître.
- DP-4I,
Autour
de la célébration du Mariage.
- DP-4J,
Exclusivité
du lien du Mariage, surtout pour l’épouse.
- DP-5B2,
L’Homme
seul porte la bourse, donc seul Il la remplie et la vide…
- DP-5C,
Restaurer
l’Homme en tant que Chef de Famille, sa Puissance.
- DP-6,
Restaurer
l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…
→ Etc.,
etc., etc.
26.C - Se
scandaliser de notredite obsession,
pourquoi ?
26.C.1.a - Nos
détracteurs se scandalisent par malicerie.
Nos
détracteurs, ennemis
de tous les Hommes, ou leurs imbéciles
utiles selon le cas, se scandalisent, par
jouissance et par haine ; ou uniquement par envie de se
scandaliser !, comme certains s’arrachent les vêtements en
vociférant devant undit scandale qu’ils s’empressent toutefois
de monétiser ad vitam æternam, ne voulant jamais connaître le
pardon desdites offenses !
Ils
se scandalisent parce que dans notre étude nous énonçons des
règles, et dénonçons des escroqueries en pointant leurs auteurs :
en matière de Mariage-Famille ! Et ce, non sur base de
supputations ou de divagations, mais sur base de textes anciens sains
et saints, et de faits !
Ils
se scandalisent que parce qu’ils sont totalement incapables
d’avancer la plus petite réfutation ou le plus petit raisonnement
contredisant notre étude. Ils enragent de notre source
d’inspiration : la Vérité et Sa Source, NSJC qui disait :
Je
vous donnerai une bouche et une sagesse auxquelles tous vos
adversaires ne pourront résister et contredire.
26.C.1.b - Ceux
qui devaient nous aider comme des Frères nous traitent de fous !
Et,
ceux qui devraient être nos amis, nos aidants ?, ils nous
taxent de fous !, au lieu de nous aider en ce combat vraiment
essentiel, qui est :
→ la
Vraie défense de toutes Nos Sociétés, principalement Église et
État ; en passant donc au préalable par
→ la
Vraie défense de la Famille leur unique
base et raison
d’être ; en passant donc au préalable
par
→ la
Vraie défense de l’unique pivot et raison d’être de Celle-ci,
le Chef de cette Famille : l’Époux-Père !
Pour :
[développement de tout ceci] :
De
ces Frères, de qui nous devrions avoir secours, aides et réconforts,
nous n’essuyons, dans le meilleur des cas que des silences
entendus, lourds de réprobations ; et, le plus ordinairement
nous recevons l’insulte : au
fou !…
C’est
ce gendre d’attitude qui fit dire au Pape Grégoire VII : S’il
en est quelques-uns qui, pour l’amour de la loi chrétienne, osent
résister en face aux impies, non seulement ils ne trouvent pas
d’appui chez leurs frères, mais on les taxe d’imprudence et
d’indiscrétion, on les traite de fous.
Nous
entendons des réflexions, dans les plus charitables, de fait les
plus vachardes car venant de nosdits frères, telles :
- exaltés… ;
- porté
à l’exagération… ; - bonnes
citations, mais plus de notre temps… ;
- ce
n’est pas la bonne interprétation de ce que cela
voulait
dire…, etc.
26.C.1.c - Car
enfin, interpréter
il le faut !, tout est là même !
NSJC
ne connaissait pas le poids des mots !?, en tous les cas pas de
ceux de notre année 2009, année éclairée parmi les éclairées !?
Année carrément Illuminée par le Malicieux, oui !
Comment ?,
NSJC ne savait pas ce qu’Il disait en disant : ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point ! Comment ?, il faut
interpréter ce que NSJC disait ? Sépulcres
blanchis, cloaques
d’impureté et Cie : Malheur
à vous, scribes
et pharisiens hypocrites,
parce que vous
êtes semblables à des sépulcres blanchis,
qui, au dehors, paraissent beaux aux hommes, mais qui, au dedans,
sont pleins
d’ossements de morts et de toute sorte de pourriture.
- 10.B,
Non
non, je ne divorce pas, je me sépare !
- 10.C,
L’Église
catholique et ladite séparation matrimoniale…
Non !,
NSJC s’adressait aussi aux hypocrites
anti-libéraux-garantis-libéraux !
