Du :
21.03.2010, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : lun. 29 août 2016,
17.35.
Ce
point DP-4.K,
L’Église catholique, principal ennemi du Sacrement de Mariage ?!,
devrait se trouver au point DP-4.B.9,
Extension au sujet du Sacrement de Mariage ;
nous l’avons placé là pour ne point chambouler la numérotation
des chapitres.
Ce
chapitre est confié à la Très-Sainte Vierge Marie dont nous
fêtions l’Annonciation le 25 mars 2010, neuf mois avant que, Cette
toujours vierge, livra Son Fruit d’Amour, Notre Seigneur
Jésus-Christ, Vrai Dieu et Vrai Homme, notre Sauveur.
4.K.2 - Ce
que nous allons voir en ce chapitre
Nous
allons voir magistralement confirmé ce que nous avons déjà vu, et
qui est totalement contraire à ce que disent des Hommes d’Église
(l’Église Elle-même ne
peut ni se tromper ni nous tromper !),
jusqu’à des Saints et des Papes.
Nous
allons voir :
→ Que
le Sacrement de Mariage est absolument le même pour tous, en
l’Église ou hors l’Église, pour les fidèles et pour les
infidèles !
→ Que
ce Sacrement de Mariage n’a pas été institué par Notre Seigneur
Jésus-Christ (NSJC), mais par Dieu le Père en le Paradis terrestre,
pour sceller irrévocablement l’union d’Ève à Adam !
→ Que
l’Église catholique ne pouvait se L’attribuer ; mais que
par contre, qu’Elle se devait d’être le Champion de Sa défense.
→ Que,
au lieu de cela, Elle accapara ce Sacrement de Mariage pour Le
manipuler selon l’intérêt de ces cloaques
d’impureté,
ce au point que maintenant, nous pouvons dire, que l’Église
catholique est le principal ennemi de ce Sacrement de Mariage !
→ Un
cas particulier, un cloaque d’impureté faisant partie de la GFGM,
l’abbé Hervé Belmont : qui dit, et fait exactement l’inverse
de ce qu’il dit !
Pour :
faisant partie de la GFGM :
Pour
les novices en notre étude : GFGM
= Grande Fraternité du Goupillon Malicieux.
Recherchez ce sigle en notre étude…
4.K.2.a - Pour
commencer, rappelons que dans notre étude…
… lorsque
nous attaquons, dénonçons l’Église catholique, c’est ses
membres que nous dénonçons, et non l’Église en Elle-même, car
Elle ne peut ni
se tromper ni nous tromper, comme nous le
rappelle l’Acte de Foi : Mon
Dieu je crois fermement toutes les vérités que Vous avez révélées
et que Vous nous enseigniez par
votre Église, parce que Vous ne pouvez ni Vous tromper, ni nous
tromper.
De
plus, aimant intensément l’Épouse de NSJC, la Très-Sainte Église
catholique, sachez que c’est avec douleur que nous dénonçons haut
et fort les turpitudes de l’écrasant grand nombre de ses membres.
Recherchez
en notre étude, principalement cloaques
d’impureté* et mauvais
prêtres*, loup*,
etc.
4.K.2.b - L’Église
catholique ne peut se tromper, mais qu’en son champ de compétence !
Si,
et ce jusqu’au Pape, des, et même tous les membres, de l’Église
disent que le
jour est le moment où le soleil n’éclaire plus la terre ; et
que la nuit est le moment où l’on y voit parce que le soleil nous
prodiguerait ses rayons, il est aisé et
Droit de dire que ceux-ci se trompent, ou pire, veulent tromper !
Mais,
l’Église ne pouvant nous tromper, pourquoi ne pas croire que le
jour est le moment où l’on ne peut pas voir,
puisqu’Elle nous le dirait ?, tout simplement, parce que ce
qu’Elle nous dit en cette chose ne regarde pas son champ de
compétence !, de fait, ce n’est pas l’Église qui le dit,
mais bien des Hommes d’Église !, voire même le Pape.
Si
l’Église, en la personne de Son Pape, nous dit que dans
une autre religion nous pouvons nous sauver,
alors qu’en réalité, et ce faisant bien partie de son champ de
compétence [ en effet : en
dehors de l’Église il n’y a point de salut ! ],
c’est signe qu’Elle n’est pas l’Église ! Ce qui est
pile la situation depuis au moins ledit Vatican II.
4.K.2.c - Si
quiconque annonce un autre évangile qu’il soit anathème !
Voici
ce que disait Saint Paul : Je
m’étonne que vous vous détourniez si vite de celui qui vous a
appelés à la grâce du Christ, pour passer à un autre évangile.
Non pas qu’il y en ait un autre ; mais il y a des gens qui
vous troublent, et qui veulent renverser l’Évangile du Christ.
