Du :
29.11.2008, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : mar. 4 oct. 2016,
11.05.
Table
de ce chapitre de notre Document
principal, DP-…
8
- Restaurer la dignité de
la femme, par sa soumission (II)…
8.A.1.a
- Correction(s)
depuis la première publication : 458
8.B
- L’Époux
honnête, est forcément musulman !? 459
8.B.1
- L’Époux
honnête, est forcément musulman ! 459
8.B.2
- L’Époux
honnête, est forcément musulman ? 460
8.B.2.a
- Abdelkader
Bouziane, l’imam de Vénissieux disait… 461
8.B.2.b
- L’Église
disait, et ceci est intemporel, imprescriptible… 463
8.B.2.c
- Quelle
différence entre ce que dit le Coran et ce que dit l’Église ? 464
8.B.2.d
- De fait, pour
savoir cela, point besoin de l’Église ou du Coran ! 465
8.B.2.e
- Un Époux qui
ne corrige pas Son épouse est contre-nature ! 465
8.B.2.f
- La Loi
naturelle, le fond commun de toutes les religions ! 468
8.B.2.g
- La Loi
naturelle, berceau de toutes les consciences… 470
8.B.2.h
- Rien de
compliqué, il n’y a que deux étendards ! 471
8.B.2.i
- Il n’y a que
deux étendards, Dieu et le Singe de Dieu ! 471
8.B.2.j
- La religion,
Les religions, l’opium du peuple ! 476
8.B.2.l
- Très souvent
c’est le pouvoir religieux qui livre la victime au pouvoir
civil ! 479
8.B.2.m
- Les mêmes
Maîtres d’erreurs à l’origine de toute les tribulations de
l’Église… 480
8.B.2.n
- Les arabes ont
un Islam arabe, d’origine arabe fait par des arabes pour des
arabes !? 483
8.B.2.o
- Notre Seigneur
Jésus-Christ a accompli les prophéties et fondé l’Église ! 484
8.B.2.q
- L’Islam pose
et posera de plus en plus de problèmes ! 488
8.B.2.r
- Concordance de
la théologie Chrétienne et Islamique. 488
8.B.2.s
- ‘Ils’ ont
en ligne de mire, au premier plan : L’Église catholique, La
vraie ! 489
8.C
- La femme, à
l’extérieur, quel doit être son comportement. 490
8.C.1
- Le travail de la
femme la conduit forcément sur le trottoir. 490
8.C.2
- Saint Pie X :
la femme dans les lieux saints. 490
8.C.3
- En la chorale,
l’école, le lieu de travail : une débaucheuse ! 494
8.D
- La femme, dans les
drames, sa seule responsabilité ! 496
8.D.1
- L’épouse
insensée renverse sa Maison de ses propres mains… 496
8.D.2
- Il y a trois
choses qui font de la maison un désert… 497
8.E
- La femme, en
‘danger’, ce qu’elle doit considérer… 498
8.E.3
- Sainte Clothilde
mariée à un païen et barbare par les Évêques… 502
8.E.3.a
- Voyons au
préalable l’union de Clothilde à Clovis : 503
8.E.3.c
- Un petit
retour sur : le Sacrement de Mariage. 504
8.E.3.d
- Un petit
retour sur : La virginité de l’épouse. 505
8.E.3.e
- Des Évêques
plein de Foi en la providence divine ‘parient’ sur
l’avenir ! 506
8.E.3.f
- Des Évêques
sans Foi en la Providence divine détruisent sciemment l’Avenir. 507
8.E.4
- Saint Pierre aux
épouses ayant un Maître, un Mari difficile. 509
8.E.4.a
- Soyez soumises
en toute crainte à vos Maîtres, vos Époux ! 510
8.E.5
- Mgr Jean-Joseph
Gaume dit d’un Mari irréligieux, violent… 511
8.E.6
- Sainte Monique,
épouse de Patrice et mère de Saint Augustin. 514
8.E.6.a
- L’ivrognerie,
le brigandage, les mauvais traitements ne sont point des excuses
pour fuir son Époux… 514
8.E.6.b
- Le 17 novembre
2008 nous avons reçu un commentaire à la page Accueil,
vocation…. 517
8.E.7
- Sainte Rita
épouse d’un ivrogne et brigand sauve sa Maison. 517
8.E.9
- Nous devions
revenir sur la piété filiale… 521
8.E.9.a
- Voici une
histoire à méditer, l’ivresse de Noé ! 521
8.E.9.b
- Et d’une
encore !, victime d’elle-même, de son amour-propre ! 522
8.E.9.c
- Nous devons
poursuivre avec la fin de ce message : 523
8.E.10.a
- Saint
Augustin : La bonne épouse craint son Époux !, et la
mauvaise bien différemment ! 524
8.E.10.b
- Saint curé
d’Ars : Les épouses se plaignant de leurs Époux sont celles
qui manquent de religion ! 528
8.F.1.a
- Savez-vous
quand commença à ronger le Ver Rongeur ? 529
8.F.1.c
- L’Église,
mit toujours l’Homme et la femme à leur place. 532
8.F.1.d
- Passons de
l’irrévérence actuelle à la révérence… 534
8.F.2
- Mensonges, une
femme qui conduit une voiture. 536
8.G
- ‘Évolution’ ?,
non régression du statut de la femme ! 539
8.G.2
- Depuis la
révolution dite française, de fait mondiale. 539
8.G.2.b
- La Loi ne
forme pas le Droit, la Loi ne doit dire que le Droit ! 546
Ce
présent chapitre…
… est
mis sous le vocable de la Médaille Miraculeuse dont la fête est ce
jeudi 27 novembre 2008, et de Sainte Catherine Labouré dont la fête
est le 29, jour de sa publication…
Nous
avions dit sans langue de bois !
Vous allez être servis !
8.A.1.a - Correction(s)
depuis la première publication :
8.B - L’Époux
honnête, est forcément musulman !?
8.B.1 - L’Époux
honnête, est forcément musulman !
En
effet, comment se fait-il que lorsqu’un Époux applique ou défend
le Mariage, le Sien ou Celui d’autres Époux, soit tout ce que nous
avançons dans cette étude, alors que ceci n’est que la stricte
observance de la Loi naturelle corroborée par l’enseignement de
l’Église et de ses Saints, soit immédiatement taxé par
quiconque, dits amis, avocat devant toute une cour dedite justice en
correctionnelle, prêtres et même de la Trahition,
etc., de : sale
musulman ?
Pour :
une cour dedite justice en correctionnelle :
Textuel !
Le tribunal correctionnel très bizarrement ne releva pas du tout
l’insulte hautement raciste et injurieuse pour la religion
musulmane et faite à l’un de nos informateurs ! L’avocat ne
se contenta pas de ce ‘haut fait’, il développa lesdites tares
du musulman quant-au Mariage et sans que ce tribunal broncha !
Voici
les insultes entendues habituellement : conception
musulmane du mariage – il
se comporte comme un musulman avec sa femme –
sale
musulman, ta femme n’est pas ton esclave, on va te casser la
gueule !’, etc.
Pour :
sale
musulman, ta femme n’est pas :
Textuel !
Cette même source nous a communiqué les preuves. Ceci eut de
nombreux témoins assermentés !
Pour :
on
va te casser la gueule :
Ce
qui est particulièrement croustillant, c’est que pour convainque
l’Époux de ne pas user dedite violence à l’encontre de Son
épouse, on se propose, systématiquement, de Lui casser la gueule !
Car
voyez-vous, l’invective musulman !
ne suffit pas, il faut que ce soit, pour qu’il n’y ait pas de
doute, un sale
musulman !
Ce
vocable de sale
musulman, est bien dit pour insulter, et non
pour complimenter !, comme ceux-ci : préhistorique,
moyenâgeux,
arriéré,
despote,
tyran,
et des meilleures…
Ce
sale
musulman est donc bien une insulte hautement
offensante pour :
→ l’Époux
honnête que ne fait que son devoir, car de Lui jeter cette insulte,
est bien pour le marquer d’un fer rouge !
→ le
musulman, qui de fait s’il agit selon la Loi naturelle ne fait
strictement rien de mal, et bien au contraire, et ne doit être que
loué en ce point !
→ la
religion musulmane, car d’utiliser le nom de cette religion pour
insulter un Époux honnête chrétien ou musulman ou autre, est bien
là pour marquer une perversion alors qu’en ceci cettedite
perversion n’existe pas !
8.B.2 - L’Époux
honnête, est forcément musulman ?
Que
nenni ! Mais quel aveu à travers cette insulte ! Nous
devons bien le constater, et honte et honte aux chrétiens !,
qu’il n’y a plus que les musulmans et que quelques très rares
autres se comportant quelque peu correctement avec leurs épouses, au
moins sur ces plans là : femme à la Maison ; voilée à
l’extérieur ; déférente envers son Époux ; totalement
soumise ; corrigée de main de Maître (son Époux !) si
nécessaire ; et tous les autres points vus en cette étude…
Pour :
femme à la Maison ; voilée à l’extérieur :
(Nous
répétons la note 16, du chapitre 4.B.2.e)
Ici,
qu’il nous soit permis de parler du voile dont on nous bassine les
oreilles depuis un bon moment. Nous parlons du voile, de la coiffe,
du foulard, et non casque de scaphandrier ou du masque d’apiculteur.
On nous bassine avec ce voile, alors que toutes les femmes devraient
être voilées comme le recommande Saint Paul (Voir : DP-07,
Restaurer
la dignité de la femme, par sa soumission (I) ; point
DP-7.D.1,
L’épouse doit servir son époux, et non point Dieu.) :
La femme doit, à cause des anges, avoir sur la tête un signe de
sujétion.
C’est
tellement plus beau, dans tous les sens du terme, une femme voilée,
couverte, regardons la Très-Sainte Vierge Marie pour voir cette
beauté…
Regardons
ces pauvresses dudit grand monde, ces bobotes lamentables qui
essayent dans leursdites soirées de ce donner de l’allure, alors
qu’elles l’ont définitivement perdue, avec un ample chapeau
jurant copieusement avec leur pantalon griffé, oudit signé, par
Machin !
Pourquoi
instrumente-t-on le foulard des musulmanes ?, mais ici nous
sortons de notre étude, et pourtant il y aurait tant à dire.
Toujours est-il que ces braves femmes musulmanes plaisent très
certainement bien plus à Dieu, en cela, que nos pauvresses de ce qui
s’appelait voici encore 100 ans la Chrétienté.
8.B.2.a - Abdelkader
Bouziane, l’imam de Vénissieux disait…
Vous
souvenez-vous de l’affaire : Abdelkader
Bouziane, imam de Vénissieux a été expulsé du territoire
français, le 21 avril 2004, pour avoir affirmé que "le Coran
autorisait dans certains cas un musulman à battre sa femme".
Croyez-vous
qu’un seul Homme d’Église aurait pris sa défense au moins pour
ce point précité ?, le silence de ces cloaques
d’impureté était assourdissant !
Ces
cloaques
d’impureté prennent fait et cause pour
n’importe quoi ! mais alors que le Mariage était attaqué, à
travers l’affaire Abdelkader
Bouziane, pas un de ces prêtres du clergé
dit catholique, celui de ladite Église officielle et celui de ladite
Trahition,
ne se croisa pour venir au secours du Mariage et donc de la Doctrine
catholique !
En
effet, si on traînait dans la boue et devant les tribunaux de la
Ripoublique un imam qui prendrait la défense de la vie en luttant
contre l’avortement par ex., et que l’on ne l’assiste pas, on
est complice ! Ainsi se comporte du reste l’Église dite
catholique à l’encontre du docteur Xavier Dor ! Non
seulement, criminellement ils gardent le silence quant à ces
avortements (complicité objective), mais de plus ils ne soutiennent
pas ceux qui courageusement partent au feu ! ; mais pire,
ils condamnent ces héros et les livrent ainsi donc audit pouvoir
civil,
ce qui fit dire au Pape Grégoire VII : S’il
en est quelques-uns qui, pour l’amour de la loi chrétienne, osent
résister en face aux impies, non seulement ils ne trouvent pas
d’appui chez leurs frères, mais on les taxe d’imprudence et
d’indiscrétion, on les traite de fous.
En
ne défendant pas ce que l’Église disait avant son éclipse, et
honte à nous !, ce que dit courageusement cet imam Abdelkader
Bouziane, de corriger
sa femme dans les cas de nécessité, par ex.
si elle ne veut pas obéir, être dominée : ces Hommes d’Église
commettent des crimes par leur silence coupable et complice ;
c’est positivement une apostasie ! En effet, on doit défendre
l’Église lorsqu’elle est attaquée, Elle ou la Morale conjugale
découlant du Droit divin, et ce, même sur un seul point ! Si
on ne le fait pas, on est apostat !
Pour :
l’Église […] avant son éclipse :
… voir
particulièrement :
Pire,
la campagne affabulatrice de la femme
battue, qui est le pendant de celle de la
libération
de la femme, est un acte positivement
contre-nature, et ce, au même titre que les
perversions, qui sont du reste toutes interdépendantes, touchant aux
dérives sexuelles ! Oui, ce clergé actuel et depuis bien
longtemps est objectivement complice, car qui
ne dit mot consent, de nosdits gouvernements
pour instaurer tout ce qui est contre-nature !
8.B.2.b - L’Église
disait, et ceci est intemporel, imprescriptible…
Cet
Imam a dit : le
Coran autorise [l’Époux] dans certains cas à battre sa femme !
Et
eux, poussent des cris de vierges effarouchées, les hypocrites… Et
les Hommes d’Église, ces cloaques
d’impureté ,
soit toute la hiérarchie du tout en haut
jusqu’en bas, ces loups criminels parce qu’aphones, aux abonnés
absents, par leurs silences criminels : approuvent et
confirment !
Alors
que l’Église disait voici plus de 50 ans :
→ Concile
de Trente : Enfin
il doit régler sa famille, corriger
et former les mœurs de tous ceux qui la composent, et contenir
chacun dans son devoir.
→ Saint
Augustin, Père de l’Église : Le
renvoi n’est pas le seul moyen de corriger
l’épouse coupable de fornication [de tous
genres, cherchez ce terme dans notre étude]
on
peut user aussi des réprimandes
et des
coups.
→ Saint
Alphonse de Liguori : [Et] lorsque,
après avoir été plusieurs fois avertie, votre
femme ne s’est pas corrigée ;
seulement alors vous
pouvez la châtier…
Voir :
Idem ci-dessus ; point DP-6C10, Saint
Alphonse de Liguori : vous pouvez sans doute la châtier…
→ Saint
Bernard de Clairvaux, Docteur de l’Église : Son
Époux, s’il
devait compatir à sa femme,
il
devait la discipliner,
puisqu’elle était son inférieure, car l’homme
est le chef de la femme.
Voir :
Idem ci-dessus ; point DP-6C6, Saint
Bernard : Adam n’avait pas faim et soif de Justice…
→ Pour
encore plus de citations allant toutes dans le même sens, voyez
toute notre étude, et particulièrement :
8.B.2.c - Quelle
différence entre ce que dit le Coran et ce que dit l’Église ?
À
ce sujet, l’attitude que
l’Époux doit avoir avec son épouse récalcitrante, la différence
est celle-ci :
→ L’Église
est plus précise ; plus directe, plus motivée ! Mais ses
Représentants sont criminellement aphones maintenant.
→ Le
Coran, semble (nous ne sommes pas des spécialistes de cette
religion) moins précis, moins direct, mais ses Représentants osent
encore l’affirmer !
8.B.2.d - De
fait, pour savoir cela, point besoin de l’Église ou du Coran !
Le
Sacrement de Mariage ne relève d’aucune religion en particulier,
sachant toutefois qu’Il était le mieux défendu par l’Église
catholique, mais de la Loi naturelle comme nous l’avons
suffisamment développé jusqu’ici.
Ainsi,
point besoin de l’Église ou du Coran !, la Loi naturelle
déposée par le Seigneur Dieu en chacun de nous nous le dicte bien,
à Nous Époux ! Et c’est ce que nous rappelle Saint Bernard
de Clairvaux, Docteur de l’Église, et qu’un Sage,
comme il le dit, sait : Il
y a trois choses, dit
le Sage (Prov.
XXVII, 15),
qui font de la maison un désert, ce sont la fumée, la pluie et une
femme acariâtre. Or, comment le négligeant pourrait-il [l’Époux !]
s’en garder ? Celui [l’Époux !]
qui se néglige, n’a pas soin
de chasser la fumée, de
corriger sa femme,
et de réparer le toit de sa maison…
8.B.2.e - Un
Époux qui ne corrige pas Son épouse est contre-nature !
L’inverse
d’un Sage, de la sagesse, c’est : un fol, la folie !
-- Fol :
− En partic., arg. Folle. Travesti au comportement
tapageur, homosexuel très efféminé.
Ainsi
donc, ceci nous confirme bien que le
Sage défend ce qui est conforme à la Loi
naturelle et le fol propage ce qui est
contre-nature !
Tout ce qui est instauré par eux est contre-nature,
et tous ceux qui se taisent sont complices d’actes
contre-nature : Église (l’apparente,
et non l’éclipsée) ou quiconque !
Ainsi,
l’Époux qui n’a
pas soin de corriger sa femme, qui n’a pas
faim
et soif de la justice,
agit contre-naturellement, il est efféminé, et Saint Paul dit donc
de Lui :
18.
En effet, la colère de Dieu se révèle du haut du Ciel contre toute
l’impiété et l’injustice
de ces hommes qui retiennent la vérité de Dieu dans l’injustice ;
19.
car ce que l’on connaît sur Dieu est manifeste pour eux, Dieu le
leur ayant fait connaître.
20.
En effet, Ses perfections invisibles sont devenues visibles depuis la
création du monde, par la connaissance que Ses œuvres en donnent ;
de même Sa puissance éternelle et Sa divinité : de sorte
qu’ils sont inexcusables,
21.
parce qu’ayant connu Dieu, ils ne L’ont point glorifié comme
Dieu, et ne Lui ont pas rendu grâces ; mais ils se sont égarés
dans leurs pensées, et leur cœur insensé a été obscurci.
22.
Ainsi, en disant qu’ils étaient sages, ils sont devenus fous,
23.
et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible contre une image
représentant l’homme corruptible, et les oiseaux, et les
quadrupèdes, et les reptiles.
24.
C’est pourquoi Dieu les a livrés aux désirs de leur cœur, à
l’impureté, en sorte qu’ils ont déshonoré eux-mêmes leurs
propres corps :
25.
eux qui ont changé la vérité de
Dieu en mensonge, et qui ont adoré et servi la créature au
lieu du Créateur, qui est béni dans tous les siècles. Amen.
26.
C’est pourquoi Dieu les a livrés
à des passions honteuses ; car leurs femmes ont changé
l’usage naturel en celui qui est contre la nature.
27.
De même aussi les hommes,
abandonnant l’usage naturel de la femme, se sont embrasés dans
leurs désirs les uns pour les autres, les hommes commettant
l’infamie avec les hommes, et recevant en eux-mêmes le salaire dû
à leur égarement.
28.
Et comme ils n’ont pas montré qu’ils avaient la connaissance de
Dieu, Dieu les a livrés à un sens réprouvé, de sorte qu’ils ont
fait des choses qui ne conviennent pas :
29.
remplis de toute iniquité, de
malice, de fornication, d’avarice, de méchanceté ; pleins
d’envie, de meurtre, de querelle, de ruse, de malignité ;
délateurs,
30.
médisants, haïs de Dieu,
insolents, orgueilleux, hautains, inventeurs du mal, désobéissants
à leurs parents,
31.
inintelligents, dissolus, sans
affection, sans loyauté, sans miséricorde.
32.
Ayant connu la justice de Dieu, ils
n’ont pas compris que ceux qui font de telles choses sont dignes de
mort, et non seulement ceux qui les font, mais encore ceux qui
approuvent ceux qui les font.
Soyons
sérieux :
→ un
Époux qui dépose Son sceptre
familial, se
soustrait à ses devoirs, fuit ses responsabilités,
abandonne la
barre de la nef domestique confiée à Ses
mains,
n’a
pas soin de corriger sa femme, n’est
pas ou plus un Homme !
Pour :
la
barre de la nef domestique confiée :
N’hésitez
donc point à exercer cette autorité ; ne vous soustrayez point
à ces devoirs, ne fuyez point ces responsabilités. La barre de la
nef domestique a été confiée à vos mains. […] Épouses et mères
chrétiennes, que jamais ne vienne à vous saisir la soif d’usurper
le sceptre familial ! (Pie
XII)
Voir
aussi :
→ un
Homme qui ne remplit pas Son rôle, qui descend de Son trône de
Chef, de Roy, descend plus bas qu’une femme, c’est
un efféminé, un Homme qui agit contre-naturellement !
Ainsi,
aussi, et tout se tient !, qui mène une compagne effrénée
contre tous lesdits déviants ?, ceux qui se cachent derrière
l’État et qui utilisent les chaires cathodiques de leurs médias
avec ses relais associatifs pour répandre leurs messages
subversifs : soyez
tolérants, mélangez-vous,
échangez-vous,
partagez-vous,
vous êtes tous égaux,
soyez ouverts, conjuguez
les ‘différences’, etc.
8.B.2.f - La
Loi naturelle, le fond commun de toutes les religions !
Les
‘ils’, ‘on’ ou ‘eux’, luttent contre l’obscurantisme,
ils nous font prendre les armes contre ce même obscurantisme. Et au
nom de cette lutte contre l’obscurantisme, ils ont entraîné les
pays dits civilisés dans une croisade pour libérer ces peuples dits
opprimés à coups de bombes toutes plus horribles les unes que les
autres, afin de détruire de fond en comble tous ces systèmes, ces
peuples…
Nous
devons bien constater que le faisant eux-mêmes, ils ne peuvent donc
nous dire que c’est mal !
Ainsi
donc devant, qu’ils disent :
→ libérer,
ils font une croisade !
– Ainsi donc le faisant eux-mêmes, ce n’est pas le fait
d’une croisade
qui est mauvais ! ce dont nous prenons bonne note !
Pour :
ils font une croisade :
Le
temps est maintenant venu de gagner de manière décisive la première
guerre du 21ème siècle", a déclaré, le 16
septembre 2001,
le président Bush
après la réunion d’un "conseil de guerre" à Camp
David. "Cette croisade,
cette
guerre contre le terrorisme demandera du temps",
a-t-il dit, promettant de "débarrasser le monde des scélérats.
→ convaincre,
ils mettent la pâtée !
– Ainsi donc le faisant eux-mêmes, ce n’est pas le fait de
mettre la pâtée
qui est mal ! ce dont nous prenons bonne note !
→ faire
rentrer dans la rang, ils cognent !
– Ainsi donc le faisant eux-mêmes, ce n’est pas le fait de
cogner
qui est mal ! ce dont nous prenons bonne note !
→ empêcher
de divaguer, ils enferment !
– Ainsi donc le faisant eux-mêmes, ce n’est pas le fait
d’enfermer
qui est mal ! ce dont nous prenons bonne note !
Nous
écrivons ceci en 2008, et en ce moment, époque de mensonge encore
et toujours plus mensongère, une croisade, c’est le nom qu’ils
lui donnent sans rougir, sans gêne apparente, est en cours contre
différents dits fanatismes…
Nous
ne voulons pas faire le jugement de cesdits fanatismes, de cesdits
fanatiques, ou de leur religion plus ou moins écartée de la Loi
naturelle, de la Vérité, dont l’Église catholique, la Vraie il
s’entend !, est la seule dépositaire de Sa plénitude.
Nous
sommes convaincus que le motif de ces croisades
se trouve ailleurs, le motif est de détruire tout ce qui peut
rappeler peu ou prou la Loi naturelle ! Ainsi, nous sommes
convaincu que l’on met la pâtée
aux Afghans non pas parce qu’ils protégeraient Oussama Ben Laden,
mais surtout parce que Ceux-ci veulent rester dans lesdites ténèbres
du moyen-âge et imposent leur Loi à leurs femmes, comme de Droit !
Pour :
rester dans lesdites ténèbres du moyen-âge :
Précédemment
nous écrivions :
Il suffit d’écouter les blablabla de Sarkozy lors de la visite
d’Obama en France, le 25 juillet 2008 : L’Afghanistan
est une guerre que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre »,
a déclaré Barack Obama, estimant qu’il faudrait « au moins
deux brigades américaines supplémentaires » même s’il
« comprend que cela soit très difficile politiquement en
France et en Europe ». « La
décision d’envoyer des hommes pour que le Moyen-âge ne revienne
pas est stratégique »,
a
renchéri Nicolas Sarkozy,
en parlant des talibans ? après les remerciements de Barack
Obama pour ces renforts.
De
fait, et peut-on nous aider à trouver la citation exacte, ce que
Sarkozy disait était plus ou moins ceci : nous
allons mettre la pâté aux talibans qui veulent imposer leur loi à
leurs femmes, nous sommes sortis du moyen-âge et nous ferons tout
pour ne pas y retourner !
8.B.2.g - La
Loi naturelle, berceau de toutes les consciences…
Note :
Ce point n’est qu’une ébauche, une meilleure compétence est
désirée…
Toutes
les religions ont plus ou moins comme socle la Loi naturelle, elles
en sont plus ou moins proches. En effet, et ce en prolongement DP-02,
La
Loi, le Droit ; point DP-2.C,
La Loi naturelle déposée en Adam, le Droit naturel,
il n’y a qu’un tronc commun :
Conscience
déposée en Adam → les 10 commandements donnés au peuple
d’Israël par Dieu en les mains de Moïse → Église
catholique fondée par Notre Seigneur Jésus-Christ !
Toutes
les autres religions se sont éloignées avant ou après Jésus-Christ
de ce tronc commun, de cette épine dorsale de la Vérité !
8.B.2.h - Rien
de compliqué, il n’y a que deux étendards !
Dieu
ou Lucifer, le Vrai ou le faux, la Vérité ou le mensonge, le Beau
ou le laid, le Bien ou le mal, la Soumission ou la révolte, la
Servitude ou le Non Serviam, l’Autorité ou l’anarchie dite
participative, l’Homme seul Maître en sa Maison ou la féminisation
avec toutes ses dérives (séparation, puis jusqu’à son
aboutissement : l’homosexualité), etc.
D’où
la parole de Notre Seigneur Jésus-Christ : Nul
ne peut servir deux maîtres ; car, ou il haïra l’un et
aimera l’autre, ou il s’attachera à l’un et méprisera
l’autre. Vous ne pouvez servir Dieu et Mammon.
La
confusion, la cacophonie, à tous niveaux : religion, politique,
social, etc. nous font croire à un immense panier à crabes qui par
ses différentes options apparentes nous affole. Prenons de la
hauteur, et nous constaterons que tout est si simple, il n’y a que
deux étendards ! La Vérité et tous ces crabes grouillants,
les multiples têtes de la Bête, le Singe de Dieu,
qui essayent de L’étouffer !
8.B.2.i - Il
n’y a que deux étendards, Dieu et le Singe de Dieu !
L’Autocratie
divine est Une, l’anarchie son contraire est apparemment multiple,
mais de fait elle est une, aussi parlant des élections
présidentielles de 2’002, nous disions précédemment :
Comprenez
bien !, ce n’est pas le choix d’un candidat qui est en jeu,
mais le choix d’un système, le choix entre la Vérité et le
mensonge. Ainsi, l’on vous présente un Lionel Jospin, un Jacques
Chirac ou un Jean-Marie Le Pen. Regardez bien ces trois têtes, parmi
les autres (dix en tout), elles sont toutes reliées au même tronc,
à la Bête ! Le jeu démoniaque de la démoncratie est de vous
permettre de choisir la tête qui vous fait le moins peur !
Certains
préfèrerons tendre la cacahouète à Lionel, d’autres à Jacques,
et les moins éloignés de la Vérité, encore que si si peu, à
Jean-Marie ! Mais quand comprendrons-nous que si l’on veut
effectivement la fin de nos malheurs, il nous faut ne rien donner, à
aucune de ces têtes, car même en donnant la cacahouète qu’à
Jean-Marie, que nous paraît à cause de notre aveuglement le plus
‘sympathique’, nous alimentons la Bête : notre ennemi
commun, le Malicieux !
Jean-Marie
Le Pen, la tête la moins dangereuse !? Il est contre la
Famille !, en effet il est en concubinage (ne dites pas
remarié !) ; il est contre la vie, en effet il dit qu’il
aura une politique de dissuasion et non de coercition ; etc.
Le
démoncratie, c’est faire voter :
→ le
dernier des imbéciles contre le plus clairvoyant ; soit le
nivellement par le bas !
→ l’épouse
(qui est forcément plus à ‘gauche’) contre son Époux ;
soit l’insensée révoltée contre son Autorité ce qui amène le
divorce : deux capitaines dans un vaisseau, soit le vaisseau à
couper en deux !
→ le
fils contre son Père alors que ce premier loge peut-être encore
chez Lui ; soit le fils qui vrille la coque du navire Famille !
→ le
pervers contre-nature et forcément pédophile en son cœur contre le
Père de ses petites victimes ; ou, un homosexuel
fondamentalement ‘irresponsable’, destructeur, contre un Père de
Famille nombreuse !
Etc.,
la démoncratie est le Mensonge à l’état pur, la révolte à
l’état pur, le Non Serviam à l’état pur. La démoncratie est
fondamentalement contre-nature !
Peut-être
(encore que !) le vote non démocratique, mais alors que le vote
des Chefs de Famille (donc pas même le jeune Homme),
proportionnellement à leur charge familiale et de façon
hiérarchisée : Chefs de Famille votant pour un Chef du
village, Celui-ci votant pour un Chef intermédiaire (de province par
ex.), et Ce dernier pour un Chef du pays !
La
démoncratie est un passage nécessaire aux ennemis de toutes les
sociétés entre deux opposés absolument inconciliables : La
Vérité → le mensonge ; elle est le
passage nécessaire entre deux autocraties : Autocratie
divine → autocratie luciférienne.
Bien
sûr cette dernière est dévoyée, mais il n’en reste pas moins
que le seul système viable est autocratique. Du reste, regardez
bien, la démoncratie est vraiment un leurre, avez-vous vu une seule
fois un président tenir sa parole ? Aucun !, et Sarko est
vraiment le champion toutes catégories ! La démoncratie est un
miroir à alouettes, un paravent cachant les tireurs de ficelles ;
elle n’est là que pour installer le gouvernement mondial qui sera
autocrate ! La démoncratie est une étape nécessaire entre
deux autocraties, La légitime, vers l’illégitime !
De
fait, la démoncratie est
une autocratie pilotée à distance, de derrière le paravent, pour
passer de l’Autocratie de Droit divin à l’autocratie
luciférienne. La démoncratie est déjà l’autocratie
Luciférienne, mais qui avance encore avec son déguisement, son
loup
sur les yeux !
Ainsi,
si nous analysons le slogan ‘Ordo
ab
chao’, il veut
dire, en trois étapes :
1. pour
détruire l’Autocratie d’Ordre divin, l’Éternel Ordre nouveau,
qu’ils appellent l’Ordre Ancien, faisant ainsi accroire qu’Il
puisse être aboli,
2. instaurons
la démoncratie qui est le chaos, afin que las, éprouvés de ce
désordre,
3. les
gens supplient que l’on instaure l’autocratie du Singe de Dieu !
Le
passage de la Lumière vers les ténèbres est la pénombre ou
grisaille, cette pénombre ou grisaille n’est déjà plus la
Lumière, elle est bel et bien déjà les ténèbres !
Voyez-vous, il est saisissant que nous venions de dire la
Lumière (singulier) vers les
ténèbres (pluriel), ainsi aussi, plus haut
nous disions
L’Autorité
est Une, l’anarchie est multiple ! Le
Vrai, le Beau, le Bien est toujours Un !
La
démoncratie est un passage, mais elle est déjà le fruit du Malin,
elle est le mensonge, la malice permettant le passage du Bien vers le
mal, ainsi :
La
Vérité, la plénitude de l’Amour.
|
Le
mensonge avec son loup, les ‘promesses’ pour gogos.
|
Le
mensonge sans son loup, la désolation, la haine.
|
Dieu,
Son Ciel d’Amour sans fin ni lassitude
|
Le
Maître Dialogueur entre en scène en disant : Non
Serviam !
|
Lucifer
et son gouffre de haines et de souffrances éternelles
|
Le
Paradis terrestre, l’Éden.
|
|
|
L’Ordre
divin, ou l’Ordre ordonné !
|
Le
chaos, selon le mot d’ordre des Lucifériens : ‘Ordo
ab chao’.
|
Le
nouvel ‘ordre’ !, celui de Lucifer, ou l’‘ordre’
révolté !, la haine, les déchirures…
|
La
Famille, plénitude naturelle.
|
La
‘libération de la femme’.
|
La
destruction de la Famille par elle !
|
L’Autocratie
Familiale, le Chef de Famille seul Capitaine à bord, et ce de
Droit divin…
|
Les
époux ‘égaux’, le partage des responsabilités, soit
l’irresponsabilité à l’état pur ; deux capitaines
dans un seul vaisseau-Famille.
|
|
L’Autocratie
d’État : Roy au service des Chefs de Famille…
|
La
démoncratie
|
L’autocratie
de la véritable tyrannie : peuple au service du despote.
|
Etc…
8.B.2.j - La
religion, Les religions, l’opium du peuple !
La
religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un
monde sans cœur, comme elle est l’esprit des conditions sociales
d’où l’esprit est exclu. Elle
est l’opium du peuple.
Les
maîtres
d’erreurs
actuels, qui sont les disciples de Kant, Engels, Marx et Freud qui
ont eux-mêmes pour père commun : Lucifer, ont, comme nous
venons de le lire, une haine implacable et inassouvissable de toutes
les religions, mais Celle qu’ils abhorrent au plus haut niveau est
la religion (la véritable) Catholique !
Il
faut aussi se rappeler que cette tourmente apocalyptique qui forme
désormais un grand fleuve de cadavres, de sang et de larmes, se
développe dans le monde à une seule fin : détruire non
seulement la Religion Catholique et toute civilisation chrétienne,
mais aussi l’Islam, le Bouddhisme et toutes les religions, sauf une
dont nous parlerons après.
Nous
avons eu le plaisir de voir le site Les
Intransigeants, reprendre certains de nos textes, et là, dans
les commentaires, reviennent souvent certaines erreurs ou confusions,
les insultes sont ignorées, en voici trois que nous allons
commenter :
8.B.2.k - Le
Catholicisme d’origine Juive !?
Voici
par ex. un commentaire reflétant cette opinion :
Voyez
robert l’effet du christianisme, cette religion d’origine juive,
sur l’esprit d’européens.
Pour
commencer, car là commence la confusion, voyons les termes :
Chrétien(ne) - Christianisme et Catholique…
-- A.−
Religion chrétienne, fondée sur la personne et la parole de
Jésus-Christ. Se convertir au, embrasser le christianisme; les
dogmes, la morale du christianisme; le christianisme naissant,
primitif.
Ces
mêmes
maîtres d’erreurs,
dès le moment où, mais de fait déjà bien avant, la Très-Sainte
Vierge Marie déposait son adorable Fardeau qui venait de traverser
miraculeusement Son Sein
toujours virginal, dans la crèche, n’ont eu de cesse de lutter
contre notre Sauveur, d’où : Fuite
en Égypte & Massacre
des Saints Innocents avec l’espoir d’avoir
la Tête de Celui-ci dans ce charnier !
Ces
mêmes
maîtres d’erreurs après avoir fait de
multiples tentatives d’intimidation, après avoir tendu des pièges
tous plus vils les uns que les autres, après avoir tenté plusieurs
assassinats notamment par lapidation, en vinrent à Le livrer au
pouvoir Romain pour qu’il Le crucifie.
8.B.2.l - Très
souvent c’est le pouvoir religieux qui livre la victime au pouvoir
civil !
Voici
quelques condamnations ignominieuses réalisées par un tribunal
religieux livrant la victime au pouvoir politique pour exécution de
la sentence :
→ Jésus,
livré
par les princes des prêtres au pouvoir civil (Ponce Pilate) pour
exécution. Ce qui fit dire à Saint Jean Chrysostome : Ô
sentiments, ô cœurs exécrables ! Ils délivrent ceux qui leur
sont semblables par la dépravation et la corruption de leurs mœurs,
ils délivrent les criminels, et ils demandent la mort de l’innocent,
car depuis longtemps c’était là leur coutume.
→ Sainte
Jehanne d’Arc, livrée par l’Évêque Pierre Cauchon au pouvoir
civil Anglais pour exécution.
→ Époux
non défendus, donc effectivement lâchés, abandonnés, et donc
objectivement livrés, par l’Église officielle, apparente, lors de
demande de séparation-divorce de l’épouse seule
responsable de ces crimes !
→ Époux,
livrés par la ‘Rote’ forcément illégale de la FSSPX au pouvoir
civil (JAF) pour exécution (séparation-divorce).
8.B.2.m - Les
mêmes Maîtres d’erreurs à l’origine de toute les tribulations
de l’Église…
Les
mêmes
maîtres d’erreurs, qui persécutèrent les
chrétiens en les livrant toujours et encore au pouvoir civil pour
qu’ils fussent mis à mort comme dans les cirques, trahirent
constamment la société chrétienne en renseignant ses ennemis et en
les conduisant dans les catacombes, en poussant Néron à incendier
Rome et à en accuser les chrétiens, etc., etc., etc.
Ces
mêmes
maîtres d’erreurs furent à l’origine,
ou pour le moins favorisèrent, et ce dès les premiers temps, des
hérétiques ou schismatiques suivants :
Les
hérétiques :
les judaïsants, les gnostiques, les simoniaques, les manichéens,
les ariens, les macédoniens, les pélagiens, les nestoriens, les
eutychiens, les monothélites, les mahométans ou musulmans,
les Iconoclastes.
Les
schismes : le
schisme des Grecs, les Albigeois, les Cathares, le Protestantisme, le
Jansénisme.
Ainsi,
le christianisme originel a dû se singulariser pour se relever de la
confusion engendrée par ces schismes et hérésies incessants en
prenant le nom d’ Église
catholique romaine.
Revenons
au titre : La
Catholicisme est d’origine Juive…, et
voyons ce que Notre Seigneur Jésus-Christ (NSJC) a dit :
17.
Ne pensez pas que Je sois venu abolir la loi ou les prophètes ;
Je ne suis pas venu les abolir,
mais les accomplir.
18.
Car en vérité, Je vous le dis, jusqu’à ce que passent le ciel et
la terre, un seul iota ou un seul
trait ne disparaîtra pas de la loi, que tout ne soit
accompli.
19.
Celui donc qui violera l’un de ces plus petits commandements, et
qui enseignera les hommes à le faire, sera appelé le plus petit
dans le royaume des Cieux ; mais celui qui fera et enseignera,
celui-là sera appelé grand dans le royaume des Cieux.
20.
Car Je vous dis que si votre
justice n’est pas plus abondante que celle des scribes et des
pharisiens, vous n’entrerez pas dans le royaume des Cieux.
Ainsi
donc, NSJC n’est pas venu détruire la religion du Peuple élu,
mais la poursuivre, l’amener à son terme, à l’accomplissement
des prophéties : Ne
pensez pas que Je sois venu abolir la loi ou les prophètes ; Je
ne suis pas venu les abolir, mais
les accomplir, l’amener là où elle
devait aller, en la renouvelant,
et ainsi nous disons : la Nouvelle
Alliance, le Nouveau
Testament, la Nouvelle
Jérusalem, etc. Ceux qui la détruise, la
religion de l’Ancien
Testament, sont ceux qui n’ont pas voulu
reconnaître NSJC, et qui ont ainsi volontairement quitté le bateau
du Salut !
Lisons
cet extrait, tout en regrettant une allégeance au Vatican d’eux
(Vatican II) ! :
Dans
sa réponse aux chrétiens qui osent critiquer l’exposition, le
Père Martin expose une théologie qui n’est pas catholique. Et je
ne parle pas d’une antique théologie qui aurait été réformée
avec Vatican II, je parle de la théologie permanente de l’Eglise,
telle qu’elle s’exprime toujours dans la déclaration Nostra
Ætate de Vatican II, dont on rappellera qu’elle concerne « les
relations de l’Eglise avec les religions non chrétiennes ».
Dans ce texte, il n’est dit nulle part que les juifs seraient nos
« Pères dans la foi ». Bien au contraire, Nostra Ætate
souligne ce que les chrétiens doivent au judaïsme de l’Ancien
Testament. Nos pères dans la foi sont Abraham, Isaac et Jacob, ce
qui veut dire que l’Eglise est l’héritière d’Abraham et de
l’antique Alliance, par la Nouvelle Alliance conclue par le Christ
dans son sang, « le sang de l’Alliance nouvelle et
éternelle ».
Le
judaïsme de l’Ancien Testament est la religion du Temple, du
sacerdoce, du sacrifice de l’autel. Le judaïsme actuel (depuis
2.000 ans) n’a ni Temple, ni sacerdoce, ni sacrifice de l’autel.
Parce que c’est le christianisme qui, à travers le Christ, a
hérité du Temple (le corps du Christ : détruisez ce Temple,
et en trois jours je le reconstruirai), du sacerdoce (du Christ), du
sacrifice (du corps et du sang du Christ).
Donc
de dire que les Catholiques sont contre la religion donnée au peuple
hébreu est absolument faux, mais l’inverse bien vrai ! La
religion Juive d’hier (Ancien Testament) fut accomplie
par NSJC, c’est la religion catholique (Nouveau Testament) :
Ne
pensez pas que Je sois venu abolir la loi ou les prophètes ; Je
ne suis pas venu les abolir, mais les accomplir !
Il
n’y a eu aucune interruption, aucune cassure, aucun tressautement !
Simplement que ceux
qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de
Satan
ont, un peu avant
le Jugement de NSJC
quitté le Bateau de la Promesse, ils sont donc ainsi des Juifs
hérétiques, schismatiques, errant lamentablement de par le monde.
Les Catholiques sont les héritiers de la Promesse, de l’Ancienne
Alliance, ils sont la Nouvelle Alliance, le Peuple
de Dieu renouvelé, perfectionné, accompli :
Alors
Celui qui était assis sur le trône dit : Voici, Je
vais faire toutes choses nouvelles.
Et Il me dit : Écris, car ces paroles sont très sûres et
vraies.
8.B.2.n - Les
arabes ont un Islam arabe, d’origine arabe fait par des arabes pour
des arabes !?
Voici
la continuation du commentaire dont nous avons vu le début au point
DP-8B2k,
Le Catholicisme d’origine Juive !? :
Au
moins les arabes ont un Islam arabe, d’origine arabe fait par des
arabes pour des arabes eux…
Comme
nous l’avons démontré plus haut, l’Islam est une invention
susurrée (dite révélée !) par ceux
qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de
Satan, dans le creux de l’oreille de
Mahomet afin d’obtenir l’apostasie des chrétiens de ces contrées
qui étaient déjà fortement gagnées à NSJC, et d’enrayer,
empêcher la conversion des autres…
Ainsi,
en vérité, les
arabes n’ont
pas un
Islam arabe, d’origine arabe fait par des arabes pour des arabes ;
mais un Islam juif, d’origine juive, fait par un rabbin de la
synagogue
de Satan, pour détourner les arabes,
et bien d’autres, de la Vérité !
8.B.2.o - Notre
Seigneur Jésus-Christ a accompli les prophéties et fondé
l’Église !
Continuons
à lire ce même message : là
ce sont des goys qui se font tenir par le bout du nez par un prophète
Juif, né en Israël d’une religion intégralement écrite par des
Juifs, et traduite d’une langue du désert bizarroïde d’abord en
latin, puis dans leur langue.
NSJC,
de la lignée de David, Juif donc, n’est pas un prophète,
mais l’accomplissement
des prophéties, nuance ! Il, Vrai Dieu
et Vrai Homme, est en effet né en Israël, sa terre natale. La
religion de ces goys fut transcrite par les Apôtres Juifs aussi :
on l’appelle la Révélation ; cette dernière fut close par
la mort du dernier Apôtre : Saint Jean l’évangéliste !
8.B.2.p - Ni
‘cons’, ni anti-sémites, ni cogneurs !
Continuons
à lire ce message si révélateur : Quels
cons ces goys, ils se disent antisémites mais ils sont prêts à
cogner leurs femmes au nom d’une religion… sémite.
Ni
cons !
L’insulte !,
oui, toute l’argutie est contenue là : quels
cons !
Ni
antisémite !
Qu’est-ce
qu’être anti-sémite ? Le terme est impossible à définir !
Car, et ceci n’existe que pour ce terme, l’on joue subtilement
sur une équivoque : religion ou race ?
Si
sémite s’applique à la race :
→ Comment
pouvons-nous être anti-sémites alors que la race sémite n’existe
pas !, comme tout un chacun le sait, vu que cela nous est
continuellement rabâché lors des séances d’endoctrinement de nos
chers commissaires du peuple, qu’ils font du haut de leurs chaires
cathodiques qu’ils appellent les médias !
→ Comment
pouvons-nous être anti-sémites alors que nous suivons, nous les
Catholiques, une religion donnée à Abraham par le Seigneur Dieu et
parfaite par Son Fils NSJC, de race juive !
→ Comment
pouvons-nous être anti-sémites alors que la Révélation fut écrite
par les Apôtres qui étaient de race juive ?
→ Comment
pouvons-nous être anti-sémites alors que nous défendons tous les
fils de Sem lorsque l’on attaque leur Mariage, ce qui est bien bien
visible dans toute notre étude !
Pour :
de Sem lorsque l’on attaque leur Mariage :
Il
suffit de lire ces textes :
→ idem ;
point DP-5.B.4.h,
Voyons ce que librairiecatholique.com dit du livre Femme en Islam de
Siblini Marwan.
→ Etc. !
De
plus, en étant anti-sémite, racialement parlant, nous serions donc
contre tous les sémites, arabes et israéliens, mais aussi contre
tous les français, et tous les peuples ! Nous serions contre
notre propre sang, en effet qui peut dire finalement qu’il n’a
pas un peu de ce sang qui coule dans ses veines ?!
Si
sémite s’applique à la religion :
Nous
serions donc contre la religion catholique qui n’est que
l’accomplissement, la continuation de l’Ancienne Alliance !
Et
si l’on regarde qu’une des religions pratiquées par les sémites,
racialement parlant : la religion de ceux
qui se disent Juifs et ne le sont pas, mais qui sont une synagogue de
Satan,
là non plus l’on ne peut nous taxer d’anti…
d’anti-quoi-au-fait ? C’est ceux
qui se disent Juifs et ne le sont pas, qui
sont contre la religion de leurs Pères, et donc de l’Église
catholique, la vraie, qui en est son accomplissement !
Comment
pouvons-nous être racialement ou religieusement parlant
anti-sémites, alors que nous reconnaissons la Filiation divine de
Notre Seigneur Jésus-Christ, Vrai Dieu et Vrai Homme, et qu’ainsi
nous Lui rendons nos Devoirs d’adoration ? Et qu’ainsi donc
nous respectons, nous : la religion et la race sémite !
Ce
n’est pas l’Église catholique qui complote contre
anti-quoi-au-fait depuis plus de 2000 ans !
Ni
cogneurs !
Nous
défions quiconque de trouver un seul endroit dans toute notre étude
et ses annexes, les Nouvelles ou autres, où nous préconiserions de
cogner !
Si
cela devait se trouver, nous nous engageons à publier dans une page
spéciale une rectification et une amende honorable !
Du
reste, nous devons avouer que dans aucun texte, même produits par de
violents anti-musulmans, nous avons vu qu’un musulman préconise de
cogner sa femme !
Si
cette personne, perfidement, utilise le terme cogner,
hors contexte et uniquement pour créer une émotion, et pour
remplacer les termes : corriger, discipliner, donner des coups,
fouetter, etc., si elle ne veut pas obéir ! Cette personne est
une menteuse, une falsificatrice !
Nous,
Chefs de Famille, Catholiques, Musulmans, Sémites, etc., ne sommes
pas des cogneurs,
la violence n’est pas dans notre camp ! La véritable violence
d’un Époux est d’abandonner Son épouse à ses errances :
Enfin
il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous
ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.
Nous,
vrais Chefs de Famille, parce que nous compatissons à Nos épouses,
Nous devons en cas de
nécessité, et qui le ferait de Droit sinon !?, les
corriger, discipliner, leur donner des coups, les fouetter, etc.,
comme le préconise aussi
l’Église catholique, par ex. par la bouche de Saint Bernard :
S’il
devait compatir à sa femme, il devait la discipliner !
8.B.2.q - L’Islam
pose et posera de plus en plus de problèmes !
Continuons
avec un autre de ces messages : Et
l’Islam, en Europe est bien la religion qui pose le plus de
problème, et en posera de plus en plus.
Nous
ne craignons nullement les dévots de l’Islam, nous faisons
totalement nôtre la réponse de Sainte Bernadette Soubirous :
“Avez-vous
eu dans la grotte de Lourdes, ou depuis cette époque, quelques
révélations relatives à l’avenir et aux destinées de la
France ? La Sainte Vierge ne vous aurait-elle point chargée
pour la France de quelque avertissement, de quelque menace ?”.
“Non” [Les Prussiens étaient
protestants. C’est un peu comme si l’on parlait aujourd’hui,
dans certains milieux, de musulmans].
“Il
n’y aurait donc rien à craindre ?”. “Je ne crains que les
mauvais catholiques”. “Ne craignez-vous rien autre chose ?”.
“Non, rien”.
Cette réponse me semble très actuelle.
À Nous aussi, elle nous semble plus qu’actuelle !
Nous
craignons que les mêmes
maîtres d’erreurs, ou leurs suppôts, qui
sont maintenant à tous les postes de l’Église dite catholique !
8.B.2.r - Concordance
de la théologie Chrétienne et Islamique.
Voici
un dernier message qui nous changera des précédents : C’est
bien une preuve de plus qui illustre bien la concordance de la
théologie Chrétienne et Islamique.
Oui,
la concordance, ici relevée, est dans le fait que l’Une et l’Autre
religion en cela sont conformes à la Loi naturelle, à la Sagesse.
En
effet, dit
le Sage […] Celui
qui se
néglige, n’a
pas soin
de chasser la fumée, de
corriger sa femme,
et de réparer le toit de sa maison…
Le
négligent n’a pas soin de la corriger !
Puissions-nous
par la Grâce de Dieu avoir en partage toute la Sagesse ! Soyons
Sages !
8.B.2.s - ‘Ils’
ont en ligne de mire, au premier plan : L’Église catholique,
La vraie !
Attention,
rappelez-nous que maintenant nous sommes sous le carcan du Menteur,
du Malicieux, comme jamais, aussi ce
qui paraît n’Est pas et ce
qui Est ne paraît pas (plus) !
Il
nous faut chercher cette Église qui est belle et bien totalement
éclipsée, comme l’a dit ND à La Salette : Rome
perdra la foi et deviendra le siège de l’antéchrist… L’Eglise
sera éclipsée, le monde sera dans la consternation.
8.C - La
femme, à l’extérieur, quel doit être son comportement.
8.C.1 - Le
travail de la femme la conduit forcément sur le trottoir.
Tout
ceci a déjà été largement développé dans toute cette étude,
mais nous pensons y revenir plus tard…
Faire
travailler Sa femme c’est la prostituer !
Voir :
8.C.2 - Saint
Pie X : la femme dans les lieux saints.
Le
22 novembre 1903, jour de la fête de Sainte Cécile, le Pape signait
le « Motus proprio sur la musique sacrée », qu’Il
appelait lui-même « le code juridique de la musique
sacrée ».(p. 154, §2)
Il
rappelle que les femmes ne peuvent être admises à faire partie du
chœur ou de la maîtrise.
En
vertu du même principe, les
chantres remplissent dans l’église un véritable office
liturgique ;
partant,
les
femmes étant incapables de cet office
ne peuvent être admises à faire partie du chœur ou de la maîtrise.
Si donc on veut employer les voix aiguës de soprani
et
de contralti,
on devra les demander à des enfants [mâles
donc !],
suivant le très antique usage de l’Église.
Et
là, nous allons nous faire traiter de Talibans ! Et même par
les cloaques
d’impureté de la Trahition !
Cela
fut en effet jeté à la figure d’un de nos correspondants par des
prêtres de cette Trahition
parce qu’il leur avait mis ce texte sous les yeux ! Ils lui
dirent qu’il fallait vivre
avec son époque, que ce
qui était valable et imposable de ce temps là, ne l’était plus
maintenant ! Mensonges !, Loups
déguisés en brebis : Gardez-vous
des faux prophètes qui viennent à vous sous des vêtements de
brebis, mais au dedans sont des loups rapaces !
Pourquoi
les femmes, et ce, à n’importe quel âge, et de n’importe quel
milieu (sauf couvent cloîtré de femmes, car elles ne sont qu’entre
femmes !), ne
peuvent être admises à faire partie du chœur ou de la maîtrise ?,
parce que les
chantres remplissent dans l’église un
véritable office liturgique, et que
les
femmes étant incapables de cet office
ne peuvent être admises ! En effet,
aussi, une femme ne peut nullement remplir d’office quel qu’il
soit ; officier en quoi que ce soit !
Pour :
officier en quoi que ce soit :
L’on
ne peut pas ne pas penser à ce sévère avertissement de Saint
Paul :
34.
Que les femmes se taisent dans les
églises, car il ne leur est
pas permis de parler ; mais qu’elles soient soumises,
comme le dit aussi la loi.
35.
Si elles veulent s’instruire sur quelque chose, qu’elles
interrogent leurs maris à la maison ; car il
est honteux pour une femme de parler dans l’église.
Comment
des prêtres peuvent-ils parler ou agir contre le dépôt de la Foi
qui fut clos avec la mort du dernier Apôtre, soit Saint Jean
l’Évangéliste, et ce dont sûrement fait parti ce que Saint Paul
a écrit, et ce qui précède et ce qui suit :
Je
m’étonne que vous vous détourniez si vite de celui qui vous a
appelés à la grâce du Christ, pour passer à un autre évangile.
Non pas qu’il y en ait un autre ; mais il y a des
gens qui vous troublent, et qui
veulent renverser l’Évangile du Christ. Mais si quelqu’un,
fût-ce nous-même ou un Ange du
Ciel, vous annonçait un autre évangile que celui que nous
vous avons annoncé, qu’il soit anathème !
Je l’ai dit, et je le dis encore maintenant : Si quelqu’un
vous annonçait un autre évangile que celui que vous avez reçu,
qu’il soit anathème !
Peut-être
est-il nécessaire de rappeler la définition d’un mot que Saint
Paul (Apôtre, dépôt de la Foi !) vient d’utiliser deux
fois, contre les gens
qui vous troublent, et
qui veulent renverser l’Évangile du Christ,
fût-ce
nous-même, soit Saint Paul !, ou un
Ange du Ciel : anathème !
-- Anathème :
II.− RELIG. CATH. A.− Sentence de
malédiction à l’encontre d’une doctrine ou d’une personne
jugée hérétique; peine ecclésiastique qui consiste à retrancher
publiquement quelqu’un pour cause d’hérésie de la communauté
des fidèles, à l’excommunier
en le maudissant.
Ainsi,
une personne qui dit, laisse dire ou fait, fut-il Apôtre ou prêtre
même de la Trahition
ou Ange
du Ciel, autre chose que ce que Saint Paul
vient de dire, et faisant partie du dépôt de la Foi, par ex. qu’une
femme peut chanter dans la chorale,
et ainsi officier,
et donc ainsi aussi parler
dans les églises : est anathème,
excommunié !
Peut-être
est-il nécessaire de rappeler que celui qui suit un prêtre, évêque,
etc., qui est excommunié, et ici de facto, est lui-même
excommunié !
Peut-être
est-il nécessaire de rappeler que celui qui meurt excommunié,
anathématisé, va en enfer !
Évidemment,
l’on va nous sortir, et cela nous fut dit, que ce que Saint Paul
vient d’interdire aux femmes est dit dans une Épître, et que
Saint Paul anathématise que ceux qui annonceraient un autre
Évangile ! On nous dira aussi que ce que Saint Pie X
interdisait relevait du pastoral et non du doctrinal !
Hypocrites :
13.
Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites,
parce que vous fermez le royaume
des Cieux devant les hommes ; car vous n’y entrez pas
vous-mêmes, et vous ne laissez pas entrer ceux qui désirent
entrer.
23.
Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites,
qui payez la dîme de la menthe, de l’aneth et du cumin, et qui
avez abandonné ce qu’il y a de
plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la
fidélité. Il fallait faire ceci,
et ne pas omettre cela.
24.
Guides aveugles, qui filtrez le moucheron, et qui avalez le chameau.
25.
Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites,
parce que vous nettoyez le dehors de la coupe et du plat, et qu’au
dedans, vous êtes pleins de rapines et d’impureté.
26.
Pharisien aveugle, nettoie d’abord le dedans de la coupe et du
plat, afin que le dehors devienne pur aussi.
27.
Malheur à vous, scribes et pharisiens hypocrites,
parce que vous êtes semblables à
des sépulcres blanchis, qui, au dehors, paraissent beaux aux
hommes, mais qui, au dedans, sont pleins d’ossements de morts et de
toute sorte de pourriture.
28.
Vous de même, au dehors, vous
paraissez justes aux hommes ; mais, au dedans, vous êtes pleins
d’hypocrisie et d’iniquité.
Remplacez
scribes et pharisiens par prêtres, Évêques, et même Le plus
hautement placé, comme lesdits Papes, tordus*
parmi les tordus* ;
ce, depuis ledit Jean XXIII, et de plus en plus flagramment en
approchant dudit Benoît XVI qui a véritablement une face de démon
grimaçant ! Ils, comme tous ces prêtres, sont blanchis
au
dehors, mais qui
au dedans sont pleins
de pourriture… ! Remarquez comme c’est
troublant, ne sont-Ils pas, ces pleins
de pourriture, habillés de blanc ?,
soit bel et bien blanchis
au
dehors !
8.C.3 - En
la chorale, l’école, le lieu de travail : une débaucheuse !
Nous
avons vu l’impossibilité pour les femmes de remplir un
véritable office liturgique, par contre les
femmes, dans les chorales, remplissent bien un office voulut par le
Malicieux, celui de dissoudre la société, on dirait qu’elles ont
une démangeaison :
Car
il viendra un temps où les hommes ne supporteront plus la saine
doctrine ; mais ils amasseront autour d’eux des docteurs selon
leurs désirs ; et éprouvant aux oreilles une vive
démangeaison,
ils détourneront l’ouïe de la vérité, et ils la tourneront vers
des fables.
Pour :
aux oreilles une vive démangeaison
Dans
les chorales, les femmes ont la mission que leur assigne à leurs
dépends le Malin, celle de perdre des Âmes :
→ d’elles-mêmes
en venant débaucher, troubler les Hommes !, faut-il un dessin ?
→ des
Hommes non mariés et qui prospectent au lieu de louer Dieu, leur
véritable
office liturgique, en plus des pensées
impures et divers…
→ des
Hommes mariés, dont les épouses s’occupent des enfants forcément
en dehors de la chorale !
Ainsi,
le Ver
Rongeur
ronge, ronge la société, et c’est le même schéma qui se déroule
dans les écoles mixtes ou sur le lieu du travail, dans les piscines
ou sur les plages où l’on assiste au déballage de viande
avariée !
Que
font les femmes dans ces cas là, si ce n’est de minauder et de
distraire les Hommes de leur devoir ?, les débaucher ! De
véritables succubes en service commandé par le Malin !
Malicieux !
8.D - La
femme, dans les drames, sa seule responsabilité !
8.D.1 - L’épouse
insensée renverse sa Maison de ses propres mains…
Il
[l’Esprit-Saint] recommande [à la femme] :
a)
Le bon sens ; car, d’après lui, « une femme sensée
bâtit sa maison et une femme
insensée la renverse de ses propres mains ».
b)
La bonté ; car « il n’y a pas, dit-il, de colère plus
grande que la colère d’une femme. J’aimerais
mieux habiter avec un lion et un dragon que de demeurer avec une
femme méchante ».
c)
L’amour du travail et du travail manuel : car la femme forte
« met la main à la quenouille, et ses doigts prennent le
fuseau ».
d)
L’amour du silence ; car « une femme bavarde (mulier
linguata) est pour un mari paisible comme une montée sablonneuse aux
pieds d’un vieillard ».
Tout
ceci trouve ses commentaires depuis le début de notre étude, ne
nous répétons pas !
8.D.2 - Il
y a trois choses qui font de la maison un désert…
2.
D’ailleurs, pour que la lutte soit plus terrible, les mailles de la
cuirasse se resserrent, comme on dit, car en même temps que le cœur
de l’homme se néglige lui-même, il s’occupe avec curiosité des
autres. Il y a trois choses,
dit le Sage (Prov. XXVII, 15), !qui
font de la maison un désert, ce sont la fumée, la pluie
et une femme acariâtre.
Or, comment le négligeant pourrait-il s’en garder ? Celui
qui se néglige, n’a pas
soin de chasser la fumée, de
corriger sa femme, et de réparer le toit de sa maison…
8.E - La
femme, en ‘danger’, ce qu’elle doit considérer…
La
femme n’est jamais en danger,
si ce n’est d’elle-même !
Il
y a deux types de ‘danger’ : le physique et le moral !,
l’un pour le corps, l’autre pour l’Âme…
Vous
remarquerez qu’intentionnellement et en Vérité, nous écrirons en
‘danger’ entre guillemets, car nous confirmerons ou constaterons
qu’elle, l’épouse, n’est jamais réellement en ‘danger’,
sauf, sauf, sauf…, mais cela nous le verrons plus loin !
8.E.1 - La
femme en ‘danger’ physiquement…
La
femme se met elle-même,
en danger physiquement !
La
femme en ‘danger’ physiquement a été largement vu en fin du
chapitre principal précédent.
→ DP-7.E.5,
Si l’épouse la fermait, elle ne serait pas battue !
→ DP-7.E.6,
Veut-elle découvrir l’eau miraculeusement contre-coups !
→ DP-7.E.7,
St Augustin : si l’épouse est battue, cela ne vient que
d’elle !
→ DP-7.E.8,
Notre Seigneur Jésus-Christ dit-Il autre chose ?
→ DP-7.E.9,
Allez, une petite dernière pour la route…
Fort
de ces développements renforcés eux-mêmes par tout l’ensemble de
notre étude, nous pouvons dire que : Une
femme ne peut jamais être ‘en danger de se faire battre !’,
il lui suffit qu’elle la ferme une bonne fois pour toutes avec son
verre d’eau dans la bouche, et qu’elle obéisse parfaitement,
qu’elle satisfasse pleinement son Époux !
Pour :
avec son verre d’eau dans la
bouche :
Et
si donc elle se fait ‘battre’, c’est qu’elle s’est mise
sciemment
en danger, et ainsi le seul et uniquement responsable n’est pas
l’Époux, mais la femme.
Voir :
Nous
avons aussi démontré et démonté l’escroquerie ou
l’irresponsabilité présente dans certains textes étudiés, le
double langage parfaitement hypocrite de ces prêtres, et non de
l’Église, la vraie il s’entend !, principalement quant à
l’obéissance de la femme envers son Époux :
→ La
femme doit obéir en toutes choses, sauf
bien entendu, le cas où le mari lui demanderait des choses que sa
conscience à elle lui interdit.
Voir :
→ Si
elle n’obéit pas à son mari lorsqu’il ne lui donne que des
ordres
légitimes.
→ Si
elle refuse sans
motif
de suivre son mari…
Eh
bien, nous allons constater exactement le même double langage au
sujet de l’épouse en ‘danger’ moralement !, voici :
8.E.1.a - Notre
‘acharnement’ à dénoncer la Trahition…
Avant
de poursuivre nous devons re-clarifier la raison de notre acharnement
à dénoncer la Trahition.
Pour commencer, pour ceux qui ne connaissent pas ce milieu, la
Tradition est un terme pour nommer et définir un courant. Il se
somme lui-même Tradition et nous le dénonçons comme traître, d’où
l’appellation Trahition.
La
Tradition est une réaction contre les dérives de Vatican II, de
fait contre l’apostasie de tout le clergé qui Le suivait et Le
suit !
Or,
les prêtres de la Tradition jouent sur une équivoque, un double
langage (vraiment ces prêtres sont des champion du jésuitisme)
qui est de dire : nous ne pouvons pas suivre ce Pape qui prône
continuellement des erreurs (nous ne pouvons ici les nommer, cela
serait bien trop long) alors que dans le même temps ces prêtres
disent : qu’ils suivent ce Pape de peur d’être en dehors de
l’Église ! La chose et son contraire !, ou l’exact
contraire de ce que disait Notre Seigneur Jésus-Christ : Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal(Math.
5, 37).
Ces
prêtres sont des flûteurs de mélodies maléfiques, ils entraînent
sciemment les gents dans une voie de garage, et leurs agissements
sont des plus sectaires. Devant la déroute de la Morale due
principalement à l’apostasie générale de l’Église dite
catholique, ils en profitent, ces pervers, pour faire main basse sur
les catholiques désorientés, ils sont devenus des gourous dont la
principale occupation, inquiétude, est d’écrire sans en avoir
trop l’air d’insister : pour
nous aider, voici notre n° de compte bancaire.
Et là, d’utiliser ladite détresse financière de leursdites
bonnes œuvres pour apitoyer !
Or,
plus l’on se dit pure, intègre (d’où le nom : intégriste),
plus l’on se présente comme ami, plus l’on est dangereux en cas
de trahison, et plus celle-ci est scandaleuse, ne dit-on pas :
Seigneur,
occupez-vous de mes amis, je m’occuperai de mes ennemis.
Pour plus de précisions recherchez le mot ‘Trahition’
dans notre étude.
Revenons
maintenant à notre premier propos :
8.E.2 - La
femme en ‘danger’ moralement…
La
femme se met elle-même,
en danger moralement !
La
femme dite en danger moralement, risquant de suivre un Époux déviant
quant à la foi ou la morale, doit-elle quitter son Époux, pour
sauver son Âme et Celles des enfants ?…
Non,
rien de plus faux, et malheureusement ce mensonge, qu’elle devrait
quitter son Maître si elle est en ‘danger’, est colporté par
tout le monde maintenant, et même et surtout par les prêtres de la
Trahition !
De
le prouver irréfutablement, et nous attendons sereinement nos
contradicteurs, va être le propos de ce point !
Pour :
attendons sereinement nos contradicteurs :
Nous
allons voir maintenant la femme dite en danger de se perdre
moralement parce que suivant un Époux dangereux quant à la
moralité : alcoolique, bandit, amoral, aposta, etc.
De
la même façon que nous avons laminé, détruit la fable de la
femme battue, nous allons tout pareillement
pulvériser l’escroquerie de ladite femme
en danger moralement !
En
effet, c’est bien ce que disent ces pervers de prêtres, ces
cloaques
d’impureté, et principalement ceux de la
Trahition, c’est
que : l’épouse
ne peut suivre son Époux l’entraînant
au mal, et que ceci est une raison hautement louable et
incontournable pour se séparer de Lui !
Voici :
8.E.3 - Sainte
Clothilde mariée à un païen et barbare par les Évêques…
Sainte
Clothilde, 465-545.
Nous
devons lire attentivement un extrait d’un livre où (Sainte)
Clothilde se raconte :
J’eus
alors la surprise de voir arriver l’évêque Avitus. il
avait affronté le danger des routes hivernales pour se faire auprès
de moi l’interprète du peuple catholique. A n’en pas douter,
me dit-il, Dieu
me confiait une immense mission.
la conversion
de Clovis dont l’évêque pressentait qu’il serait « l’arbitre
de son époque ». L’exemple du souverain serait décisif.
L’hérésie
ne devait pas gagner le peuple franc
qui semblait promis à un
grand avenir. Or,
deux sœurs de Clovis venaient
de se convertir à l’arianisme.
Le sort de l’Eglise, celui
de la Gaule, dépendaient peut-être de moi.
Je
me revis soudain dans le jardin du palais de Lyon… Je
me rappelai la parole de l’évêque Prudent sur les destinées
des grands de ce monde. Je compris que l’heure était venue
d’accepter la mission que Dieu me confiait par l’entremise
de son évêque. Avitus me promit le soutien de tout le
clergé, la prière de tout le peuple. Je m’en remis à la volonté
du Seigneur car ce n’était ni par ambition ni pour tout
autre motif que j’acceptais cette union, mais pour la gloire
de Dieu et le salut de son Eglise.
Nous
aurions pu prendre une autre source, celle-ci est amusante.
Ce
qui nous intéresse est ce fait, et qui est bien connu : Sainte
Clothilde est mariée à un barbare païen !, et c’est un plan
d’Évêques de l’Église catholique ! Mariée à un barbare
païen aux mœurs plutôt rudes !, ce dans l’espoir qu’elle
puisse convertir Clovis qui emportera ensuite Son peuple. Mais aussi
pour casser l’extension de l’arianisme,
et ce, pour
la
gloire
de Dieu et le salut de son Église.
Notre
propos n’est par de critiquer le pari sur l’avenir qu’ont fait
ces Évêques, bien au contraire nous l’approuvons sans réserve,
mais seulement de montrer l’hypocrisie de certains Hommes d’Église
(tous actuellement) utilisant comme des maestros le double langage !
8.E.3.a - Voyons
au préalable l’union de Clothilde à Clovis :
Escortée
de guerriers francs, la "belle et sage" Clotilde
rejoint Clovis aux environs de Troyes, à Villery. Le couple
se dirige ensuite vers Soissons où
les noces vont être consommées. En effet, nulle
cérémonie officielle n’est de coutume chez les Francs :
les époux se donnent seulement
charnellement l’un à l’autre. Au matin, la mariée reçoit
un don, le Morgengabe. Aux yeux de tous, le jeune époux atteste
ainsi que sa femme était bien vierge et que les enfants qui
naîtront de l’union constitueront sa descendance.
8.E.3.b - Un
petit retour sur : Qui épouse qui ?
Si
vous visitez la source que nous avons mise, vous verrez le titre qui
est Clovis
épouse Clotilde. Et ainsi par un titre, l’on
ancre un mensonge hautement destructeur ; non !, ce n’est
pas Clovis
qui épouse
Clotilde, mais c’est Clotilde
qui épouse
Clovis !
Pour :
ancre un mensonge hautement destructeur :
Et
comme la préséance demande en effet que l’on cite Clovis en
premier, alors, le titre aurait dû être : Clovis
prend Clotilde
pour épouse !
Ceci dit, ce n’est pas pour ce titre que nous avons mis ce texte,
revenons à ce dernier.
8.E.3.c - Un
petit retour sur : le Sacrement de Mariage.
Vous
souvenez-vous de ce que nous disions au sujet du Sacrement de
Mariage : que ce n’était pas l’Église qui l’avait fait,
ni Notre Seigneur Jésus-Christ qui l’avait institué, mais Dieu le
Père. Et que de plus ce Sacrement n’avait été incorporé aux
Sacrements de l’Église que bien bien tardivement ?
Pour :
Christ qui l’avait institué, mais Dieu le Père :
→ DP-4.B,
Le Mariage naturel, définition et caractéristiques.
et suivants…
→ DP-4.F.1,
Graves aberrations lors de la cérémonie du Mariage !,
et suivants.
→ et
toute notre étude !
Pour :
de l’Église que bien bien tardivement :
Au
sujet de l’union de Clothilde à Clovis, nulle part, vous voyez un
Mariage devant l’Église, ni un Sacrement de l’Église
catholique, ni même de présence d’un prêtre !
Par
contre, il y a bien eu Sacrement de Mariage, en effet, il y a bien eu
une proposition de
consentement faite à Clothilde par Clovis, et une
acceptation de cette
proposition par Clothilde : les
époux se donnent seulement charnellement l’un à l’autre.
Pour :
de consentement faite à
Clothilde :
→ DP-4.B.2.c,
Voyons Abraham qui fait chercher une femme pour son fils Isaac.
→ DP-4.B.3,
Le ministre du Sacrement de Mariage est l’Homme, non le prêtre !
et suite…
→ DP-4.F,
Aberrations diverses dans l’Église. ;
et divers.
8.E.3.d - Un
petit retour sur : La virginité de l’épouse.
Nous
profitons pour remontrer que la virginité est bien une condition
sine qua non pour le Mariage : Aux
yeux de tous, le jeune époux atteste ainsi que sa
femme était bien vierge
et que les enfants qui naîtront de l’union constitueront sa
descendance.
8.E.3.e - Des
Évêques plein de Foi en la providence divine ‘parient’ sur
l’avenir !
Revenons
à notre début : 8.E.3,
Sainte Clothilde mariée à un païen et barbare par les Évêques…
Comment
pouvaient-Ils, ces Évêques, avoir la certitude que Clovis se
convertirait ? Impossible, humainement ! Et si Clovis ne
s’était pas converti ; mais qu’au contraire, si Clovis
avait entraîné Clothilde à apostasier : soit en versant dans
l’arianisme,
ou soit en devenant païenne ?
Si,
au lieu de ce qui était escompté, en ce qui regarde ce foyer,
Clovis avait refusé que Ses enfants soient baptisés, et si de plus
Il les avait poussé à devenir des criminels ?, comme nous le
verrons plus loin avec l’Époux de Sainte Rita.
Voyant
Clovis s’endurcir et Clothilde endit danger de se perdre et les
enfants tournant mal, qu’auraient fait ces Évêques ?
Auraient-Ils poussé Clothilde à se séparer ?, à trahir son
Époux, pour prétendre se sauver ? Aurait-elle pris les enfants
pour les sauver pareillement ? En cette époque !, qu’elle
essaya !
Ainsi,
pour sûr, Clovis se serait endurci encore plus et alors l’on ne
pouvait plus espérer l’amener à la religion catholique en Lui
enlevant Sa femme qu’Il aimait. Ainsi aussi la conversion de la
France ne se serait pas faite, en tous les cas pas avant bien
longtemps !
Et
subsidiairement, à partir de combien de temps pouvaient-Ils, ces
Évêques, être sûrs que Clovis ne se convertirait pas :
quelques jours, mois, années, sur son lit de mort ? En effet,
Il mit tout de même un bon bout de temps, Il Lui fallut même être
en très grand danger à Tolbiac pour promettre à Dieu une future
conversion.
La
Foi de l’Évêque Avitus
en l’inspiration que Dieu Lui donna est visible dans ce que raconte
Clothilde : A
n’en pas douter,
me
dit-il,
Dieu me confiait une immense mission !,
Elle suffit, cette Foi, à cet Évêque pour livrer cette tendrelette
à un païen plus que rustre et dangereux selon lesdits canons
actuels !
Est-ce
que nous ne devrions pas dire, quant à la Foi en ce que Dieu inspira
à Avitus : La Foi ?!, foutaise ! roulette russe !
coup de poker ! pari sur l’avenir ! irresponsabilité !
Non,
nous ne disons pas cela ; non, nous ne le dirons jamais !,
la Foi oui certes ! La Foi en la Providence divine !
Alors,
voici l’autre facette de ce double langage :
8.E.3.f - Des
Évêques sans Foi en la Providence divine détruisent sciemment
l’Avenir.
Qu’est-ce
pour un Croyant en Dieu que l’Avenir ?
L’Avenir
c’est :
→ L’Avenir
final, ultime, les fins dernières : le Ciel avec sa jouissance
sans ombres ni lassitudes de Dieu.
Mais
avant, l’Avenir c’est :
→ L’Avenir,
dans le Beau, le Bien, dans la Volonté divine, en la Famille,
c’est : un foyer uni, une épouse amoureusement soumise,
sous-mise !, pour générer de sains et Saints enfants.
Donc
ainsi, si l’on détruit un foyer, l’on détruit l’Avenir
terrestre et
l’Avenir éternel, des membres de ce foyer.
Or,
la hiérarchie de la Trahition,
ne parlons pas de celle de l’Église apparente, avec sadite Rote,
dit aux épouses qui ont un Époux dit déviant quant à ladite
discipline imposée par la secte : non
seulement vous pouvez, mais vous devez quitter votre Époux et le
traîner
devant les tribunaux !
Le
véritable danger que courent ces épouses, c’est en réalité le
danger que la secte soit démasquée, et qu’ainsi la secte n’ait
plus accès aux porte-monnaies des Chefs de Famille.
Ces
prêtres sont perfides, pervers, ils jouent sur du velours avec les
femmes, ils savent pertinemment que c’est le maillon faible du
Foyer ; ainsi, se disent-ils, puisqu’elle cherche maladivement
et comme sans s’en rendre compte un contre-pouvoir à celui de son
Époux, il suffit de lui susurrer du fond du confessionnal, en
faisant fort attention que sa longue queue fourchue ne dépasse pas :
votre
Époux n’a pas le droit de vous imposer telle ou telle chose.
Pour :
un contre-pouvoir à celui de son Époux :
Le
Mari découvrant la source de la révolte naissante, ou déjà
fortement ancrée, décide de couper d’avec la secte. Et les
cloaques
d’impureté passent à l’étape suivante,
ils, ces véritables Raminagrobis,
lui persiflent très mielleusement l’étape suivante : madame,
pour sauver votre Âme et vos enfants, vous devez quitter cet Époux
ayant une conception musulmane du Mariage !
Pour :
les cloaques
d’impureté passent à l’étape :
Pour :
ces véritables Raminagrobis, lui persiflent :
Raminagrobis ?
Recherchez ce nom en nos documents !, en voici une description
de ce genre de prêtre (comme tous du reste !, tous cloaques
d’Impureté comme le dit la Très-Sainte Vierge Marie à La
Salette) : Raminagrobis
vivant comme
un dévot ermite, un prêtre faisant
la chattemite, un saint homme de prêtre,
bien
fourré, gros et gras, arbitre expert sur tous les cas !
(d’après Le Chat, la Belette et le petit lapin de Jean de La
Fontaine.)
Pour :
une conception musulmane du Mariage :
Eh
bien, nous allons voir ce qu’en pensent des Saints, et ainsi mieux
débusquer, révéler le double langage de ces pervers :
8.E.4 - Saint
Pierre aux épouses ayant un Maître, un Mari difficile.
Lisons
Saint Pierre :
15 Car
c’est la volonté de Dieu qu’en
pratiquant le bien vous réduisiez au silence les hommes ignorants et
insensés,
16 étant
libres, sans faire de la liberté un voile qui couvre la méchanceté,
mais agissant comme des serviteurs de Dieu.
17 Honorez
tout le monde ; aimez les frères ; craignez Dieu ;
honorez le roi.
18 Serviteurs,
soyez soumis en toute crainte à vos maîtres, non seulement à
ceux qui sont bons et doux, mais
aussi à ceux qui sont d’un caractère difficile.
19 Car
c’est une grâce que de supporter des afflictions par motif de
conscience envers Dieu, quand on
souffre injustement.
20 En
effet, quelle gloire y a-t-il à supporter de
mauvais traitements pour avoir commis des fautes ? Mais
si vous supportez la souffrance
lorsque vous faites ce qui est bien, c’est une grâce devant Dieu.
Lisons-Le
encore :
1.
Que les femmes soient pareillement
soumises à leurs maris, afin
que, si quelques-uns ne croient pas à la parole, ils soient gagnés
sans parole par la conduite de leurs femmes…
2.
lorsqu’ils verront votre conduite chaste et respectueuse.
3.
Que leur parure ne soit pas celle du dehors, la frisure des cheveux,
les ornements d’or, ou les habits qu’on revêt ;
4.
mais celle qui convient à l’homme caché du cœur, par la pureté
incorruptible d’un esprit doux et modeste, qui est d’un grand
prix devant Dieu.
5.
Car c’est ainsi qu’autrefois les saintes femmes qui espéraient
en Dieu se paraient, soumises à leurs maris :
6.
telle Sara, qui obéissait à Abraham, l’appelant son seigneur ;
Sara dont vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien
et sans vous laisser troubler par aucune crainte.
7.
Vous de même, maris, montrez de la
sagesse dans vos relations avec vos femmes, comme avec un sexe
plus faible, les traitant avec honneur puisqu’elles sont, aussi
bien que vous, héritières de la grâce de la vie, afin que vos
prières ne soient point empêchées.
8.E.4.a - Soyez
soumises en toute crainte à vos Maîtres, vos Époux !
Ce
texte (2, 17-18 et 3, 1-6) peut être transposé ainsi pour l’épouse,
en effet Saint Pierre dit plus loin (3.1), Femmes,
soyez de
mêmes
soumises à vos maris :
Honorez
votre mari, le roi ! Épouse, servante, soyez soumise en toute
crainte à votre Mari, votre Maître, même s’Il est d’un
caractère difficile. Afin que, s’Il n’obéit point à la parole,
Il soit gagné sans parole par votre conduite de femme […] Ainsi se
paraient autrefois les saintes femmes qui espéraient en Dieu,
soumises à leurs maris, comme Sara, qui obéissait à Abraham et
l’appelait son seigneur. C’est d’elles que vous êtes devenues
les filles, en faisant ce qui est bien, sans
vous laisser troubler par aucune crainte.
Donc
ainsi, nous venons de voir qu’à un Époux d’un
caractère difficile, et même si on
[l’épouse] souffre
injustement et qu’on subit de
mauvais traitements, et même si l’Époux
ne
croi[en]t
pas à la parole, l’épouse doit être
pareillement
[au Maître d’un caractère
difficile] soumise à son mari,
sans se laisser
troubler par aucune
crainte !
Ce
que nous venons de lire peut-être transposé ainsi sans en trahir le
sens, et c’est Saint Pierre qui nous le dit donc : épouses,
soyez soumises en toutes choses à votre Époux, même violent et
difficile à vivre, et pire, même éloigné de la religion,
n’ayez aucune
crainte !
Ce
que nous venons de lire est l’exact opposé de ce que disent les
prêtres de maintenant, et particulièrement ceux de la Trahition !
Pour
finir, le : Vous
de même, maris, montrez de la sagesse dans vos relations avec vos
femmes (3, 7), est une exhortation au Mari.
Mais la docilité du Mari à cette sage exhortation, n’est
nullement une condition à la soumission de l’épouse, la preuve,
et ce que nous venons de voir ensemble, et retranscrit ainsi :
épouse,
soyez soumise en toute crainte à votre mari, votre maître, même
s’il est d’un caractère difficile, afin que, s’il n’obéit
point à la parole il soit gagné par votre soumission… !
Nous
attendons très sereinement nos contradicteurs !
8.E.5 - Mgr
Jean-Joseph Gaume dit d’un Mari irréligieux, violent…
Si
le Mari s’écarte de la religion :
Depuis
que l’esprit païen, réchauffé par la Renaissance, souffle d’un
bout de l’Europe à l’autre sur les générations lettrées, le
jeune homme a-t-il conservé la conscience de sa mission ? se
montre-t-il fidèle à l’accomplir ? est-il pour sa femme un
principe de sanctification ? Qu’il s’interroge et qu’il
réponde. Si le spectacle de la société dépose contre lui, que
reste-t-il à la femme ? sinon
à devenir elle-même pour son époux ce que son époux devrait être
pour elle. Au lieu d’une
âme à sauver, elle en a deux.
J’ai
deux âmes à sauver ! Ces mots, gravés dans son cœur comme le
nom de son époux sur l’anneau nuptial, doivent inspirer ses
pensées, dicter ses paroles, régler le ton de sa voix, soutenir ses
efforts, orienter sa conduite, résumer sa vie. Il n’y a pas à
reculer : c’est une question de bonheur ou de malheur, même
en ce monde. Comment la résoudre avec succès ? Il est pour
cela un moyen infaillible, une recette consacrée par l’expérience
des siècles. Elle fut en
particulier celle de Monique, épouse de Patrice, le païen, et mère
d’Augustin, hérétique et libertin dans sa jeunesse.
Prier,
travailler, souffrir et se taire, C’est se dévouer. Se dévouer
c’est aimer ; et, pour la femme, aimer, c’est régner.
Devant
une pareille puissance, qui chaque jour, à chaque heure,
pendant de longues années le suit comme l’ombre suit le corps, il
n’est pas d’homme si altier qui ne fléchisse, pas de caractère
si violent qui ne se brise, pas de cœur si dur qui ne s’amollisse,
pas de préjugés qui ne se dis pas d’ignorance qui ne s’éclaire.
L’empire que nous avons sur nous-mêmes est la mesure de celui que
nous avons sur les autres.
Avez-vous
bien lu ce texte ?
Voyez-vous,
pouvez-vous imaginer un pire tableau ? Est-il possible qu’un
Époux descende plus bas : hérétique
et libertin, violent, le cœur dur, bourré de préjugés et
ignorant…
Et
qu’en dit Mgr Jean-Joseph Gaume ?, exactement le contraire de
ce qui se dit dans le monde, de ce qui disent les prêtres, et
particulièrement ceux de la Trahition,
et ainsi résumé : faites
comme sainte Monique, mère d’Augustin, restez au poste, et :
prier, travailler, souffrir et se taire. Et ainsi vous gagnerez votre
Époux à Dieu !
Pour :
le contraire de ce qui se dit dans le monde :
Selon
le monde, ou, se dit dans le monde : Expression utilisée par
les catholiques (les vrais) pour nommer ceux qui vivent en opposition
avec la Loi de Dieu !
Voici
quelques textes permettant aux non avertis de comprendre l’expression
‘selon le monde’ :
Si
donc vous êtes morts avec le Christ aux éléments de ce monde,
pourquoi vous imposez-vous des lois, comme si vous viviez dans le
monde ?
Soyez
sobres et veillez ; car votre adversaire, le diable, comme un
lion rugissant, rôde, cherchant qui il pourra dévorer.
Résistez-lui, demeurant fermes dans la foi, sachant que vos frères
qui sont dans le monde
souffrent les mêmes afflictions que vous.
N’aimez
pas le monde,
ni les choses qui sont dans le monde.
Si quelqu’un aime le monde,
l’amour du Père n’est point en lui, car tout ce qui est dans le
monde
est concupiscence de la chair, et concupiscence des yeux, et orgueil
de la vie ; et cela ne vient pas du Père, mais du monde.
Or le monde
passe, et sa concupiscence avec lui ; mais celui qui fait la
volonté de Dieu demeure éternellement.
Si
le monde vous hait, sachez
qu’il M’a haï avant vous. Si vous étiez du monde,
le monde aimerait ce qui
serait à lui ; mais, parce que vous n’êtes pas du monde,
et que Je vous ai choisis du milieu du monde,
à cause de cela le monde
vous hait.
Mgr
Jean-Joseph Gaume parle donc exactement comme nous, comme Saint
Pierre et l’évêque Avitus à
Sainte Clothilde (ci-dessus), comme le firent, et c’est ce que nous
allons voir ensuite : Sainte Monique, Sainte Rita, Bienheureuse
Anne-Marie Taïgi, etc !
8.E.6 - Sainte
Monique, épouse de Patrice et mère de Saint Augustin.
Sainte
Monique, 332-388.
8.E.6.a - L’ivrognerie,
le brigandage, les mauvais traitements ne sont point des excuses pour
fuir son Époux…
Saint
Augustin le dit bien clairement…
Saint
Augustin raconte,
d’après le récit même de sa mère, qu’elle avait failli se
damner en faisant la petite gourmande, dans le vin. Elle
épiait le moment où personne ne la voyait, et alors elle tâchait
de se contenter.
Mais une servante qui l’avait aperçue quelquefois, et à laquelle
il lui arriva un jour de déplaire, lui dit qu’elle était une
petite ivrognesse. Ce mot lui fut tant à cœur, elle en eut une si
grande confusion, que, dans son repentir, elle en pleura longtemps.
Elle alla aussitôt se confesser de cette faute, qu’elle n’avait
jamais osé dire à son confesseur, tant elle regardait ce péché
comme infâme et honteux, quoiqu’elle eût douze ans à peine. Elle
s’en corrigea si bien avec la grâce du bon Dieu, qu’elle n’y
retomba plus de toute sa vie, et elle vécut d’une manière si
exemplaire qu’elle est devenue grande sainte. Nous voyons
que le bon Dieu, pour
lui faire expier son péché, permit
qu’elle épousât un homme ivrogne et brutal, qui lui fit essuyer
mille mauvais traitements. Son fils Augustin,
jusqu’à l’âge de trente-deux ans, ne fut pas moins ivrogne que
son père. Sainte Monique reconnaissant que le bon Dieu
permettait cela pour qu’elle satisfît à sa justice, supporta si
bien cette épreuve qu’on ne lui entendit jamais faire à personne
la moindre plainte. Elle eut enfin
le bonheur de voir son mari et son fils Augustin se convertir.
Vous voyez, M.F. [Mes Frères], que le bon Dieu tend la main et
donne la grâce à ceux qui la lui demandent, avec un vrai désir de
sortir du péché, pour ne plus vivre que pour lui.
Dieu
permet que Sainte Monique essuie mille mauvais traitements, pour se
sanctifier, se sauver, et ainsi sauver son Époux et son fils :
Elle
eut enfin le bonheur de voir son mari et son fils Augustin se
convertir.
Pour :
Dieu permet que :
Permettre
c’est n’est pas vouloir ou faire le mal, voici ce que dit Dom
Jean de Mauléon : Enfin
celui qui murmure offense la bonté de Dieu. Dieu, en effet, est
charité, comme l’enseigne saint Jean : s’il permet le mal,
ce n’est que pour en faire sortir un plus grand bien. À l’exemple
de Job, nous devons accepter de sa main, avec une égale
reconnaissance, les biens et les maux, les afflictions et les joies,
les consolations et les châtiments, redisant avec le Prophète
Royal : Je bénirai le Seigneur en tout temps [Ps. XXXIII, 2],
c’est-à-dire : aussi bien dans la prospérité que dans le
malheur. Nous devons recevoir toutes choses, même les
contradictions, les privations, les injustices, comme des témoignages
de la bonté de Dieu à notre égard, certains que, si ces épreuves
devaient faire quelque tort à notre âme, ou même lui être
inutiles, Dieu ne permettrait pas qu’elles nous affligeassent.
Les
prêtres actuels, et particulièrement ceux de la secte FSSPX, pour
100 fois moins que ce qu’a subi Sainte Monique, disent : non
seulement vous pouvez, mais vous devez quitter votre Époux et le
traîner
devant le tribunaux ! Cloaques d’impureté !
Pour :
Époux et le traîner devant le tribunaux :
Ainsi
donc, non seulement ils empêchent ces épouses d’expier leurs
propres péchés comme le fit Sainte Monique, mais de plus ils leurs
font faire bien bien d’autres crimes qui ne peuvent que les
damner : séparation des époux, procès qui sont tous des
crimes (voir plus loin), vols des enfants à leurs Pères, scandales
publics, etc.
De
plus, et ce contrairement à ce que fit Sainte Monique, non seulement
elles n’amènent pas leurs Époux à la conversion, mais elles les
en éloignent radicalement !
Ainsi
aussi, ces mauvais prêtres ont une attitude contraire à ce que
firent de vrais Hommes d’Église, comme nous venons de voir à
travers l’histoire de Sainte Clothilde ; et aussi avec Saint
Pierre et Mgr Jean-Joseph Gaume…
8.E.6.b - Le
17 novembre 2008 nous avons reçu un commentaire à la page Accueil,
vocation….
Le
voici tout de même partiellement : J’ai
vu ma mère battue par mon père, un alcoolique patenté, comment
oser prendre sa défense au détriment de ma mère.
Cette personne, si elle devait lire ceci, aura par ce qui précède :
la réponse à sa question. Si elle voulait laisser tomber l’insulte
et avancer un raisonnement, nous nous ferions une obligation de
publier son message et de lui répondre pour l’aider.
Nous
reviendrons à ce commentaire ensuite pour parler de la piété
filiale, auparavant nous devons lire ce qui suit :
8.E.7 - Sainte
Rita épouse d’un ivrogne et brigand sauve sa Maison.
Sainte
Rita, 1381 - 22 mai 1457.
Voyons
cet extrait de sa vie :
Mais
ses parents […] Ils souhaitaient la marier à un beau parti.
Justement dans la région, Antonio Ferdinando était bien connu.
C’était un solide gaillard qui avait la réputation d’être un
valeureux guerrier. Il avait été en relation avec d’anciens chefs
de bande pendant les années de trouble. Le
point noir était son caractère irascible et son penchant pour
l’alcool. Était-ce vraiment le mari idéal pour Rita ?
Ses
parents voyaient surtout la sécurité pour l’avenir de leur fille
et ils décidèrent de la marier.
Rita
fut bouleversée. Elle qui ne songeait qu’à se consacrer à Dieu !
Elle
supplia ses parents de lui épargner cette épreuve, mais en vain. En
ce temps là, on ne demandait pas l’avis de la jeune fille ;
les mariages étaient l’affaire des parents qui organisaient les
alliances selon leurs intérêts.
Rita
avait 16 ans, elle dut se soumettre. Cependant
cette contrariété dans sa vocation n’atteint
pas sa confiance en la providence. Elle se demanda si
précisément ce n’était pas dans cette voie, qu’elle allait
progresser dans la charité, qui est le secret de la vraie perfection
chrétienne.
Mais
Rita souffrit beaucoup de cette situation, d’autant plus que
Ferdinando repris peu à peu ses
mauvaises habitudes et ses dangereuses fréquentations. Son
mari allait jusqu’à la frapper dans ses moments d’ivresse.
Par contre dans ses beaux jours, il savait être aimable. Rita
décida de le convertir par la douceur, la prière et le
dévouement.
Elle
eut des jumeaux, deux fils. Peu à peu Ferdinando se radoucit, il
cessa de fréquenter ses mauvais amis, et perdit l’habitude de
boire avec excès. Gagné par la
douceur de Rita, il décida de ne plus porter d’armes sur
lui. Les jumeaux grandissaient, mais très vite ils avaient hérité
de leur père une certaine agressivité que Rita avait bien du mal à
combattre.
Un
soir, un voisin vint prévenir Rita qu’une agression venait d’avoir
lieu à cinq lieux d’ici dans le couloir de la Vesina, réputé
dangereux parce que fréquenté par des bandits. Il en avait été le
témoin et avait pu s’approcher Ferdinando qui lui avait dit
quelques mots avant de mourir. Il
pardonnait à ses agresseurs et remerciait Rita de tout ce qu’elle
avait fait pour lui. Rita avait gagné la conversion de son mari. Il
était sauvé.
Cependant
ses deux fils jurèrent de le venger, et cela malgré les
objurgations de leur mère. Rien n’y fit. Ils rencontrèrent un
soir les meurtriers de leur père et engagèrent le combat. Ils
furent victimes de leur témérité. Appelée
près de ses deux fils agonisants, elle obtint leur conversion et ils
moururent en paix. Rita avait obtenu du ciel leur conversion.
Voici
encore une femme battue, rossée de première par un ivrogne, et que
fait l’Église ? Lui dit-Elle qu’elle doit abandonner son
Époux ? Que non !, Elle lui a dit certainement ce que
disait Saint Pierre, soit l’exact contraire de ce que disent les
prêtres, et particulièrement ceux de la Trahition :
Que
les femmes soient pareillement soumises à leurs maris, afin que, si
quelques-uns ne croient pas à la parole, ils soient gagnés sans
parole par la conduite de leurs femmes…
Sainte
Rita gagna la sauvegarde de l’Âme de son Époux, de Celles de ses
deux garçons, et La sienne : en priant, en souffrant et en
aimant amoureusement et fidèlement son Époux, en restant comme de
Droit auprès de Lui !
8.E.8 - Bienheureuse
Anne-Marie Taïgi.
Bienheureuse
Anne-Marie Taïgi, 1769-1837.
Voici
un extrait de sa vie :
Née
à Sienne d’un père ruiné, qui s’installe à Rome, elle est
contrainte de se louer comme domestique et elle épouse Dominique
Taïgi, domestique au palais Chigi. C’est un brave homme mais
bourru et très coléreux. Anne Marie garde une patience inaltérable
avec lui comme avec ses parents, aigris et grincheux, qu’elle
soigne. Elle ne fait rien sans la permission de son époux mais, de
son côté, celui-ci accepte aussi l’aventure spirituelle de son
épouse et ne s’oppose pas à la grâce de Dieu. Anne-Marie et lui
mettront au monde sept enfants mais auront le chagrin d’en perdre
trois en bas âge. Mère attentive à l’éducation de ses enfants,
femme d’intérieur dont le logement modeste est toujours propre,
elle fait la cuisine, coud les vêtements de toute la maisonnée,
tient les comptes. Rien ne distingue sa vie de celle des mères de
famille qui l’entourent, sinon une certaine humeur enjouée et
toujours sereine : "Elle parlait de Dieu, dira son époux,
sans devenir ennuyeuse comme le sont beaucoup de dévotes." Et
pourtant sa vie est un torrent de grâces mystiques : extases,
visions, prescience. Dieu fait irruption qu’elle soit dans sa
cuisine ou en pleine lessive. Avec familiarité, elle lui demande :
"Laissez-moi, Seigneur, je suis mère de famille." Et cela
déborde vers l’extérieur : guérisons, prophéties, lecture
dans les cœurs On vient de loin la consulter. Grand’mère, elle
continuera à veiller sur sa famille avec gaieté, malgré la maladie
et de terribles crises de doutes.
Sa
vie est vraiment extraordinaire, elle est à lire en plus détaillé !
Ce résumé ci-dessus ne donne qu’un très pâle aperçu de son
folklorique Époux, un véritable despote, comme l’on dirait
maintenant : un pur tyran domestique !
Ce
charmant despote, son Époux Dominique Taïgi, l’aimait
passionnément et même bien bellement ! Anne-Marie était
totalement et amoureusement soumise, malgré que son Époux
l’épuisait par ses exigences égoïstes quant aux soins qu’Il
exigeait pour son service ; jamais elle ne se refusa à bien le
servir, tant à table que dans son ménage, que dans l’intimité !
Et
que dirent les Hommes d’Église de son temps ? qu’il fallait
plaquer un tel tyran ? Non, mais bien l’exact contraire de ce
que disent les cloaques
d’impureté maintenant !
Elle
servait scrupuleusement et soigneusement son Époux au point qu’elle
fit remarquer à Notre Seigneur Jésus-Christ, car elle était
favorisée de visions dans un soleil, qui Lui avait demandé un
service, une commission : que cela l’éloignerait quelque peu
du service de son Époux. Elle Lui demanda qui elle devait servir le
premier ? NSJC lui répondit : qu’elle devait bien sûr
servir son Époux en premier, et Lui ensuite si possible !
8.E.9 - Nous
devions revenir sur la piété filiale…
Après
avoir lu ces derniers exemples de Saintes nous montrant comment une
femme digne du nom d’honnête épouse doit agir alors qu’elle
aurait un Époux ivrogne, éloigné de la religion, violent, etc.,
nous devons parler maintenant, comme annoncé plus haut au point
DP-8.E.6.b, Le 17 novembre 2008 nous avons reçu un commentaire à la page Accueil, vocation….,de
la piété filiale !
Cette
personne précitée disait : mon
père, un alcoolique patenté…
8.E.9.a - Voici
une histoire à méditer, l’ivresse de Noé !
Noé
s’appliquant à l’agriculture, commença à cultiver la terre, et
il planta de la vigne; Et ayant bu du vin, il s’enivra, et il se
dépouilla dans sa tente.
Cham,
père de Chanaan, voyant que ce que
la pudeur obligeait de cacher en son père était découvert,
sortit dehors et le vint dire à ses frères.
Alors
Sem et Japheth, ayant étendu un manteau sur leurs épaules,
marchèrent en arrière et couvrirent la nudité de leur père. Et
comme leur visage était détourné, ils ne virent pas la nudité de
leur père.
Noé
se réveillant après cet assoupissement que le vin lui avait causé,
et ayant appris de quelle sorte l’avait traité son second fils,
S’écria: Que Cham soit maudit;
qu’il soit à l’égard de ses frères l’esclave des esclaves.
Il
dit encore: Que le Seigneur, le Dieu de Sem, soit béni, et que Cham
soit son esclave.
Que
Dieu multiplie les possessions de Japheth; et qu’il habite dans les
tentes de Sem, et que Cham soit son esclave.
Cham,
ancêtre de la race noir, fut maudit et condamné par Dieu à être
de
ses frères,
l’esclave des esclaves, uniquement pour :
n’avoir point couvert la nudité de son Père ; l’avoir
publiée (le dire à ses Frères) ; de n’avoir pas caché la
détresse de son Père ; avoir ainsi provoqué le déshonneur de
son Père !
Pour :
être de ses frères, l’esclave des esclaves :
Si
l’ivresse de Noé n’avait pas été accidentelle, mais voulue, le
crime du fils aurait été le même, et la malédiction aurait aussi
suivi !
Donc,
et bien qu’elle puisse s’en moquer, et sans que cela lui serve de
paratonnerre, cette personne (de fait un Homme) qui n’a aucune
pudeur, a ainsi exposé son propre Père à la vindicte publique en
disant : mon
père, un alcoolique patenté…
Malédiction !
De
plus, cette personne est le fils de qui ? Dites donc ! De
son Père ! n’aurait-elle pu avoir pitié au moins du nom et
de la vie qu’elle tient de son Père ? Se salir soi-même en
disant : mon
père, un alcoolique patenté !
Ainsi
nous voyons où nous amène la féminisation de la société,
persiflée par celui qui dialogua avec Ève, cette révolte contre la
société de Droit divin, une société d’Hommes !
8.E.9.b - Et
d’une encore !, victime d’elle-même, de son amour-propre !
Pourquoi
cette femme, sa mère épouse de cedit alcoolique
patenté, a-t-elle été battue ?
encore qu’il faudrait vérifier la véracité de l’affirmation !,
elle sait fait battre parce qu’elle n’a pas su la fermer !
Las,
nous nous contenterons de renvoyer cette personne vers toute cette
étude, et si elle veut voir, elle verra !
→ Plus
particulièrement :
→ Idem ;
point DP-7.E.5,
Si l’épouse la fermait, elle ne serait pas battue !
→ Idem ;
point DP-7.E.6,
Veut-elle découvrir l’eau miraculeusement contre-coups !
→ Idem ;
point DP-7.E.7,
St Augustin : si l’épouse est battue, cela ne vient que
d’elle !
→ Idem ;
point DP-7.E.8,
Notre Seigneur Jésus-Christ dit-Il autre chose ?
→ Idem ;
point DP-7.E.9,
Allez, une petite dernière pour la route…
→ et
de ce nouveau chapitre, tout :
→ Idem ;
point DP-8.E,
La femme, en ‘danger’, ce qu’elle doit considérer…
→ et
aussi ceci :
8.E.9.c - Nous
devons poursuivre avec la fin de ce message :
Qui
disait : Comment
oser prendre sa défense [de mon Père] au
détriment de ma mère ? Nous ne
défendons pas son Père, nous ne défendons pas sa mère, nous
défendons les principes !
Les
principes, la Loi naturelle d’Essence divine, veulent que la femme
soit soumise, et que l’Homme la soumette : Enfin
il doit régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous
ceux qui la composent, et contenir chacun dans son devoir.
Les
principes veulent que l’Époux ait les moyens de Son gouvernement ;
moyens que la Providence divine pour les croyants, ou de ladite dame
nature pour les essentiellement négationnistes, pourvut l’Homme en
Lui donnant une supériorité incontestable de tous ordres :
intelligence, force, maîtrise de soi, détermination, puissance
reproductrice et coercitive, etc.
Qui
a produit un détriment
à sa mère ?,
elle-même ! Qu’elle se taise, aime réellement son Époux,
soit effectivement ; Le serve sans réserve, et là,
immanquablement
Il quittera son errance : la compensation à ce dont elle L’a
certainement privé, et qu’Il a recherché bien tristement au fond
de la bouteille !
8.E.10 - Ajoutes
diverses
Ce
point est ajouté après la première publication de ce document, il
rassemble divers textes commentés qui auraient pu être mieux
placées en d’autres endroits de ce chapitre, mais ceci aurait
chamboulé la numérotation de ce document…
8.E.10.a - Saint
Augustin : La
bonne épouse craint son Époux !, et la mauvaise bien
différemment !
En
la Maternité de la Très-Sainte Vierge Marie,
le jeudi 11
octobre 2012.
Nous
allons lire avec vous un extrait d’un sermon, que nous venons
nous-mêmes de relire, de Saint François de Sales (1567-1622),
Docteur de l’Église (1877).
La
partie qui nous intéresse surtout, et où Saint Augustin Père de
l’Église parle, a été surlignée en jaune…
Livre
X, chapitre XIII - Comme Dieu est jaloux de nous.
Je
suis le Seigneur ton Dieu, fort, jaloux i.
Le
Seigneur a pour son nom Jaloux ii.
…
Mais,
Théotime, qui veut voir cette jalousie délicatement et excellemment
exprimée, il faut qu’il lise les enseignements que la séraphique
sainte Catherine de Gênes a faits pour déclarer les propriétés du
pur amour, entre lesquelles elle inculque et presse fort celle-ci :
que l’amour parfait, c’est-à-dire, l’amour
étant parvenu jusqu’au zèle, ne peut souffrir l’entremise ou
interposition, ni le mélange d’aucune autre chose, non pas même
des dons de Dieu, voire jusqu’à cette rigueur
qu’il ne permet pas qu’on affectionne le paradis, sinon pour y
aimer plus parfaitement la bonté de celui qui le donne ; de
sorte que les lampes de ce pur amour n’ont point d’huile, de
lumignon, ni de fumée ; elles sont toutes feu et flamme que
rien du monde ne peut éteindre iii ;
et ceux qui ont ces lampes ardentes en leurs mains iv,
ont la très sainte crainte des
chastes épouses, non pas celle des femmes adultères. Celles-là
craignent, et celles-ci aussi, mais différemment, dit saint
Augustin. La chaste épouse craint l’absence de son époux,
l’adultère craint la présence du sien :
celle-là craint qu’il s’en aille, et celle-ci craint qu’il
demeure celle-la est si fort amoureuse, qu’elle en est toute
jalouse ; celle-ci n’est point jalouse, parce qu’elle n’est
pas amoureuse ; celle-ci
craint d’être châtiée, et celle-là craint de n’être pas
assez aimée.
Ainsi en vérité elle ne craint pas, à proprement parler, de n’être
pas aimée, comme font les autres jalouses qui s’aiment elles-mêmes
et veulent être aimées, mais elle craint de n’aimer pas assez
celui qu’elle Voit être tant aimable que nul ne le peut assez
dignement aimer selon la grandeur de l’amour qu’il mérite, ainsi
que j’ai dit naguère. C’est pourquoi elle n’est pas jalouse
d’une jalousie intéressée, mais d’une jalousie pure qui ne
procède d’aucune convoitise, mais d’une noble et simple amitié ;
jalousie laquelle par après s’étend jusqu’au prochain, avec
l’amour duquel elle procède.
L’on
voit ici Saint François de Sales citer Saint Augustin sur lequel
nous nous sommes déjà fort appuyés.
Il
nous parle en premier de l’Âme épouse (ordre spirituel) de son
Dieu, le divin Époux ; mais pour nous en bien parler Il fait
ensuite une comparaison avec l’attitude différente (bonne ou
mauvaise) d’une épouse (ordre temporel) envers son Époux, ainsi
Il nous dit de cette épouse temporelle faite pour l’Homme son
Époux :
→ La
chaste épouse craint l’absence de son époux, l’adultère craint
la présence du sien.
Soit
redit ainsi :
– la
chaste, bonne épouse, habitée d’une saine, et du reste sainte,
crainte ne désire que d’être en la présence de son Époux,
surveillée par Lui, guidée par Lui, ensemencée spirituellement et
moralement et physiquement par Lui !, soit en tout asservie*
par Lui et à Lui !
– la
mauvaise épouse, elle, n’est habitée que par la terreur, la
crainte d’être en présence de son Époux, elle ne cherche qu’à
Lui échapper, prend le contre-pied de Sa direction, refuse tout
ensemencement de Lui en en cherchant notamment un autre à
l’extérieur !, elle cherche toujours un contre-pouvoir*
afin de contrecarrer*
son Époux, par ex. pour une catholique, auprès d’un pervers de
prêtre, un cloaque
d’impureté* !
→ Celle-ci
craint d’être châtiée, et celle-là craint de n’être pas
assez aimée.
Soit
redit ainsi :
– la
mauvaise épouse, la revêche ce uniquement à cause de sa
méchanceté, de son insoumission, de son refus, et ce contre toute
raison, de son salutaire asservissement, craint le juste courroux de
son Époux, le salutaire et exemplaire châtiment que par charité
envers elle et envers toute la Maison (enfants, domestiques, etc.)
elle doit impérativement recevoir de son Époux si celui-Ci est
vraiment compatissant et ne veut pas être lâche comme Adam, afin de
ne point être puni comme Lui par le Seigneur Dieu.
– la
bonne épouse, par contre, elle, fait tout pour être bien fidèle,
bien douce, bien délicieusement, délicatement et révérencieusement
soumise en toutes choses à son Maître et Seigneur, son Époux, de
peur que celui-Ci ne s’éloigne si peu que ce soit d’elle !,
ainsi, elle ne craint que de ne pas assez aimer son Époux afin
d’être encore plus aimée par Lui !
Là
est le choix : Soit craindre amoureusement, ou soit craindre
douloureusement.
Comme
pour notre Âme qui doit craindre très amoureusement son Dieu afin
de ne ne point craindre Son très juste Courroux éternellement
(ordre spirituel), l’épouse doit craindre très amoureusement son
Époux afin de ne point craindre Son très juste Courroux (ordre
temporel) !
Et
en cas de non correspondance à l’objet de l’Amour, Dieu ou
l’Époux :
→ l’Âme
est la seule responsable du très juste Courroux de son Dieu !
→ l’épouse
est la seule responsable du très juste Courroux de son Époux !
Ainsi
donc nous avons le choix, et l’épouse particulièrement :
→ soit
craindre amoureusement et en une pleine félicité !
→ soit
craindre douloureusement et en pleins tourments !
8.E.10.b - Saint
curé d’Ars : Les
épouses se
plaignant
de leurs Époux
sont
celles
qui manquent de religion !
En
la Saint Rémy, Évêque et Confesseur,
le samedi 1er
octobre 2016
Voici
aussi, pervers de prêtres qui disent pouvoir affranchir l’épouse
de son Époux par ladite séparation de corps, version catholique du
divorce, et ce sans commentaires, ce que dit Saint
Jean-Baptiste-Marie Vianney, curé d’Ars vers 1840 : Cette
femme qui est méprisée de son mari n’est donc pas malheureuse
dans son état parce qu’elle est méprisée, mais parce qu’elle
ne connaît pas sa religion, ou parce qu’elle ne pratique pas ce
qu’elle lui ordonne. Apprenez-lui sa religion, et, dès que vous
verrez qu’elle pratiquera, elle cessera de se plaindre et de se
croire malheureuse.
8.F - Des
mensonges bien courants…
Mensonges,
pour ceux qui les ont occultés ; dits oublis pour ceux qui ont
peur de s’en rappeler !
8.F.1 - Mensonge,
que la ‘galanterie’ !
8.F.1.a - Savez-vous
quand commença à ronger le Ver Rongeur ?
Savez-vous
quand le Ver Rongeur commença à ronger la Famille ? non ?
Eh bien, vous allez tomber sur le derrière ! c’est au début
de l’époque ‘galante’, ‘courtoise’ ! À la fin de
Moyen-Âge.
Pour :
Savez-vous quand le Ver Rongeur :
Lisez
ce livre fort intéressant de Mgr Jean-Joseph Gaume : Le
ver rongeur des sociétés modernes ou Le paganisme dans
l’éducation.
Voyons
le terme galanterie :
-- Galanterie :
Disposition à se montrer courtois
envers les femmes.
Nous
allons voir que commença à cette époque, la fin du Moyen-Âge, non
la véritable galanterie ou courtoisie, mais
l’effémination-dévirilisation ou la discourtoisie positivement
contre-nature envers les Hommes, et donc conséquemment envers les
femmes !
Courtoisie,
voici ce que nous disions précédemment : La
véritable courtoisie est de dire la Vérité. C’est cela, d’être
courtois avec une personne. Ce document veut être aussi courtois
avec les Hommes, pour les aider à être, véritablement, dans la
Vérité, courtois avec leurs épouses.
Pour :
ce que nous disions précédemment :
La
Vérité quant à la relation Homme-femme est celle-ci :
→ L’homme
est l’image et la gloire de Dieu, tandis
que la femme est la gloire de l’homme.
→ En
effet, l’homme
n’a pas été tiré de la femme, mais bien la femme de l’homme ;
→ et
l’homme
n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause
de l’homme ;
→ Car
c’est pour la consolation de l’homme que la femme a été formée…
(I Cor., XI, 7-9)
→ Je
ne permets point à la femme d’enseigner ni de dominer sur l’homme
(I Tim. II, 12).
Et
de le dire et de le réaliser est la véritable courtoisie que
l’Époux doit à son épouse, que l’Homme doit à la femme !
Pour :
consolation
de l’homme que la femme a été :
Pour :
[Complément et développement à cette liste] :
8.F.1.b - Voyons
cette fameuse galanterie en action !
L’époque
galante est déjà le mensonge rampant de ladite égalité des
sexes ! Les promoteurs de ladite galanterie, nous susurrent
depuis cette époque, l’amour dit courtois qui est de fait la
prédominance de la femme sur l’Homme, ou la soumission de l’Homme
à la femme.
En
effet, il n’y a pas de milieu, c’est soit l’une ou soit l’Un
qui est soumis ! Avez-vous déjà vu, ne serait-ce qu’une
seule fois, un vaisseau commandé par deux capitaines ?
Comme
on le voit bien sur ce tableau
ci-contre, ce pauvre Hommelette
a un genou à terre, les mains
jointes !!!, la tête inclinée, devant une femme ! Quelle
pitié ! Quelle discourtoisie envers la femme ! Quelle
émasculation ! L’on comprend la parole de Saint Paul devant
une telle horreur : Je
ne permets point à la femme d’enseigner ni
de dominer sur l’homme(I
Tim. II, 12) !
C’est
contre-naturellement, comme nous le voyons ci-contre, que la femme
domine l’Homme ! Il fait acte de soumission, Il est
contre-nature, efféminé !, discourtois !
Ici,
comme nous allons l’étudier plus loin, voyez-vous Abraham,
et Sara
Lui disant révérencieusement : mon
Maître et Seigneur ? Voyez-vous
un Époux,
Roi,
avec son
épouse prosternée devant Lui parce qu’Il est son Seigneur ?
Quelques
graves erreurs bien courantes :
→ Faire
le baise-main à une femme !, alors que c’est à l’épouse
(ou la fille, la sœur, etc.) de se précipiter aux pieds de son
Seigneur (Époux, Père ou Frère, etc.) pour Lui baiser
respectueusement les Mains ! Du reste, c’est bien ce que Nous
faisons, Nous les Hommes, devant un Évêque ; c’est ce que
Nous faisions alors qu’ils n’avaient pas encore coupé La Tête
de Nos Roys !
Pour :
pas encore coupé La Tête de Nos Roys :
Nous
avons dit Roy, et non potiche des Espagnols, des Belges, etc. Voir :
DP-01, Présentation
de cette étude. ;
point DP-1.B.1.g,
Mais non !, on veut restaurer la société civile, l’État
avec
→ S’effacer
devant une femme au passage d’une porte !, alors que c’est à
la servante de tenir la porte en s’effaçant respectueusement pour
permettre à son Roy d’entrer en majesté comme Il le Lui convient.
→ Dire
madame,
monsieur, mesdames
et messieurs, françaises
et français, et tous ces autres inversions
qui sont de véritables mensonges, crimes ; et qui toutes
bafouent la Loi divine. De plus, l’on ne devrait même pas nommer
les femmes car elles ne sont jamais concernées par l’organisation
de la société qui est une société exclusivement d’Hommes, de
Mâles comme nous l’avons copieusement vu dans toute cette étude !
→ Servir
à table l’épouse en premier, puis l’Époux !, alors que,
et même si ce n’est pas elle qui fait le service de table, c’est
l’Époux, ou son invité s’Il veut l’honorer, qui doit être
servi en premier, ensuite viennent les Garçons ; les femmes
viennent après ! Dans un temps pas si reculé que cela, les
femmes ne mangeaient pas à table, devant être qu’au service des
Hommes qui étaient à table !
Pour :
[Tout ce dernier paragraphe] :
Aux
excités qui vont essayer de mettre des messages pour nous insulter,
qu’ils sachent que nous le savons déjà : oui,
pire que des talibans !
8.F.1.c - L’Église,
mit toujours l’Homme et la femme à leur place.
Comme
vous allez le voir, l’Église, la vraie !, mit toujours
l’Homme à sa place ; et la femme toujours bien à la sienne :
derrière les Hommes, dans leur ombre et dépendance.
→ Aux
litanies ou tout autre texte religieux, tel la mémoire de plusieurs
saints fêtés un même jour : viennent toujours en premiers
tous les Saints, puis, ensuite toutes les Saintes ; exception
faite de la Très-Sainte Vierge Marie qui a une place toute spéciale,
avant même les Anges, juste après la Très-Sainte Trinité !
→ À
l’adoration de la Très-Sainte Croix, à la réception de la
Très-Sainte Hostie,
à l’embrassement des reliques, etc. : les Hommes s’avançaient
toujours en premier, puis, ensuite venaient les femmes.
→ Au
sermon le prêtre dit Mes
Frères : il ne s’adresse qu’aux
Hommes ; ainsi lisez tous les sermons du Saint Curé d’Ars, ce
n’est que M. F.,
mis pour Mes
Frères. En effet, le sermon n’est pas
fait, dit pour les femmes, il est dit pour les Hommes ! Elles,
si
elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent
leurs maris à la maison
comme le rappelle Saint Paul !
Du
reste, et nous allons rechercher ce passage, nous avions lu que dans
le temps pas si éloigné, que les femmes n’avaient pas le droit
d’aller à la grand-messe (avec sermon) mais devaient aller à une
première messe (sans sermon) pour s’occuper ensuite des petits et
préparer le repas de(s) (l’)Homme(s) !
L’Époux,
Lui, allait à la grand-messe avec ses Fils ! De plus, comme
nous le reverrons ensuite, il est interdit au prêtre, et ce en
toutes circonstances, de s’adresser aux femmes, sauf
confession, et encore ! ; cette dernière était toutefois
très très fortement encadrée, limitée, codifiée par l’Église
comme nous le verrons ensuite !
Pour :
interdit au prêtre, et ce en
toutes :
Pour :
aux femmes, sauf confession, et encore :
Ceci,
la confession des femmes par les prêtres, nous le contestons très
formellement, mais il est prématuré de le développer pour
l’instant, cela viendra ultérieurement. Sachez que nous avons bien
avancé avec nos collaborateurs, notamment avec notre Légitime
contradicteur ;
et que du reste nous en parlons quelque peu en divers endroits de nos
documents !, pour ce, recherchez confession.
<À développer, compléter, corriger>
8.F.1.d - Passons
de l’irrévérence actuelle à la révérence…
Voyons
les termes révérer, révérence :
-- Révérer :
Traiter avec le plus profond respect, montrer une grande révérence
pour quelqu’un ou quelque chose. − En partic. Honorer,
respecter ce qui est revêtu des caractères du sacré.
-- Révérence :
Respect profond mêlé de crainte, grande considération. Anton.
irrévérence. Révérence filiale, mystique; révérence
aux principes, aux lois; esprit de révérence. Mouvement du
corps que l’on fait pour saluer cérémonieusement soit en
inclinant le buste, soit en pliant les genoux.
Lisons
maintenant le comportement qu’une épouse doit avoir de Droit
envers son Époux qui est l’Image de Dieu auprès d’elle :
L’homme
est l’image
et la gloire de Dieu,
tandis
que
la femme est la gloire de l’homme.
Pour :
que
la femme est la gloire de l’homme :
Vous
admettrez aisément que le tandis
que marque bien une opposition, telle
que : alors
que, au
lieu que, à
l’inverse, à
contrario, etc. ; ainsi donc, le tandis
que, veut dire que la femme est autre chose
que l’image
et la gloire de Dieu ; elle est, car
elle est bien rapportée à quelqu’Un : l’image
et la gloire de l’Homme !
L’Homme
est à Dieu, la femme est à l’Homme ! Ou, d’une certaine
façon, soit hors l’adoration : la
femme est à l’Homme, ce que l’Homme est à Dieu !
→ Lisons
maintenant le psaume du
Mariage :
Le
roi sera épris de ta beauté ; car il est ton Seigneur :
rends-lui tes hommages.
→ En
voici une autre traduction : Le
roi s’est épris de ta beauté : puisqu’il est ton seigneur,
prosterne-toi devant lui ;
L’Homme,
le Roy de et en sa Maison, se tient debout lorsqu’Il vaque à
l’extérieur et est assis en sa Maison, l’épouse à ses pieds,
parce que Lui, l’aime !
C’est
elle qui lui dit des paroles douces et révérencieuses, elle est à
ses
soins et Lui dit révérencieusement prosternée : mon
Maître et Seigneur !
8.F.1.e - Révérencieusement,
comme Sara.
Car
c’est ainsi qu’autrefois les saintes femmes qui espéraient en
Dieu se paraient, soumises à leurs maris : telle Sara,
qui obéissait à Abraham, l’appelant son seigneur ;
Sara dont vous êtes devenues les filles, en faisant ce qui est bien
et sans vous laisser troubler par aucune crainte.
Est-il
besoin de commenter ceci ? Si oui, alors, c’est à ne plus
rien y comprendre !
8.F.2 - Mensonges,
une femme qui conduit une voiture.
La
femme est incapable de se conduire !,
alors, de là à
conduire une voiture…
Voici
un texte extrait de « La liberté par la Vérité » du
Docteur Gerhard Diego de Izarra : Conclusion
tout à fait logique : La femme en pantalon, la
femme conduisant des voitures
et, actuellement occupant un poste de commande en sa qualité de
ministre des armées ( !…), tout cela est mensonger et de
telles femmes sont des mensonges ambulants.
Comment
peut-elle conduire une voiture avec à sa droite un mignon qu’elle
conduirait donc ainsi aussi, alors qu’elle est incapable de se
conduire elle-même, tout comme la rhinocère que nous avons vu
précédemment, et ce de Disposition divine ! ; c’est du
reste pour cela qu’elle fut confiée par la Providence divine à
son Époux, ou l’Homme en général !
Pour :
rhinocère que nous avons vu précédemment :
Voici
un extrait d’un point précédent que bien complaisamment nous vous
recopions : « … film Hatari avec John
Wayne, alors qu’ils poursuivent en Jeep un rhinocéros pour le
capturer : à
son allure c’est sûrement une femelle, elle ne sait pas très bien
où aller, elle tourne en rond !,
textuel ! », la rhinocère est la femelle du rhinocéros…
Ainsi
aussi nous touchons mieux la monstruosité et l’hypocrisie des
médias qui sourient, se gobergent que dans certains pays musulmans
les femmes ne peuvent conduire une voiture.
Dans
une société vraiment chrétienne, la femme ne pourrait conduire,
car en effet conduire nécessite une puissance ; et de vouloir
lui donner une puissance qu’elle ne peut du reste aborder, est un
acte contre-nature.
Par
pitié ne nous avancez pas les nécessités du monde moderne !
Ces fausses nécessités, ce n’est pas nous, ici, qui les avons
inventées, cesdites nécessités sont factices, mensongères comme
toutes les nécessités d’inspiration toute luciférienne que ce
même monde moderne invente :
→ travail
de la femme, qui pour le moins n’enrichit même pas, mais appauvrit
et impose notamment tout en double, et même bien au delà ; et
qui, au lieu de l’épanouir comme eux disent, l’enferme dans une
spirale infernale de prostitution toujours plus voyante ;
Pour :
dans une spirale infernale de prostitution :
Voici
exactement où la mène cettedite libération de la femme, pour
sondit épanouissement, lisez, ou mourrez éternellement :
→ Si
vous cherchez honnêtement, vous verrez que cela se pratique
tout-à-fait officiellement depuis de fait longtemps, et dans tous
les pays de la feue Europe chrétienne !
→ limitation
de naissance (forcément assassinats !) imposant l’importation
de main d’œuvre tirant tout vers le bas ;
Pour :
limitation de naissance (forcément… :
→ etc.
8.G - ‘Évolution’ ?,
non régression du statut de la femme !
8.G.1 - Sous
l’ancien régime (avant 1789) :
→ Les
fils seuls ont le droit à l’héritage. Les filles sont seulement
‘dotées’, selon le bon vouloir des parents.
→ Le
mariage, acte religieux, est soumis à l’autorisation
du père, quel que soit l’âge des futurs époux.
→ Le
mariage est indissoluble ; le divorce et même la
séparation de corps sont impossibles.
→ Le
mari seul a le droit de gérer les biens du couple et les
biens de sa femme (mais il n’a pas le droit de dilapider la dot de
sa femme).
Que
de bonnes dispositions dans ce que nous venons de lire et venant
toutes confirmer notre étude ! Les développements se trouvent
en filigrane dans toute celle-ci.
8.G.2 - Depuis
la révolution dite française, de fait mondiale.
Depuis
la révolution dite française !, tient tient tient ?
Dans
la liste qui suit, vous avez :
→ la
date de la disposition qui va être envisagée, puis…
→ sa
(Non
) Conformité
avec la Loi
Naturelle:
(N)CLN ;
ou ‘…’
qui signifie qu’un commentaire suit ; puis…
→ la
description de la disposition,
→ la
source de cette disposition détaillée en fin de liste.
• 1582 CLN Interdiction
des mariages clandestins (par parole de présents). – Wik
Chaque
‛disposition’, comme ici Wik,
est suivie de sa référence, en voici la liste :
→ Rivarol = n°
2336 du 25/04/97, p. 3, "Droits de l’homme et de la femme".
• 1623 … Interdiction
de la condamnation à mort des femmes adultères. – Wik
Cette
disposition est à préciser, en effet, l’Époux est le Chef de Son
épouse, Le Seul Bras de Sa Maison, et à ce titre Il doit la
contraindre par tous les moyens à s’amender, car il doit régler
sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la
composent, et contenir chacun dans son devoir (Concile de Trente).
Et compte-tenu qu’il vaut mieux perdre la vie d’ici-bas que
perdre la Vie éternelle, soit son Âme, et sachant que nul ne peut
interférer dans son Gouvernement… Ceci devrait être sérieusement
étudié : <À développer, compléter, corriger> !
Pour :
Il doit la contraindre par tous les moyens :
→ Discipline :
idem ; point 6.D.2.g,
Revenons au cas d’A. S.
• 1791 NCLN Les
femmes ne sont plus exclues des droits de succession. – Wik
Notons
bien que cette disposition contre-nature suit de deux ans le cri des
révolutionnaires : Non Serviam, Non Serviam l’Ordre naturel,
Non Serviam l’Église, Non Serviam le Roy ! Cette disposition,
que les femmes puissent hériter, est proprement scandaleuse !
Si
elle est fille avec un ou des Garçons, elle lèse hautement
ceux-ci ;
Si
elle est fille unique, ne devant rester seule, cet ‘héritage’
devint sa dot : Mariage ou couvent.
Si
elle est veuve : dans l’attente que l’Aîné soit affranchi
elle n’est que régente sous Droit de regard de ce Fils.
Si
elle est sans enfant, tombant sous l’autorité d’un Mâle de la
Maison de son Époux, cet héritage revient à son tuteur, pour son
entretient…
• 1792 NCLN Mise
en place du mariage civil et autorisation du divorce par consentement
mutuel. – Wik.
Ledit
Mariage civil est un viol de la Loi naturelle, le Mariage est
Religieux et Son Sacrement est proposé par le futur Époux à la
jeune fille, le Prêtre et le Maire ne peuvent être que témoins !
Et ainsi aussi plus de bataille Mairie – Église !
Notez
que pour alléger nous donnons toutes les pages ici,
et nous ne donnerons ensuite que sa référence et le point visé :
→ DP-4.B.1.b,
Constitution du Mariage, naturelle ou religieux.
et suite…
Séparation
ou divorce, ceci est positivement impossible et contre-nature :
impossible de séparer une seule chair, Voir :
→ DP-4.B.8,
Fusion indissoluble de deux vies dans un même corps. ;
→ DP-4.J.7,
L’un ou l’autre ne peut se séparer de soi-même. ;
→ DP-10.B,
Non non, je ne divorce pas, je me sépare ! ;
→ DP-10.C,
L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…
• 1804 CLN Le
Code civil français consacre l’incapacité juridique de la femme
mariée. – Wik
La
femme mariée ou pas du reste ! (Re)Voyez DP-5.B.4,
L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne…
• 1816 CLN Suppression
totale du divorce. – LDH
• 1848 CLN Une
des premières décisions de la Constituante de la IIème
République fut d’interdire aux femmes de participer aux réunions
politiques… – Riv.
Voir :
DP-5.B.4.j,
Sur le même sujet, voici un extrait d’article parut dans
Rivarol. ; et DP-7.B.3,
Saint Paul : dit la révolte, la transgression de la femme !
• 1850 … La
loi Falloux oblige les communes de plus de 800 habitants à ouvrir
une école primaire spéciale pour les filles. – LDH
8.G.2.a - Seul
le Père est l’Éducateur de Ses enfants :
Garçons
ou filles ! L’école ne peut aucunement être obligatoire, en
effet c’est un viol de l’Autorité exclusive du Père. Les
dignitaires (curé, maire, etc.) peuvent persuader, mais ne jamais
exercer de pressions (menace de poursuites) ou chantage tel que la
privation de allocations familiales, qui de fait ne devraient pas
exister (voir plus loin dans l’étude) !
Le
Père choisit, et peut donc révoquer, les aides dont Il a besoin.
Les enseignants (ou enseignantes pour les filles) ne sont donc que
des précepteurs choisis par le Père, et devant rendre compte qu’à
Lui !
Pour
les filles, les études les pervertissant, elles ne doivent
certainement pas avoir le même enseignement que les Garçons, ainsi
donc même si il n’y a qu’un seul foyer, un seul Chef de Famille,
pas de mixité d’enseignement ! Voir :
→ DP-5.C.1.a
Voyons donc ce que ce prêtre disait, voici des notes prises par l’un
de nous :
→ DP-15,
L’enfant. (chapitre en préparation).
• 1863 … Victor
Duruy, ministre de l’Instruction publique, crée les cours
secondaires pour jeunes filles, jusque-là interdits. – LDH.
Soit
régression ! Voir : les renvois ci-dessus.
• 1874 … Première
loi tentant de protéger les femmes au travail : les femmes ne
peuvent travailler dans les mines, ni travailler le dimanche. –
LDH.
Les
femmes ne peuvent travailler, si ce n’est qu’avec et pour
leurs Époux, soit femme, épouse ou fille ou sœur de :
boulanger, boucher, fermier, tisserand, couturier, cuisinier, etc.
• 1880 … La
loi Camille Sée organise l’enseignement secondaire féminin (il
est différent de celui dispensé aux garçons). – LDH
Voir :
1850,
1863.
• 1881 NCLN Loi
autorisant les femmes à ouvrir un livret de Caisse d’épargne sans
l’autorisation de leur époux. – LDH.
Disposition
absolument vicieuse ! Attaque directe de l’Autorité de
l’Époux, en effet envers son Époux, elle
doit être soumise, en toutes choses (Saint
Paul),
et qu’elles
sont tenues qu’elles sont obligées […] de leur être soumises et
de leur obéir avec joie et empressement
(Concile de Trente), et que
l’épouse craigne son mari (Eph., v. 32.),
et avoir non
point une crainte pleine de terreur, mais pleine de respect ;
non point une obéissance servile, mais une obéissance amoureuse ?
1. Elles
ne peuvent gérer les biens.
Voir :
DP-5.B.5,
L’Homme commande, dirige, gère, défend, attaque…
2. Elles
ne peuvent en avoir en propres ne pouvant travailler pour son propre
compte, Voir : 1874.
• 1882 … Lois
Jules Ferry : l’école primaire est obligatoire et gratuite
pour les filles comme pour les garçons. – LDH.
Voir :
1850.
• 1884 NCLN Loi
autorisant le divorce, aux mêmes conditions qu’en 1804. – LDH.
Voir :
1792.
• 1892 … Loi
limitant la journée de travail à 11 heures pour les femmes. Il est
interdit de les faire travailler la nuit (loi mal appliquée). –
LDH
Voir :
1874.
• 1906 … Repos
hebdomadaire pour tous les travailleurs. – LDH.
Oui !,
et au moins le Dimanche et jours de fêtes chrétiennes
d’obligations ! La profanation du Dimanche, jour du Seigneur,
est attaqué comme jamais tout dernièrement ! Quand
admettrons-nous la soumission que nous devons avoir à notre Dieu ?
Sinon, le travail du Dimanche sera, au point de vu uniquement
économique, le même leurre que le Travailler
plus pour gagner plus du petit Nicolas,
flûteurs de mélodies maléfiques pour entraîner les gens vers les
modernes vampires, détrousseurs de bourses !
• 1907 NCLN La
femme mariée qui travaille a le droit de disposer de son salaire
(mais pas de gérer ses autres biens). – LDH.
Voir :
1791,
1874,
1881…
• 1908 NCLN Libéralisation
du droit au divorce : il est autorisé, à la demande des deux
époux, après 3 ans de séparation de corps. – LDH.
Nulle
et non avenue. Voir : 1792.
• 1909 … Loi
instituant un congé de maternité de 8 semaines, sans traitement. –
LDH
La
femme n’a ni besoin du congé et ni besoin de traitement, ne devant
travailler et étant à charge de son Époux. Voir : 1791,
1874,
1881…
• 1915 … Les
femmes disposent de l’autorité paternelle en l’absence du mari,
et pour la durée de la guerre. – LDH.
Évidemment,
c’est la Loi naturelle : Le
Seigneur Dieu dit aussi : Il n’est pas bon que l’homme soit
seul ; faisons-lui une
aide
semblable à lui.
Sauf
disposition contraire du Chef ou présence d’un Aîné capable,
etc.
Voir :
DP-6.C.11,
Un Seigneur justifie ses garçons qui ont mis leur mère au cachot.
Du
reste pendant que l’Époux est sorti pour ses occupations de Chef,
qui garde la Maison, surveille les enfants ? l’épouse !
épouse qui dit du reste votre Père veut ceci, veut cela, a dit
ceci, etc. !
• 1920 … Loi
faisant de la contraception et de l’avortement un délit pénal. –
LDH.
8.G.2.b - La
Loi ne forme pas le Droit, la Loi ne doit dire que le Droit !
Le
Droit préexiste à tout !, Le Seigneur Dieu est le Droit !
Il est Droit !
→ Les
premières Lois émanant de ce Droit, furent Celles édictées pour
régir l’univers, et plus particulièrement toute la Création
terrestre.
→ Les
premières Lois écrites
par ce Doit furent Celles gravées par le Seigneur Dieu dans la
conscience d’Adam.
Voir :
DP-2.C,
La Loi naturelle déposée en Adam, le Droit naturel.
→ Les
premières Lois écrites et
directement visibles à l’œil nu, furent Celles, au
nombre de dix écrites par le Doigt de Dieu sur le mont Sinaï !
Permettez cette candide remarque : dix Lois comme le nombre de
Ses Doigts, ainsi chacun des Doigts du Seigneur Dieu a inscrit Sa Loi
du Décalogue !
Voir :
DP-2.E,
Les Lois données à Moïse, confirmant le Droit naturel.
→ Les
suivantes, et dernières, Lois qui furent écrites
par ce Droit, le Seigneur Dieu Fils de Dieu, furent Celles
qui font partie du dépôt de la Foi clos avec la mort du dernier
Apôtre : Saint Jean.
Voir :
DP-2.F,
Les Lois de l’Église, parfaisant le Droit naturel.
→ Toutes
les autres lois sont des lois humaines et à ce titre, elles doivent
impérativement coller au Droit divin !
Ainsi,
répétons-nous : La
Loi ne forme pas le Droit, la Loi ne doit dire que le Droit !
Et si une ‘loi’ dit autre chose que le Droit du Seigneur Dieu,
c’est qu’elle n’est pas Droite, elle est donc nulle et non
avenue. Pire, l’on doit lutter le plus énergiquement possible, et
même jusqu’au sacrifice de notre vie : contre elle(s) !
Ainsi
donc si ladite loi dit que l’on peut tuer dans le sein de leur mère
les enfants de leur Géniteur, par contraception ou avortement qui
sont tout comme, cette loi ne disant pas le Doit est nulle et non
avenue et doit être combattue jusqu’au martyr !
Et
ainsi pour toutes les autresdites lois contre-nature parce que contre
le Droit du Seigneur Dieu, par ex. : viol de l’Autorité
infrangible et toute-puissante du Chef de Famille sur Sa Maison (cf.
toute cette étude), etc. !
Ainsi
aussi, si unedite loi civile ou religieuse, et même soi-disant
émanant de l’Église catholique, ou même d’un Ange, dit que
l’on peut se séparer-divorcer, cettedite loi ne disant pas le
Droit est bien nulle et non avenue et doit être combattue avec la
plus totale détermination ; et, c’est ce que font de nombreux
et héroïques Époux qui sont victimes de cesdits catholiques et
autres criminels du même acabit.
Pour :
Église catholique, ou même d’un Ange :
… mais
il y a des
gens qui vous troublent,
et qui
veulent renverser l’Évangile du Christ.
Mais si quelqu’un, fût-ce
nous-même ou un Ange du Ciel,
vous annonçait un autre évangile que celui que nous vous avons
annoncé, qu’il soit anathème !
Voir :
DP-8.C.2,
Saint Pie X : la femme dans les lieux saints.
Pour :
que l’on peut se séparer-divorcer :
Séparation
ou divorce, ceci est positivement impossible et contre-nature :
impossible de séparer une seule chair, Voir :
→ DP-4.B.8,
Fusion indissoluble de deux vies dans un même corps.
→ DP-4.J.7,
L’un ou l’autre ne peut se séparer de soi-même.
→ DP-10.B,
Non non, je ne divorce pas, je me sépare !
→ DP-10.C,
L’Église catholique et ladite séparation matrimoniale…
Pour :
qui sont victimes de cesdits catholiques :
Voir :
DP-6.H.1,
Je ne crains que les mauvais catholiques !
Lisons
la prédiction infaillible de Notre Seigneur Jésus-Christ avec nos
commentaires : Les
martyrs ont sauvé leur âme par leur constance devant la souffrance
et la mort. En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples :
« Quand vous entendrez parler de guerres et de bouleversements
[nous sommes en plein dedans !], n’allez pas vous effrayer :
il faut que cela arrive d’abord, mais ce ne sera pas de sitôt la
fin. » Puis il leur dit: « On
se dressera peuple centre peuple, royaume contre royaume. Il y aura
de grands tremblements de terre, et çà et là des pestes et des
famines ; il y aura des phénomènes effrayants, et dans le ciel
de grands signes.
Mais avant tout cela, [Notons bien le Mais
avant cela. Ainsi voyant déjà largement se
profiler au très proche horizon ce qui précède, l’on peut dire
que les Époux qui sont attaqués en leur Mariage sont victimes de ce
qui suit :],
on
portera la main sur vous, on vous persécutera, on vous traînera
dans les synagogues
[Silence de fait accusateur de cettedite
Église (Qui
dit mot consent !, dit le proverbe, et
donc dans ce cas de séparations-divorces, il s’agit bien d’un
silence hautement accusateur, un silence qui tue !), ou dite
Rote de la secte FSSPX et consœurs]
et
dans les prisons, on vous traduira devant des rois et des gouverneurs
[tribunaux : ‘affaires familiales’
(illégaux), pénaux (femme gouvernée, dominée, corrigée), voire
d’assises (femme ‘battue’) !]
à
cause de mon nom, et cela vous donnera l’occasion de témoigner
[De fait, ce que nous faisons ici !].
Mettez-vous
bien dans la tête que vous n’avez pas à préparer votre défense ;
je vous donnerai moi-même un langage et une sagesse, à quoi nul de
vos adversaires ne pourra résister ni contredire
[Ô notre Dieu, oui ! qu’il en soit
ainsi pour Votre plus grande Gloire !]. Vous
serez livrés même par
[votre épouse,]
vos
père et mère, par vos frères, vos proches, vos amis ; parmi
vous, on en fera mourir ; et vous serez en butte à la haine
universelle à cause de mon nom
[N’est-ce pas ce qui nous arrive, vrais
Chefs de Famille ?].
Mais
pas un cheveu de votre tête ne périra. Vous sauverez vos âmes par
votre constance ! »
(Luc
21.919,
missel, messe votive 11).
• 1920 … Les
institutrices obtiennent l’égalité de rémunération avec les
hommes. – LDH.
Toujours
cette foutaise dedite égalité de deux êtres évidemment, et sans
remède possible, inégaux : Homme – femme !
De
plus, la femme ne peut travailler ; elle ne peut prétendre à
une charge comme l’Homme ; et au final, c’est l’Époux,
Lui seul qui choisit ceux qui doivent l’aider, et qu’à Lui
revient de considérer en sa conscience la juste rémunération de
ses aidants, et après entente de s’y tenir !
• 1924 NCLN L’enseignement
secondaire est le même pour les filles que pour les garçons. –
LDH.
Aux
non avertis : prière de ne pas rire ! Cette disposition
est positivement contre-nature, voir toute cette étude…
• 1928 NCLN Loi
instituant le congé de maternité. – LDH.
Nulle
et non avenue, compte tenu que la femme ne doit pas travailler !
• 1932 … Création
des Allocations Familiales. – LDH.
On
ne corrige pas une carence voulue par cet État par un mal encore
pire ! Disposition vicieuse, assistanat avec possibilité
d’exercer ensuite un chantage tel que : Ils
ne vont pas à l’école de la Ripoublique, alors on vous coupe les
AF ! L’Époux doit avoir les moyens de
subsistance pour Sa Famille et ne point être entravé dans Son
Gouvernement, voir plus loin dans notre étude.
• 1938 NCLN Loi
reconnaissant à la femme une ‘capacité juridique’ restreinte :
droit d’‘ester en justice’, de témoigner, etc… – LDH.
Positivement
contre-nature, criminelle ! Voir :
• 1938 NCLN Réforme
des régimes matrimoniaux, suppression de l’incapacité juridique
de la femme mariée ; les femmes peuvent en théorie ouvrir
seules un compte en banque. – Wik.
Développé
précédemment…
• 1941 NCLN Le
divorce est interdit pendant les trois première années suivant le
mariage ; ensuite aussi, sauf en cas de sévices graves et
répétés. – LDH.
La
séparation-divorce est interdite !, point à la ligne. Bien
développé précédemment…
• 1941 NCLN Les
époux mariés depuis moins de trois ans ne peuvent plus divorcer. –
Wik.
Idem,
ci-devant, impossible de se séparer-divorcer et ce du Oui
à la mort !
• 1942 … L’avortement
est considéré comme un crime contre l’État, passible de la peine
de mort. – LDH.
Cette
assertion est mensongère, vicieuse ! Ce n’est pas un crime
contre l’État à qui l’enfant n’appartient pas, mais contre la
Famille, contre Dieu ! Il doit être en effet passible de la
peine de mort, comme la contraception aussi !
• 1944 NCLN Une
ordonnance d’Alger accorde aux femmes le droit de vote et le droit
d’éligibilité. – LDH.
Voir :
DP-5.B.5,
L’Homme commande, dirige, gère, défend, attaque… ;
et DP-7.B.6,
Prenez garde à ces paroles de serpent, dit Pie XII à la femme.
• 1944 NCLN Les
femmes sont admises dans les jurys d’assises. – LDH.
Idem
ci-dessus… Hautement subversif !, une femme ne peut peser un
Homme. Ceci est particulièrement contre-nature.
Voir :
tout 5B4,
L’Homme juge, jure, atteste, certifie, témoigne…
• 1945 NCLN Rétablissement
du divorce aux conditions de 1908. – LDH.
Déjà
commenté.
• 1945 … Loi
instituant le congé de maternité obligatoire et indemnisé à 50%.
– LDH.
Voir :
1909.
• 1946 NCLN Le
préambule de la Constitution pose le principe de l’égalité des
droits entre hommes et femmes. – LDH.
Violemment
contre-nature, revoir toute l’étude.
• 1965 C1965 L’enseignement
technique est ouvert aux filles. – LDH.
Voir :
1850.
• 1965 NCLN Réforme
du régime matrimonial de 1804 : la femme peut gérer ses biens,
ouvrir un compte en banque, exercer une profession sans
l’autorisation de son mari. – LDH.
Voir :
1881.
• 1965 NCLN Une
femme mariée peut exercer une activité professionnelle sans
autorisation du mari. – Wik.
Violation
de l’Autorité de l’Époux et contre-nature, voire l’ensemble
de l’étude.
• 1967 NCLN Loi
Neuwirth autorisant la contraception ; celle-ci sera remboursée
en 1974. – LDH.
Voir :
1920.
• 1970 NCLN La
mère devient l’égale du père en matière d’autorité
parentale. – LDH.
Violation
de l’Autorité de l’Époux et contre-nature, voire l’ensemble
de l’étude.
• 1970 NCLN Loi
relative à l’autorité parentale conjointe, le père n’est plus
le chef de famille. Cette loi repose sur le principe d’égalité
des sexes. – Wik.
Idem
ci-dessus.
• 1971 C1971 Loi
rendant obligatoire l’égalité des salaires entre les hommes et
les femmes pour un même travail. – LDH.
Voir :
1791,
1874,
1881…
• 1974 NCLN Loi
Veil autorisant l’IVG, sous certaines conditions. – LDH.
Vu
ci-dessus.
• 1975 NCLN Libéralisation
du divorce. – LDH.
Voir :
1792,
1920.
• 1975 NCLN Instauration
du divorce par consentement mutuel. – Wik.
Idem
ci-dessus.
• 1983 C1983 Loi
Roudy, qui interdit toute discrimination professionnelle en raison du
sexe. – LDH.
Voir
toute notre étude.
• 1985 NCLN Égalité
des époux dans la gestion des biens de la famille et des enfants. –
Wik.
Déjà
vu.
• 1986 NCLN Circulaire
légalisant l’emploi du féminin pour les noms de métier. – LDH.
Débile
et non avenue !
• 1987 NCLN Elargissement
des cas où l’autorité parentale peut être conjointe (divorce,
concubinage) – Wik.
Voir
toute notre étude.
• 1990 NCLN Arrêt
de la Cour de cassation condamnant le viol entre époux. – LDH.
Absolument
impossible ! Voir :
→ DP-3.B.3.e,
Maintenant, voici où nous devions arriver. ;
→ DP-3.B.10.c,
Avertissement à ceux qui n’ont pas encore été touchés,
croient-Ils… ;
→ DP-4.H.5,
3ème fin - peut-on refuser l’acte conjugal ? ;
→ DP-6.C.2.a,
Quelle différence y a-t-il entre l’Autorité du Supérieur et
Celle de l’Époux ?
• 1992 NCLN Loi
réprimant les violences conjugales, et loi sanctionnant le
harcèlement sexuel au travail. – LDH.
Au
sujet des violences conjugales, voir :
→ DP-3.C.4.c,
Reprenons, résumons notre dernier propos.,
et suite ;
→ DP-4.E.1.b,
La fable sidérante, abrutissante de la femme battue.
→ DP-6.C,
Seul Il a Pouvoir de discipliner son épouse, seul Il le Peut.,
tout le point.
Au
sujet du harcèlement sur le lieu du travail : les femmes ne
peuvent travailler, alors, impossible d’être harcèlées !
Voir :
DP-7.C.2.b,
Faire reconduire la fliquette ‘affranchie’ de son Homme, par un
macro !
• 1993 NCLN Principe
de l’exercice conjoint de l’autorité parentale à l’égard de
tous les enfants, quelle que soit la situation des parents. – Wik.
Voir :
DP-6.E,
Seul le Père est responsable de ses enfants.
• 1999 NCLN Réforme
de la Constitution : la loi ‘favorise’ l’égal accès des
hommes et des femmes aux mandats électoraux et aux fonctions
électives. Loi en faveur de la parité hommes/femmes en politique. –
LDH
Déjà
vu…
• 2001 C2001 Un
congé de paternité de onze jours est octroyé au père à la
naissance d’un enfant. – Wik.
Débile,
déjà vu…
• 2005 C2005 Un
nouveau-né est en droit de recevoir le nom de famille du père, ou
de la mère, ou des deux accolés. – Wik.
Scandaleux !
Voir : 1993.
♣
iii
Cant. cant., VIII, 6, 7.
La beauté du sacrement du mariage, je ne vous l'apprends surement pas, réside dans l'amour des époux. La femme aime son mari et le sert comme son âme aime le Christ, le mari aime sa femme comme le Christ aime l'Eglise. L'Eglise est le corps du Christ, comme l'épouse est pour l'époux "la chair de sa chair". Le Christ, Epoux éternel, ne châtie pas sa bien-aimée, il s'unit à elle, recherche l'adhésion de son âme. Son autorité est intrinsèque, ontologique, mais ne repose que sur l'amour qu'il lui porte. La violence et le l'agitation du coeur ne sont jamais le signe de la présence du Seigneur. Au contraire, la grâce (au centre du mariage comme de tous les sacrements) se manifestent par la paix du coeur.
RépondreSupprimerPourquoi tant de trouble quand la vérité est si douce ?
Ajouté bien après coup.
SupprimerPour ceux qui veulent avoir une réponse plus étendue à ce commentaire ci-dessus, nous ne pouvons que leur conseiller de lire une de nos dernières pages :
LF-2011-01, Lettre à nos filles : Dame Lucie, dès ici-bas, voulez-vous le bonheur, ou bien le malheur ?
Adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2011/07/lf-2001-01-lettre-nos-filles-dame-lucie.html
Anonyme,
RépondreSupprimerVous finissez votre message par « Pourquoi tant de trouble... », et ce sans déclarer ce qui selon vous est ‛trouble’ !, pour cela, sereinement, nous vous attendons !
Tout votre discours paraît être une copie conforme des sermons des curés post-conciliaires, ‛amour’, amour, amour !’, mais qu’est-ce que l’Amour, ici-bas ? Si ce n’est de dire la Vérité ? Donc, déclarez-nous, par charité, notre erreur !
La Vérité est que nous, les humains, créés pour Dieu et donc pour son Ciel, depuis le transgression d’Ève, car ce n’est point l’Homme qui transgressa (selon St Paul), sommes le plus grand nombre à nous enfourner frénétiquement en enfer (petit nombre des élus !) ; or, comme tous ces curés modernos, vous ne parlez pas du mal, du péché, de l’enfer !, vous parlez comme un ‛gros benêt oui oui’ : ‛amour’, amour, amour !’
Feriez-vous partie de ceux qui furent ainsi stigmatisés par la Très-Sainte Vierge Marie à La Salette : Les prêtres, ministres de mon Fils, les prêtres par leur mauvaise vie, par leurs irrévérences et leur impiété à célébrer les saints mystères, par l’amour de l’argent, l’amour de l’honneur et des plaisirs, les prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes.
Avec satisfaction, nous prenons bonne note que vous déclarez l’épouse servante de son Époux : ‛La femme aime son mari et le sert’ !
Par contre, nous constatons que perfidement, vous dites que ‛le Christ, Epoux éternel, ne châtie pas sa bien-aimée’, or, chacune de nos Âmes est la bien-aimée de ce Sauveur qui mourut même sur la Croix pour celle-ci ; et pourtant, Il a préparé un châtiment éternel pour chacune de ses bien-aimées si celle-ci ne répond pas à Son Amour !
Cet enfer, est une violence indéniable répondant à la violence de la bien-aimée révoltée !, alors, le Christ est-Il un ‛agité’ ?, car vous dites : ‛La violence et le l'agitation du cœur ne sont jamais le signe de la présence du Seigneur’. Déclarez-nous notre ‛agitation’, nous vos attendons !
Bien à vous...
QJSIOJC
Ce jour, en la Saint Hilaire, le 13 janvier 2011, nous avons modifié le paragraphe commençant ainsi : Remplacez scribes et pharisiens par prêtres, Évêques, et
RépondreSupprimerL’ancien site ‘Les Intransigeants’, avant leur première censure, avait repris le 2 décembre 20008 une partie de cette page...
RépondreSupprimer--- Voici leur introduction : ---
Vous vous souvenez probablement du beau texte que nous avions publié précédemment au sujet du statut de la femme … Nous rappelions que le statut de la femme dans le christianisme était beaucoup plus intransigeant qu’en Islam. A l’heure où nous écrivons ces lignes, ce texte a généré plus de 150 commentaires !
Nos amis du blog Restautation de la Famille sont de retour et en rajoutent une dose avec un nouveau complément sans langues de bois pour leur fameuse étude. Ca cogne sec (c’est le cas de le dire) ! Nous les remercions pour ces éclaircissements ! Etant donné que le billet est un peu ample, nous en avons sélectionné les meilleurs extraits. Vous pouvez lire l’article dans son entièreté par IC : http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2008/11/restaurer-la-dignit-de-la-femme-par-sa.html
--- Voici la partie reprise ---
Juste après le point 8B, L’Époux honnête, est forcément musulman !
« Comment se fait-il que lorsqu’un Époux applique ou défend le Mariage... »
Jusqu’à, avec certaines coupures : « Le mari seul a le droit de gérer les biens du couple et les biens de sa femme (mais il n’a pas le droit de dilapider la dot de sa femme). »
--- Voici ensuite les commentaires déposés alors sur le site ‘Les Intransigeants’ ---
Rectification du message précédent :
RépondreSupprimer1) le nom de leur publication été : « Dans le christianisme, la femme est censée être encore plus soumise qu’en islam ! »
2) --- Voici ensuite CERTAINS commentaires déposés alors sur le site ‘Les Intransigeants’ ---
December 2, 2008 at 10:27 am
RépondreSupprimer“vivre avec son époque!” ça veut dire quoi? ça c’est une invention des sionistes qui veulent détruire les famille et la morale! vivre avec son époque c’est de tolérer l’intolérable cela veut dire l’homosexualité! vivre avec son époque c’est qu’un père accepte que sa fille couche avec 1000 mecs avant le mariage enfin si elle pense a se marier!
Non et non! il ne faut pas vivre avec son époque ! la loi divine est universel et doit être appliqué même en 3020, c’est pour nôtre bien et pour le bien de l’humanité et inchalah être parmi les pieux le jour du jugement dernier!
December 2, 2008 at 6:37 pm
RépondreSupprimerCe texte est long, j’ai décroché avant la fin. QJSIOJC est courageux, ils ne sont pas nombreux à oser remettre en question la doxa de la merveilleuse femme libérée. Il met sur la table un sujet important qui échappe totalement à la conscience moderne actuelle.
Il faudrait peut-être dévelloper davantage et expliquer au maximum les raisons qui sous-tendent ces recommandations.
Je vais vous mettre quelques pistes.
December 2, 2008 at 7:22 pm
RépondreSupprimermoi, je pense qu’il est juste de dire que l’homme est le chef de la femme, mais c’est une recommandation, et c’est ainsi que cela se passe dans les couples qui fonctionnent. D’ailleurs, les femmes avocates ou médecins ne se marient jamais en dessous de leur condition : elles n’épousent jamais le cantonnier..!
Maintenant il est difficile d’imposer quoi que ce soit car si on marie les femmes sans leur consentement, si elles n’aiment pas leur mari elles risquent de ne pas aimer leurs enfants. ET il ne faut jamais oublier que le seul pouvoir dont les femmes disposent et savent très bien se servir est un pouvoir de nuisance.
[Note de l’ŒRFAEP : Il y a à redire à ce message..., mais l’intention est bonne.]
December 2, 2008 at 7:39 pm
RépondreSupprimerAujourd’hui ce n’est plus l’homme le chef de la femme mais les médias, c’est le résultat de 30 années de dénigrement systématique des mâles français blancs chrétiens. Les femmes voyant que les français sont subornés par les médias, considèrent les médias comme les chefs des hommes, et par suite préfèrent écouter les recommandations des médias qui les flattent en présentent leurs dérèglements comme des libertés, comme la modernité ou des droits acquis.
Elles veulent être libres de faire tout ce qu’elles veulent sans aucune limite; mais ne veulent surtout pas être tenues pour responsable des malheurs qui arrivent ensuite par leur faute.
Elles veulent être responsables ET irresponsables : Le beurre et l’argent du beurre.
Mais le problème, c’est que Des femmes déréglées transmettent leurs dérèglement à leurs enfants, et que ceux-ci par la suite créent des problèmes à toute la société, (1)à nous-mêmes, par conséquent, nous nous mêlons de ce qui nous regardent lorsque nous abordons ce genre de sujet.
(1)C’est ce que dit le mythe d’Adam et Eve !
[Note de l’ŒRFAEP : Non !, Adam et Ève ne sont pas un mythe !]
December 2, 2008 at 7:43 pm
RépondreSupprimerschyzophrénie des femmes:
C’est toujours de la faute des hommes, ces méchants, ces salauds qui les ont soumises depuis des millénaires et les ont forcées par la culture à une position subalterne.Les femmes sont toujours innocentes, rien ne peut leur être reproché, la moindre critique les met en transe; Quoi qu’elles fassent, jamais rien n’est de leur faute, elles ne peuvent pas être coupables ..! Comment cela peut-il être possible ? Réflechissez..!
Si elles ne peuvent jamais être coupables c’est qu’elles considèrent elles-memes qu’elles ne peuvent pas être tenues pour responsables. Et si, en effet, elles se mettent sous la coupe de hommes, si elles se déterminent d’après la culture dans laquelle elles vivent, alors, oui, rien ne peut leur être reproché dans la mesure où elles se conforment à ce que les hommes désirent qu’elles soient…. Et alors elles vivent les critiques qui leur sont adressées comme des injustices.
Mais aussi, si cette hypothèse est juste, elles reconnaissent la supériorité de l’homme…sans la reconnaitre…car si elles le faisaient elles leur accorderaient des droits sur elles, et cela elles ne le veulent pas, elles préfèrent rester libres de faire ce qu’elles veulent sans être tenues à aucun devoir ou à aucune règle qui les contraindraient dans leurs libertés ou dans leurs dérèglements.
Mais aussi, si cette posture des femmes est aujourd’hui viable c’est que l’homme n’est plus le chef de la femme.
Les campagnes médiatiques de dénigrement des mâles blancs français, menées entre autre par les féministes auxquelles les journalistes ont tendues complaisemment les micros afin qu’elles y déverent leur haine, ont eut cet effet de disqualifier les hommes français au profit des médias. Aussi, aujourd’hui, le chef de la femme se sont les médias. Les femmes sont libres de faire tout ce que ces médias ne leur défendent pas.
Les hommes, leur opinion, leur désir ne comptent plus, ils n’ont plus de pouvoir, ce ne sont plus eux qui assurent les moyens de vivre du foyer, c’est l’état qui fournit ces moyens, ou bien l’état qui fournit aux femmes les moyens de vivre indépendamment des hommes.
L’homme est devenu un produit commercial qu’elles prennent lorsqu’elles en ont besoin et qu’elles jettent lorsqu’il est devenu inutile.
Les responsables de cette situation sont les hommes qui ont soutenues les féministes ou qui ont soutenus l’égalité hommes-femmes, ils se sont ainsi dépossédés eux-mêmes, comme des aliénés, car :
” Les femmes nous appartiennent comme les fruits appartiennent à l’arbre qui les portent” Napoléon.
Ils ne sont pas seulement dépossédés de leurs femmes, mais aussi du pouvoir politique au profit de l’état et de leur pouvoir d’emprise sur leur vie au profit des médias.
December 2, 2008 at 8:04 pm
RépondreSupprimerC’est vrai que les hommes d’église pourraient se battre plus énergiquement pour leurs idées,Jésus est mort pour la vérité, on attend qu’ils montrent l’exemple.
Ce n’est pas exactement une supériorité de l’homme sur la femme, c’est une prééminence.
L’intelligence de l’homme est plus vaste que celle de la femme, elle suborne celle de la femme, elle la recouvre presque entièrement mais pas totalement, apparemment une partie échappe à l’homme.
Cette intelligence n’est pas une intelligence politique, c’est évident. Mais les femmes veulent avoir la liberté de l’exercer, à juste titre ( chacun doit chercher à parvenir au plus haut point auquel il puisse atteindre , Aristote).
Pour compéter ce que j’avais dit, ce que je reproche aux femmes, c’est de vouloir être de hommes, de les singer, d’être masculines, d’être des grenouilles qui veulent se faire aussi grosses que des boeufs ( un boeuf est un taureau castré)
Par contre, je ne leur reproche pas d’être féminine, ni d’être séduisante, ni d’exercer les talents spécifiquement féminins, le chant ou e c t….
December 3, 2008 at 3:07 am
RépondreSupprimerJuste une petite plaisanterie rapportée par un farouche anti-féminisme américain, après la contribution bien intéressante de “lol”. La voici :
” lorsque les pédérastes sortent de leurs pissotières et que les femmes entrent en politique, alors il y a péril en la demeure!”.
Quant au sujet du jour, si difficile à débattre, j’ avoue que, le simple fait de le lire, j’ en suis tombé de ma chaise! Je croyais que l’ affaire était entendue et que, comme le chantait Jean Ferrat ” la femme est l’ avenir de l’ homme”.
Je suis vivement intéressé par les convictions des uns et des autres. Hormis la grossièreté gratuite et dégradante, surtout celle regrettable, émanant de femmes.
Bonne continuation. Mahmoud.
December 3, 2008 at 8:51 am
RépondreSupprimerMahmoud,
Vous écrivez : « Hormis la grossièreté gratuite et dégradante, surtout celle regrettable, émanant de femmes. »
Sans aucune langue de bois !
Oui, vous avez raison Mahmoud, c’est du reste pour cela que l’on dit : “on ne discute pas avec les femmes !”, et comme le dit Mgr Jean-Joseph Gaume : c’est pour la même raison que l’on ne discute pas non plus avec Lucifer et sa cohorte !
N’ayant aucun, mais alors ce qui s’appelle réellement aucun argument à opposer, car sinon nous l’aurions su, et aurions lu autre chose que des histoires : de Tartes Alice’ à envoyer dans la ‘gueule’ (quelle délicatesse de langage dans la bouche d’une femme surtout !) et donc de cuisine qu’elles ont voulu déserter !
Elles en sont, de raisonnement, ‘dramatiquement’ incapables, alors il ne leurs reste, pour les mauvaises il s’entend car les bonnes sont convaincues de leur totale asservissement – subordination de Droit divin à l’Homme : que l’insulte !
Leur meilleure ‘argumentation’ de ces pauvresses est du niveau du ‘raisonnement de boniche’ !
Et maintenant, elles rameutent, car elles ne veulent plus lâcher le ‘jouet’ qu’elles ont volé dans leur révolte contre le Droit divin et qui va bientôt achever de détruire toute la Famille : les efféminés et les Hommes aveuglés qui pensent encore s’en sortir comme cela, le temps, mais alors ils ne pourront pas dire ‘je ne savais pas ! : que la gamelle se renverse sur eux et les emporte eux aussi ainsi !
C’est du reste pour cela que notre étude, sur notre site, leur est interdite, et qu’aussi nous n’acceptons aucun message d’elles, ce qui fait du reste hurler les viragos comparables à celles du site ‘La première gifle’ !
December 3, 2008 at 5:12 pm
RépondreSupprimerwake up
Il y a des femmes qui sont acariâtres, obstinées, qui veulent toujours avoir raison, qui sont plus opiniâtres que des bourriques et dont la vie semblent être consacrée à faire enrager leur mari ou à pourrir celle de leur entourage, et qui ne paraissent satisfaites que lorsqu’elles ont obtenus ce qu’elles réclament et qui les calment: des coups.
Elles ont besoin que les hommes leur prouve leur supériorité par ce moyen ????????
Ce n’est pas de ma faute……!!
C’est un constat, chacun connait ou a connu ce genre de femme!
December 3, 2008 at 5:30 pm
RépondreSupprimerEt puisque les femmes ne se corrigent jamais les unes les autres, il faut bien que quelqu’un se dévoue pour dire ce genre de chose puisqu’elles ne le feront jamais, elles estiment que ce n’est pas à elles à le faire, c’est le boulot des hommes, alors il faut bien que quelqu’un se dévoue pour faire ce sale boulot.
--- Même commentateur ---
December 3, 2008 at 5:35 pm
Réflexion d’un homme politique à propos de la féministe Caroline Fourrest:
” Elle est narcissique, elle s’aime elle-même… elle s’aime tellement que si elle devait commettre un crime passionnel, ce ne pourrait être qu’un suicide”
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerSieur Dominique K.,
SupprimerVotre commentaire fut agréé afin que vous en soyez éventuellement averti, puis supprimé pour les 2 raisons suivantes :
~~~~~~~~~~~~~~~~
Raison 1 :
Vous devez (comme forcément vous l’avez vu) suivre la procédure explicitée en la page http://restaurationdelafamille.blogspot.com/2010/07/marge-suivre-pour-deposer-des.html, et encore rappelée gracieusement et succinctement ici :
→ Envoyer un message (votre adresse restera absolument confidentielle, donc non publiée) à l’adresse : ORFAEP@gmail.com, comportant 3 éléments :
1- Votre pseudo (ou votre nom complet en clair si vous préférez.
2-La page où vous voulez voir votre commentaire paraître, par ex. : DP-08, Restaurer la dignité de la femme, par sa soumission (II)…
3-Enfin votre commentaire lui-même, approbateur, encouragent, ou interrogateur, ou même le cas échéant très énergiquement contradictoire ; mais toujours courtois, propre, honnête !
~~~~~~~~~~~~~~~~
Raison 2 :
- Votre commentaire ne comportait aucune question raisonnable, ni raisonnement, ni interrogation, ni conclusion, ni approuvement, ni contradiction ; etc.
Par contre il ne comportait que des insultes ou sou-tendus vicieux, des obscénités, il était infamant, méchant, menaçant !, là était tout votre argumentaire, votre érudition, vosdites convictions !, votre intelligence !, vous marquiez ainsi donc que vous n’aviez rien à réfuter !
Votre méchanceté et obscénité n’était donc qu’approuvement de ce que nous écrivons !, de cela soyez bien remercié !
~~~~~~~~~~~~~~~~
Vous pouvez reposer un commentaire en respectant le point « Raison 1 », et en agissant radicalement à l’opposé à ce que nous avons cité au point « Raison 2 ».
Nous vous rappelons ce que nous écrivons en la page de dépôt de commentaire (précitée) :
Début extrait :
Votre commentaire doit être courtois, s’il est obscène, injurieux, vicieux, etc., il sera suspendu, et il vous sera demandé de le modifier ; en cas de refus ou de récidive votre commentaire sera refusé définitivement et votre adresse électronique sera immédiatement ‘grillée’, marquée comme indésirable (spam) !
Nous ne modifierons jamais un commentaire !, soit il est accepté ; ou soit refusé (avec la possibilité pour vous de le réécrire si nous devions vous le demander) !
Nous n’avons pas de temps à perdre avec les provocateurs, si nous sommes fous selon vous, ce que vous avez de mieux à faire, c’est de passer votre chemin. L’acharnement de ce fameux Louis et de ses clones prouve uniquement que nous dérangeons en disant la Vérité !, en effet, si réellement nous étions fous, il ne craindrait pas ce que nous écrivons ici !
Fin extrait.
~~~~~~~~~~~~~~~~
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Avis !
RépondreSupprimerEn ce jour nous venons d'ajouter un point à cette page : 8.E.10 - Ajoutes diverses
Rebonjour. Tout d'abord, sachez que c'était mon plaisir de vous aider. Ensuite, j'ai continué ma relecture de vos articles, et le passage suivant m'a intrigué :
RépondreSupprimer→ Servir à table l’épouse en premier, puis l’Époux !, alors que, et même si ce n’est pas elle qui fait le service de table, c’est l’Époux, ou son invité s’Il veut l’honorer, qui doit être servi en premier, ensuite viennent les garçons ; les femmes viennent après ! Dans un temps pas si reculé que cela, les femmes ne mangeaient pas à table, devant être qu’au service des Hommes qui étaient à table93 !
Cet article est rempli d'informations extrêmement intéressantes sur ce à quoi devrait ressembler une société saine. Et c'est notamment le cas du passage que viens de citer. Aussi, je me demandais : quand vous dîtes que les femmes ne mangeaient pas à table, cela comprend-il les filles aussi ? Et si oui, jusqu'à quel âge ? Je comprends que mes questions soient très détaillées, mais je suis très intéressé sur la manière dont la famille était organisée, et notamment sur l'attitude des femmes, en des temps, disons plus chrétiens.
Cher Sieur Jean Mahezic,
SupprimerMerci pour ce nouveau commentaire !, nous sommes gâtés Grâce à Dieu !, oui tout est Grâce !
Merci à Vous que Votre plaisir fut de nous aider, que sommes nous !, si ce n’est la cause que nous voulons défendre ?..., rein !
Vous nous dites ‘je suis très intéressé sur la manière dont la famille était organisée’, et vous nous demandez...’ ceci suit cette question ‘... cela comprend-il les filles aussi ? Et si oui, jusqu'à quel âge ?...’
Il est bien mal aisé nous le croyons de Vous répondre même en un bon commentaire, aussi, nous allons publier une réponse bien appropriée sous quelques jours, et de celle-ci Vous en serez personnellement averti. Pour ce, pouvez-nous avoir votre adresse messagerie (ici : QJSIOJC@gmail.com) qui ne sera évidemment pas publiée...
Dans cette attente... Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Cher Sieur Jean Mahezic,
SupprimerNous vous avions annoncé une réponse à votre question, et le temps passe ; sachez que nous ne vous avons pas oublié, bien au contraire !
Nous pensons que vous ne serez pas déçu par notre réponse, elle ne sera pas lapidaire, bien au contraire...
Nous avons aussi notre devoir d’État et nos dévotions que nous ne voulons pas négliger, ce en plus d’une certaine fatigue...
Nous sommes vers la fin de notre rédaction, puis il y aura les relectures que nous voulons soignées. Aussi, voyant une belle fête se profiler, nous pouvons vous annoncer cette réponse pour la Saint Joseph, le 19 prochain !
Dans cette attente... Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Je vous remercie et vous exprime ma sincère reconnaissance pour le travail que vous accomplissez. J'ai hâte de lire cette réponse.
SupprimerCher Sieur Jean Mahezic,
SupprimerComme annoncé ci-dessus, nous venons de publier notre réponse, elle sera visible à 00:00 afin de respecter sa date de publication, la Saint Joseph, le jeudi 19 mars...
Son titre est : Cher Sieur Jean Mahezic, l’Époux-Père est l’Image la plus noble de Dieu le Père !
Son lien sera : (en attente de publication)...
Nous vous souhaitons bonne lecture...
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Bonjour, je voulais vous dire que je n'ai pas réussi à trouver l'article que vous venez d'écrire. L'avez-vous publié ?
RépondreSupprimerOui !, cher Sieur Jean Mahezic !, bonsoir,
SupprimerOui, comme annoncé en la Saint Joseph, le 19 mars à 00:00, cette réponse a été publiée.
Oui, mais comme non encore publié au moment de notre dernier commentaire nous ne pouvions mettre le lien que nous ne connaissions pas alors...
De plus les moteurs de recherche mettent plusieurs jour à référencer les nouveaux articles...
Notre réponse est comme annoncé :
nom : RH-2015-01 - Cher Sieur Jean Mahezic, l’Époux-Père est l’Image la plus noble de Dieu le Père !
Lien (depuis 19/3/15 00:00) : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2015/03/rh-2015-01-cher-sieur-jean-mahezic.html
De fait, vous auriez du alors aller à la page principale qui présente toujours le dernier article..., pour ce aussi, vous pouvez cliquer sur le bandeau du haut ou « Restauration de la Famille par l’Autorité » parait...
Nous sommes navrés de votre mésaventure..., bonne lecture, et si vous deviez ne point y arriver n'hésitez pas à nous en informer.
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres...
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Ce jour nous vous donnons pour cette page :
RépondreSupprimer- une meilleure présentation du texte.
- un chapitre supplémentaire : 8.E.10.b - Saint curé d’Ars : Les épouses se plaignant de leurs Époux sont celles qui manquent de religion !