Et
lorsque l’on leur dit que ces quatre Mousquetaires-Évêques
(ne parlons même pas de ladite Église de Rome !) poussent au
nom d’unedite obéissance, quel
culot !, des épouses à la séparation-divorce,
ces anti-libéraux-garantis-libéraux, vous disent de ce pervers
de Mgr Richard
Williamson : s’il l’a fait, c’est
qu’il devait avoir de bonnes raisons !
Pour :
quatre Mousquetaires-Évêques
poussent :
Vite !,
un Chef des Chefs de Famille !,
maintenant !,
réagissez donc !
Comment ?,
ce Mgr Richard
Williamson avait raison d’interpréter, ou
plutôt d’enfreindre frontalement ce que NSJC a dit : ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point !, comment ? Ce pervers de
Williamson
avait sesdites raisons ?, ou plutôt sa déraison à opposer à
la Raison de NSJC ?
Oui,
M.F., si tant de maux nous accablent dans ce monde, cela vient de ce
que nous violons les commandements de Dieu. (Curé d’Ars).
Oui !,
la corruption est tout-à-fait générale, en effet, pas un n’ose
briser le silence, et crier au sacrilège !, et tous en cœur,
cesdits réactionnaires, ces anti-libéraux-garantis-libéraux
continuent à faire semblant de s’offusquer de la dégénérescence
de toutes nos sociétés, et hypocritement à se pencher
lamentablement sur la Famille qu’ils ont amenée eux-mêmes en
phase terminale !
Oui !,
ils continuent à enfoncer les clous dans l’adorable Corps de notre
doux Sauveur, rassurés qu’il sont de ne point utiliser un marteau
comme les Romains, mais en bons chrétiens qu’il se prétendent :
un goupillon dégoulinant
de malice !
Oui !,
tous les prêtres de la Trahition
sont bel et bien des Frères
du Goupillon Malicieux !, et tous ceux
qui se taisent au lieu de crier haut et fort, et partout et
constamment leurs dénonciations, sont complices objectifs de ces
violations de l’Autorité infrangible
et inaliénable,
inamissible
et inabdicable
de ces pauvres Chefs de Famille : ils sont complices de ces
profanations du Sacrement de Mariage, de ces destructions de
Familles !
26.C.1.d - Complices,
vous
n’entrerez point dans le Royaume des cieux !
Et
ainsi, organisant ou validant, ou préconisant par susurration ou
pas : des séparations-divorces,
ce en infraction frontale et objective à ce que NSJC a le plus
formellement et inéquivoquement interdit : ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point !; voici ce qu’ils encourent
d’après ce Même Jésus : Celui
donc qui
aura violé un de ces moindres commandements,
et appris
aux hommes à faire de même,
sera tenu pour le moindre dans le Royaume des cieux ; mais celui
qui les aura pratiqués et enseignés,
sera
tenu pour grand
dans le Royaume des cieux. Car je vous dis que si votre
justice ne surpasse celle des Scribes et des Pharisiens,
vous
n’entrerez point dans le Royaume des cieux.
(Mat 5, 19.-20)
Pour :
Dieu
a uni, que l’homme ne le sépare
point :
- 10.B,
Non
non, je ne divorce pas, je me sépare !
- 10.C,
L’Église
catholique et ladite séparation matrimoniale…
26.C.1.e - Se
prétendant anti-libéraux, ils chérissent jalousement leur petit
libéralisme !
Pourquoi
cela ?, parce que nous sommes tous, plus ou moins contaminés
par le libéralisme insufflé par le Malicieux, et colporté
principalement par eux ; ainsi, l’on veut, comme :
Les
Intransigeants, luttant contre ceux qu’ils
persistent à appeler sionistes, alors que dans le même temps l’on
dorlote son petit libéralisme chéri qui consiste à faire
travailler avec sois la Schtroumpfette Alice
(qui ne semble plus pontifier maintenant… !?), ou à accepter
des intervenantes
(commentaires).
Pour :
ceux qu’ils persistent à appeler sionistes :
Quel
fourvoiement opiniâtre et mortifère de vouloir absolument faire un
distinguo hypocrite entre sionisme et juiverie, étant tous deux les
ennemis
de tous les hommes comme nous le rappelle
fermement Saint Paul qui ne s’embarrassait point de subtilités
malicieuses : …
des
Juifs, qui ont tué même le Seigneur Jésus,
et les prophètes, et qui nous ont persécutés à notre tour ;
qui
ne plaisent point à Dieu,
et qui sont
les ennemis de tous les hommes ;
nous empêchant de parler aux gentils pour qu’ils soient sauvés,
afin de combler en tout temps la mesure de leurs péchés ; car
la colère de Dieu est arrivée sur eux définitivement.