Mais si quelqu’un, fût-ce
nous-même ou un Ange du Ciel, vous annonçait un autre évangile que
celui que nous vous avons annoncé, qu’il soit anathème !
[…]
fût-ce nous-même ou un Ange du Ciel, [ ou
le Pape donc, ]
vous annonçait un autre évangile
que celui que
nous vous avons annoncé,
qu’il soit anathème ! (Gal.
1, 6-8 )
Ainsi,
comme l’Église dit que l’on
peut séparer ce que Dieu a uni, ce en
opposition frontale à ce qu’a dit NSJC, et qui fait partie du
dépôt de la Foi, de l’évangile : que
nous vous avons annoncé (Saint Paul,
ci-dessus) : Ce
que Dieu a uni,
que l’homme ne le sépare
point !, c’est
que :
1. ce
n’est pas l’Église qui a parlé ; ou
2. ce
qu’Elle a dit ne rentrait pas dans son champ de compétence.
Pour :
…
que
l’homme ne le sépare
point :
- 10.B,
Non non, je ne divorce pas, je me sépare !
- 10.C,
L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…
Il
n’y a aucune autre explication !
Répétons :
comme l’Église, d’avant ledit Vatican II évidemment, disait que
l’on
peut se séparer
(dans certains cas est-il toujours précisé très hypocritement), et
le validait (dans certains cas tout aussi hypocrites), ce en
opposition frontale à l’interdit de NSJC vu plus haut, et en
opposition frontale à L’Esprit qui
tient unies toutes choses*, c’est
qu’Elle, ne
pouvant ni se tromper ni nous tromper,
s’occupait tout simplement d’une chose n’entrant pas dans son
champ de compétence !
Répétons
encore :
en disant que l’on
peut se séparer,
le clergé de l’Église catholique dans son ensemble (avez-vous
entendu une autre voix ?) annonçait
un autre évangile que celui que nous
vous
avons annoncé et qui dit : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare donc pas ;
donc, ce clergé, comme tous ceux qui le disent, est anathème !
Pour :
annonçait
un autre évangile
[…]
annoncé :
Ici
donc, par Sts Matthieu (19, 6) & Marc (10, 9)
4.K.2.d - L’Église
catholique ne peut toucher au Sacrement de Mariage !
Nous
allons voir encore mieux que nous l’avons vu depuis le début de
notre étude, que l’Église catholique ne peut toucher à un
Sacrement que ne Lui appartient aucunement !, et ce : et
ni de près et
ni de loin.
→ Nous
venons de voir que l’Église disait un autre évangile que celui
annoncé par les Apôtres : que
l’on peut se séparer !, dans certains
cas ajoutent-ils toujours très hypocritement. Or, comme l’Église
ne peut ni se tromper ni nous tromper, c’est
qu’Elle s’occupe d’une chose qui ne la regarde pas : le
Sacrement
de Mariage !
→ Nous
avons déjà bien vu, par d’autres chemins, que ce Sacrement
de Mariage ne Lui appartenait aucunement,
parce que institué par Dieu le Père !, et que Celui-ci n’a
jamais eu une quelconque modification, amélioration, etc., venant de
NSJC.
Et
pourtant, témérairement, Ils, ces Hommes d’Église, disent le
contraire !, par ex. : Le
Sacrement de Mariage […] est
un sacrement qui a été institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ*.
On
notera bien que, dans ce même texte dont l’extrait ci-dessus est
tiré, le Curé d’Ars précise bien : Il
[le Sacrement de Mariage] les
oblige à se garder une fidélité mutuelle et inviolable, à
cohabiter… ; ce donc,
conformément à la Parole de NSJC : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare point !
Il
est du reste bien transparent, sauf erreur de notre part qui ne
justifierait alors nullement la chose, que dans les écrits de ce
Saint, jamais Il n’envisage la permission d’une séparation qui
serait dite nécessaire !
4.K.3 - Léon
XIII : Mariage naturel ou religieux, même Sacrement !
Le
Pape Léon XIII, dans sa lettre encyclique Arcanum
Divinae Sapientiae du 10 février 1880, dit :
[11] …
En effet, puisque Dieu lui-même a institué le mariage, et puisque
le mariage a été dès le principe comme une image de l’Incarnation
du Verbe, il s’ensuit qu’il y a
dans le mariage quelque chose de sacré et de religieux, non
point surajouté, mais inné,
qui ne lui vient pas des hommes, mais de la nature elle-même. C’est
pour cela qu’Innocent III
(c. 8 de divort.) et Honorius III
(c. 11 de transact.), Nos Prédécesseurs, ont
pu affirmer sans témérité et avec raison que le sacrement du
mariage existe parmi les fidèles et parmi les infidèles.
