Du
19.03.2015. Version PDF.
Actualisé : mar. 7 avr. 2015,
17.22.
Table
de ce document, RH-2015-…
1
- Cher Sieur Jean Mahezic,
l’Époux-Père est l’Image la plus noble de Dieu le Père !
1.A.1.a
- Vous remercier
de vos commentaires.
1.A.1.b
- Vous raconter
nos dernières mésaventures.
1.B
- Oui !, tout
n’est rien qu’une question d’Autorité !
1.B.1
- Rien ne tient
sans Autorité, même chez l’Autre, le Singe de Dieu…
1.B.2
- Les deux
étendards !, le Blanc et le noir.
1.B.2.a
- Ou le Beau, le
Bien, le Blanc ; ou l’abject, le mal, le noir !
1.B.2.b
- Deux Roys,
deux étendards, deux promesses.
1.B.2.e
- Oui !,
nous avons forcément besoin d’une Autorité !
1.B.3
- Apparat dont on a
toujours entouré l’Autorité royale.
1.C
- Apparat dû au
plus grand des Roys précités.
1.C.1.b
- Apparat dont
donc doit être entouré l’Époux-Père.
1.C.2
- Il rentre de Son
devoir, et entend être délicieusement servi !
1.C.2.a
- Déclarée
libre, elle en vient à parler de viol conjugal !
1.C.2.b
- Les divers
services de la Maison sont l’apanage exclusif de la féminie !
1.C.2.c
- L’apanage
exclusif de toute la féminie !
1.C.3
- Alors, plus
particulièrement venons-en au service de table.
1.C.3.a
- Le service de
table en les tâches ménagères.
1.C.3.c
- Les femmes
debout au service, ou assises à table.
1.C.3.d
- Mise à table
de la maisonnée et des convives, ordonnancement.
1.C.3.e
- Autour de la
part du voyageur, du pauvre vagabond…
1.C.3.f
- Autour de la
bénédiction en général.
1.C.3.g
- Autour de la
gestualité de la bénédiction, et de l’imposition.
1.C.3.h
- Autour de la
bénédiction de la table.
1.C.3.j
- Et !,
Honni soit qui mal y pense !, ou mal en dit !
1.D
- Concluons rien que
pour l’instant…
1.E.1.a
- Jean Mahezic,
1 décembre 2014 22:03
En
la Saint Joseph,
Roy de la Très-Sainte Famille,
Patron des
Roys de Famille,
le jeudi 19 mars 2015 ;
ce document Lui
est bien confié.
Cher
Sieur Jean Mahezic, chers Lecteurs,
Quel
beau jour pour la publication de ce document !, la Saint
Joseph !, Patron notamment des Roys de Famille !, oui !,
ce document Lui est spécialement dédié et confié…
Cher
Sieur Jean Mahezic, vous avez déjà mis sur notre site, Œuvre
pour la Restauration de la Famille par l’Autorité ; de
l’Époux, du Père (ŒRFAEP), trois
commentaires bien réconfortants, et retranscrits en fin : Nos divers commentaires…
Et
en le dernier vous nous avez posé une question bien précise :
…
quand vous dîtes que les femmes ne mangeaient pas à table, cela
comprend-il les filles aussi ? Et si oui, jusqu'à quel âge ?
Avant
de répondre à votre question nous désirons…
1.A.1.a - Vous
remercier de vos commentaires.
Pour
cela nous ne nous étendrons pas car ce pourrait être gênant ;
mais tout de même, sachez que nous avons été touchés par
l’amabilité de vos propos et par votre bel acquiescement à la
ligne de défense de la Famille que nous tâchons d’exposer de
notre mieux.
Oui,
en ce jour nous demandons à Saint Joseph Roy de la Très-Sainte
Famille de transporter au Ciel, aux Pieds de notre Dieu d’Amour
notre reconnaissance…
1.A.1.b - Vous
raconter nos dernières mésaventures.
Chose
que nous nous sommes empressés de faire…, et patatras !,
instabilité des choses d’ici-bas et particulièrement de Google
opérateur de Blogger qui héberge notre site, l’éditeur se mit
comme à trembler, et ayant été déjà échaudés sur d’autres
pages nous avons voulu rapidement clore cette édition, mais
trop-tard, la page avait disparu !
Lorsque
nous tentâmes de la rappeler, un message peu engageant
apparaissait : Désolé,
la page que vous recherchez dans ce blog n'existe pas.
Pas
totalement de fait, mais son adresse avait changé !, si bien
que nous devrions rééditer chacun de nos documents qui renvoie vers
la disparue, chose quasiment impossible… ; nous ne savons que
faire, et, dans l’urgence nous avons mis un avertissement dans le
message paraissant au dessus de chaque page… Patience !…
Que
de temps perdu et que de tracas nous a déjà procuré Blogger !
1.B - Oui !,
tout n’est rien qu’une question d’Autorité !
Pour
nos nouveaux lecteurs, vous qui avez beaucoup lu de nos documents,
cher Sieur Jean Mahezic, vous conviendrez que l’on ne peut énoncer
des choses graves (sérieuses) sans en amener le sujet, et comme il
est impossible de réécrire ici l’ensemble de notre étude où
pourtant tout y est bien copieusement dit, étayé et prouvé, nous
nous contenterons d’un nécessaire survol ; aussi veillez
accepter ce petit résumé.
1.B.1 - Rien
ne tient sans Autorité, même chez l’Autre, le Singe de Dieu…
Ayant
mis comme requête sur internet restaurer
l'autorité, la première présentation fut
Ecoles
: un plan du gouvernement pour restaurer l’autorité des
professeurs, nous pourrions parler du cocasse
de cette prétention quant-aux enfants mais ceci nous disperserait
pour l’instant, retenons que les collabos de l’Autre, Luciabel ou
Satan, prétendent à une Autorité et que cettedite Autorité
serait à restaurer
en les écoles de la Ripoublique.
Tout
aussi, il est évident que pour la préservation du bon conducteur et
de ses conduits, l’on doive imposer (Loi) de ne pas dépasser à
l’atteinte du sommet d’une côte ; ainsi :
→ l’absence
de répression (punition) de l’Autorité est bien effectivement une
incitation à l’infraction,
→ la
répression (punition) du contrevenant à la Loi est la réponse
charitable pour l’ensemble de la société à cette infraction !
Ainsi
donc, toute société (Église en l’Ordre moral, État en l’Ordre
civil, Famille en l’Ordre domestique) a besoin d’une Autorité
(Pape, Roy, Époux-Père) qui doit édicter Sa Loi et qui doit par
Charité pour cet Ordre réprimer (punir) l’infraction !,
sinon c’est l’anarchie.
Et
même l’Autre ne peut accepter l’anarchie car ce serait la
destruction de son royaume ; alors ici-bas, là où Il ensemence
la révolte, c’est uniquement dans le camp de Dieu (cf. avec Ève)
afin de faire ensuite ses emplettes d’Âmes : péché originel
et mortels suivants, perte du Ciel, réprobation éternelle…
Pour :
et là où Il ensemence la révolte :
Le
bon grain et de l’ivraie : Il
leur proposa une autre parabole, en disant : Le royaume
des cieux est semblable à un homme qui avait semé du bon
grain
dans son champ. Mais, pendant que les hommes dormaient, son ennemi
vint, et sema de l’ivraie
au milieu du blé, et s’en alla. (Mat.
13, 24-25)
Et,
remarquez encore une fois, ce comme bien vu en tous nos documents,
que le oser
ou osez
est le mot mortifère le plus commun dans les slogans luciabéliens !
Le oser
ou osez
doit alerter dramatiquement notre Âme, lorsque nous l’entendons,
car ce qui l’enveloppe n’est rien qu’un message de Luciabel !
Pour :
le oser
ou osez
est le mot mortifère :
Quelques
exemples : Osez
l'infidélité !, Osez
tout essayer !, Osez
vous affranchir !, Osez
le féminisme !, Osez
vous affranchir des tabous !, Les
filles osez les sciences !, soit Osez
tout les désordres !, etc.
1.B.2 - Les
deux étendards !, le Blanc et le noir.
1.B.2.a - Ou
le Beau, le Bien, le Blanc ; ou l’abject, le mal, le noir !
→ Il
n’y a qu’une Autorité suprême, hors le temps, le Seigneur Dieu,
et son étendard est Blanc,
couleur de l’Âme pure, de l’Innocence, de la Lumière, etc.
En
chrétienté, les drapeaux des Roys étaient majoritairement à fonds
blancs, celui de France fleurdelisé…
Pensez
aussi, à la blancheur éclatante, lumineuse et transfigurante du
Ciel, des Anges, des Saints : Et
Il fut transfiguré
devant eux : Son visage resplendit comme le soleil,
et Ses vêtements devinrent blancs
comme la neige. (Mat.
17, 2).
→ Il
existe une autredite autorité, en le temps, Luciabel, et son
étendard est noir,
couleur de l’Âme séparée de Dieu, en état de rébellion (péché
mortel), de la confusion, de l’égarement, de la cécité, et qui
souvent transparaît jusque en la couleur de la peau.
Pour :
transparaît jusque en la couleur de la peau :
Hors
la chrétienté, les drapeaux étaient et sont à fond souvent noirs,
pensez par exemples aux anarchistes de tous poils, du Mahomet, à
celui de la fameuse brigades de basses œuvres de Luciabel :
Drapeau
de l'État islamique ; etc.
Pensez,
et ce sans parler des souffrances et odeurs nauséabondes, à la
noirceur oppressante de l’Enfer, à la noirceur des démons et
particulièrement de Luciabel, noirceur à faire mourir d’effroi le
plus ébène des noirs sur terre…
1.B.2.b - Deux
Roys, deux étendards, deux promesses.
Ainsi
donc, il y a, et rien que, deux Royaumes :
→ l’Un
Fontal, Beau et Bon, celui du Seigneur Dieu,
→ l’autre
opposé par révolte au premier, celui de Luciabel.
Deux
royaumes, chacun son Roy et ses promesses :
→ Celui
du Seigneur Dieu, Dieu le Père, dont le Roy est Notre-Seigneur
Jésus-Christ (NSJC) (Royauté sociale de NSJC,
par acquisition, rédemption), et qui promet aux Justes
(justification) les Béatitudes éternelles en l’au-delà qui
procureront les plus grandes jouissances (longueur, largeur, hauteur
et profondeur) bien indescriptibles,
→ celui
du révolté, Luciabel ou Satan, Roy par usurpation, et qui promet
tout (mais donne rarement, ou sinon avec tant d’arrières goûts)
pour ici-bas, mais qui donnera bien sûrement les pires (longueur,
largeur, hauteur et profondeur) souffrances bien incommensurables en
toute l’Éternité !
Pour :
Luciabel ou Satan, Roy par usurpation :
Mais
Lui [Jésus],
ayant vu leurs pensées, leur dit : Tout royaume
divisé contre lui-même sera dévasté, et la maison tombera sur la
maison. Si donc Satan est aussi divisé contre lui-même, comment son
règne
subsistera-t-il ? (Luc 11, 17-18)
Satan
nous fait croire pouvoir être notre Dieu sur terre afin de nous
traîner en esclavage en enfer ; le Bon Dieu nous veut Dieu
(divinisé) au Ciel (Cohérité d’avec NSJC) et pour cela Il nous
demande de nous renoncer ici-bas et de Le suivre.
Étant
donc appelés à la cohérité d’avec NSJC, nous avons de par notre
liberté, un choix qui nous est posé ici-bas entre ces deux
étendards : – soit désirer le Seigneur Dieu, – ou
soit refuser le Seigneur Dieu !
1.B.2.c - Soit
désirer le Seigneur Dieu :
L’une
Autorité promet tout pour l’au-delà !, et est fidèle…
Assistés
par la Grâce incommensurément
aimable, et prévenante et infaillible de notre Dieu d’Amour, nous
savons que le Ciel ne se gagne maintenant, ce de par la révolte
d’Ève contre l’Autorité d’Adam, que dans l’effort et les
larmes.
Pour :
la révolte d’Ève contre l’Autorité d’Adam :
Ceci,
Le
Seigneur dit : « Mes pensées sont des pensées de bonheur, non
de malheur… »,
est donc maintenant à entendre comme une promesse pour l’Éternité ;
bien qu’ici-bas cela puisse être demandé et accordé.
1.B.2.d - Soit
refuser le Seigneur Dieu ;
L’autredite
Autorité promet tout, rien qu’ici-bas !, et ment…
Les
sectateurs de Luciabel, orgueilleux qu’ils sont croient tout ce que
le Menteur leur promet, et même ici-bas ils sont les plus souvent
plus que grugés, et leurs tourments commencent finalement au moment
où ils Lui ont livré peu ou prou, sachant que Satan en voudra
toujours plus, leur pauvre Âme, et dans l’au-delà, et il n’auront
que des tourments éternels et sans soulagement aucun…
1.B.2.e - Oui !,
nous avons forcément besoin d’une Autorité !
C’est
ce que nous répétons inlassablement, et ce depuis le tout début de
la transcription de notre étude, et qui du reste est même compris
dans le nom de notre Œuvre, l’Œuvre
pour la Restauration de la Famille par l’Autorité ; de l’Époux,
du Père (ŒRFAEP), et ce en variant
l’énoncée, oui ! Tout
n’est rien qu’une question d’Autorité !
Pour :
tout début de la transcription de notre étude :
Donc,
en reprenant aussi ce que nous écrivions au même point et tout au
début, la
seule et unique question doit être : est-ce l’Autorité ?,
légitime donc, oui ou non ?
Souvent
la question vient, de
quelle autorité me demandez-vous ceci ?,
ou me
commandez-vous cela ?, ou
m’interdisez-vous,
cette chose ?
La
seule et essentielle question ici est donc : avez-vous
Autorité ?!
Nous
n’allons pas parler, car en en ayant déjà tellement parlé :
– de
l’État qui avait une certaine Autorité, et qui maintenant est
forcément illégal, nous devrions donc dire plus exactement qu’Il
n’a pas Autorité,
– de
la véritable Église, donc non l’apparente post-Vatican d’eux,
qui avait aussi en sa sphère une certaine Autorité.
Nous
allons parler que de la seule et unique et toute puissante et
fondamentale Autorité forcément légitime et totalement
incontestable, Elle seule ! car fondamentalement de Droit divin,
qu’il existe sur terre : Celle de l’Époux-Père !,
Autorité tout aussi infrangible
qu’inaliénable,
inamissible qu’inabdicable.
1.B.3 - Apparat
dont on a toujours entouré l’Autorité royale.
L’apparat
qui était dû au Souverain pontife ou au Souverain d’un pays, le
cérémonial qui régissait tout contact avec ces Personnes est peu
connu de nos jours. La dignité était toujours abordée avec
beaucoup de réserve, d’humilité plus ou moins affichée du reste
(hypocrisie donc), de respect.
Il
est évident qu’il s’agit de NSJC, mais lisez ce que disait Saint
Jean le Baptiste au sujet de l’Autorité de NSJC : Il,
Jésus,
vient après moi, Celui qui est plus puissant que moi, et je ne suis
pas digne de délier, en me baissant, la courroie de Ses sandales.
(Marc 1, 7)
Nous
disions qu’il est évident qu’il s’agissait de NSJC !, or,
Lui-même a dit que toute Autorité sur terre vient du ciel, de Dieu
le Père : Que
toute personne soit soumise aux autorités supérieures : car il
n’y a pas d’autorité qui ne vienne de Dieu, et celles qui
existent ont été instituées par Dieu. C’est pourquoi celui
qui résiste à l’autorité résiste à l’ordre établi par
Dieu ;
et ceux qui résistent attirent la condamnation sur eux-mêmes. (Rom
13, 1-2)
Ainsi
donc, d’une certaine façon, toutefois bien certaine, nous devons
entourer toute Autorité sur terre du même respect que nous
donnerions à NSJC s’Il devait se présenter à nous !
Ce
qui justifie donc l’apparat dû aux divers Souverains précités…
1.C - Apparat
dû au plus grand des Roys précités.
Et
là commence donc réellement notre réponse à votre question :
…
quand vous dîtes que les femmes ne mangeaient pas à table, cela
comprend-il les filles aussi ? Et si oui, jusqu'à quel âge ?
1.C.1.a - Préliminaire
à cette réponse.
Que
l’Homme, Mâle donc, marié ou non :
→ seul
Il est à l’Image de Dieu, est Sa Gloire, et est à Son service ;
tandis que la
femme n’est que
l’image de l’Homme et non celle de Dieu, elle est que Sa Gloire
et non celle de Dieu, et qu’à Son service et non à celui de
Dieu ;
→ seul
Il est fait pour Dieu,
tandis que la femme l’est
pour l’Homme,
→ seul
Il reçu le Souffle de Vie
de Dieu, la femme non !
Pour :
[pour tout ceci] :
Que
l’Homme, établi, marié, Époux-Père donc :
→ seul,
de par Sa prise de femme, Il est au-dessus de toute Autorité sur
terre, ce au point que même le Seigneur Dieu ne peut aller contre
Lui : Le
pouvoir du père est celui qui, dans l’ordre naturel, offre au plus
haut degré les caractères d’une institution divine. Il se classe
au-dessus de celui du souverain (Mgr
Henri Delassus).
L’Époux-Père, le Chef de Famille, se
classe au-dessus de celui du souverain
temporel (Roy de France, etc.) et
spirituel (Pape ou autres dignitaires), il va sans dire…
→ seul,
et encore de par Sa prise de femme, à l’exclusion donc des Papes
ou autresdits dignitaires et Roys ou autresdites Autorités, Il est
l’Image la plus parfaite de Dieu, parce que non revêtu de
l’Autorité comme eux, Il La possède congénitalement (de par
conception) : Il
n’y a que l’autorité paternelle dont on n’est pas revêtu,
dont rien aussi ne saurait dépouiller,
et que celui-là même en qui elle réside ne peut abdiquer. C’est
la seule qui soit le plus complètement possible à l’image de
l’autorité divine. (Mgr
d’Orléans)
→ seul
encore, et toujours de par Sa prise de femme, Il possédé et
la Cléricature et
l’Empire : Il,
l’Époux-Père,
est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire (Mgr
Jean-Joseph Gaume).
1.C.1.b - Apparat
dont donc doit être entouré l’Époux-Père.
Si
donc les Papes et Roys, ou autresdits dignitaires, doivent être
comme de Droit (il est Droit que) entourés de tant d’apparat, de
prévenance et de service ; alors donc de quel apparat,
prévention et crainte, doit (devait, devrait) être encore plus
entouré la plus haute Dignité sur terre qu’est L’Époux-Père !
Pour :
donc de quel apparat, prévention et crainte :
Si
des fantoches comme notre Mollusque 1er, notre François
Hollande 24ème président de la Ripoublique, se font
servir par une cour que peut-être même pas des Roys comme Louis XIV
avaient, et certainement pas des Saint Louis, il est plus que Droit,
et s’il y a Droit il y a donc devoir, que l’Époux soit
magnifiquement servi par Son épouse, Sa servante…
Pour :
soit servi par Son épouse, Sa servante :
Elle
Lui, son Époux, doit l’allégeance, la crainte amoureuse, le
respect, la déférence, etc., tout ceci comme vu notamment dans les
renvois précités, et en toute notre étude…
1.C.2 - Il
rentre de Son devoir, et entend être délicieusement servi !
Nous
n’avons pas oublié votre question, nous sommes proches de la
réponse.
1.C.2.a - Déclarée
libre, elle en vient à parler de viol conjugal !
Il
est vrai que depuis bien longtemps la femme toute pleine de sa
révolte bien luciabélienne ne veut plus servir :
Elle
ne veut plus servir son Époux, mais bien n’importe quel Homme
comme serveuse de restaurant par ex.
Elle
ne veut plus être entretenue par son Homme, mais bien par sondit
patron.
Elle
ne veut plus enivrer son bon Époux (devoir conjugal), qu’Il soit
dûment rassasié
des autres joies et ébattements, privautés, amour, et secrets dont
je me tais, mais ne voit aucun problème à
se débaucher avec undit amant ou l’immonde file des pauvres types
qui attendent leur tour !
Pour :
joies
et ébattements, privautés, amour :
Et,
poussé à bout, si comme de Doit l’Époux exige d’avoir Sa très
légitime satisfaction, et surtout si son Époux use très
légitimement de Sa force pour l’y obliger, elle Le dénonce
notamment comme violeur et réclame la séparation-divorce ! ;
par-contre allégrement, pour une frivolité bien luciférienne elle
se prostitue effrontément !
Petit
à petit l’Époux courageux fait son nid,
comme un rien
l’insensée épouse le renverse !
C’est
uniquement (100 %) la femme qui détruit le Royaume de son Époux !,
à 80 % des cas effectivement, et à 20 % par harcèlement :
DP-07, Restaurer
la dignité de la femme, par sa soumission (I)… ; point
7.E - La
femme, comme insoumise, ce qu’elle encoure… ;
et pour le moins le pont 7.E.8 - Notre
Seigneur Jésus-Christ dit-Il autre chose ?
1.C.2.b - Les
divers services de la Maison sont l’apanage exclusif de la
féminie !
Contrairement
au lavage de cerveau à grande échelle qui se fait de plus en plus
prégnant, oppressant, où l’on vous rabâche ledit partage des
tâches de la maisonnée, les tâches domestiques sont de Droit divin
l’apanage exclusif
de toute la féminie ! ; et ! évidemment !, ce
comme de Droit, soit sainement et saintement.
Pour :
ledit partage des tâches de la maisonnée :
Chez
les contaminés par Luciabel, Papa, ou le minet de service,
l’émasculé : change bébé comme le minet David Cameron
expert en couche-culotte ; passe l’aspirateur ; fait la
vaisselle ; etc. Vous voulez vraiment vous soigner, vous
désintoxiquer ?, alors le contre-poison se trouve là
notamment : DP-04, Le
Mariage, définition, célébration, règles et usage… ;
point (accès direct) DP-04H5e, Attentions
conjugales de l’épouse envers l’Époux.
Pour :
David Cameron expert en couche-culotte :
Pour :
apanage exclusif
de la féminie :
-- Le
Littré (1880) – FÉMINIE (s. f.)[fé-mi-nie]
L’ensemble
des femmes, les habitudes des femmes, le domaine des femmes ; mot
excellent qui s’est malheureusement perdu.
HISTORIQUE
XIIe
s.— Rois, ne croiez mie Gent de femenie
; Mais faites ceus apeler Qui armes sachent porter (HUES DE LA FERTÉ
Romancero, p. 192)
XIVe
s.— Avec eux vinrent tant de suitte de dames et damoiselles, qu’il
sembloit que le royaume de feminie
y fut arrivé (Lett. de Louis XII, t. I, p. 49, dans LACURNE)—
Saincte Marie ! Et tousjours femmes ! Femmes à dextre et à senestre
; Je ne sçais se c’est songe ou faintie ; Sui-je au pays de
femmenie ? (Hist. du th. fr.
t. II, p. 127)
La
femme, et est-il nécessaire de rappeler ce que nous disons
constamment et ce qui est l’évidence même, ce sauf d’être
copieusement contaminé, ne va pas travailler pour rapporter de
l’argent de l’extérieur !
Pour :
la femme […] ne va pas travailler :
1.C.2.c - L’apanage
exclusif
de toute la féminie !
Donc
l’apanage exclusif de toutes les femmes de la Maison, de l’épouse
en premier (épouses
si plusieurs, soit polygamie), de la mère du Maître de Maison
(l’épouse étant radicalement détachée de son ancienne famille),
des filles et autres servantes…
Les
Gars passé le bas-âge peuvent faire leur lit, certes ranger leurs
jouets, mais les carreaux, le ménage, etc., reviennent à l’épouse
et aux sœurs ou autres femmes ; Ils doivent évidemment ne pas
mettre sans dessus-dessous la salle de bains, mais le nettoyage du
bac de douche et cuvette WC et de tout le reste revient aux femmes.
Il est évident que le Père doit veiller à ce que Ses Fils passent
en cas de traces ou souillures un goupillon dans la cuvette ou une
éponge bien humide sur l’abattant !
Pour :
une éponge bien humide sur l’abattant :
Il
revient au Père d’apprendre à ses Fils de viser correctement le
centre de cette cuvette par respect pour l’ensemble de la
maisonnée !, soit de leur apprendre à être de bons marins !,
et non pas à tirer un coup à devant, un coup derrière, et un coup
dans le mille ! En effet, une femme est une servante et non une
serpillière !
Si
cela devait arriver, l’épouse humblement nettoiera et rapportera
confidemment la chose à l’Époux, Seul Législateur et Bras de
Justice, qui saura alors les mesures à prendre…
Si
les femmes sont trop peu nombreuses ou trop faibles (petite fille,
malade, etc.) que l’Époux aide son épouse à descendre le sac de
cinquante kg de pommes de terre à la cave n’est pas du féminisme
mais de la Charité envers les plus faibles de par nature ; ou que
l’Aîné bâti comme une petite armoire à glace monte le panier de
linge que sa frêle petite sœur doit étendre au grenier !,
etc.
1.C.3 - Alors,
plus particulièrement venons-en au service de table.
Voilà
maintenant proprement dit notre réponse à votre question.
Pour
éviter de dire chaque fois l’épouse ou les aïeules du Maître de
Maison, Ses filles ou autres servantes, nous dirons simplement les
femmes…
1.C.3.a - Le
service de table en les tâches ménagères.
Le
service de table fait par les femmes, ce dans l’abnégation et la
bonne humeur, comprend : l’établissement du menu après
interrogation révérencieuse de l’Époux, l’achat des aliments
de base, les épluchages, la préparation des plats, le cas échéant
le service de l’apéritif aux Hommes par exemple le dimanche, le
dressage de la table, le service des convives, la desserte, la
vaisselle, le rangement et le balayage….
Qu’à
elles seules, et ce de Droit divin, reviennent toutes les tâches
ménagères comme dit, donc aussi le service de table dans son
ensemble comme décrit.
1.C.3.b - Autour
du dressage de la table.
La
nappe doit être bien propre et sans plis, et un bouquet de fleurs
champêtres si possible doit s’y trouver, ou une autre petite
décoration ; en effet l’épouse accueille son Roy !
Pour :
s’y trouver, ou une autre petite décoration :
Une
bonne habitude !, et ceci leur évitera de se dissiper en les
occupant sainement, que l’épouse dise à une plus grande que les
aidera : Ma
fille …, fait
faire aux petits un beau dessin pour honorer
votre
Père !
La
place du Maître de Maison est en bout de table avec la meilleure
chaise (par ex. avec accoudoirs), si possible pas à contre-jour ;
il est bien préférable, si l’épouse mange avec son Époux,
qu’elle soit à Sa droite.
Les
plus petits seront placés au plus près des parents, et les plus
grands sur le reste de cette table, sauf cas de deux services ou deux
tables simultanées.
Les
filles passé par exemple les 7 ans seront alors, en cas de
séparation de table, avec leur mère et les autres femmes ; si
l’Époux veut Son épouse près de Lui, et si elle est fatiguée ou
bien avancée en grossesse par ex., il est plus que normal que les
plus grandes filles bondissent pour le service avant même que leur
mère le leur demande.
Si
un Hôte est invité, l’on le placera à la gauche du maître ;
les Gars de cet Hôte seront avec les Gars de la Maison ; si Il
vient avec Son épouse et Ses filles, elles seront placées avec les
autres femmes…
Le
pain doit être posé à l’endroit et non
coupé (voir plus loin) sur sa planche (avec
éventuellement son couteau), à droite (ou à gauche) du Maître.
Pour :
Le pain doit être posé à l’endroit :
Quel
est l’endroit et l’envers du pain ?, l’endroit est la
partie bombée et plus dorée, l’envers est la partie plus plate et
farineuse…
Pourquoi
le pain doit-il être posé sur son envers, soit à l’endroit ?
De
tout temps, et même avant l’ère chrétienne, le pain a été
considéré comme sacré, aliment de base, essentiel ; du reste
que dit-on au Notre Père : …
donnez-nous aujourd’hui notre pain
de chaque jour…, ou gagner
son pain à la sueur de son, celui de
l’Époux,
front ?
Que
prit avant le vin, lors de la dernière Cène pour l’établissement
du premier Sacrifice non sanglant, l’Eucharistie, NSJC ?,
voici : Et
il arriva, pendant qu’Il était à table avec eux, qu’Il prit du
pain,
et le bénit,
et le rompit,
et Il le leur présentait.
(Luc
24, 30)
Il
ne s’agit pas de superstition !, il s’agit simplement de
respect !, de respect pour le travail du Chef, pour ce pain
lui-même, pour la Croix qui était formée en les temps
très-chrétiens par les boulangers sur le pain pour le bénir et
ainsi aussi éviter qu’il ne se fende à la cuisson, et qui
maintenant est remplacée par de vulgaires stries !
Et
les sans-Dieu, les mauvais, s’ingéniaient alors à mettre le pain
à l’envers afin que la Croix formée ne soit pas visible et ainsi
profanée…
Et
ceux qui disent ces choses venant de superstitions, ou être des
superstitions sont des menteurs, ils veulent établir des doutes et
confusions, ils font l’œuvre de Luciabel !
Le
service proprement dit doit être fait selon les souhaits du Maître,
lent ou rapide, mais toujours déférant et posé, dans la bonne
humeur et la grâce, les femmes ne servent pas la pâtée à des
chiens !, mais à des Roys ou futurs Roys !, leurs Hommes !
1.C.3.c - Les
femmes debout au service, ou assises à table.
Il
faut comprendre qu’en le temps, et cela devrait revenir lorsqu’un
Prince (Grand Monarque) selon Dieu sera offert grâce aux prières
que les Bons font, les maisonnées étaient de grandes maisonnées,
elles ne se réduisaient donc pas à deux personnes (voir moins !),
sauf dans certains cas, très rarement au tout début de
l’établissement d’une Famille…
La
maisonnée était composée de nombreuses personnes ; souvent
les parents du Maître étaient accueillis, ou bien le Fils s’était
établi en Maître chez Ses parents ; parfois Ses Frères qui
travaillaient à la même ferme familiale, ou les serviteurs, ou les
collaborateurs ou ouvriers de la fabrique ; tout ce monde
partageant la table ; et bien-sûr les Fils du Maître.
Ainsi,
afin que les Hommes soient entre-eux, et par respect pour leurs
conversations, les femmes mangeaient en silence avant ou après, ou à
part comme la photo
ci-contre le montre, tout en étant bien en éveil afin de prévenir
les menus besoins du service de la table du Maître…
Les
filles de la Maison mangeaient avec le Père et la mère si la tablée
était restreinte soit en Famille, ou avec les femmes en cas de
séparation de nécessité. Bref !, c’était organisé comme
le Chef le voulait !
Petites,
vous les verriez, si évidemment elles sont bien élevées, comme
elles sont joyeusement empressées de servir les petites choses
(pain, vin, condiments, fruits, etc.), et comme particulièrement
elles aiment servir principalement le Père en faisant souvent un si
joli câlin sur l’épaule de celui-Ci, et qui du reste
immanquablement se finit sur Ses genoux et par le partage tout ému
de l’assiette paternelle avec la petite dernière…
Nous
parlons évidemment de damoiselles éminemment bien élevées, soit
ni des dragons et ni encore moins des révoltées ne songeant qu’à
jouer aux garçons afin de les détrôner !, soit notamment
habillées comme des fillettes ou filles de voici plus de 100 ans !,
soit comme les femmes étaient habillées en ce temps béni et d’Or
du Moyen-Âge : grande et ample robe jusqu’aux chevilles,
corsage et gilet bien fermés, coiffe, etc.
Pour :
femmes étaient habillées en ce temps béni :
1.C.3.d - Mise
à table de la maisonnée et des convives, ordonnancement.
Tous
arrivent au tintement de cloche, sans retard et sans excitation… et
se tiennent debout mains jointes à leur place attitrée, en silence.
C’est
le Maître, l’Époux-Père ou en Son absence l’Aîné qui était
alors à la place du Père en bout de table et sur Son siège
attitré, qui dit la prière, debout comme toute la tablée, et les
femmes en arrière-plan ayant suspendu tout bruit de cuisine, avant
le repas (Angélus et bénédicité, comme celle d’après du reste,
les grâces) en bénissant d’un geste simple mais ample (voir
ensuite) la table : Prières
en Famille ; point Repas
- Prières avant et après le…
Autre
belle et pieuse coutume : Si l’Aîné, le Père étant absent,
installé alors comme de Droit à la place du Père, n’avait pas le
deuxième âge (7 ans), alors la mère pour l’aider se tenait
derrière Lui et tenant Sa menotte ou Son bras l’aidait à bénir
la table, ce n’est pas elle qui bénissait, mais bel et bien la
main du petit Gars qu’elle assistait, guidait !
Pour :
n’avait pas le deuxième âge (7 ans) :
Et
s’il ne devait pas y avoir d’Aîné, ou que celui-Ci soit au
berceau, et encore l’épouse pourrait très bien tenir sa toute
petite menotte afin de Lui faire précéder à la bénédiction et à
l’imposition, l’épouse dira le bénédicité sans procéder, ne
le pouvant de par impuissance congénitale, à la bénédiction et à
l’imposition, par contre nul doute qu’alors le Seigneur Dieu le
fasse Lui-même comme le dit du reste la prière : … daignez
bénir … Ôtez
donc…
Le
Maître s’assoit en premier, et invite le cas échéant l’Hôte à
faire de même, les Gars, l’épouse et les autres femmes de la
tablée suivent alors le mouvement.
Le
Chef rompt le pain et le distribue car c’est Lui qui nourrit la
Famille et qui donc Lui dispense ce pain.
Pour :
le Chef rompt le pain et le distribue :
Normalement
le pain ne se coupe pas !, il se rompt !
Qu’avons-nous
lu plus haut : … Il
prit du pain, et le bénit, et le rompit, et Il le leur présentait.
C’est
l’Époux-Père qui bénit (lors donc de la bénédiction de la
table) et rompt le pain, et qui le distribue !, et personne
d’autre !, sinon il y a profanation, révolte…
Le
Chef de Famille ouvre alors son couteau, là le repas commence, et il
finira par la fermeture du même couteau ; le signal peut être
donné autrement, par exemple un petit coup sur le verre, une
clochette, un signe, etc.
… Les
enfants rentraient chez eux pour le repas. Ces repas rassemblaient
parfois plusieurs générations : grands-parents, parents,
enfants et quelques oncles et tantes non encore mariés. Il n’était
pas rare de compter dix, douze voire quatorze personnes et plus
encore autour de la table. C’était toujours l’Ancien ou,
lorsqu’il était trop vieux, son fils aîné qui donnait le signal
du début et de la fin du repas en ouvrant ou fermant son couteau. Le
repas était aussi frugal que celui de la Béate, pommes de terre,
chou, lard, fromage…
Personne
ne peut parler ou se lever (sauf strict service pour les femmes) sans
la permission du Chef, celle-ci est demandée par un petit doigt, ou
une inclination de la tête à son égard. Souvent, le Père
autorisait, par un tintement sur son verre par exemple, de parler au
bout d’un certain moment ; plat principal, désert… En cas
d’abus ceci pouvait être menacé ou retiré…
C’est
les femmes (au moins deuxième âge) qui font le service de table ;
ou qui, étant alors à la table, se lèvent, pour surveiller la
cuisson, amener les plats, servir les Hommes de quelque âge qu’Ils
aient, veillent à tout…, c’est elles qui, etc.
C’est
l’Époux-Père qui doit être servi en tout premier, et même, et
surtout du reste pour marquer le coup, si le Pape (un vrai !) ou
le Roy devait être le convive placé à sa gauche !, ce parce
qu’Il est plus grand qu’Eux et que de plus Il est chez Lui !
Si
l’Époux veut vraiment honorer Son invité, de marque ou pas, il
interposera sa main en faisant signe à son épouse de servir
celui-ci en premier ; une telle chose pour l’épouse ne sera
jamais une mauvaise habitude, en effet, pour les autres plats ou les
autres jours, toujours elle désirera amoureusement servir son Époux
en tout premier…
Les
autres Hommes ou Gars sont servis ensuite selon la préséance de
l’âge par exemple ; les filles en dernier avec le cas échéant
les petits bonhommes de moins de sept ans…
Pour :
les petits bonhommes de moins de sept ans :
Pour
nous, une belle ordonnance serait que les petits Gars soient
considérés au même rang que les filles jusqu’à leur deuxième
âge (7 ans) et servis en même temps que les filles parce que
petits.
À
leur sept ans révolus (deuxième âge), Ils seront installés près
des autres Gars leurs Aînés et alors servis comme le Père !,
cette disposition ne manquera pas de fortement les impressionner !
Donc,
pour le service, par ordre : Père, Hôte(s), Gars, bambin(s) de
moins de 7 ans et femme(s) et fille(s).
Ayant
dit que les femmes, en les très grandes tablées recevant des
personnes extérieures à la Famille (par ex. ouvriers) mangeaient
soit avant ou après ou en dehors de la table, nous voulons tout de
même dire que nous ici, en nos grandes Familles allant pour
plusieurs jusqu’à des tablées de bien plus de 12 couverts !
nos épouses mangent avec nous à notre droite comme dit plus haut,
et que cela est fort désiré par nous. Par-contre jamais il nous
viendrait à l’idée de faire le service nous-même, c’est la
très digne servitude de nos bien-aimées servantes !, pourquoi
donc risquerions-nous d’encourir le très juste Courroux de notre
Dieu d’Amour en leur arrachant ce beau et noble privilège de
servir leurs Roys !?
Pour :
la très digne servitude de nos bien-aimées :
Le
repas est clôturé par le Chef qui ferme son couteau, tous alors se
lèvent et le Chef entame les Grâces (prière après le repas), même
renvoi, Prières
en Famille ; point Repas
- Prières avant et après le…
1.C.3.e - Autour
de la part du voyageur, du pauvre vagabond…
Une
très belle coutume que celle-ci !
Toujours
accueillante, la table du Maître était dressée avec un couvert
supplémentaire afin de marquer que le visiteur surprise ou le pauvre
vagabond que la Providence vous enverrait était de fait bien
attendu. Il y avait toujours à la table un couvert en plus et à sa
disposition, en son attente, à sa place avec son siège, ce qui ne
manquait pas, le cas échéant, de lui réchauffer le cœur se voyant
au Nom de Dieu si bien attendu…
1.C.3.f - Autour
de la bénédiction en général.
À
ce sujet vous pouvez déjà lire ceci Prières
en Famille, point Bénédictions,
maritales, paternelles ; que nous
devrions du reste compléter avec ce que nous allons donc vous dire
en primeur maintenant.
Ne
pas confondre bénir,
qui est l’exécution d’un signe de Croix, et imposition
des mains comme nous le voyons ci-contre,
et où donc la légende est fausse ; elle devrait être en effet
Imposition
des mains paternelles, ou du
Père.
En
la gravure nous remarquons aussi que cette imposition manque de
noblesse, qu’elle est comme un peu expédiée, brouillonne, et que
ni les enfants et ni l’épouse ne sont à genoux (un, ou
préféremment deux à terre) comme plusieurs fois nous l’avons
rappelé !, en cette gravure l’on dirait comme unedite
imposition d’un sans Dieu…, à moins que ce Père épouille ses
enfants !
La
seconde gravure
est bien conforme au cérémonial voulu ; là, c’est l’Ancien
qui impose ses
mains sur le jeune foyer et ses enfants, ils sont inclinés en avant
comme de Droit…
Généralement
l’imposition suit la bénédiction comme nous le verrons avec la
bénédiction de la table.
Seul
l’Époux-Père peut bénir et imposer les mains sur Son épouse et
Ses enfants, et en cas d’absence de celui-Ci l’Ainé, ou comme en
cette gravure l’Ancien peut le faire ; mais jamais au grand
jamais, et
ni les femmes (impossibilité) et
ni un prêtre (illégalité), cloaque
d’impureté depuis 1846 ou d’avant, que
vous auriez eu l’égarement d’inviter, ne le fassent !
Pour :
comme en cette gravure l’Ancien :
Nous
disons l’Ancien !, soit donc le Père du Chef de Famille !
Nous
disons l’Ancien !, et non donc un étranger total à la
Famille, un usurpateur violeur de ce Foyer !, soit le Père que
la dame voulu bien effectivement quitter définitivement et oublier
radicalement et totalement irrévocablement par son Oui !, voyez
bien :
1.C.3.g - Autour
de la gestualité de la bénédiction, et de l’imposition.
Bénédiction.
Toute
bénédiction ne peut être faite que par un Homme, elle se fait de
la main droite bien ouverte (droite) et perpendiculaire au corps
(paume à gauche, dos de la main à droite), devant l’objet à
bénir, épouse et enfants, table ou eau, terrain, etc.
La
main gauche ne doit pas être ballante, elle doit être ouverte et
posée à plat sur la poitrine, coude à l’horizontale pour la
noblesse de l’acte.
Le
geste de la main droite bénissante, ample et écarté d’une
vingtaine de centimètres de soi, doit :
→ Père :
partir du haut du front, pouce à la hauteur de la racine des
cheveux, autres doigts à la hauteur du haut de la tête, en disant
Au
Nom du Père…,
→ Fils :
aller en descendant, toujours main droite, à la hauteur du nombril,
en disant …
et du Fils…
→ Saint-Esprit :
passer à l’extrémité de l’épaule gauche de l’Officiant et
se déplacer horizontalement à l’extrémité de la droite et
disant sur ce temps (déplacement gauche-droite) …
et du Saint-Esprit.
Ce
geste doit être toujours bien noble, rappelez-vous que vous êtes
Prêtre en votre foyer et que vous agissez bien effectivement au Nom
de Dieu ; et que donc vous ne chassez pas des mouches avec un
petit fouet !
Pendant
cette bénédiction vous pouvez préféremment dire distinctement et
à voix haute la parole : Au
Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit.
Imposition.
La
bénédiction était souvent suivie immédiatement d’une imposition
des mains, elle-même accompagnée d’une formule personnelle.
Pour
ce, vos mains doivent être ouvertes à plat à la hauteur de la
poitrine, légèrement écartées (5-10 cm) et parallèles l’une à
l’autre avec un léger resserrement naturel vers le bout des
doigts ; les paumes doivent être face à (table, terrain, etc.)
ou au-dessus de (personne à genoux, animal, etc.) l’objet de cette
imposition, le geste doit être noble, posé, ample…
L’on
peut toucher l’objet à imposer, surtout si ce sont Vos sujets,
épouse(s) et enfant(s), mère et sœur(s), etc.
Vous,
Époux-Père, le pouvez et même le devez, un étranger et encore
moins un prêtre ne le peut sous peine de crime de lèse majesté
(usurpation), de viol des sujets (attouchement) !
1.C.3.h - Autour
de la bénédiction de la table.
Nous
redonnons ici la prière d’avant le repas, en la commentant :
→ l’Officiant
(Époux-Père) engage et tout le monde le dit en même temps en
faisant le signe de Croix sur soi : Au
Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit.
Notez
qu’ici l’on dit communément l’Angélus !
Il
y a trois Angélus par jour : matin, midi, soir ; environ
7, 12, 19 heure ; soit petit-déjeuner, repas de midi, et du
soir.
→ Tous
poursuivent ainsi : Ô
vous qui donnez la nourriture à tout ce qui respire, daignez bénir,
là pendant ce temps l’Officiant seul réalise la bénédiction
comme décrite ci-dessus en se contentant ici du geste, les
aliments que nous allons prendre. Vous avez dit que, si jamais il
nous arrivait de boire quelque chose d’empoisonné, nous n’en
ressentirions aucun mal, pourvu que nous invoquions votre nom, car
vous êtes tout-puissant. L’Officiant
impose les mains comme aussi décrit, jusqu’à la fin de cette
prière Ôtez
donc de ces aliments, Seigneur notre Dieu, tout ce qu’ils
renferment de malfaisant et de nuisible.
Puis
tous clôturent en faisant le signe de Croix sur soi : Au
Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit.
Pour :
en faisant le signe de Croix sur soi :
La
main gauche est posée comme vu plus haut sur la poitrine, comme pour
la bénédiction.
Pour
la bénédiction nous avons vu que la main droite devait être
perpendiculaire et écartée de 5-10 cm.
Ici,
la main droite doit être parallèle et paume tournée vers le corps,
resserrée et touchant aux quatre points le corps : haut du
front, ventre à la hauteur du nombril, et les deux bouts des
épaules ; soit :
→ Père :
main au front, racine des cheveux : Au
Nom du Père,
→ Fils :
main sur le ventre : et
du Fils,
→ Saint-Esprit :
main sur l’épaule gauche, et en se déplaçant à l’horizontale
vers le bout de l’épaule droite :
et du Saint-Esprit.
Pendant
ces prières, veillez à ce que Vos gents de Votre Maison se tiennent
bien, pas vautrés sur le dossier des chaises, pas de tenue bancales
ou déhanchées, etc., et… les remontrances se font après la
prière et privément…
À
la fin du repas, n’oubliez surtout pas de rendre grâce au Seigneur
Dieu pour ses bienfaits !, la prière a été signalée plus
haut, le cérémonial est le même que ci-dessus pour le Bénédicité,
mais sans bénédiction et imposition.
1.C.3.i - Autour
d’autres bénédictions…
Parlant
de bénédictions, nous vous rappelons qu’il est bien salutaire de
tout bénir :
→ la
pâtée du chien, le grain que vous lancez aux volailles ;
→ les
affaires que l’on vous donne ou que vous avez achetées au marché
aux puces par exemple, et qui peuvent être infestées par les
démons, avoir été maléfiées.
→ La
maison que vous occupez ou allez habiter, et qui pourrait être
occupée par des habitants invisibles parce-qu’Esprits mais
particulièrement néfastes, maléfiques…
Pour
ce, utilisez la prière du bénédicité en l’adaptant, par exemple
pour les objets achetés aux puces cela donnera : Ô
vous qui voulez que tout concoure à votre Gloire, daignez bénir,
réaliser la bénédiction comme décrite, ces
objets (affaire, etc.) que nous venons d’acquérir et allons faire
rentrer chez-nous pour mieux vous servir (en
effet tout doit concourir à la plus Grande-Gloire de Dieu).
Vous avez dit que, si jamais il nous arrivait de boire quelque chose
d’empoisonné, nous n’en ressentirions aucun mal, pourvu que nous
invoquions votre nom, car vous êtes tout-puissant.
Imposition des mains jusqu’à la fin de cette prière Ôtez
donc de ces objets, Seigneur notre Dieu, tout ce qu’ils renferment
de malfaisant et de nuisible.
1.C.3.j - Et !,
Honni
soit
qui
mal y pense !, ou mal
en dit !
Oui !,
Honni
soit qui mal y pense ! ou qui mal en
dit, de la bénédiction maritale et paternelle !, notamment…
--Honnir :
Littér., vieilli. Désigner quelqu'un, quelque chose comme
méprisable et condamnable en tant que transgressant une norme
éthique ou une convenance ou s'y opposant.
Il
n’est point rare, et particulièrement dans ces temps comme jamais
de Luciabel, que les femmes brocardent, se moquent, ou même
seulement subissent que leur Époux bénisse, elles et les enfants,
la table, ou de toutes autres choses…
Oui !,
alors il est certain que le Bon Dieu les maudira !
Si
d’aventure un prêtre devait relativiser ce que nous disons, ou
l’atténuer, ou dire que cela soit à interpréter comme à leur
mortifère habitude !, inutile de le menacer de malédiction !,
il est déjà maudit par le Seigneur Dieu comme ses confrères depuis
au moins l’an 1846 !, ce comme la Très-Sainte Vierge-Marie
(TSVM) l’a bien dit : …
les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les
prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs
têtes…
1.D - Concluons
rien que pour l’instant…
Oui,
car le sujet est quasiment inépuisable, et notre texte certainement
bien perfectible.
Voyez-vous,
cher Sieur
Jean
Mahezic, comment
nous avons essayé de bien répondre à votre question, et comment
nous n’avons
pas eu peur d’aborder ceci dans un ensemble bien plus vaste et bien
nécessaire.
N’hésitez
pas chers Sieur
Jean
Mahezic et
Lecteurs à dans quelques temps, le temps de souffler un peu, nous
demander toute
précision utile, alors nous ferons de notre mieux, par la Grâce de
notre Seigneur Dieu et
pour Sa plus Grande-Gloire,
pour bien vous répondre…
Ce
jour, vers 10.00, nous lirons, en plus de toutes nos nombreuses
prières, la Messe de Saint Joseph, du 19 mars et en le temps
d’obligation, à nos intentions évidemment, mais tout aussi
ardemment à vos bonnes intentions cher
Sieur
Jean
Mahezic, et
à celles de nos Lecteurs…
Nous
sommes biens fatigué, aussi, veuillez excuser nos fautes, si nous
devions en corriger vous en seriez avertis si cela touche le sens ou
la précision...
Encore
une fois, bien-cher Sieur Jean Mahezic, et Lecteurs, que le Bon Dieu
Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
1.E.1 - Nos
divers commentaires…
Échange
de Commentaires donnés chronologiquement.
Je
suis un nouveau lecteur, mais je me permet de vous dire que je trouve
vos articles très bien écrits et très instructifs, celui-ci étant
probablement le meilleur parmi tous ceux que j'ai eu le plaisir de
lire jusqu'à présent. Je vous remercie de nous faire partager vos
connaissances et j'espère que vous trouverez le temps d'écrire
encore.
Je
me permets de vous écrire ce message pour contribuer à cet article
que je viens récemment de relire (très bon par ailleurs, comme
toujours). Vous parlez de femmes chrétiennes, en particulier des
sœurs, se couvrant le visage d'un voile, sans exemple visuel. Je
vous apporte donc des photos qui permettent d'appuyer vos
déclarations, la première d'une religieuse et l'autre d'un costume
traditionnel du Portugal il me semble :
Rebonjour.
Tout d'abord, sachez que c'était mon plaisir de vous aider. Ensuite,
j'ai continué ma relecture de vos articles, et le passage suivant
m'a intrigué :
→ Servir
à table l’épouse en premier, puis l’Époux !, alors que, et
même si ce n’est pas elle qui fait le service de table, c’est
l’Époux, ou son invité s’Il veut l’honorer, qui doit être
servi en premier, ensuite viennent les garçons ; les femmes viennent
après ! Dans un temps pas si reculé que cela, les femmes ne
mangeaient pas à table, devant être qu’au service des Hommes qui
étaient à table93 !
Cet
article est rempli d'informations extrêmement intéressantes sur ce
à quoi devrait ressembler une société saine. Et c'est notamment le
cas du passage que viens de citer. Aussi, je me demandais : quand
vous dîtes que les femmes ne mangeaient pas à table, cela
comprend-il les filles aussi ? Et si oui, jusqu'à quel âge ? Je
comprends que mes questions soient très détaillées, mais je suis
très intéressé sur la manière dont la famille était organisée,
et notamment sur l'attitude des femmes, en des temps, disons plus
chrétiens.
♣
Ah ! Que cet article est sain et agréable à lire. Le bon sens y coule comme l'eau du fleuve.
RépondreSupprimerC'est très édifiant et cela rejoint bien toutes les conversations que nous avons eues. Puisse Dieu vous rendre au centuple les bienfaits que vous répandez !
Cher Sieur Luryio,
SupprimerMerci beaucoup pour votre bonne appréciation...
Votre « Le bon sens y coule comme l'eau du fleuve. » nous fait penser à cette parole de NSJC « Le dernier jour de la fête, le plus solennel, Jésus s’écria : « Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive coulerons de son sein. » Il disait cela de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui, Alléluia, Alléluia. » (Vigile de la Pentecôte)
Oui !, nous ne nous attribuons rien que nos péchés !, et oui ! le reste ne vient que du Seigneur Dieu ! ; nous particulièrement, nous ne sommes rien !
Notre reconnaissance, et nos prières pour vous montent au Ciel...
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Avec un peu de retard, je viens vous remercier et vous féliciter pour cet article agréable, complet et, comme toujours, extrêmement juste. Vous avez répondu à toutes les questions que je me posais et même au-delà ! Encore merci, et si jamais je venais à avoir d'autres interrogations, je reviendrais vers vous avec plaisir.
RépondreSupprimerCher Sieur Jean Mahezic,
SupprimerMerci beaucoup, aussi à vous, pour votre bonne appréciation...
Nous sommes heureux d’avoir bien répondu à votre attente, et comme vous le dites gentiment, « et même au-delà ! »
Oui, n’hésitez surtout pas à revenir « avec plaisir » auprès de nous si le besoin s’en faisait sentir...
Comme dit à Sieur Luryio ci-dessus, notre reconnaissance, et nos prières pour vous montent au Ciel...
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres !
Pour la Vérité,
QJSIOJC