(Tes
II,
14-16.)
Nous
y reviendrons plus tard si le Bon Dieu le Veut !, en attendant
nous vous engageons très chaudement à bien lire tout le livre 2000
ans de complots contre l’Église que vous
trouverez à notre page .
Le
Salon Beige (et Cie : Présent,
Rivarol,
etc.), qui prétend vouloir favoriser
le bien commun au niveau local tout en se
fourvoyant scandaleusement au niveau de la Famille, laisse
pérorer-enseigner des femmes, telle la Jeanne
Smits, ce en violation de ce que dit le Droit
naturel que Saint Paul rappelait ainsi :
Que
les femmes se taisent dans les assemblées (I
Cor. XIV, 34), Je
ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme
(I Tim. II, 12), parce
que la femme doit être soumise à l’homme, comme on le lit dans la
Genèse (Gen. 111, 16).
Pour :
favoriser
le bien commun au niveau local :
C’est
particulièrement hypocrite et malfaisant de prétendre que d’écrire
ou enseigner serait différent !, si l’on écrit, c’est bien
pour renseigner ou influencer, donc enseigner !, et c’est donc
bien violer la Loi
naturelle !
Saint
Thomas d’Aquin précise, quant à l’enseignement, la
(co-)écriture d’un article par une femme, que : les
femmes qui ont reçu le don de sagesse et de science peuvent faire
usage pour l’enseignement privé,
mais
non pour l’enseignement public
(ad.3) !
Pour :
[tout ce paragraphe] :
Il
serait particulièrement inintelligent de nos contempteurs de se
pointer avec des écrits de Sainte Catherine de Sienne par exemple !
Sainte Catherine n’a pas pontifié sur des Hommes, mais écrit
privément comme nous venons de lire avec Saint Thomas. Ce qui
n’empêche pas des Hommes, comme nous ici, de la lire avec grand
profit.
Et
comme l’on a à faire à desdits anti-libéraux, à géométrie
plus que follement variable, qui chérissent tellement leur petit
libéralisme personnel (c’est bien connu, le bon libéralisme c’est
le sien ; et le mauvais c’est celui des autres !)
apportons cette réfutation à ce qu’ils vont nous avancer
malicieusement : vos journaux et vos sites, vos articles, etc.,
s’adressent à des Hommes et à des femmes (quant bien même
s’adresseraient-ils qu’à des femmes !) !, n’est-ce
pas ?, alors ces femmes enseignent donc bien aussi des Hommes !
Ainsi
donc, ces pauvresses, comme la Jeanne
Smits et Cie, qui enseignent des Hommes,
agissent : contre-naturellement ! (comme tous les autres
pervers en d’autres matières : sodomites, etc .), car
elles (et tous leurs complices Hommes : Père, Frère, Époux,
collaborateurs, Patrons, subordonnés, etc.) enfreignent le Droit
naturel rappelé ainsi par Saint Paul :
je
ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme
(I
Tim. II, 12.), point à la ligne !
Voici
ce que disait NSJC : Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal (Math.
5, 37.). Donc ainsi, la Jeanne
Smits, enseigne-t-elle
des Hommes, oui ?, ou non ?
Insistons :
enseignant des Hommes, donc transgressant allégrement, voici ce que
ce même Jésus dit à la Jeanne
Smits, et à ses complices Hommes : Ce
ne sont pas tous ceux qui Me disent : Seigneur, Seigneur, qui
entreront dans le royaume des Cieux ; mais
celui qui fait la volonté de Mon Père qui est dans les Cieux,
celui-là entrera dans le royaume des Cieux. Beaucoup Me diront en ce
jour-là : Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé
en Votre nom, et chassé les démons en Votre nom, et fait de
nombreux miracles en Votre nom, écrit des
articles pour Favoriser
le Bien Commun au niveau local (Le Salon
Beige ) ?
Et
alors Je leur dirai hautement : Je ne vous ai jamais connus ;
retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité ;
notamment l’iniquité qui consiste à faire dominer (enseignement,
etc.) des Hommes par des femmes.
Oui
vraiment, ce qui disait NSJC est fort juste : Et
ils prenaient de Lui un sujet de scandale. Mais Jésus leur dit :
Un prophète n’est sans honneur que dans son pays et dans sa
maison.
Ou,
comme le dit à Sa suite le proverbe : Nul
n’est prophète en son pays.
Signification :
Il est plus difficile d’être apprécié ou reconnu chez soi qu’à
l’étranger. Les talents de quelqu’un ne sont jamais assez
reconnus par les siens.
Origine :
Il nous faut remonter loin pour trouver l’origine de cette
expression, puisqu’on en trouve la trace dans les évangiles de Luc
et Matthieu.
26.C.1.g - Nous
attendons toujours un Frère nous montrant enfin ne serait-ce qu’une
seule erreur !
Ils
nous critiquent sans jamais nous avoir ponté une seule des erreurs
que nous aurions faites, ils se scandalisent comme des catins
complètement décrépies se scandalisent du chaste baiser qu’une
tendre vierge poserait sur la joue de son Bien-Aimé !
Leur
envie de prendre à défaut, de piéger comme le faisaient
continuellement et obsessionnellement
les pharisiens et les docteurs de la loi, est sans bornes, et
toujours inassouvi !
Pour :
les pharisiens et les docteurs de la loi :
Malheur
à vous, docteurs de la loi, parce que vous avez pris la clef de la
science ; vous-mêmes, vous n’êtes pas entrés, et vous avez
arrêté ceux qui voulaient entrer. Comme Il leur disait ces choses,
les pharisiens et les docteurs de la loi commencèrent à Le presser
vivement et à Le harceler par une multitude de questions, Lui
tendant des pièges, et cherchant à surprendre quelque parole de Sa
bouche, afin de L’accuser. (Luc, 11, 52-54)
26.C.1.h - Ils
se scandalisent alors que c’est eux qui produisent le scandale !
Ils
nous traitent d’obsédés alors que c’est contre leurs
maliceries, leurs obsessions, leurs attaques du Droit
naturel que nous luttons !
Que
dit le Malicieux en Chef depuis la nuit des temps, depuis le Jardin
d’Éden ?: coll comme ils disent maintenant, sois pas stressé,
ose transgresser !, mange de ce fruit, et
vous serez comme des dieux !
Pour :
et
vous serez comme des dieux :
Le
serpent repartit à la femme: Certainement vous ne mourrez point.
Mais c’est que Dieu sait qu’aussitôt que vous aurez mangé de ce
fruit, vos yeux seront ouverts, et vous serez comme des dieux,
connaissant le bien et le mal. (Gen 3,4-5)
Faites
attention, ce n’est que cela dans les publicités, dans les
discours politiques, etc. : oser ! Tels : - oser
la différence ; - oser
la transgression ; - oser
porter plainte contre son Époux ;
- oser
etc. !
26.C.1.i - Oser ?,
rien que ce terme prouve la malice !
Toutes
les campagnes malicieuses n’ont que cela comme moteur :
oser !,
oser
transgresser, regardez (nous avons supprimé
les adresses, les listes viennent d’une recherche Google) :
Oser
transgresser, porter plainte contre son Époux établi de Droit
divin :
→ Violences
conjugales, osez en parler !
→ Il
faut oser en parler…
[Violences conjugales]
→ Pour
quoi ne pas oser parler?
[des violences conjugales]
→ Valérie
Létard : Les femmes osent
se déclarer victimes…
Etc.,
etc., etc ., ce n’est que cela : oser
transgresser !
Oser
transgresser le Droit divin par le travail féminin :
→ Belgique
- Les femmes osent les
’métiers d’hommes’
→ Les
femmes osent le bâtiment -
Le Moniteur.fr
→ Les
femmes osent et proposent :
investissement économique, participation citoyenne, solidarité
intergénérationnelle et Nord Sud, créativité culturelle, …
→ En
janvier 1789, bravant l’interdit qui leur est fait d’exprimer
leurs doléances, les femmes osent
faire entendre leur voix. De Normandie, Madame B*B* écrit …
→ Dans
l’ignorance d’une loi rarement appliquée au niveau national, peu
de femmes osent dénoncer
les cas de harcèlement dont elles peuvent…
Etc.,
etc., etc ., ce n’est que cela : oser
transgresser !
Oser
la turpitude, l’impureté, la transgression, etc. :
→ Le
Matin > Fantasmes: les femmes osent
en parler
→ Combien
de femmes osent dire
qu’elles ne portent pas de…
→ pourquoi
les femmes osent ou n’osent
pas réaliser leurs fantasmes.
→ Avec
le changement des mentalités et des mœurs de la société actuelle,
les femmes osent se libérer
de plus en plus sur le plan sexuel sans avoir peur d’être …
→ Retrouvez
l’entretien croisé titré « oser
la transgression »
→ La
crainte et la peur d’oser
dire sont encore tenaces. La loi du silence prévaut le plus souvent.
Oser transgresser l’ordre
institutionnel est plus …
→ en
matière d’échangisme. …. Oser
aller dans un club,
→ Livre
- Osez… L’Echangisme - Hélène Barbé
Etc.,
etc., etc ., ce n’est que cela : oser
transgresser !
Oser
le métissage, ladite différence :
→ pour
oser penser ainsi. …
"C’est dans le métissage, qu’on fait les plus beaux
assemblages" …
→ J’ai
toujours pensé que le métissage faisait partie de notre culture. …
Lorsqu’on a un but il faut oser
prendre des risques avant de tendre la main et …
→ Dire
que le métissage culturel n’est pas encore une réalité est un
constat. …. Les pauvres pleutres du"fer de lance"
n’ont même pas oser …
Etc.,
etc., etc ., ce n’est que cela : oser
transgresser !
Oser
faire sauter lesdits tabous, transgresser :
→ Stratégie
2010 des employeurs - Oser
voir plus loin et sans tabous.
→ Oser
briser le tabou des problèmes au boulot… - Paperblog
→ D’autres
rappers vont oser briser le
tabou des tabous au Sénégal
→ Les
relations entre professeur et élève : oser
évoquer le tabou …
→ Le
suicide sans ses tabous. Oser
le questionnement, oser le dialogue
→ Les
temps ont changé nous dit on et aujourd’hui nous pouvons oser
en débattre même si ce sujet est encore tabou.
Etc.,
etc., etc ., ce n’est que cela : oser
transgresser !
26.C.1.j - Vous
voulez oser ?, oser transgresser ?
Tout
est là !, en commençant à transgresser sous l’arbre, Ève
nous a tous entraîné à transgresser !, et maintenant, en ce
moment, nous transgressons comme jamais !
→ Transgresser
l’interdit de séparer ce que Dieu a unit.
→ Transgresser
la barrière des races que Dieu voulue.
→ Transgresser
la belle et noble ordonnance des sexes, tant par la pseudo libération
des femmes que par des comportements contre-nature.
→ Transgresser
le repos dominical ordonné (imposé, pour ceux qui ne veulent pas
entendre) par Dieu.
Pour :
Transgresser le repos dominical :
Il
est flagrant que pour lutter contre leur, le leur de fait car
votant !, gouvernement, Le
Salon Beige et Cie, disent, ils
veulent toucher à la vie de Famille, ou au
repos dominical, ou appauvrir
les gents,
etc. ; mais pas un ne dit la seule et unique raison valable, les
autres ne faisant qu’en découler, le Commandement de Dieu :
Souvenez-vous
de sanctifier le jour du sabbat. (Ex 20,8),
et repris par la Véritable Église ainsi : Tu
sanctifias les fêtes d’obligation !
Point, à la ligne !
→ Transgresser,
etc., etc., etc.
26.C.1.k - Vous,
les réactionnaires par opportunisme, à géométrie plus que
variable !
Comme
les sectes
FSSPX
et consœurs,
vous Les
Intransigeants, Le
Salon Beige, Présent,
Rivarol,
etc., vous voulez transgresser !, être
anti-libéraux-garantis-libéraux ?, avoir illégitimement des
femmes comme collaboratrices ; des femmes sous vos ordres, ou
pire vous acceptez d’être avilis au point d’être sous les
ordres d’une femme !; vous faites, ou laissez faire, enseigner
des Hommes par des pauvresses ; vous faites pontifier des femmes
sur des Hommes ?…
Pour :
des femmes sous vos ordres :
Sauf,
évidemment : l’épouse de l’Artisan faisant Son
secrétariat ; l’épouse du Boulanger servant les clients de
son Époux ; l’Écrivain dont l’épouse fait la relecture
des épreuves ; etc. !
Alors,
transgressez !, mais ne venez pas pleurer hypocritement sur la
grande transgression de votre,
car vous êtes des complices ô combien prenants, monde
que vous avez poussé à la phase terminale !
♣
Nous venons d'ajouter à cet article le point 26.A.1.g :
RépondreSupprimerAjouté en la Saint Raphaël, le 24 octobre 2015
Ce jour, nous venons de fluidifier ce texte et de corriger des fautes...
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