Nous en attestons les monuments de l’antiquité, les usages et les
institutions des peuples qui ont été les plus civilisés et qui ont
été renommés par la connaissance plus parfaite du droit et de
l’équité ; il est certain que, dans l’esprit de tous ces
peuples, par suite d’une disposition habituelle et antérieure,
chaque fois qu’ils pensaient au mariage, l’idée s’en
présentait toujours sous la forme d’une institution liée à la
religion et aux choses saintes. Aussi, parmi eux, les mariages ne se
célébraient guère sans des cérémonies religieuses, l’autorité
des Pontifes et le ministère des prêtres, tant avaient de force sur
des esprits, même dépourvus de la doctrine céleste, la nature des
choses, le souvenir des origines, la conscience du genre humain !
Le mariage étant donc sacré par son essence, par sa nature, par
lui-même, il est raisonnable qu’il soit réglé et gouverné, Non
point par le pouvoir des princes, mais par l’autorité divine de
l’Eglise qui, seule, a le magistère des choses sacrées.
4.K.3.a - Relisons
ensemble ce que nous dit Léon XIII
Relisons
certains passages de ce que vient de nous dire Léon XIII, et avant
Lui donc, les papes Innocent III et Honorius III :
1. Il
est évident que lorsque Léon XIII dit : Dieu
lui-même a institué le mariage, Il parle de
Dieu le Père, ou comme l’on le lit dans l’ancien testament :
le
Seigneur Dieu.
Par
exemples :
- Le
Seigneur Dieu forma donc l’homme,
- Le
Seigneur Dieu prit donc l’homme, et le mit dans le paradis de
délices,
Idem :
point DP-3.A.4,
Adam, établi maître de toute la création, nomme les animaux.
- Le
Seigneur Dieu dit aussi : Il n’est pas bon que l’homme soit
seul,
- etc.
Ainsi
donc nous pouvons dire que Léon XIII a dit : Dieu
le Père lui-même a institué le mariage.
Or,
ceux qui ont voulu accaparer ce Sacrement de Mariage disent :
chez
les infidèles il y a Mariage, et certains,
un peu gênés aux entournures, ajoutent qu’Il
est sacré, mais tous s’empressent de dire
qu’Il
n’y a pas de Sacrement.
Par
exemples :
- Pie
VI et Pie XI : C’est
pourquoi, bien que le
mariage puisse exister sans le sacrement
— c’est le cas du mariage
entre infidèles.
Faux !,
comme nous allons le voir ensuite encore mieux.
Ils
disent, bêtement ou malicieusement, c’est comme vous le voulez,
que seul le Mariage contracté en l’Église catholique produit le
Sacrement qui aurait été institué par NSJC, par ex. Le Saint Curé
d’Ars : c’est
un sacrement
qui a été institué
par Notre-Seigneur Jésus-Christ ;
ou, le même : Pour
les chrétiens ce contrat, avec ses caractères et ses obligations,
est de plus le signe productif de la grâce, car il a été
transfiguré par le
Christ qui l’a élevé à la dignité de sacrement.
Faux !
Pour :
[ces extraits du Curé d’Ars] :
Idem
ci-dessus; point 4.B.6,
Le Curé d’Ars parle du Mariage naturel.
Voyez !,
et tout est là !, ils disent tous ainsi retranscrit :
Oui…,
évidemment…, le Mariage naturel, comme le Mariage religieux, est
sacré, indissoluble, etc. ; mais, ce n’est pas un Sacrement.
Seule l’Église catholique peut produire ce Sacrement qui,
ajoutent-ils obstinément, fut
institué par Notre Seigneur Jésus-Christ.
Faux !
Et
ce, pourquoi ?, pour
pouvoir mettre la main sur ce Sacrement !, et ainsi,
le régenter, l’arranger selon l’air du temps et l’intérêt de
ces cloaques
d’impureté*.
Attention !,
nous ne sommes pas entrain de dire que le Saint Curé d’Ars était
un cloaque d’impureté, ou tous les autres tenants de cette très
grave erreur, mais il est évident qu’ils répétaient ou répètent
sans trop réfléchir ce que l’on leur avait inculqué, enseigné
erronément, ou, qu’ils désiraient croire de par leur mauvaise
éducation.
Les
cloaques
d’impureté* sont ceux qui conscients de
cette très très grave erreur se taisent ; ou pire, l’ont
inventée pour s’en servir. La nomination de ces pervers ne nous
revient pas, c’est à l’Église hiérarchique de faire son ménage
en Elle-même ; nous, nous nous contentons du constat, de la
dénonciation !
2. Ce
passage suivant, dans
le mariage quelque chose de sacré et de religieux, non point
surajouté, mais inné, qui ne lui vient pas des hommes, mais de la
nature elle-même, a déjà été bien
développé.
4.K.3.b - Reconnaissance
absolue du caractère sacramentel du Mariage naturel !
3. Voici
surtout ce qui nous intéresse,
et seul le pape Léon XIII, derrière les papes Innocent III et
Honorius III, à notre connaissance, l’a dit si clairement :
C’est
pour cela qu’Innocent III … et Honorius III … ont pu affirmer
sans témérité et avec raison que le sacrement
du mariage existe parmi les fidèles et parmi les infidèles.
Enfin
un !, Léon XIII, derrière
Innocent III et Honorius III, qui dit bien clairement, sans
emberlificotes
particulièrement malicieuses, et qui contredit donc tout aussi
clairement ceux qui prétendent que le Sacrement de Mariage n’existe
qu’en l’Église catholique : le
sacrement
du mariage existe
parmi les fidèles et parmi
les infidèles !
4.K.3.c - Volonté
maladive de vouloir mettre la main sur le Sacrement de Mariage.
4. Puis,
Léon XIII dérape : Le
mariage étant donc sacré par son essence, par sa nature, par
lui-même, il
est raisonnable qu’il soit réglé et gouverné,
Non point par le pouvoir des princes, mais par
l’autorité divine de l’Eglise
qui, seule, a le magistère des choses sacrées.
Non !,
Léon XIII, le Mariage ne doit pas être réglé
et gouverné (ingérences, manipulations,
viol de l’épouse, de l’Autorité maritale, etc.), mais défendu
plus particulièrement par
l’autorité divine de l’Église, qui
seule reçut de Son Époux la Mission de nous enseigner ce que nous
dit l’évangile
[…] que nous vous avons annoncé (Saint
Paul ci-dessus) : Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare
point !
Pour :
viol de l’épouse, de l’Autorité maritale :
La
femme doit-elle être soumise à l’Église (au prêtre), enseignée
(ensemencée donc !, recherchez ce terme si important en toute
notre étude ensemencé)
par Elle ?, non : […]
Et pourquoi ? « Car il ne leur est pas permis d’y
prendre la parole ; mais qu’elles se tiennent dans la
soumission, comme le dit aussi la loi ». Soumises
à qui ? Peut-être seulement à
l’Eglise hiérarchique, à l’Eglise enseignante ?
Non : « si
elles veulent s’instruire sur quelque point »,
poursuit St Paul, « qu’elles
interrogent leurs maris à la maison ;
il est, en effet, inconvenant pour une femme de prendre la parole
dans une assemblée ».
Pour :
que
l’homme ne le sépare
point :
L’Église
doit être extrêmement
humble, ne pas vouloir régenter
(réglé
et gouverné […] par l’autorité divine de l’Église,
dit Léon XIII ensuite, se contredisant donc ainsi !) le
Sacrement de Mariage, et donc le Mariage, la Famille, etc., mais se
mettre radicalement au service des Chefs de Famille, parmi
les fidèles et
parmi les infidèles,
pour leur apporter le plus sûr et indéfectible soutient à leur
Autorité ; ce que du reste l’État doit dans sa sphère à
ces mêmes Chefs de Famille !
De
plus, si, selon Léon XIII, l’Eglise
seule a le magistère des choses sacrées, en
ce qui regarde le Sacrement
de Mariage, comme cela se passe-t-il vu que
ce Sacrement existe aussi chez les infidèles ?, comme Il vient
de le reconnaître, enfin, Lui-même… Veut-Il, l’Église
veut-Elle, régenter (réglé
et gouverné…) le Sacrement
de Mariage des infidèles ?
Voilà
où l’on en arrive lorsque l’on veut impérativement s’occuper
de ce qui vous regarde ni de près ni de loin !
4.K.4 - Certainement
par l’éviction du Chef de Famille, l’Église a reculé partout !
Certainement !,
par la Restauration de l’Autorité absolue (Saint Paul : en
toutes choses) du Chef de Famille et par
l’inséparabilité absolue (donc aucune restriction mentale, ni
exception exceptionnelle etc.) des époux, que l’Église,
qui va ruinée en beaucoup de lieux, pourra
faire cesser cette
désolation qui ravage l’Église,
cette déplorable diminution
qu’elle a souffert en tant de lieux !
Oui,
à la suite de Saint Vincent de Paul que nous venons de citer
partiellement, nous pouvons dire que l’Église est La seule et
unique responsable de Son état actuel qui est bien bien pire qu’en
1655 !
Et
c’est ce que nous disons partout en notre étude depuis plus de
deux ans, et pour lequel nous nous battons pour certains ici depuis
bien plus de trente ans :
→ si
l’Église respectait vraiment, totalement l’infrangible Autorité
des Époux ; si Elle refusait radicalement tout commerce avec
les épouses (Viol ou adultère, ensemencements tels que :
conseils, direction dite spirituelle, retraites, etc. ! ;
→ si
Elle poursuivait de ses foudres celles qui désertent (même
‘battues’ ou ‘violentées’, qu’elles disent dans leur
errance) ;
→ oui !,
beaucoup d’Hommes n’auraient pas déserté les églises,
l’Église ; et ce, bien au contraire, car Elle aurait engrangé
de très nombreuses conversions d’infidèles voyant en Elle le
Champion
toutes catégories du Sacrement
de Mariage !
