Du :
04.07.2009, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : dim. 21 oct. 2012,
21.55.
Table
de cette nouvelle, CN-2009-…
17
- Moi, Moloch, je réclame le
non-lieu pour Cheb Mami !
17.A.1
- Moi Moloch, avocat du
diable, je me présente
17.A.2
- Que fais-je, moi Moloch,
sur ce site que j’abhorre tant ?
17.A.3
- Je suis commis
d’office : avocat du diable…
17.A.4
- Et maintenant, c’est
là que j’interviens pour défendre Cheb Mami
17.A.4.b
- L’avortement est un
‘droit’ que nous revendiquons
17.A.4.c
- Nous avons fait dire
que ce tas de viande appartient aux deux parents afin d’évincer
le Père
17.A.4.d
- Une femme peut
imposer sa volonté à l’Homme
17.A.4.e
- Un Homme ne peut pas
imposer sa volonté à la femme, sauf…
17.A.4.f
- Il y aurait eu
séquestration de la part de mon client
17.A.4.h
- Mon client aurait
annihilé la volonté de la porteuse
17.A.4.i
- Mon client aurait
fait maintenir la porteuse par des gros bras
17.A.4.j
- L’on accuse mon
client d’avortement, et les avorteurs, non !
17.A.4.k
- L’État est
coupable de ‘non assistance à Homme en danger de paternité’
17.A.4.l
- Mon client doit être
réhabilité et cité à l’ordre du mérite
17.A.4.m
- Mon client est un
martyr, n’en faite pas un converti !
17.A.4.n
- Mon client demande le
restitution immédiate du passager clandestin
17.A.4.o
- Moi Moloch, je
demande la réhabilitation et la citation de Cheb Mami
17.A.1 - Moi
Moloch, avocat du diable, je me présente
Je
m’appelle Moloch, et je suis l’avocat du diable, celui de notre
Maître à tous, Lucifer, en l’affaire que je vais vous exposer.
17.A.1.a - Je
m’appelle Moloch…
→ Synthèse :
Et
c’est là le triste spectacle qui, afflige nos yeux. La mode, vomie
par les officines allemandes juives, s’impose, et les chrétiennes
acceptent sans résistance appréciable son joug dégradant. Bossuet
disait que l’opinion est la reine du monde : la mode est la
reine du sexe féminin, elle est plus encore, elle est son idole. A
cette idole, il faut des sacrifices, des victimes ; les mères
dénaturées lui sacrifient la pudeur de leurs filles grandes et
petites. Nous
nous demandons si les parents d’autrefois, qui jetaient leurs
enfants dans les flancs embrasés de la statue de Moloch, étaient
plus coupables qu’elles.
Qu’on
ne nous taxe pas d’exagération Moloch brûlait les corps, la mode
tue les âmes.
→ Abbé
J. Gaume : Et
pour te soulever ici qu’un coin du voile, rien n’est plus fameux
que leur dieu Moloch.
Or, le culte rendu à cette idole suffit pour révéler le hideux
état de la famille chez les fils de Chant. La
statue d’airain de cette monstrueuse divinité était creuse et se
partageait en sept fourneaux.
Dans le premier on offrait de la fleur de farine ; dans le
second, des tourterelles ; dans le troisième, une brebis ;
dans le quatrième, un bélier ; dans le cinquième, un veau ;
dans le sixième, un bœuf ; dans
le septième, un enfant.
L’histoire des Dieux siriens fait foi que ces enfants étaient
réellement brûlés en l’honneur de l’infâme idole.
→ Abbé
J. Gaume : Pour
une raison analogue, la même chose a lieu dans la Cité du mal.
Satan a parlé, et l’homme sacrifie. Sa parole est d’autant plus
certaine, que l’homme sacrifie son semblable. Il le sacrifie sur
tous les points du globe, la parole de Satan est donc universelle. Il
le sacrifie malgré les répugnances les plus vives de la nature, la
parole de Satan est donc absolue, menaçante. Il le sacrifie partout
où le vrai Dieu n’est pas adoré : le
Juif lui-même, aussitôt qu’il, abandonne Jéhovah, tombe dans
Moloch et lui sacrifie ses fils et ses filles.
Le sacrifice humain n’est donc ni l’effet de l’imagination, ni
le résultat d’une déduction logique, ni une affaire de race, de
climat, d’époque, de civilisation ou de circonstances locales :
c’est une affaire de culte.
→ Abbé
J. Gaume : S’agit-il
de l’ordre purement religieux ? Infidèles
à Jéhovah, combien de fois n’a-t-on pas vu les Juifs, sans
distinction de position sociale, tomber dans Moloch, et sur sa
demande immoler leurs fils et leurs filles à cette divinité
cruelle ?
