Du :
26.04.2009, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mer. 5 nov. 2014,
18.15.
Table
de ce chapitre de notre Document
principal,
DP-…
11
- Les épreuves,
tribulations et afflictions, l’Espérance (II).
11.C
- Tant que l’on ne
l’aura pas rebridée, rien, rien n’ira ! 640
11.C.1
- 1) Qu’elle,
la femme, avait originellement la bride. 640
11.C.2
- Congénitalement
parlant, la femme était, est et sera bridée. 641
11.C.3
- Un parallèle
entre la nudité perçue et la bride ressentie. 643
11.C.4
- Soit elle
embrasse sa bride, ou soit l’Époux doit la lui resserrer. 648
11.C.5
- 2) Que l’on
le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant. 649
11.C.6
- Alors qu’eux ne
veulent pas leurs femmes libres ! 656
11.C.6.a
- La parité ?,
un efféminé + une femme, soit aucun Homme ! 656
11.C.6.b
- Que pour
‘eux’, ils lui veulent la bride bien ajustée, bien serrée. 657
11.C.6.c
- Vous voulez
absolument croire que nous affabulons, délirons ? 657
11.C.7
- 3) Que de
Droit l’on doit la lui remettre, sinon rien n’ira ! 660
11.C.8
- Rien à faire,
nous sommes dans une société d’Hommes ! 661
11.C.9
- Reprenons :
la Famille est l’unique Base de toutes les sociétés ! 666
11.C.10
- Reprenons :
l’Époux est Base et raison d’être de la Famille ! 667
11.C.11
- Et bien que Pie
XII nous soit pas si cher, voici un bon texte : 669
11.D
- La séparation
‘permise’, la tarte ‘Saint Nicolas de Flue’… 671
11.D.1.a
- Exposé de
l’affaire ‘séparation à la Saint Nicolas de Flue’. 671
11.D.1.b
- Un nouveau
partisan de la recette à la Saint Nicolas de Flue. 672
11.D.1.c
- Où nous
devons parler de l’hautement suspect Pie XII. 673
11.D.1.e
- L’Église
permet-Elle une séparation pour cause de ‘vocation’
religieuse ? 675
11.D.1.f
- Revenons à la
séparation ‘acceptée’ par le conjoint. 676
11.D.1.g
- 1) Ce Saint a
fait des miracles, c’est la preuve que l’on peut se
séparer ! 677
11.D.1.h
- 2) Nous
serions indignes parce que nous critiquons un Saint ! 678
11.D.1.i
- Un des
promoteurs de la recette à la Saint Nicolas de Flue en la secte
FSSPX : 678
11.D.1.j
- La recette
Saint Nicolas de Flue défendu par Saint Matthieu ? 680
11.D.1.k
- Résumons ce
que nous venons de voir à travers Saint Matthieu : 684
11.A.1.a - L’entièreté
de notre étude est disponible :
→ En
un seul document au format PDF à la page DP
(dont le nom est surligné en
jaune). Ce format est plus agréable à lire, il donne la
possibilité de bien se déplacer, il comporte des images et les
liens, etc.
→ Chapitre
par chapitre en cette même page de notre site.
11.A.1.b - Ce
chapitre est confié…
En
ce deuxième dimanche après Pâques, à Notre-Dame
du Bon Conseil, fêtée ce dimanche 26 avril 2009 ;
et à Saints Clet et Marcellin, Papes et Martyrs fêtés ce même
jour…
11.A.1.c - Scission
de ce chapitre.
Nous
avions prévu scinder ce chapitre en deux parties, mais nous étendant
par nécessité, ne pouvant laisser de brèche, il sera finalement
partagé en trois (ou quatre ?) :
10. Les
épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I).
11. Les
épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (II).
??. Les
épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (III).
11.A.1.d - Résumé
de ce chapitre.
→ Nous
sommes dans une société d’Hommes, de Mâles, et donc nécessité
absolue de rebrider la femme, l’épouse.
→ Dénonciation
de l’escroquerie de la séparation à la ‘Saint Nicolas de Flue’.
11.B - Introduction
à ce chapitre.
Oui,
et c’est ce que nous avons déjà bien vu dans la première partie
de ce chapitre, comme tout au long de notre étude, tout tourne
autour d’une révolte, d’une immense hypocrisie en ce qui regarde
la destruction de la Famille : la libération de la femme ou son
débridement ; et la séparation-divorce qui serait conforme à
la Loi naturelle et donc permise par l’Église !
Ce
que Dieu a uni,
que l’homme ne le sépare donc point.
Maintenant,
nous allons démontrer que nous sommes de Droit divin dans une
société formée que d’Hommes, de Mâles, et que tant que l’on
n’aura pas rebridé énergiquement la femme, rien, mais alors rien
ne pourra aller !
Nous
allons aussi démonter une fable d’Hommes qui se disent d’Église,
la séparation à la mode Saint Nicolas de Flue, ou la recette
putride de la tarte à la crème ‘Saint Nicolas de Flue’ !
Ne
fermons pas nos lèvres, ne cachons pas la Justice au fond de notre
cœur : J’ai
annoncé ta justice dans la grande assemblée ; Seigneur, je
n’ai pas fermé mes lèvres, tu le sais • Je n’ai pas
caché ta justice au fond de mon cœur ; ta fidélité, ton
salut, je les ai proclamés (Graduel
de la Saint Pie X, fêté le 3 septembre.)
Avec
ce qui suit nous pouvons vous dire que de nombreuses personnes vont
crier comme des orfraies, comme les courtisanes jouant aux vierges
effarouchées crient complaisamment au scandale ; mais…,
disant la vérité, à moins que vous nous convainquiez du contraire,
nous n’en avons que faire !
Nous
allons avancer encore plus loin, être encore plus précis, incisifs,
sans aucune langue de bois comme promis, soit radicalement à
l’opposé de tout ce que nous entendons actuellement : égalité
des sexes ; tolérances de tous genres ; Homme violent et
femme sainte ; enfants appartenant aux deux parents soit :
50% à elle et les autres 50% pour elle ; Musulmans ‘arriérés’
dominant ‘bestialement’ leurs épouses ; etc.
11.C - Tant
que l’on ne
l’aura pas rebridée, rien, rien n’ira !
Nous
finissions la première partie de ce chapitre en disant :
L’on
ne peut avoir la prétention de rétablir les sociétés Église et
État, et comble de l’hypocrisie la Famille, et dans le même temps
saper la seule et infrangible Autorité de cette dernière en
prétendant pouvoir la limiter et la contrôler, et ce avec la menace
permanente pour le Chef de Famille : la séparation-divorce !
Voyez-vous,
tant qu’à se faire traiter d’ayatollahs, autant que cela en
vaille franchement le coup !, peut-être même nous fera-t-on un
prix de gros ! Alors, allons-y courageusement, pas de lâcheté
par demi-mesure ! La Vérité c’est un tout, et c’est tout !
Nous
l’avions promis :
sans aucune langue de bois !
Notre
titre dit que : Tant
que l’on ne l’aura pas rebridée, rien n’ira !
Ainsi donc si l’on doit la rebrider, lui ‘remettre la bride’, à
la femme, cela sous-entend :
1. qu’elle,
la femme, avait originellement la bride ;
2. que
l’on le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant ;
3. que
de Droit l’on doit la lui remettre, sinon rien n’ira !
11.C.1 - 1) Qu’elle,
la femme, avait originellement la bride.
Nous
avons bien vu que la femme a été engendrée par l’Homme, et pour
Lui uniquement : Car
l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été
tirée de l’homme ; et l’homme n’a pas été créé pour
la femme, mais la femme pour l’homme.
Et
à cause de cela, et nous l’avons suffisamment développé depuis
le début de notre étude, la femme en général, et l’épouse en
particulier, devait : être dominée, ;
servir* ;
être sa
servante* ; être dans la digne
servitude* ; dirigée*
en tout ; contenue[ir
chacun] dans
son devoir* ; se faire corriger*,
ou être réprimandée*
ou châtiée*,
ou recevoir des coups*
si nécessaire ; obéir
en toutes choses* et même obéir
encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables* ;
etc.
D’utiliser
ce mot bien fort précis, incisif, et même ébouriffant pour ce
monde amolli, le terme rebrider,
cela répond à une nécessité ultime : provoquer un
électrochoc salvateur !
11.C.2 - Congénitalement
parlant, la femme était, est et sera bridée.
Elle
a été donnée à Adam, par Dieu,
bridée !
C’est
comme l’on veut : soit c’est l’Œuvre de notre Seigneur
Dieu ; ou soit, pour les essentiellement négationnistes, c’est
l’œuvre de ‘dame nature’ !, car enfin soyons au moins
visuellement honnêtes, et constatons ensemble qu’au premier coup
d’œil, et ‘il n’y a pas photo’,
par rapport à l’Homme il est évident :
→ que
la femme est nettement plus petite : elle est bridée
quant à la hauteur !
→ que
la femme est nettement moins charpentée : elle est bridée
quant à l’ossature !
→ que
la femme est nettement moins forte : elle est bridée
quant à la musculature !
→ que
la femme regardée honnêtement, est moins bien proportionnée, moins
belle : elle est bridée
quant à l’esthétique !
→ qu’à
la femme, et de cela l’on s’en aperçoit dès sa naissance car il
lui manque quelque chose de très important, ce qui fait que, sauf
donc pour les hommelettes, l’Homme est viril !, qu’Il a le
pouvoir d’engendrer en Sa femme : elle est bridée
quant à la Puissance !
→ que
la femme, et de cela on s’en aperçoit assez rapidement, est
nettement moins intelligente
que l’Homme : elle est bridée
intellectuellement !