L’Église,
par sa féminisation intellectuelle et morale, par sa fornication :
est la seule responsable de sa chute !
Recherchez
sur internet : « Église féminisée »
Mais,
si au lieu de pleurnicher avec les pauvresses, ce selon l’air du
temps qui commença voici plus de 500 ans, Elle avait radicalement et
indéfectiblement défendu le Sacrement de Mariage parmi
les fidèles et
parmi les infidèles,
en défendant vaillamment et effectivement
(par ex. : en ces temps-ci, en témoignant en ladite justice
civile en faveur uniquement, et comme de Droit, de l’Époux) la
seule et totale Autorité de Droit divin de l’épouse :
l’Époux ; oui,
l’Église aurait touché, puis infailliblement converti les
infidèles dont Elle se serait fait le plus sûr et
vaillant garant, le Champion de leur Sacrement de Mariage !
Voir,
pour compléments :
Mais
de fait, non seulement Elle ne défend pas le Mariage des infidèles,
mais Elle détruit bien effectivement, au moins par sape, le Mariage
des fidèles !;
et, la GFGM*
avec encore plus d’acharnement et de ‘science’ toute
démoniaque !
Pour
le moins, qui dit mot consent !, et donc fait !
4.K.4.a - La
GFGM,
avec plus d’acharnement, détruit malicieusement des Mariages ?
Notez :
GFGM*
= Grande
Fraternité du Goupillon Malicieux,
recherchez bien ce sigle en tous nos documents !
Oui !,
nous ne pouvons nous entendre plus ici, l’ayant déjà tant fait en
notre étude, mais sachez que :
→ Tous
les Mariages qui tiennent en
ladite Tradition*,
sont ceux où l’Époux a ‘accepté’ de remettre son sceptre*,
peu ou prou, entre les mains profanatrices de ces avides et vénaux
cloaques
d’impureté !
Nous
connaissons une multitude de foyers où l’épouse, appuyée très
énergiquement et effectivement par les cloaques
d’impureté*, surtout en ladite Tradition,
a lancé un et deux avertissements, ce jusqu’à destruction totale,
parfois avec un vague sursis appelé ‘seconde chance’ : de
l’Époux !
Ayant
donc ainsi, enfin réussi à se saisir de la bourse de l’Époux et
a la Lui arracher ; soit à l’opposé de ce que disait Pie
XII : Épouses
et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif
d’usurper le sceptre familial*.
Voir,
pour compléments :
Et
malgré cela, certains très rares Époux, rudes
pères de famille à l’autorité absolue et incontestée, gardiens
fidèles de leur gens, ‘non pas voulu
comprendre l’avertissement’, ‘saisir la balle au bond’,
‘saisir leur seconde chance’, et ont refusé très héroïquement,
véritables martyrs du Sacrement de Mariage, de plier devant leur
démon en jupon, devant leur Ève voulant se saisir de la pomme
interdite comme leur prime aïeule.
Pour :
rudes
pères de famille à l’autorité absolue :
- 11.C.5,
2) Que
l’on le lui a enlevée, le sujet ne le pouvant.
- 11.C.11,
Et
bien que Pie XII nous soit pas si cher, voici un bon texte : ;
- et
divers autres endroits.
Pour :
saisir leur seconde chance :
Il
est frappant qu’elles disent toutes, et vous l’avez certainement
entendu vous-mêmes : seconde
chance. Or, de dire seconde
chance, entend donc bien qu’il y a eu
première
chance !
Ainsi,
vu que c’est à la première crise qu’elles nous disent, à nous
les Époux !, seconde
chance, cela veut tout simplement dire qu’au
moment où par
son Oui l’épouse valide le Sacrement de
Mariage – proposé par l’officiant de ce Sacrement, le
Demandeur, futur Époux (Voir : DP-04,
Le
Mariage, définition, célébration, règles et usage… ;
point 4B3f,
L’Homme est l’officiant, forcément unique, du Sacrement de
Mariage.) – , elles pensent toutes
qu’elles offrent la première
chance à l’Époux !
De
faite, pour toutes les filles qui se marient, il s’agit comme d’un
Mariage à l’essai ; tous les Époux sont en sursis !, en
surveillance !, au moment où ces pauvresses disent Oui !,
elles disent de fait Oui,
je veux bien t’offrir une première chance !
Elles
disent (nous parlons en ce moment pour le milieu de ladite Tradition,
les autres, nous en parlons même pas !), par leur Oui :
Je
serai soumise en toutes choses à mon Époux
tout en pensant fondamentalement le contraire !, elles disent
donc de fait Je
serai soumise en toutes choses à mon Époux, si Il saisit bien la
première chance que je Lui offre magnanimement !’
Elles
déclarent donc bien expressément qu’elles sont les maîtresses,
et leurs Époux leurs féaux !, elles se saisissent bel et bien
du sceptre
familial, ce donc en opposition à ce que
rappelait Pie XII : Épouses
et mères chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif
d’usurper le sceptre familial !
L’on
pourrait même dire et affirmer qu’une telle disposition de
l’épouse rend le Sacrement de Mariage nul : vice caché,
restriction mentale quant à la promesse d’obéissance qui est un
des fondements du Sacrement de Mariage !
Ainsi
donc l’Époux, le plus légitimement possible et sous le Regard de
Son Dieu d’Amour, pourrait, étant donc libre, contracter Mariage ;
le premier étant dans ce cas nul et non avenu !
Nous
ne levons qu’une question !, un jour il va falloir
y répondre ! Pour beaucoup, comme le Bon Dieu nous le demande,
ces Époux n’attendent que la Très-Sainte Vengeance de leur Dieu
d’Amour !
Que
de crimes dans le Sacrement de Mariage, et tout cela qu’à cause
des prêtres !, qu’à cause des cloaques
d’impureté. Quel compte allez-vous rendre,
pervers !, cela fait frémir !, que de prêtres en enfer !
Mais
aussi, que de palmes à recevoir pour ces pauvres Époux enfin
justifiés, magnifiés, consolés au delà de toutes attentes,
véritables martyrs du Sacrement de Mariage !
Pour :
de plier devant leur démon en jupon :
Et
alors, soutenue à pleins bras, jusqu’à financièrement parlant et
ayant en sus dedits conseils juridiques susurrés du fond du
confessionnal, par ces membres de la synagogue
de Satan*, les cloaques
d’impureté* de la GFGM*,
elles mirent enfin, se dit leur Maître Lucifer : la menace à
exécution !
Elles,
en opposition frontale à L’Esprit qui
tient unies toutes choses*, violèrent
leur promesse de fidélité, profanèrent le Sacrement de Mariage,
foulèrent au pied l’interdit de Notre Seigneur Jésus-Christ :
Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare donc pas.
→ Ainsi
donc, tous les Mariages qui n’ont pas tenus,
où l’épouse a fui (séparations de corps instiguées et même
imposées par ces cloaques
d’impureté, revoir notre toute étude)
sont des Mariages où l’Époux
n’hésitait point à exercer Son Autorité !,
et donc à évincer comme de Droit ce qui se mettait en travers de
Celle-ci, et malheureusement les prêtres en premier !
Pour :
Époux
n’hésitait point à exercer Son Autorité :
Adaptation
d’une parole de Pie XII (allocution aux jeunes mariés, 10
septembre 1941), dont voici un extrait original : Maris,
vous avez été investis de l’autorité. Dans vos foyers, chacun de
vous est le chef, avec tous les devoirs et toutes les responsabilités
que comporte ce titre. N’hésitez
donc point à exercer cette autorité ;
ne vous soustrayez point à ces devoirs, ne fuyez point ces
responsabilités. La barre de la nef domestique a été confiée à
vos mains.
- 3.D.1.b,
Ci-dessus,
nous avons écrit en cas de ‘différent’. ;
- DP-5.B.2.j,
Pourquoi,
au point précédent, avoir mis complémentaires entre guillemets ? ;
- et
divers.
4.K.4.b - Où
l’on en vient à reparler d’un cloaque
d’impureté, l’abbé Hervé Belmont
Préliminaire
à ce point :
Nous
sommes bien bien conscients des très graves accusations que nous
faisons à l’encontre de la GFGM*
entre autres, c’est pour cela que nous vous demandons de lire notre
proposition de confrontation contradictoire, ici :
Passage
regardant cette proposition de confrontation contradictoire :
[…]
Il peut aussi utiliser notre site…
Par
contre, nous nous réservons le droit ‘d’appeler’ comme témoin
tout prêtre de cette secte ou consœurs, et ce jusqu’aux 4
évêques ! Cette condition n’est pas négociable !
L’abbé Alain Delagneau aura le même droit !
Ainsi,
tout un chacun pourra vérifier les arguments et juger de la tenue du
débat. Si nous devions être confondus, nous nous engageons
formellement à faire amende honorable sur tous nos ‘errements’
par le même canal !
Nous
ne pouvons pas être plus honnêtes !
QJSIOJC
Voici
l’affaire :
En
faisant une recherche Google, sur Arcanum
Divinae Sapientiae, la Lettre encyclique que
nous venons d’analyser, nous sommes tombé sur, à la 3ème
position, le site de l’abbé Hervé Belmont : quicumque !
Sur
son site, cet abbé Hervé Belmont qui est un fossoyeur de Mariages
au moins par son silence coupable, a le culot d’écrire en
introduction pour cette Lettre encyclique : Le
dix-neuvième siècle, en triste héritier de la Révolution, a vu se
répandre une
vaste entreprise de démolition du saint Mariage.
Oui !,
parfait hypocrite, comme tous les cloaques
d’impureté, pendant qu’il fait semblant
de défendre le Sacrement de Mariage, il participe au moins par son
silence criminel à la destruction de ceux qui ne lui conviennent
pas !, et ce, pour le moins, pour ménager sadite clientèle
plus qu’étriquée… Gardez-vous
des faux prophètes […] c’est à leurs fruits que vous les
reconnaîtrez !,
disait Notre-Seigneur Jésus-Christ !
4.K.4.c - Un
exemple parmi tant d’autres
Un
de nos correspondants, nous ayant permis de parler de son cas sans
citer son nom pour ménager Sa pauvre épouse et pour le bien de Ses
enfants, a eu Son Mariage mis en l’air par les cloaques
d’impureté de la Trahition*.
Ce
loup déguisé en brebis, cet abbé Hervé Belmont qui est le gourou
patenté de la Famille dont fut tirée l’épouse, ne cria pas au
scandale !
Croyez-vous :
→ qu’il
menaça ladite Famille de l’épouse d’exclusion de sa chapelle ?,
comme de Droit ! ;
→ qu’il
leur refusa l’absolution ?, comme
de Droit ! ;
→ qu’il
leur refusa la communion ?, comme
de Droit ! ;
→ qu’il
fit savoir à l’épouse en question qu’il condamnait tout à fait
sa procédure de séparation de corps, son crime ?, comme
de Droit !
Ce
que Dieu a uni,
que l’homme ne le sépare
point !
Non !,
il valida bien effectivement la longue chaîne de crimes (comme
toujours dans ces cas là : profanation du Sacrement de Mariage,
déshonneur de l’Époux, séparation si douloureuse, tronçonnage
d’un seul et même corps – …
ils seront deux dans une seule chair ? Ainsi, ils ne sont plus
deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare donc pas ce que
Dieu a uni. (Mat.
19, 5-6.) – , flot de calomnies,
vol et malheur des enfants, vols de tous les autres biens, scandale
pour l’Église, etc. Tous, péchés mortels irrémissibles !)
de l’épouse, et de celui de la Famille dont elle fut tirée par
son Oui, et des autres prêtres qui la soutiennent, principalement
ceux de la secte
FSSPX !
Pour :
Tous, péchés mortels irrémissibles :
La
calomnie est un péché mortel aggravé, irrémissible [qui ne peut
être remis sans réparation préalable et prouvée] ! Un prêtre
qui donne l’absolution [qui donc est nulle] sans que cette
réparation ait été prouvée fait retomber sur lui aussi la faute,
ce en plus de la confession sacrilège.
Transmis
par ce même correspondant : Dom Jean De Monléon et autres.
À
preuve, c’est que l’épouse en question dit bien haut et bien
fort, comme pour se rassurer dans sa fuite en avant, se justifier, ou
plutôt pour se tromper, tromper les derniers souffles de remords que
sa pauvre Âme pas encore tout à fait assassinée exhale en ses
derniers spasmes : tous
les prêtres me soutiennent !, ils disent tous que je peux me
séparer, etc.
Et
l’abbé Hervé Belmont que dit-il ?, rien !, il dit donc
qu’elle peut se séparer !, évidemment ! Ayant effective
connaissance de la chose et ne disant rien !, il consent bien !
4.K.4.d - L’abbé
Hervé Belmont fait partie de l’immense cohorte de mauvais prêtres.
Voici
diverses citations au sujet de ces prêtres :
→ Saint
Jean Chrysostome : Je
ne parle point témérairement et sans fondement, ce n’est pas par
exagération que je m’en explique, mais je m’explique suivant mes
sentiments et suivant la conviction et la persuasion où je me
trouve ; je
ne pense pas qu’il y ait beaucoup de prêtres sauvés
et je
crois qu’il
y en a beaucoup plus de ceux qui se damnent que de ceux qui se
sauvent.
→ Saint
Bernard : Hélas !
Seigneur mon Dieu, les plus ardents à vous persécuter, ce sont ces
mêmes prêtres que vous comblez d’honneur dans votre Église !
→ Notre
Seigneur Jésus-Christ : Plus
lourde est sa [du prêtre] responsabilité
que celle de tout autre. Aussi, la même faute est-elle punie plus
sévèrement en lui que dans les hommes du monde.
→ Maurice
Pinay : …
ce danger interne [les mauvais prêtres],
danger souvent bien plus destructeur et plus mortel que celui
présenté par les ennemis du dehors.
→ Notre
Seigneur Jésus-Christ : Gardez-vous
des faux prophètes qui viennent à vous sous des vêtements de
brebis, mais au dedans sont des loups rapaces. C’est à leurs
fruits que vous les reconnaîtrez :
instiguent-ils des séparations de corps, soutiennent-ils ces épouses
révoltées, valident-ils au moins par leur silence criminel leur
révolte ?
→ Notre
Seigneur Jésus-Christ parle de l’écrasante majorité des
prêtres : Du
temple de leur âme, de la sainte Eglise qui est un jardin, ils ont
fait un repaire d’animaux. […] Tous répandent l’infection de
leurs pêchés mortels !
→ Saint
Vincent de Paul : …
l’Église, qui va ruinée en beaucoup de lieux par la mauvaise vie
des prêtres ; car ce sont eux qui la perdent et qui la ruinent…
→ Saint
Alphonse-Marie de Liguori : Mon
Père, pardonnez-leur, car ils ne savent ce qu’ils font. Mais cette
prière ne compte pas pour les mauvais prêtres ;
elle est bien plutôt leur condamnation, car ils savent parfaitement
ce qu’ils font.
→ Bourdal :
Les
plus grands persécuteurs
qu’ait Jésus-Christ ne sont pas les laïques, mais les
mauvais prêtres.
Etc.,
etc., etc., voilà ce qu’est toute la GFGM
dont fait ô combien partie cet abbé Hervé Belmont.
Évidemment,
au sujet de ce qui va suivre, il dira qu’il s’agit des
modernistes, ou de la FSSPX*,
mais aucunement de lui !, cela ne fait rien, rappelons à ce
cloaque
d’impureté d’Hervé Belmont, ce que
disait Notre Dame à La Salette : Les
prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres
demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes.
Malheur aux prêtres et aux personnes consacrées à Dieu lesquelles
par leurs infidélités et leur mauvaise vie crucifient de nouveau
mon Fils !
Donnons
à ce cloaque
d’impureté, cet abbé Hervé Belmont, une
dernière chance, rappelons-lui ce que Saint Jean-Marie Vianney
disait : Si
un pasteur reste muet [ce qui est
exactement son cas en l’affaire dont nous nous sommes fait l’écho]
en
voyant Dieu outragé [profanation du
Sacrement de Mariage, interdiction de se séparer] et
les âmes s’égarer, malheur à lui ! S’il ne veut pas se
damner, il faut que, s’il y a quelques désordres dans sa paroisse,
il foule aux pieds le respect humain et la crainte d’être méprisé
ou haï de ses paroissiens ; et serait-il sur d’être mis à
mort après être descendu de chaire, cela ne doit pas l’arrêter.
Un pasteur qui veut remplir son devoir doit toujours avoir l’épée
à la main pour défendre les innocents, il poursuivra les pécheurs
jusqu’à ce qu’ils soient revenus à Dieu ; cette poursuite
ne doit cesser qu’à sa mort. S’il ne se conduit pas de cette
manière, c’est
un mauvais prêtre, qui perd les âmes au lieu de les conduire à
Dieu.
Cette
prière peut l’aider :
Dieu
qui montrez aux égarés la lumière de votre vérité pour qu’ils
puissent rentrer dans la voie de la justice, accordez à tous ceux
qui professent d’être chrétiens de repousser ce qui s’oppose à
ce nom et de s’attacher à ce qui lui convient.
(Collecte, 3ème dimanche après Pâques)
L’expression
de notre espoir : …
Mes frères, si l’un de vous s’écarte de la vérité et qu’un
autre l’y ramène, sachez que celui qui ramène un pécheur de la
voie où il s’égarait sauvera son âme de la mort et fera
disparaître une multitude de péchés.
(Saint Jacques)
Ainsi
soit-il.
♣
Nous venons de déposer un message sur le site de l’abbé Hervé Belmont mis en cause en cette nouvelle, à l’adresse de là où il parle de l'Encyclique de Léon XIII :
RépondreSupprimerhttp://www.quicumque.com/article-arcanum-divinae-sapientiae-42035374.html
Voici le message déposé :
Monsieur l’abbé Hervé Belmont,
Par honnêteté, nous vous signalons que nous venons de vous mettre gravement en cause en notre site, à la page :
L’Église catholique, principal ennemi du Sacrement de Mariage ?!
Adresse :
http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2010/03/leglise-catholique-principal-ennemi-du.html
Vous avez un "droit de réponse"...
Bien à vous,
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et les vôtres,
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Suite à l’avis ci-dessus...
RépondreSupprimerLe message que nous avons déposé sur le site de l’abbé Hervé Belmont, et dont vous avez copie ci-dessus, a visiblement été refusé, en tous les cas il n’a toujours pas été accepté !
Quel souci des Âmes, quelle vaillance pour défendre la Vérité !, sans autres commentaires ici.