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dimanche 20 juillet 2008

DP-06D3, Deux pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture.

6.D.3 - Deux pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture.

Du : 20.07.2008, existe1 en PDF ici : ND. Actualisé : lun. 12 déc. 2011, 17.46.

Reconquête !,
la femme à et pour sa Maison !

Pourquoi dire ‘Deux pauvresses ont laissé mourir leur enfant dans la voiture’, alors que c’est des Hommes qui ont oublié leur enfant, comme nous le lisons ici :

Mort d’une fillette oubliée dans une voiture au soleil : le père mis en examen

Publié le mercredi 23 juillet 2008 à 22H14

[1er enfant] Le père de la petite Zoé, fillette de trois ans décédée mardi après avoir été oubliée dans une voiture stationnée en plein soleil à Saint-Marcel (Saône-et-Loire), a été mis en examen mercredi pour homicide involontaire et placé sous contrôle judiciaire.

L’homme de 38 ans, qui se trouve "dans un état de détresse important" selon le parquet, s’est vu notifier sa mise en examen à l’hôpital de Chalon-sur-Saône où il est en observation depuis mardi soir.

[2ème enfant] Cette tragédie intervient une semaine après celle de Pont-de-Chéruy (Isère) où un garçon de deux ans et demi était décédé après avoir été laissé seul par son père dans sa voiture.2

Voici donc, comme nous venons de le lire que deux enfants sont morts affreusement parce que oubliés par leur Père dans la voiture !, et nous disions, nous, qu’ils ont été assassinés par leur mère, pourquoi ?

Nous allons parler que d’un cas, car il sont parfaitement identiques. Nous parlerons de la ‘faute’ du Père ensuite, commençons par voir le crime de la mère.

6.D.3.a - Le crime de la mère : avoir trahi, par pur orgueil, sa mission !

En effet, comme nous le voyons dans toute notre étude, la femme est faite pour l’Homme, pour l’aider, le servir, pour son ‘confort’, et en premier pour soigner et élever les enfants que son Époux lui a donné à porter et lui confie dans les premières années !

Voici, parmi tant d’autres personnes, ce que dit Pie XII qui date de Mathusalem comme chacun le sait (10 septembre 1941 !) : A la femme, Dieu a réservé les douleurs de l’enfantement, les peines de l’allaitement et de la première éducation des enfants, pour qui les meilleurs soins de personnes étrangères ne vaudront jamais les affectueuses sollicitudes de l’amour maternel.3

Il existe bien bien d’autres textes que nous donnons dans cette étude, qui disent tous que la femme doit être en sa (celle qu’elle a l’honneur d’habiter, celle donc de son Époux) Maison afin d’être là à la disposition de son Époux, qui lui demande, parmi d’autres services, de s’occuper de Ses (dans le sens propre du terme, soit les enfants à Lui4) enfants.

Comme sa variante hypocrite, la séparation de corps toute aussi interdite5, le divorce est ‘uniquement’ instigué par la femme. La déshérence et la mort des enfants n’est que leur fruit !

Ainsi donc que la séparation-divorce, le travail de la femme est la demande de la femme. Ce n’est pas l’Époux qui veut que Son épouse travaille, bien au contraire !, c’est l’épouse qui le veut, parce qu’elle veut regarder ailleurs que sur son Époux, Lui échapper ! Rappelons-nous ce que disait Saint Jean Chrysostome6 : Ce fut ainsi qu’il [Lucifer] attaqua Ève autrefois, lorsqu’il la vit seule et séparée d’Adam.

Elle, l’épouse, veut être l’égale de l’Homme, être libre, vivre sa vie, avoir son autonomie financière7, ne plus étouffer sous le carcan de l’Autorité, etc…

Alors, de volonté certaine elle veut errer, vagabonder, et pour cela il lui faut larguer le poids de l’enfant : contraception-avortement ; et, pour le ‛choisi’, crèches, garderie, etc.

Et donc, le ‛choisi’, le rescapé du massacre féministe, le rescapé de sa révolte luciférienne, son ventre lui ‛appartenant’, elle doit le trimbaler ou obliger, sous peine de dénonciation pour « non partage des tâches ménagères », l’Époux à trimbaler cette pauvre petite victime ‘immolée’ sur l’autel de la ‘libération’ de sa mère.

L’Homme est fait pour des vues plus hautes, plus étendues que Son épouse, et contrairement à elle Il est fait pour l’extérieur. Il est, d’Obligation divine, obligé, Lui, de ramener du pain à la Maison, et c’est pour cela que Dieu Lui donna cette aide, la femme, Sa femme, Son épouse, Sa servante, pour garder Sa Maison et Ses enfants…

Ce (l’un ou l’autre) Père a oublié l’enfant dans la voiture, parce que ce n’était pas Sa mission (absence de grâces d’État), d’où ces deux drames !

Ainsi, il est évident que la femme est la cause première et ‘exclusive’ de ces deux drames, qui sont arrivés uniquement à cause de son orgueil ! Elle a dit, devinez quoi ? Lucifer ayant dit : non serviam, mon Dieu ! ; cette(ces) épouse(s) a(ont) dit : non serviam, mon Époux !

6.D.3.b - La ‘faute’ du Père, quelle est-elle ?

La ‘faute’ du Père n’est point d’avoir, le pauvre, oublié Son enfant dans la voiture, et c’est pour cela que nous avons mis faute entre guillemets, en effet l’Époux a une femme pour le soin Ses enfants pour qui les meilleurs soins de personnes étrangères ne vaudront jamais les affectueuses sollicitudes de l’amour maternel.

Par contre, il existe bien un crime du Père, et c’est pas dans les ‘média’ que nous le verrons dénoncé, c’est de n’avoir pas appliqué ceci : Enfin il [l’Époux] doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux [donc épouse comprise] qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.8

Ainsi, comme la faute originelle ne fut point la faute d’Adam9, mais celle d’Ève ; la mort de cet(ces) enfant(s) n’est pas la faute du Père, mais celle de la mère.

Celle du père est que : S’il devait compatir à sa femme, il devait la discipliner, puisqu’elle était son inférieure, car l’homme est le chef de la femme. Or il devait à Dieu obéissance et soumission.10

Cessons une bonne fois pour toutes de pratiquer la langue de bois : oui répétons-le sans aucune hésitation, ces enfants ont été sacrifiés par la femme, à l’instigation de nos ‘Maîtres’, à l’autel de sa ‘libération’, à l’autel de sa révolte : Non serviam, mon Époux !

4(Re)Voyez ND : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3.D, L’Homme, engendre Son enfant, Il est son Maître.

5(Re)Voyez ND : DP-10, Les épreuves, tribulations et afflictions, l’Espérance (I) ; point DP-10.B, Non non, je ne divorce pas, je me sépare ! ; et DP-10.C, L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…

6(Re)Voyez ND : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point DP-7.B.1, Les démons n’attaquent que les femmes affranchies de l’Homme !

7Que l’on ne nous amène surtout pas le fait qu’il faudrait deux salaires pour s’en sortir financièrement, ce faux argument sera démonté plus en avant dans cette étude.

8« Concile de Trente - 1545 - Le Mariage », page 673.

9(Re)Voyez ND : DP-2.C.2.b, Les commandements de Dieu ont été donnés à qui ?, et autres.

10« Sermon Toussaint – 1153 – St Bernard », réf. page 673.

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