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dimanche 26 avril 2009

DP-11, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (II).

Du : 26.04.2009, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : mer. 5 nov. 2014, 18.15.
Table de ce chapitre de notre Document principal, DP-…
11 - Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (II).
11.A - Préliminaires. 637
11.A.1.a - L’entièreté de notre étude est disponible : 637
11.A.1.b - Ce chapitre est confié… 637
11.A.1.c - Scission de ce chapitre. 637
11.A.1.d - Résumé de ce chapitre. 637
11.B - Introduction à ce chapitre. 638
11.C - Tant que l’on ne l’aura pas rebridée, rien, rien n’ira ! 640
11.C.1 - 1) Qu’elle, la femme, avait originellement la bride. 640
11.C.2 - Congénitalement parlant, la femme était, est et sera bridée. 641
11.C.3 - Un parallèle entre la nudité perçue et la bride ressentie. 643
11.C.3.a - De la nudité perçue : 644
11.C.3.b - À la bride ressentie : 645
11.C.4 - Soit elle embrasse sa bride, ou soit l’Époux doit la lui resserrer. 648
11.C.5 - 2) Que l’on le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant. 649
11.C.6 - Alors qu’eux ne veulent pas leurs femmes libres ! 656
11.C.6.a - La parité ?, un efféminé + une femme, soit aucun Homme ! 656
11.C.6.b - Que pour ‘eux’, ils lui veulent la bride bien ajustée, bien serrée. 657
11.C.6.c - Vous voulez absolument croire que nous affabulons, délirons ? 657
11.C.6.d - Où nous en venons à reparler du Droit salique. 658
11.C.7 - 3) Que de Droit l’on doit la lui remettre, sinon rien n’ira ! 660
11.C.8 - Rien à faire, nous sommes dans une société d’Hommes ! 661
11.C.9 - Reprenons : la Famille est l’unique Base de toutes les sociétés ! 666
11.C.10 - Reprenons : l’Époux est Base et raison d’être de la Famille ! 667
11.C.11 - Et bien que Pie XII nous soit pas si cher, voici un bon texte : 669
11.D - La séparation ‘permise’, la tarte ‘Saint Nicolas de Flue’… 671
11.D.1.a - Exposé de l’affaire ‘séparation à la Saint Nicolas de Flue’. 671
11.D.1.b - Un nouveau partisan de la recette à la Saint Nicolas de Flue. 672
11.D.1.c - Où nous devons parler de l’hautement suspect Pie XII. 673
11.D.1.d - Une canonisation par Pie XII hautement suspecte ! 674
11.D.1.e - L’Église permet-Elle une séparation pour cause de ‘vocation’ religieuse ? 675
11.D.1.f - Revenons à la séparation ‘acceptée’ par le conjoint. 676
11.D.1.g - 1) Ce Saint a fait des miracles, c’est la preuve que l’on peut se séparer ! 677
11.D.1.h - 2) Nous serions indignes parce que nous critiquons un Saint ! 678
11.D.1.i - Un des promoteurs de la recette à la Saint Nicolas de Flue en la secte FSSPX : 678
11.D.1.j - La recette Saint Nicolas de Flue défendu par Saint Matthieu ? 680
11.D.1.k - Résumons ce que nous venons de voir à travers Saint Matthieu : 684
11.A - Préliminaires.
11.A.1.a - L’entièreté de notre étude est disponible :
→ En un seul document au format PDF à la page DP (dont le nom est surligné en jaune). Ce format est plus agréable à lire, il donne la possibilité de bien se déplacer, il comporte des images et les liens, etc.
→ Chapitre par chapitre en cette même page de notre site.
11.A.1.b - Ce chapitre est confié…
En ce deuxième dimanche après Pâques, à Notre-Dame du Bon Conseil, fêtée ce dimanche 26 avril 2009 ; et à Saints Clet et Marcellin, Papes et Martyrs fêtés ce même jour…
11.A.1.c - Scission de ce chapitre.
Nous avions prévu scinder ce chapitre en deux parties, mais nous étendant par nécessité, ne pouvant laisser de brèche, il sera finalement partagé en trois (ou quatre ?) :
10. Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I).
11. Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (II).
??. Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (III).
11.A.1.d - Résumé de ce chapitre.
→ Nous sommes dans une société d’Hommes, de Mâles, et donc nécessité absolue de rebrider la femme, l’épouse.
→ Dénonciation de l’escroquerie de la séparation à la ‘Saint Nicolas de Flue’.
11.B - Introduction à ce chapitre.
Oui, et c’est ce que nous avons déjà bien vu dans la première partie de ce chapitre, comme tout au long de notre étude, tout tourne autour d’une révolte, d’une immense hypocrisie en ce qui regarde la destruction de la Famille : la libération de la femme ou son débridement ; et la séparation-divorce qui serait conforme à la Loi naturelle et donc permise par l’Église !
Ce que Dieu a uni,
que l’homme ne le sépare donc point.2
Maintenant, nous allons démontrer que nous sommes de Droit divin dans une société formée que d’Hommes, de Mâles, et que tant que l’on n’aura pas rebridé énergiquement la femme, rien, mais alors rien ne pourra aller !
Nous allons aussi démonter une fable d’Hommes qui se disent d’Église, la séparation à la mode Saint Nicolas de Flue, ou la recette putride de la tarte à la crème ‘Saint Nicolas de Flue’ !
Ne fermons pas nos lèvres, ne cachons pas la Justice au fond de notre cœur : J’ai annoncé ta justice dans la grande assemblée ; Seigneur, je n’ai pas fermé mes lèvres, tu le sais • Je n’ai pas caché ta justice au fond de mon cœur ; ta fidélité, ton salut, je les ai proclamés (Graduel de la Saint Pie X, fêté le 3 septembre.)
Avec ce qui suit nous pouvons vous dire que de nombreuses personnes vont crier comme des orfraies, comme les courtisanes jouant aux vierges effarouchées crient complaisamment au scandale ; mais…, disant la vérité, à moins que vous nous convainquiez du contraire, nous n’en avons que faire !
Nous allons avancer encore plus loin, être encore plus précis, incisifs, sans aucune langue de bois comme promis, soit radicalement à l’opposé de tout ce que nous entendons actuellement : égalité des sexes ; tolérances de tous genres ; Homme violent et femme sainte ; enfants appartenant aux deux parents soit : 50% à elle et les autres 50% pour elle ; Musulmans ‘arriérés’ dominant ‘bestialement’ leurs épouses ; etc.
11.C - Tant que l’on ne l’aura pas rebridée, rien, rien n’ira !
Nous finissions la première partie de ce chapitre en disant :
L’on ne peut avoir la prétention de rétablir les sociétés Église et État, et comble de l’hypocrisie la Famille, et dans le même temps saper la seule et infrangible Autorité de cette dernière en prétendant pouvoir la limiter et la contrôler, et ce avec la menace permanente pour le Chef de Famille : la séparation-divorce !
Voyez-vous, tant qu’à se faire traiter d’ayatollahs, autant que cela en vaille franchement le coup !, peut-être même nous fera-t-on un prix de gros ! Alors, allons-y courageusement, pas de lâcheté par demi-mesure ! La Vérité c’est un tout, et c’est tout !
Nous l’avions promis :
sans aucune langue de bois !
Notre titre dit que : Tant que l’on ne l’aura pas rebridée, rien n’ira ! Ainsi donc si l’on doit la rebrider, lui ‘remettre la bride’, à la femme, cela sous-entend :
1. qu’elle, la femme, avait originellement la bride ;
2. que l’on le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant ;
3. que de Droit l’on doit la lui remettre, sinon rien n’ira !
11.C.1 - 1) Qu’elle, la femme, avait originellement la bride.
Nous avons bien vu que la femme a été engendrée par l’Homme, et pour Lui uniquement : Car l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme ; et l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme3.
Et à cause de cela, et nous l’avons suffisamment développé depuis le début de notre étude, la femme en général, et l’épouse en particulier, devait : être dominée*4 ; servir* ; être sa servante* ; être dans la digne servitude* ; dirigée* en tout ; contenue[ir chacun] dans son devoir* ; se faire corriger*, ou être réprimandée* ou châtiée*, ou recevoir des coups* si nécessaire ; obéir en toutes choses* et même obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables*5 ; etc.
D’utiliser ce mot bien fort précis, incisif, et même ébouriffant pour ce monde amolli, le terme rebrider, cela répond à une nécessité ultime : provoquer un électrochoc salvateur !
11.C.2 - Congénitalement parlant, la femme était, est et sera bridée.
Elle a été donnée à Adam, par Dieu,
bridée !
C’est comme l’on veut : soit c’est l’Œuvre de notre Seigneur Dieu ; ou soit, pour les essentiellement négationnistes, c’est l’œuvre de ‘dame nature’ !, car enfin soyons au moins visuellement honnêtes, et constatons ensemble qu’au premier coup d’œil, et ‘il n’y a pas photo6’, par rapport à l’Homme il est évident :
→ que la femme est nettement plus petite : elle est bridée quant à la hauteur !
→ que la femme est nettement moins charpentée : elle est bridée quant à l’ossature !
→ que la femme est nettement moins forte : elle est bridée quant à la musculature !
→ que la femme regardée honnêtement, est moins bien proportionnée, moins belle : elle est bridée quant à l’esthétique !
→ qu’à la femme, et de cela l’on s’en aperçoit dès sa naissance car il lui manque quelque chose de très important, ce qui fait que, sauf donc pour les hommelettes, l’Homme est viril !, qu’Il a le pouvoir d’engendrer en Sa femme : elle est bridée quant à la Puissance !
→ que la femme, et de cela on s’en aperçoit assez rapidement, est nettement moins intelligente7 que l’Homme : elle est bridée intellectuellement !
Et si maintenant nous devions regarder les autres qualités essentielles que l’Homme possède : maîtrise de soi (contrôle de ses nerfs, de sa peur, de sa vessie, de son imagination (quelque peu ‘fougueuse’ chez la femme !), etc.), intelligence, capacité à se déterminer, à s’orienter, à pénétrer, etc. : rien à faire, n’importe qui peut le contacter, ‘il n’y a pas photo !’, la femme est ‘dramatiquement’ bien bien bridée par rapport à l’Homme !
Si il est encore des ‘Hommes’, les pauvres !, à avancer, l’air futé : Eh l’intuition féminine, son ‘6ème sens’ !, alors Voir : DP-6.F.1, L’intuition féminine, son 6ème sens, une gigantesque escroquerie !
Tout ce que nous venons de voir fait beaucoup de moins pour une femme qui serait l’égale de l’Homme. Mais tous ces ‘moins’, ces brides, ne sont qu’un constat fait à l’œil nu d’une Disposition divine : la femme est ordonnée à l’Homme, la femme pour l’homme*.
11.C.3 - Un parallèle entre la nudité perçue et la bride ressentie.
Passons de la nudité perçue, à la bride ressentie…
11.C.3.a - De la nudité perçue :
-Percevoir [de : nudité perçue] : Saisir, prendre connaissance par les sens.
Dans le Livre de la Genèse nous lisons :
2,25. Or Adam et sa femme étaient nus tous deux, et ils ne rougissaient point.
3,6-7. La femme considéra donc que le fruit de cet arbre était bon à manger, qu’il était beau à la vue, et agréable à contempler. Et en ayant pris, elle en mangea, et elle en donna à son mari, qui en mangea aussi. 3,7. En même temps leurs yeux furent ouverts à tous deux; ils reconnurent qu’ils étaient nus, et ils entrelacèrent des feuilles de figuier, et s’en firent des ceintures.