Et
si maintenant nous devions regarder les autres qualités essentielles
que l’Homme possède : maîtrise de soi (contrôle de ses
nerfs, de sa peur, de sa vessie, de son imagination (quelque peu
‘fougueuse’ chez la femme !), etc.), intelligence, capacité
à se déterminer, à s’orienter, à pénétrer, etc. : rien à
faire, n’importe qui peut le contacter, ‘il n’y a pas photo !’,
la femme est ‘dramatiquement’ bien bien bridée
par rapport à l’Homme !
Si
il est encore des ‘Hommes’, les pauvres !, à avancer, l’air
futé : Eh l’intuition féminine, son ‘6ème
sens’ !, alors Voir : DP-6.F.1, L’intuition féminine, son 6ème sens, une gigantesque escroquerie !
Tout
ce que nous venons de voir fait beaucoup de moins pour une femme qui
serait l’égale de l’Homme. Mais tous ces ‘moins’, ces
brides,
ne sont qu’un constat fait à l’œil nu d’une Disposition
divine : la femme est ordonnée à l’Homme, la
femme pour l’homme*.
11.C.3 - Un
parallèle entre la nudité perçue et la bride ressentie.
Passons
de la nudité perçue, à la bride ressentie…
11.C.3.a - De
la nudité perçue :
-- Percevoir
[de : nudité perçue] : Saisir, prendre connaissance par
les sens.
Dans
le Livre de la Genèse nous lisons :
2,25.
Or Adam et sa femme étaient nus
tous deux, et ils ne rougissaient
point.
3,6-7.
La femme considéra donc que le fruit de cet arbre était bon à
manger, qu’il était beau à la vue, et agréable à contempler. Et
en ayant pris, elle en mangea, et elle en donna à son mari, qui en
mangea aussi. 3,7. En même temps leurs yeux furent ouverts à tous
deux; ils reconnurent qu’ils
étaient nus, et ils
entrelacèrent des feuilles de figuier, et s’en firent des
ceintures.
3,21.
Le Seigneur Dieu fit aussi à
Adam et à sa femme des habits de
peaux, dont il les revêtit.
-- Reconnaître
[de : ils reconnurent] : Qqn reconnaît qqn/qqc.
Synon. vieilli ou littér. connaître.
Ils
reconnurent, ceci veut bien dire qu’ils
connurent, qu’ils perçurent, qu’ils virent : qu’ils
étaient nus.
Mais
ils
reconnurent qu’ils étaient nus qu’après
la
faute originelle* ; qu’après que la
femme soit tombée
dans la transgression* ; et qu’après
qu’Adam qui devait
compatir à sa femme*, et qui donc devait
la discipliner, puisqu’elle était son inférieure*,
ne l’eut point fait !
Oui,
cette nudité ne
fut perçue
qu’après la
faute originelle ; avant,
Adam et sa femme étaient nus tous deux, et ils ne rougissaient
point.
Reprenons
tout ceci :
→ Avant
la faute originelle : Adam et la femme n’étaient
point gênés par cette nudité : ils
ne rougissaient point !
→ Après
la faute originelle : leurs yeux furent ‘ouverts’,
le Malicieux les ayant ‘illuminés’, ils
reconnurent qu’ils étaient nus, ils
perçurent cette nudité, et ne supportant plus cette nudité
perçue : ils
entrelacèrent des feuilles de figuier, et s’en firent des
ceintures. Et quoi qu’en disent ces pervers
de nudistes, et malgré toutes les violences*
qu’ils fassent à leur conscience et à la morale, aucun de ceux-ci
ne peut prétendre être sans gêne !
11.C.3.b - À
la bride ressentie :
Nous
savons très bien que la femme est faite pour l’Homme, ordonnée à
l’Homme,
et donc qu’elle doit (il est
Droit*
que) Lui être soumises
en toutes choses*, bridée
en toutes choses :
→ Avant
la faute originelle : Peut-on dire, en continuation
du point où nous parlions de laisse-collier*,
que le chien docile marchant auprès de son maître ressent le
collier*
comme une contrainte ? sachant de plus, que vu la docilité de
Son chien, le Maître n’a pas emporté la laisse* ?
Non !, nous pouvons même dire que ce chien est fort fier de ce
collier qui le distingue d’un chien sans maître, c’est son
‘alliance*’ !
Allons
plus loin, approchons-nous, regardons et voyons ce collier flotter
lâchement autour de son col !, en effet pourquoi le serrer
plus ? Pourquoi serrer la bride
à ce chien docile ? Ainsi donc, sauf d’être particulièrement
de mauvaise foi, nous ne pouvons que constater que :
1) ce
chien porte une bride
(collier ou ‘alliance’) ;
2) ce
chien est fort fier de sa bride ;
3) ce
chien ne ressent même pas cette bride,
il ne la perçoit
pas !
L’épouse
était originellement bridée,
mais comme pour la nudité non-ressentie, non perçue, cette bride
ne pouvait être ressentie, perçue, en effet comme pour le chien
ci-dessus, ne tirant pas, ne regimbant pas, ne se révoltant pas,
elle ne pouvait ni la ressentir, ni la percevoir !, et mieux, la
femme étant docile, la bride-collier
ne nécessitait donc pas de laisse !
→ Après
la faute originelle :
Dieu
dit aussi à la femme: Je multiplierai vos maux et vos grossesses.
Vous enfanterez dans la douleur: vous serez sous
la puissance de votre mari, et il
vous dominera.
La
femme, qui était originellement et congénitalement bridée
comme nous venons de le voir, eut les yeux ‘ouverts’ par
l’Illuminé en Maître, le serpent ! Ainsi à cause, non de la
malice du Malicieux, mais à cause de sa propre malice qui lui fit
écouter ce Malicieux, cette bride
lui est devenue ‘insupportable’ : les
hommes ne supporteront plus la saine doctrine.
Et
La femme étant responsable de tous nos malheurs,
il est juste qu’elle soit punie : Mais,
si la femme doit être soumise à l’homme comme à son chef
naturel, elle
lui est assujettie plus strictement encore,
en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle
a une réparation à lui faire et une punition de son péché à
subir.
Ou, ce que nous avons vu avant, et dit fort ‘durement’ par le
Seigneur Dieu infiniment Juste et Bon à la femme : vous
serez sous la puissance de votre mari, et il vous dominera.
Ce
texte nous confirme bien que la femme était originellement soumise à
l’Homme, qu’elle portait donc bien originellement la bride :
la
femme doit être soumise à l’homme comme à son chef naturel ;
mais que maintenant, et uniquement par sa faute, cette bride
lui pèse fort lourd : elle
lui est assujettie plus
strictement encore.
Ce
qui veut dire en clair, que la femme ayant péché : on doit lui
resserrer la bride ;
qu’elle doit être plus strictement
assujettie encore ; encore plus sous la
puissance de son Mari ;
que son Époux la dominera
encore plus ; qu’elle doit ressentir encore plus cette bride
car elle
a une réparation à lui faire et une punition de son péché à
subir !
Ne
croyez-vous pas que l’on est bel et bien à des années-lumière de
ce que vicieusement sous-entend la fable sidérante*,
incapacitante*
de ‘la femme
battue*’ ?
Puis
là, à la femme, comme à quiconque, ne s’offre que deux
possibilités : soit la sainteté, ou soit le refus de cette
sainteté ;
ou soit la soumission,
ou soit le refus de cette soumission qui est révolte !
→ Si
la femme est sainte : elle
acceptera l’‘insupportabilité’ du port de cette bride
qui doit lui être bien ajustée, serrée, car à son Époux, comme à
l’Homme en général, elle
a une réparation à lui faire et une punition de son péché à
subir !
→ Si
la femme ne veut pas être sainte :
si donc elle se révolte, ce qui est maintenant
la règle quasi universelle, et même dans les milieux autoproclamés
‘les plus préservés’, elle refuse alors cette juste bride
bien ajustée, cette juste Punition divine. Et pousse alors un jour
ou l’autre sa révolte jusqu’au terme en essayant de recevoir des
coups pour pouvoir ‘fonder’ plus sûrement encore sa plainte
auprès des complices du Malicieux (les commissaires du peuple :
gendarmes, assistantes sociales, ‘juges’ des affaires familiales,
etc.),
et ainsi d’avoir une séparation-divorce exclusivement à son
avantage !
11.C.4 - Soit
elle embrasse sa bride,
ou soit l’Époux doit la lui resserrer.
Revenons
à l’aspect émotionnel, émotionnel que pour ceux qui ont bien
voulu oublier le simple bon sens, du terme brider ;
regardons bien, soyons honnêtes, quelle différence voyez-vous entre
brider
et digne
servitude*, ou brider
et obéir
en toutes choses*, ou brider
et obéir
encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables*,
etc. ? Aucune !, il n’existe aucune différence !
-- Brider :
1. Contenir dans
certaines limites, mettre un frein à la liberté d’action d’une
personne ou au développement d’une force instinctive.
Exactement
ce que nous rappelle le Concile de Trente : Enfin
il [l’Époux] doit régler sa famille, corriger et former les mœurs
de tous ceux qui la composent, et contenir
chacun dans son devoir*.
Contenir
son épouse,
n’est-ce pas la brider ?
11.C.5 - 2) Que
l’on le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant.
De
plus en plus de femmes se font battre !… Elles se font battre
parce qu’elles résistent… Elles résistent parce qu’elles
savent que nous les soutenons* !
Qui
est donc ce ‘nous’,
qui les
soutenons ?, ce n’est pas la femme,
étant bridée !
Il a fallu une main extérieure la débridant et empêchant de la
rebrider ! Et là il faut bien l’avouer, bien qu’il existe
une main cachée que nous allons découvrir ensuite, ce sont des
Époux criminels qui ont permis ce crime, parce qu’Ils ont bien
voulu oublier que la
barre de la nef domestique a été confiée à*
leurs mains.
Pourquoi cet oubli ?, parce que
l’indolence, l’insouciance, l’égoïsme et les passe-temps*
leurs ont fait abandonner
ce poste*.
