Du
17.06.2015. Version PDF.
Actualisé : ven. 19 juin 2015,
11.00.
Table
de ce document, RH-2015-…
2
- Cher Sieur Paul, comment
se comporter avec son Père une fois marié ?, aucune
difficulté !
2.B
- Préparation du
terrain avant de déposer notre réponse.
2.B.1.a
- Convention de
lecture de ce document.
2.B.1.b
- Reprécisons
inlassablement, il s’agit bien que de l’unique Père des époux !
2.B.2
- Essayons de
distinguer ce que sont respect, honoration et piété filiale.
2.B.2.a
- Du respect que
l’on doit à quiconque.
2.B.2.b
- Revenons-en au
respect que vous devez à votre Père.
2.B.2.c
- Or, Notre Dieu
ne dit pas respectez !, mais honorez votre Père !
2.B.2.d
- Où nous
devons voir particulièrement la piété filiale.
2.C
- Cheminons
maintenant droitement vos deux commentaires…
2.C.1
- Réponse à votre
premier commentaire.
2.C.1.a
- Honoration de
ses parents, et bienfaits du Patriarcat.
2.C.1.c
- Remettre votre
Père à Sa place, s’il le faut, mais avec charité !
2.C.1.d
- Demander
conseil, exposer les faits, n’est pas maugréer !
2.C.2
- Réponse à votre
second commentaire.
2.C.2.a
- Comment
s’opposer aux critiques du Monde ?
2.C.2.b
- Il faut
parfois trancher, que le Bon Dieu vous épargne cette extrême !
2.D
- Concluons rien que
pour l’instant.
2.E.1.b
- Pour l'ŒRFAEP
: QJSIOJC, 5 juin 2015 10:03
2.E.1.c
- Pour l'ŒRFAEP
: QJSIOJC, 5 juin 2015 17:34
2.E.1.e
- Pour l'ŒRFAEP
: QJSIOJC6 juin 2015 19:21
Commencé
en la Fête-Dieu,
Fête du Très-Saint Sacrement,
le jeudi
4 juin 2015 ;
achevé en la St Hervé,
et St Grégoire
Barbarigo, Évêque et Confesseur ,
le mercredi 17 juin
2015 ;
ce document Leur est bien confié.
Cher
Sieur Paul, et chers Lecteurs,
Nous
venons répondre, cher Sieur Paul, à votre dernier commentaire
visible en annexe (Paul, 5 juin 2015 09:56)
et reçu en la Fête-Dieu !, c’est pour cela qu’ayant déjà
médité sur notre réponse le soir même nous la faisons partir de
ce même jour bien que votre commentaire ne fut publié que le
lendemain…
Oui,
comme vous nous le confirmez, soyez très
heureux d'avoir une épouse si bonne et si obéissante et ignorée !
Et
vous faites en effet bien d'ignorer
les critiques, du moins les vicieuses, car
les saines et saintes ne sont en effet pas appelées critiques mais
avis, conseils, ou correction fraternelle !
Et
celles-ci doivent être faites charitablement et le plus strictement
privément quant-à Votre bonne épouse et Vos enfants ! Par
exemple, l’on vous aurait vu céder à un caprice de votre enfant,
et l’on vous glisserait aimablement à l’oreille un soyez
ferme mon ami !
Nous
étant souvenus que nous avions déjà abordé ce sujet délicat nous
vous en avons fait part (Pour l'ŒRFAEP : QJSIOJC, 5 juin 2015 17:34),
et maintenant, nous poursuivons la réponse à vos questions avec les
éléments que vous avez ajoutés (Paul, 6 juin 2015 19:18)…
Cette
réponse fait aussi suite à ces documents :
2.B - Préparation
du terrain avant de déposer notre réponse.
Préparation
du terrain et petites anticipations à notre réponse…
2.B.1.a - Convention
de lecture de ce document.
Dans
tout ce qui suit il est parlé que du Gars vis-à-vis de son Père,
si l’on devait parler de la fille cela sera alors bien spécifié.
Nous
n’envisagerons que le Gars marié, soit Lui-même Époux-Père,
Père ou en attente de l’être ; pour le non marié l’on se
reportera aux deux renvois précités.
Donc
nous dirons communément en ce document Époux pour le Gars marié,
et Père pour le Père de ce Gars !
2.B.1.b - Reprécisons
inlassablement, il s’agit bien que de l’unique Père des époux !
Écoutez,
ma fille, voyez, et prêtez l’oreille, et oubliez votre peuple et
la maison de votre père.
Dudit
autre Père, et veuillez comprendre notre dureté très bien
nécessaire à cause des codes qui sont brouillés maintenant comme
jamais !, et des drames incroyablement violents que ceci
déclenche en les Familles, du donc Père que l’épouse avait
d’avant son mariage : nous
n’en avons cure !
Pour :
drames incroyablement violents que ceci :
Petite
reprise de
ce renvoi :
…
Et
ainsi, de comparer son Époux
avec ‘sa’ Famille, et de dire ‘mon Père ceci’, ‘mes Frères
cela’, ‘à la maison l’on faisait comme cela’, ‘je veux
faire ceci, cela, comme l’on me l’a appris’, ‘tu n’as pas à
m’imposer tes habitudes’, etc.
Si
elle voulait garder sesdits parents, elle n’avait alors qu’à ne
pas dire Oui !
à l’Homme qui la demanda en mariage, ou plus exactement encore, ce
Père n’avait qu’à pas accorder sa fille à ce Demandeur !
Le
roi [l’Époux] s’est épris de ta beauté : puisqu’il est
ton seigneur, prosterne-toi devant lui.
Que
veut dire accorder ?
--Accorder
qqc. à qqn. Se déclarer d'accord avec quelqu'un en allant
au-devant de ses désirs, de son attente.
a)
[L'obj. désigne un don] Concéder par faveur ou privilège,
octroyer.
Voici
deux exemples imageant très bien cet accord :
1- Chiot
– Si l’on demande à une personne d’avoir un de ses chiots :
soit elle l’accorde ou soit elle ne l’accorde pas !
Une
fois accordé, ayant donc eut contrat tacite pour le moins (parole
donnée : Oui
je vous le donne !) cette personne ne
peut plus dire : Je
suis le propriétaire de ce chiot, il ne peut
plus exiger ceci ou cela, se mêler de ce qu’en fait ou fera ou
n’en fera pas son nouveau maître…
Le
premier a cédé irrévocablement tous ses droits sur ce chiot au
second !
Et
pour poursuivre avec ce choit, si chaque fois que vous croisez son
ancien propriétaire, il court vers lui, veut le suivre, lui fait des
mamours, semble vous dire que : Lui
au moins faisait ceci, cela, il ne vous reste
plus qu’à couper tout contact avec son ancien Maître !
2- Damoiselle
– Si l’on demande à un Père d’avoir une de ses filles :
soit Il l’accorde ou soit Il ne l’accorde pas !
Une
fois la damoiselle accordée, ayant eut contrat tacite pour le moins
(parole donnée : Oui
je vous la donne !), mais en ce cas-ci
fondé par un Sacrement, le Oui
je le veux bien de la fille, rendant tout
éloignement impossible car ne faisant plus très exactement qu’un
seul corps d’avec son Époux !
Ce
Père ne peut plus dire je suis le Père de cette fille, Il ne peut
plus exiger ceci ou cela, se mêler de ce qu’en fait ou fera ou
n’en fera pas son nouveau Maître, son Époux…
Pour :
plus qu’un seul corps d’avec son Époux :
Le
premier (Père de l’épouse) a cédé le plus irrévocablement
possible tous ses droits sur cette gamine au second (l’Époux) !
Et
pour poursuivre avec cette fille, comme contrairement au chiot elle
n’a pas besoin de Le voir pour penser à son ancien Maître (son
Père) alors ne voulant pas qu’elle soit tentée de dire Lui
au moins faisait ceci, cela, la Tradition lui
dit très catégoriquement, Écoutez,
ma fille, voyez, et prêtez l’oreille, et oubliez votre peuple et
la maison de votre père.
Et,
si elle devait ne serait-ce que languir il ne reste plus à l’Époux
qu’à remonter, héroïquement s’il le faut et toutefois
salutairement pour le foyer : ses manches !, et d’user
alors de Son bras de Justice, car de son Seigneur Dieu
il
doit
régler
sa famille, corriger
et former
les mœurs de tous
ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.
Voir :
DP-02, La
Loi, le Droit ; point 2.D.3 - L’Église
confirme que l’Époux est Le bras de Son Droit.
2.B.2 - Essayons
de distinguer ce que sont respect, honoration et piété filiale.
Il
est très malaisé de bien distinguer ces trois mots qui de fait se
recouvrent plus ou moins, et pourtant vous allez voir qu’il ne
suggèrent pas tout à fait la même chose avec ce que nous allons
tenter de bien dire pour la plus grande Gloire de notre Dieu d’Amour
et de Vérité.
2.B.2.a - Du
respect que l’on doit à quiconque.
Le
respect !, respecter !, respectez !, est généralement
une idée bien malicieuse, vicieuse donc, une invective utilisée,
jetée plutôt à la figure pour tétaniser, empêtrer une personne
peu sûre de ses convictions, pour autant qu’elle en ait de fait,
et malheureusement informé à la répartie, il en va de même avec
ladite tolérance !
Pour :
il en va de même avec ladite tolérance :
Pour :
et malheureusement informé à la répartie :
Ce
mot informé est
très suspectement
utilisé depuis bien longtemps, et veut dire dans l’acceptation
actuelle : renseigner sur un sujet…
Or,
que veut dire le préfixe in
ou im, il,
etc. ?, le plus souvent cela à un sens négatif, ainsi :
invalide est le
contraire (≠)
de valide, impossible
≠ possible, illisible
≠ lisible, impuissant
≠ puissant,
incompétent ≠
compétent,
impropre ≠
de propre, informe
≠ forme,
informel ≠
formel, insoumise
≠ soumise,
infidèle
≠ fidèle,
etc.