3,21. Le Seigneur Dieu fit aussi à Adam et à sa femme des habits de peaux, dont il les revêtit.8
-Reconnaître [de : ils reconnurent] : Qqn reconnaît qqn/qqc. Synon. vieilli ou littér. connaître.
Ils reconnurent, ceci veut bien dire qu’ils connurent, qu’ils perçurent, qu’ils virent : qu’ils étaient nus.
Mais ils reconnurent qu’ils étaient nus qu’après la faute originelle* ; qu’après que la femme soit tombée dans la transgression* ; et qu’après qu’Adam qui devait compatir à sa femme*, et qui donc devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure*, ne l’eut point fait !
Oui, cette nudité ne fut perçue qu’après la faute originelle ; avant, Adam et sa femme étaient nus tous deux, et ils ne rougissaient point.
Reprenons tout ceci :
→ Avant la faute originelle : Adam et la femme n’étaient point gênés par cette nudité : ils ne rougissaient point !
→ Après la faute originelle : leurs yeux furent ‘ouverts’, le Malicieux les ayant ‘illuminés’, ils reconnurent qu’ils étaient nus, ils perçurent cette nudité, et ne supportant plus cette nudité perçue : ils entrelacèrent des feuilles de figuier, et s’en firent des ceintures. Et quoi qu’en disent ces pervers de nudistes, et malgré toutes les violences*9 qu’ils fassent à leur conscience et à la morale, aucun de ceux-ci ne peut prétendre être sans gêne !
11.C.3.b - À la bride ressentie :
Nous savons très bien que la femme est faite pour l’Homme, ordonnée à l’Homme10, et donc qu’elle doit (il est Droit*11 que) Lui être soumises en toutes choses*, bridée en toutes choses :
→ Avant la faute originelle : Peut-on dire, en continuation du point où nous parlions de laisse-collier*12, que le chien docile marchant auprès de son maître ressent le collier* comme une contrainte ? sachant de plus, que vu la docilité de Son chien, le Maître n’a pas emporté la laisse* ? Non !, nous pouvons même dire que ce chien est fort fier de ce collier qui le distingue d’un chien sans maître, c’est son ‘alliance*’ !
Allons plus loin, approchons-nous, regardons et voyons ce collier flotter lâchement autour de son col !, en effet pourquoi le serrer plus ? Pourquoi serrer la bride à ce chien docile ? Ainsi donc, sauf d’être particulièrement de mauvaise foi, nous ne pouvons que constater que :
1) ce chien porte une bride (collier ou ‘alliance’) ;
2) ce chien est fort fier de sa bride ;
3) ce chien ne ressent même pas cette bride, il ne la perçoit pas !
L’épouse était originellement bridée, mais comme pour la nudité non-ressentie, non perçue, cette bride ne pouvait être ressentie, perçue, en effet comme pour le chien ci-dessus, ne tirant pas, ne regimbant pas, ne se révoltant pas, elle ne pouvait ni la ressentir, ni la percevoir !, et mieux, la femme étant docile, la bride-collier ne nécessitait donc pas de laisse !
→ Après la faute originelle :
Dieu dit aussi à la femme: Je multiplierai vos maux et vos grossesses. Vous enfanterez dans la douleur: vous serez sous la puissance de votre mari, et il vous dominera.13
La femme, qui était originellement et congénitalement bridée comme nous venons de le voir, eut les yeux ‘ouverts’ par l’Illuminé en Maître, le serpent ! Ainsi à cause, non de la malice du Malicieux, mais à cause de sa propre malice qui lui fit écouter ce Malicieux, cette bride lui est devenue ‘insupportable’ : les hommes ne supporteront plus la saine doctrine14.
Et La femme étant responsable de tous nos malheurs15, il est juste qu’elle soit punie : Mais, si la femme doit être soumise à l’homme comme à son chef naturel, elle lui est assujettie plus strictement encore, en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle a une réparation à lui faire et une punition de son péché à subir16. Ou, ce que nous avons vu avant, et dit fort ‘durement’ par le Seigneur Dieu infiniment Juste et Bon à la femme : vous serez sous la puissance de votre mari, et il vous dominera.
Ce texte nous confirme bien que la femme était originellement soumise à l’Homme, qu’elle portait donc bien originellement la bride : la femme doit être soumise à l’homme comme à son chef naturel ; mais que maintenant, et uniquement par sa faute, cette bride lui pèse fort lourd : elle lui est assujettie plus strictement encore.
Ce qui veut dire en clair, que la femme ayant péché : on doit lui resserrer la bride ; qu’elle doit être plus strictement assujettie encore ; encore plus sous la puissance de son Mari ; que son Époux la dominera encore plus ; qu’elle doit ressentir encore plus cette bride car elle a une réparation à lui faire et une punition de son péché à subir !
Ne croyez-vous pas que l’on est bel et bien à des années-lumière de ce que vicieusement sous-entend la fable sidérante*17, incapacitante* de ‘la femme battue*’ ?
Puis là, à la femme, comme à quiconque, ne s’offre que deux possibilités : soit la sainteté, ou soit le refus de cette sainteté18 ; ou soit la soumission19, ou soit le refus de cette soumission qui est révolte !
→ Si la femme est sainte : elle acceptera l’‘insupportabilité’ du port de cette bride qui doit lui être bien ajustée, serrée, car à son Époux, comme à l’Homme en général, elle a une réparation à lui faire et une punition de son péché à subir !
→ Si la femme ne veut pas être sainte : si donc elle se révolte, ce qui est maintenant la règle quasi universelle, et même dans les milieux autoproclamés ‘les plus préservés’, elle refuse alors cette juste bride bien ajustée, cette juste Punition divine. Et pousse alors un jour ou l’autre sa révolte jusqu’au terme en essayant de recevoir des coups pour pouvoir ‘fonder’ plus sûrement encore sa plainte auprès des complices du Malicieux (les commissaires du peuple : gendarmes, assistantes sociales, ‘juges’ des affaires familiales, etc.20), et ainsi d’avoir une séparation-divorce exclusivement à son avantage !
11.C.4 - Soit elle embrasse sa bride, ou soit l’Époux doit la lui resserrer.
Revenons à l’aspect émotionnel, émotionnel que pour ceux qui ont bien voulu oublier le simple bon sens, du terme brider ; regardons bien, soyons honnêtes, quelle différence voyez-vous entre brider et digne servitude*, ou brider et obéir en toutes choses*, ou brider et obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables*, etc. ? Aucune !, il n’existe aucune différence !
-Brider : 1. Contenir dans certaines limites, mettre un frein à la liberté d’action d’une personne ou au développement d’une force instinctive.
Exactement ce que nous rappelle le Concile de Trente : Enfin il [l’Époux] doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir*.
Contenir son épouse,
n’est-ce pas la brider ?
11.C.5 - 2) Que l’on le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant.
De plus en plus de femmes se font battre !… Elles se font battre parce qu’elles résistent… Elles résistent parce qu’elles savent que nous les soutenons*21 !
Qui est donc ce ‘nous’, qui les soutenons ?, ce n’est pas la femme, étant bridée ! Il a fallu une main extérieure la débridant et empêchant de la rebrider ! Et là il faut bien l’avouer, bien qu’il existe une main cachée que nous allons découvrir ensuite, ce sont des Époux criminels qui ont permis ce crime, parce qu’Ils ont bien voulu oublier que la barre de la nef domestique a été confiée à* leurs mains. Pourquoi cet oubli ?, parce que l’indolence, l’insouciance, l’égoïsme et les passe-temps* leurs ont fait abandonner ce poste*22.
Les Époux ont débridé Eux-mêmes leurs femmes parce qu’ils ont bien voulu étouffer leurs consciences et écouter la ‘voix’ du monde ; la voix qui ‘prêche’ notamment du haut de la chaire cathodique la ‘bonne parole’ de ‘eux’ !
Au début, ce n’était pas ‘grave’, les bons Époux, ces rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée, gardiens fidèles de leur gens (voir ensuite), continuaient à conduire la nef domestique […] confiée à [leurs] mains (idem).
Mais, de défections en défections d’Époux honnêtes, de contagions en contagions de femmes révoltées, l’étendue du mal permit à ‘eux’ d’inventer démoniaquement des lois bâillon-menottes contre ces Époux résistant à l’appel à la désertion, Époux soi-disant véritables talibans qui veulent imposer leur loi à leurs femmes*, comme le disait le 25 juillet 2008 Nicolas Sarkozy23.
La fatale confusion des esprits s’installant, le mal s’étendant tant et tant, les derniers vrais Hommes en viennent, sous la pression de la masse moutonnière, à spontanément aider les épouses de Leurs propres Frères à se révolter !, et ainsi par ricochet, ou plutôt par retour de bâton ou de boomerang, ou par juste retour des choses, ou par justice immanente, à finalement détruire Leurs propres foyers !…
Pour : à spontanément aider les épouses :
De fait, certains lâches ayant déjà capitulés pour eux-mêmes, mais estimant que son Frère est libre de gérer Sa Maison comme Il l’entend, ne viennent audit secours desdites femmes battues que par peur de dénonciation par la plèbe et de se retrouver ainsi endite justice pour non assistance à dite femme en danger !
Nous avons vu un pharmacien, fort ‘baba-cool’, bon Époux et bon Père selon les canons actuels, parti pour une convention d’un jour, rentrer le soir même dans Sa Maison entièrement vidée de tous Ses biens : épouse, enfants (4), meubles, etc. Il sut ensuite que c’était son épouse qui avait débauché ses propres amis, dont un gendarme ! Grâce aux témoignages (médisances, ou le plus souvent calomnies) venant même de ses propres amis, ce pauvre Époux perdit jusqu’à la garde alternée de Ses enfants !
Vous souriez ?, vous pensant inatteignable !, attendez votre tour, et là peut-être comprendrez-vous ; peut-être seulement, car le bétail en vient à vénérer ses propres bourreaux qui eux veulent tout détruire de fond en comble, en principalement la Famille !
Pitoyable insolidarité des Époux, des Chefs de Famille qui fait qu’en fin de compte Ils détruisent leurs propres Maisons !
Pour : Pitoyable insolidarité des Époux, des Chefs :
-Insolidarité : n.f. ÉCON.  SOCIOL. - FEW (12, 54b), 1860 ; L, cit. Proudhon ; absent TLF.
1846 - «On ne peut jeter les yeux sur le travail du Cce [commerce] et du voiturier sans apercevoir des bénéfices à réaliser de toutes parts, bénéfices irréalisables avec le monopole et la concurrence, c. à d. l’insolidarité […]» Proudhon, Carnets, vol. 1, 244 (Rivière, 1960) - J.S.24
Nous profitons de cette définition pour souligner l’exemple donné, qui dit donc, et recopié ainsi : il y a du bénéfice à faire par tout le monde !, et ces bénéfices deviennent irréalisables à cause du monopole (donc des brevets) et de la concurrence, tous deux étant de l’insolidarité !
Nous ne pouvons tout attaquer de front, mais ceci correspond tellement à notre pensée : oui, c’est ‘eux’ qui ont inventé démoniaquement les mots brevets (oudits droits d’auteurs) etdite25 concurrence pour dire faire baisser les prix, ce afin de détruire le commerce pour nous, afin qu’eux raflent les pauvres gents.
Réfléchissez rien qu’un peu !, pourquoi ne pas acheter son croissant à son juste prix ?, pourquoi vouloir que son confrère boulanger, que l’on a transformé en concurrent sous l’instigation de eux, crève afin de ramasser seul la mise ?