Les
Époux ont débridé Eux-mêmes leurs femmes parce qu’ils ont bien
voulu étouffer leurs consciences et écouter la ‘voix’ du
monde ; la voix qui ‘prêche’ notamment du haut de la chaire
cathodique la ‘bonne parole’ de ‘eux’ !
Au
début, ce n’était pas ‘grave’, les bons Époux, ces
rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée,
gardiens fidèles de leur gens (voir
ensuite), continuaient à conduire la
nef domestique […] confiée à [leurs] mains (idem).
Mais,
de défections en défections d’Époux honnêtes, de contagions en
contagions de femmes révoltées, l’étendue du mal permit à ‘eux’
d’inventer démoniaquement des lois bâillon-menottes contre ces
Époux résistant à l’appel à la désertion, Époux soi-disant
véritables talibans
qui veulent imposer leur loi à leurs femmes*,
comme le disait le 25 juillet 2008 Nicolas Sarkozy.
La
fatale confusion des esprits s’installant, le mal s’étendant
tant et tant, les derniers vrais Hommes en viennent, sous la pression
de la masse moutonnière, à spontanément aider les épouses de
Leurs propres Frères à se révolter !, et ainsi par ricochet,
ou plutôt par retour de bâton ou de boomerang, ou par juste retour
des choses, ou par justice immanente, à finalement détruire Leurs
propres foyers !…
Pour :
à spontanément aider les épouses :
De
fait, certains lâches ayant déjà capitulés pour eux-mêmes, mais
estimant que son Frère est libre de gérer Sa Maison comme Il
l’entend, ne viennent audit secours desdites femmes battues que par
peur de dénonciation par la plèbe et de se retrouver ainsi endite
justice pour non assistance à dite femme en danger !
Nous
avons vu un pharmacien, fort ‘baba-cool’, bon Époux et bon Père
selon les canons actuels, parti pour une convention d’un
jour, rentrer le soir même dans Sa Maison entièrement vidée de
tous Ses biens : épouse, enfants (4), meubles, etc. Il sut
ensuite que c’était son épouse qui avait débauché ses propres
amis, dont un gendarme ! Grâce aux témoignages (médisances,
ou le plus souvent calomnies) venant même de ses propres amis, ce
pauvre Époux perdit jusqu’à la garde alternée de Ses enfants !
Vous
souriez ?, vous pensant inatteignable !, attendez votre
tour, et là peut-être comprendrez-vous ; peut-être seulement,
car le bétail en vient à vénérer ses propres bourreaux qui eux
veulent tout détruire de fond en comble, en principalement la
Famille !
Pitoyable
insolidarité des Époux, des Chefs de Famille qui fait qu’en fin
de compte Ils détruisent leurs propres Maisons !
Pour :
Pitoyable insolidarité des Époux, des Chefs :
-- Insolidarité :
n.f. ÉCON. SOCIOL. - FEW (12, 54b), 1860 ; L,
cit. Proudhon ; absent TLF.
1846
- «On ne peut jeter les yeux sur le travail du Cce [commerce] et du
voiturier sans apercevoir des bénéfices à réaliser de toutes
parts, bénéfices irréalisables avec le monopole et la concurrence,
c. à d. l’insolidarité […]» Proudhon, Carnets,
vol. 1, 244 (Rivière, 1960) - J.S.
Nous
profitons de cette définition pour souligner l’exemple donné, qui
dit donc, et recopié ainsi : il
y a du bénéfice à faire par tout le monde !, et ces bénéfices
deviennent irréalisables à cause du monopole (donc des brevets) et
de la concurrence, tous deux étant de l’insolidarité !
Nous
ne pouvons tout attaquer de front, mais ceci correspond tellement à
notre pensée : oui, c’est ‘eux’ qui ont inventé
démoniaquement les mots brevets (oudits droits d’auteurs) etdite
concurrence pour dire faire baisser les prix, ce afin de détruire le
commerce pour nous, afin qu’eux raflent les pauvres gents.
Réfléchissez
rien qu’un peu !, pourquoi ne pas acheter son croissant à son
juste prix ?, pourquoi vouloir que son confrère boulanger, que
l’on a transformé en concurrent sous l’instigation de eux, crève
afin de ramasser seul la mise ?
La
concurrence est un fatal boomerang qui vous reviendra plutôt que
plus tard en arrière de vous et vous fauchera impitoyablement ;
la concurrence c’est l’appauvrissement, voulu par eux, de toutes
nos sociétés de Droit naturel !, ce à leur seul profit
inexorablement vampiriste.
L’insolidarité
détruit tout !, et principalement l’insolidarité des
Chefs de Famille !
Et
c’est ‘eux’ aussi qui ont inventé la concurrence entre les
époux, qu’ils appellent ladite égalité des sexes, ce uniquement
pour détruire les Familles !
Concurrence
juive, ou confrérie chrétienne :
Nous
lisons un livre en ce moment, et voici ce qu’il y est dit :
Dans
l’organisation corporative d’autrefois, sous l’Ancien Régime,
il était interdit de détourner à son profit les clients du voisin.
« La ‘chasse aux clients’ était rigoureusement interdite.
C’était une action ‘antichrétienne’, immorale que d’enlever
des clients à son voisin », écrit Werner Sombart dans son
livre Les
Juifs et la vie économique.
Les
ordonnances saxonnes sur le commerce des années 1672, 1682, 1692
stipulent (art. 18) : « Nul marchand ne doit détourner
les acheteurs de la boutique de son voisin. Il lui est défendu
également d’empêcher gens, par signes ou par gestes, de faire
leurs achats ou bon leur semble ou de les diriger chez d’autres
marchants, bref de les influencer d’une façon quelconque. »
On voit ici tout ce qui distingue les commerçants juifs des
commerçant chrétiens.
(Source :
Les milliards d’Israël - Escrocs juifs - de
Hervé Ryssen - page 100 - Nous recommandons très chaudement ce
livre...)
L’auteur
dit On
voit ici tout ce qui distingue les commerçants juifs des commerçant
chrétiens ;
sauf que depuis au moins 60 ans, les gents se comportent tout le
temps entre-eux, soit entre chrétiens, soit entre Frères, dans le
commerce et en tout, comme ces Juifs,
qui
ont tué même le Seigneur Jésus, et les prophètes, et qui nous ont
persécutés à notre tour ; qui ne plaisent point à Dieu, et
qui
sont les ennemis de tous les hommes.
(I
Tes. 2, 15)
Nous
venons de dire gents,
ordinairement maintenant l’on écrit gens ;
or, pourquoi avoir supprimé le ‘t’
final ?, pour nous, ceci correspond à une volonté maligne de
eux !, gardez
les mots, videz-les de leur sens !
qu’ils disent, ou changez-le pour arriver au même ! ; en
effet, d’où vient gent :
de gentil ! ;
voyez ce qu’ils, eux, disent d’eux-mêmes : Dans
le style des Hébreux, tout homme qui n'est pas Juif d'origine est
Gentil.
Ou
comme Saint Paul le dit ...
prêchant aux Juifs et aux gentils
la pénitence envers Dieu, et la foi en notre Seigneur
Jésus-Christ ;
les Gentils, globalement adhérèrent à ce qui était prêche par
Saint Paul ; mais les Juifs, très majoritairement refusèrent
obstinément cette conversion !
Gent
vient de Gentil,
et veut dire non-Juif,
ou Goy en leur
langage !
Pour
sauver Ta propre Maison,
cours courageusement au secours de Ton
Frère,
et aide-Le à rebrider radicalement Son épouse !
Barack
Hussein Obama, lui, disait avant ce que Nicolas disait plus haut :
la guerre contre les Chefs de Famille est
une guerre que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre*.
Et Nicolas continua ainsi : c’est pour cela que la
décision d’envoyer des hommes pour que le Moyen-âge ne revienne
pas est stratégique* !
Pour :
des
hommes pour que le Moyen-âge :
(Reprise
note 92, ch. DP-6.D.2.e, voir contexte)
Il
suffit d’écouter les blablabla de Sarkozy lors de la visite
d’Obama en France, le 25 juillet 2008 :
« L’Afghanistan
est une guerre que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre »,
a déclaré Barack Obama, estimant qu’il faudrait « au moins
deux brigades américaines supplémentaires » même s’il
« comprend que cela soit très difficile politiquement en
France et en Europe ». « La
décision d’envoyer des hommes pour que le Moyen-âge ne revienne
pas est stratégique »,
a
renchéri Nicolas Sarkozy,
en parlant des talibans ? après les remerciements de Barack
Obama pour ces renforts.
De
fait, et peut-on nous aider à trouver la citation exacte, ce que
Sarkozy disait était plus ou moins ceci : nous
allons mettre la pâté aux talibans qui veulent imposer leur loi à
leurs femmes, nous sommes sortis du moyen-âge et nous ferons tout
pour ne pas y retourner !
Les
lois criminelles (pour interdire ledit viol conjugal qui est
forcément impossible tant pratiquement d’elle (physiquement, elle
ne peut violer son Époux) que légalement de Lui ; pour imposer
ladite égalité des sexes qui est l’émasculation de l’Époux,
ladite coparentalité qui est le partage ou l’organisation de
l’anarchie ; etc.) qui sont votées contre les Chefs de
Famille s’appuient sur des commissaires
du peuple préalablement bien rééduqués, bien formatés
et bien travestis (Eh oui, c’est dans l’air du temps !) en
policiers ou gendarmes ; en psys-mabouls-ce-que-vous-voulez ;
ou en assistantes-sociales-passionnaria forcément divorcées, ou
larguées car imbuvables, mais bien refoulées et donc violemment
anti-Homme ; etc !
Ce,
afin de venir audit secours des épouses que ‘eux’ ont poussées
à la révolte ! C’est pour cela que furent institués les
tribunaux du peuple,
appelés dans nos contrées pendant la phase encore sous-marine (plus
pour bien longtemps !) du communisme : Tribunaux des
Affaires Familiales !
– Alors
ce nous, ce ils
ou ce eux, c’est
qui ? – Bah c’est eux !
– Mais enfin, ce eux,
c’est qui ? – Ce eux
est impossible à signifier, c’est malheureusement impossible de le
dire, car… et ne n’oublions surtout pas, alléluia !, nous
sommes libres…!
Oui,
dits libres de seulement penser, croire et confesser que ce que eux
nous imposent dogmatiquement !, c’est ça leurdite liberté
d’expression !
11.C.6 - Alors
qu’eux ne veulent pas leurs femmes libres !
Il
n’y a rien à faire, c’est ainsi, nous sommes dans une société
d’Hommes, et ce : de Droit divin !; ou, pour les
essentiellement négationnistes, et de disposition tout aussi
infrangible : dedite dame nature ! Et les viragos qui sont
sans testicules, et les suicidaires qui ont accepté d’être
émasculés, ont beau hurler, cela ne changera strictement rien,
c’est ainsi !
Que
ces viragos et ces émasculés regardent bien, bien bien plus haut
que ces hautes sphères apparentes où l’on ne voit que des
faire-valoir même plus en jupons,
si une parité quelconque existe ! Ces faire-valoir féminins
sont bien utiles au demeurant pour faire passer et accepter
l’impensable, ce qu’un Homme aurait fort hésité à proposer :
ledit droits à son corps (contraception-avortement), lesdits droits
divers des pervers(e)s), etc.
11.C.6.a - La
parité ?, un efféminé + une femme, soit aucun Homme !
Savez-vous
ce qu’est la parité en politique, comme d’ailleurs partout ?
Un pâté d’alouette sans aucune trace d’alouette ! La
parité ce n’est rien de plus qu’un efféminé mesuré à l’aune
d’une femme. La parité est une gigantesque escroquerie !,
dans le pâté il n’y a pas un seul Homme ! En effet, si cet
‘Homme’ l’était vraiment, cet ‘Homme’ n’accepterait pas
d’être mesuré à l’aune de cette femme !
Que
ces viragos et ces émasculés regardent au-dessus de ce bal des
Schtroumpfettes, si les femmes de nos maîtres sont débridées !,
c’est ce que nous allons voir maintenant…
11.C.6.b - Que
pour ‘eux’, ils lui veulent la bride bien ajustée, bien serrée.
Dans
les hautes sphères, les réelles, celles qui se voient que lorsque
l’on veut effectivement chercher et voir, l’on voit bien que
‘eux’ protègent leurs sociétés : famille, entreprise,
associations diverses, etc. ; et cela en tenant bien fermement
les, leurs femmes, par la bride !
‘Eux’
le savent bien, ‘eux’ n’ont pas voulu l’oublier, ‘eux’ se
protègent, mais ‘eux’ veulent le ‘merdier’ pour nous, et
c’est uniquement pour cela qu’ils ont débridé,
‘libéré’ qu’ils disent, nos femmes afin qu’elles les aident
à tout renverser ! C’est uniquement pour cela qu’ils ont
inventé les fables : de la femme battue par son Époux, de la
femme opprimée par son Époux, de la femme en danger avec son Époux,
de la femme violée par son Époux, etc. !
Nous
pouvons être sûrs que ‘eux’ rappellent certainement
journellement si nécessaire la cadence à leurs femmes par quelques
bons pas de polka*
bien appuyés, bien rythmés, bien orchestrés par la baguette du
maître de maison ! ‘Eux’ ne risque pas la dénonciation,
car c’est ‘eux’ qui commandent : médias, police,
gendarmerie, justice, etc. Tout leur est inféodé !
11.C.6.c - Vous
voulez absolument croire que nous affabulons, délirons ?
Alors,
lisez cet exemple entre de multiples autres :
David
de Rothschild, baron français de la City, explique, dans une page
entière du Monde (26/10/99), les raisons de la pérennité du succès
de cette célèbre famille de banquiers installés en France depuis
cinq générations. Cette entreprise planétaire qui est dirigée à
la façon d’une PME, pour
réussir, est toujours attachée à appliquer
scrupuleusement la règle suivante : « Ni
femmes ni gendres. »
Et
c’est le journal Rivarol, véritable fief de femmes se prétendant
anti-féministes, qui nous le rapporte !
Voici
au moins un bon pâté, malheureusement réservé qu’à ‘eux’ !,
que de l’alouette, du garanti à 100% !, aucune mixité :
ni
femmes ni gendres ! Donc, et ce en
clair : ni
femmes ni étrangers ! Ce n’est que
comme cela que l’on peut sauver sa Maison !, Maison-Famille,
maison-entreprise, maisons-toutes-entreprises, ou Maison-Patrie,
etc. !
Et
l’on se moque dans les médias des ‘intolérants’ arabes,
noirs, talibans et autres, qui ne veulent pas, et
ce le plus légitimement du monde, que la petite sœur
épouse un étranger pour eux ! Nous les soutenons à 100% dans
le principe !, rien à redire, ils sont le plus légitimement
possible ‘racistes’, ils ne veulent que, et ce de Droit divin,
protéger leur race-Famille-Patrie, comme quiconque !
11.C.6.d - Où
nous en venons à reparler du Droit salique.
Précision
très importante !, ensuite
nous allons parler d’‘étrangers’, et ne voulant pas de méprise
quant à notre pensé intime, nous insistons : pour l’étranger,
nous sommes des étrangers !
Ce
que nous voulons pour Nous, Nous le voulons donc en toute charité
pour Eux !
Ce
que nous voulons, c’est bien restaurer Notre, La Nôtre ou La Leur,
Autorité de Droit divin !; et ce en Nos, Les Nôtres ou Les
Leurs, Sociétés-Familles et Sociétés-Autres !
À
la fin du point DP-7.B.6, Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie XII à la femme.,
et juste avant le point DP-7.B.6.a, La femme doit être toujours et en tout assujettie à l’Homme…,
nous disions que Le
Droit salique était fort juste, fort Droit* !,
relisez aussi la note 58, ch. 7.B.6, page 416, et vous constaterez
avec plaisir que David
de Rothschild, lui, n’a pas oublié ce
précepte du Droit naturel, ayant inspiré le Droit salique ! Ni
femmes ni gendres, disait-il, soit
ajoutions-nous en clair ni
femmes ni étrangers !
L’Ordre
en Nos sociétés par :
ni femmes ni étrangers !
Mais
qu’est-ce de plus ou de moins que le Droit salique, par rapport au
Droit naturel ?, et par rapport à ce que veut pour lui David
de Rothschil ? Rien, c’est exactement
la même chose, ni
femme ni gendres ou étrangers !
Ainsi
reprenons :
→ Le
Doit naturel dit : l’Ordre par ni
femmes ni gendres ou étrangers !
→ Le
Droit salique dit : l’Ordre par ni
femmes ni gendres ou étrangers !
→ Le
Droit de David
de Rothschil dit : l’Ordre par ni
femmes ni gendres ou étrangers !
Mais
que ne veulent pas maintenant les gens dits ‘bien pensants’ ?,
soit bien copieusement formatés ?, que l’on dise : Nous,
les Chefs de Famille, Nous voulons l’Ordre en Nos Familles et en
toutes Nos sociétés, par ni
femmes ni gendres ou étrangers !
Ainsi
donc, ne voulant l’Ordre pour nous, ils nous imposent le
désordre !, l’anarchie, la séparation-divorce, par femmes
et étrangers, dans toutes nos sociétés !
Ainsi
donc, la parité est bien l’organisation du désordre, par :
femmes
et étrangers dans toutes nos sociétés !
La parité est le désordre malicieusement imposé !, la parité
est la révolte par excellence contre l’Ordre !, la parité
est révolte !, la parité est le non
serviam* luciférien !
11.C.7 - 3) Que
de Droit l’on doit la lui remettre, sinon rien n’ira !
Comment
restaurer les diverses sociétés, État, Église, etc., sans
restaurer la Société de base de toutes ces sociétés qui ne
forment qu’un seul édifice posé uniquement sur la Famille qui est
leur finalité ?
Comment
restaurer cette unique Base de toute société, la Famille, sans
restaurer la raison d’être de Celle-ci, et Son unique Base, le
Chef de Famille, Époux et Père ?
Cette
bride
dont nous parlions ne devrait être originellement qu’une vue de
l’esprit !, en effet :
→ quel
Époux briderait
effectivement Sa dulcinée, Sa bien-aimée venant picorer tout
doucement et toute pleine de reconnaissance le grain qu’Il lui tend
au creux de Sa main ?
→ quel
Époux resserrerait la bride
de Sa tendre colombe roucoulant à Ses pieds, en Le caressant de son
bec et de ses ailes ?
→ quel
Époux ferait cela alors que Sa biche L’enivrerait généreusement
avec ses deux
faons jumeaux* ?
→ quel
Époux ferait cela alors qu’Il ne S’apercevrait même pas qu’Il
commande, voyant comme de Droit tous ses désirs devancés par Sa
tendrelette ?
Si
nous devons parler de bride,
c’est uniquement parce qu’il y a : résistance ou
cabrements ; ou pire : ruades et révolte ! La bride
qu’elle doit avoir de Droit divin est : ou soit ‘symbolique’
et ‘lâche’, ou soit effective et restreignante ; ou soit
embrassée, ou soit imposée…
11.C.8 - Rien
à faire, nous sommes dans une société d’Hommes !
Ce
n’est pas les Époux ‘détraqués’ qui considèrent la femme
comme une ‘sous-espèce’,
une ‘sous-catégorie’, ou si vous préférez, et ce qui amènera
moins d’émotions toutefois parfaitement hypocrites : une
catégorie, un deuxième sexe ordonné au Premier, et par là
totalement dépendant et asservi en toutes choses au Premier, soit la
femme à l’Homme !
Ce
n’est pas des Époux ‘détraqués’ qui ont inventé cette
ordonnance totale de la femme à l’Homme !, c’est, sauf pour
les essentiellement négationnistes qui alors doivent dire leur
révolte à ‘dame nature’ :
→ Le
Seigneur Dieu qui prescrivit cette dépendance de la femme à
l’Homme, ce dans Son infini Amour.
→ Son
Fils qui vint renouveler, restaurer cette Loi.
→ Les
Apôtres de Ce dernier, qui nous La rappelle.
Nous
délirons ?, voyons cela !, le 22 mars 2009 c’était le
4ème dimanche de carême, et nous avons donc lu
l’Évangile de la ‘multiplication des pains’, selon Saint
Jean(6.1-15), lisons le passage qui nous intéresse :
Saint
Jean écrit : Jésus
dit
donc : Faites
asseoir ces hommes.
Or il y avait beaucoup d’herbe en ce lieu. Ils s’assirent donc,
au nombre d’environ cinq
mille hommes.
Nous
remarquons bien que Jésus
dit, Saint Jean n’étant que le rapporteur
de Sa parole, que seuls les Hommes sont à faire asseoir :
Faites
asseoir ces hommes. Et nous constatons aussi
que seuls les Hommes comptent, qu’Eux seuls sont comptés : au
nombre d’environ cinq mille hommes !
Nous
prenons nos désirs pour réalité ?, Jésus aurait parlé des
hommes dans son sens générique ?, Il voulait dire les
humains : Hommes et femmes ?, vérifions cela…
Lisons
d’autres textes sur le même événement et tous parfaitement
accordés :
Saint
Matthieu écrit : Or
le nombre de ceux qui mangèrent fut de cinq
mille hommes,
sans
compter les femmes et les enfants.
Vous
avez bien noté comme nous : sans
compter les femmes et les enfants !,
sans plus de commentaires pour l’instant…
Saint
Matthieu écrit : Ne
comprenez-vous pas encore, et ne vous souvenez-vous pas des cinq
pains distribués à cinq
mille hommes,
et du nombre des paniers que vous avez emportés ?
C’est
le Christ qui est rapporté ici, c’est donc Lui qui dit qu’Il
donna : cinq
pains distribués à cinq mille hommes !
Saint
Marc écrit : Or
ceux qui
avaient mangé
étaient au
nombre de cinq mille hommes.
Saint
Marc écrit : Quand
J’ai
rompu les cinq pains
pour
cinq mille hommes,
combien avez-vous emporté de corbeilles pleines de morceaux ?
Ils Lui dirent : Douze.
C’est
encore une fois Jésus qui parle, et personne n’est plus Vrai et
plus doux que ce Jésus ! Et cette Bonté même et Justice même
ne parle que des Hommes : J’ai
rompu les cinq pains pour cinq mille hommes !
Ce Jésus ne donna du pain qu’aux Hommes, et ce, sans se préoccuper
aucunement comme nous l’avons lu plus haut, des femmes et des
enfants : sans
compter les femmes et les enfants. Quelle est
la raison d’être d’une telle attitude que maintenant nous
n’hésiterions pas à taxer d’‘inqualifiable’, de misogyne ?
Nous allons le développer ensuite…
Saint
Luc écrit : Or
il y avait là environ cinq
mille hommes.
Alors Il dit à Ses disciples : Faites-les asseoir par groupes
de cinquante.
Les
Apôtres écrivent :
Cependant,
beaucoup de ceux qui avaient entendu la parole crurent ; et le
nombre des hommes fut de cinq mille.
Reprenons
tous ces textes, nous l’avons bien lu :
→ ce
n’est que les Hommes qui sont comptés, qu’Eux comptent, et Ils
sont au nombre d’environ
cinq mille !
→ ce
n’est que les Hommes qui sont invités à s’asseoir : Jésus
dit donc : Faites asseoir ces hommes !
→ ce
n’est que les Hommes qu’on invite à s’asseoir sur l’herbe,
car il
y avait beaucoup d’herbe en ce lieu !
→ c’est
n’est que des Hommes que ce Christ, Amour personnifié, fait
grouper par un certain nombre, Il dit : Faites-les
asseoir par groupes de cinquante !
→ c’est
que pour des Hommes que Notre Seigneur Jésus-Christ, Amour et
Charité, fait cette multiplication miraculeuse des cinq pains et
trois poissons : J’ai
rompu les cinq pains pour cinq mille hommes !
→ ce
n’est que des Hommes dont-on s’inquiète de savoir si Ils ont
bien mangé : ceux
qui avaient
mangé
étaient
au nombre de cinq
mille hommes.
Dans
cette société d’Hommes,
qu’Eux comptent !
Et
pourtant il y avait bien les
femmes et les enfants ! Et les
femmes et les enfants avaient-ils moins faim
que les Hommes ? Non !, mais même le Seigneur ne pouvait
les compter, en tenir compte !, c’est pour cela que Saint
Matthieu dit : sans
compter les femmes et les enfants !
Oui,
les
femmes ne comptent pas en tant qu’êtres
autonomes, elles ne sont pas à répertorier !, elles ne sont
reportées qu’à leurs Époux !, et les
enfants, mâles ou femelles, qu’à leurs
Pères !
Pourquoi ?
Parce que qu’au Chef de Famille seul revient de s’occuper de Sa
Maison, et donc il est inconvenant de passer, et même pour Dieu,
au-dessus de ce Chef de Famille ! Qu’à Lui revient le devoir
de ‘gagner’ les pains et les poissons des siens ! Qu’à
Lui fut dit par le Seigneur Dieu : C’est
à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain(Gen
3, 19) !
C’est
Dieu dans son infinie Providence qui nous donne les moyens
nécessaires à la réalisation de notre Devoir d’état !,
c’est donc à Dieu de donner aux Hommes, et qu’aux Hommes les
moyens nécessaires à l’obtention de ce pain ! Ainsi une
femme qui travaille vole le pain que seul son Époux est habilité à
lui fournir, rien qu’avec cela c’est une révoltée !
Reprenons,
ces Hommes étant démunis car ayant suivi ce Dieu d’Amour,
Celui-ci pourvu à Leur nourriture, et qu’à Eux : J’ai
rompu les cinq pains pour cinq mille hommes !
Ne
pouvant violer l’Autorité que Dieu le Père avait abandonné
infrangiblement
en Adam,
ce Jésus essentiellement soumis à Son Père ne pouvait s’occuper
du troupeau du Chef de Famille : femme-épouse,
et enfants
ou fils ou filles. Ainsi, ce Jésus laisse à cette unique et
infrangible*
Autorité de Droit divin, l’Époux-Père, le Chef de Famille :
de s’inquiéter et de s’occuper de Sa Maison, Son épouse et Ses
enfants !
Dieu
pourvoit l’Homme,
et l’Homme Sa Maison !
Nous
vous disions que même Dieu ne passe jamais
au-dessus du Chef de Famille !, en voici encore une preuve
éclatante. Oui, nous sommes que dans une société d’Hommes, ce de
Droit divin !
Or,
le nourrissement ne se limite pas au corps !, mais il recouvre
aussi celui l’esprit, et surtout celui de l’Âme ! Ainsi, ce
que nous venons de voir est une autre confirmation éclatante que le
nourrissement de l’esprit de l’épouse et des enfants
(enseignement),
et celui de leurs Âmes (direction spirituelle)
ne reviennent qu’au Chef de Famille, Époux-Père !
Et
si donc Jésus Lui-même ne pouvait violer cette Autorité que
L’Homme tient infrangiblement de Dieu le Père directement !,
alors ainsi, vous pouvez bien mesurer maintenant l’ampleur des
viols de ces prêtres cloaques
d’impureté, lorsqu’ils prétendent
pouvoir diriger de quelque façon que ce soit l’épouse et les
enfants !
Résumons :
Tant
que l’on n’aura pas restauré dans toute son étendue et toutes
ses prérogatives l’unique Base de la Famille, le Chef de Famille,
l’Époux-Père, la Société Famille ne pourra pas être
restaurée ! ; et cette dernière étant la Base de toutes
les sociétés, rien ne pourra être reconstruit ! Tout le reste
n’est qu’utopies et gesticulations, c’est même pire que de
s’agiter dans des sables mouvants !
11.C.9 - Reprenons :
la Famille est l’unique Base de toutes les sociétés !
La
famille n’est pas seulement la plus ancienne des sociétés,
elle est encore, dans un sens du
moins, la plus importante. Et
d’abord, elle est la base de toutes les autres, la base de l’État
et de l’Église. En effet, qu’est-ce que l’État ?
sinon la réunion d’un certain nombre de familles sous l’autorité
d’un chef commun, pour la conservation et le développement de leur
existence et de leur bien-être. L’Église
elle-même, qu’est-ce autre chose ? que la réunion de toutes
les familles chrétiennes sous l’autorité d’un Père commun,
pour la conservation et le développement de leur vie spirituelle.
Ainsi, ce que la racine est à
l’arbre, la source
au fleuve, la base à l’édifice, la
famille l’est à l’État et à l’Église : des
mains de la famille le premier reçoit ses citoyens, la seconde ses
enfants.
Dans
un sens plus intime encore et pour une raison plus profonde, la
famille doit être appelée la plus importante des sociétés.
11.C.10 - Reprenons :
l’Époux est Base et raison d’être de la Famille !
Ce
que nous avons vu ci-dessus : Car
l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été
tirée de l’homme ; et l’homme n’a pas été créé pour
la femme, mais la femme pour l’homme ,
et ce que nous avions vu bien plus haut, en plus de bien d’autres
citations étudiées : Le
centre de la famille est le père ; la mère est son associée,
sa subordonnée ; les enfants sont la conséquence, et non le
centre. La femme est pour son époux et non pour les enfants comme
fin première [de la femme],
ne disent que cela :
L’Époux,
raison d’être,
Base, Centre, Âme de la Famille !
Pendant
la rédaction de ce texte nous avons lu un article qui lamentablement
veut restaurer sans restaurer ! Être anti-libéral,
mais seulement qu’un peu, sans toucher à son petit hochet, soit à
ses petites compromissions, par ex. : Oui en effet !, il
faut restaurer l’Ordre naturel voulu par Dieu…, sauf dans mon
petit journal !
Voir : Le
Salon Beige : Favoriser
le Bien Commun
au niveau local., où vous verrez l’auteur
de l’article incriminé en pleine action : il dit qu’il faut
commencer par la restauration de la base alors qu’il commence par
restaurer le second étage ! Erreur, il faut commencer par la
vraie Base, par la fondation de toutes les sociétés : la
Fondation de la Famille, le Chef de Famille !
11.C.11 - Et
bien que Pie XII nous soit pas si cher, voici un bon texte :
A
cette époque, parmi la splendeur même des arts et des lettres,
s’étalait avec le déclin de l’austérité et de l’intégrité
traditionnelles une telle corruption qu’Horace s’écriait :
« Des générations fécondes en vices
souillèrent d’abord le mariage, la race et les foyers ;
de cette source jaillirent tous les
maux qui ont submergé la patrie et le peuple. La jeune
adolescente se complaît aux voluptueuses danses ioniennes… et, dès
ses premières années, rêve d’illicites amours »
Sans
doute, votre âme s’est détournée de pareilles images pour
considérer de préférence les souvenirs de ces antiques, fortes et
austères familles romaines qui firent la puissance et la grandeur de
Rome, dominatrice du monde : per quos viros… et partum et
auctum imperium, « ces hommes
de qui l’empire tient sa naissance et son développement ».
Vous les avez vus tels qu’ils vivent dans les récits de Tite-Live,
ces rudes pères de famille à
l’autorité absolue et incontestée, gardiens fidèles de leur gens
(le groupe des familles parentes), totalement dévoués au service de
la chose publique ; et à leurs côtés vous
les avez vues, noblement soumises, ces matrones irréprochables,
consacrées aux soins de leur maison, ces matrones qui, avec
Cornélie, la mère des Gracques, présentaient leurs enfants comme
leur plus belle parure, comme leurs plus précieux bijoux : Haec
ornamenta sunt mea, « mes parures, les voilà ! ».
Restauration
de toutes sociétés,
par celle du Chef de Famille !
Restaurons
la Famille par la restauration du Chef de Famille, l’Époux-Père,
dirigeant Sa Maison dans une autorité
absolue et incontestée ; et, à Son
service et à Ses pieds, là pour Le seconder selon Sa Volonté,
l’épouse irréprochable,
parce que fermement bridée,
et consacrée
aux soins de leur maison !
Ce
n’est qu’ainsi que les sociétés État et Église pourront
alors, et qu’alors, être restaurées par ces
rudes Chefs de Famille enfin libres de leurs
mouvements !
Et
c’est justement pour empêcher ces
rudes Chefs de Famille qu’‘eux’, ont
agacé nos épouses avec leur propagande de la ‘libération de la
femme’, venant du Malicieux et qui sape sape insidieusement mais
sûrement l’Autorité,
qui devait être absolue
et incontestée, de leurs Seigneurs et
Maîtres, leurs Époux.
Propagande
‘libératrice’ empêtrant ces rudes
Chefs de Famille dans la toile infernale des ‘négociations’ sans
fin et forcément vouées à l’échec, avec leurs épouses.
Comme
disait le Capitaine Collins commandant de la canonnière du
San-Pablo :
Je
n’ai que l’autorité sur ce bâtiment, que dans la mesure où je
ne tente pas de l’exercer* !
‘Négociations’
qui forcément finissent par, et dans le meilleur des cas, la
‘sentence’ venant de l’insensée*
épouse : Le
chef c’est toi, dans la mesure où tu commandes ce que je veux !
‘Négociations’,
pistolet sur la tempe, ne faisant de toutes les façons que reculer
de peu l’échéance inéluctable, fatale de la séparation-divorce !
11.D - La
séparation ‘permise’, la tarte ‘Saint Nicolas de Flue’…
Depuis
déjà plusieurs années, des personnes nous opposent comme
‘argument’ massue, qu’ils croient, le cas : Saint Nicolas
de Flue (SNDF).
Nous
allons encore une fois de plus démonter une escroquerie ne pouvant
sortir que d’esprits retors ou même particulièrement pervers :
la tarte à la crème à la mode SNDF.
11.D.1.a - Exposé
de l’affaire ‘séparation à la Saint Nicolas de Flue’.
Étant
donné que nous nous adressons à un public, formé que d’Hommes
nous le rappelons, très étendu et dépassant la véritable
catholicité, embrassant tous les Hommes de ‘bonne volonté’, il
nous faut rappeler ce que fut SNDF (1417-1487), canonisé le 15 mai
1947 par Pie XII :
SNDF,
né en Suisse aurait reçu des inspirations venant du Ciel lui
demandant d’abandonner femme et enfants pour se consacrer qu’à
Dieu…, lisons ce qui nous intéresse :
… Mais il est père de famille ; il aime ses enfants et
ceux-ci lui sont très attachés ; il est époux et les
liens du mariage sont indissolubles.
Ce n’est donc pas sans une grande crainte qu’il communique son
pieux projet à son épouse. Celle-ci verse d’abord d’abondantes
larmes et demande quelques jours pour réfléchir à ce qu’elle
vient d’apprendre. Reconnaissant alors la volonté de Dieu, elle
fait, avec l’héroïsme d’une femme vraiment chrétienne et pour
l’amour de Jésus-Christ, le sacrifice qu’on demande d’elle ;
elle
donne son consentement
avec une sainte résignation.
11.D.1.b - Un
nouveau partisan de la recette à la Saint Nicolas de Flue.
Poursuivons,
dernièrement nous avons encore eu une correspondance avec un
partisan de la recette : ‘tarte à la crème à la mode SNDF’.
Inutile de vous dire que pour préconiser une telle absurdité pour
le moins totalement irresponsable, cela ne peut venir d’un Époux !
Cela venait, et vous l’avez deviné, d’un cloaque
d’impureté*, d’un prêtre qui se prétend
de l’Église catholique !, d’un pervers utilisant sa soutane
comme tenue de camouflage : Gardez-vous
des faux prophètes qui viennent à vous sous des vêtements de
brebis, mais au dedans sont des loups rapaces* !
Et
parce que nous lui répondions, suite à sa lecture vicieuse de notre
chapitre précédent :
Nous
parlons de la séparation qui est une désertion venant quasi
exclusivement à l’initiative de l’épouse. Vous me parliez d’une
séparation à la mode de Saint Nicolas de Flue, qui justement doit
être abordée en un des premiers points du chapitre suivant.
La
séparation à la mode ‘Nicolas de Flue’, est une séparation non
à cause d’un désir de liquider l’Union et la cohabitation
OBLIGATOIRE sous le même toit, mais une demande de retrouver sa
‘liberté’ afin de se consacrer à Dieu !
Or,
non constatons, relisez sa vie, qu’il y a eu demande de l’Époux,
et acceptation de l’épouse, et ce pour un but déclaré supérieur,
et vous vous avancez en disant que c’était la Volonté de Dieu !,
or ce n’est même pas certain du tout que cela Lui ai plu !
Ceci
dit, les conditions doivent être : 1) l’acceptation du
conjoint ; 2) l’épouse ne doit point avoir besoin de son
Époux pour survivre ; 3) les enfants doivent être
élevés ; etc.
De
plus Nicolas de Flue n’a pas forcément bien fait en faisant cette
chose : ‘les saints sont formidables mais pas forcément
imitables’. Si un saint a grillé un feu rouge, je ne puis le
faire !, il n’a pas été canonisé pour cela, mais pour ‘son
bilan final’. Ainsi, une jeune fille ne doit pas vivre comme une
débauchée pour aller au Ciel sous prétexte que Sainte
Marie-Madeleine a été déclarée sainte !
Ce
à quoi notre contradicteur passablement de mauvaise foi nous
rétorqua l’air futé, très ‘intelligemment’ :
… Ensuite,
si ce n’était pas la vocation de Saint Nicolas de Flue de quitter
sa femme, il n’aurait pas fait autant de miracle de son vivant.
C’était la Volonté de Dieu. C’est un peu indigne de votre part
de déprécier la vertu d’un Saint…
Ainsi
donc il ressort de cette dernière réponse que (nous répondrons à
ces deux points plus loin) :
1. Ce
Saint a fait des miracles, ce serait donc la preuve que l’on peut
se séparer !
2. Nous
serions indignes parce que nous critiquons un Saint !
Nous
disons qu’il n’est pas sûr du tout que d’avoir abandonné
sa femme ait été la Volonté de Dieu !, cette action est de
fait bien sujette à caution, et hautement suspect quant à nous !,
continuons…
11.D.1.c - Où
nous devons parler de l’hautement suspect Pie XII.
Et
le plus comique dans l’affaire, c’est que notre correspondant, et
vous allez voir que cela ne manque pas de sel, est convaincu que Pie
XII, vers le milieu de son Pontificat, aurait ‘basculé’,
apostasié !
Nous,
nous savons très bien qu’en effet Pie XII est hautement suspect,
entre-autres Il se confessait et était conseillé par un suppôt du
Diable, un des ennemis
de tous les Hommes* :
→ Pie
XII conseillé par Béa : …
lequel [Pie XII],
très philo-sémite, avait d’ailleurs promu à de très hauts
postes les traîtres
comme Béa
et laissé s’étendre dans l’Église le cancer de l’anarchie
dogmatique et liturgique.