En Phénicie, en Syrie, en Perse, en Arabie, en Afrique, en Crète, à
Carthage, les plus illustres citoyens se résignent au même
sacrifice, par l’ordre des oracles. C’est sur la même injonction
que, dans la Grèce, le roi Érecthée immole sa fille chérie ;
Agamemnon, la sienne ; Idoménée, son fils ; les Athéniens,
leurs fils et leurs filles choisis ; les Messéniens, une vierge
pure ; les Thébains, le fils de leur roi ; les Achéens,
la plus belle jeune fille et le plus beau jeune homme de leur
capitale. Des sacrifices du même genre, c’est-à-dire solennels,
et demandés par l’autorité publique, s’accomplissent chez tous
les peuples célèbres de l’antiquité() !
17.A.2 - Que
fais-je, moi Moloch, sur ce site que j’abhorre tant ?
Eh
bien voilà, n’ayant trouvé nulle part ailleurs des colonnes me
permettant de m’exprimer, j’ai fait valoir aux responsables de ce
site que j’avais un droit à m’exprimer en tant qu’avocat de la
défense de Cheb Mami.
Ils
ont accepté en me posant qu’une seule condition, c’est de mettre
cet encart que voici au début de mon intervention :
Début
de l’extrait →
Nous,
du site Restauration
de la Famille par l’Autorité, avons
dû, à notre corps défendant, ouvrir nos colonnes à l’avocat de
Cheb Mami. Nous rappelons que l’esprit de notre Œuvre est bien
visible dans toute notre étude ; et que, notamment, nous sommes
totalement opposés à toute forme de limitation des naissances, donc
en effet à l’avortement !
←
Fin de l’extrait
17.A.3 - Je
suis commis d’office : avocat du diable…
Voyez-vous,
le Bon Dieu a ses avocats, bien qu’ils semblent maintenant
inexistants ; et, Lucifer a aussi les siens, ce depuis la chute
originelle dont nous sommes si fiers.
L’Église
Catholique, du temps où nous ne l’avions pas encore éclipsée
(donc point celle du potentat que nous avons placé sur le Siège de
Rome), lors des procès de canonisation donnait au diable un avocat
qui était chargé de défendre la ‘prise’ du diable.
Voici
un texte qui peut vous aider à comprendre ma mission :
Durant
l’ancien processus de canonisation par l’Église catholique
romaine, le promoteur de la foi (en latin promotor fidei), ou avocat
du diable (advocatus diaboli), était un avocat chargé par l’Église
d’argumenter contre la canonisation d’un candidat.
Avocat
devant s’assurer que rien n’avait échappé dans la vie d’un
‘postulant’ au titre de sainteté qui serait contraire à cette
nomination.
En
l’affaire qui nous intéresse, moi Moloch, j’ai été nommé par
Lucifer, le Malicieux en Chef, pour défendre Cheb Mami !
17.A.3.a - Qu’est-ce
que l’affaire Cheb Mami ?
Voici
un article que j’ai trouvé en fouinant sur internet, sur Yahoo
France Actualité parlant de cette affaire (parution du vendredi 3
juillet 2009) :
Cheb
Mami a reçu le verdict de son jugement aujourd’hui. La décision
du tribunal correctionnel de Bobigny ne s’est pas fait attendre. Le
chanteur est condamné à cinq ans de prison ferme pour avortement
forcé et séquestration sur son ex-compagne.
Cheb
Mami avait assisté à une première audience hier pendant laquelle
le procureur avait requis sept ans de prison à l’encontre du
chanteur (voir l’article). Aujourd’hui, il s’est de nouveau
présenté face à l’audience pour recevoir la décision du
jugement. Le tribunal correctionnel l’a condamné à cinq ans de
prison ferme pour violences aggravées et séquestrations sur
Camille, son ex-compagne. Alors qu’elle était enceinte, son
manager et ses proches avaient emmené la femme dans leur propriété
afin de la faire avorter par leurs propres moyens. Le chanteur, qui
était au courant de ce qui se passait, les a laissé faire et a
préféré quitter les lieux. Michel Levy, le manager de Cheb Mami, a
écopé de quatre d’emprisonnement. Abdelkader Lallili et Hicham
Lazaar, les exécutants de l’avortement ont été condamnés,
respectivement, à six et trois ans de prison. La star du raï pourra
toujours faire appel s’il le souhaite.
17.A.4 - Et
maintenant, c’est là que j’interviens pour défendre Cheb Mami
17.A.4.a - Voici
le projet de mes attendus :
→ Attendu
que : Moi, Moloch, ai été
commis d’office par Lucifer notre Maître pour défendre Cheb Mami.
