Du :
08.09.2009, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : sam. 2 juin 2012,
16.05.
Table
de cette nouvelle, CN-2009-…
28
- Bien marris, nous
relayons l’‛Alerte enlèvement’ de SOS Papa ! (corrigé)
28.B
- Lettre à un
pauvre Père en qui une multitude d’autres peut se retrouver
28.B.1.a
- L’appel
pathétique d’un l’Époux largué et spolié de tous ses biens,
mais qui en redemande !
28.B.1.b
- 1) Parce
que l’appel que vous lancez est bien bien poignant.
28.B.1.c
- 2) Parce
que son auteur est de fait complice de ce qui lui arrive.
28.C
- La servitude
infrangible de la femme, de l’épouse, et sa séduction.
28.C.1.a
- Peu nous chaut
les réactions des efféminés, des capitulards !
28.C.1.b
- Peu nous chaut
encore plus les réactions des garces, des révoltées
28.D
- Femelles,
parfaites filles d’Ève, elles paniquent que Nous leurs reprenions
le Fruit qu’elles ont usurpé !
28.D.1.a
- La femme, et
particulièrement l’épouse, est doublement en servitude
28.D.1.b
- La femme, et
particulièrement l’épouse, est doublement séductrice
Cette
nouvelle remplace la précédente ainsi nommée : Bien
marris, nous relayons l’‛Alerte enlèvement’ de SOS Papa !,
et qui fut supprimée en vue de correction, à la demande de X,
car dit-il : je
vous ai demandé par deux fois… car vous
exposez sur
mon nom
une situation qui n’est pas la mienne et dont vous ignorez tout.
Dont acte !
Sauf…,
sauf, qu’il suffit de taper le nom de X,
pour voir que son cas est évoqué très copieusement, quasiment en
long et en large, jusqu’au prénom de l’enfant enlevé (comme
tant et tant d’autres !) par la mère. L’on peut à la
faveur de cette rechercher aussi constater que des garces aux abois,
alors qu’X
est si timoré quant-à la Vérité !, comme des hommelettes
n’ayant pas encore été touchés en leur chair : dégorgent
sur les forums leur haine à son encontre, comme à l’encontre du
Père en général ; ce, qui confirme du reste que minorant
dramatiquement sa réaction, il n’en est pas moins insulté.
Ainsi
donc, nous avons imaginé un Père parmi des milliers d’autres,
s’appelant Untel,
et dont l’aventure, l’enlèvement des
enfants, est bien transparente dans la vidéo qui va
suivre.
28.B - Lettre
à un pauvre Père en qui une multitude d’autres peut se retrouver
Lettre
ouverte à Untel,
confiée
à Saint Jean Baptiste,
dont
la décollation fut fêtée au cours de cette rédaction,
le
samedi 29 août 2009.
Publié en la Nativité de la Très-Sainte
Vierge Marie,
le mardi 8 septembre 2009.
Cher
Untel,
Nous,
du site Restauration
de la Famille par l’Autorité, sommes
vraiment marris
de ce qui vous arrive, comme à de plus en plus de Pères du reste,
pourquoi ?, pour deux raisons développées ensuite :
1) parce
que l’appel que vous lancez est bien bien poignant ;
2) parce
que son auteur est de fait complice de ce qui lui arrive.
28.B.1.a - L’appel
pathétique d’un l’Époux largué et spolié de tous ses biens,
mais qui en redemande !
Ou :
→ SOS
Papa = médecine allopathique, soit
menteuse, trompeuse ;
→ Restauration
de la Famille par l’Autorité = médecine
traditionnelle.
Voici
le message que nous avons reçu (28/08/2009 22:52), ici en notre
site :
Début
de l’extrait →
… allez
voir cette vidéo et faites passer autour de vous pour les enfants !
