Du :
19.03.2014,
existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : ven. 26 déc. 2014,
10.59.
Table
de cette nouvelle, CN-2014-…
2
- Cessez de nous libérer !,
disent Anne Brassié et Stéphanie Bignon ; où, le mensonge
ciselé !
2.B
- Quand les
"sentinelles de l'invisible" poussent leur coup de gueule.
2.B.1
- Les références
de ces pauvresses écrivaillons.
2.B.1.a
- Première
référence de ces pauvresses : Gertrud Von Lefort !
2.B.1.b
- Seconde
référence de ces pauvresses : Mère Térésa !
2.B.1.c
- Troisième
référence, undit Homme, ledit Jean-Paul II.
2.B.2
- Quelques
flagrantes faussetés.
2.B.2.a
- Femme agent
économique, vocation secondaire ?
2.B.2.b
- Vocation de la
femme, donner et défendre la vie, élever et éduquer ?
2.B.2.c
- Ladite
nécessité d’un deuxième salaire, subterfuge de la révoltée !
2.B.2.d
- Le génie
féminin !, comme son sixième sens, vaste escroquerie !
2.B.2.e
- La femme
créatrice !, et gardienne de la cité.
2.B.2.f
- La femme lien
entre Dieu et le monde, dispensatrice de la foi !
2.B.2.g
- Les femmes,
sentinelle de l’invisible !, oui !
2.B.2.h
- La femme,
garante de la religion, du salut du monde !
2.C
- Que Najat et sa
clique laissent les femmes tranquilles.
2.C.1
- Quelques
flagrantes faussetés.
2.C.1.a
- Où un
argument particulièrement stupide est avancé.
2.C.1.b
- La femme est
complémentaire ?, ou, complémentaire ?
2.C.1.c
- Ces vicieux en
viennent à déclarer la Très-Sainte Vierge Marie femme libérée !
2.C.1.d
- Leur orgueil
leur occulte même leur contradiction !
2.C.1.e
- Grossièreté
et stupidité, soit tout féminin dévoyé !
2.C.1.f
- Pas à être
entretenues, mais à être protégées !, quelle logique
confondante.
2.D
- Profitons-en pour
dénoncer l’hypocrisie au sujet de la théorie du genre.
2.D.1
- Tartuffes !,
vous manifestez contre la théorie du genre installée par l’Église
depuis plus de cinq cents ans !
2.D.1.a
- Qu’est-ce
que cette théorie du genre ?
2.D.1.b
- Ils ont des
yeux, et ne veulent pas voir qu’ils chérissent cette théorie !
2.D.1.c
- C’est les
EÉc qui inventèrent la théorie du genre !
2.E
- Concluons pour
l’instant.
2.F.1.a
- Quand les
"sentinelles de l'invisible" poussent leur coup de gueule.
2.F.1.b
- Que Najat et
sa clique laissent les femmes tranquilles
Commencé
en la Sainte Louise de Marillac,
le samedi 15 mars 2014 ;
publié
en la Saint Joseph, Chef de la Sainte Famille,
le mercredi 19 mars
2014 ;
ce document Leur est confié.
Chers
Chefs et futurs Chefs de Famille,
C’est
vrai, et que l’on s’en esclaffe ou pas, cela ne change rien, nous
arrivons au bout, alors pourquoi vouloir réveiller ce qui veulent
absolument se faire gruger ?
Nous
écrivons encore cette nouvelle uniquement pour n’avoir point à
essuyer le reproche légitime de notre Dieu d’Amour de nous être
tu alors que nous devions témoigner, ce, que l’on veuille entendre
ou pas !
Nous
allons voir des gents qui, sous couvert d’une Loi supérieure
qu’ils ne veulent dire et qui fait donc penser à une émanation
tout autre que divine, font véritablement passer leurs pulsions
avant Dieu : ce n’est plus le Seigneur Dieu qui impose sa
Volonté comme nous le rappelle la prière apprise par Notre-Seigneur
Jésus-Christ Lui-même : Notre
Père qui êtes aux cieux … que votre volonté soit faite sur la
terre… ; mais c’est l’humain qui
impose à son Dieu ses démangeaisons, dans une révolte tout-à-fait
identique à celle de Lucifer : Non
Serviam !, ou, Je
ne veux point servir !
Pour :
impose à son Dieu ses démangeaisons :
Ainsi
donc nous allons même les voir contester radicalement révoltement
l’Autorité de Droit divin de l’Époux sur le reste de Sa Maison,
et particulièrement sur Son épouse, ainsi : La
femme n'a pas à être entretenue […] par un mari !
Nous
voulons encore dénoncer un mensonge parfait, parce que parfaitement
ou totalement hypocrite, émanant de ces pauvresses d’Anne
Brassié et Stéphanie
Prévot qui viennent d’être promues très
scandaleusement par le site Le
Salon Beige, déjà tant dénoncé
par nous et grand orfèvre en désinformation.
Nous
allons analyser deux articles tout autant infestés d’un féminisme
très virulent, et qui encensent complaisamment le livre de ces
précitées pauvresses : Cessez
de nous libérer !
Lecteurs,
vous êtes de bonne volonté !, soit amants de la Vérité,
alors vous verrez la parfaite hypocrisie de ces pauvresses et de leur
macro du moment, au milieu d’innombrables sites dits bien pensants,
Le Salon Beige !, pour ce, veuillez nous suivre, nous allons
décortiquer avec vous ce tissu de mensonges bien épais…
Pour :
innombrables sites dits bien pensants :
Vous
en aurez la liste en recherchant sur internet le nom du titre de cet
immonde torchon : Cessez
de nous libérer !, et vous verrez la
multitude de ces amants de Luciabel…
Nous
allons donc travailler non sur le livre dont nous voyons la
couverture ci-contre et que nous ne voudrions surtout acheter pour
les raisons évidentes qui vont suivre, mais sur les articles de Le
Salon Beige qui à priori est fidèle à l’esprit de ce livre…
Regardez,
Lecteurs honnêtes, rien que la pauvresse exposée qui illustre la
couverture, et soit c’est pur ou soit c’est impur !, elle
résume visuellement tout : cheveux courts symbole de la femelle
dite libérée, décolleté et bras nus scandaleux, regardez-là bien
et mesurez, en proportions, à quelle hauteur est la robe, à un
tiers de l’entre-jambes et le genou, soit plus que minijupe !,
c’est donc bel et bien une petite vertu !, une aguicheuse, une
allumeuse…
De
fait, comme vous le constaterez à la lecture de la suite de ce
document, ce quelle dit, la pauvresse de la couverture avec son
cessez
de nous libérer, c’est en clair : ce
que nous avons obtenu de la lâcheté des Hommes nous suffit, cessez
de nous libérer car nous n’avons plus rien à obtenir !
Elles
ne renient pas les acquis dont elles pensent jouir ; ce qu’elles
vont nous étaler ensuite leur suffit, leur livre n’est donc là
que pour avertir leurs semblables de ne point aller trop loin de peur
de sortir les Hommes de leur torpeur démoniaque ; et par la
même occasion rassurer leurs dadais d’Époux qui devraient, s’Ils
voulaient sauver leurs Maisons, les rebrider, soit défaire
radicalement cesdits acquis !
Décortiquons
maintenant ces deux articles bien mortifères.
2.B - Quand
les "sentinelles de l'invisible" poussent leur coup de
gueule.
Ce
titre est le nom de l’article principal, vous le trouverez en les Annexes diverses
avec son lien.
C’est
un entretien, nous dit Le Salon Beige, avec les pauvresses d’Anne
Brassié et Stéphanie Bignon, auteur de Cessez de nous libérer.
Petit traité pour les femmes actuelles. Avec une préface (très
belle) d'Yves Meaudre. Via Romana.
Nous
sauterons les blablas d’emballage, pointons l’essentiel.
2.B.1 - Les
références de ces pauvresses écrivaillons.
Où,
qui se ressemble s’assemble !
Vous
remarquerez aussi que leurs premières et principales références, à
ces écrivaillons,
sont des femmes !, et, quelles femelles !
Alors
que de Volonté divine l’Homme est et doit être, et ne peut
qu’être l’unique et infrangible référent de la femme !,
l’on dit du reste l’étalon de mesure, etc. Et, que l’on ne
vienne pas nous bassiner avec la Très-Sainte Vierge Marie qui était
tout l’inverse de ce qu’elles veulent vicieusement promouvoir !,
ce comme nous le verrons plus loin.
L’on
dit ordinairement que la femme est plus petite (moins forte, moins
intelligente, moins déterminée, etc.) que l’Homme ; et non
que l’Homme est plus grand (plus fort, plus intelligente, plus
déterminée, etc.) que la femme ! ; ainsi donc, c’est la
femme qui est mesurée à l’aune
de l’Homme, et non l’Homme qui est auné
à la femme ! ; l’homme est le référent infrangible de
la femme, son Étalon !
2.B.1.a - Première
référence de ces pauvresses : Gertrud Von Lefort !
→ La
main qui met en mouvement le berceau met en mouvement le monde,
disait Gertrud Von Lefort.
La
Gertrud Von Lefort, c’est une femme qui a étudié les sciences
interdites aux femmes, voyez ce que nous dit Wikipédia :
Fille
d'officier prussien, d'une famille luthérienne d'origine huguenote
[quelle formation !, huguenote puis
luthérienne],
elle étudie la théologie
[science interdite aux femmes],
l'histoire
[science inutile aux femmes, orgueil] et
la philosophie
[science interdite aux femmes]
à l'université [lieu interdit aux femmes]
de
Heidelberg puis de Berlin ; puis,
Wikipédia nous parle de sa
conversion, parce que très impressionnée par Edith Stein,
quelle référence !
Pour :
Edith
Stein
Quelle
est donc la
main qui met en mouvement le berceau
[et
qui]
met
en mouvement le monde, que disait la Gertrud
Von Lefort d’après ce que nous rapportent ces pauvresses dites
auteurs ?, cela n’est pas précisé, et pour cause, Luciabel
doit, pour avancer, être bien masquée !
2.B.1.b - Seconde
référence de ces pauvresses : Mère Térésa !
→ Mère
Térésa ne recevait pas de salaire pour assister les mourants.
Quelle
référence encore !, cette salope très digne de faire partie
des 343
salopes, orfèvre en escroquerie, leur
référence !, recherchez donc, et vous verrez, recherchez aussi
sur internet « Mère Térésa escroc mythe » !
Pour :
très digne de faire partie des 343
salopes :
2.B.1.c - Troisième
référence, undit Homme, ledit Jean-Paul II.
→ Les
femmes sont « les sentinelles de l'invisible » disait
Jean Paul II
Lui,
feu crapule en chef de l’Église de Satan éclipsant l’Église
véritable !, nous en parlerons plus loin lorsque nous allons
analyser le contexte de l’endroit où lesdites auteurs en parlent.
Vous
remarquerez tout de même que très troublement :
et la
main qui met en mouvement, vue précédemment,
et l’invisible,
vu maintenant, sont imprécisés !
Pour nous c’est bien clair comme le reste va nous le confirmer,
l’invisible,
c’est l’invisible déchu, soit Luciabel ; et la
main c’est donc Sa main !
2.B.2 - Quelques
flagrantes faussetés.
Vous
allez voir que ces pauvresses ne sont que des prodigueuses
d’émotions, de pulsions, rien dans la tête ; vous allez
ainsi constater avec nous le vide sidéral du contenu de leur livre
uniquement basé sur des mensonges ; que pouvions-nous attendre
d’autre d’elles ?
Dénonçons
rapidement certains passages du premier article étudié :
2.B.2.a - Femme
agent économique, vocation secondaire ?
→ … on
fait de la femme un agent économique, ce qui n'est pas sa vocation
première.
Faux !,
ce n’est ni sa vocation première, ni aussi secondaire, et ni
accessoire, cela ne peut être ni de près et ni de loin sa
vocation !, c’est une révolte contre l’Ordre divin !
2.B.2.b - Vocation
de la femme, donner et défendre la vie, élever et éduquer ?
→ La
vocation de la femme, c'est le don gratuit, celui de donner la vie,
de mettre au monde l'enfant, de l'élever, l'éduquer et lui donner
tout l'amour dont il a besoin.
Faux
encore !, la femme ne donne pas la vie, c’est l’Homme, à
qui seul donc l’enfant appartient, qui la donne et qui est
l’éleveur (élever)
et l’éducateur (éduquer)
de Son fruit, Son enfant, de Son jardin fermé (voir plus loin), Sa
femme. L’action de la femme n’est qu’une aide, une toute simple
et petite délégation ! L’amour dont l’enfant a besoin,
l’amour essentiel, vient du Père, celui de la mère n’est que
bien accessoire et bien dépendant de celui du Père…
Pour :
amour essentiel vient de son Père :
La
femme a été engendrée de Volonté divine très certaine pour la
satisfaction, la consolation de l’Homme !, et, non à cause de
Dieu, mais à cause de l’Homme, et, non pour les enfants, mais pour
l’Homme qui est sa fin première, les enfants ne sont qu’une
conséquence !
Pour…
Enfant
appartient : idem ci-dessus.
Fin
première : Idem ;
point 5.C.1.a - Voyons
donc ce que ce prêtre disait, voici des notes prises par l’un de
nous
→ C'est
aussi défendre la vie.
Faux
toujours !, c’est à Celui qui donne vie, l’Époux-Père
seul donc, à qui revient de défendre cette vie, ce en construisant
la maison devant abriter ces vies, en protégeant la porteuse, Son
épouse-mère, en nourrissant et habillant tous les siens, en les
instruisant et les disciplinant, en pesant légitimement sur
l’Autorité publique pour avoir des lois favorables à cette vie,
et en partant généreusement, le cas échéant, défendre ces vies à
l’extérieur (guerre, etc.).
Pour :
cas échéant, défendre ces vies à l’extérieur :
La
femme défendrait la vie !, depuis le pied de l’arbre
paradisiaque jusqu’à maintenant !, cela alors se saurait !,
elle, la femme, qui donna vie en grande pompe à la mort de l’Âme
et du corps qui alors, de Volonté divine, n’existait pas et ne
devait pas exister !
Quelles
comiques, d’un comique tout luciabélien, que ces pauvresses !,
quelles lisent, tout comme nos Lecteurs bien intentionnés, entre
autres tout ce texte qui montre comment constamment la femme défend
prétendument si bien la vie, c’est le document le plus lu, et de
loin, sur notre site, et encore à ce jour : CN-2008-16, Valérie
Létard veut susciter une réaction ?, la voici !
→ Nous
[les femmes] ne voulons pas être libérée de cette charge, celle de
défendre la vie depuis la conception jusqu'à la dernière seconde.
Également
faux !, elle n’a aucunement la charge de défendre la vie,
mais uniquement de la porter, de l’allaiter et d’aider son Époux
en l’éducation ; cette prétention est une révolte contre
l’Ordre divin ; revoir ci-dessus.
2.B.2.c - Ladite
nécessité d’un deuxième salaire, subterfuge de la révoltée !
→ Les
mères sont donc obligées de rapporter un second salaire.
2.B.2.d - Le
génie féminin !, comme son sixième sens, vaste escroquerie !
→ Les
conséquences visibles en sont une société blessée qui anéantit
le véritable génie féminin.
Orgueil
luciabélien, que ta stratégie est grotesque !
Voyez-vous
un Homme dire je
suis un génie ?, je
suis génial ?, parler du génie
de l’Homme ?, masculin donc.
Non !,
en effet, il faut être femme pour avoir un orgueil tel qu’il vous
occulte le grotesque et l’inconvenance du trait !
Son
génie, c’est elle qui en parle !, il est vrai que l’on est
jamais mieux servi que par soi-même, que l’on dit ; de cedit
génie il en va de même que de sondit 6ème sens, vous
savez, l’intuition féminine !, nous vous proposons de lire ce
texte qui fut repris partiellement par un site
et qui le décrit si bien : DP-06, Restaurer
l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance (II)…; point
6.F.1.a - L’intuition
féminine, une bien triste plaisanterie…
2.B.2.e - La
femme créatrice !, et gardienne de la cité.
→ Pervertir
la femme c'est désaxer la société tout entière, la maternité et
la paternité, l'autorité et bien sûr le sacré puisque la femme
est co créatrice.
Faux
sur toute la ligne !, même pour soi-disant dénoncer le mal
elle ne le font que par vues féministes !
Si
seulement elles disaient, les pauvresses Anne
Brassié et Stéphanie
Prévot, que la femme est à l’origine de tous nos maux,
de tous les meurtres, de toutes les catastrophes, de toutes les
guerres, de la faute originelle en premier !, alors, nous
aurions put avoir de la considération pour leur humilité !
… ce
n’est pas Adam qui a été séduit, mais c’est la femme qui,
séduite, est tombée dans la transgression. (I Tim 2, 14)
Mais
non, non seulement elles se défaussent sur l’Homme de leurs
crimes, mais disent très scandaleusement que le salut ne peut venir
que de la femme !
La
femme
est co créatrice ?, cocasse, c’est
tellement stupide et blasphématoire, orgueilleux, que nous n’en
dirons pas grand-chose.
Mais,
acceptons ce terme tout boursouflé d’orgueil, co-créatrice,
et donnons-lui le sens qui semble lui être proposé :
co-génératrice !
Et
dénonçons-le maintenant ! La femme est un jardin
fermé* (voir plus loin) dans lequel l’Homme
dépose Sa semence !, ainsi donc la femme n’est pas
co-génératrice,
mais rien que, uniquement et littéralement, porteuse de l’enfant
de son Époux !
L’orgueil
de ces pauvresses de féministes jusqu’au bout de leurs ongles de
tigresses est aussi visible ici, elles disent : la
maternité et la paternité.
Servantes !,
ne fait-on pas :
→ passer :
le Grand, le Supérieur, le Maître, la Source
→ avant :
la petite, l’inférieure, la servante, la fontaine ?
Quelques
renvois entre-autres pour :
Supérieur
et inférieure : Idem ; point 7.E.9 - Allez,
une petite dernière pour la route…
Si
elles voulaient avoir l’heur de plaire rien qu’un tout petit peu
au Seigneur Dieu, elles auraient dû au-moins écrire la
paternité et la maternité !, qu’elles
orgueilleuses !
2.B.2.f - La
femme lien entre Dieu et le monde, dispensatrice de la foi !
→ C'est
elle qui relie notre monde au ciel et qui transmet la foi.
Ô
mon Dieu !, quel orgueil, quels mensonges !
Elle,
la femme !, qui nous valut l’enfer !, elle, qui nous
relia donc à l’enfer !, et elle qui est encore actuellement
le canal chéri et certainement exclusif de Luciabel !, elle
nous relirait au ciel ?, ce serait sa mission d’amener le
monde au Ciel !, quel orgueil, quels mensonges !
Inutile
de nous étendre, ceci et tous nos documents suffisent aux gents de
bonne volonté pour comprendre…
Voyez
de complètes dénonciations de ceci :
2.B.2.g - Les
femmes, sentinelle de l’invisible !, oui !
→ Les
femmes sont « les sentinelles de l'invisible » disait
Jean Paul II.
De
quel invisible parlait-Il ledit Jean-Paul II ?, car très
symptomatiquement, Il se garde bien de le nommer !, de
l’invisible déchu, et peuplé de furieux esprits démoniaques !
Oui !,
les femmes sont bel et bien les sentinelles de Luciabel !, où
se trouve très certainement la crapule en chef, ledit Jean Paul II,
qui du reste va être dit canonisé prochainement (le 27 courant
probablement) par l’autre grande crapule en chef des cloaques
d’impureté*, ledit François I.
Qui
se ressemble, s’assemble…
2.B.2.h - La
femme, garante de la religion, du salut du monde !
→ La
femme et le salut du monde, elles doivent s'opposer aux forces
destructrices [ŒRFAEP : tout le reste est du blabla].
2.C - Que
Najat et sa clique laissent les femmes tranquilles.
Notre
titre est le nom du second article, vous le trouverez en les Annexes diverses
avec son lien.
C’est
ici plutôt une recension du livre en question : Cessez
de nous libérer.
Nous
sauterons aussi les blablas d’emballage, pointons l’essentiel.
2.C.1 - Quelques
flagrantes faussetés.
2.C.1.a - Où
un argument particulièrement stupide est avancé.
→ Quand
la République laissera les commandes de ses armées à une jeune de
fille de 17 ans, elle pourra avoir une légitimité à venir nous
parler de libération de la femme.
Comment
Le Salon Beige en est-Il venu à lancer un tel argument confondant de
stupidité ?, mystère de l’aveuglement volontaire !
Qu’une
femme libérée, veille ou de 17 ans, commande les armées, ceci est
évidemment contre-nature, et est forcément un leurre ; en
effet, c’est toujours un Homme qui derrière tirera les ficelles.
Il
semble bien que ces pervers de salon de Le Salon Beige fassent
allusion à Sainte Jehanne d’Arc !, ils auraient pu,
prudentiellement, éviter la référence !, en effet, mais ici
nous n’avons pas le temps, celle-ci est plus que discutable :
1) Ceci
est en opposition totale avec ce que dit Saint Paul : Je
ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme
(I Tim. II, 12).
2) De
fait notre Légitime Contradicteur nous a affirmé que ladite Sainte
Jehanne d’Arc n’avait que ravivé les Hommes d’arme, et qu’elle
ne commandait pas !, il est impossible ici de poursuivre devant
l’ampleur et le vague du sujet…
3) Ladite
canonisation de Jehanne la pucelle est plus que discutable quant-aux
raisons ordinairement avancées ! Oui !, non point que nous
la pensions point sainte, mais quelle manipulation autour de cette
Sainte fille ; et, pour vous en convaincre, si seulement vous le
voulez, nous vous demandons de bien lire tout ce document CN-2013-03,
Les prêtres de l’Église catholique, bien pires que les ennemis de
tous les Hommes !, et particulièrement le point 3.C - Un
avertissement fait à La Salette, quatre attitudes en face !
2.C.1.b - La
femme est complémentaire ?, ou, complémentaire ?
→ Alors
que l'on parle aujourd'hui d'égalité, […] elles [lesdites
auteurs] rappellent la complémentarité.
Voyez-vous,
avec une affirmation qui semble bien intentionnée, la
complémentarité, l’on introduit
malicieusement une idée d’égalité, et donc à très court terme
l’on se dirige vers une confrontation, et en fin de compte l’on
va à la rupture inévitable car la dualité est par essence
inadmissible et violente : séparation-divorce !
En
vérité :
1) Mais,
voulez-vous le savoir ?, il n’y a pas complémentarité !,
en effet, l’Homme est complet !, la femme non !, l’Homme
n’a pas besoin d’un complément !, la femme oui !
2) Mais,
suivons ces pauvresses et supposons !, prenons donc une
complémentarité égalitaire (contradiction interne, mais qui peut
encore le voir maintenant ?, soit péché contre l’Esprit),
soit 50 % pour l’Époux et 50 % pour l’épouse, car
c’est bien cela qui se glisse malicieusement. Alors, nous avons
donc deux dits Coqs, l’Un féminisé soit carrément castré et
l’autre poule qui s’y croit, qui sont l’Un en face de l’autre
et qui tous deux en viennent fatalement à vouloir dominer l’autre,
ainsi donc cela finira immanquablement par une très violente
confrontation (combat de Coqs) qui se terminera que par la mort d’un
des deux acteurs de cette scène fatalement dramatique, ou par la
séparation-divorce !, ce qui revient de fait à exactement la
même chose ! La complémentarité égalitaire est une utopie,
une invention de Luciabel pour diviser !, c’est une révolte !
C’est ni plus ni moins que la funeste démocratie démoniaque
appliquée à la Famille !
Pour :
nous avons donc deux dits Coqs : [Humour]
Q) Quelle
est la différence entre un chapon et une poule ?
R) Un
fermier Sarthois vous répondra "Une poule cha pond et un chapon
cha pond pas !"
Le
chapon est un Coq castré…, cha pond donc pas !
Pour :
revient de fait à exactement la même chose :
L’époux
et l’épouse ne font qu’une seule chair ; l’un des
conjoints ne peut pas plus se séparer de l’autre, que se séparer
d’avec soi-même.
Pour :
une invention de Luciabel pour diviser :
-- Lucifer :
Le diable1 (en latin latin : diabolus, du grec
διάβολος diábolos, issu du verbe διαβάλλω
« diabállô », signifiant « celui qui divise »
ou « qui désunit » ou encore « qui détruit »)
est l'esprit personnifiant le mal.
3) Mais,
continuons à supposer, prenons maintenant une complémentarité dite
ordonnée, l’Homme ayant une complémentarité plus grande et la
femme une plus petite, par ex. respectivement 67 % et 33 %.
Alors, à quoi sert-elle ? ; en effet, en ce cas il y a
domination, et domination absolue, sinon elle n’amènerait qu’au
désastre vu précédemment, de l’Un sur l’autre, du Coq sur la
poule !, alors, pourquoi tortiller les mots ?
Pourquoi
ne pas dire carrément la Vérité ?, au lieu d’utiliser
vicieusement ladite complémentarité pour introduire une malicieuse
confrontation !
Pourquoi
ne pas dire la Vérité, soit dire, exposer la Loi divine que la
nature nous montre pareillement chez les animaux où le Mâle domine
toujours radicalement la femelle !, et que des petits malins,
contradicteurs de pacotille et véritablement insoumis à leur
Seigneur Dieu, ne se pointent pas avec les fourmis et les abeilles…
Pourquoi
ne pas dire honnêtement que la femme est radicalement et
irrémédiablement, et ce de Doit divin, l’inférieure en tout de
l’Homme qui Lui est complet !, et qui doit de volonté divine
très certaine la dominer en toutes choses !…
La
seule complémentarité qu’il existe est :
La
seule complémentarité qu’il existe est que lorsque l’Époux a
besoin d’une servante (voir Pie XI ensuite) pour Sa satisfaction,
Il l’a par la grâce de Son Dieu d’Amour et de par Son Mariage
sous la main pour : Ses privautés, Ses repas, Son linge et
l’entretient de Sa maison, porter Ses enfants et réaliser en eux
lorsqu’Il est absent Son éducation en Son Nom (l’épouse :
votre
Père veut que…) !, etc.
Pour :
Ses privautés [et etc.] :
2.C.1.c - Ces
vicieux en viennent à déclarer la Très-Sainte Vierge Marie femme
libérée !
→ La
libération de la femme ? Et pour quoi faire ? La Sainte Vierge
Marie, Mère de Dieu, modèle de toutes les femmes, n'était-elle pas
libre ?
Rendez-vous
compte, dire la Très-Sainte Vierge Marie (TSVM) femme libre,
libérée !, Elle si effacée, si humble, si totalement soumise
à Saint Joseph au point de le suivre partout sans discuter et ce
sans savoir rien de ce qui l’attend : …
un Ange du Seigneur apparut en songe à Joseph, disant :
Lève-toi, prends l’Enfant et Sa Mère, et fuis en Égypte, et
restes-y jusqu’à ce que je te parle ; car il arrivera
qu’Hérode cherchera l’Enfant pour Le faire mourir. Joseph
s’étant levé, prit l’Enfant et Sa Mère durant la nuit, et se
retira en Égypte. (Mat. 2, 13-14)
Pour :
si effacée, si humble, si totalement soumise :
Vous
verrez dans le renvoi qui suit que la TSVM ne se gouverna jamais !,
toute sa vie, elle passa d’une Autorité à une autre Autorité :
Saint Joaquim son Père, Saint Joseph son Époux, NSJC son Fils,
Saint Jean à qui elle fut confiée en dernier !
En
complément de ce que vient de nous rapporter Saint Mathieu,
remarquez comment cette assertion est bien fausse : La
Sainte Vierge Marie […] n'était-elle pas libre ?,
remarquez en cette gravure ci-contre ce que tient Saint Joseph, dont
le vocable principal donné traditionnellement par l’Église est
Chef
de la Sainte Famille !, en sa main
gauche : une houlette !
À
quoi sert la houlette ?, à conduire le troupeau qui est confié
au pasteur !, ici donc le petit troupeau est la Sainte Famille,
il est confiée par le Seigneur Dieu à la garde et au gouvernement
de Saint Joseph son Pasteur, Chef infrangible et absolu !
Vous
êtes honnêtes ?, Lecteurs, alors comparez la femelle émancipée
qui sert d’exemple sur la couverture du livre de ces pauvresses et
l’image ci-contre !, elles qui disent que : La
Sainte Vierge Marie [est, devrait être le] modèle de toutes les
femmes !
Regardez-donc
la différence de tenue : l’une arrogante et L’autre
humblement posée
et les yeux sur son Maître Saint Joseph ; l’une les bras nus
et L’autre couverts ; tête découverte et l’Autre
couverte ; cheveux courts et l’Autre longs ; robe
outrageusement échancrée au col et L’autre bien remontée ;
habit quasiment au raz du cul et L’autre jusqu’à terre !
Qu’elles
nous disent pas autre
époque autre habillement !, il nous est
habituel de nous faire traiter d’arriérés ; que ces
pauvresses nous répondent à cette question bien simple qui ne veut
pas de faux fuyants : Si la TSVM vivait maintenant, serait-elle
habillée comme la pauvresse de la couverture de leur livre ?
Répondez-nous Oui,
oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal !
(Math.
5, 37)
Nous
les prévenons solennellement, NSJC sera bien plus sévère quant-aux
outrages faits à Sa Mère que quant-à ceux fait à Son encontre
même : d’avoir dit que la TSVM était une femme libre est
positivement blasphématoire, c’est un
blasphème que de se moquer de la sainte Vierge,
en disant qu’Elle serait libre, et donc conséquemment libérée,
soit révoltée contre la Loi divine !
2.C.1.d - Leur
orgueil leur occulte même leur contradiction !
→ Anne
Brassié et Stéphanie Bignon plaident pour leur [aux femmes] liberté
: Arrêtez par pitié de nous libérer.
Elles
sont tellement orgueilleuses qu’elles ne se rendent même pas
compte de la grossière contradiction contenu dans leur malicieux
trait !
Si
il faut cesser de les libérer (Arrêtez
par pitié de nous libérer), c’est
qu’elles auraient enfin compris le piège de Luciabel et qu’elles
réclameraient hautement leur réasservissement !
Pour :
hautement leur réasservissement :
Or,
il ne s’agit pas de cela, elles veulent uniquement conserver
leursdits acquis : Anne
Brassié et Stéphanie Bignon plaident pour leur liberté,
tout en prétendant hypocritement ne point en vouloir d’autres :
Arrêtez
par pitié de nous libérer.
C’est
exactement comme Lucifer, Il voulait être l’égal de Dieu (leur
liberté) qu’Il ne niait pas (le cessez
de se libérer) ! Cette libération
révolte Lui suffisait, Il ne voulait pas la pousser jusqu’à nier
Dieu !, soit Le tuer ! Il voulait rien qu’une égalité
(plaident
pour leur liberté) et pas plus, rien qu’être
l’égal de Dieu et non le dominer ou le supprimer (nier) ;
d’où le cris de Saint Michel Archange qui terrassa Luciabel :
Qui
est comme Dieu ?
2.C.1.e - Grossièreté
et stupidité, soit tout féminin dévoyé !
→ Foutez-nous
la paix.
Le
reste du paragraphe est d’une stupidité confondante, toute
féminine…, si dévoyée.
Le
paragraphe suivant sort du même tonneau, devant ne pas trop nous
étendre, réfléchissez en vous appuyant sur ce que nous avons déjà
dit.
2.C.1.f - Pas
à être entretenues, mais à être protégées !, quelle
logique confondante.
→ La
femme n'a pas à être entretenue […] par un mari. Elle doit être
protégée car elle donne la vie.
Là,
dans une violente contradiction interne, elles baissent encore plus
le masque !
Entretenir,
le être
entretenue, c’est évidemment protéger, le
être
protégée !
-- Entretenir :
B.− Tenir dans un état constant, garder à la même
intensité en alimentant, en prenant certaines mesures. Synon.
conserver.
-- Protéger :
1. Faire que quelqu'un ou quelque chose soit mis
à l'abri d'un danger, d'une agression, d'un risque quelconque.
Donc,
elles disent textuellement : nous,
les femmes, ne voulons pas être entretenues, mais entretenues !
Ou
bien, redit ainsi : nous,
les femmes, ne voulons pas être protégées, mais protégées !
Mais
maintenant, plus grave que cette confusion mentale sévère que nous
venons de voir, c’est la révolte même qui est déclarée, en
effet elles disent donc exactement ceci, et réécrit pas nécessité :
La
femme n'a pas à être sous
la dépendance [entretenue] de son mari !
C’est
donc bien la libération de la femme, et totale car en la chose point
de milieu, qui est hautement et jalousement déclarée par ces
révoltées d’Anne
Brassié et Stéphanie
Prévot, et que promeut très scandaleusement le site Le
Salon Beige.
Pie
XI nous dit : Nombre
d’entre eux poussent l’audace jusqu’à parler
d’une indigne servitude d’un des deux époux à l’autre ;
ils proclament que tous les droits sont égaux entre époux ;
estimant ces droits
violés par la « servitude »
qu’on vient de dire, ils
prêchent orgueilleusement une émancipation de la femme,
déjà accomplie ou qui doit l’être.
Saint
Paul nous dit : Je
t’adjure, devant Dieu et Jésus-Christ, qui doit juger les vivants
et les morts, par Son avènement et par Son règne, prêche la
parole, insiste à temps et à contretemps, reprends, supplie,
menace, en toute patience et toujours en instruisant. Car
il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine
doctrine ;
mais ils amasseront autour d’eux des docteurs selon leurs désirs ;
et éprouvant aux oreilles une vive démangeaison, ils
détourneront l’ouïe de la vérité, et ils la tourneront vers des
fables.
Tout
le reste du texte de l’article étudié est toujours dans la même
note et a déjà été bien dénoncé…
2.D - Profitons-en
pour dénoncer l’hypocrisie au sujet de la théorie du genre.
Depuis
un bon moment nous voulions dénoncer l’immense hypocrisie des
gents dits de bien qui manifestent contre ladite théorie du genre.
Et,
notre titre devait être : Tartuffes !,
vous manifestez contre la théorie du genre installée par l’Église
depuis plus de cinq cents ans !, nous
allons le reprendre ensuite.
Mais
comme ici nous venons de fait de dénoncer la même hypocrisie qu’en
à une prétendue cessation de la libération de la femme, et
qu’ainsi nous avons dit le principal, nous nous contenterons de ces
simples réflexions que nous avions écrites :
2.D.1 - Tartuffes !,
vous manifestez contre la théorie du genre installée par l’Église
depuis plus de cinq cents ans !
2.D.1.a - Qu’est-ce
que cette théorie du genre ?
Point
de savanteries, surtout pour ce genre d’immondices !
La
théorie du genre est, comme son nom l’indique déjà, rien
qu’unedite théorie, et donc certainement point une Vérité ;
et comme toute théorie de ce genre, c’est qui est tout le cas de
le dire, elle a évidemment Luciabel comme inspiratrice !
Ladite
théorie du genre, c’est passer de la Vérité révélée à un
mensonge qui consiste à dire, à la grosse brosse, que : 1, les
sexes sont égaux, et 2, que conséquemment l’on peut les
intervertir, ou les changer.
Ladite
théorie du genre, c’est une des plus horribles applications du
oui,
mais non, parce que s’adressant à des
enfants, de très jeunes enfants ; en effet, pour Luciabel, tant
qu’à pervertir, autant subvertir le plus tôt possible afin de
cette révolution (révolte) soit le plus possiblement profonde et
irréversible !
Avant
de voir quand et comment les Ecclésiastiques de l’Église
Catholique (EÉc), et non l’Église Elle-même comme vous l’aurez
pensé si vous êtes honnêtes, ont planté la graine de la théorie
du genre, de l’arbre de la libération de la femme, voyons ce qui
est plus visible maintenant.
2.D.1.b - Ils
ont des yeux, et ne veulent pas voir qu’ils chérissent cette
théorie !
Ces
tartuffes dedits catholiques, ou cathos comme ils disent, sont d’une
stupidité affligeante !
Les
moins avancés en pourrissement sont vent debout, soit raidis contre,
ladite théorie du genre, et que voyez-vous partout ?, et même
dans ces milieux dits préservés ?, des femelles jouant aux
Hommes : cheveux court, au vent, en pantalon le bien plus
souvent, et sur la place publique s’occupant de la chose publique
et privée, etc. ; soit bien contre-nature, tentant d’assimilé
le genre Masculin !, soit donc bien la confusion des genres…
En
complément, voir :
Comme
vous allez le voir sur la photo
ci-dessous, ce sont que des femmes, en effet il n’y a plus d’Hommes
et pour s’en convaincre il suffit de regarder ce dadais pommadé
d’Alain Escada avant-dernier à droite, qui haranguent desdits
Hommes, et des femelles débauchées comme elles !, soit donc
bien la confusion des genres puisque seul un Homme peut prêcher,
parler à un Homme !, et à Ses femmes (épouse et filles,
etc.).
Confusion
et équivalence des sexes ?, mais regardez !, cesdites
femmes ont changé de genre !, elles sont comme des Hommes !,
habillées pareil, parlant en public pareil, travaillant pareil,
votant pareil, etc.
Et,
comme vous le voyez sur cette photo, elle tiennent même la place
centrale, distribuent les rôles, donnent les bon-points ; et
les minets, surtout le Alain Escada, sont rien que leurs acolytes !,
leur faire-valoir…
-- Acolytes :
II.− P. ext., fam. et parfois péj. Compagnon
et serviteur habituel d'une personne à laquelle il est subordonné;
aide subalterne.
Confusion
et équivalence des sexes ?, mais regardez !, elles
tiennent la dragée haute aux Hommes, si
tu me remets à ma place, je te largue !
2.D.1.c - C’est
les EÉc qui inventèrent la théorie du genre !
Ce
en se penchant sur la femme afin de dire l’enseigner, la guider et
la protéger, alors que c’est à l’Époux uniquement de le
faire !, Ils mirent en terre la théorie du genre, confusion des
sexes par la confusion des missions.
Ils
violèrent l’Autorité maritale de Droit divin et exclusive de
l’Époux sur toute Sa Maison, et particulièrement sur son épouse !
Ainsi
Ils en vinrent à gonfler d’orgueil l’épouse en la troublant, à
l’émanciper de son Époux en l’a rattachant au prêtre (viol
et/ou adultère) afin qu’elle pense pouvoir opposer une volonté à
la Volonté sacrée de son Époux, et ainsi, Ils en virent à dire
autoriser la séparation de corps (Concile de Trente) pour libérer
la femme de la prétendue tyrannie ou du prétendu dévoiement de son
Époux !
Pour
vous en convaincre, mais uniquement si vous le voulez, ne pouvant
toujours nous répéter et ainsi allonger ce document, vous lirez
profitablement ces renvois entre de nombreux autres :
2.E - Concluons
pour l’instant.
Lecteurs,
nous sommes tout à votre disposition pour tout complément demandé,
ou interrogation posée honnêtement…
Lecteurs,
voulant que ce document soit publié pour la Saint Joseph, Chef de la
Sainte Famille et protecteur des Chefs de Famille, nous nous sommes
peu relu, aussi ce document est sujet à corrections, si celles-ci
devaient être autres que des fautes, soit donc des modifications de
texte, vous en serez avertis par les commentaires ; pour votre
gracieuse compréhension, merci !
Chers
Chefs et futurs Chefs de Famille, comme dit plus haut, ce jour c’est
la Saint Joseph, le 19 mars ! Dans le temps cette fête était
d’obligation, elle était de 1ère classe, ainsi elle
rompt le carême uniquement ce jour, ce pour autant donc que l’on
la célèbre très réellement et dignement ! Aussi
tout-à-l’heure (10.00), nous, nous la célébrerons (lecture de la
Messe, confession et communion spirituelle, etc.). Nous prierons
ardemment Saint Joseph Votre Saint Patron à Vous Chefs de Famille,
et Le nôtre aussi, pour Vous tous !
Chers
Lecteurs, Chefs et futurs Chefs de Famille, que le Bon Dieu Vous
bénisse tous, Vous et Vos Maisons !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
2.F.1.a - Quand
les "sentinelles de l'invisible" poussent leur coup de
gueule.
Entretien
avec Anne Brassié et Stéphanie Bignon, auteur de Cessez de nous
libérer. Petit traité pour les femmes actuelles. Avec une préface
(très belle) d'Yves Meaudre.
Pourquoi
ne voulez vous pas, Anne Brassié et Stéphanie Bignon, comme les
autres, être libérées ?
Parce
que cette libération est un énorme mensonge et un asservissement
déguisé. La main qui met en mouvement le berceau met en mouvement
le monde, disait Gertrud Von Lefort. Certains veulent asservir ce
pouvoir immense, en l'asservissant à l'économique, on fait de la
femme un agent économique, ce qui n'est pas sa vocation première.
C'est pour cela que le principe de parité est irréalisable. La
vocation de la femme, c'est le don gratuit, celui de donner la vie,
de mettre au monde l'enfant, de l'élever, l'éduquer et lui donner
tout l'amour dont il a besoin. C'est aussi défendre la vie.
Marie Noël le disait très joliment, ce n'est pas un travail vite
fait que d'aimer » !
Une
étude américaine vient de chiffrer le travail d'une femme à la
maison, cela donne 72 h. L'horaire syndical est largement dépassé !
Malheureusement
la condition féminine dépend de l'économie actuelle qui voit les
pères recevoir des salaires de plus en plus limités pour régler
des loyers en augmentation régulière… Les mères sont donc
obligées de rapporter un second salaire.
L'horreur
économique selon l'expression d'une journaliste aura aussi
pour conséquence l'euthanasie de plus en plus de vieillards qui
coûtent trop cher à la société. Mère Térésa ne recevait pas de
salaire pour assister les mourants.
Nous
ne voulons pas être libérée de cette charge, celle de défendre la
vie depuis la conception jusqu'à la dernière seconde.
Quel
est le fil rouge du livre ?
Montrer
que, dans le même temps Dieu est chassé de la sphère publique pour
être enfermé dans la sphère privée et que la femme subit le sort
inverse : elle est sortie de force de son foyer pour être jetée
dans le monde, tout cela au prétexte de tous nous libérer ! Les
conséquences visibles en sont une société blessée qui anéantit
le véritable génie féminin. Les femmes l'ont si bien compris que
les mères sont descendues dans la rue pour manifester leur colère.
Qu'avez
vous appris en entreprenant ce livre ?
A
notre grande surprise, tous les organismes étatiques comme le
Planning Familial, en France ou les organismes internationaux,
l'ONU, l'UNESCO ou l'OMS imposent des programmes mortifères,
limitations des naissances et avortements, et développement de
la théorie du genre. Comme tous les apprentis sorciers, le monde soi
disant meilleur qu'ils veulent promouvoir débouchent sur un monde où
l'on tue les petites filles. Des villages entiers indiens et chinois
se retrouvent sans femmes après des programmes contraceptifs.
Nous
avons appris aussi que l'asservissement sexuel de la femme n'avait
jamais cessé, bien au contraire. La sexualité débridée exige une
femme libérée des contraintes de la maternité, la femme objet.
« On asservit les peuples plus facilement avec la pornographie
qu'avec les miradors » nous a prévenus Soljenitsyne. Le but de
Judith Bultler est révolutionnaire. Son livre s'appelle: « Trouble
dans le genre. Pour un féminisme de la subversion. » Pervertir
la femme c'est désaxer la société tout entière, la maternité et
la paternité, l'autorité et bien sûr le sacré puisque la femme
est co créatrice. C'est elle qui relie notre monde au ciel et qui
transmet la foi.
Comment
résister ?
Il
faut se réapproprier son identité, sa vie et redevenir chrétien.
Les femmes sont « les sentinelles de l'invisible »
disait Jean Paul II et nous le rappelle Paul Evdokimov, dans un
beau livre intitulée, La femme et le salut du monde, elles doivent
s'opposer aux forces destructrices: « Aujourd'hui, face au
matérialisme, à la sécularisation, face à la pornographie et à
la drogue, face à tous les éléments de décomposition démoniaque,
de violence et de guerre, c'est la femme qui est prédestinée à
dire non pour arrêter l'homme au bord de l'abîme et lui montrer sa
vraie vocation des mystères de Dieu. »
Michel
Janva - Posté le 13 mars 2014 à 10h33.
2.F.1.b - Que
Najat et sa clique laissent les femmes tranquilles
Quand
la République laissera les commandes de ses armées à une jeune de
fille de 17 ans, elle pourra avoir une légitimité à venir nous
parler de libération de la femme. En attendant, qu'elle cesse de les
libérer.
Dans
un sympathique opuscule, Anne Brassié et Stéphanie Bignon
rappellent certaines réalités basiques quant au rôle de la femme
au sein de la société. Alors que l'on parle aujourd'hui d'égalité,
tout en réduisant la femme à un object de jouissance, elles
rappellent la complémentarité. La libération de la femme ? Et pour
quoi faire ? La Sainte Vierge Marie, Mère de Dieu, modèle de toutes
les femmes, n'était-elle pas libre ? Le christianisme est riche de
ces femmes qui ont marqué leur temps : Stes Clotilde, Geneviève,
Hildegarde, Blanche de Castille, sans oublier Jeanne. Anne Brassié
et Stéphanie Bignon plaident pour leur liberté :
"Arrêtez
par pitié de nous libérer. Foutez-nous la paix, vous nous libérez
à notre corps défendant. Mon cors est à moi, disent les
féministes. Utilisons le même slogan : notre corps est bien à nous
et nous entendons enfanter et materner sans limite…
Si
l'on rend sa force à la femme, c'est toute la société qui se
redresse. Nous ne sommes pas un rouage du monde des machines de
l'homme. Nous animons ce monde, nous lui donnons son âme et sa
raison d'être.
Il
va falloir changer de vocabulaire.
Le
salaire féminin n'est pas un sujet. La femme n'a pas à être
entretenue ni par un patron ni par un mari. Elle doit être protégée
car elle donne la vie.
L'égalité
est une tarte à la crème, une énorme machine à abêtir nos
contemporains. Elle n'existe pas. Nous sommes égaux devant
Dieu, mais sur la terre nous avons des fonctions distinctes à
assumer."
Michel
Janva, Posté le 13 mars 2014 à 09h48
♣
Nous venons d’ajouter une précision très importante, tout le retrait commençant par :
RépondreSupprimerPour : si effacée, si humble, si totalement soumise :
Voilà que je viens de lire avec profit votre article, et il se trouve vraiment être le parfait complément aux remarques que j'ai faites à propos d'un article dans Rivarol du même acabit que les deux que vous analysez ici, et portant donc sur le livre "Cessez de nous libérer!".
RépondreSupprimerTout est dit, et pourtant il est bien malheureux que ce mensonge, conséquence de tant d'autres, qui est de dire que la femme donne la vie, soit aussi courant que peu relevé et dénoncé.
De plus, vous notez une chose intéressante. Au delà de la puissante contradiction qu'expriment les auteurs de ce vicieux livre, c'est-à-dire, ne pas vouloir être libérées, alors qu'elles se réclament libres, il y a surtout, implicitement, le refus de cette liberté extrapolée, trop explicite et trop voyante, en fin de compte, pas assez malicieuse, afin de préserver leur liberté et leur révolte déjà acquise. Cet excès les menace, car il peut produire une réaction inverse, dont on ne sait jusqu'où elle irait pour rétablir la vérité, les valeurs véritables.
En cela l'on peut considérer l'une de cesdites Femen, fille tant impure et affichée, qu'à elle seule peut heureusement révulser de nombreuses âmes. Le mensonge est si grotesque qu'il ne passe que très peu, or qu'une de cesdites "bonnes" femmes, se réclamant Catholique etc, agissent parfaitement camouflées sous apparence de bonnes épouses et chastes jeunes filles aux yeux des aveugles et ignorants. Ne voyant pas toutes ces allures, ces jeans, décolletés, cheveux libres, etc, etc... Et ne se rendant pas compte non plus, de toutes ces disputes, insubordinations, et conséquemment en un peu plus de temps, ces séparations-divorces.
La tromperie, voilà le but du démon, or il est bien plus sûr de tromper en étant caché.
Chers Lecteurs,
RépondreSupprimerCi-dessus, nous épinglons copieusement les errances criminelles du site Le Salon Beige !, et de ladite Église catholique dans la foulée.
Or, ce jour, ce site vient de publier une autre perle de mensonge !, veuillez lire le texte de Le Salon Beige au préalable :
Début extrait
----------------------
Le couple, homme et femme ensemble, reflète l'image de Dieu
Durant l'audience générale hier, le Pape François a conclu son cycle de catéchèse consacré au mariage, un sacrement, a-t-il dit,
"qui nous porte au coeur du projet de Dieu, fait d'alliance et de communion avec son peuple et avec chacun de nous. Dieu a crée l'homme à son image, homme et femme il les a créés... L'homme quittera ses parents pour s'unir à une femme et avec elle ne faire plus qu'un. Le couple, homme et femme ensemble, non séparément, reflètent l'image de Dieu...
Fin extrait
----------------------
Source : http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/04/le-couple-homme-et-femme-ensemble-reflète-limage-de-dieu.html
Ainsi donc, voici ce que dit ce texte particulièrement stupide, pire, luciabélien :
1er mensonge éhonté :
-----------------------------------
L’Homme célibataire, ou l’enfant, et pour la femme de même, selon ce texte ne reflète pas l’Image de Dieu, en effet il dit bien, ce tordu dedit Pape, dit François 1er, et Le Salon Beige de répéter l’ânerie : « ensemble, non séparément » !
Nous pensons que de développer ceci serait une insulte pour l’Homme de bonne volonté !
Second mensonge éhonté :
-----------------------------------
Or, ceci est encore plus faux !, en effet, seul l’Homme, marié ou pas !, reflète seul l’Image de Dieu !, et non la femme, mariée ou pas !
En effet, Saint Paul nous le rappelle ainsi : « L’homme ne doit pas se voiler la tête, parce qu’il est l’image et la gloire de Dieu ; mais [ou ‛tandis que’, selon les traductions !] la femme est la gloire de l’homme. Car l’homme n’a pas été tiré de la femme, mais la femme a été tirée de l’homme ; et l’homme n’a pas été créé pour la femme, mais la femme pour l’homme. (I Cor., XI, 7-9). »
Saint Paul dit bien : « mais » !, « mais la femme », ceci veut donc dire en bon français que la femme, mariée ou pas, n’est pas l’Image de Dieu ; tandis (mais) que l’Homme, marié ou pas, est : « l’image et la gloire de Dieu » !
La femme, mariée ou pas, n’est jamais et ne pourra jamais être l’Image, et la gloire de Dieu ; mais elle ne peut être que l’Image, et la gloire, de l’Homme !
En complément veuillez lire : DP-07, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point 7.D.1 - L’épouse doit servir son époux, et non point Dieu.
Adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/09/restaurer-la-dignit-de-la-femme-par-sa.html
Pour la Vérité,
QJSIOJC