Le
mot information
est composé de in
et formation, ce
qui voudrait donc dire que information est le contraire de
formation ; et informer est ainsi le contraire de former.
Il
y a deux sens contraires au mot formé :
→ le
1er, serait informé,
soit incomplètement formé, ou non encore formé : – le
bébé à 1 semaine en le sein de sa mère est informé ; – un
nain aussi ; – un enfant n’ayant pas l’âge de la
raison, ne connaissant pas ou peu Dieu et Sa Volonté, aussi ;
– etc.
→ le
2d, serait déformé
soit dont la forme est abîmée : un scoliosé ;
– un enfant fréquentant les écoles de l’Éducation
nationale notamment ; – une personne vaccinée ;
– ou reconnaissant ladite Église catholique notamment, soit
au-moins post-Vatican II ; – etc.
Mais
l’une et l’autre forme disent une même chose : ce n’est
pas ou plus formé !, cela n’a pas de forme !
Or,
former c’est enseigner ce quant-aux personnes et plus
particulièrement les enfants ; ne dit-on pas maintenant suivre
une formation professionnelle notamment ?
Donc
de dire informer, cela veut dire, soit :
→ former
incomplètement, empêcher la formation, ce qu’est du reste le
taisement (mettre
sous le boisseau (Mat 5, 15))
de la Loi de Dieu ! soit donc mentir !, ici par omission.
→ ou,
changer la forme par destruction ou falsification au moins partielle,
c’est ce qu’est au moins depuis ledit Vatican II ledit
enseignement des Ecclésiastiques de l’Église catholique (EÉc) !
soit aussi mentir !, ici par falsification ! Par ex. de
dire que c’est Notre-Seigneur Jésus-Christ (NSJC) qui aurait
institué le Sacrement de Mariage !, alors qu’ils sont tous
incapables de dire le où,
et le quand et
le comment, et
alors que, comble Léon XIII a dû avouer comme malgré Lui :
C’est
pour cela qu’Innocent
III
(c. 8 de divort.) et Honorius
III
(c. 11 de transact.), Nos Prédécesseurs, ont
pu affirmer sans témérité et avec raison que le sacrement du
mariage existe parmi les fidèles et parmi les infidèles.
(DP-04, Le
Mariage, définition, célébration, règles et usage… ;
point 4.K.3 - Léon
XIII : Mariage naturel ou religieux, même Sacrement !)
Une
chose certaine va nous confirmer infailliblement ce petit
raisonnement : avez-vous vu rien qu’une seule fois que lesdits
médias vous forment ?, vous disent-ils par exemple que :
– Dieu
existe et que Luciabel cherche par tous les moyens à détourner les
hommes de leur Salut éternel ?, et, en reprenant le titre d’un
livre que nous ne pouvons vous conseiller, page Livres
& sources, que : La
vie n’est pas la Vie.
– le
Mariage qui est fondé par un Sacrement est absolument indissoluble
et indissociable (séparation-divorce), et qu’en cas d’entrave si
petite qu’elle soit : peine de mort pour les EÉc en tout
premier et les autres devant suivre toute affaire cessante...
– des
pervers de sodomites ne méritent que la mort !, au moins de
l’éternelle...
– la
contraception-avortement est un crime passible de la peine de mort !,
au moins de l’éternelle...
– etc.,
etc., etc.
Et,
lorsqu’ils vous disent une chose vraie, elle est toujours présentée
dans un but subversif, par ex. des bateaux dedits migrants traversent
la Méditerranée et l’on vous dit que l’on va les sauver !,
le fait lui-même est exact, mais l’intention est perverse, elle
consiste à générer une générosité inversée et donc mortifère :
il faut accueillir ces migrants par définition absolument
inassimilables, pour le moins parce que ou musulmans ou non blancs !,
de pardite Charité !
Véritable
invitation à envahir, pompe aspirante en vue, pour la main cachée
qui dirige tout, de saper nos Pays qui furent Très-Chrétiens par le
métissage et le prosélytisme pour le compte de Luciabel à grands
coups de cimeterre ou de machette de ces vaillants coupeurs de
têtes !
Or,
qu’est-ce que la Charité ?, c’est de s’occuper de soi en
premier (hygiène morale et physique), et de son épouse, et de ses
enfants, et en s’éloignant, de ses parents, de la famille au sens
large, du village, de sa province, de son pays ; et, tout ceci
parfaitement fait ou dans le même temps, c’est de renvoyer ces
envahisseurs forcément inassimilables ; et, d’éventuellement,
par Charité pour eux ensuite, d’installer chez-eux des
civilisateurs (missionnaires et colons)…
Donc,
lesdites informations sont des mensonges !, et informer veut
bien dire ne pas former, soit cacher la Vérité ou La déformer,
soit dans les deux cas : mentir !
Le
mot informé sort tout droit des antres de Luciabel, du Menteur !
Et,
pour couronner ce petit raisonnement, NSJC :
→ a-t-Il
dit : Allez
donc, informez
toutes les nations ?
→ non !,
Il a dit : Allez
donc, enseignez
toutes les nations, les baptisant au nom du Père, et du Fils, et du
Saint-Esprit ! (Mat.
28, 19)
Pour :
à grands coups de cimeterre ou de machette :
Déjà
plusieurs fois nous vous avons dramatiquement averti, Lecteurs, et de
plus en plus nous ne pouvons que le faire, ces événements, devant
forcément venir car annoncés par Dieu même, sont là !, tout
est en place :
→ les
coupeurs de têtes qui selon ces prophéties viendront
de l’autre côté de la Méditerrané, sont
là (supra : bateaux dedits migrants) depuis des dizaines
d’années, et arrivent de plus en plus frénétiquement en cohortes
de plus en plus serrées et innombrables !
Déjà
ils inscrivent sur nos propres murs vos
femmes nous appartiennent ! ; le
lavage de cerveaux, l’in-formation !, fait déjà que ces
blancs qui furent Chrétiens donnent et donneront eux-mêmes leurs
femmes au nom de l’anti-racisme, et tous leurs biens, et ensuite,
très prochainement poseront stupidement eux-mêmes leur têtes sur
le billot !
→ et
la France doit être envahie simultanément par l’est par la Russie
notamment, qui fermera la tenaille avec les envahisseurs du sud, ne
voyez-vous pas ?!, sauf évidemment de ne pas vouloir voir !,
que ceci s’installe exactement et frénétiquement sous nos yeux !
Très
prochainement !, les prophéties disent très bien que les
moissons seront à peine rentrées (août), que alors l’on se
préparera aux vendanges (septembre) et les gents rentreront des
vacances (août-septembre) dans les émeutes et révoltes et là
commencera les égorgement (3/4 de la population française, et 2/3
de reste du monde) et dans le même temps l’activation des deux
points fléchés précédents...
Pour :
nous vous avons dramatiquement averti :
Ainsi
donc, le respect n’est que de considérer que votre prochain quel
qu’il soit a à atteindre le Ciel, et pour ce doit connaître le
chemin de la Vérité ; c’est donc, le respect que l’on lui
doit, de lui dire la Vérité sans ambages !, l’on disait
communément dire
ses vérités !,
et maintenant erronément dire
ses quatre vérités !
Pour :
l’on disait communément dire
ses vérités :
--
Dire ses quatre vérités (à quelqu'un)
Dire
(à quelqu'un) ce qu'on pense de lui, franchement et parfois
brutalement. – Dire (à quelqu'un) des choses désobligeantes ou
blessantes, sans ménagement.
Origine :
Au
XVIe siècle, lorsque cette expression apparaît, d'abord sous la
forme "dire ses vérités", les vérités sont des "choses
vraies".
Ainsi
lorsqu'une personne disait "ses vérités" à quelqu'un,
elle lui disait des choses vraies ou justifiées sur lui,
principalement négatives, sans hypocrisie, qu'il ait envie ou pas de
les entendre.
Et
cela n'a pas vraiment changé depuis.
Respecter ?,
voici ce qu’en dit Saint Paul, pour :
→ quiconque
c’est dire la Vérité sans ambages, soit toute la Vérité,
toutefois avec Charité, soit sans colère, avec patiente : Je
t’adjure, devant Dieu et Jésus-Christ, qui doit juger les vivants
et les morts, par Son avènement et par Son règne, prêche
la parole, insiste
à temps et à contretemps,
reprends,
supplie, menace,
en toute patience
et toujours en instruisant. Car il viendra un temps où les hommes ne
supporteront plus la saine doctrine ; mais ils amasseront autour
d’eux des docteurs selon leurs désirs ; et éprouvant aux
oreilles une vive démangeaison, ils
détourneront l’ouïe de la vérité, et ils la tourneront vers des
fables. (Tim 4, 1-4)
→ son
Père, vieillard
ou pas du reste, voici ce que dit Saint Paul : Ne
reprends pas le vieillard, mais exhorte-le
comme un père ; les jeunes gens, comme des frères… (Tim 5,
1)
→ un
prêtre, comme
nous ici qui n’hésitons à tous les dénoncer violemment : Ne
reçois pas d’accusation contre un prêtre, si ce n’est sur la
déposition de deux ou trois témoins (nous
ici nous en avons des dizaines, et de par le monde d’innombrables,
en plus de la Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) et de NSJC !.
Ceux
qui pèchent, reprends-les
devant tous, afin que les autres aussi aient de la crainte.
(Tim 5, 19-20)
2.B.2.b - Revenons-en
au respect que vous devez à votre Père.
Le
respect dû à votre Père est de Lui dire en Vérité :
→ que
vous êtes détaché de Lui par votre émancipation tacite ou
effective comme vu en la page que nous vous avons demandé de lire
pendant la rédaction de cette réponse.
Pour :
que nous vous avons demandé de lire :
Demandé :
Pour l'ŒRFAEP : QJSIOJC, 5 juin 2015 17:34.