(Pour
celles et ceux qui le veulent je prépare les médias pour le 2
septembre 13h devant la cour d’appel de Toulouse, si des personnes
veulent y être prévenez moi…
Ce
sera le lancement médiatique officiel de la vidéo qui doit dès
maintenant voir son nombre de "vues" grimper rapidement
une grande pancarte de plus de 2m de long à l’image du bandeau
qui est sur le site de la délégation est en réalisation…
les
personnes victimes de rapt légalisé, d’expatriation validée
pourront s’y exprimer
Cédric
FLEURIGEON
Délégué
SOSPAPA Tarn et Garonne (82)
BP
807 - 82000 MONTAUBAN CEDEX
tel
: 06 05 07 67 82
←
Fin de l’extrait
Oui,
comme SOS
Papa nous le demande ci-dessus, ‛faites
passer autour de vous’, nous relayons cet
appel : que les lecteurs de cette lettre ouverte veuillent
visionner la vidéo
bien présentée… puis lire ce qui suit :
Oui,
Untel,
l’appel que vous lancez est bien
pathétique, il nous marrit au plus haut point !, voici
pourquoi :
28.B.1.b - 1) Parce
que l’appel que vous lancez est bien bien poignant.
Il
n’est guère nécessaire de s’étendre sur la douleur poignante
de tous ces Époux-Pères, comme vous notre pauvre Untel,
qui ont subi le drame affreux et inexcusable d’une
séparation-divorce,
avec son cortège de crimes, notamment, comme vous l’appelez
vous-même fort judicieusement : l’enlèvement
des enfants par la mère assistée de ladite justice et de
tous ses acolytes positivement malfaisants : ‛assistance’
sociale, forces de police et de gendarmerie, psys-mabouls, etc. !
28.B.1.c - 2) Parce
que son auteur est de fait complice de ce qui lui arrive.
- Comment,
Untel,
êtes-vous complice de ce qui vous arrive ?
- Vous
êtes complice de ce qui vous arrive parce que vous continuez à
soutenir votre démangeaison*
du moment qui est précisément à l’origine du drame, vous ne
voulez pas dénoncer les escroqueries*
ou fables* :
‛égalité’ des sexes, ‛libération’ de la femme,
‛coparentalité’, etc., etc., etc.
Ce,
comme précisément nous en avait averti Saint Paul : Car
il viendra un temps où les
hommes ne supporteront plus la saine doctrine ;
mais ils
amasseront autour d’eux des docteurs selon leurs désirs ;
et éprouvant
aux oreilles une vive démangeaison,
ils détourneront l’ouïe de la vérité, et ils
la tourneront vers des fables.
Pauvre
Untel,
vous voulez impérativement, comme tout le monde maintenant, soigner
rien que certains effets, mais surtout,
surtout, surtout pas les causes !
Obstinément,
consciencieusement direz-vous, vous persistez à manger ‛chimique’
tout en vous étonnant de vous porter de plus en plus mal ! ;
alors, précisez-vous tout ébahi, que vous prenez bien
méthodiquement les médicaments tout aussi chimiques prescrits par
vos Purgon et Diafoirus, dûment diplômés par la Faculté de
médecine mortifère.
Vous
êtes ‛sauvé’ !, en effet, ces ‛doctes’ médecins
criminels continuerons à vous prescrire, même passé trépas !,
des médecines toutes aussi ‛charmantes’, puisque le seul critère
est pour vous comme pour ‛eux*’ :
qu’elles soient non-moyenâgeuse ; ou, comme vous tenez à le
préciser vous-même que cette médecine devant soigner la Famille,
le Mariage, ne soit pas celle ‛qui
à fait son temps’ (voir ensuite…).
Alléluia !,
efficaces médecines et médecins, puisque : ‛modernement’,
ils font méthodiquement et infailliblement passer
à trépas toutes les Familles !
Pauvre
Untel,
vous ne voulez surtout pas demander à la médecine honnête, parce
que traditionnelle, telle celle pratiquée par les ‛successeurs’
d’Antoine Béchamp par exemple, de vous soigner de peur :
d’être taxé de passéiste !, d’arriéré, de taliban ou de
moyenâgeux par le Grand-Mètre
Élyséen
entre-autres !
Et
pour la Famille, vous ne voulez surtout pas de la recette qui marche
depuis plus de six mille ans : Époux Chef,
femme soumise !
L’on
doit même en déduire, en fin de compte, qu’‛heureux’ d’être
spolié de tous vos biens (épouse*,
enfants*,
et biens
matériels*)
vous en redemandez ! Cocasse ou affligeant, selon l’humeur !
Voici
le genre de réflexion que nous entendons souvent (pioché dans un de
nos courriers) : L’important
dans notre société n’est pas de "restaurer" une
autorité du père qui s’apparenterait à un patriarcat qui à fait
son temps…
Nous
vous avons bien lu !, vous et nous : un
patriarcat
qui à fait son temps !