17.A.4.b - L’avortement
est un ‘droit’ que nous revendiquons
→ Attendu
que : l’avortement est une
très bonne chose !, la preuve ?, c’est que la loi que
nous avons inspirée à des Simone Veil et Cie,
l’autorise !
→ Attendu
que : c’est nous, les
révoltés, qui avons par l’intermédiaire de nos fils les plus
dociles, ainsi nommés par Saint Jean : ceux
qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de
Satan*,
inoculé la doctrine de la ‘libération de la femme’. Voyez une
nouvelle fort juste, qu’ils ont sur ce site : (Re)Voyez ND :
CN-2009-11, Nous,
Rockefeller, Rothschild
& Cie, avons ‘libéré’
vos femmes pour saper vos sociétés !
17.A.4.c - Nous
avons fait dire que ce tas de viande appartient aux deux parents afin
d’évincer le Père
→ Attendu
que : en annexe du point
précédent, nous avons fait accroire que l’enfant appartient*
aux deux parents.
→ Attendu
que : cette géniale
trouvaille nous a permis d’évincer de fait complétement le
Père !, comme ils disent sur ce site : enfants
appartenant aux deux parents soit : 50% à elle et les autres
50% pour elle*.
→ Attendu
que : en cette affaire, nous
oublierons provisoirement le point précédent, et que nous
retiendrons que les enfants appartiennent*
aux deux parents.
17.A.4.d - Une
femme peut imposer sa volonté à l’Homme
→ Attendu
que : lorsqu’une femme
veut avorter, son géniteur*
ne peut s’y opposer, quand bien même serait-il son légitime
Époux !
17.A.4.e - Un
Homme ne peut pas imposer sa volonté à la femme, sauf…
→ Attendu
que : l’enfant
appartenant*
aux deux parents, le géniteur*
doit pouvoir obliger la porteuse à avorter !
→ Attendu
que : cette imposition de la
volonté du géniteur sur la porteuse n’est acceptable que pour
détruire !
→ Attendu
que : ainsi une vraie
égalité des sexes existera.
17.A.4.f - Il
y aurait eu séquestration de la part de mon client
→ Attendu
que : afin de pouvoir
expulser le passager clandestin (ledit enfant) on le fait bien
rentrer (séquestre) au préalable, avec la porteuse, dans ce qu’il
est convenu d’appeler un abattoir rituélique (avortoir).
→ Attendu
que : alors, dans le même
temps l’on ne peut accuser mon client, Cheb Mami, de séquestrations
sur Camille, son ex-compagne.
17.A.4.g - Il
y aurait eue violence de mon client
→ Attendu
que : l’on ne peut dire
que mon client Cheb Mami, a fait une
tentative d’avortement forcé, alors que
c’est la porteuse qui est hautement coupable d’obstruction à un
avortement choisi par le géniteur.
→ Attendu
que : si l’État avait
prêté main forte à mon client, celui-ci n’aurait pas été
obligé de le bricoler dans sa cave.
→ Attendu
que : en cela mon client
Cheb Mami n’a rien fait de plus que les sacrificateurs patentés
(avorteurs).
17.A.4.h - Mon
client aurait annihilé la volonté de la porteuse
→ Attendu
que : par ailleurs il est
dit que mon client Cheb Mami aurait drogué la porteuse, alors que
mes dévoués sacrificateurs sur mes autels-avortoirs, ne font rien
de moins : péridurale pour anesthésie locale ou même le plus
souvent générale, etc.
→ Attendu
que : si mon pauvre client,
si fort démuni à cause de la défection criminelle de l’État, a
dû anesthésier la porteuse avec les moyens du bord, soit castagne
ou autres, l’on ne peut l’en accuser.
17.A.4.i - Mon
client aurait fait maintenir la porteuse par des gros bras
→ Attendu
que : l’on l’accuse de
‘mesures’ barbares mon client, alors que dans les sacrificatoires
(avortoirs) l’on attache bien la porteuse sur la table du
sacrifice, table appelée communément ‘table de travail’ ;
→ Attendu
que : dans ces abattoirs
holocaustiques l’on dispose de bien plus de gros bras et de moyens
pour fixer la porteuse à nettoyer.
17.A.4.j - L’on
accuse mon client d’avortement, et les avorteurs, non !
→ Attendu
que : dans les
sacrificatoires l’on tient bien, aussi, les jambes de la porteuse
écartées pour y plonger des mains ‘libératrices’.
→ Attendu
que : la seule et unique
victime, en cette affaire, est mon client ; la porteuse, elle,
est coupable de complicité avec son passager clandestin essayant de
rentrer illégalement sur le territoire familial.
→ Attendu
que : découpage, forceries
diverses, arrachement, pompages, drogues salines ou autres, etc.,
étant légitimes dans les sacrificatoires-avortoirs, ne peuvent que
l’être pour mon client.
Note :
Moi, Moloch, je vous conseille fortement, si vous êtes sur le site,
la version ‛PDF’ qui est nettement plus juteuse avec une très
belle photo d’un passager clandestin écartelé (âme bêtement
sensible, s’abstenir).
17.A.4.k - L’État
est coupable de ‘non assistance à Homme en danger de paternité’
→ Attendu
que : une femme peut faire
expulser le passager clandestin pour cause de ‘maternité non
choisie’.
→ Attendu
que : les sexes étant
égaux, un Homme peut aussi demander l’expulsion du même passager
clandestin pour cause de ‘paternité non choisie’.
→ Attendu
que : que si l’on avait
fait droit à la demande de mon client Cheb Mami d’expulser le
passager clandestin, il n’aurait pas dû le faire lui-même !
→ Attendu
que :
ceci relève indéniablement de la ‘non assistance à un
Homme en danger de paternité non choisie !’
→ Attendu
que : les ‘autorités’
civiles, judiciaires, etc., doivent être toutes poursuivies pour
‘non assistance à un Homme en danger de paternité non choisie !’
17.A.4.l - Mon
client doit être réhabilité et cité à l’ordre du mérite
→ Attendu
que : Cheb Mami, mon client,
est un héros authentique n’ayant pas eu peur de braver l’interdit,
sachant surtout qu’il a très courageusement signé le « Manifeste
des 343 saligauds » ayant pratiqué un
avortement, ou en le cas, ayant voulu le pratiquer.
17.A.4.m - Mon
client est un martyr, n’en faite pas un converti !
→ Attendu
que : ladite ‘justice’
ayant condamné à cinq ans mon client Cheb Mami, celui-ci est martyr
de ‘la libération des pères non consentants’.
→ Attendu
que : ladite ‘justice’
est bel et bien complice des crimes :
1. non
expulsion d’enfant clandestin en danger de naître ;
2. non
assistance à un Homme en danger de paternité non choisie !
→ Attendu
que : par une telle et
inique mesure ladite justice risque de donner à réfléchir à mon
innocent client, Cheb Mami, et ainsi à le porter à réfléchir ;
et même pire, à se ‘convertir’ à notre ennemi juré :
Celui que les Catholiques appellent le Dieu de Miséricorde pouvant,
comme ils disent, tout pardonner, et même le pire de tous les
crimes.
17.A.4.n - Mon
client demande le restitution immédiate du passager clandestin
→ Attendu
que : nous demandons à
l’État la restitution immédiate de l’enfant (fille), né le 4
mars 2006, afin qu’il puisse être supprimé comme de droit par le
père.
→ Attendu
que : nous acceptons que
ledit ‘État’ le fasse Lui-même.
→ Attendu
que : que moi, Moloch, je
m’offre pour cette œuvre malicieuse, la porte de mon bas-ventre
[voir gravure et description] étant là pour cela.
17.A.4.o - Moi
Moloch, je demande la réhabilitation et la citation de Cheb Mami
→ Attendu
que : moi Moloch, je demande
la libération immédiate de mon client et l’attribution par le
Grand-Mètre
Élyséen de la médaille du Boucher
méritant !
→ Attendu
que : nous portons plainte
haut et fort contre ledit ‘État’ qui a très gravement diffamé
mon client en disant : violences
aggravées et séquestrations, nous nous
réservons pour toute demande de réparation !
→ Attendu
que : etc.
Fait
en Enfer,
lors d’un de nos sabbats sataniques,
le sabbat
(samedi) du 4 juillet 2009.
Signé : Moloch, avocat de Cheb
Mami
♣
Je n'ai pas tout lu, enfin jusqu'à la moitié mais j'y reviendrai...
RépondreSupprimerExtrêmement intéressant... Oui ils adhèrent au diable, même si cela est tourné en dérision de parler de Moloch, et pourtant, leurs maîtres ne plaisantent pas avec cela...
Je soutiens à fond l'autorité masculine...
Salutations.
J'aime bien la tournure de cet article, c'est bien pensé, faire parler le Mal, pour bien se rendre compte des actes.
RépondreSupprimerEh oui, pourquoi se refusent-ils au Diable, en condamnant ce Cheb Mami par exemple, alors qu'ils pratiquent, mais pire qu'ils poussent vers de tels actes.
Ils sont du même camp, beaucoup ne s'en rendent pas compte...
Cher lecteur Luryio,
SupprimerNous vous remercions très sincèrement pour votre dernier commentaire du 21/10/2012, 20.18, que nous avons agréé dès que vu.
Il nous a fait bien plaisir, et nous a bien encouragé, si seulement d'autres lecteurs vous suivaient...
Nous prierons pour vous, et ce, à toutes vos intentions.
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous, et tous les vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC