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mardi 11 août 2009

CN-2009-22, Castapipe, la commère de Castafiole, veut tester le bracelet électronique pour contrecarrer les ‛violences conjugales’ ?, chiche !

Du : 11.08.2009, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : jeu. 21 août 2014, 17.30.
Table de cette nouvelle, CN-2009-…
22 - Castapipe, la commère de Castafiole, veut tester le bracelet électronique pour contrecarrer les ‛violences conjugales’ ?, chiche !
22.A.1 - Mise au parfum au sujet de surnoms : Castafiole, Castapipe
22.A.2 - L’affaire du ‛bracelet électronique de la Castapipe’
22.A.2.a - Revenons à nos commères, Castafiole et Castapipe
22.A.3 - 1 - Cherchons l’auteur desdites violences conjugales en la Famille
22.A.3.a - Qui est l’auteur de ces violences ?, commençons par voir ce que disait :
22.A.3.b - Sachons ce que les mots veulent dire
22.A.3.c - Ordo ab chao ! L’ordre par le chaos !, en la Famille
22.A.4 - 2 -Parallèle entre embraceler électroniquement, et embraceler moralement le sujet violent
22.A.4.a - Et si nous parlions du bracelet et de l’alliance
22.A.5 - 3 - Trouver ‛la’ solution à cette violence tellement préjudiciable à l’Union conjugale
22.A.5.a - C’est ce que nous raconte Saint Augustin :
22.A.5.b - C’est la même chose dite autrement par Mgr Jean-Joseph Gaume :
22.A.6 - Mais, enfin, il existe bien des Maris violents !
22.A.1 - Mise au parfum au sujet de surnoms : Castafiole, Castapipe
Castafiole2 et Castapipe sont des surnoms ‛à peine’ ironiques et très légitimement méprisants donnés par le capitaine Haddock à l’insensée, mais de fait plus bête que nuisible contrairement à nos deux renverseuses de Maisons !, la Castafiore, qui lui portait passablement sur le système !, comme pour nous, ‛nos’ : Valérie* (une ‛habituée’) et Nadine (la petite dernière) !
→ Castapipe : donne, en le décomposant, ‛casse ta pipe’ !, ce qui est donc un ordre, ou pour le moins un souhait du type : puisse-t-elle, cette crasse3 nuiseuse4, ‛casser sa pipe5’, mourir, afin de ne plus nous nuire, à nous les Hommes, mais en premier à nos écervelées de femmes !
→ Castafiole : a de fait exactement la même définition, au lieu de tenir une pipe entre ses dents, elle tiendrait une fiole !, mieux !, lisons :
-Fiole : Fig., pop. Tête, figure. Synon. bobine, poire (fam.). Elles [les mômes] avaient des fioles de poupées, des mirettes comme des bonbons bleus (Céline, Mort à crédit, 1936, p. 255). Une bande de bondieusards qui n’a certainement aucun goût pour ma fiole (L. Daudet, Clemenceau, 1942, p. 280)6.
Castafiole, ou casse ta fiole, est donc aussi un ordre ou pour le moins un souhait du type : puisse-t-elle, cette crasse nuiseuse, ‛casser sa fiole’, mourir, afin de ne plus nous nuire, à nous les Hommes, mais en premier à nos écervelées de femmes !
Ainsi donc, nous réservons pour Valérie : Castafiole, et pour Nadine : Castapipe !
Notez bien, que dans ce bal d’insensées Schtroumpfettes*, nous pouvons encore en accueillir une autre, une : Castagnette !, nom donné par le même et bien brave capitaine Haddock ! Nous pouvons même installer des strapontins, il nous suffit de nous creuser les méninges : Casta… Des ‛Hommes de bonne volonté’ peuvent nous aider par le biais des commentaires !, merci d’avance.
22.A.2 - L’affaire du ‛bracelet électronique de la Castapipe
Pour le détail et l’origine de 22.A.2, L’affaire du ‛bracelet électronique de la Castapipe’, veuillez consulter cette page : Violences conjugales - Morano veut tester le bracelet électronique7.
22.A.2.a - Revenons à nos commères, Castafiole et Castapipe
Commère8 de ‛notre’ Valérie-Castafiole Létard, Nadine-Castapipe Morano, veut faire porter un bracelet électronique aux auteurs de ‛violences conjugales*’, alors, là !, Nous applaudissons carrément des deux mains, et même très très chaudement. Nous en demandons et redemandons !
Où, l’art, les commères insensées*, de tendre un bâton* pour se faire battre* !, et alors, que notre sujet est de fait les ‛femmes battues*’, cela devient particulièrement comique, cocasse, voire carrément jouissif !
Les mémères, Valérie-Castafiole et Nadine-Castapipe, enfin vous vient, la date de péremption frappant ou allant frapper à la porte : une certaine intelligence bien tardive !
Voyons ce que deux saines femmes, donc pas vous les commères, disent ou font, et ce aux antipodes de ce que vous dites et faites :
→ l’épouse de Sam Thorton* ayant eu enfin un début de contrition : Son épouse l’accueille humblement et Lui tend un bâton pour qu’Il puisse la battre (photo ci-contre9)
→ une grand-mère pleine de bon sens : Monsieur, monsieur, attendez, attendez, voilà un bon bâton pour battre votre jolie dame*10 (photo ci-contre11).
Nous allons maintenant :
1. Chercher qui est l’auteur de cesdites12 violences conjugales ;
2. Faire un parallèle entre embraceler13 électroniquement, et embraceler moralement ce sujet violent ;
3. Trouver ‛la’ solution à cette violence tellement préjudiciable à l’Union conjugale.
22.A.3 - 1 - Cherchons l’auteur desdites violences conjugales en la Famille
Quel est l’auteur desdites14 violences à l’intérieur de la sphère familiale ?, qui est de toutes les façons absolument inviolable comme de Droit, et comme notre étude le confirme, comme l’Église le confirmait avant le Vatican d’Eux !
Nous défions quiconque !,
de nous prouver le contraire !
22.A.3.a - Qui est l’auteur de ces violences ?, commençons par voir ce que disait :
→ Notre Seigneur Jésus-Christ : Si les époux ne vivent pas en bonne intelligence, si le mariage n’atteint pas son but, qui est de procréer des enfants bons et purs, la faute en est presque toujours à la femme. Son devoir est de tout supporter et de souffrir*.
→ Dom Bernard Maréchaux : elle lui est assujettie plus strictement encore, en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle a une réparation à lui faire et une punition de son péché à subir*.
→ L’abbé Philibert Rigaud (FSSPX) : La décadence touche les meilleures familles. Deux familles identiques : l’une est paisible, l’autre est difficile. Un seul responsable mesdames, je suis désolé, c’est la femme, l’épouse, la mère*.
Revoyez surtout, car c’est bien ces pauvresses qui ont le culot* de nous parler de ‛violences conjugales’, CN-2008-16, Valérie Létard veut susciter une réaction ?, la voici !
22.A.3.b - Sachons ce que les mots veulent dire
Que veut dire le mot ‛violence’ ?
-Violence : DR. CIVIL. Contrainte illicite exercée sur quelqu’un pour obtenir quelque chose avec son consentement.
Ainsi donc, une contrainte licite n’est pas violence, donc :
→ La force publique qui dresse un procès verbal à un automobiliste ayant dépassé en haut d’une côte, avec franchissement évident de la ligne continue, ne fait pas violence ! Par contre, si elle ne faisait rien, elle ferait bien violence à l’automobiliste innocent arrivant en face sans savoir qu’il va mourir dans quelques secondes ! Le non respect des règles de l’Autorité légitime (en cette affaire !) est la seule et unique violence ! ; ainsi, la répression, ici licite, n’est pas violence !
→ Un Époux qui corrige* Son épouse, la réprimande*, la discipline*, la fouette*, use de coups*, etc., etc., parce que Son épouse refuse d’être dominée* ; de servir* son Époux ; d’être Sa servante* ; d’être dans la digne servitude* ; dirigée* en tout ; contenue dans son devoir* ; refuse de se faire corriger*, ou d’être réprimandée* ou châtiée; d’obéir en toutes choses* et même obéir encore dans les choses qui lui semblent le plus déraisonnables* ; etc. : n’est pas violent !, c’est l’épouse qui use de violence, en violant les règles forcément licites de son Époux ! Le non respect des règles de l’Autorité légitime (forcément en la Famille !) est la violence ; ainsi, la répression, ici (forcément) licite, n’est pas violence !
→ La Vraie et seule violence vient donc bien de ces commères, Valérie-Castafiole et Nadine-Castapipe, travaillant insensément15 pour ‛eux16’ : elles font tout pour troubler Nos femmes, et principalement Nos épouses ! Leurs actions sont forcément illicites, elles sont vicieuses, malicieuses, contre-nature !
Voici un complément bien bien utile, au sujet de la légitimité, de la licité de ladite ‛violence’ :
CN-2008-16, Valérie Létard veut susciter une réaction ?, la voici ! ; et particulièrement depuis : Mensonge !, falsification de la Vérité : violences faites aux femmes.
22.A.3.c - Ordo ab chao ! L’ordre par le chaos !, en la Famille
Voici les étapes de ce Ordo ab chao !, en la Famille :
1. ‛Ils’ débauchent les femmes avec leurs pipeaux maléfiques17, en susurrants leurs malicieux mensonges de ‛l’égalité des sexes’ et de ‛la libération de la femme’, ceux-ci étant tous deux son réel et unique asservissement !
2. Ayant donné des démangeaisons* à nos femmes, après les avoir agacées*, ‛ils’ les ont poussées dans les pattes des Hommes ainsi : De plus en plus de femmes se font battre !… Elles se font battre parce qu’elles résistent… Elles résistent parce qu’elles savent que nous les soutenons18 !, et le chaos est réalisé !
3. Puis ces pompiers pyromanes arrivent pour embraceler l’Époux ‛violent’, qui dans son désarroi, ayant oublié* ou bien voulu oublier la notice d’utilisation*19 lisible dans le manuel du Maître*, ou n’ayant pas voulu la connaître, ne tape pas sur la bonne personne !
22.A.4 - 2 -Parallèle entre embraceler électroniquement, et embraceler moralement le sujet violent
Bien sûr, Nadine-Castapipe Morano voulant de volonté certaine se tromper sur l’auteur de cesdites ‛violences conjugales*’, propose alors le bracelet électronique pour l’Homme, qui est forcément, selon ces deux insensées, et c’est même érigé en ‛article de foi’ : le criminel !
Quelle différence voyez-vous entre ce que veut imposer cette pauvresse de Nadine-Castapipe à l’Époux, et ce que nous rappelons dans toute notre étude, ce que l’Époux doit faire vis-à-vis de Son épouse ? Aucune !
Aucune !, si ce n’est la licité ou l’illicité20 de l’action :
→ Nadine-Castapipe Morano veut, afin de L’empêcher de ‛nuire’, surveiller l’Époux, Lui interdire certains déplacements, et en cas d’infraction l’embastiller pour le punir ! Son action est illicite, c’est donc bien une violence !
→ l’Époux veut, comme le Lui commande impérativement le Droit naturel*, afin de l’empêcher de ‛nuire’, surveiller Son épouse, lui interdire certains déplacements, et en cas d’infraction l’embastiller pour la punir ! Son action est forcément licite, ce ne peut être une violence !
Ainsi donc, et Nadine-Castapipe Morano, et l’Époux, utilisent les mêmes moyens pour atteindre, apparemment, le même but, soit d’empêcher de nuire : la vicieuse Castapipe, l’Époux ; l’Époux, Son épouse ; la seule différence est donc : la licité ou l’illicité de l’action ! Ainsi :
→ L’Époux ayant seul la licité la plus absolue pour agir en Sa Famille, ne peut être violent !
→ Nadine-Castapipe Morano ne pouvant qu’agir illicitement, est la seule ‛génératrice’ de violence !