Sauf,
pauvre Untel,
qu’il se fait que tout se tient !, l’on ne peut vouloir la
chose et son contraire, l’on ne peut vouloir la femme débridée*
et dans le même temps se plaindre qu’elle a prit la poudre
d’escampette avec la
caisse* et tout le reste !, en la chose,
comme en tout finalement, il n’y a pas de milieu !, c’est :
→ soit
le Patriarcat, que vous stigmatisez, alors qu’Il est intemporel :
Je
fléchis les genoux devant le Père de Notre-Seigneur Jésus-Christ,
de qui toute paternité, au ciel et sur la terre, tire son nom.
→ ou
soit le ‛matriarcat’ avec tout ce que cela implique comme drames,
crimes, turpitudes, séparations-divorces*,
enlèvements d’enfants par les épouses-mères, comportements
contre-nature, etc., etc., etc.
Comme
toute notre étude,
sans aucune, aucune langue de bois !
Il
n’y a pas de milieu, cher Untel,
c’est soit l’un ou l’autre !
C’est
donc soit :
→ Le
Patriarcat !,
note importante !!!, avec l’épouse bridée*,
asservie*,
dans une totale sujétion*,
soit soumise
en toutes choses*, et révérencieusement*
prosternée*
devant son Maître
et Seigneur* ; ou, si nécessaire,
l’épouse rebridée*
grâce à une sérieuse et salvatrice raclée de son Époux :
châtiments*,
réprimandes*,
coups*
de bâton*
pour la battre*,
etc.
→ Le
‛matriarcat’ !, avec
l’épouse débridée* :
la séparation-divorce*,
les enfants enlevés, et tout le cortège des malheurs connexes !
Cher
Untel,
il n’y a pas d’alternative à ce choix, c’est :
→ soit
Patriarcat et paix, ou,
→ soit
‛matriarcat’ et anarchie !
Le
reste n’est qu’utopies insufflées*
par les suppôts du Malicieux en Chef !
Cher
Untel,
voulez-vous enfin vous réveiller de l’hypnose*
du Malicieux ?, voulez-vous enfin voir qu’il faut juger
l’arbre qu’à
ses fruits ?, en effet, un
bon arbre ne peut produire de mauvais fruits, ni un mauvais arbre
produire de bons fruits ,
ainsi donc :
→ du
temps du Patriarcat, ‛qui aurait fait son temps’ selon l’extrait
que nous venons de lire : l’épouse était bridée*,
et ainsi : point de séparations-divorces*,
point d’enlèvements d’enfants, point de femmes débridées*,
etc.
→ du
temps de la ‛libération de la femme’, temps où ‛le Patriarcat
aurait fait son temps’, l’épouse est maintenant débridée*,
et ainsi : que des séparations-divorces*,
que des enlèvements d’enfants organisés de fait par cette
inJustice forcément totalement illégale en affaire familiale, etc.
28.C - La
servitude infrangible de la femme, de l’épouse, et sa séduction.
28.C.1.a - Peu
nous chaut les réactions des efféminés, des capitulards !
Que
toute notre étude, inattaquable par tout Homme digne de ce Nom,
provoque des réactions pavloviennement*
tellement violentes sur cesdits Hommes, ces hommelettes*
émasculés par conditionnement, ayant des raisonnements de boniches,
ce au point qu’ils en aient des boutons particulièrement
proéminents et suppureux : peu nous chaut !
Cher
Untel,
lisez ce commentaire à une de nos nouvelles publiée par Les
Intransigeants*, Maris,
remettez vos femmes à leur place !,
cet intervenant devrait fortement vous intéresser, vous éclairer :
Début
de l’extrait →
lol
- October 17, 2008 at 7:48 pm :
Les
foldingues féministes préfèreraient-elles que nous nous
convertissions à l’Islam ?
Une
des raisons pour laquelle l’Islam progresse est probablement son
positionnement machiste.
Lorsque
nos ancêtres ont adoptés le christiannisme, les relations
hommes-femmes préconisées dans la bible ont du leur être
clairement exposées.
Aujourd’hui
les hommes sont devenus des fiottes sous l’action des médias, de
l’état et des féministes qui font tous partie de la même
faction.
Cette
féminisation des hommes et cette masculinisation des femmes est
présentée comme un progrès inéluctable de l’humanité auquel on
ne peut échapper et dont on se vante : “c’est un mal en progrès
dans la cité que d’avouer publiquement ses vices” Aristote
Selon
Aristote le tyran peut donner le pouvoir domestique aux femmes afin
que celles-ci rapportent contre leur mari et les dominent, c’est la
gynocratie, en effet dit-il “les femmes et les enfants ne sont pas
un danger pour le tyran.”
Les
français on tout cédé aux femmes, elles se sont plaintes, ont
geint et ces imbéciles leur ont simplement cédé la place. Il était
tellement facile de tout avoir; pourquoi se seraient-elles génées ?
En
récompense, ces femmes ont perdu tout respect pour les hommes, elles
les méprisent ouvertement et les considèrent comme des inférieurs,
des moins-que-rien.
Lorsque
les immigrés voient la façon dont les français sont traités par
leurs femmes, ça leur inspire un grand mépris, accuentuant ainsi
les problèmes en défaveur des français.
Les
maris qui sont dominés par leurs femmes doivent être sommés de
mettre bon ordre dans leur ménage. Quant l’homme cède à tous les
caprices de sa femme, celle-ci se persuade bientôt que ce
comportement est naturel et se révolte lorsque d’autres hommes
refusent sa domination, propageant ainsi le désordre et la
souffrance qui se trouvent au coeur de son foyer dans toute la
société.
“Les
gens faibles sont les troupes légères de l’armée des méchants.
ils font plus de mal que l’armé’e mêmes, ils infestent et ils
ravagent” Chamfort.
←
Fin de l’extrait
28.C.1.b - Peu
nous chaut encore plus les réactions des garces, des révoltées
Que
cela provoque des réactions chez les garces qui ont tellement peur
de se faire enfin remettre à leur juste place, nous importe encore
moins ! Voici, d’une de celles-ci, une réaction
particulièrement intelligente :
Début
de l’extrait →
Sujet :
sexisme aujourd’hui Ven 5 Juin - 23:24
De :
Morgane - Belle Fleur
Je
suis rester choquer, je ne penser pas que des cons machiste pareils
existé !!!
http://restaurationdelafamille.blogspot.com/
…
← Fin de l’extrait
Pauvresse !,
si
votre charme se rapporte à votre plume, vous n’êtes certainement
pas la sylphide des hôtesses de ce bas monde !,
pas de doute, pour quiconque, vous n’êtes certainement pas un
morceau de choix !
Voici,
bien qu’étant nous-même loin d’être de grands virtuoses en
matière de grammaire et d’orthographe, la ‛traduction’ :
Je
(Morgane - Belle Fleur, donc femelle) suis
restée
choquée,
je ne pensais
pas que des cons machistes
pareils existaient
!!!
Au
passage, l’on peut aussi remarquer que comme de coutume, il n’y a
aucune argumentation, mais l’insulte et la grossièreté sont bien
présentes !
28.D - Femelles,
parfaites filles d’Ève, elles paniquent que Nous leurs reprenions
le Fruit qu’elles ont usurpé !
28.D.1.a - La
femme, et particulièrement l’épouse, est doublement en servitude
Cher
Untel,
que l’on le veuille ou non ; que cela provoque hérissées de
poils ou pas ; cela ne change strictement rien à la réalité :
La femme, et particulièrement l’épouse, est en une double
servitude :
1. Servitude
d’essence : bridée*
de Volonté divine, ou pour les essentiellement
négationnistes*, d’œuvre de ‘dame
nature*’, la femme est évidemment, sauf de
se mentir à soi-même : serve !
Forcément serve, elle est :
→ soit
en servitude !, bridée*
légitimement, dans une soumission-dépendance envers un
seul tuteur : Père, Frère
ou Époux, etc.
→ ou
soit en servilité !,
débridée*
forcément illégitimement, dans une soumission-dépendance envers de
multiples ‛tuteurs’ : monstres divers, véritables démons
de la terre, avant-goût bien bien pâles de ceux de l’Enfer !
Sa ‛liberté’ de ‛femme libérée’ : être dans une
dépendance toujours plus dégradante de ce qu’elle croit être sa
‛conquête’ du moment ! Son lot est et sera fatalement
d’être : consommée bassement puis jetée ; prostituée
toujours plus bestialement et contre-naturellement par le souteneur
(forcément, vu que la femme ne qu’être soutenue, soit :
dirigée* !)
du moment : consommée frénétiquement et bestialement, puis
toute dégoutante des multiples ‛déjections’ (faut-il
préciser ?) de ces démons, refourguée à cadence industrielle
au suivant ; etc. ! Voilà la ‛libération
de la femme’ !
2. Servitude
de réparation : rebridée*,
soit bridée*
encore plus étroitement, de Volonté toute aussi divine comme nous
allons le lire : Mais,
si la femme doit être soumise à l’homme comme à son chef
naturel, elle
lui est assujettie plus strictement encore,
en ce que, séduite et l’ayant entraîné au mal, elle
a une réparation à lui faire et une punition de son péché à
subir.
D’avoir été l’introductrice du péché, cela lui impose une
retenue particulière. Elle n’a aucun droit d’enseigner ;
elle ne doit pas sortir de la condition d’humble disciple ;
qu’elle se tienne dans le silence. (Les féministes feront bien de
méditer ces enseignements).
Et
d’hurler, de vociférer ou de crier au ‛scandale’, de se
déchirer les vêtements ou de s’arracher les cheveux, de crier au
machisme ou de nous déclarer fou : rien ne peut changer ceci !
Que
nous dit à ce sujet le Livre sacré de la Bible ?, lisons :
Le
Seigneur dit a la femme: Pourquoi avez-vous fait cela? Elle répondit:
Le serpent m’a trompée; et j’ai mangé. Dieu dit aussi à la
femme: Je multiplierai vos maux et vos grossesses. Vous enfanterez
dans la douleur: vous
serez sous la puissance de votre mari, et il vous dominera.
Qu’est-ce
à dire, il
vous dominera ?, avant, Adam n’était
donc point le Maître de la femme ? Bien sûr que oui !,
mais avant, avant la faute d’Ève, avant sa transgression à elle,
transgression qu’Adam ne fit point !,
cette domination ne lui coûtait pas, étant naturellement disposée
à la soumission et n’ayant pas encore goûté au fruit de la
rebellion.
Depuis
la première transgression d’Ève à l’ordre qu’Adam, et non
Dieu !,
lui fit de ne point manger de ce Fruit, la femme est devenue
‛essentiellement’ révoltée, insoumise !
Adam,
comme tout Époux depuis, ne pouvant accepter ceci, autant pour
plaire à Son Dieu que pour conserver la paix dans Sa Maison, et
ainsi donc par ricochet dans le monde, devait
la discipliner*,
et sachant que l’Époux a les moyens de Son Gouvernement : la
corriger*,
la châtier*,
lui faire des réprimandes*
ou lui donner des coups*,
la battre*,
etc.
28.D.1.b - La
femme, et particulièrement l’épouse, est doublement séductrice
Cher
Untel,
qu’on le veuille se l’avouer ou non, l’on est forcé de
constater que la femme, et particulièrement l’épouse, use d’une
double séduction. Elle est :
1. Séductrice
d’essence : de Volonté
divine, ou pour les pour les essentiellement
négationnistes*, d’œuvre de ‘dame
nature*’,
la femme est évidemment, sauf de se mentir à soi-même :
séductrice ! Séductrice, elle l’est dans le bien pour plaire
à son Époux ; voici quelques textes :
→ Saint
Paul : l’homme
n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause
de l’homme(I Cor., XI, 7-9).
→ Saint
Jean Chrysostome : Car
c’est
pour la consolation de l’homme
que la femme a été formée.
→ Saint
Astère : elle
se montre sa servante assidue et dévouée ; elle est attentive
à satisfaire à ses
moindres
désirs.
2. Séductrice
par malicerie : ayant
désobéi non à Dieu, mais à Adam comme nous venons de le voir,
ayant voulu transgresser l’ordre de Son Époux, de ne point toucher
à Ce Fruit, la femme est devenue essentiellement ‛séductrice’
par malicerie. Séduction qu’elle apprit du Serpent le Séducteur
en Chef. Voici quelques textes se rapportant à ce malicieux
Séducteur, le Prince des ténèbres ou à Ses suppôts :
→ Saint
Paul aux Thessaloniciens : Et
alors se manifestera cet impie, que le Seigneur Jésus tuera par le
souffle de Sa bouche, et qu’Il détruira par l’éclat de Son
avènement. L’avènement de cet impie aura lieu selon la puissance
de Satan, avec toutes sortes de miracles, de signes et de prodiges
trompeurs, et avec toutes les séductions
de l’iniquité pour ceux qui périssent, parce qu’ils n’ont pas
reçu l’amour de la vérité pour être sauvés.
