Du :
05.08.2009, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mar. 5 févr. 2013,
11.44.
Table
de cette nouvelle, CN-2009-…
21
- Pour Lubna Hussein, non pas 40
coups de fouet !, mais la peine de mort !
21.A
- Une affaire bien
symptomatique, l’affaire Lubna Hussein.
21.A.1.a
- L’imbécile-utile
soudanaise, Lubna Hussein
21.A.2
- Soudan: une journaliste
risque 40 coups de fouet pour avoir porté un pantalon
21.A.3
- De fait le Soudan est
bien bien timoré !
21.A.3.a
- Il est dit : des
policiers armés de matraque frapper l’un des avocats de la jeune
femme, Manal Awad Khogali.
21.A.3.b
- Ils est dit aussi :
tout en maintenant à l’écart journalistes et caméras.
21.A - Une
affaire bien symptomatique, l’affaire Lubna Hussein.
C’est
chaque fois exactement le même processus qui est mis en place par
‘eux’, le même système de subversion typiquement d’‘eux’,
on hurle, on fait hurler, on se lamente, on déchire ses vêtements
devant le ‘scandale’, on pousse à la transgression avec des
‘imbéciles utiles’ en première ligne, des imbéciles utiles du
style des
343 salopes ,
salopes qui avaient pratiqué un avortement totalement illégal,
forcément selon le Droit naturel, et illégal selon la ‘loi’ de
l’époque.
C’est
ainsi qu’‘eux’ firent et font procéder pour arracher tout ce
qui est contraire au Droit naturel : séparation-divorce
matrimoniale, contraception et avortement,
incitation à l’insoumission des femmes, comportement
contre-nature, travail dominical, euthanasie, etc.
C’est
ainsi aussi qu’‘eux’ firent faire :
→ en
Iran lors des manifestations si si ‘spontanées’ ; ou,
→ lors
de ladite ‘révolution française’ ; ou,
→ lors
de la révolution bolchevique ; ou,
→ infiniment
pire, lors de la réclamation de la crucifixion de Notre Seigneur
Jésus-Christ (NSJC) !
→ etc.,
etc., etc.
On
pousse des gens, ou les gens, préalablement copieusement écervelés,
tels des moutons de Panurge en un endroit, on les fait hurler et
transgresser pour bien montrer que cela ‘se fait’ ; ce,
selon le mot de Lénine : faites-le
et cela se fera, dites-le et cela se dira ;
et la transgression se faisant, cela devient ‘bien’, cela devient
‘bien’ de le faire, cela devient la ‘norme’…
21.A.1.a - L’imbécile-utile
soudanaise, Lubna Hussein
Et
maintenant, en effet il ‘leurs’ faut impérativement dévergonder
toutes les femmes, et ce en tous lieux,
afin de bien mettre à sape toutes les sociétés,
et dans leur haine toute pavlovienne : principalement
la Famille, en lançant l’épouse contre son Époux !,
en lui faisant aborder la prétention monstrueuse qu’elle serait
l’égale de l’Homme, et donc qu’elle aussi peut avoir un
pantalon !
C’est
ce qu’‘eux’ font en ce moment au Soudan, grâce à la
formidable et malicieuse caisse de résonance de leurs
médias-carpettes, et de leurs officines-imbéciles-utiles appelées :
‘Amnistie internationale’, ‘Ligue des ‘droits’ de l’homme’
(géniale idée du Malicieux : les ‘droits de l’homme’ !),
etc.
En
cette affaire de pantalon, ne confondez pas le pantalon en lui-même
avec la prétention au pantalon-égalité-des-sexes. Ainsi, en des
peuplades asiatiques (Japon, etc.) où la femme est du reste très
souvent citée comme exemple de douceur et de soumission, de
docilité, le pantalon est porté très pudiquement sous une tunique
qui souvent ne le laisse même pas apercevoir ; ce, comme les
panty de nos femmes voici quelques années. Autre chose est l’article
et autre chose est la prétention liée à l’article.
Lisons
le texte qui suit pour nous remémorer ladite ‘affaire’ :
21.A.2 - Soudan:
une journaliste risque 40 coups de fouet pour avoir porté un
pantalon
La
police soudanaise est intervenue mardi à coups de gaz lacrymogènes
et de matraques pour disperser
la cinquantaine de Soudanaises, qui manifestaient devant le tribunal
de Khartoum où une journaliste encourt 40
coups de fouet pour avoir porté un pantalon en public, en
violation de la loi islamique en vigueur dans ce pays.