[…] Ce
haut clergé d’après guerre, nommé par Pie
XII conseillé par le juif Bea.
→ Pie
XII confessé et donc dirigé par Béa :
Le
cardinal Augustin
Bea
qui régnait à l’Institut du Latran et faisait partie, de
surcroît, de la commissio piana, confesseur
de Pie XII
depuis 1945.
11.D.1.d - Une
canonisation par Pie XII hautement suspecte !
Alors,
revenons à cette canonisation faite le 15 mai 1947, alors que déjà
depuis 2 ans Pie XII se confessait à un fils de la synagogue
de Satan*, comme nous venons de le lire :
confesseur
de Pie XII depuis 1945 !
Et
maintenant regardons comment Pie XII prend ses aises avec les règles
régissant la canonisation d’une personne :
Pour
la canonisation d’un bienheureux déclaré tel [soit Saint] par
voie extraordinaire, comme ce fut le cas en 1669 pour Nicolas de
Flue, trois miracles sont requis.
S. S. Pie XII a daigné déclarer
que deux miracles suffisaient pour cette cause. C’est ainsi
que la guérison de Mlle Ida Jecker, en juin 1937, et celle de Mlle
Berthe Schürmann, en mai 1939, guérisons dûment certifiées et
examinées par plusieurs médecins, ont été reconnues pour
miraculeuses et acceptées comme telles par le Pape dans une dernière
séance de la S. Congrégation des Rites, le 4 juin 1944.
Nous
avons bien lu n’est-ce pas, vous et nous : trois
miracles sont requis.
Et juste après, et sans rougir : S.
S. Pie
XII
a daigné déclarer que deux
miracles suffisaient ! Où,
lorsque l’on veut faire passer quelque chose en force, on change
les règles ! Viol !, c’est
à leurs fruits que vous les reconnaîtrez* !
Vous
rappelez-vous que nous avions dit
que ceux qui luttaient contre l’Esprit
qui tient unies toutes choses* en
désobéissant à l’ordre de Jésus : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point*, avaient
fait le péché contre l’Esprit qui ne sera
pardonné ni dans ce siècle, ni dans le siècle à venir* ?
11.D.1.e - L’Église
permet-Elle une séparation pour cause de ‘vocation’ religieuse ?
Bien
que nous ayons démoli cette prétention,
voyons tout de même si pour un bien prétendument ‘supérieur’,
tel le ‘service de Dieu’, l’Église admet qu’un conjoint se
sépare de l’autre pour aller au couvent :
Couvent :
1°
Sont admis
invalidement
au noviciat :
Toute
personne mariée
tant que dure l’état de mariage.
Donc,
SNDF s’est fait ermite
invalidement
vue que durait encore l’état de Son Mariage : Jusqu’à
ce que la mort nous sépare !
Prêtrise :
Sont
simplement empêchés :
Les
hommes mariés.
11.D.1.f - Revenons
à la séparation ‘acceptée’ par le conjoint.
Continuons
tout de même, bien que l’on désobéisse à Notre Seigneur
Jésus-Christ qui a dit : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point* ; et
bien que l’on lutte contre l’Esprit
qui tient unies toutes choses* ;
le cas ‘SNDF’ relève non d’une séparation-imposée, encore
que…, mais d’une séparation-‘acceptée’ : l’épouse
de SNDF donne
son consentement, avons-nous lu !, soit
en réalité par peur de ‘déplaire’ à son Dieu d’Amour, ou
viol d’une conscience !, chantage à la ‘Volonté’ de
Dieu !
Ainsi
donc, cette séparation ne serait pas un abandon de l’épouse par
l’Époux (ou vice-versa) mais une désobéissance d’un commun
accord (obtenue rappelons-le par chantage à l’obéissance à la
prétendue ‘Volonté’ de Dieu) des deux époux à Jésus :
Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point ;
et d’une lutte conjointe contre l’Esprit
qui tient unies toutes choses !
Plus
haut, nous avions relevés deux points qui ressortaient de cette
fameuse correspondance, voici leur développement :
11.D.1.g - 1)
Ce Saint a fait des miracles, c’est la preuve que l’on peut se
séparer !
Bien !,
alors poussons l’absurdité du raisonnement de notre interlocuteur
jusqu’au bout, rien qu’avec ces deux exemples parmi des milliers
d’autres :
→ Saint
Pierre a renié Notre Seigneur
Jésus-Christ (NSJC) : Alors
il se mit à faire des imprécations, et à jurer qu’il ne
connaissait pas cet homme.
Et aussitôt le coq chanta. Et Pierre se ressouvint de la parole que
Jésus avait dite : Avant que le coq chante, tu
me renieras trois fois.
Et étant sorti dehors, il pleura amèrement.
Saint
Pierre, après cette trahison innommable mais tellement regrettée,
fit ensuite de très nombreux miracles, bien plus que les fameux deux
(au lieu des trois nécessaires !) miracles vus ci-dessus de
SNDF ; Il a ressuscité des morts, etc. Alors, concluons, pour
être Saint il faut trahir, renier NSJC ! Absurde !, Saint
Pierre n’est Saint qu’à cause de son bilan final et non pour
avoir renié, trahi NSJC !
→ Saint
Paul a persécuté NSJC :
Et,
tombant à terre, il entendit une voix qui lui dit : Saul,
Saul, pourquoi Me persécutes-tu ?
Il répondit : Qui êtes-Vous, Seigneur ? Et le Seigneur :
Je
suis Jésus, que tu persécutes ;
il t’est dur de regimber contre l’aiguillon.
Saint
Paul, qui persécutait NSJC, fit ensuite de très nombreux miracles,
bien plus que les fameux deux (au lieu des trois nécessaires !)
miracles vus ci-dessus de SNDF ; Il a ressuscité des morts,
etc. Alors, concluons, pour être Saint il faut persécuter NSJC !
Absurde !, Saint Paul n’est Saint qu’à cause de son bilan
final et non pour avoir persécuté NSJC !
11.D.1.h - 2)
Nous serions indignes parce que nous critiquons un Saint !
L’exemple,
le bon exemple !, nous vient des Saints lorsque ce qu’Ils
faisaient était bien ! Or, ceux qui veulent lire ou écouter,
savent très bien que de très nombreux Saints se sont disputés,
et même parfois ‘violemment’.
Une
fameuse et dans les premières disputes est justement celle de Saints
Pierre et Paul au sujet de la circoncision.
L’affaire
est celle-ci (de mémoire) : Saint Pierre disait qu’avant le
Baptême le néophyte non-juif devait passer par l’étape
‘circoncision’. Contre ceci Saint Paul s’éleva énergiquement
et Saint Pierre finit par reconnaître son erreur, son tort, et même
publiquement !
Dans
cette affaire, Saint Paul a critiqué un autre Saint, et pas
n’importe lequel, mais Saint Pierre Chef des Apôtres établis par
NSJC-même !, ainsi donc selon notre détracteur Saint Paul
serait indigne !, alors qu’Il est cité souvent comme exemple
de probité, de charité !
Voilà
où mène la volonté opiniâtre de vouloir défendre
l’indéfendable : la séparation-divorce* !
Même
avec ‘acceptation’ du conjoint, et même pour ‘faire’ la
‘Volonté’ de Dieu : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point ! Et
point à la ligne !, le reste vient du Malicieux !
11.D.1.i - Un
des promoteurs de la recette à la Saint Nicolas de Flue en la secte
FSSPX :
INDIGNATION
– J’exprime, comme les rares lecteurs de bon sens, mon
indignation à l’égard de la
trahison patiemment organisée par Mgr Fellay et ses complices ;
tout cela ne sera pas sans conséquences, surtout pour les fidèles,
incités à manger le fruit empoisonné de l’apostasie
silencieuse.
Nous
ne devons avoir de cesse de dénoncer ces cloaques
d’impureté*, et surtout les plus
dangereux, les quatre loups*
en chef
de la secte FSSPX, qui au lieu d’amener les Âmes au Ciel, les
dirigent tout droit en enfer, en les attirant entre-autres avec ‘la
tarte à la crème à la mode SNDF’ : la séparation-divorce
pour un ‘bien’ prétendument supérieur.
Oui,
pour un ‘bien’ toujours supérieurement hypocrite, ces pervers se
donnent malicieusement le ‘droit’ d’enhardir, d’aider une
épouse à se défaire de la ‘tyrannie’ de l’Époux parce que
celui-Ci voulait justement, entre autres choses très graves, qu’elle
ne fréquenta plus ces pervers !
L’épouse
hésitait, mais le morceau fut emporté par ce cloaque
d’impureté grâce à ce stratagème
rapporté à une tierce personne par l’épouse : J’ai
dû porter plainte à la gendarmerie par obéissance au prêtre, il
m’a dit qu’en obéissant aveuglement au prêtre j’étais
assurée de faire la volonté de Dieu !
Incroyable,
désobéir à son Époux au
nom de l’obéissance* à des pervers*
de la FSSPX, dont les Mgrs Alfonso de Galarreta, Bernard Fellay et
Richard Williamson
en personne !, prêtres immondes, cloaques
d’impureté !
Incroyable !,
désobéir à son Époux pour faire la ‘volonté’ de Dieu !,
ou l’hypocrisie poussée à son paroxysme, ou l’aveuglement total
réalisé par l’Illuminé en Chef, Lucifer, afin de posséder en
enfer ceux qu’Il veut perdre éternellement ! C’est vraiment
un colossal malicieux ce Malicieux, ce Pince des ténèbres, ce Père
du mensonge !
11.D.1.j - La
recette Saint Nicolas de Flue défendu par Saint Matthieu ?
Et,
pensant nous porter l’estocade, ce partisan vu précédemment,
l’inconditionnel de la recette à la SNDF, ce cloaque[s]
d’impureté* en tenue de camouflage fait de
vêtements
de brebis* pour cacher le loup[s]
rapace[s]* qu’il est, après de nombreuses
autres ‘arguments’ particulièrement de mauvaise foi, crut nous
planter l’épée ‘Saint Matthieu’ à l’arrière de la tête,
dans la ‘croix’,
voici ce qu’il nous écrivit :
Cette
parole de l’évangile (Matthieu 19,29) a été pris
au pied de la lettre par Saint Nicolas de Flue, lorsqu’il
décida de quitter sa femme et ses enfants, afin de se consacrer
totalement à Dieu sans partage : « Et quiconque
aura quitté sa maison, ou ses frères, ou ses sœurs, ou son père,
ou sa mère, ou sa femme, ou
ses enfants, ou ses champs, à
cause de Mon nom, recevra le centuple, et possédera la vie
éternelle. »
Ce
fils du Malicieux nous a dit : Cette
parole de l’évangile […] pris au pied de la lettre,
voyons ce que nous dit à ce sujet Saint Paul : …
qui nous a aussi rendus propres à être les ministres de la nouvelle
alliance, non
par la lettre,
mais
par l’esprit ;
car
la lettre tue,
et l’esprit
vivifie.
Ce
que vient de dire Saint Paul s’applique particulièrement bien à
notre détracteur, en effet il est prêtre !, il fait donc
partie des ministres
de la nouvelle alliance !, et à ce
ministre
particulièrement corrompu, Saint Paul rappelle : non
par la lettre, mais par l’esprit ; car la lettre tue, et
l’esprit vivifie.
Nous
aurions pu facilement réfuter l’affirmation qui dit que l’on
pourrait ou devrait quitter
sa femme à cause du Nom de Jésus-Christ,
mais nous n’aurions pas pu le faire aussi bien que Saint Jean
Chrysostome (SJC), alors cédons Lui la parole :
Quand
Jésus-Christ dit ici : « Quiconque quittera
sa femme », il ne nous commande pas de rompre
les mariages. Il faut entendre ces paroles dans le même sens
que ces autres :
« Celui
qui perdra son âme pour moi, la trouvera ». Ce qu’il ne dit
pas pour nous porter à nous tuer nous-mêmes, et à arracher avec
violence notre âme de notre corps : mais pour nous avertir de
préférer toujours la piété à tout le reste. C’est l’avis
qu’il donne ici aux hommes à l’égard de leurs femmes, et de
leurs frères, et de tous leurs proches. Il me semble, que par ces
paroles, il marque obscurément les persécutions qui devaient
bientôt arriver dans son Église. Car, comme il devait y avoir
beaucoup de pères qui précipiteraient leurs propres enfants dans le
crime, et beaucoup de femmes qui y
pousseraient leurs maris, Jésus-Christ veut que les fidèles
cessent de regarder comme leurs femmes ou leurs pères, les personnes
qui les pousseraient à l’impiété.
Nous
remarquons bien que SJC dit : rompre
les mariages.
-- Rompre :
A. − 1. [Rompre implique l’idée d’une séparation
brutale […] B. − [Rompre implique une notion
d’arrachement] Briser
tout ce qui retient, attache.
Rompre un lien, ses amarres. […] ♦ Rompre un accord, un
traité, un pacte, un engagement, un serment, ses fiançailles, ses
vœux; rompre un marché. […] Se séparer
d’un coup en deux ou plusieurs parties.
Dans
le chapitre précédent nous nous battions pour démonter
l’équivalence évidente au sujet du Sacrement de Mariage des
termes séparation
et divorce.
Termes que nous associons du reste intentionnellement en disant
systématiquement : séparation-divorce* !
Et
que nous dit SJC : rompre !
Ou comme le dit la définition ci-dessus : un arrachement,
briser
une attache,
rompre
un lien ou amarres,
un
accord, un
traité, un
pacte, un
engagement, un
serment, un
marché, se
séparer […] en deux !
SJC
savait pertinemment que le Sacrement de Mariage ne peut être
dissous, donc lorsqu’Il dit qu’il ne faut pas rompre
les mariages, il ne peut s’agir que d’une
rompture
par séparation de corps !
Séparer
des époux, c’est bien rompre !
Et que nous dit SJC de Jésus-Christ (JC) : il
ne nous commande pas de rompre les mariages !,
est-ce que ceci ne correspond pas exactement à ce que ce JC nous a
dit : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point* !
Alors,
et uniquement pour cela (et de plus que l’Époux peut le faire, car
la parole n’est adressée qu’a Lui !) : si votre femme
comme certaines femmes
qui y pousseraient leurs maris, vous poussait
au mal, vous devez choisir de suivre
ce que dit JC plutôt que de suivre
cette pauvresse qui vous pousserai[en]t
à l’impiété. Ainsi, nous constatons bien
que notre détracteur a fait un glissement malicieux en donnant au
terme quitter
(ne point suivre
dans l’impiété)
une définition équivalant à l’abandon physique !, soit la
séparation de corps.
Sachant
que l’Époux a les moyens de Son Gouvernement (la corriger*,
la châtier*,
lui faire des réprimandes*
ou lui donner des coups*,
la battre*,
etc.), si ce monstre d’épouse ne pliait pas sous les coups que
légitimement elle doit recevoir, alors plutôt que de la suivre dans
le mal, vaut mieux la quitter,
à
cause de Mon Nom !
Mais
regardez bien, ce que SJC nous dit, regardez ce que veut dire ce
quitter :
Jésus-Christ
veut que les Époux fidèles
cessent de regarder
comme leurs femmes celles qui
les pousseraient à l’impiété.
Donc
la parole de Saint Matthieu ne veut nullement dire que pour suivre
JC il faille quitter
(abandonner) sa femme, même mauvaise, mais seulement ceci :
Époux, si Votre femme est un empêchement à la sainteté, alors,
cessez de la regarder comme votre épouse, mais comme l’ennemie de
Votre Salut éternel, d’où l’expression : quitter
sa femme à cause de Mon Nom !
Ou,
si vous ne comprenez vraiment pas, disons-le sans détour :
mettez impérativement votre épouse, que vous ne devez plus regarder
comme telle, mais comme l’ennemie de votre Salut éternel : au
cachot, aux oubliettes avec les rats, au pain sec et à l’eau ;
et ce, jusqu’à ce qu’elle s’amende et implore avec insistance
et vénération
votre pardon !
Et
c’est pour la même raison qu’un Seigneur héroïque justifia et
félicita Ses deux fils qui avaient mis au cachot leur propre mère,
jusqu’à temps qu’elle s’amende ; et c’est pour la même
raison que l’Apôtre Saint Thomas recommanda à un Époux de faire
subir à Sa femme un traitement plus que de choc !
Pour :
Épouse au cachot :
Pour :
Traitement de choc :
idem
ci-dessus ; point DP-6.C.3, L’Apôtre St Thomas conseille à un Époux de fouetter son épouse.
Avec
tout ceci, vous constatez bien que nous sommes à des années-lumière
de ce que la fable de ‘la femme
battue*’ suggère !
Avec
ces deux ‘cas’, nous venons de voir comment il faut ‘quitter’
l’épouse récalcitrante tentant de vous éloigner de Dieu par son
impiété, son insoumission : l’Époux doit ‘quitter’
Son épouse en la mettant au cachot, celle du 1er ex.
comme celle du 2d ex. ! Et celle du 1er
ex., au pain sec et à l’eau pendant plusieurs jours ; et
celle du 2d ex., fouettée de main de maître pendant
plusieurs jours aussi !
N’avions-nous
pas promis :
sans aucune langue de bois ?
Reprenons :
1) Notre
détracteur : s’est
malicieusement ‘trompé’, l’on ne peut de séparer
(de corps et de rein du tout) même pour un bien ‘supérieur’ !
2) Saint
Nicolas de Flue :
a très mal agit, en effet Sa femme était une ‘sainte femme’,
elle n’était pas du tout, et loin de là, un handicap à sa
sanctification !, elle ne le poussait pas, et loin de là, à
l’impiété !
11.D.1.k - Résumons
ce que nous venons de voir à travers Saint Matthieu :
1. Nous
sommes bien dans une société d’Hommes (et non d’Hommes et de
femmes, ou d’humains) : JC ne parle visiblement qu’aux
Hommes, en effet qu’Eux peuvent ‘quitter’
(mettre en prison, châtier énergiquement, jusqu’à l’amendement),
ou
sa femme, ou ses enfants !, en effet
qu’Eux possèdent :
femmes
et enfants !
2. La
femme est faite pour l’Homme, il ne lui est donc pas permis de
‘quitter’
son Époux ; et, en effet JC ne s’adresse pas à la femme, Il
ne dit pas de quitter
son mari à cause de Son Nom ! Même pour quelque chose de
‘noble’, ou même pour ‘ne pas perdre son Âme’, elle ne peut
quitter son Mari comme nous l’avions vu aussi précédemment.
De plus, JC n’ayant pas d’Autorité sur l’épouse (Autorité
infrangible*
de l’Époux), Il ne le pouvait non plus rien qu’à ce titre !
3. SNDF
n’a pas quitté
sa femme à cause de mon nom [NSJC], celui de
JC, mais à cause d’une lubie, d’un délire mystique que le
Malicieux semble lui avoir ‘inspiré’, ou plutôt susurré*.
En effet, la femme de SNDF n’était pas une entrave à Sa
sainteté ; et si cela avait été vraiment, Il aurait dû la
‘quitter’
en la châtiant pour qu’elle s’amende, et non la quitter
physiquement : par séparation-divorce !
4. La
‘sainteté’ de SNDF est plus que douteuse, en effet, il a fallu
faire une entorse gravissime à la règle des trois miracles pour sa
canonisation !
♣
Ce jour, nous venons de réécrire et considérablement augmenter tout le point : 11.C.5 - 2) Que l’on le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant.
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