→ Saint
Paul à Timothée : Mais
les hommes méchants et les séducteurs
iront en empirant, s’égarant et égarant les autres.
→ Saint
Paul à Tite : Car
il y en a beaucoup, surtout
parmi ceux de la circoncision,
qui sont insoumis, vains parleurs, et séducteurs
des âmes,
auxquels il faut fermer la bouche, car ils bouleversent des maisons
entières, enseignant ce qu’il ne faut pas, en vue d’un gain
honteux.
→ Saint
Jean : Car
de nombreux séducteurs
se sont répandus dans le monde, qui ne confessent point Jésus-Christ
venu en chair. Un tel homme est un
séducteur et un antéchrist.
La
toute première séduction malicieuse d’Ève, devenue parfaite
fille du Malicieux parce que l’ayant écouté, se fit sur Adam
comme le Seigneur Dieu nous le dit Lui-même : Il
dit ensuite à Adam: Parce
que vous avez écouté la voix de votre femme,
et que vous avez mangé du fruit de l’arbre dont je vous avais
défendu de manger*…
Biographies
évangéliques :
[La tête de saint Jean Baptiste est en jeu…] Toujours et partout
la cruauté donnait la main à la volupté. Tel était l’effet
enivrant de ces danses lascives, que les philosophes païens
eux-mêmes ne craignent pas d’affirmer que l’âme la plus virile
ne pouvait y résister. Avant eux le saint-Esprit avait dit :
« Ne
te trouve pas avec la danseuse,
n’écoute ni le son de sa voix ni le bruit de son instrument de
musique, de
peur que tu ne périsses sous la puissance de sa séduction*. »
Et,
depuis ce jour funeste où Ève entraina le monde vers le chaos :
Celui,
l’Époux, par exemple vous Untel,
qui
n’a pas soin de corriger sa femme, fait de Sa maison un désert !
Et si par malheur, comme vous Untel :
l’Époux
a de la considération pour les yeux de Sa femme qui sont voilés par
les larmes, Il n’y voit plus clair !
Cher
Untel :
ou soit la femme, et plus particulièrement l’épouse, est bridée*
au sein d’un sain Patriarcat ; ou soit elle est débridée*
en une démoniaque ‛libération’ !
Cela
semble trop tard pour vous, sauf Intervention divine, sachez
toutefois que nous compatissons réellement à votre très légitime
douleur et prions pour vous.
Cher
Untel,
vous ne devez pas persister dans votre oui
mais non !, du style : ‛Oui,
elle doit être libre : mais
non, elle ne peut enlever les enfants en
emportant la
caisse* et tout le reste’ !
L’on
ne peut s’obstiner à vouloir
la chose et son contraire !
Au
sujet de votre oui
mais non, voici ce que disait NSJC : Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal.
Cher
Untel,
puisque vous militez pour défendre d’autres Pères, cette dernière
parole s’adresse ô combien à vous qui semblez persister (sauf
conversion pour laquelle nous prierons) dans vos errances qui sont
les seules responsables de votre affreuse douleur, à prêcher ce qui
l’a produite et qui la produira fatalement de plus en plus chez vos
lecteurs, alors lisez ceci :
Celui
donc qui aura violé un de ces
moindres commandements, et appris
aux hommes à faire de même, sera tenu pour le moindre dans
le Royaume des cieux ; mais celui
qui les aura pratiqués et enseignés, sera
tenu pour grand dans le Royaume des cieux. Car je vous dis que
si votre justice ne surpasse celle
des Scribes et des Pharisiens, vous
n’entrerez point dans le Royaume des cieux*.
Sachez
que nous sommes tout à vous, cher Untel,
comme à tous les autres Chefs de Famille, pour vous aider en quoi
que ce soit, pour peu que vous soyez un Homme
de bonne volonté*.
Nous
pouvons vous aider selon votre convenance…
Nous
savons très très bien ce que c’est que de s’impliquer ;
et, nous sommes fidèles !
Que
le Bon Dieu vous bénisse, vous, et tous les vôtres !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
P.
S. :
Mes
frères, si l’un de vous s’écarte de la vérité et qu’un
autre l’y ramène, sachez que celui qui ramène un pécheur de la
voie où il s’égarait sauvera son âme de la mort et fera
disparaître une multitude de péchés.(Saint
Jacques)
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