Certaines
des manifestantes portaient des pantalons en signe de solidarité
avec Lubna Hussein, qui risque la flagellation pour "tenue
indécente". Aucun blessé n’était signalé dans l’immédiat,
mais des témoins ont dit avoir vu des policiers armés de matraque
frapper l’un des avocats de la jeune femme, Manal Awad Khogali,
tout en maintenant à l’écart journalistes et caméras.
Nous
notons qu’il y a :
De
‘mauvaises’ dispersions :
Au
Soudan, de viragos voulant renverser leur Maison de leurs propres
mains*.
Etc.
Et
de ‘bonnes’ dispersions :
Sur
les territoires palestiniens et donc volés, dispersion à balles
réelles ou avec tous autres moyens, des réclamants
leur dû.
Etc.
De
‘mauvais’ procès :
Au
Soudan, de cette criminelle transgresseuse.
De
Ladite Sainte-Inquisition qui cherchait à débusquer les
infiltrations des ennemis
de tous les hommes.
Etc.
Et
de ‘bons’ procès :
De
NSJC par le sanhédrin même pas légalement constitué.
À
Nuremberg, par les vainqueurs.
De
l’Époux, en violation de Son Autorité infrangible*,
par ladite justice (affaires familiales).
Etc.
De
‘mauvaises’ flagellations :
Au
Soudan, de la transgresseuse.
Et
surtout à l’intérieur de l’inviolable Sanctuaire familial,
lorsqu’un Époux tout-Puissant en sa Maison, veut le plus
légitimement possible faire rentrer quelques parcelles
d’intelligence sensible, par son charmant fessier (voir ensuite),
en Sa ‘tendrelette’ d’épouse obstinément récalcitrante.
Etc.
Et
de ‘bonnes’ flagellations :
Après
avoir fait réclamer par des hurleurs hystériques la crucifixion de
NSJC reconnu innocent par Pilate :
22.
Pilate leur dit : Que ferai-je donc de Jésus, qui est appelé
Christ ?
23.
Ils répondirent tous : Qu’il soit crucifié ! Le
gouverneur leur dit : Mais quel mal a-t-Il fait ? Et ils
crièrent encore plus fort, en disant : Qu’Il soit crucifié !
24.
Pilate, voyant qu’il ne gagnait rien, mais que le tumulte allait
croissant, prit de l’eau, et se lava les mains devant le peuple, en
disant : Je suis innocent du sang de ce juste ; c’est à
vous de voir.
Après
avoir demandé que Son adorable Sang retombe sur leurs têtes et sur
celles de leurs enfants :
25.
Et tout le peuple répondit : Que Son sang retombe sur nous et
sur nos enfants !
Pilate
Le fit flageller pour tenter de calmer ces malicieux :
26.
Alors il leur délivra Barabbas, et après avoir fait flageller
Jésus, il Le leur livra pour être crucifié.
Etc.
21.A.3 - De
fait le Soudan est bien bien timoré !
Nous
vous l’avons toujours bien dit !,
sans aucune, aucune
langue de bois !
Voici
ce que le Soudan devrait faire avec cette cinquantaine
de Soudanaises, véritables salopes*
ayant scandaleusement porté des vêtements d’Hommes, et en premier
avec cette super pauvresse de Lubna
Hussein, véritable pendant de notre Valérie
Létard* hexagonale : pendues haut et
court à la porte du village où s’est produite la transgression !
De
fait voici la procédure
qui aurait dû suivre le Soudan :
1. Le
Tuteur, car en effet une femme ne peut qu’être sous tutelle (Père,
frère, Époux, etc.) est sommé de remettre la transgresseuse au
pas, de la corriger de main de Maître par tous moyens à sa
disposition ; Il peut faire appel à l’autorité publique pour
exécution de Sa sentence !
2. Si
le Tuteur se refuse à obtempérer, c’est Lui qui devient le
transgresseur, c’est Lui qui doit être puni !
3. Si
la transgresseuse récidive, le Tuteur se fait effectivement fort que
cette transgression ne puisse plus jamais se reproduire, Il peut
faire appel à l’autorité publique pour exécution de Sa sentence,
voire même capitale !
4. Si
le Tuteur se fait complice de la transgresseuse, la Force publique
prononce et exécute Sa peine qui peut être capitale pour les deux !
21.A.3.a - Il
est dit : des
policiers armés de matraque frapper l’un des avocats de la jeune
femme, Manal Awad Khogali.
Où
a-t-on vu qu’un complice objectif d’une telle forfaiture ne
pourrait être poursuivi ? Comme de droit, le(s) complice(s)
encoure(nt) la même peine que la (les) transgresseuse(s) !
21.A.3.b - Ils
est dit aussi : tout
en maintenant à l’écart journalistes et caméras.
Sachant
que de toutes les façons les médias sont aux bottes de la
subversion commanditée par ‘eux’, il est plus que normal que le
Soudan les empêche de nuire, de fait ces ‘journalistes’
devraient encourir les mêmes peines que les transgresseuses, pour
complicité objective !
21.A.4 - Nous
disions plus haut :
Le
plus légitimement possible faire rentrer quelques parcelles
d’intelligence sensible par son charmant fessier.
Il
est vrai que de fait ceci s’adresse à de vrais Hommes, mais en
reste-t-il maintenant ?
Des
hommelettes il n’y a plus que cela !, il y en a du reste à la
pelle, l’on ne voit que des lavettes tapies au milieu de femelles
enférocées : C’est
le propre d’une femme, lorsqu’elle se dispute avec un homme, de
perdre courage et de prendre la fuite, aussitôt que celui-ci lui
montre un visage ferme ; l’homme, au contraire, commence-t-il
à craindre et à reculer, la colère, la vengeance et la férocité
de cette femme s’accroissent et n’ont plus de mesure*.
Il
n’y a que cela, de plus en plus de sous-femmes appelés aussi
sodomites ou pédérastes, sachant hurler du reste encore plus
aiguëment
que les viragos !
Mais
de ces Vrais et
rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée,
gardiens fidèles de leur gens*, en
reste-t-il ?
Mais
de ces Vrais Époux ne craignant nullement de tenir énergiquement La
barre de la nef domestique [qui] a
été confiée à vos mains* comme le leurs
rappelait Pie XII, en reste-t-il ?
De
vrais Hommes exerçant l’Autorité de la manière dont Pie XII le
leurs rappelait : N’hésitez
donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point
à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités,
en reste-t-il ?
De
ces bons et charitables Époux écoutant leur Devoir, et non les
sirènes lucifériennes hurlant à travers ‘leurs’ médias, et
donc n’ayant pas peur de retrousser les manches afin d’apprendre
quelques pas de Polka*
à leurs égarées, histoire de les dégourdir quelque peu !, en
reste-t-il ?
Ci-contre,
détails d’une miséricorde de stalle est visible en l’église de
Brou,
dans l’Ain, France.
Source :
photo privée faite par une personne bien complaisante.
De
ces Vrais Hommes n’ayant point peur de mettre la main à la pâte,
comme nous le voyons sur cette photo (Correction
maritale)
ci-contre, afin de ramener l’épouse récalcitrante à la raison
comme le Doit naturel le commande, comme l’Église et de nombreux
Saints et des sains auteurs le rappellent : on
peut user aussi des réprimandes
et des
coups*.
(Saint Augustin, Père de l’Église) ; lorsque,
après avoir été plusieurs fois avertie, votre
femme ne s’est pas corrigée ;
seulement alors vous
pouvez la châtier*…
(Saint Alphonse de Liguori), en reste-t-il ?
Compléments :
→ le
point : Nous,
dans la Vérité, nous allons Vous dire que Vous devez la battre, lui
donner des coups, si elle ne veut pas se corriger, être dominée,
obéir !
Heureux
temps où paisiblement…,
l’Époux soulageait Son épouse de
ses errances…
Oui !,
heureux temps où l’Église et l’État ne trahissaient pas les
Hommes, les Époux,
les Chefs de Famille.
Oui !,
Heureux temps, où la chose était réglée vite fait, bien fait, et
en Famille et sans scandale toujours très hypocrite. Et l’épouse
tout à son bonheur d’être soulagée de son errance, voyant enfin
clair, venait amoureusement vous embrasser la main et vous bénir !
♣
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