→ et
détaché de Lui bien certainement parce que vous étant attaché une
femme : Il
leur répondit : N’avez-vous pas lu que Celui qui créa
l’homme dès le commencement, créa un homme et une femme, et qu’Il
dit : À
cause de cela, l’homme quittera son père et sa mère,
et
il s’attachera à sa femme,
et ils seront deux dans une seule chair ? Ainsi,
ils ne sont plus deux, mais une seule chair. Que l’homme ne sépare
donc pas ce que Dieu a uni. (Mat 19, 4-6)
Nous
devons, vu le texte précité, très bien :
→ Remarquer
que l’Homme : – doit quitter ses parents parce-qu’Il
doit prendre femme !, – et non qu’Il a pris femme et
devrait alors quitter ses parents ! Ce qui veut dire exactement
que pensant ou allant (étant en âge de) prendre femme, il quittera
préventivement ses parents !, sur ceci il y a beaucoup à dire
ultérieurement !
→ Préciser
que ceci ne veut nullement dire que la femme prise ne devrait pas
quitter ses parents, et que pire l’Époux ne pourrait l’en
l’éloigner !
2.B.2.c - Or,
Notre Dieu ne dit pas respectez !, mais honorez
votre Père !
Et
là, parlant donc de mariés, un Homme et une femme forcément !,
nous parlons des seuls parents qu’ils aient, de la seule lignée
(généalogie) qu’ils connaissent !, et puisque maintenant
l’on ne veut plus comprendre (s’aveugler), précisons : d’un
seul Père, du Père qui engendra l’Époux et donc du même Père
de l’épouse aussi !
Il
est évident que l’Époux doit respecter son Père, ce comme vu
plus haut, mais que dit le Seigneur Dieu exactement au sujet de
l’honoration due aux deux seuls parents qu’ont les époux, Père,
et mère incluse en le Père, voici :
→ Honorez
votre père et votre mère, afin que vous viviez longtemps sur la
terre que le Seigneur votre Dieu vous donnera. (Ex 20,12. )
→ Honorez
votre père et votre mère, selon que le Seigneur votre Dieu vous l’a
ordonné, afin que vous viviez longtemps, et que vous soyez heureux
dans la terre que le Seigneur votre Dieu vous donnera. (Dt 5,16.)
→ Le
fils honore son père, et le
serviteur son seigneur. Si donc Je suis votre Père, où est
l’honneur qui M’est dû ? et si Je suis le Seigneur, où est
la crainte qu’on a de Moi ? dit le Seigneur des armées. Je
M’adresse à vous, prêtres, qui méprisez Mon nom, et qui dites :
En quoi avons-nous méprisé Votre nom ? (Ml 1,6.)
Qu’est-ce
l’honoration ?,
c’est le : Fait
d'honorer qqn ;
qu’est-ce qu’honorer
alors ?, c’est : Procurer
de l'honneur à qqn, être un sujet d'honneur pour qqn ;
qu’est-ce donc maintenant que l’honneur ?,
lisons :
--Honneur :
Action, démonstration extérieure par laquelle on fait connoître la
vénération, le respect, l'estime qu'on a pour la dignité, ou pour
le mérite de quelqu'un. Il faut rendre honneur à qui il
appartient, à qui il est dû. On lui a fait des honneurs
extraordinaires, de grands honneurs.
Donc,
par votre attitude générale, par votre vie même qui du reste doit
faire honneur en premier à notre Seigneur Dieu, c’est l’action,
démonstration extérieure par laquelle on fait connoître la
vénération, le respect, l'estime qu'on a pour la dignité, ou pour
le mérite de, en votre cas, votre Père !
Ainsi
en étant un Époux intransigeant quant-à la Loi de Dieu et La vôtre
qui en découle, vous honorez Dieu en premier et votre Père
ensuite !
Quiconque
faisant partie du camp de Dieu, et les autres ne voulant se l’avouer
ne pourront de fait que vous envier secrètement, ne pourra que
dire : Quelle
belle éducation
a
reçu ce
Gars
en son enfance,
pour être un si
bon Époux-Père !
Pour :
Époux intransigeant quant-à la Loi de Dieu :
Si
vous être noblement et charitablement intransigeant, ce à quoi l’on
distingue du reste l’Époux-Père vaillant, vous faites alors
partie de ces
rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée,
gardiens fidèles de leur gens !
Pour :
noblement et charitablement intransigeant :
À
vous cher Sieur Paul ce renvoi parlant notamment de pâtisserie
devrait bien vous plaire !
Pour :
rudes
pères de famille à l’autorité absolue :
2.B.2.d - Où
nous devons voir particulièrement la piété filiale.
Ayant
vu : – que le respect est de parler en Vérité,
particulièrement à votre Père ; – que l’honoration
est de vous conduire le plus parfaitement possible afin que votre
Père en ressente de la fierté ; – voyons maintenant,
bien que comme dit tous ces mots se recouvrent plus ou moins, ce
qu’est la piété filiale.
Qu’est-ce
donc que la piété ?
--Piété :
n. f. ☆2. Attachement plein d'amour et de révérence, qui
se manifeste par des marques de respect, des actes de dévouement.
Piété filiale, conjugale.
Toutes les civilisations ont en commun la piété pour les morts.
• Spécialt. Dévotion fervente, qui s'exprime dans le respect et
l'accomplissement des pratiques religieuses. Une piété
exemplaire, édifiante. La piété populaire. Livre, image de piété.
Exercices de piété, actes de dévotion accomplis avec une
certaine régularité. Le rosaire, le chemin de croix, l'adoration
du saint sacrement sont des exercices de piété.
Donc,
pour essayer de définir ce qu’est plus particulièrement la piété
filiale, pour la distinguer du respect et de l’honoration, c’est
les exercices de piété (prières, sacrifices, louanges…) que vous
ferez afin d’attirer sur votre Père, et votre mère à travers
Lui, les bénédictions et faveurs de notre Seigneur Dieu. Et de Lui
prodiguer, dispenser humblement autant faire ce peut : la
Vérité !, soit enseigner la Loi de Dieu !, au moins par
votre vie toute tournée vers notre Dieu d’Amour !
2.C - Cheminons
maintenant droitement vos deux commentaires…
Comme
déjà fait, nous recopions votre texte posant une question ou
considération, puis y répondons.
2.C.1 - Réponse
à votre premier commentaire.
Comme
dit, votre premier commentaire est recopié en les annexes (Paul, 5 juin 2015 09:56),
voici notre réponse…
2.C.1.a - Honoration
de ses parents, et bienfaits du Patriarcat.
→ Je
sais que le respect envers ses parents est très important pour un
Catholique…
Oui,
et pas seulement ; en effet, ce respect dû à quiconque et par
quiconque fait partie du dépôt sacré que le Seigneur fit à notre
conception en notre Conscience ; ainsi le bien né, comme l’on
disait en le temps, respectera particulièrement son Père, respect
qui consiste à uniquement rechercher et dire la Vérité, à agir en
Elle !
Parlons
du Patriarche, du Patriarcat, de la Patriarchie :
→ Le
Patriarche
(personne) est l’Homme qui possède et donc règne sur Sa
(nombreuse) Famille, et les Familles de ses Fils, Eux-mêmes futurs
Patriarches…, continuateurs de l’unique lignée familiale, du
sang ascendant ou descendant (il est de mon sang, il n’est pas de
mon sang), du nom (il porte mon nom)… Par ex. lignée, généalogie
de NSJC…, uniquement par les Mâles.
--Patriarche :
XIe siècle. Emprunté, par l'intermédiaire
du latin chrétien patriarcha, du grec patriarkhês, de
même sens, lui-même composé à partir de patria, «
descendance, lignée paternelle », et arkhein, « diriger,
commander ».
--2.
Aïeul respectable vivant de façon simple ou paisible (entouré
d'une nombreuse famille). Vivre en patriarche; mener une vie de
patriarche.
Pour :
lignée, généalogie de NSJC…, uniquement :
→ Le
Patriarcat
(système) est le système d’organisation du Patriarche, comme la
Royauté est le régime d’une terre dirigée par un Roy !,
c’est l’organisation par excellence de la Famille !
--1.Type
d'organisation sociale où l'autorité domestique et l'autorité
politique sont exercées par les hommes chefs de famille`` (Sociol.
1970).
Pour :
l’organisation par excellence de la Famille :
→ La
Patriarchie
(territoire), est le domaine physique et morale où règne un
Patriarche, c’est le Royaume ou Pays de ce Roy !
--Patriarchie,
subst. fém.a) Relig. Synon. de église
patriarcale*. (Ds Foi t.1 1968).b) Rare.
Gouvernement de type patriarcal (v. ce mot C). Aristote,
recueillant les définitions diverses du gouvernement, le distinguait
suivant ses formes: patriarchies, démocraties, oligarchies,
aristocraties, monarchies absolues, monarchies constitutionnelles,
théocraties, républiques fédératives, etc. (Proudhon,
Confess. révol., 1849, p.60).
Lisons
ce qu’image bien ces trois mots vus : Te
figures-tu Noé, Abraham, Jacob
[Patriarches],
assis sous un chêne séculaire, ou dans leur tente, environnés de
leurs
nombreuses familles [Patriarchie]
et racontant avec la double
autorité de
l’âge et de la paternité [Patriarcat],
les grands faits de la création, de la chute de l’homme, de la
rédemption promise…
Pour :
ce qu’image bien ces trois mots vus :
Voyez-vous,
un Père dont ses Fils sont Eux-mêmes Chefs de Famille, ou un
Patriarche comme l’on disait lorsque l’on parlait encore vrai, ou
l’Ancien ou l’Aïeul comme l’on disait il n’y a pas si
longtemps encore en nos campagnes, ou ledit Grand-Père pas mal
timoré de maintenant, garde Son Autorité morale ou de conseil sur
ces diverses Familles, la sienne propre et celles Ses Gars.
Pour :
l’Ancien comme l’on disait il n’y a pas si :
--Ancien :
− Vieilli. Ancêtre :
17.
Que Dieu ait en sa sainte garde l'âme de mon ancien, ce digne
vieillard, et que tous ses saints l'empêchent d'avoir des
regrets de la vie, mon bisaïeul a tant trimé, et, eux, ils n'ont
rien d'autre à faire, Cristo-Santo!… B. Cendrars,
Bourlinguer,1948, p. 150.