22.A.4.a - Et si nous parlions du bracelet et de l’alliance
Le petit anneau* (l’alliance, cette laisse*-collier*), que seule l’épouse doit porter, et surtout pas l’Époux21 !, est bien un ‛bracelet’ moral que porte l’épouse, et qui lui marque et lui rappelle sa dépendance, son asservissement* à son Époux !
Le bracelet physique, que seul l’Époux portera, et certainement pas l’épouse ‛innocente’ !, est bien un anneau*, un collier*-laisse* que la commère Nadine-Castapipe Morano veut imposer à l’Époux !
Ainsi donc, ce n’est, ni pour l’Époux, et ni pour la mémère Castapipe, la laisse-collier* qui est le point de litige, mais la légitimité* ou l’illégitimité* de cette laisse-collier* !
La laisse-collier* morale, l’anneau* de l’épouse, tenue par l’Époux : est forcément licite !
La laisse-collier* physique, le bracelet électronique de l’Époux, tenue par Nadine-Castapipe Morano : est forcément illicite !
22.A.5 - 3 - Trouver ‛la’ solution à cette violence tellement préjudiciable à l’Union conjugale
Quel est la solution pour empêcher cette violence ne venant que de la femme, comme nous l’avons suffisamment vu dans toute notre étude, et dans cette nouvelle et ses renvois ? ; violence :
→ qui a toujours existé depuis la faute originelle* venant d’Ève, la toute première violente,
→ qui existe comme jamais maintenant, à cause des susurrements* d’‛eux’, et
→ qui existera de plus en plus, le temps passant et l’audace du Malicieux augmentant.
La solution est : l’eau miraculeuse contre-coups*22 !, un verre d’eaumiraculeuse*’ et plus de coups* !
Ou, si vous préférez : qu’elle la ferme une bonne fois pour toutes*, qu’elle obéisse parfaitement, qu’elle satisfasse pleinement son Époux*, et ‛miraculeusement’ : plus de coups*, plus de violence !
22.A.5.a - C’est ce que nous raconte Saint Augustin :
Saint Augustin rapporte (l. 9, conf. cap. 9) de sainte Monique, sa mère, que, bien qu’elle eût un mari très fâcheux, elle vivait cependant en paix avec lui, de sorte que ses voisines, qui étaient souvent en discorde avec leur mari, lui demandèrent un jour de quel moyen elle se servait : pour vivre en si grande paix avec son mari. La sainte leur répondit : « Mes sœurs, les désagréments que vous éprouvez de la part de vos maris ne viennent pas tant de leurs imperfections que de la vôtre ; vous répondez, vous répliquez, et par là vous exaspérez leurs esprits ; mais quand je vois mon époux en colère, je ne réponds pas, je supporte ses aigreurs, et je prie Dieu pour lui, et par là je vis en paix : faites-en autant, et vous aussi vous vivrez en paix… »*
22.A.5.b - C’est la même chose dite autrement par Mgr Jean-Joseph Gaume :
Il n’y a pas à reculer : c’est une question de bonheur ou de malheur, même en ce monde. Comment la résoudre avec succès ? Il est pour cela un moyen infaillible, une recette consacrée par l’expérience des siècles. Elle fut en particulier celle de Monique, épouse de Patrice, le païen, et mère d’Augustin, hérétique et libertin dans sa jeunesse.
Prier, travailler, souffrir et se taire, C’est se dévouer. Se dévouer c’est aimer ; et, pour la femme, aimer, c’est régner.
Devant une pareille puissance, qui chaque jour, à chaque heure, pendant de longues années le suit comme l’ombre suit le corps, il n’est pas d’homme si altier qui ne fléchisse, pas de caractère si violent qui ne se brise, pas de cœur si dur qui ne s’amollisse, pas de préjugés qui ne se dis pas d’ignorance qui ne s’éclaire. L’empire que nous avons sur nous-mêmes est la mesure de celui que nous avons sur les autres.23
22.A.6 - Mais, enfin, il existe bien des Maris violents !
Toutefois, sachez que dans notre étude, nous avons bien envisagé l’Époux réellement ‛violent’, ce qui n’est jamais au grand jamais une raison pour l’embraceler ou l’embastiller, la solution, c’est Saint Pierre qui nous la rappelle : Que les femmes soient pareillement soumises à leurs maris, afin que, si quelques-uns ne croient pas à la parole, ils soient gagnés sans parole par la conduite de leurs femmes… lorsqu’ils verront votre conduite chaste et respectueuse.
(Re)Voyez ND :
→ DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II) ; point DP-8E5, Mgr Jean-Joseph Gaume dit d’un Mari irréligieux, violent…
→ et plus particulièrement du point DP-8E4, Saint Pierre aux épouses ayant un Maître, un Mari difficile.
→ au point DP-8E8, Bienheureuse Anne-Marie Taïgui (1769-1837).
3Crasse : CRASSE. adj. de t. g. qui n’a d’usage qu’au féminin. Grossier, épais. Humeur crasse & visquese. Matière crasse & épaisse. Il se dit aussi figurément dans cette phrase, Ignorance crasse, qui signifie Une ignorance grossière & inexcusable.
8Voir aussi compère. Commère : Personne liée à une autre par des rapports d’entente, d’amitié, voisine, amie.
http://www.cnrtl.fr/definition/dmf/comm%C3%A8re
* - Pour connaître la raison de cet astérisque et des suivants, veuillez lire : Nos documents comportent des astérisques ‘*’…
9Ou, l’adresse : http://www.mirari.fr/GXPS
10DP-06, Restaurer l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II) ; point DP-6C13, L’Homme tranquille, bon… bat Sa femme s’il le faut !
12Cesdites : … soient déclarez ne spécifiés par ces présentes et généralement lesdits establiz se sont fait et font par cesdites présentes l’un d’eux à l’aultre donnaison mutuelle et irrévocable de tout ce qu’ils s’entre peuvent donner et transporter par la coustume du pays et duché d’Anjou…
http://www.odile-halbert.com/wordpress/?cat=1596
13Embraceler : … on ne s’est point contenté de laisser embraceler ou enchainer ou embaguer sa femme, sans faire semblant d’en voir rien…
Mars et les muses dans l’Apologie pour Hérodote d’Henri Estienne. Par Bénédicte Boudou
Source : http://books.google.fr/books?id=E5Xy26auvM8C&pg=PA229&lpg=PA229&dq=embraceler&source=bl&ots=Rl5LpGyKvR&sig=PRf6IsWsGMmbQ_Nb9cGkejAt8BI&hl=fr&ei=XGKASqbtH4GZjAe0sMzwAQ&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=7#v=onepage&q=embraceler&f=false
14Desdites : Féminin pluriel de dudit.
http://fr.wiktionary.org/wiki/desdites
15Insensément : adv. D’une manière insensée.
http://www.cnrtl.fr/definition/insens%C3%A9ment
17Jouer du pipeau : pipeauter – pipeauteur : joueur de pipeau – pipeautage : ce qui sort du pipeau.
-Pipeau : Au fig., fam., vieilli. Artifice servant à tromper quelqu’un. Se laisser prendre aux pipeaux de qqn. J’ai évité ses pipeaux (Ac. 1835-1935). Le président Wilson ou les pipeaux neufs: Mil neuf cent dix-sept: la guerre militaire se traîne. La stratégie se réduit à des bousculades formidables (J.-R. Bloch, Dest. du S., 1931, p.80).
(Re)Voyez : Le Joueur de flûte de Hamelin :
18DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3B10d, Lisons comment ce damné de Lucifer s’y prend.
19DP-01, Présentation de cette étude ; point DP-1C1b, Ce n’est qu’une métaphore
21DP-11, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (II) ; point DP-4I1, Qui prend, qui est pris, qui porte l’anneau nuptial ?, ou la page Qui est pour qui, qui est lié à qui ?, dans le Mariage…
22DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7E6, Veut-elle découvrir l’eau miraculeusement contre-coups !
23DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II) ; point DP-8E5, Mgr Jean-Joseph Gaume dit d’un Mari irréligieux, violent…

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