La concurrence est un fatal boomerang qui vous reviendra plutôt que plus tard en arrière de vous et vous fauchera impitoyablement ; la concurrence c’est l’appauvrissement, voulu par eux, de toutes nos sociétés de Droit naturel !, ce à leur seul profit inexorablement vampiriste.
L’insolidarité détruit tout !, et principalement l’insolidarité des Chefs de Famille !
Et c’est ‘eux’ aussi qui ont inventé la concurrence entre les époux, qu’ils appellent ladite égalité des sexes, ce uniquement pour détruire les Familles !
Concurrence juive, ou confrérie chrétienne :
Nous lisons un livre en ce moment, et voici ce qu’il y est dit : Dans l’organisation corporative d’autrefois, sous l’Ancien Régime, il était interdit de détourner à son profit les clients du voisin. « La ‘chasse aux clients’ était rigoureusement interdite. C’était une action ‘antichrétienne’, immorale que d’enlever des clients à son voisin », écrit Werner Sombart dans son livre Les Juifs et la vie économique. Les ordonnances saxonnes sur le commerce des années 1672, 1682, 1692 stipulent (art. 18) : « Nul marchand ne doit détourner les acheteurs de la boutique de son voisin. Il lui est défendu également d’empêcher gens, par signes ou par gestes, de faire leurs achats ou bon leur semble ou de les diriger chez d’autres marchants, bref de les influencer d’une façon quelconque. » On voit ici tout ce qui distingue les commerçants juifs des commerçant chrétiens.
(Source : Les milliards d’Israël - Escrocs juifs - de Hervé Ryssen - page 100 - Nous recommandons très chaudement ce livre...)
L’auteur dit On voit ici tout ce qui distingue les commerçants juifs des commerçant chrétiens ; sauf que depuis au moins 60 ans, les gents se comportent tout le temps entre-eux, soit entre chrétiens, soit entre Frères, dans le commerce et en tout, comme ces Juifs, qui ont tué même le Seigneur Jésus, et les prophètes, et qui nous ont persécutés à notre tour ; qui ne plaisent point à Dieu, et qui sont les ennemis de tous les hommes. (I Tes. 2, 15)
Nous venons de dire gents, ordinairement maintenant l’on écrit gens ; or, pourquoi avoir supprimé le ‘t’ final ?, pour nous, ceci correspond à une volonté maligne de eux !, gardez les mots, videz-les de leur sens !26 qu’ils disent, ou changez-le pour arriver au même ! ; en effet, d’où vient gent : de gentil ! ; voyez ce qu’ils, eux, disent d’eux-mêmes : Dans le style des Hébreux, tout homme qui n'est pas Juif d'origine est Gentil.27
Ou comme Saint Paul le dit ... prêchant aux Juifs et aux gentils la pénitence envers Dieu, et la foi en notre Seigneur Jésus-Christ28 ; les Gentils, globalement adhérèrent à ce qui était prêche par Saint Paul ; mais les Juifs, très majoritairement refusèrent obstinément cette conversion !
Gent vient de Gentil, et veut dire non-Juif, ou Goy en leur langage !
Pour sauver Ta propre Maison,
cours courageusement au secours de Ton Frère,
et aide-Le à rebrider radicalement Son épouse !
Barack Hussein Obama, lui, disait avant ce que Nicolas disait plus haut : la guerre contre les Chefs de Famille est une guerre que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre*. Et Nicolas continua ainsi : c’est pour cela que la décision d’envoyer des hommes pour que le Moyen-âge ne revienne pas est stratégique* !
Pour : des hommes pour que le Moyen-âge :
(Reprise note 92, ch. DP-6.D.2.e, voir contexte)
Il suffit d’écouter les blablabla de Sarkozy lors de la visite d’Obama en France, le 25 juillet 2008 :
« L’Afghanistan est une guerre que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre », a déclaré Barack Obama, estimant qu’il faudrait « au moins deux brigades américaines supplémentaires » même s’il « comprend que cela soit très difficile politiquement en France et en Europe ». « La décision d’envoyer des hommes pour que le Moyen-âge ne revienne pas est stratégique », a renchéri Nicolas Sarkozy, en parlant des talibans ? après les remerciements de Barack Obama pour ces renforts.29
De fait, et peut-on nous aider à trouver la citation exacte, ce que Sarkozy disait était plus ou moins ceci : nous allons mettre la pâté aux talibans qui veulent imposer leur loi à leurs femmes, nous sommes sortis du moyen-âge et nous ferons tout pour ne pas y retourner !
Les lois criminelles (pour interdire ledit viol conjugal qui est forcément impossible tant pratiquement d’elle (physiquement, elle ne peut violer son Époux) que légalement de Lui ; pour imposer ladite égalité des sexes qui est l’émasculation de l’Époux, ladite coparentalité qui est le partage ou l’organisation de l’anarchie ; etc.) qui sont votées contre les Chefs de Famille s’appuient sur des commissaires du peuple préalablement bien rééduqués, bien formatés et bien travestis (Eh oui, c’est dans l’air du temps !) en policiers ou gendarmes ; en psys-mabouls-ce-que-vous-voulez ; ou en assistantes-sociales-passionnaria forcément divorcées, ou larguées car imbuvables, mais bien refoulées et donc violemment anti-Homme ; etc !
Ce, afin de venir audit secours des épouses que ‘eux’ ont poussées à la révolte ! C’est pour cela que furent institués les tribunaux du peuple, appelés dans nos contrées pendant la phase encore sous-marine (plus pour bien longtemps !) du communisme : Tribunaux des Affaires Familiales !
– Alors ce nous, ce ils ou ce eux, c’est qui ? – Bah c’est eux ! – Mais enfin, ce eux, c’est qui ? – Ce eux est impossible à signifier, c’est malheureusement impossible de le dire, car… et ne n’oublions surtout pas, alléluia !, nous sommes libres…!
Oui, dits libres de seulement penser, croire et confesser que ce que eux nous imposent dogmatiquement !, c’est ça leurdite liberté d’expression !
11.C.6 - Alors qu’eux ne veulent pas leurs femmes libres !
Il n’y a rien à faire, c’est ainsi, nous sommes dans une société d’Hommes, et ce : de Droit divin !; ou, pour les essentiellement négationnistes, et de disposition tout aussi infrangible : dedite dame nature ! Et les viragos qui sont sans testicules, et les suicidaires qui ont accepté d’être émasculés, ont beau hurler, cela ne changera strictement rien, c’est ainsi !
Que ces viragos et ces émasculés regardent bien, bien bien plus haut que ces hautes sphères apparentes où l’on ne voit que des faire-valoir même plus en jupons30, si une parité quelconque existe ! Ces faire-valoir féminins sont bien utiles au demeurant pour faire passer et accepter l’impensable, ce qu’un Homme aurait fort hésité à proposer : ledit droits à son corps (contraception-avortement), lesdits droits divers des pervers(e)s), etc.
11.C.6.a - La parité ?, un efféminé + une femme, soit aucun Homme !
Savez-vous ce qu’est la parité en politique, comme d’ailleurs partout ? Un pâté d’alouette sans aucune trace d’alouette ! La parité ce n’est rien de plus qu’un efféminé mesuré à l’aune d’une femme. La parité est une gigantesque escroquerie !, dans le pâté il n’y a pas un seul Homme ! En effet, si cet ‘Homme’ l’était vraiment, cet ‘Homme’ n’accepterait pas d’être mesuré à l’aune de cette femme !
Que ces viragos et ces émasculés regardent au-dessus de ce bal des Schtroumpfettes, si les femmes de nos maîtres sont débridées !, c’est ce que nous allons voir maintenant…
11.C.6.b - Que pour ‘eux’, ils lui veulent la bride bien ajustée, bien serrée.
Dans les hautes sphères, les réelles, celles qui se voient que lorsque l’on veut effectivement chercher et voir, l’on voit bien que ‘eux’ protègent leurs sociétés : famille, entreprise, associations diverses, etc. ; et cela en tenant bien fermement les, leurs femmes, par la bride !
Eux’ le savent bien, ‘eux’ n’ont pas voulu l’oublier, ‘eux’ se protègent, mais ‘eux’ veulent le ‘merdier’ pour nous, et c’est uniquement pour cela qu’ils ont débridé, ‘libéré’ qu’ils disent, nos femmes afin qu’elles les aident à tout renverser ! C’est uniquement pour cela qu’ils ont inventé les fables : de la femme battue par son Époux, de la femme opprimée par son Époux, de la femme en danger avec son Époux, de la femme violée par son Époux, etc. !
Nous pouvons être sûrs que ‘eux’ rappellent certainement journellement si nécessaire la cadence à leurs femmes par quelques bons pas de polka* bien appuyés, bien rythmés, bien orchestrés par la baguette du maître de maison ! ‘Eux’ ne risque pas la dénonciation, car c’est ‘eux’ qui commandent : médias, police, gendarmerie, justice, etc. Tout leur est inféodé !
11.C.6.c - Vous voulez absolument croire que nous affabulons, délirons ?
Alors, lisez cet exemple entre de multiples autres :
David de Rothschild, baron français de la City, explique, dans une page entière du Monde (26/10/99), les raisons de la pérennité du succès de cette célèbre famille de banquiers installés en France depuis cinq générations. Cette entreprise planétaire qui est dirigée à la façon d’une PME, pour réussir, est toujours attachée à appliquer scrupuleusement la règle suivante : « Ni femmes ni gendres. »31
Et c’est le journal Rivarol, véritable fief de femmes se prétendant anti-féministes, qui nous le rapporte !
Voici au moins un bon pâté, malheureusement réservé qu’à ‘eux’ !, que de l’alouette, du garanti à 100% !, aucune mixité : ni femmes ni gendres ! Donc, et ce en clair : ni femmes ni étrangers ! Ce n’est que comme cela que l’on peut sauver sa Maison !, Maison-Famille, maison-entreprise, maisons-toutes-entreprises, ou Maison-Patrie32, etc. !
Et l’on se moque dans les médias des ‘intolérants’ arabes, noirs, talibans et autres, qui ne veulent pas, et ce le plus légitimement du monde, que la petite sœur épouse un étranger pour eux ! Nous les soutenons à 100% dans le principe !, rien à redire, ils sont le plus légitimement possible ‘racistes’, ils ne veulent que, et ce de Droit divin, protéger leur race-Famille-Patrie, comme quiconque !
11.C.6.d - Où nous en venons à reparler du Droit salique.
Précision très importante !, ensuite nous allons parler d’‘étrangers’, et ne voulant pas de méprise quant à notre pensé intime, nous insistons : pour l’étranger, nous sommes des étrangers !
Ce que nous voulons pour Nous, Nous le voulons donc en toute charité pour Eux !
Ce que nous voulons, c’est bien restaurer Notre, La Nôtre ou La Leur, Autorité de Droit divin !; et ce en Nos, Les Nôtres ou Les Leurs, Sociétés-Familles et Sociétés-Autres !
À la fin du point DP-7.B.6, Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie XII à la femme., et juste avant le point DP-7.B.6.a, La femme doit être toujours et en tout assujettie à l’Homme…, nous disions que Le Droit salique était fort juste, fort Droit* !, relisez aussi la note 58, ch. 7.B.6, page 416, et vous constaterez avec plaisir que David de Rothschild, lui, n’a pas oublié ce précepte du Droit naturel, ayant inspiré le Droit salique ! Ni femmes ni gendres, disait-il, soit ajoutions-nous en clair ni femmes ni étrangers !
L’Ordre en Nos sociétés par :
ni femmes ni étrangers !