− P.
compar. :
18.
Le patron souriait au chêne et lui disait tout bas : « Allons! Mon
bel ancien, te voilà sauvé; je reviendrai te voir, quand tes
feuilles auront poussé. » L'arbre montait, effilé, élégant,
laissant tomber l'ombre vivante de ses branches sur les taillis
dévastés. R. Bazin, Le Blé qui lève,1907, p. 3.
Ordinairement,
en le temps, ces Fils mariés plantaient leur tente dans les environs
de celle du Patriarche, et il y a encore même pas cent ans dans le
village ou en un hameau bien voisin…, afin d’avoir facilement les
conseils normalement avisés de l’Ancien, l’on
va consulter l’Ancien disait-on ; et,
aussi, pour entre Frères s’entraider en les champs ou au fournil
de la boulangerie familiale ou plusieurs travaillent, etc.
Pour :
il y a encore même pas cent ans :
Et
maintenant !, que fait-on ?, avec leur bouger
plus, voyagez,
exportez-vous,
et autres susurrements bien luciabéliens et criminels ! L’on
distance le Fils du Père !, ainsi, comment, car loin
des yeux loin du cœur !, voulez-vous
que le Fils demande conseil à Son Père ?, et comment Ce
dernier pourrait-Il conseiller son Fils ne le voyant pas vivre, en
effet un conseil se donne sur une explication vérifié par une vue
familière !, comme nous l’avons dit plus haut en parlant des
supposés caprices de la petite...
Nous
avons dit L’on
distance le Fils du Père !, n’est-ce
pas ?, nous n’avons donc, car tout ce que nous disons est très
pesé et précis, pas dit de la mère !, qui ne peut conseiller
(puissance) !
Eh
bien, regardez en raccourci comment ladite Justice de Luciabel s’y
prend maintenant : Elle inventa, épaulée par les EÉc tous
totalement corrompus (cloaques d’impureté, cf ND à la Salette),
la séparation-divorce sans qui la chose n’aurait pu se faire !,
puis, en celle-ci elle vola les enfants au Père pour les donner à
la mère qui n’a, une fois écartée de son Époux, aucun mais
alors aucun Droit et Pouvoir sur eux !, ce de Droit divin !
Féminisation des sociétés !
Donc,
résumons, le Monde fait bouger les Gars pour les distancer, invente
la séparation-divorce pour briser définitivement, après le Lien
pourtant indissoluble et pas même distanciable du Sacrement de
Mariage, ce lien sacré Père-Fils !, et l’on a ainsi brisé
la Patriarchie, le Patriarcat !
Et,
cerise sur le gâteau sortant tout droit des fours de l’Androgyne
par excellence, Luciabel : les Gars étant détachés du Père
et confiés à la mère, non plus qu’une montreuse image féminine
sous les yeux, et plus la salvatrice Image de leur Père qui est
Lui-même l’Image de notre Seigneur Dieu ! ; d’où, la
féminisation de nos sociétés, l’efféminisation des Hommes, et
en fin de compte l’homosexualité, puis encore, car la pente fatale
est là, l’Homme ayant tout de même ce besoin irrépressible voulu
par Dieu de dominer dans une situation, perverse en le cas,
amoureuse, et de caresser et embrasser et pénétrer un être tendre,
de se tourner vers les petits Gars, ou les petites filles, soit en
raccourci, comme nous l’avons déjà dit : libération de la
femme = pédophilie !
Anecdotiquement,
… précisément en ce jour :
Nous
écrivons ces lignes précisément en la Ste
Marguerite d’Écosse, Reine et Veuve (10
juin), est-ce la Sainte Patronne de votre épouse ?, nous
l’ignorons, mais sachez que toutefois nous l’avons priée afin
qu’elle vous obtienne les protections du Ciel, et qu’à travers
Vous, cher Sieur Paul, votre épouse Marguerite soit comblée…
Ceci
entend bien nettement, catégoriquement, que c’est Le Fils qui
vient consulter le Patriarche !, afin
d’avoir
facilement les conseils
ordinairement avisés de l’Ancien
disions-nous ; et non l’Ancien qui vient régenter, récriminer
après avoir forcé la porte de Son Fils, ce donc pour faire la Loi
ou la morale chez Ce dernier !
Pour :
Le Fils qui vient consulter le Patriarche :
Un
conseil est un conseil, et non un ordre ! L’ayant demandé
l’on est au moins obligé de l’écouter par politesse et
humilité. Il n’engage pas celui qui le demande à le suivre,
peut-être même n’est-il pas du tout avisé de le faire !,
l’on dit communément les
conseilleurs ne sont pas les payeurs, soit ce
n’est pas eux qui subiront les effets d’un mauvais conseil
éventuel !
Une
telle consultation entre Chrétiens devrait commencer par cette
invocation à l’Esprit-Saint : Esprit-Saint
éclairez-nous !, et peut-être suivi
d’un Je
vous salue Marie...
Nul,
au grand jamais !, fut-Il Pape ou Roy !, ou l’Ancien, ne
peut et ni pénétrer et ni s’asseoir en la Maison qui n’est pas
La sienne, ce sauf d’en être expressément invité par le Maître
de Maison uniquement (donc pas même par l’épouse !), et pour
autant qu’Il n’offense point, de quelque façon que cela soit, ce
Chef de Famille et Sa Loi de Droit divin !, la morale…
Nul
ne peut rentrer en la Maison si l’Époux est absent, et l’épouse
ne peut le faire, sauf si l’Époux a expressément autorisé son
épouse : attention aux intrusions de Luciabel !, c’est
lorsque l’Époux a dû s’écarter que Luciabel s’approche et
cherche à manœuvrer le maillon faible, l’épouse !
Il
se peut que cet Époux ait dit à son épouse, si
notre Père (Le seul mien et donc Le seul
tien)
devait venir alors que je me serais éloigné, n’hésite pas à le
faire entrer et asseoir !, elle a donc
de par ce fait, étant alors régente (Roy absent) car l’Aîné
n’aurait pas encore le 2d âge, le devoir d’être
vigilante au Nom de son Époux !
Pour :
l’Aîné n’aurait pas encore le 2d âge :
Nous
avons dit l’Aîné, soit en tant que bon Chrétien, et en bon
français aussi, cela veut dire le Gars aîné !, et non la
première fille…
Si
l’épouse devait (elle le doit !) rapporter à son Époux que
leur Père a essayé de lui tirer les vers du nez, par ex. :
– ton
Mari n’est-il pas trop sévère avec toi ? ;
– laisse-t-il
suffisamment de liberté à tes fils ? ;
– n’est-il
pas trop autoritaire avec toi, te respecte-t-il ? ;
– etc.,
qu’immédiatement cet Ancien, ce Père très indigne et diviseur
(zizanie) tout comme Luciabel soit mis à la porte et qu’elle Lui
soit fermée définitivement !, sauf contrition et promesse
formelle de ne plus recommencer, sachant qu’une autre expérience
peut-être tentée, mais point une autre encore !
Pour :
laisse-t-il
suffisamment
de liberté à tes
fils :
Il
est commun de dire aux femmes, afin de les mieux faire tomber en
l’ornière émotive, tes
fils !, ou vos,
tes enfants !, mensonges !, ce Père
aurait dû dire : les
fils de ton Époux !
Pour :
diviseur (zizanie) tout comme Luciabel :
L’Esprit
de Dieu unit toute chose !, et en tout premier les Époux. Et en
la Mariage Il les unit à un tel point que cette union fait de deux
personnes originelles, un Homme et une femme avant Sacrement de
Mariage, qu’une seule et même personne une fois le Oui !
(réalisation du Sacrement de Mariage proposé par l’Homme) de la
damoiselle : et
ils seront deux dans une seule chair (Gen. 2, 24).
Tout
et tous, mais les époux au plus haut point ici-bas !, sont unis
par cet Esprit, lisons : L’Esprit
du Seigneur a envahi l’étendue de la terre, alléluia ; et
lui qui tient unies toutes choses perce le secret de chaque parole,
alléluia, alléluia, alléluia • Dieu se lève, que ses
ennemis se dispersent ; que ceux qui le haïssent fuient devant
sa face. (Lect. Pentecôte)
L’inverse
d’unir est désunir, ou diviser, soit lutter contre l’Esprit
… qui tient unies toutes choses ; ceci
est un péché contre l’Esprit qui est irrémissible tant ici-bas
qu’ensuite !
Et,
quel est donc l’Esprit qui en ce monde est opposé à l’Esprit
… qui tient unies toutes choses ?
Luciabel !, ou Lucifer ou le diviseur !, ou celui que sème
la zizanie comme l’a raconté NSJC : …
Mais, pendant que les hommes
dormaient,
son ennemi vint, et sema de l’ivraie au milieu du blé, et s’en
alla. (Mat. 13, 25).
Cher
Sieur Paul ne dormez jamais que seulement d’un seul œil, l’arme
de la Vérité et de la Justice toujours à portée de main !
Surveillez (veillez au-dessus) toujours !, soyez vigilant,
gardez jalousement ce dépôt sacré qui vous fut confié par le
Seigneur Dieu, soit comme vous le rappelle saint Thomas d’Aquin :
Ainsi
les maris sont animés d’un zèle ardent contre ceux qui
chercheraient à leur disputer le cœur de leur femme, qu’ils
veulent posséder exclusivement et tout entier. (voir
ensuite)
Si
l’Époux est absent comme vu ci-dessus, l’épouse doit au nom de
son Époux mettre ce criminel à la porte et faire un exact rapport à
son Époux dès qu’Il rentre !
Si
par contre l’Ancien, par ex., a remarqué que l’on, son Fils ou
son épouse, cédait aux caprices de la petite, Il peut (doit) en
effet en toute Charité en faire la remarque à Son Fils, et voici la
cadre exacte et infrangible dans lequel peut être faite cette
remontrance :
1- qu’au
Fils !, et non à sa fille, l’épouse !, et ni devant
elle et ni devant les enfants !
2- de
façon très confidentielle, par ex : veux-tu
mon Fils que nous allions dans ton bureau afin de boire un p’tit
verre entre Hommes ?, et là de fermer
naturellement la porte, puis sans aucun éclat !, l’Ancien
fera à voix peu haute les remarques qu’Il pense nécessaires,
humblement et très charitablement… Le Fils tout aussi posément et
déferrement objectera ou s’inclinera, à Lui seul revient la
décision finale. Et ! ni l’épouse et ! ni les enfants
n’en seront rien !, éventuellement ils en verront les effets
en le gouvernement de la Maison sans savoir qui les a suscités !,
pourquoi ils se sont produits…
Et
enfin, et il ne devrait pourtant pas être nécessaire de le préciser
car un conseil n’est pas un ordre !, si le l’Époux vient
demander un conseil à Son Père, jamais Ce dernier ne pourra dire
ensuite : Tu
m’as demandé conseil et tu n’as pas fait ce que je t’avais dit
de faire, tu as m’a désobéi !, etc. ;
tout juste pourra-t-Il dire en cas où ce conseil se confirmait et
qu’il aurait donc été avisé de le suivre, mais ce avec grande
charité et componction, et seul à seul comme bien vu ci-dessus :
Mon
pauvre enfant, tu m’avais demandé conseil, chose que je fis et tu
ne l’as point suivi ; mais ne t’inquiète pas, je vais
t’aider à rattraper ces dommages…
L’on
a cassé toute cette cohésion si chaude au cœur et si secourable en
cas de coup dur de tout ordre qui existait il n’y a pas si
longtemps encore en les grandes Familles !
Il
faut que cet élan de Charité vienne de la Tête, il faut donc que
l’Ancien ait bien éduqué ses Fils avant qu’Ils ne
s’établissent, et il faut que les Fils soient doux et cultivent
eux-mêmes cette unité si chaude de la grande Famille…
Reprenons :
Il vous revient, et qu’à nous Chefs de Famille, de ne pas même
faire aveuglément confiance à nos propres parents, nous devons
avoir une conscience toujours en rude et continuel éveil !, ce
selon le mot qui nous vous avions communiqué en notre dernière
réponse : …Il
ne se fiera pas aveuglément […], pas
même à ses propres parents,
parce que les ruses du démon sont nombreuses, et qu’il tend ses
filets précisément là où les soupçons paraissent le moins
fondés. (cardinal Silvio Antoniano, à la demande de saint Charles
Borromée)
Et,
en cas où votre Père, le Patriarche, devait enfreindre votre Loi de
Doit divin, entraver si peu que cela soit votre gouvernement,
rappelez-vous ce que vous vous disions plus haut : …
qu’immédiatement cet Ancien soit mis à la porte et qu’elle Lui
soit fermée définitivement !
La
jalousie est-elle un privilège de Dieu ?, non !, et ni la
colère !, toutes deux saines et saintes en ces cas ;
n’ayez alors pas peur d’agir très énergiquement sans vous
laisser troubler par l’émotion dévoyée par Luciabel !, en
effet, C’est
là proprement ce qui constitue le zèle, que l’on définit
encore : « Un
amour qui ne peut supporter de partage dans l’objet aimé ».
Ainsi,
continue le Docteur Angélique, les
maris sont animés d’un zèle ardent contre ceux qui chercheraient
à leur disputer le cœur de leur femme, qu’ils veulent posséder
exclusivement et tout entier.
Répondons
maintenant sans ambages à votre phrase suivante : Même
si je suis majeur et que je ne suis plus sous l'Autorité de mon Père
je dois toujours le respecter ; ainsi, à
la faveur de ce que nous venons de voir tous deux, respecter votre
Père c’est dire et agir en Vérité ; et donc le respecter
est si nécessaire :
→ soit
de le reprendre, ou
→ soit
en cas d’entêtement de le mettre immédiatement à la porte, même
avec armes si cela devait être nécessaire !
Oui,
comme vous le dites si bien, en écrivant : mon
Père bien que se disant catholique n'a pas un comportement réelement
chrétien en tout cas loin de la Vérité,
pratiquement la totale totalité des gents de maintenant qui se
disent Catholiques ou du moins Chrétiens n’en ont que le nom !,
ce sont des coquilles vides, des cloches sans battant, des menteurs
disant oui
mais non !, soit disant de fait ou même
le plus souvent exactement : oui
je suis Chrétien mais non je ne veux pas agir en Chrétien !,
je veux libérer ma femme, je suis pour l’égalité des sexes, si
l’on ne s’entend pas (qu’il disent !) l’on peut se
séparer-divorcer, etc.
2.C.1.b - Peut-on
être trop autoritaire ?
→ par
exemple il m'a reproché d'être "trop autoritaire" avec
mon épouse
Votre
Père vous reproche maladivement, maladie de l’Âme pécheresse,
d’être ceci ou cela, selon ce que vous nous dites, alors, fermez
votre regard et votre cœur, et… mettez-Le vaillamment à la
porte !
Quelle
débilité que cette remontrance inconsidérée avec ce bien
luciabélien ‘trop’ ! Le Bon Dieu peut-Il être trop Bon ?,
ou trop sévère en disant : Mais
ne mangez point du fruit de l’arbre de la science du bien et du
mal. Car au même temps que vous en mangerez, vous mourrez très
certainement. (Gn
2,17) ?
La
question est, êtes-vous l’Autorité ?, Oui,
oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal.
Et ayant en votre cas répondu sous le regard de Dieu : Oui,
oui !, alors, comment donc pouvez-vous
être trop autoritaire ?!, voyez-vous, c’est comme pour la
jalousie et la colère que nous avons vues plus haut :
→ si
un Époux n’est pas totalement (ou le stupide trop) jaloux à
l’Image de Dieu, alors tôt ou tard le foyer sera ingérable, Il en
viendra peut-être à partager sa femme !
→ si
cet Époux n’est pas totalement en colère à l’Image de Dieu,
autant qu’Il baisse les bras tout de suite, conformément à ce
qu’entend ce mot : C’est
le propre d’une femme, lorsqu’elle se dispute avec un homme, de
perdre courage et de prendre la fuite, aussitôt que celui-ci lui
montre un visage ferme ; l’homme, au contraire, commence-t-il
à craindre et à reculer, la colère, la vengeance et la férocité
de cette femme s’accroissent et n’ont plus de mesure.
→ Alors
si vous n’êtes pas autoritaire, donc l’Autorité, vous faites
bien criminellement défection devant mon Devoir d’État dont vous
aurez un compte redoutable à faire à notre Très-Juste Juge !
Ce
alors que vous, en l’occurrence, devez (impératif !)
assujettir
votre épouse (Gen 3, 16) chose pourtant bien
claire !, non ? ; que l’Époux, donc vous, ...
doit
régler
sa famille, corriger
et former
les mœurs de tous
ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir (Concile
de Trente) ; ou, comme Pie XII, qui
pourtant était loin du compte et parfait libéral !, vous le
rappelle encore : Maris,
vous avez été investis de l’autorité. Dans vos foyers, chacun de
vous est le chef, avec tous les devoirs et toutes les responsabilités
que comporte ce titre. N’hésitez
donc point à exercer cette autorité ;
ne vous soustrayez point à ces devoirs, ne fuyez point ces
responsabilités. La barre de la nef domestique a été confiée à
vos mains : que l’indolence, l’insouciance, l’égoïsme et
les passe-temps ne vous fasse pas abandonner ce poste.
Et,
servez-Lui alors, à votre Père, ce que ce même Pie XII a dit
aussi :
→ ces
rudes pères de famille à l’autorité
absolue
et incontestée,
gardiens fidèles de leur gens !
→ Nombre
d’entre eux poussent l’audace jusqu’à parler
d’une indigne servitude d’un des deux époux à l’autre ;
ils proclament que tous les droits sont égaux entre époux ;
estimant ces droits
violés par la « servitude »
qu’on vient de dire, ils
prêchent orgueilleusement une émancipation de la femme,
déjà accomplie ou qui doit l’être.
Dites-Lui !,
notamment ne pouvant encore citer le Concile de Trente et etc., que
Pie XII, pourtant parfait libéral, corrompu jusqu’à la moelle,
ayant de fait préparé ledit Vatican II, a dit, encore quelque peu
imbibé de sainte doctrine, que : La
femme est la digne servante de son Époux !
Pour :
femme
est la digne servante de son Époux :
Du
reste, les entendez-vous ces arrogantes, ces révoltées, les
mauvaises épouses de maintenant, lorsqu’un Époux fatigué de sa
journée demande par exemple à son épouse : Chérie,
apporte-moi mon livre, et un p’tit verre,
alors qu’elle s’affaire à la vaisselle, comment systématiquement
elle rétorquent scandaleusement, pile : Je
ne suis pas ta servante, et d’ajouter, vas
le faire toi-même !
2.C.1.c - Remettre
votre Père à Sa place, s’il le faut, mais avec charité !
→ Je
lui ai répondu de se mêler de ses affaires et j'ai regretté de le
lui avoir dit (car cette réponse m'apparaît comme un manque de
respect envers lui).
Il
est vrai que vous auriez peut-être dû Lui, à votre Père, répondre
plus calmement, mais c’est si difficile et vous aviez certainement
été acculé à cela !, rappelez-vous de la sainte Jalousie et
de la sainte Colère ! De Lui dire cela
suffit !, ou bien votre mêlez-vous
de vos affaires ! n’est certainement
pas à regretter selon ce que vous nous dites !
Peut-être
pouvez-vous Lui demander pardon pour la forme (impatience peut-être
non nécessaire) et Lui confirmer très énergiquement le fond (votre
Droit divin et vos raisons)…, cela pourrait le toucher et donnerait
un fondement plus sûr devant Lui à votre Autorité de Droit divin…
Pour
votre paragraphe suivant, J'ai
du mal à savoir … je lui dois la vie!,
nous vous avons donné plus haut la ligne que vous pourriez suivre…
2.C.1.d - Demander
conseil, exposer les faits, n’est pas maugréer !
→ J'ai
l'impression que me plaindre de lui est déja un manque de respect
mais je souhaite l'aider du mieux que je peux même si je ne sais pas
toujours quoi faire.
Ce
n’est pas un manque de respect que de chercher secours auprès
d’autrui, si vous ne pouvez le trouver auprès de votre Père !
Comme
nous vous l’avons expliqué, d’agir en Vérité est une grande
marque de respect !, de demander à votre Père de ne point
entraver votre Gouvernement ! ; et de nous en avoir
entretenu, ce n’est pas une plainte (maugréation, récriminations,
mauvais esprit) mais une demande à un Frère en NSJC de vous aider,
chose que nous désirons si bien faire, bien que si peu et peu de
choses.
Visiblement
vous avez agit paisiblement, conformément à ce que NSJC à dit :
Si
ton frère a péché contre toi [entraver
votre Gouvernement est bien un viol de Votre Autorité de Droit
divin, péché mortel même],
va, et reprends-le entre toi et lui seul [ce
que vous avez fait, même si maladroitement].
S’il t’écoute, tu auras gagné ton frère. Mais, s’il ne
t’écoute pas [ce qui est le cas en votre
affaire],
prends encore avec toi une ou deux personnes [vous
deviez pas en avoir étant venu auprès de nous],
afin que toute l’affaire soit par l’autorité de deux ou trois
témoins. S’il ne les écoute pas, dis-le à l’Église ; et
s’il n’écoute pas l’Église, qu’il soit pour toi comme un
païen et un publicain. (Mat. 18, 15-17)
2.C.2 - Réponse
à votre second commentaire.
Comme
dit, votre second commentaire est recopié en les annexes (Paul, 6 juin 2015 19:18),
voici notre réponse…
En
ce second commentaire vous nous dites :
→ Ce
qui me contrariait, c'était la manière dont je devais répondre à
certaines critiques de la part de mon Père, car même si je ne lui
dois pas (plus) obéissance "l'envoyer promener"
m'apparaissait comme étant un manque de respect.
Nous pensons qu’avec tout ce qui précède vous avez votre réponse…
→ J'ai
d'ailleurs toujours gardé l'habitude de répondre favorablement aux
services qu'il me demande. De cela soyez
béni, en effet c’est ce qu’un Fils doit faire, si cela ne le
détourne pas de son devoir premier qui est de protéger, gouverner
et satisfaire (nourriture, affection, etc.) Sa femme et Ses enfants.
2.C.2.a - Comment
s’opposer aux critiques du Monde ?
→ Comment
s'opposer aux critiques et s'affirmer tout en restant dans le respect
et l'honoration?, concernant votre Père nous
y avons de fait répondu par ce qui précède.
Comment
s’opposer aux agacements (critiques, moqueries, allusions, etc.)
venant de l’extérieur ?, du monde ?, comme quoi vous
seriez comme vous nous le rapportiez (Marguerite, 1
juin 2015 10:39) une brute,
homme des cavernes et votre pauvre épouse
une idiote,
le meilleur moyen est de ne pas répondre comme NSJC fit (Mais
Jésus Se taisait (Mat. 26, 63)) devant les
accusations toutes plus vicieuses les unes que les autres, et même
de fermer vos oreilles à ces critiques inconsidérées.
Pour :
fermer ses oreilles à ces critiques :
Voici
quelques expressions ou considérations :
- Laissez
pisser le mérinos !, ou Laisser
faire sans rien dire.
- Les
chiens aboient. La caravane passe !, ou
Il
faut suivre son chemin sans s’occuper de ce que disent les
calomniateurs.
- Une
girouette est une personne qui cherche à contenter le monde et point
Dieu ! ; voir ce que dit Saint Jean ensuite…
Ces
critiques sont de fait les compliments inversés de Luciabel !,
en effet, si vous faisiez mal, soit agir selon le Monde, Luciabel
vous flatterait !
Pour :
si vous faisiez mal, soit agir selon le Monde :
Vous,
mes petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous l’avez vaincu,
parce que Celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans
le monde. Eux, ils sont du monde ; c’est pourquoi ils parlent
selon le monde, et le monde les écoute. Nous, nous sommes de Dieu.
Celui qui connaît Dieu nous écoute ; celui qui n’est pas de
Dieu ne nous écoute pas. C’est par là que nous connaissons
l’esprit de vérité et l’esprit de l’erreur. (Jean 4, 4-6)
→ Comment
faire s'Il [votre Père] reste
sourd à mes remarques?
Comment
se fait-il, ou comment faire, que le monde reste sourd aux menaces de
notre Seigneur Dieu d’Amour ?, c’est l’incroyable et
redoutable liberté des enfants de Dieu, et ce en toute et totale
connaissance de cause : d’adhérer à la Loi d’Amour, ou de
la refuser, ce n’ayant point de milieu en la chose…
Vous
savez, presque tous lesdits Catholiques, et des autres n’en parlons
même pas !, disent Dieu !,
Dieu !, ou Jésus
revient nous sauver ! comme les
commenteurs du pitoyable site Le
grand réveil ; oui, certes Il va revenir comme Il
l’a Lui-même annoncé, et cela semble évidemment de plus en plus
redoutablement proche (Lorsque
vous verrez… Mat. 24, 32-33) !
Pour :
les commenteurs du site Le grand réveil :
Comme
ces gents sont affligeants, comme c’est triste à mourir, et comme
les femmes particulièrement sont d’une stupidité abyssale vous
donnant une bonne notion de l’infini !
Ne
parlons pas des Hommes qui tels des minus suivent la trace de ces
femelles, parlons d’elles : unedite Jeanne d’Arc II, par
exemple (sauf erreur de personne, bien qu’elles sont toutes du même
acabit), se disant petite nièce (quelle vantarde et peut-être
affabulatrice) de la Sainte, est une des plus excitée à réclamer
la revenue de NSJC, et au fil de ses commentaires vous apprenez
(est-ce une autre ou pas peu importe ?) qu’elle est
séparée-divorcée de son Époux, et qu’elle vit avec un autre
Homme tout en demandant aux autres commenteurs de prier pour la
conversion de ce dernier ! Quelle confusion mentale !
Elle
appelle Jésus au secours se croyant garantie par ses psalmodies
creuses, Père !,
Seigneur !, Jésus !, tout en
faisant toute honte bue l’exacte contraire de la Volonté de ce
Père, notamment : – ne pas se séparer de son Époux ;
– ne pas pontifier sur des sites et garder le silence sachant
surtout ce que Saint Paul a dit : Je
ne permets point à la femme d’enseigner,
ni de prendre
autorité
sur l’homme ; mais elle doit demeurer
dans le silence.
(I Tim. 2, 12).
Toutes
ces femelles causent, blablatent ou échangent comme elles disent,
avec des Hommes, et comble, disent les conseiller (et faut voir
l’élévation de cesdits conseils !), etc., ce sans même
aucune retenue alors que chacune de ces conversations est un adultère
pour le moins intellectuel ! Pauvresses !
Oui,
Il va revenir, ce Doux-Sauveur pour châtier irrémédiablement les
méchants, et pour attirer à Lui ceux qui ont fait tout pour vivre
selon la Loi de Dieu (par ex. Époux Chef, femme soumise…) et les
consoler incroyablement des persécutions (ne pas être soutenus ou
être moqués, dénoncés devant quiconque, et bien pire encore)
qu’ils subirent de ceux qui passaient leur temps à dire
Seigneur !,
Seigneur !, tout en faisant fi ou
l’exacte contraire de la Volonté de Son Père…
Pour :
fi ou l’exacte de la Volonté de Son Père :
Vous
les reconnaîtrez donc à leurs fruits. Ce
ne sont pas tous ceux qui Me disent : Seigneur, Seigneur, qui
entreront dans le royaume des Cieux ; mais celui qui fait
la volonté de Mon Père qui est dans les Cieux, celui-là entrera
dans le royaume des Cieux. Beaucoup Me diront en ce jour-là :
Seigneur, Seigneur, n’avons-nous pas prophétisé en Votre nom, et
chassé les démons en Votre nom, et fait de nombreux miracles en
Votre nom ? Et alors Je leur
dirai hautement : Je ne vous ai jamais connus ;
retirez-vous de Moi, vous qui commettez l’iniquité. (Mat.
7, 20-23)
Que
faire alors ?, vous ?, rien humainement parlant, ce après
avoir repris charitablement une ou deux fois votre pauvre Père ;
mais devant Dieu, faites parfaitement votre devoir d’Époux
très-chrétien, conduisez bien votre brave et bonne épouse à faire
son si beau devoir de bien aimable soumise ; puis, sans faille
aucune abandonnez-vous à la Providence divine !
Rappelez-vous
que très exactement vous êtes dans le creux de Ses Mains et qu’Il,
ce Dieu d’Amour, vous tient pressé tout contre son Sein :
Venez
à moi, dit-il, comme une mère caresse et console son jeune et
unique enfant ; je vous consolerai, je vous porterai, je vous
allaiterai dans mon sein, sur mes genoux, comme une mère.
Certainement
vous trouverez beaucoup de secours à faire cette si facile
Consécration
personnelle au Sacré-Cœur de Jésus.
Pour :
cette si facile Consécration
personnelle :
Faites-là
un dimanche par exemple, à l’issue de la messe que vous aurez lue
chez-vous (n’allez surtout pas aux messes de maintenant !,
même dites de ladite Tradition : FSSP, FSSPX, et autres
marigots ; si vous le voulez, posez-nous des questions pour que
nous vous justifions ceci !). Dites-la, Vous le Prêtre de la
Famille, avec votre bonne épouse bien serrée tout auprès de vous
(un seul corps !), et votre petite ; tous devant votre
Autel familial.
Mettez-vous
à genoux après la lecture de préparation de cette consécration,
que votre bonne dame reste assise si fatiguée, et surtout si elle
devait l’être avantageusement comme nous vous le souhaitons, votre
petite sur un tapis devant vous ou dans vos bras.