Mais qu’est-ce de plus ou de moins que le Droit salique, par rapport au Droit naturel ?, et par rapport à ce que veut pour lui David de Rothschil ? Rien, c’est exactement la même chose, ni femme ni gendres ou étrangers !
Ainsi reprenons :
→ Le Doit naturel dit : l’Ordre par ni femmes ni gendres ou étrangers !
→ Le Droit salique dit : l’Ordre par ni femmes ni gendres ou étrangers !
→ Le Droit de David de Rothschil dit : l’Ordre par ni femmes ni gendres ou étrangers !
Mais que ne veulent pas maintenant les gens dits ‘bien pensants’ ?, soit bien copieusement formatés ?, que l’on dise : Nous, les Chefs de Famille, Nous voulons l’Ordre en Nos Familles et en toutes Nos sociétés, par ni femmes ni gendres ou étrangers !
Ainsi donc, ne voulant l’Ordre pour nous, ils nous imposent le désordre !, l’anarchie, la séparation-divorce, par femmes et étrangers, dans toutes nos sociétés !
Ainsi donc, la parité est bien l’organisation du désordre, par : femmes et étrangers dans toutes nos sociétés ! La parité est le désordre malicieusement imposé !, la parité est la révolte par excellence contre l’Ordre !, la parité est révolte !, la parité est le non serviam* luciférien !
11.C.7 - 3) Que de Droit l’on doit la lui remettre, sinon rien n’ira !
Comment restaurer les diverses sociétés, État, Église, etc., sans restaurer la Société de base de toutes ces sociétés qui ne forment qu’un seul édifice posé uniquement sur la Famille qui est leur finalité ?
Comment restaurer cette unique Base de toute société, la Famille, sans restaurer la raison d’être de Celle-ci, et Son unique Base, le Chef de Famille, Époux et Père ?
Cette bride dont nous parlions ne devrait être originellement qu’une vue de l’esprit !, en effet :
→ quel Époux briderait effectivement Sa dulcinée, Sa bien-aimée venant picorer tout doucement et toute pleine de reconnaissance le grain qu’Il lui tend au creux de Sa main ?
→ quel Époux resserrerait la bride de Sa tendre colombe roucoulant à Ses pieds, en Le caressant de son bec et de ses ailes ?
→ quel Époux ferait cela alors que Sa biche L’enivrerait généreusement avec ses deux faons jumeaux*33 ?
→ quel Époux ferait cela alors qu’Il ne S’apercevrait même pas qu’Il commande, voyant comme de Droit tous ses désirs devancés par Sa tendrelette ?
Si nous devons parler de bride, c’est uniquement parce qu’il y a : résistance ou cabrements ; ou pire : ruades et révolte ! La bride qu’elle doit avoir de Droit divin est : ou soit ‘symbolique’ et ‘lâche’, ou soit effective et restreignante ; ou soit embrassée, ou soit imposée…
11.C.8 - Rien à faire, nous sommes dans une société d’Hommes !
Ce n’est pas les Époux ‘détraqués’ qui considèrent la femme comme une ‘sous-espèce34’, une ‘sous-catégorie’, ou si vous préférez, et ce qui amènera moins d’émotions toutefois parfaitement hypocrites : une catégorie, un deuxième sexe ordonné au Premier, et par là totalement dépendant et asservi en toutes choses au Premier, soit la femme à l’Homme !
Ce n’est pas des Époux ‘détraqués’ qui ont inventé cette ordonnance totale de la femme à l’Homme !, c’est, sauf pour les essentiellement négationnistes qui alors doivent dire leur révolte à ‘dame nature’ :
→ Le Seigneur Dieu qui prescrivit cette dépendance de la femme à l’Homme, ce dans Son infini Amour.
→ Son Fils qui vint renouveler, restaurer cette Loi.
→ Les Apôtres de Ce dernier, qui nous La rappelle.
Nous délirons ?, voyons cela !, le 22 mars 2009 c’était le 4ème dimanche de carême, et nous avons donc lu l’Évangile de la ‘multiplication des pains’, selon Saint Jean(6.1-15), lisons le passage qui nous intéresse :
Saint Jean écrit : Jésus dit donc : Faites asseoir ces hommes. Or il y avait beaucoup d’herbe en ce lieu. Ils s’assirent donc, au nombre d’environ cinq mille hommes.35
Nous remarquons bien que Jésus dit, Saint Jean n’étant que le rapporteur de Sa parole, que seuls les Hommes sont à faire asseoir : Faites asseoir ces hommes. Et nous constatons aussi que seuls les Hommes comptent, qu’Eux seuls sont comptés : au nombre d’environ cinq mille hommes !
Nous prenons nos désirs pour réalité ?, Jésus aurait parlé des hommes dans son sens générique ?, Il voulait dire les humains : Hommes et femmes ?, vérifions cela…
Lisons d’autres textes sur le même événement et tous parfaitement accordés :
Saint Matthieu écrit : Or le nombre de ceux qui mangèrent fut de cinq mille hommes, sans compter les femmes et les enfants.36
Vous avez bien noté comme nous : sans compter les femmes et les enfants !, sans plus de commentaires pour l’instant…
Saint Matthieu écrit : Ne comprenez-vous pas encore, et ne vous souvenez-vous pas des cinq pains distribués à cinq mille hommes, et du nombre des paniers que vous avez emportés ?37
C’est le Christ qui est rapporté ici, c’est donc Lui qui dit qu’Il donna : cinq pains distribués à cinq mille hommes !
Saint Marc écrit : Or ceux qui avaient mangé étaient au nombre de cinq mille hommes.38
Saint Marc écrit : Quand J’ai rompu les cinq pains pour cinq mille hommes, combien avez-vous emporté de corbeilles pleines de morceaux ? Ils Lui dirent : Douze.39
C’est encore une fois Jésus qui parle, et personne n’est plus Vrai et plus doux que ce Jésus ! Et cette Bonté même et Justice même ne parle que des Hommes : J’ai rompu les cinq pains pour cinq mille hommes ! Ce Jésus ne donna du pain qu’aux Hommes, et ce, sans se préoccuper aucunement comme nous l’avons lu plus haut, des femmes et des enfants : sans compter les femmes et les enfants. Quelle est la raison d’être d’une telle attitude que maintenant nous n’hésiterions pas à taxer d’‘inqualifiable’, de misogyne ? Nous allons le développer ensuite…
Saint Luc écrit : Or il y avait là environ cinq mille hommes. Alors Il dit à Ses disciples : Faites-les asseoir par groupes de cinquante.40
Les Apôtres écrivent : Cependant, beaucoup de ceux qui avaient entendu la parole crurent ; et le nombre des hommes fut de cinq mille.41
Reprenons tous ces textes, nous l’avons bien lu :
→ ce n’est que les Hommes qui sont comptés, qu’Eux comptent, et Ils sont au nombre d’environ cinq mille !
→ ce n’est que les Hommes qui sont invités à s’asseoir : Jésus dit donc : Faites asseoir ces hommes !
→ ce n’est que les Hommes qu’on invite à s’asseoir sur l’herbe, car il y avait beaucoup d’herbe en ce lieu !
→ c’est n’est que des Hommes que ce Christ, Amour personnifié, fait grouper par un certain nombre, Il dit : Faites-les asseoir par groupes de cinquante !
→ c’est que pour des Hommes que Notre Seigneur Jésus-Christ, Amour et Charité, fait cette multiplication miraculeuse des cinq pains et trois poissons : J’ai rompu les cinq pains pour cinq mille hommes !
→ ce n’est que des Hommes dont-on s’inquiète de savoir si Ils ont bien mangé : ceux qui avaient mangé étaient au nombre de cinq mille hommes.
Dans cette société d’Hommes,
qu’Eux comptent !
Et pourtant il y avait bien les femmes et les enfants ! Et les femmes et les enfants avaient-ils moins faim que les Hommes ? Non !, mais même le Seigneur ne pouvait les compter, en tenir compte !, c’est pour cela que Saint Matthieu dit : sans compter les femmes et les enfants !
Oui, les femmes ne comptent pas en tant qu’êtres autonomes, elles ne sont pas à répertorier !, elles ne sont reportées qu’à leurs Époux !, et les enfants, mâles ou femelles, qu’à leurs Pères !
Pourquoi ? Parce que qu’au Chef de Famille seul revient de s’occuper de Sa Maison, et donc il est inconvenant de passer, et même pour Dieu, au-dessus de ce Chef de Famille ! Qu’à Lui revient le devoir de ‘gagner’ les pains et les poissons des siens ! Qu’à Lui fut dit par le Seigneur Dieu : C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain(Gen 3, 19) !
C’est Dieu dans son infinie Providence qui nous donne les moyens nécessaires à la réalisation de notre Devoir d’état42 !, c’est donc à Dieu de donner aux Hommes, et qu’aux Hommes les moyens nécessaires à l’obtention de ce pain ! Ainsi une femme qui travaille vole le pain que seul son Époux est habilité à lui fournir, rien qu’avec cela c’est une révoltée !
Reprenons, ces Hommes étant démunis car ayant suivi ce Dieu d’Amour, Celui-ci pourvu à Leur nourriture, et qu’à Eux : J’ai rompu les cinq pains pour cinq mille hommes !
Ne pouvant violer l’Autorité que Dieu le Père avait abandonné infrangiblement43 en Adam44, ce Jésus essentiellement soumis à Son Père ne pouvait s’occuper du troupeau du Chef de Famille : femme-épouse, et enfants ou fils ou filles. Ainsi, ce Jésus laisse à cette unique et infrangible* Autorité de Droit divin, l’Époux-Père, le Chef de Famille : de s’inquiéter et de s’occuper de Sa Maison, Son épouse et Ses enfants !
Dieu pourvoit l’Homme,
et l’Homme Sa Maison !
Nous vous disions que même Dieu ne passe jamais au-dessus du Chef de Famille !, en voici encore une preuve éclatante. Oui, nous sommes que dans une société d’Hommes, ce de Droit divin !
Or, le nourrissement ne se limite pas au corps !, mais il recouvre aussi celui l’esprit, et surtout celui de l’Âme ! Ainsi, ce que nous venons de voir est une autre confirmation éclatante que le nourrissement de l’esprit de l’épouse et des enfants (enseignement45), et celui de leurs Âmes (direction spirituelle46) ne reviennent qu’au Chef de Famille, Époux-Père !
Et si donc Jésus Lui-même ne pouvait violer cette Autorité que L’Homme tient infrangiblement de Dieu le Père directement !, alors ainsi, vous pouvez bien mesurer maintenant l’ampleur des viols de ces prêtres cloaques d’impureté, lorsqu’ils prétendent pouvoir diriger de quelque façon que ce soit l’épouse et les enfants !
Résumons :
Tant que l’on n’aura pas restauré dans toute son étendue et toutes ses prérogatives l’unique Base de la Famille, le Chef de Famille, l’Époux-Père, la Société Famille ne pourra pas être restaurée ! ; et cette dernière étant la Base de toutes les sociétés, rien ne pourra être reconstruit ! Tout le reste n’est qu’utopies et gesticulations, c’est même pire que de s’agiter dans des sables mouvants47 !
11.C.9 - Reprenons : la Famille est l’unique Base de toutes les sociétés !
La famille n’est pas seulement la plus ancienne des sociétés, elle est encore, dans un sens du moins, la plus importante. Et d’abord, elle est la base de toutes les autres, la base de l’État et de l’Église. En effet, qu’est-ce que l’État ? sinon la réunion d’un certain nombre de familles sous l’autorité d’un chef commun, pour la conservation et le développement de leur existence et de leur bien-être. L’Église elle-même, qu’est-ce autre chose ? que la réunion de toutes les familles chrétiennes sous l’autorité d’un Père commun, pour la conservation et le développement de leur vie spirituelle. Ainsi, ce que la racine est à l’arbre, la source au fleuve, la base à l’édifice, la famille l’est à l’État et à l’Église : des mains de la famille le premier reçoit ses citoyens, la seconde ses enfants.
Dans un sens plus intime encore et pour une raison plus profonde, la famille doit être appelée la plus importante des sociétés.48
11.C.10 - Reprenons : l’Époux est Base et raison d’être de la Famille !
Ce que nous avons vu ci-dessus : Car l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme ; et l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme49 , et ce que nous avions vu bien plus haut, en plus de bien d’autres citations étudiées : Le centre de la famille est le père ; la mère est son associée, sa subordonnée ; les enfants sont la conséquence, et non le centre. La femme est pour son époux et non pour les enfants comme fin première [de la femme]50, ne disent que cela :
L’Époux, raison d’être,
Base, Centre, Âme de la Famille !
Pendant la rédaction de ce texte nous avons lu un article qui lamentablement veut restaurer sans restaurer ! Être anti-libéral51, mais seulement qu’un peu, sans toucher à son petit hochet, soit à ses petites compromissions, par ex. : Oui en effet !, il faut restaurer l’Ordre naturel voulu par Dieu…, sauf dans mon petit journal52 ! Voir : Le Salon Beige : Favoriser le Bien Commun au niveau local., où vous verrez l’auteur53 de l’article incriminé en pleine action : il dit qu’il faut commencer par la restauration de la base alors qu’il commence par restaurer le second étage ! Erreur, il faut commencer par la vraie Base, par la fondation de toutes les sociétés : la Fondation de la Famille, le Chef de Famille !
11.C.11 - Et bien que Pie XII nous soit pas si cher, voici un bon texte :
A cette époque, parmi la splendeur même des arts et des lettres, s’étalait avec le déclin de l’austérité et de l’intégrité traditionnelles une telle corruption qu’Horace s’écriait : « Des générations fécondes en vices souillèrent d’abord le mariage, la race et les foyers ; de cette source jaillirent tous les maux qui ont submergé la patrie et le peuple. La jeune adolescente se complaît aux voluptueuses danses ioniennes… et, dès ses premières années, rêve d’illicites amours »
Sans doute, votre âme s’est détournée de pareilles images pour considérer de préférence les souvenirs de ces antiques, fortes et austères familles romaines qui firent la puissance et la grandeur de Rome, dominatrice du monde : per quos viros… et partum et auctum imperium, « ces hommes de qui l’empire tient sa naissance et son développement ». Vous les avez vus tels qu’ils vivent dans les récits de Tite-Live, ces rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée, gardiens fidèles de leur gens (le groupe des familles parentes), totalement dévoués au service de la chose publique ; et à leurs côtés vous les avez vues, noblement soumises, ces matrones irréprochables, consacrées aux soins de leur maison, ces matrones qui, avec Cornélie, la mère des Gracques, présentaient leurs enfants comme leur plus belle parure, comme leurs plus précieux bijoux : Haec ornamenta sunt mea, « mes parures, les voilà ! ».54
Restauration de toutes sociétés,
par celle du Chef de Famille !
Restaurons la Famille par la restauration du Chef de Famille, l’Époux-Père, dirigeant Sa Maison dans une autorité absolue et incontestée ; et, à Son service et à Ses pieds, là pour Le seconder selon Sa Volonté, l’épouse irréprochable, parce que fermement bridée, et consacrée aux soins de leur maison !
Ce n’est qu’ainsi que les sociétés État et Église pourront alors, et qu’alors, être restaurées par ces rudes Chefs de Famille enfin libres de leurs mouvements !
Et c’est justement pour empêcher ces rudes Chefs de Famille qu’‘eux’, ont agacé nos épouses avec leur propagande de la ‘libération de la femme’, venant du Malicieux et qui sape sape insidieusement mais sûrement l’Autorité, qui devait être absolue et incontestée, de leurs Seigneurs et Maîtres, leurs Époux.
Propagande ‘libératrice’ empêtrant ces rudes Chefs de Famille dans la toile infernale des ‘négociations’ sans fin et forcément vouées à l’échec, avec leurs épouses.
Comme disait le Capitaine Collins commandant de la canonnière du San-Pablo55 : Je n’ai que l’autorité sur ce bâtiment, que dans la mesure où je ne tente pas de l’exercer* !
Négociations’ qui forcément finissent par, et dans le meilleur des cas, la ‘sentence’ venant de l’insensée* épouse : Le chef c’est toi, dans la mesure où tu commandes ce que je veux !
Négociations’, pistolet sur la tempe, ne faisant de toutes les façons que reculer de peu l’échéance inéluctable, fatale de la séparation-divorce !
11.D - La séparation ‘permise’, la tarte ‘Saint Nicolas de Flue’…
Depuis déjà plusieurs années, des personnes nous opposent comme ‘argument’ massue, qu’ils croient, le cas : Saint Nicolas de Flue (SNDF).
Nous allons encore une fois de plus démonter une escroquerie ne pouvant sortir que d’esprits retors ou même particulièrement pervers : la tarte à la crème à la mode SNDF.
11.D.1.a - Exposé de l’affaire ‘séparation à la Saint Nicolas de Flue’.
Étant donné que nous nous adressons à un public, formé que d’Hommes nous le rappelons, très étendu et dépassant la véritable catholicité, embrassant tous les Hommes de ‘bonne volonté’, il nous faut rappeler ce que fut SNDF (1417-1487), canonisé le 15 mai 1947 par Pie XII :
SNDF, né en Suisse aurait reçu des inspirations venant du Ciel lui demandant d’abandonner femme et enfants pour se consacrer qu’à Dieu…, lisons ce qui nous intéresse : … Mais il est père de famille ; il aime ses enfants et ceux-ci lui sont très attachés ; il est époux et les liens du mariage sont indissolubles. Ce n’est donc pas sans une grande crainte qu’il communique son pieux projet à son épouse. Celle-ci verse d’abord d’abondantes larmes et demande quelques jours pour réfléchir à ce qu’elle vient d’apprendre. Reconnaissant alors la volonté de Dieu, elle fait, avec l’héroïsme d’une femme vraiment chrétienne et pour l’amour de Jésus-Christ, le sacrifice qu’on demande d’elle ; elle donne son consentement avec une sainte résignation.56
11.D.1.b - Un nouveau partisan de la recette à la Saint Nicolas de Flue.
Poursuivons, dernièrement nous avons encore eu une correspondance avec un partisan de la recette : ‘tarte à la crème à la mode SNDF’. Inutile de vous dire que pour préconiser une telle absurdité pour le moins totalement irresponsable, cela ne peut venir d’un Époux ! Cela venait, et vous l’avez deviné, d’un cloaque d’impureté*, d’un prêtre qui se prétend de l’Église catholique !, d’un pervers utilisant sa soutane comme tenue de camouflage : Gardez-vous des faux prophètes qui viennent à vous sous des vêtements de brebis, mais au dedans sont des loups rapaces*57 !
Et parce que nous lui répondions, suite à sa lecture vicieuse de notre chapitre précédent58 :
Nous parlons de la séparation qui est une désertion venant quasi exclusivement à l’initiative de l’épouse. Vous me parliez d’une séparation à la mode de Saint Nicolas de Flue, qui justement doit être abordée en un des premiers points du chapitre suivant.
La séparation à la mode ‘Nicolas de Flue’, est une séparation non à cause d’un désir de liquider l’Union et la cohabitation OBLIGATOIRE sous le même toit, mais une demande de retrouver sa ‘liberté’ afin de se consacrer à Dieu !
Or, non constatons, relisez sa vie, qu’il y a eu demande de l’Époux, et acceptation de l’épouse, et ce pour un but déclaré supérieur, et vous vous avancez en disant que c’était la Volonté de Dieu !, or ce n’est même pas certain du tout que cela Lui ai plu !
Ceci dit, les conditions doivent être : 1) l’acceptation du conjoint ; 2) l’épouse ne doit point avoir besoin de son Époux pour survivre ; 3) les enfants doivent être élevés ; etc.
De plus Nicolas de Flue n’a pas forcément bien fait en faisant cette chose : ‘les saints sont formidables mais pas forcément imitables’. Si un saint a grillé un feu rouge, je ne puis le faire !, il n’a pas été canonisé pour cela, mais pour ‘son bilan final’. Ainsi, une jeune fille ne doit pas vivre comme une débauchée pour aller au Ciel sous prétexte que Sainte Marie-Madeleine a été déclarée sainte !
Ce à quoi notre contradicteur passablement de mauvaise foi nous rétorqua l’air futé, très ‘intelligemment’ :
Ensuite, si ce n’était pas la vocation de Saint Nicolas de Flue de quitter sa femme, il n’aurait pas fait autant de miracle de son vivant. C’était la Volonté de Dieu. C’est un peu indigne de votre part de déprécier la vertu d’un Saint…
Ainsi donc il ressort de cette dernière réponse que (nous répondrons à ces deux points plus loin) :
1. Ce Saint a fait des miracles, ce serait donc la preuve que l’on peut se séparer !
2. Nous serions indignes parce que nous critiquons un Saint !
Nous disons qu’il n’est pas sûr du tout que d’avoir abandonné sa femme ait été la Volonté de Dieu !, cette action est de fait bien sujette à caution, et hautement suspect quant à nous !, continuons…
11.D.1.c - Où nous devons parler de l’hautement suspect Pie XII.
Et le plus comique dans l’affaire, c’est que notre correspondant, et vous allez voir que cela ne manque pas de sel, est convaincu que Pie XII, vers le milieu de son Pontificat, aurait ‘basculé’, apostasié !
Nous, nous savons très bien qu’en effet Pie XII est hautement suspect, entre-autres Il se confessait et était conseillé par un suppôt du Diable, un des ennemis de tous les Hommes*59 :
→ Pie XII conseillé par Béa : … lequel [Pie XII], très philo-sémite, avait d’ailleurs promu à de très hauts postes les traîtres comme Béa et laissé s’étendre dans l’Église le cancer de l’anarchie dogmatique et liturgique. […] Ce haut clergé d’après guerre, nommé par Pie XII conseillé par le juif Bea.60
→ Pie XII confessé et donc dirigé par Béa : Le cardinal Augustin Bea qui régnait à l’Institut du Latran et faisait partie, de surcroît, de la commissio piana, confesseur de Pie XII depuis 1945.61
11.D.1.d - Une canonisation par Pie XII hautement suspecte !
Alors, revenons à cette canonisation faite le 15 mai 1947, alors que déjà depuis 2 ans Pie XII se confessait à un fils de la synagogue de Satan*, comme nous venons de le lire : confesseur de Pie XII depuis 1945 !
Et maintenant regardons comment Pie XII prend ses aises avec les règles régissant la canonisation d’une personne :
Pour la canonisation d’un bienheureux déclaré tel [soit Saint] par voie extraordinaire, comme ce fut le cas en 1669 pour Nicolas de Flue, trois miracles sont requis. S. S. Pie XII a daigné déclarer que deux miracles suffisaient pour cette cause. C’est ainsi que la guérison de Mlle Ida Jecker, en juin 1937, et celle de Mlle Berthe Schürmann, en mai 1939, guérisons dûment certifiées et examinées par plusieurs médecins, ont été reconnues pour miraculeuses et acceptées comme telles par le Pape dans une dernière séance de la S. Congrégation des Rites, le 4 juin 1944.62
Nous avons bien lu n’est-ce pas, vous et nous : trois miracles sont requis. Et juste après, et sans rougir : S. S. Pie XII a daigné déclarer que deux miracles suffisaient ! Où, lorsque l’on veut faire passer quelque chose en force, on change les règles ! Viol !, c’est à leurs fruits que vous les reconnaîtrez* !
Vous rappelez-vous que nous avions dit63 que ceux qui luttaient contre l’Esprit qui tient unies toutes choses* en désobéissant à l’ordre de Jésus : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point*, avaient fait le péché contre l’Esprit qui ne sera pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir* ?
11.D.1.e - L’Église permet-Elle une séparation pour cause de ‘vocation’ religieuse ?
Bien que nous ayons démoli cette prétention64, voyons tout de même si pour un bien prétendument ‘supérieur’, tel le ‘service de Dieu’, l’Église admet qu’un conjoint se sépare de l’autre pour aller au couvent :
Couvent : 1° Sont admis invalidement au noviciat : Toute personne mariée tant que dure l’état de mariage.65
Donc, SNDF s’est fait ermite66 invalidement vue que durait encore l’état de Son Mariage : Jusqu’à ce que la mort nous sépare !
Prêtrise : Sont simplement empêchés : Les hommes mariés.67
11.D.1.f - Revenons à la séparation ‘acceptée’ par le conjoint.
Continuons tout de même, bien que l’on désobéisse à Notre Seigneur Jésus-Christ qui a dit : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point* ; et bien que l’on lutte contre l’Esprit qui tient unies toutes choses* ; le cas ‘SNDF’ relève non d’une séparation-imposée, encore que…, mais d’une séparation-‘acceptée’ : l’épouse de SNDF donne son consentement, avons-nous lu !, soit en réalité par peur de ‘déplaire’ à son Dieu d’Amour, ou viol d’une conscience !, chantage à la ‘Volonté’ de Dieu !
Ainsi donc, cette séparation ne serait pas un abandon de l’épouse par l’Époux (ou vice-versa) mais une désobéissance d’un commun accord (obtenue rappelons-le par chantage à l’obéissance à la prétendue ‘Volonté’ de Dieu) des deux époux à Jésus : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point ; et d’une lutte conjointe contre l’Esprit qui tient unies toutes choses !
Plus haut, nous avions relevés deux points qui ressortaient de cette fameuse correspondance, voici leur développement :
11.D.1.g - 1) Ce Saint a fait des miracles, c’est la preuve que l’on peut se séparer !
Bien !, alors poussons l’absurdité du raisonnement de notre interlocuteur jusqu’au bout, rien qu’avec ces deux exemples parmi des milliers d’autres :
→ Saint Pierre a renié Notre Seigneur Jésus-Christ (NSJC) : Alors il se mit à faire des imprécations, et à jurer qu’il ne connaissait pas cet homme. Et aussitôt le coq chanta. Et Pierre se ressouvint de la parole que Jésus avait dite : Avant que le coq chante, tu me renieras trois fois. Et étant sorti dehors, il pleura amèrement.68
Saint Pierre, après cette trahison innommable mais tellement regrettée, fit ensuite de très nombreux miracles, bien plus que les fameux deux (au lieu des trois nécessaires !) miracles vus ci-dessus de SNDF ; Il a ressuscité des morts, etc. Alors, concluons, pour être Saint il faut trahir, renier NSJC ! Absurde !, Saint Pierre n’est Saint qu’à cause de son bilan final et non pour avoir renié, trahi NSJC !
→ Saint Paul a persécuté NSJC : Et, tombant à terre, il entendit une voix qui lui dit : Saul, Saul, pourquoi Me persécutes-tu ? Il répondit : Qui êtes-Vous, Seigneur ? Et le Seigneur : Je suis Jésus, que tu persécutes ; il t’est dur de regimber contre l’aiguillon.69
Saint Paul, qui persécutait NSJC, fit ensuite de très nombreux miracles, bien plus que les fameux deux (au lieu des trois nécessaires !) miracles vus ci-dessus de SNDF ; Il a ressuscité des morts, etc. Alors, concluons, pour être Saint il faut persécuter NSJC ! Absurde !, Saint Paul n’est Saint qu’à cause de son bilan final et non pour avoir persécuté NSJC !
11.D.1.h - 2) Nous serions indignes parce que nous critiquons un Saint !
L’exemple, le bon exemple !, nous vient des Saints lorsque ce qu’Ils faisaient était bien ! Or, ceux qui veulent lire ou écouter, savent très bien que de très nombreux Saints se sont disputés70, et même parfois ‘violemment’.
Une fameuse et dans les premières disputes est justement celle de Saints Pierre et Paul au sujet de la circoncision.
L’affaire est celle-ci (de mémoire) : Saint Pierre disait qu’avant le Baptême le néophyte non-juif devait passer par l’étape ‘circoncision’. Contre ceci Saint Paul s’éleva énergiquement et Saint Pierre finit par reconnaître son erreur, son tort, et même publiquement !
Dans cette affaire, Saint Paul a critiqué un autre Saint, et pas n’importe lequel, mais Saint Pierre Chef des Apôtres établis par NSJC-même !, ainsi donc selon notre détracteur Saint Paul serait indigne !, alors qu’Il est cité souvent comme exemple de probité, de charité !
Voilà où mène la volonté opiniâtre de vouloir défendre l’indéfendable : la séparation-divorce* !
Même avec ‘acceptation’ du conjoint, et même pour ‘faire’ la ‘Volonté’ de Dieu : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point ! Et point à la ligne !, le reste vient du Malicieux !
11.D.1.i - Un des promoteurs de la recette à la Saint Nicolas de Flue en la secte FSSPX :
INDIGNATION – J’exprime, comme les rares lecteurs de bon sens, mon indignation à l’égard de la trahison patiemment organisée par Mgr Fellay et ses complices ; tout cela ne sera pas sans conséquences, surtout pour les fidèles, incités à manger le fruit empoisonné de l’apostasie silencieuse.71
Nous ne devons avoir de cesse de dénoncer ces cloaques d’impureté*, et surtout les plus dangereux, les quatre loups* en chef72 de la secte FSSPX, qui au lieu d’amener les Âmes au Ciel, les dirigent tout droit en enfer, en les attirant entre-autres avec ‘la tarte à la crème à la mode SNDF’ : la séparation-divorce pour un ‘bien’ prétendument supérieur.
Oui, pour un ‘bien’ toujours supérieurement hypocrite, ces pervers se donnent malicieusement le ‘droit’ d’enhardir, d’aider une épouse à se défaire de la ‘tyrannie’ de l’Époux parce que celui-Ci voulait justement, entre autres choses très graves, qu’elle ne fréquenta plus ces pervers !
L’épouse hésitait, mais le morceau fut emporté par ce cloaque d’impureté grâce à ce stratagème rapporté à une tierce personne par l’épouse : J’ai dû porter plainte à la gendarmerie par obéissance au prêtre, il m’a dit qu’en obéissant aveuglement au prêtre j’étais assurée de faire la volonté de Dieu !
Incroyable, désobéir à son Époux au nom de l’obéissance* à des pervers* de la FSSPX, dont les Mgrs Alfonso de Galarreta, Bernard Fellay et Richard Williamson73  en personne !, prêtres immondes, cloaques d’impureté !
Incroyable !, désobéir à son Époux pour faire la ‘volonté’ de Dieu !, ou l’hypocrisie poussée à son paroxysme, ou l’aveuglement total réalisé par l’Illuminé en Chef, Lucifer, afin de posséder en enfer ceux qu’Il veut perdre éternellement ! C’est vraiment un colossal malicieux ce Malicieux, ce Pince des ténèbres, ce Père du mensonge !
11.D.1.j - La recette Saint Nicolas de Flue défendu par Saint Matthieu ?
Et, pensant nous porter l’estocade, ce partisan vu précédemment74, l’inconditionnel de la recette à la SNDF, ce cloaque[s] d’impureté* en tenue de camouflage fait de vêtements de brebis* pour cacher le loup[s] rapace[s]* qu’il est, après de nombreuses autres ‘arguments’ particulièrement de mauvaise foi, crut nous planter l’épée ‘Saint Matthieu’ à l’arrière de la tête, dans la ‘croix75’, voici ce qu’il nous écrivit :
Cette parole de l’évangile (Matthieu 19,29) a été pris au pied de la lettre par Saint Nicolas de Flue, lorsqu’il décida de quitter sa femme et ses enfants, afin de se consacrer totalement à Dieu sans partage : « Et quiconque aura quitté sa maison, ou ses frères, ou ses sœurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses champs, à cause de Mon nom, recevra le centuple, et possédera la vie éternelle. »
Ce fils du Malicieux nous a dit : Cette parole de l’évangile […] pris au pied de la lettre, voyons ce que nous dit à ce sujet Saint Paul : … qui nous a aussi rendus propres à être les ministres de la nouvelle alliance, non par la lettre, mais par l’esprit ; car la lettre tue, et l’esprit vivifie.76
Ce que vient de dire Saint Paul s’applique particulièrement bien à notre détracteur, en effet il est prêtre !, il fait donc partie des ministres de la nouvelle alliance !, et à ce ministre particulièrement corrompu, Saint Paul rappelle : non par la lettre, mais par l’esprit ; car la lettre tue, et l’esprit vivifie.
Nous aurions pu facilement réfuter l’affirmation qui dit que l’on pourrait ou devrait quitter sa femme à cause du Nom de Jésus-Christ, mais nous n’aurions pas pu le faire aussi bien que Saint Jean Chrysostome (SJC), alors cédons Lui la parole :
Quand Jésus-Christ dit ici : « Quiconque quittera sa femme », il ne nous commande pas de rompre les mariages. Il faut entendre ces paroles dans le même sens que ces autres :
« Celui qui perdra son âme pour moi, la trouvera ». Ce qu’il ne dit pas pour nous porter à nous tuer nous-mêmes, et à arracher avec violence notre âme de notre corps : mais pour nous avertir de préférer toujours la piété à tout le reste. C’est l’avis qu’il donne ici aux hommes à l’égard de leurs femmes, et de leurs frères, et de tous leurs proches. Il me semble, que par ces paroles, il marque obscurément les persécutions qui devaient bientôt arriver dans son Église. Car, comme il devait y avoir beaucoup de pères qui précipiteraient leurs propres enfants dans le crime, et beaucoup de femmes qui y pousseraient leurs maris, Jésus-Christ veut que les fidèles cessent de regarder comme leurs femmes ou leurs pères, les personnes qui les pousseraient à l’impiété.77
Nous remarquons bien que SJC dit : rompre les mariages.
-Rompre : A. − 1. [Rompre implique l’idée d’une séparation brutale […] B. − [Rompre implique une notion d’arrachement] Briser tout ce qui retient, attache. Rompre un lien, ses amarres. […] ♦ Rompre un accord, un traité, un pacte, un engagement, un serment, ses fiançailles, ses vœux; rompre un marché. […] Se séparer d’un coup en deux ou plusieurs parties.
Dans le chapitre précédent nous nous battions pour démonter l’équivalence évidente au sujet du Sacrement de Mariage des termes séparation et divorce. Termes que nous associons du reste intentionnellement en disant systématiquement : séparation-divorce* !
Et que nous dit SJC : rompre ! Ou comme le dit la définition ci-dessus : un arrachement, briser une attache, rompre un lien ou amarres, un accord, un traité, un pacte, un engagement, un serment, un marché, se séparer […] en deux !
SJC savait pertinemment que le Sacrement de Mariage ne peut être dissous, donc lorsqu’Il dit qu’il ne faut pas rompre les mariages, il ne peut s’agir que d’une rompture78 par séparation de corps !
Séparer des époux, c’est bien rompre ! Et que nous dit SJC de Jésus-Christ (JC) : il ne nous commande pas de rompre les mariages !, est-ce que ceci ne correspond pas exactement à ce que ce JC nous a dit : Ce que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point* !
Alors, et uniquement pour cela (et de plus que l’Époux peut le faire, car la parole n’est adressée qu’a Lui !) : si votre femme comme certaines femmes qui y pousseraient leurs maris, vous poussait au mal, vous devez choisir de suivre ce que dit JC plutôt que de suivre cette pauvresse qui vous pousserai[en]t à l’impiété. Ainsi, nous constatons bien que notre détracteur a fait un glissement malicieux en donnant au terme quitter (ne point suivre dans l’impiété) une définition équivalant à l’abandon physique !, soit la séparation de corps.
Sachant que l’Époux a les moyens de Son Gouvernement (la corriger*, la châtier*, lui faire des réprimandes* ou lui donner des coups*, la battre*, etc.), si ce monstre d’épouse ne pliait pas sous les coups que légitimement elle doit recevoir, alors plutôt que de la suivre dans le mal, vaut mieux la quitter, à cause de Mon Nom !
Mais regardez bien, ce que SJC nous dit, regardez ce que veut dire ce quitter : Jésus-Christ veut que les Époux fidèles cessent de regarder comme leurs femmes celles qui les pousseraient à l’impiété.
Donc la parole de Saint Matthieu ne veut nullement dire que pour suivre JC il faille quitter (abandonner) sa femme, même mauvaise, mais seulement ceci : Époux, si Votre femme est un empêchement à la sainteté, alors, cessez de la regarder comme votre épouse, mais comme l’ennemie de Votre Salut éternel, d’où l’expression : quitter sa femme à cause de Mon Nom !
Ou, si vous ne comprenez vraiment pas, disons-le sans détour : mettez impérativement votre épouse, que vous ne devez plus regarder comme telle, mais comme l’ennemie de votre Salut éternel : au cachot, aux oubliettes avec les rats, au pain sec et à l’eau ; et ce, jusqu’à ce qu’elle s’amende et implore avec insistance et vénération79 votre pardon !
Et c’est pour la même raison qu’un Seigneur héroïque justifia et félicita Ses deux fils qui avaient mis au cachot leur propre mère, jusqu’à temps qu’elle s’amende ; et c’est pour la même raison que l’Apôtre Saint Thomas recommanda à un Époux de faire subir à Sa femme un traitement plus que de choc !
Pour : Épouse au cachot :
DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II) ; point DP-0611, Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.
Pour : Traitement de choc :
idem ci-dessus ; point DP-6.C.3, L’Apôtre St Thomas conseille à un Époux de fouetter son épouse.
Avec tout ceci, vous constatez bien que nous sommes à des années-lumière de ce que la fable de ‘la femme battue*’ suggère !
Avec ces deux ‘cas’, nous venons de voir comment il faut ‘quitter’ l’épouse récalcitrante tentant de vous éloigner de Dieu par son impiété, son insoumission : l’Époux doit ‘quitter’ Son épouse en la mettant au cachot, celle du 1er ex. comme celle du 2d ex. ! Et celle du 1er ex., au pain sec et à l’eau pendant plusieurs jours ; et celle du 2d ex., fouettée de main de maître pendant plusieurs jours aussi !
N’avions-nous pas promis :
sans aucune langue de bois ?
Reprenons :
1) Notre détracteur : s’est malicieusement ‘trompé’, l’on ne peut de séparer (de corps et de rein du tout) même pour un bien ‘supérieur’ !
2) Saint Nicolas de Flue : a très mal agit, en effet Sa femme était une ‘sainte femme’, elle n’était pas du tout, et loin de là, un handicap à sa sanctification !, elle ne le poussait pas, et loin de là, à l’impiété !
11.D.1.k - Résumons ce que nous venons de voir à travers Saint Matthieu :
1. Nous sommes bien dans une société d’Hommes (et non d’Hommes et de femmes, ou d’humains) : JC ne parle visiblement qu’aux Hommes, en effet qu’Eux peuvent ‘quitter’ (mettre en prison, châtier énergiquement, jusqu’à l’amendement), ou sa femme, ou ses enfants !, en effet qu’Eux possèdent80 : femmes et enfants !
2. La femme est faite pour l’Homme, il ne lui est donc pas permis de ‘quitter’ son Époux ; et, en effet JC ne s’adresse pas à la femme, Il ne dit pas de quitter son mari à cause de Son Nom ! Même pour quelque chose de ‘noble’, ou même pour ‘ne pas perdre son Âme’, elle ne peut quitter son Mari comme nous l’avions vu aussi précédemment81. De plus, JC n’ayant pas d’Autorité sur l’épouse (Autorité infrangible* de l’Époux), Il ne le pouvait non plus rien qu’à ce titre !
3. SNDF n’a pas quitté sa femme à cause de mon nom [NSJC], celui de JC, mais à cause d’une lubie, d’un délire mystique que le Malicieux semble lui avoir ‘inspiré’, ou plutôt susurré*. En effet, la femme de SNDF n’était pas une entrave à Sa sainteté ; et si cela avait été vraiment, Il aurait dû la ‘quitter’ en la châtiant pour qu’elle s’amende, et non la quitter physiquement : par séparation-divorce !
4. La ‘sainteté’ de SNDF est plus que douteuse, en effet, il a fallu faire une entorse gravissime à la règle des trois miracles pour sa canonisation !
2Jésus-Christ. Év. saint Marc ~ Chapitre 10, 9. Nouveau Testament que vous trouverez ici : Livres & sources.
3Voir : DP-4.I.1.a, Qui est pour qui ?, ou qui est lié, enchaîné et à qui ?
* - Pour connaître la raison de cet astérisque et des suivants en nos documents, veuillez lire : Leur mode d’emploi…, point Nos documents comportent des astérisques ‘*’…
4Recherchez ces termes en ‘rouge droit’ dans cette étude, ou leurs variantes, par ex. pour dominer : dominer, dominée, domination, dominant, etc.
Voir : particulièrement DP-6.C.1, Propos préliminaires : cessons de pratiquer la langue de bois.
5Voir : DP-18.E.6, La profondeur de l’ordre d’obéir en toutes choses.
6Dans le domaine des courses hippiques, quand on ne peut pas voir à l’œil nu qui a franchi la ligne d’arrivée en premier, on utilise une photo pour départager les concurrents. Si le résultat est clair, on dit qu’"il n’y a pas photo".
http://www.linternaute.com/expression/langue-francaise/73/il-n-y-a-pas-photo/
7Oui, oui !, nous sommes parfaitement infectes, nous la savons ! Ne confondez pas une bande magnétique avec un cerveau !, ce n’est pas parce que l’on est capable de dégorger, que l’on comprend ; et certainement pas que l’on est capable de concevoir ! Lisons ces petits extraits d’un écrit d’une femme :
Remarquons que la femme préfère aux travaux qui demandent une gymnastique intellectuelle, une certaine intensité de réflexion, les études où l’on a besoin de beaucoup d’activité, que l’on poursuit machinalement en répétant indéfiniment les mêmes actes, jusqu’à ce qu’ils deviennent automatiques ; que les femmes qui s’adonnent à des études théoriques se consacrent toutes, sauf de rares exceptions, à des travaux d’érudition, ce qui confirme le public dans l’illusion que la femme a une passion pour l’étude. Or, s’il y a quelque chose de contraire à la passion de l’étude, ce sont bien les travaux d’érudition tels qu’on les pratique généralement dans nos Universités, véritables catalogues minutieux où l’on peut consumer une vie sans y mettre la moindre parcelle d’intelligence, de réflexion, d’intuition et dans la confection desquels l’activité à copier des citations remplace la ténacité à poursuivre une idée donnée et à la conduire à la perfection. […]
Beaucoup de jeunes filles, qui n’étudient pas par besoin étudient parce que c’est « à la mode » dans leur milieu, parce qu’une voisine, une amie, une parente a fait des études. C’est là l’origine de la décision de la plupart des femmes de se consacrer tantôt aux lettres, tantôt à la musique, tantôt à l’art. […]
Mais le sentiment qui peut le plus facilement amener la femme à se faire illusion, et surtout à faire illusion aux autres au sujet de sa passion pour la science, est l’amour-propre, le désir d’attirer l’attention d’autrui.
Pages 258-260, « l’âme de la femme », Gina Lombroso.
8Livre de La Genèse. « Ancien Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page 692.
9Voir : Valérie Létard veut briser le silence ?, alors secourons cette insondable insensée !… où nous parlons de violences ; ici nous venons de voir encore une vrai violence*, celle faite à sa conscience !
10Voir : DP-3.A.6, Dieu donne à Adam d’enseigner la femme encore inexistante…
Voici aussi ce que dit Saint Augustin :
La défense fut-elle faite à Adam et à Ève en même temps ?
On se demande avec raison si la défense fut adressée à l’homme et à la femme, ou à l’homme seulement. A cet endroit de l’Écriture, la formation de la femme n’est point encore décrite. Aurait-elle été déjà créée à cette époque? L’Écriture reprend plus tard son récit pour exposer en détail l’œuvre qu’elle n’avait fait d’abord que mentionner. Du reste voici les paroles de l’Écriture : "Le Seigneur Dieu commanda à Adam ;" il n’est pas question de deux. Elle ajoute : "Tu mangeras de tous les arbres qui sont dans le jardin ;" il ne s’agit encore que d’un seul. Viennent ensuite ces paroles: " Quant à l’arbre de la science du bien et du mal, vous n’en mangerez pas." Ici on emploie le pluriel ; la fin du précepte s’adresse également au premier couple humain: "Car du jour que vous en mangerez vous mourrez de mort." Était-ce en prévoyant qu’il allait bientôt donner une compagne à Adam que Dieu formulait son commandement avec tant de précision, afin que l’homme transmît à sa femme les ordres du Seigneur ? L’Apôtre a conservé cet usage dans l’Église, quand il a dit : "Si les femmes veulent s’instruire de quelque chose, qu’elles interrogent leurs maris à la maison.(1Co 14,35)"
Augustin, De la Genèse, Chapitre 17, 36. http://www.clerus.org/bibliaclerusonline/fr/ctc.htm
11(Re)Voyez particulièrement la note 97, ch. 6.D.2.g, page 363.
12Voir : Qui est pour qui, qui est lié à qui ?, dans le Mariage… ; ou DP-4.I, Autour de la célébration du Mariage.
13Genèse 3,16. Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », que vous trouverez en cette page : Livres & sources.
14Voir : DP-7.B.6.a, La femme doit être toujours et en tout assujettie à l’Homme…
15Voir : DP-3.C.4.e, Et c’est la femme qui se plaint du mal entré en ce monde ! ; et DP-7.B, La femme, son insoumission, origine de tous nos maux…
16Voir : DP-7.E.9, Allez, une petite dernière pour la route…
17Voir : DP-4.E, La fable sidérante, abrutissante de la femme battue.
18Voir : DP-9.B.2, Sauvé ou damné, que de l’avoir voulu, et de volonté certaine !
20Voir : DP-3.B.10.c, Avertissement à ceux qui n’ont pas encore été touchés, croient-Ils… ; DP-6.C.9.a, L’épouse coupable de fornication ou de fornication doit être réprimandée, recevoir des coups ! ; recherchez aussi gendarme !
21Voir : DP-6.D.2.e, Revenons maintenant à ce qu’a fait A. S.
22Voir : DP-5.B.2.j, Pourquoi, au point précédent, avoir mis complémentaires entre guillemets ?
23(Re)Voyez note 92, ch. 6.D.2.e, page 359 ; et idem pour les citations du même paragraphe.
26Notamment : CN-2008-18, Le drame d’Anne-Lorraine, le martyre de la pureté, le viol… ; point 18.H.1.a - Le petit garçon, Mathias, a été violé !?
28Acte des Apôtres, 20, 21. - Nouveau Testament, que vous trouverez ici : Livres & sources
30Comme ces Schtroumpfettes, même pas des ‘première main’ : Rachida Dati, Valérie Pécresse, Nathalie Kosciuska-Morizet, Chantal Jouanno, Michèle Alliot-Marie, Rame Yade, Christine Lagarde, Anne-Marie Idrac, Valérie Létard, Fadela Amara, Nadine Morano, Rachida Dati, Roselyne Bachelot-Narquin, Christine Boutin, Christine Albanel, etc.
31Rivarol 2459 du 10 décembre 1999, page 4, « L’exemple des Rothschild ».
32Nous rappelons très énergiquement que Patrie vient de Père, et c’est du reste pour cela que l’on déteste le mot Patrie maintenant, lisons :
-Patrie : Le mot patrie chez les anciens signifiait la terre des pères.
Le ‘chez les anciens’, veut simplement dire que ces anciens n’avez pas encore été lessivés par ‘eux’ ! Ce n’est pas parce que l’on a oublié une définition, qu’en Vérité le mot a changé de sens !
Nous parlons de Patrie, aussi bien pour ces ‘étrangers’ qui ont La leur, que pour La nôtre ! Ainsi, en leur Patrie, à ces ‘étrangers’, nous sommes, si nous les visitons, des ‘étrangers’ nous-mêmes !
Si un étranger visite en Sa Maison le Chef de Famille ou un de ses membres, il ne fait pas pour cela partie de cette Famille ! Et réciproquement pour cette personne étrangère, si l’on la visite, l’on ne fait pas pour cela partie de sa Famille !
34Ce terme exact fut insufflé malicieusement, perversement, par un prêtre, cloaque* d’impureté*, de la secte FSSPX, dans l’oreille d’une épouse (viol* ou adultère* selon le cas), car l’Époux ne voulait pas marcher droit selon leurs critères de vicieux : Votre Époux vous prend pour une sous-espèce !, et ce, parce que l’Époux en question voulait que Son épouse Lui obéisse sans discuter !
35Évangile selon Saint Jean ~ Chapitre 6, 10. « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf page 692, et Idem pour les citations suivantes.
36Évangile selon Saint Matthieu ~ Chapitre 14, 21.
37Évangile selon Saint Matthieu ~ Chapitre 16, 9.
38Évangile selon Saint Marc ~ Chapitre 6, 44.
39Évangile selon Saint Marc ~ Chapitre 8, 19.
40Évangile selon Saint Luc ~ Chapitre 9, 14.
41Actes des Apôtres ~ Chapitre 4, 4.
42Devoir d’état (religion) :
Le catholicisme nomme devoir d’état les obligations particulières de chacun par suite de son état, de sa condition et de la situation qu’il occupe.
Exemples : "Par exemple, dans le quatrième commandement, sous le nom de père et de mère, sont compris encore tous nos supérieurs, et ainsi de ce commandement dérivent tous les devoirs d’obéissance, d’amour et de respect des inférieurs envers leurs supérieurs, et tous les devoirs de vigilance qu’ont les supérieurs envers leurs inférieurs" (Catéchisme Pie X, chapitre 5, paragraphe 1)
Le devoir d’état du Chef de Famille, du Pasteur, c’est de s’occuper de Son troupeau-Famille : le guider, le protéger des loups, le pâturer (corps, intelligence et Âme !), l’abriter, etc. C’est qu’à l’Époux-Père que revient de réaliser ces devoirs.
43Pour ‘infrangiblement’ : Face aux négations ariennes, Cyrille défend que Dieu doit intervenir pour diviniser l’homme : il faut un Fils pour faire des hommes des fils. Cyrille marque l’importance des personnes où les Trois collaborent chacun sous un aspect original à une action infrangiblement une.
Voir : DP-7.B.3.b, La dépendance infrangible de la femme, une jouissance pour elle et pour Lui ! ; recherchez aussi infrangible.
44Voir : DP-3.A.6.a, Saint Jean Chrysostome dit bien que c’est L’Homme qui enseigne sa femme :
45Voir : DP-3.A.6, Dieu donne à Adam d’enseigner la femme encore inexistante… ; et divers…
46Voir : DP-3.B.4, Nous allons parler de fontaine…; et divers…
47S’agiter dans un sable mouvant :
Du fait que la densité de son corps est proche de 1, un animal ne pourra s’enfoncer qu’à moitié dans un sable mouvant. Contrairement à une idée répandue (popularisée par certains films de genre), un corps pris dans un sable mouvant n’est donc pas aspiré par le fond, mais flotte (2 fois mieux que dans de l’eau). C’est l’augmentation de la viscosité qui le maintiendra immobilisé. De plus, la plupart des zones de sables mouvants ne sont pas très profondes.
Pris dans un sable mouvant, il vaut donc mieux n’user que de gestes doux, afin d’éviter toute nouvelle liquéfaction, et tenter de ramener de l’eau autour de ses membres, en se laissant flotter. Par ailleurs, il vaut mieux s’allonger pour ralentir le processus.
48Idée générale de la Famille. -Son origine. -Son importance. -Ses caractères primitifs. « Histoire société domestique – 1844 – Mgr Gaume », Chapitre premier, réf. page 695.
49Voir : DP-4.I.1.a, Qui est pour qui ?, ou qui est lié, enchaîné et à qui ?
50Voir : DP-5.C.1.a, Voyons donc ce que ce prêtre disait, voici des notes prises par l’un de nous :
52Toutes des femmes qui prennent la place d’Hommes, débauchent des Hommes dans tous les sens du terme, qui pontifient, qui prétendent enseigner des Hommes, et ce en infraction totale du Droit naturel que rappelle ainsi Saint Paul : « Que les femmes se taisent dans les assemblées* » (I Cor. XIV, 34) et « Je ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme* » (I Tim. II, 12).  parce que la femme doit être soumise à l’homme, comme on le lit dans la Genèse* (Gen. 111, 16) ; St Thomas ajoute : « les femmes qui ont reçu le don de sagesse et de science peuvent faire usage pour l’enseignement privé, mais non pour l’enseignement public* » (ad.3).
Quelques femmes révoltées : Rivarol : Camille Galic, Claude Lorne, Chard, etc. ; Présent : Caroline Parmentier, Jeanne Smits, Catherine Robinson, etc. ; Les Intransigeants : Alice et intervenantes ; etc.
53Ce site qui ne s’est pas arrêté en si bon chemin. Voir : une autre de ses errances : Le Salon Beige : De la démocratie en Afghanistan.
54Pie XII, Discours aux jeunes époux, 30 juillet 1941. http://www.clerus.org/bibliaclerusonline/fr/bw1.htm
55Vers la 120ème minute du film : La Canonnière du Yang-Tse :
57Voir : DP-9.C.4, ±0032 - Gardez-vous des faux prophètes qui viennent à vous…
58Voir : DP-10,Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I).
59(Re)Voyez note 2, ch. 9.A, page 551.
60Poste face de l’Éditeur, 2000 ans de complots contre l’Église – 1962-63 – Maurice Pinay, page Livres & sources
63Voir : DP-10.B.3, La question est, est-il donc permis de se séparer ?
64Voir : DP-10.C.1, L’Église, peut-Elle permettre la séparation matrimoniale ?
65Chap. 2 Le Noviciat (542-571) - Article 1: Conditions d’admission, Can. 542, § 1.« Droit canonique - 1917 », réf. page 696.
66Ermite = moine, et n’ergotons pas sur la nuance…
-Ermite : A.− RELIG. Religieux retiré, pour un temps limité ou jusqu’à sa mort, dans un lieu désert, pour y mener une vie de piété et de mortification. (Quasi-)synon. anachorète, solitaire; (quasi-)anton. cénobite. Un ermite réfléchit, la tête dans ses deux mains, au fond d’une grotte (Huysmans, À rebours, 1884, p. 84)
-Noviciat : A. −Préparation des novices à la vie religieuse, qui consiste à éprouver leur vocation et dont la durée varie selon l’ordre, la congrégation; état des novices pendant cette formation. Commencer, faire, achever son noviciat, entrer en noviciat; temps de noviciat. Le postulant étoit d’abord [chez les Jésuites] éprouvé par dix ans de noviciat (Chateaubr., Génie, t.2, 1803, p.528). Au bout de ces deux mois d’épreuves et d’exercices, de pratiques religieuses, (…) sa vocation sans dégoût, sans retour, toujours plus ferme, la fit juger digne du noviciat (Goncourt, Soeur Philom., 1861, p.96)
Donc ainsi, le noviciat étant la préparation à des vœux plus étendus : moine, ermite, etc., si l’on est admis invalidement au noviciat, bien plus l’on devient moine ou ermite, etc, invalidement !
67Chap. 2 Le sujet de l’ordination (968-991), Can. 987. « Droit canonique - 1917 », réf. page 696.
68Évangile selon saint Matthieu ~ Chapitre 26, 74-75, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page Livres & sources
  • 69Les Actes des Apôtres ~ Chapitre 9, 4-5, « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page Livres & sources
70Voir : DP-6.A.4.a, Est-il bien, de critiquer voire même dénoncer les écrits d’un Saint ?
71De Fernand S. (Molsheim), Courrier des lecteurs. Rivarol n° 2897 du 13 mars 2009.
72Voir :
→ DP-8.E.1.a, Notre ‘acharnement’ à dénoncer la Trahition…
→ DP-9.C.4, ±0032 - Gardez-vous des faux prophètes qui viennent à vous…
→ DP-10.B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare !
→ et plus particulièrement DP-10.B.3.e, La séparation des époux, un péché qui ne sera jamais remis !
73Obéissance forcément illégale !, cherchez : porter plainte*, obéissance au prêtre*, au nom de l’obéissance*, direction*, directeur*, spirituel*, viol*, adultère*, cloaque d’impureté*, cloaques d’impureté*, FSSPX*, consœur*, etc.
74Voir : DP-11.D, Un nouveau partisan de la recette à la Saint Nicolas de Flue.
75Estocade : L’estocade doit se faire dans la « croix » (espagnol : cruz), zone de quelques centimètres carrés située à hauteur du garrot, entre la colonne vertébrale et l’omoplate droite.
762ème épître de st Paul aux Corinthiens ~ Ch. 3, 6. « Nouveau Testament - Traduction catholique de Fillion », réf. page Livres & sources
77Homélie LXIV. Matthieu 19, 27 – 20,17. « Œuvres complètes – 881 - Saint Jean Chrysostome », réf. page 693.
78Rompture : subst. Fém. -/- V. rupture. -/- A. - "Morceau, débris" -/- B. - Au fig. -/- 1. "Non-respect de qqc." -/- 2. [D’une action] Tomber en rompture. "Être interrompu, être suspendu"
http://www.cnrtl.fr/definition/dmf/rompture
79Voir : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.D.2, Servante de son Époux !, Saint Astère, dit-il autre chose ?
80Rechercher le terme appartiennent, dans toute notre étude !
81Voir : tout DP-8.E, La femme, en ‘danger’, ce qu’elle doit considérer…

1 commentaire:

  1. Ce jour, nous venons de réécrire et considérablement augmenter tout le point : 11.C.5 - 2) Que l’on le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant.

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