La
consécration elle-même, courte, sera dite par vous deux, et nous
vous conseillons alors d’avoir une main au moins posée sur votre
fille pendant ce temps, à plat comme lorsque nous avons parlé de
l’imposition des mains.
Consécration :
Consécration
personnelle au Sacré-Cœur de Jésus ;
page : Prières
en Famille.
2.C.2.b - Il
faut parfois trancher, que le Bon Dieu vous épargne cette extrême !
→ Je
ne voudrais absolument pas refuser de Le voir (ni ma Mère
d'ailleurs) car même s'il ne partage pas la Vérité je suis très
attaché à mes Parents!
Que
vous soyez attaché, ou très attaché à votre Père, et votre mère,
quoi de plus normal !, quoi de plus béni par le Bon Dieu !
Mais !,
vous devez aller au Ciel et y conduire votre saint et si beau
troupeau malgré les travers de la vie, et même ceux venant de votre
Père s’Il devait malheureusement persister à entraver peu ou prou
votre Gouvernement !, comme vu plus haut. Et dans ce cas il vous
reste l’union par la prière : prier pour sa conversion, pour
son amendement, pour son Salut éternel…
Dans
ce cas extrême il vous est tout de même loisible de le visiter vous
seul ! et de l’aider pour rendre ainsi le bien au mal qu’Il
aurait fait plus ou moins consciemment…
Nous,
ici, nous pensons que vous n’aurez point à agir si gravement, nous
prierons ardemment pour cela aussi…
2.D - Concluons
rien que pour l’instant.
Vous
finissez ainsi votre second commentaire : Je
vous remercie de m'éclairer.
Que
sommes-nous ô notre Dieu ?!, ne nous répondez pas ô notre
Seigneur, nous le savons fort bien : rien !, et de plus
nous sommes si grand pécheur !
Sans
doute, il y a diversité de grâces ; mais il n’y a qu’un
même Esprit. Il y a diversité de ministères ; mais il n’y
qu’un même Seigneur. Il y a aussi diversité d’opérations ;
mais il n’y a qu’un même Dieu,
qui opère tout en tous. Or la manifestation de l’Esprit est
donnée à chacun pour l’utilité commune. En effet, à l’un est
donnée par l’Esprit une parole de sagesse ; à un autre, une
parole de science, selon le même Esprit ; à un autre, la foi,
par le même Esprit ; à un autre, la grâce des guérisons, par
le même Esprit ; à un autre, le don d’opérer des miracles ;
à un autre, la prophétie ; à un autre, le discernement des
esprits ; à un autre, la diversité des langues ; à un
autre, l’interprétation des langues. Or c’est un
seul et même Esprit qui opère toutes ces choses, les distribuant à
chacun comme Il veut. (I Cor. 12, 4-11)
Nous
ne nous attribuons rien alors, et nous bien moins encore que
quiconque, et si nous vous avons éclairé et soutenu, cher Sieur
Paul, ce n’est que Dieu qui a agi à travers nous…,
puissions-nous ne rien avoir entravé de Sa Très-Sainte Grâce…
Vous,
soyez un très-bon Époux amoureusement ferme et délicieusement doux
tout ensemble, particulièrement avec votre bien aimable et
amoureusement soumise épouse Marguerite, et votre petiote…
Aimez
bien fort votre Père, et votre mère, et soyez fort vigilant, et
courageux s’il devait en être malheureusement nécessaire…
Nous
nous sommes peu relu, car voulant que la parution de ce texte ne se
fasse plus attendre, aussi, celui-ci est susceptible de corrections
ou de fluidification, si celles-ci devait toucher le sens ou le
développement vous en serez avertis, cher lecteurs, par les
commentaires…
Nous
nous en remettons à la Grâce de Dieu !
De
tout notre pauvre cœur,
cher Sieur Paul, nous espérons vous avoir
bien
aidé, et, quelle responsabilité pour nous, que le Bon Dieu ait
pitié de notre faiblesse !
Ce
jour, le 17, à cause d’un anniversaire bien particulier pour
nous !
nous lirons la messe et communierons spirituellement à nos
intentions évidemment, mais aussi à vos bonnes intention cher Sieur
Paul, et à travers vous pour votre bonne épouse Marguerite et votre
petite ; et aussi pour tous nos Lecteurs !
Bien-cher
Sieur Paul, et Lecteurs, que
le Bon Dieu Vous
bénisse, Vous et tous les Vôtres !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
Bonjour,
Je
vous remercie pour votre réponse.
Oui,
en effet je suis très heureux d'avoir une épouse si bonne et si
obéissante et ignorer et j'essaie d'ignorer les critiques.
J'aimerais
vous poser quelques questions liées à la Famille mais aussi à la
mienne….
Je
sais que le respect envers ses parents est très important pour un
Catholique. Même si je suis majeur et que je ne suis plus sous
l'Autorité de mon Père je dois toujours le respecter. Mais ce qui
m'ennuie c'est que mon Père bien que se disant catholique n'a pas un
comportement réelement chrétien en tout cas loin de la Vérité
(mais aujourd'hui très peu l'est malheureusement)….Par exemple il
m'a reproché d'être "trop autoritaire" avec mon épouse.
Je lui ai répondu de se mêler de ses affaires et j'ai regretté de
le lui avoir dit (car cette réponse m'apparaît comme un manque de
respect envers lui).
J'ai
du mal à savoir quel doit être mon rôle dans ce cas. Il est mon
Père il est un brave Homme et je ne veux en aucun cas lui manquer de
respect ni lui faire de reproches. Je lui doit un immense respect je
lui dois la vie!
J'ai
l'impression que me plaindre de lui est déja un manque de respect
mais je souhaite l'aider du mieux que je peux même si je ne sais pas
toujours quoi faire.
Je
vous remercie de m'éclairer. Toutefois je ne veux absolument pas
abuser de votre temps.
Que
le bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres.
Cher
Sieur Paul,
Nous
venons de publier votre commentaire d'hier vu maintenant…
Nous
vous demandons de patienter quelques jours pour avoir notre réponse,
en effet nous en ferons une page spéciale car le sujet est en effet
important, et pourtant si simple, et il regarde comme vous le dites
tout un chacun…
Lorsque
nous publierons cette réponse vous en serez averti ici en
commentaire et personnellement à votre adresse.
Soyez
assuré de nos prières pour vous en ce temps d'attente.
Que
le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
Cher
Sieur Paul,
Nous
avons commencé hier la rédaction de notre réponse promise, et ce
faisant nous nous sommes rappelé que nous avions déjà traité de
ce sujet, aussi, nous vous demandons de lire cette page :
RH-2013-05, Cher Sieur Luryio, à Son Père le Gars doit soumission
en l’enfance, respect toujours !
Lien :
http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2013/05/rh-2013-05-cher-sieur-luryio-son-pere.html
Ce
fait, nous vous demandons alors de nous remettre un commentaire
spécifiant ce que nous devrions préciser par rapport à cette
lecture et à votre cas qui est forcément différent non dans le
principe mais dans l’application que vous devriez en faire.
Nous
suspendons donc notre réponse que nous poursuivrons lorsque vous
redéposerez ce commentaire demandé…
Dans
cette attente, soyez assuré de nos ardentes prières pour vous Sieur
Paul, et donc qu’à travers vous, pour votre bonne Marguerite et
votre petiote.
Que
le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres…
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
Bonjour,
Je
vous remercie de m'avoir envoyé ce texte. je l'ai lu et je l'ai
trouvé fort intéressant.
Effectivement,
je ne dois plus obéissance à mon Père maintenant. Et en tant que
Chef de famille j'ai le droit de diriger ma famille comme je le
souhaite.
Ce
qui me contrariait, c'était la manière dont je devais répondre à
certaines critiques de la part de mon Père, car même si je ne lui
dois pas (plus) obéissance "l'envoyer promener"
m'apparaissait comme étant un manque de respect. J'ai d'ailleurs
toujours gardé l'habitude de répondre favorablement aux services
qu'il me demande.
Après,
mon Père n'est pas du tout non plus à mettre dans la catégorie
"indigne"!
Si
j'avais des questions supplémentaires à vous poser, ce serait
plutôt d'ordre pratique.
-Comment
s'opposer aux critiques et s'affirmer tout en restant dans le respect
et l'honoration?
-Comment
faire s'Il reste sourd à mes remarques? Je ne voudrais absolument
pas refuser de Le voir (ni ma Mère d'ailleurs) car même s'il ne
partage pas la Vérité je suis très attaché à mes Parents!
Que
le Bon Dieu vous bénisse vous et tous les vôtres.
Cher
Sieur Paul,
Comme
annoncé, suite à votre lecture, et sur base de vos saines
préoccupations d'avant et de maintenant nous allons maintenant
poursuivre la rédaction de notre réponse annoncée…
Dans
cette attente, que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
♣
L’actualité confirme si bien ce que nous disons ci-dessus !
RépondreSupprimerCi-dessus nous disons « … ces blancs qui furent Chrétiens donnent et donneront eux-mêmes leurs femmes au nom de l’anti-racisme… »
Ouvrez les yeux !, ou mourrez ici-bas et ensuite éternellement !, lisez ceci :
Titre : Une fresque subventionnée « les Françaises aux Africains » en plein Paris !
Lien : http://www.contre-info.com/une-fresque-subventionnee-les-francaises-aux-africains-en-plein-paris
Vous savez très bien, sauf de ne pas vouloir le savoir que :
- dans l’immense immensité les crimes dits racistes, soit de Blancs sur de noirs sont de gigantesques manipulations (USA, etc.), soit parce que commandités ou faits par les services secrets de nos gouvernants afin d’installer le chaos (ordo ab chaos) ; ou soit par pure invention ; ou soit par le taisement de la légitime défense par ex.
- tous les crimes bien réels fait par lesdits innocents noirs, auprès desquels nous aurions une dette imprescriptible, sont de tout autant des manipulations, soit par pure invention ou soit par taisement de la race du criminel et des circonstances atroces de ces crimes, par ex. un viol de la femme et un massacre de l’Homme sera maquillé en accident de la route...
Nous disions « ils vont donner leurs femmes », mais voyez donc !, voyez comment après que nosdits gouvernement les aient fait venir, ces envahisseurs, les aient entretenus avant même les français et bien-sur avec l’argent qu’ils nous volent, comme maintenant ils donnent (et vont donner de plus en plus) nos églises, à nous et non à ladite Église catholique et ni à nos dits États, mais à nous les Catholiques !
Il faut avouer que les Ecclésiastiques de l’Église catholique sont les premiers responsables depuis bien avant ledit Vatican II Eux qui ont fait déserter ceux qui auraient dû être leur ouailles, les Pères de Famille !
Recherchez : « Récupérer des églises vides pour en faire des mosquées »
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Bonjour. Un très bon article, comme toujours, avec un sujet des plus importants parfaitement expliqués par vos soins.
RépondreSupprimerJ'en profite pour vous faire d'une de mes interrogations qui m'est venue à la relecture de certaines de vos précédentes publications : bien normalement, puisqu'il s'agit du titre de votre site, vous avez beaucoup parlé de l'Epoux et de l'épouse. Mais cette fois-ci, mon interrogation porte sur la femme consacrée : dans le temps lointain où l'Eglise n'était pas pervertie, les Pères laissaient-ils Leurs filles entrer facilement des les ordres ? Comment cela se déroulait-il ? Quel était leur place dans une société chrétienne ?
Je me permets de poser ces questions car à plusieurs reprises vous avez mentionné les femmes consacrées, soit en tant qu'enseignantes de filles ou en tant que soignantes. Et il me semble avoir lu que vous prépariez à un moment un article sur la confession de la femme. Tous ces sujets m'intéressent.
Je conçois parfaitement que ceci s'éloigne un peu de l'objectif de votre site, aussi je comprendrais parfaitement si vous souhaitiez ne pas accéder à ma demande.
Sur ce, je vous souhaites une bonne journée.
Cher Sieur Jean Mahezic,
SupprimerMerci pour votre aimable appréciation de cet article, nous sommes bien conscients que cela nous donne une rude responsabilité ; que par la Grâce de Dieu nous ayons écrit en Vérité et pour Sa plus Grande Gloire !
Oui, la consécration des femmes.., permise ou pas !?, et la confession de celles-ci, et des mariées...
Oui, nous savons, nous, très bien quoi en penser, mais trouver l’énergie (quelle fatigue) et les mots pour le bien dire, va falloir que le Bon Dieu nous force à écrire comme Il força Jonas à crier pour avertir !, peut-être va-t-Il nous envoyer une baleine pour nous forcer aussi...
Laissez-nous en peu souffler, méditer et prier, et par les commentaires nous vous répondrons, ou par une page spéciale car le sujet est bien vaste et grave...
Entre les deux, cher Ami en Notre-Seigneur Jésus-Christ et Notre-Dame, demandez bien véhémentement pour nous pauvres hères des Grâces de Lumière et de Force au Très-Saint Esprit...
À dans quelques jours, et en tous les cas à Dieu !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Cher Sieur Jean Mahezic,
SupprimerNous devons vous demander un peu de temps car nous allons vous répondre sur une page spéciale ; vous devrez peut-être patienter une quinzaine de jours.
Nous allons vous répondre, et nous pensons que cela va vous plaire, de façon très très incisive et vraie au sujet de la confession des femmes, et aussi des nombreux scandales entourant lesdites vocations de celles-ci !
Comme vous l’avez dit, oui nous avons plusieurs fois rien qu’effleuré ce sujet, mais maintenant nous allons aller comme tout au fond de la chose !, nous pensons que cela va faire bien grincer !
Comme dit, Il va falloir attendre un peu, compte tenu de la très grande gravité du sujet, pour voir cette publication...
Cher Sieur Jean Mahezic, que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres...
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Bonjour,
RépondreSupprimerJe vous remercie pour votre réponse.
Je vais suivre vos conseils, c'est à dire m'excuser sur la forme et maintenir le fond.
Mon Père fait en effet parti de ces chrétiens qui pensent qu'une femme doit obéir à son Epoux "sauf"....Je lui dirai donc qu'une femme doit obéir en toute chose à son Epoux , qui est son Maître.
Ne pas Lui obéir reviendrait à un Homme qui dirait: "j'obéis à Dieu sauf..."
De plus, si un Homme doit user de son Autorité et corriger son épouse, c'est aussi pour elle et lui sauver la Vie (assurer qu'elle aille au Ciel et non en enfer).
Ce sont les Hommes qui refusent de corriger leurs épouses lorsqu'il le faut qui seront responsables du malheur de leurs épouses.
Je pense que mon Père comprendra mes remarques (je l'espère). Et si ce n'est pas le cas, je ne Le verrai plus que chez Lui et je n'aurais plus qu'a prier pour Lui.
Vos conseils me sont vraiment très utilise et je réitère mes remerciements.
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres...
Cher Sieur Paul,
SupprimerSeulement maintenant nous venons vous remercier pour votre bon et rassurant commentaire.
Quelle responsabilité pour nous d'écrire si gravement ! ; mais, faisant ceci pour la plus Grande Gloire de notre Très-Juste Dieu d'Amour, nous sommes convaincus d'avoir écrit très droitement, selon ce mot : J’ai annoncé ta justice dans la grande assemblée ; Seigneur, je n’ai pas fermé mes lèvres, tu le sais • Je n’ai pas caché ta justice au fond de mon cœur ; ta fidélité, ton salut, je les ai proclamés. (Graduel, St Pie X)
Voulant ardemment faire le Bien pour nos divers Lecteurs, et pour vous comme en ce document ci-dessus, sachez que nous sommes à votre entière disposition, ce dans la limite de nos pauvres moyens.
Soyez certain de nos prières pour vous particulièrement, ce comme pour tous ceux que nous aimons au moins en ce site ; ayez pitié de nous, alors, veuillez aussi penser à nous quelque peu en vos bonnes prières...
Que le Bon Dieu vous bénisse, cher Sieur Paul, et à travers vous votre émouvante dame Marguerite, et votre certainement mignonnette petiote.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Nous venons :
RépondreSupprimer1 - de préciser le paragraphe commençant par : Ordinairement, en le temps, ces Fils mariés plantaient
2 - d'ajouter le premier retrait suivant : Pour : il y a encore même pas cent ans
Cher Ami QJSIOJC, quel bel article !
RépondreSupprimerIl complète très justement l'article que vous m'aviez précédemment dédié. En tout cas vous avez pris soin de détailler le cas du Fils marié, préoccupation ô combien légitime.
Comme toujours, vous débrouillez les choses les plus confuses avec des principes pourtant très simples, et efficaces. Autant dire cela fait du bien. Si seulement tous les Hommes voyaient la source des maux en la Famille, au lieu de s'engouffrer dans des directions plus vaines que les autres, il suffirait pour eux de rétablir leur pleine autorité.
Cher Ami Luryio,
SupprimerEt !, à vous merci bien pour votre bonne appréciation !, que le Bon Dieu vous le rende au centuple.
Nous profitons de ce commentaire pour dire que nous allons répondre à notre Sieur Jean Mahezic (commentaire ci-dessus), et Il en sera personnellement averti !
Nous allons Lui répondre sur une page spéciale, et nous pensons que cela va Lui plaire, comme à vous et à notre Sieur Paul, et d’autres aussi, de façon très très incisive et vraie au sujet de la confession des femmes, et aussi des nombreux scandales entourant lesdites vocations de celles-ci !
Comme Sieur Jean Mahezic là dit, oui nous avons plusieurs fois rien qu’effleuré ce sujet, mais maintenant nous allons aller comme tout au fond de la chose !, nous pensons que cela va faire bien grincer !
Il va falloir attendre un peu, compte tenu de la très grande gravité du sujet, pour voir cette publication...
Cher Sieur Luryio, que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres...
Pour la Vérité,
QJSIOJC
J'ai fait quelques petites recherches à propos du mot informer qui vous paraissait suspect, voilà ce que j'ai trouvé :
RépondreSupprimerLe verbe informer, qui donne information, s'apparente au Latin informare et proviendrait aussi de l'Ancien Français enformer.
Je suis allé voir la racine latine, le sens est bien le même : https://fr.wiktionary.org/wiki/informo#la
Puis le préfixe in- qui compose le mot et qui est la clé du problème : https://fr.wiktionary.org/wiki/in-#la
C'est là que ça devient intéressant puisqu'il y a deux possibilités quant à la signification de ce préfixe. Or il me semble que ce doit être la deuxième, et non la première (sens privatif) comme vous l'avez considéré.
En effet, la preuve est donnée par l'Ancien Français : http://www.cnrtl.fr/definition/dmf/enformer?idf=dmfXgXrmXedbh;str=0
Le préfixe en- en Français reproduit bien le deuxième sens du in- en Latin ; c'est-à-dire "dans, vers" ou "sur" qui indique un lieu, et non un sens contraire.
A l'origine donc, informer, c'est former dans ou sur quelque chose, on pourrait dire former vers quelque chose, en vue de cette chose. La réfection du mot à partir du Latin est ambigu du fait que le premier sens du préfixe in- est beaucoup plus répandu que le second. Ainsi, une information ne devrait pas être informe...
Nous avons fait une erreur de frappe, veuillez nous excuser.
RépondreSupprimerOrigine : et alors que, comble Léon XII a dû avouer
Corrigé : et alors que, comble Léon XIII a dû avouer
Cher Sieur Jean Mahezic,
RépondreSupprimerComme promis, nous venons de publier notre réponse...
Titre : RH-2015-03 - Cher Sieur Jean Mahezic, confession des femmes ?, dites simplement oui ou non !
Lien : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2015/07/rh-2015-03-cher-sieur-jean-mahezic.html
Une seconde partie, plus petite, suivra...
Bonne lecture, et,
Que le Bon Dieu vs bénisse, vous et tous les vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC