Du :
17.11.2010, existe
en PDF ici : ND.
Actualisé : lun. 6 avr. 2015,
19.41.
Table
de cette nouvelle, CN-2010-…
16
- La Paternité Est,
éternelle ; la maternité, qu’une fontaine, souvent
malicieuse.
16.A
- Préliminaire à
cette nouvelle
16.A.1.a
- Une nouvelle
qui attendait son heure en notre pépinière.
16.B
- La Paternité
préexiste à tout, Elle est fontale !
16.B.3.a
- Résumons, la
Paternité est essentiellement Puissance
16.C
- La maternité,
rien qu’une fontaine, et souvent malicieusement exploitée.
16.C.1
- La maternité,
rien qu’une fontaine, une servitude
16.C.1.a
- Amour
réciproque et fusionnel, disions-nous plus haut…
16.C.2
- … une fontaine,
et souvent malicieusement exploitée.
16.D
- Magnifions le
Père, en magnifiant Dieu le Père, notre Père du Ciel !
16.D.1
- Connaissons ce
Père éternel, notre Père
16.A - Préliminaire
à cette nouvelle
Publiée
en la St Grégoire le Thaumaturge,
le mercredi 17 novembre de l’an
2010,
cette nouvelle Lui est confiée.
Pour
cette nouvelle, nous avons particulièrement prié, médité, nous
avons consulté, nous nous sommes concertés…
Ce
titre, comme tout l’ensemble de cette nouvelle, qui est
volontairement très incisif (provocateur pour les dégénérés
actuels, dits Hommes, et femmes aussi) est pourtant, toute Charité,
toute Vérité ; c’est ce que nous allons voir ensemble, si
vous voulez bien voir, soit raisonner tout différemment que des
boniches,
comme le dit notre Légitime
contradicteur*, l’un de nos collaborateurs…
Tout
ce que nous pensons, disons et faisons, a une source ; aussi,
cette nouvelle a pour source le dernier message de dame Isabelle, et
plus particulièrement cet extrait, et plus particulièrement encore
sa fin surlignée en jaune : Cette
femme a ressorti les mensonges actuels communément admis concernant
le soi-disant caractère "culturel" de cette pratique ainsi
que bien entendu la misogynie de l’apôtre Paul et des affreux
machos de son temps, mensonges introduits sournoisement par la
Théologie Féministe, une hérésie qui sévit plus que jamais au
sein des assemblées chrétiennes et qui s’est donné pour réel
dessein (camouflé sous des dehors "égalitaristes") de
détrôner
le Dieu Père et Fils à l’avantage d’une divinité féminine.
Nous
aurions pu nous adressez à elle en une Lettre
à nos filles, et à travers elle aux
femmes ; mais, nous avons préféré nous adresser aux Hommes,
car de fait c’est Eux que nous voulons, devons relever, magnifier ;
certes, encore faut-il qu’Ils le veuillent en effet… ; et,
en relavant les Hommes, relever ainsi les femmes…
16.A.1.a - Une
nouvelle qui attendait son heure en notre pépinière.
Notre
pépinière est un lieu où maturent
des projets d’articles ; en elle, ils attendent leur meilleur
moment de parution, des événements pouvant les confirmer.
Voici
arrivé le moment de l’éclosion que celle-ci attend patiemment
depuis bien plus de 18 mois…
16.B - La
Paternité préexiste à tout, Elle est fontale !
Au
Nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit…
Notre
Dieu Est, et que l’on dise ne pas Le reconnaître ne change rien à
rien.
Dieu
Est, Un en trois Personnes : le Père et le Fils et le
Saint-Esprit.
16.B.1 - Où,
le hors du temps…
Le
Père éternel engendre,
et non point a engendré,
Son Fils unique ; soit, Il l’engendre de toute éternité :
Les
premières paroles de l’Évangile de saint Jean prouvent l’éternité
du Verbe [Jésus],
et si l’on se demande comment le Verbe engendré de Dieu peut être
éternel comme Dieu, il suffit de se rappeler que l’éclat, produit
par la lumière, est aussi ancien que la lumière elle-même.
L’Esprit-Saint,
Lui, procède
de la fusion d’Amour du Père et du Fils, de l’Amour du Père
(source d’Amour) pour Son Fils unique et de l’Amour de ce Fils
unique (retour d’Amour) pour Son Père ; cet Amour est tout
aussi éternel que le Père Est et que le Fils est engendré…,
l’Esprit-Saint procède
donc de toute éternité de l’Amour réciproque et fusionnel du
Père et du Fils.
Ainsi,
pour cette Œuvre, l’engendrement du Fils par le Père, et
conséquemment de l’existence de l’Esprit-Saint, il n’y a pas
de moment, de temps, nous sommes bien hors
le temps, donc ni commencement ni fin ! ; ce
Père est Père de toute éternité !
Cette
Vie que le Père possède est fontale*,
Il est la Vie même : La
vie immense qui est cachée en lui [Dieu],
cette vie fontale et originelle…
D’Elle,
de cette Vie fontale*
donc, tout découle, le Fils (engendré)
et l’Esprit-Saint (procédant)
comme nous venons de le voir ; mais aussi tout le reste…, ce,
non par engendrement
comme le Fils, et donc, ni
par procédure comme l’Esprit-Saint, mais par création !
Ainsi
donc nous venons de confirmer notre titre : La Paternité préexiste à tout, Elle est fontale !
16.B.2 - Où,
le dans le temps…
→ Dieu
créa en tout
premier le temps, concomitamment au ciel et à la terre : Au
commencement Dieu créa le ciel et la terre.
Dieu
créa le temps,
au
commencement, en posant le premier acte dans
le temps de Sa Volonté : la création du ciel
et la terre (univers matériel, visible),
tous deux vides : Et
la terre était informe et nue, et les ténèbres couvraient la face
de l'abîme, et l'Esprit de Dieu était porté sur les eaux.
→ Puis,
accélérons pour aller à l’essentiel par rapport à cet article,
Il créa les Anges (univers immatériel, invisible) à un de ces
moments, où ?, nous n’avons pas le temps de développer ceci
ici, puis Dieu alluma la voûte céleste : Or
Dieu dit: Que la lumière soit, et la lumière fut.
→ Dieu
couvrit ensuite la terre (toujours création, toujours dans le
temps) : Dieu
dit encore: Que la terre produise de l'herbe verte qui porte de la
graine, et des arbres fruitiers qui portent du fruit chacun selon son
espèce, et qui renferment leur semence en eux-mêmes, pour se
reproduire sur la terre. Et cela se fit ainsi.
→ Dieu
peupla cette terre (encore création) pour servir d’écrin à Son
Joyau, l’Homme : Dieu
dit encore: Que les eaux produisent des animaux vivants qui nagent
dans l'eau, et des oiseaux qui volent sur la terre sous le firmament
du ciel. Dieu créa donc les grands poissons, et tous les animaux qui
ont la vie et le mouvement, que les eaux produisirent chacun selon
son espèce; et Il créa aussi tous les oiseaux selon leur espèce.
Et Il vit que cela était bon. Et
Il les bénit, en disant: Croissez et multipliez-vous, et remplissez
les eaux de la mer; et que les oiseaux se multiplient sur la terre.
Nous
remarquons au passage ce fameux croissez
et multipliez-vous qui ne fut pas donné qu’à
l’Homme !
Au
sujet de la gigantesque et luciférienne escroquerie de ladite
surpopulation, voyez :
DP-04, Le
Mariage, définition, célébration, règles et usage… ;
point DP-4H3a, Croissez
et multipliez-vous, et remplissez la terre.
Nous vous conseillons de commencer dès ce point : DP-4H1, Les
trois fins du Mariage sont.
→ Dieu
continua à remplir cette terre (poursuite de la création), toujours
pour l’Homme comme nous allons en avoir la confirmation ensuite :
Dieu
dit aussi: Que la terre produise des animaux vivants chacun selon son
espèce, les animaux domestiques, les reptiles et les bêtes sauvages
de la terre selon leurs espèces. Et cela se fit ainsi. Dieu fit donc
les bêtes sauvages de la terre selon leurs espèces, les animaux
domestiques et tous les reptiles, chacun selon son espèce. Et Dieu
vit que cela était bon.
→ Il
en vint enfin à y déposer son joyau (fin, terme de la création,
l’apogée), l’Homme, et ce Joyau était pour Lui, Dieu : Il
dit ensuite: Faisons l'homme à
Notre image et à Notre ressemblance,
et Lui donna d’être Maître de toute la création : qu'il
commande aux poissons de la mer, aux oiseaux du ciel, aux bêtes, à
toute la terre, et à tous les reptiles qui se remuent sous le ciel.
→ Puis,
cette création finie, après
s’être reposé le septième jour, Il procéda alors à
l’engendrement de la femme par l’Homme, là, Dieu se fait
accoucheur, il n’est plus créateur : Le
Seigneur Dieu envoya donc à Adam un profond sommeil; et lorsqu'il
était endormi, Il tira une de ses côtes, et mit de la chair à la
place. Et le Seigneur Dieu forma la femme de la côte qu'il avait
tirée d'Adam, et il l'amena à Adam.
16.B.3 - Concluons
ce point précis
Dieu
est éternel, et de toute éternité Il engendre (comme nous l’avons
vu : a engendré, engendre et engendrera) Son Fils, ainsi donc
la Paternité existe bien de toute éternité, Elle préexiste bien à
tout, et subsistera aussi à tout !
Ce
Père éternel créa (engendra d’une certaine façon) Adam et le
fit dépositaire de la Vie humaine, ce par Son souffle
de Vie* comme nous allons le développer plus
loin.
Ainsi
donc avant que la femme exista par engendrement, la Paternité, cette
Puissance, était déjà cédée irrémédiablement, ou plus
exactement irrévocablement à Adam, Père d’Ève, par ce souffle
de Vie* du Seigneur Dieu, ce qui fit dire à
Saint Paul : À
cause de cela je fléchis les genoux devant le Père de notre
Seigneur Jésus-Christ, duquel toute paternité dans les Cieux et sur
la terre tire son nom.
Pour :
irrémédiablement […] irrévocablement :
Dieu
ne peut, ne veut reprendre ce qu’Il a donné, Dieu n’a qu’une
Parole ; Il est Un, soit non divisé, constant.
Ou,
comme le confirme si bien Monseigneur d’Orléans : On
dit des dépositaires de l’autorité parmi les hommes, qu’ils
sont revêtus de l’autorité.
Il
n’y a que l’autorité paternelle dont on n’est pas revêtu,
dont rien aussi ne saurait dépouiller, et que celui-là même
en qui elle réside ne peut abdiquer. C’est
la seule qui soit le plus complètement possible à l’image de
l’autorité divine.
Non :
le père n’est pas simplement
revêtu de l’autorité paternelle : il la possède.
Dieu pouvait ne pas lui communiquer la paternité elle-même :
mais la paternité une fois reçue, l’autorité paternelle y est
essentiellement attachée et inaliénable.
Aussi,
la première idée de puissance qui ait été parmi les hommes, est
manifestement l’idée de la puissance paternelle. (Le
Mariage chrétien)
16.B.3.a - Résumons,
la Paternité est essentiellement Puissance
La
Paternité de Dieu : Sa
Paternité Est de toute éternité, Elle est source de tout en toutes
choses, Elle est essentiellement Puissance, et de cette Puissance
découle le Droit…
La
Paternité de l’Homme : Sa
Paternité Lui fut cédée irrémédiablement, irrévocablement dans
le Paradis terrestre, l’Éden, comme nous venons de le lire :
mais
la paternité une fois reçue, l’autorité paternelle y est
essentiellement attachée et inaliénable,
Elle est même source de tout en Sa Maison, source de Son épouse à
travers Adam, source de Ses enfants à Lui.
Ainsi
donc, et Lui vraiment de par Dieu :
→ Seul,
l’Homme est à l’Image de Dieu : L’homme
est l’image
et la gloire de Dieu,
tandis
que
la femme est la gloire de l’homme ;
→ Seul,
l’Homme a reçu le souffle de Vie, Il contient, Il est la Vie ;
→ Seul
donc, l’Homme peut donner cette Vie, Seul donc Il peut aussi la
reprendre !, ce, en ou hors Sa maison, sur Sa Maison, Sa Famille
(revoir notre étude) ;
→ Seul,
en ou sur Sa Maison, l’Homme Époux-Père est détenteur du
Droit !, Il peut faire et défaire, juger et sanctionner, Il est
Monarque, Législateur et Prêtre, comme le confirment :
– Mgr
Jean-Joseph Gaume : Il
est revêtu de la double autorité du sacerdoce
et de l’empire.
– Mgr
d’Orléans : Il
régnait parmi eux [son épouse et ses
enfants] Souverainement :
il y exerçait toutes les fonctions de la puissance publique et aussi
de l’autorité sacerdotale.
– Et
bien d’autres.
→ Seul,
l’Époux-Père en Sa Maison est un Souverain temporel et
spirituel, Il a les deux Sceptres en Sa main :
1. l’Un,
la Puissance
publique en Sa Famille, sur Sa Maison ;
2. l’Autre,
l’Autorité
sacerdotale en Sa Famille, sur Sa Maison.
→ Seul,
l’Époux-Père, en ou sur Sa Maison, sur Sa Famille, a un Pouvoir
que rien ne peut dépasser sur terre, ce, comme nous le confirme si
bien Mgr Delassus : le
pouvoir du père est celui qui, dans l’ordre naturel, offre au plus
haut degré les caractères d’une institution divine.
→ Seul,
en Sa Maison, l’Époux-Père est Roy et Prêtre. C’est ce que
nous confirme Mgr Gaume : il
est revêtu de la double autorité du sacerdoce et de l’empire.
→ Seul
encore, et toujours en Sa Maison, en Sa Famille, l’Époux-Père,
l’Homme donc, a une place, une Puissance bien plus grande (Elle
supplante toutes les autres Puissances qui prétendent pouvoir
interférer, interagir en la Maison : Église et État, etc.)
que le Législateur (Église ou État…), rien ne peut l’annuler
ou même l’entraver, comme le confirme encore Mgr Gaume : Vous
n’êtes pas sans avoir remarqué, monsieur et cher ami, que, dans
tous les commandements de Dieu, la place du père est toujours
beaucoup plus large que celle du législateur : on dirait que
Dieu n’est législateur que parce qu’il est père…
→ Seul
l’Homme Époux-Père, en ou hors Sa maison, à l’égard de Sa
Famille, a une Autorité tout aussi infrangible*
qu’inaliénable*,
inamissible*
qu’inabdicable* !
16.C - La
maternité, rien qu’une fontaine, et souvent malicieusement
exploitée.
Deux
mondes ici-bas s’opposent :
Et
point d’autre alternative (Idem pour le Vrai ou le faux, le Beau ou
l’hideux, le Bien ou le mal, le Oui ou le non, le Blanc ou le noir,
le Jour ou la nuit, l’Ordre ou le désordre, le Droit ou le tordu,
etc.)…
Celui
de Dieu, est tout Masculin : l’Homme, Époux-Père,
le Monde patriarcal, et découlant de Lui, et vivant que grâce à
Lui (l’ombre*
disparaît lorsque la lumière s’éteint…), et conséquemment que
pour Lui, à Son service, donc en toutes choses, le féminin, la
femme, l’épouse-mère.
Celui
de Lucifer, est tout efféminé : il est dit féminin,
il rampe et se tortille, voyez notamment lesdits chanteurs modernes
sur leurs estrades, comme les mauvaises femmes, et comme les
sous-Hommes, il est là uniquement pour détruire l’Ordre divin, ce
monde Masculin, ce monde Patriarcal.
Pour :
chanteurs modernes sur leurs estrades :
Ils
y sont ondulant et persiflant, vociférateurs comme le Serpent leur
Maître suprême ; véritable avant goût de l’enfer qu’ils
souhaitent du reste très souvent et très explicitement dans leurs
paroles !
Très
utilement, faites une pose en lisant cet article recopié en les Annexes diverses.,
point La fête à Contraception.
16.C.1 - La
maternité, rien qu’une fontaine, une servitude
La
maternité !, n’est rien qu’une servitude, une fontaine*
d’où sourde*
la Vie que seul l’Homme possède et y a déposée préalablement ;
une servitude, une terre que l’Homme laboure et ensemence à sa
convenance ; une servitude, un jardin
fermé* dont l’Homme dispose et où Il doit
pouvoir s’y reposer quiètement et à son saoul, à Lui ! ;
mais nullement, ô grand jamais une puissance !, bien seulement
une servitude…
Pour :
s’y reposer quiètement et à son saoul, à Lui :
La
femme est faite pour L’Homme et non l’inverse, et non
réciproquement non plus !, ce qui n’empêche pas que l’Époux
éprouve une immense jouissance et faire intensément plaisir à Son
épouse !
→ Vous
ne saviez pas, mais vous voulez savoir ?, vous êtes de bonne
volonté ?, alors relisez ce point :
→ Vous
saviez et refusez, ou vous ne voulez pas savoir ?, alors passez
votre chemin, nous ne pouvons rien pour vous !
Pour
rappel, ce site ne peut servir d’exutoire aux vicieux, aux
satanisés !, double raison pour passer votre chemin…
Si
vous lisez nos textes, vous verrez ô combien et ô comment nous
respectons, nous seuls !, les femmes ; combien nous les
aimons en toute Vérité…, ce comme notre propre chair comme nous
le recommandait Saint Paul, comme la Tête aime le cœur qui l’enivre
de ses battements !
Pour :
comme nous le recommandait Saint Paul :
Voici
le passage de l’Épître de saint Paul sur lequel nous allons nous
étendre un peu ensuite : De
même les maris aussi doivent aimer leurs femmes comme leurs propres
corps. Celui qui aime sa femme s’aime lui-même. Car jamais
personne n’a haï sa propre chair ; mais il la nourrit et la
soigne, comme le Christ le fait pour l’Église, parce que nous
sommes les membres de Son corps, formés de Sa chair et de Ses os.
(Eph
5, 28-30)
Les
bons et habitués à réfléchir, eux, auront compris, mais les
mauvais vont dire : vous
dites aimer les femmes, les respecter, mais entre autres, vous
préconisez de les corriger, et, précisez-vous en plusieurs endroits
de vos documents : ‘de main de Maître’,
donc vous ne respectez pas votre propre chair !, et donc pas les
femmes !
Pauvres
ignares !, saint Paul, disant qu’il faut respecter la femme
comme étant de sa propre chair, de Lui au moins l’on doit donc
penser qu’Il respectait bien sa propre chair, ici Lui-même ! ;
alors, comment se fait-il qu’ailleurs, Il dise : …
je châtie mon corps, et je le réduis en servitude, de peur qu’après
avoir prêché aux autres, je ne sois moi-même réprouvé. (I, Cor.
9, 27)
La
discipline (morale ou physique) que l’Époux doit S’imposer ne
regarde que Lui !
Et
ainsi aussi, l’Époux aimant Son épouse comme Sa propre chair,
étant son Maître et devant rendre un compte rigoureux de Son
Gouvernement, Seul Il est responsable de la discipline (morale ou
physique) que l’épouse doit recevoir. Ce qui faisait dire, entre
de nombreux autres textes très dignes, au Concile de Trente :
Enfin
il [l’Époux] doit régler sa famille, corriger et former les mœurs
de tous ceux [donc épouse comprise] qui la composent, et contenir
chacun dans son devoir.
Ainsi,
si un Époux néglige par paresse ou lâcheté de corriger Son
épouse, c’est le signe certain qu’Il ne l’aime pas, qu’Il la
méprise, et ce comme Son propre corps !
Ceci
nous amène décidément bien aux antipodes de la fable grotesque et
particulièrement malicieuse de la femme dite battue, violentée
différemment, martyre, exploitée, etc. !
Il
est la Tête, elle est le cœur, et rien que le cœur !
Ève
a été engendrée du côté d’Adam, et le miracle de Dieu le Père,
du Sacrement de Mariage, n’est rien d’autre que de faire
retourner Ève (l’épouse, le cœur) dans le Sein d’Adam !
Il est la Tête d’un même corps, elle n’est que le cœur
de ce même corps !
Et
toujours, l’épouse est dans la chair de son Époux, en en faisant
intégralement partie, comme l’ombre fait partie de l’objet qui
la projette. Elle est asservie à Son gouvernement, à Ses
mouvements, à Ses désirs !
Il
est la Tête d’un même corps, elle n’est que le cœur de
ce même corps !
Le
cœur-épouse ne palpite que parce que la Tête-Époux le lui
demande ! La Tête pense, le cœur palpite au rythme des pensées
de son Chef, de sa Tête ! Elle, l’épouse-cœur, palpite pour
servir et soutenir les pensées et les méditations de son
Époux-Chef !
Il
est fatigué, elle palpite tout doucement pour Le laisser reposer ;
Il est triste, elle palpite aimablement pour Le consoler, Il désire
son affection, elle palpite à tout rompre pour Son plaisir.
Inquiet ?,
l’Époux consulte Son cœur, et elle, cœur, Lui palpite si
respectueusement et si doucement l’une ou l’autre suggestion…
16.C.1.a - Amour
réciproque et fusionnel, disions-nous plus
haut…
… en
parlant de l’Amour de Dieu le Père pour Son Fils (au point :
16.B.1, Où, le hors du temps…).
Et,
comment donc venons-nous de parler de l’Amour que se doivent les
époux ?, exactement pareil : un Amour
réciproque et fusionnel !
Comme
nous allons le voir ensuite (point : 16.D.1, Connaissons ce Père éternel, notre Père),
le Fils est soumis en toutes choses à Son Père, ainsi donc, aussi,
l’épouse, fille de Son Époux, doit être soumise en toutes choses
à son Époux, son Père !
16.C.2 - …
une fontaine, et souvent malicieusement exploitée.
Ils
veulent détrôner
le Dieu Père et Fils à l’avantage d’une divinité féminine,
nous disait plus haut dame Isabelle…
Oui,
tout est bien là, afin de pouvoir nier Dieu, Père et Fils et
Saint-Esprit, il fallait inventer unedite solution pour expliquer
toute la création autrement que par la création !
D’où
ledit big-bang, et sa suite logique, le tout féminin ; mais
comme ce tout féminin ne peut exister, car n’existant pas en soi,
alors l’on arrive fatalement au tout efféminé !
Pour :
mais comme ce tout féminin ne peut exister :
Ceci
nous remémore une réflexion de cette même dame Isabelle au sujet
de l’escroquerie appelée matriarcat* :
…
"matriarcat", alors que tout le monde sait très bien que
le matriarcat n'a jamais existé réellement par lui-même ( car les
femmes ne peuvent dominer en masse ni faire avancer une civilisation
par leurs seuls moyens) et qu'il n'est en fait qu'une corruption de
l'ordre patriarcal, qui lorsqu'il commence à émerger ne préfigure
rien de bon (Esaie 3 : 12) et est bien souvent annonciateur d'un
déclin et d'un effondrement de civilisation…
Passage
pointé ci-dessus, Isaïe
3,
10-12 :
Malheur
à l’impie, pour sa ruine, car il lui sera fait selon l’œuvre de
ses mains. Mon peuple a été dépouillé par ses oppresseurs, et des
femmes ont dominé sur lui.
Mon peuple, ceux
qui te disent bienheureux te trompent, et ils détruisent le chemin
par où tu dois marcher.
Le Seigneur Se tient debout pour juger, Il Se tient debout pour juger
les peuples.
Ce
tout efféminé, dont le seul vecteur est le féminisé, s’appuie
sur les fables, les escroqueries suivantes, pour pouvoir avancer :
→ notredite
mère la terre, alors que la terre est morte (inerte), sans le
souffle de vie que seul Adam reçut !, revoyez plus haut.
→ la
femme dite douce et victime de l’Homme, alors qu’elle est la
seule responsable notamment des coups souvent très nécessaires
qu’elles reçoivent !, ou devraient salutairement recevoir…
→ la
femme dite source de vie, alors que l’œuf qu’elle produit n’est
qu’un minuscule amas de terre même pas façonné, et bel et bien
inerte et qui ne produira un fruit que si l’Homme y dépose Sa
Semence, Son souffle de Vie qu’Il reçu de Dieu le Père à travers
la Semence d’Adam !
→ la
femme dite source de vie !, et à laquelle les enfants volés au
Père sont systématiquement donnés, alors qu’elle est la seule à
engendrer la mort et ce jusque dans son propre sein !
→ la
femme source de vie !, et c’est
ce par quoi nous aurions dû commencer !, en cette
liste, l’escroquerie de base, l’escroquerie perlée : Oui !,
bien effectivement !, et de celle-là ces vicieux n’en parlent
bizarrement pas ! Oui !, c’est la
femme qui donna
vie, mais qu’à une seule chose sur terre, c’est à
la mort !, et à tous ses complices, aux maladies,
aux catastrophes diverses et variées, aux guerres, aux homicides, à
la vieillesse, etc., etc., etc ! Il est étonnant que ce fruit
qui est bel et bien à elle, et qu’à elle seule (elle forniqua
avec le père de ce fruit, son ensemenceur :
Lucifer !), elle ne le revendique pas !, elle, qui
revendique et vole tous les autres fruits, les enfants de leur Père,
qui ne sont jamais au grand jamais d’elle !
Reprise
d’une partie de ce dernier renvoi :
… il est assez piquant que nous ne l’entendions pas revendiquer
le seul ‘engendrement’ qu’elle réalisa : cette
vallée de larmes, pour les enfants
d’Ève !
→ la
femme source d’invention, organisatrice, etc. !, ce donc
corollairement au point précédent, alors qu’elle
est totalement incapable d’inventer quoi que ce soit !,
sauf encore une fois, répétons-nous, une seule chose comme nous
venons de le voir, mais de celle-là l’on en parle surtout pas :
c’est l’invention (génération) de la désolation planétaire,
et sa suite finale et fatale, la mort (temporelle et éternelle) et
son funeste cortège !
→ etc.,
etc., etc !
16.C.2.a - Concluons
ce point, résumons-le
→ Le
Masculin, l’Homme : c’est la vie !, et tout son cortège
de bonheur…
→ Le
féminin, la femme : c’est le féminisé, la mort !, et
tout son cortège de malheurs…
Notez :
que ci-dessus, bonheur est (forcément) au singulier, malheurs est
(forcément) au pluriel !
Nous
attendons très très très sereinement le premier contradicteur qui
oserait venir s’embourber ici !
Et
pour finir : dits
catholiques, chrétiens, entendez-vous, avez-vous entendu des
prêtres, vos pasteurs, ne serait-ce qu’un seul prêtre, un seul
pasteur, et même en ladite Tradition, vous dire que : la
femme ne donna qu’une seule fois la vie !, et c’est à la
mort qu’elle donna vie !
Oui,
ces prêtres sont vraiment tous sans aucune exception des cloaques
d’impureté* !
16.D - Magnifions
le Père, en magnifiant Dieu le Père, notre Père du Ciel !
Voici
diverses citations en vrac, tirées du Nouveau Testament, qui fait
partie du dépôt de la Foi, et que nous ne commenterons que très
peu !
C’est
saisissant !, voici :
→ Commençons
par la prière du Notre Père, que Notre Seigneur Jésus-Christ
(NSJC) nous apprit Lui-même : …
votre Père sait de quoi vous avez besoin, avant que vous Le lui
demandiez. C’est donc ainsi que vous prierez : Notre Père,
qui êtes aux Cieux, que Votre nom soit sanctifié…
Et,
dans cette prière du Notre Père, pas un seule fois est dit :
Dieu !, bien qu’effectivement Il le soit !
Oui
vraiment, et c’est NSJC qui nous le dit : votre Dieu est Père
avant d’être Dieu !
16.D.1 - Connaissons
ce Père éternel, notre Père
Et
quoi de mieux pour connaître ce Père éternel que d’écouter Son
Fils unique, notre Sauveur ; l’on Le voit bien plus nous Le
faire connaître comme Père, que comme Dieu :
→ … car
les œuvres que le Père M’a
données d’accomplir, les œuvres mêmes que Je fais, rendent de
Moi le témoignage que c’est le Père
qui M’a envoyé. (Jean 5,36)
→ … le
Père est plus grand que
Moi. (Jean 14, 28)
→ … Que
votre lumière luise ainsi devant les hommes, afin qu’ils voient
vos bonnes œuvres, et qu’ils glorifient votre Père
qui est dans les Cieux. (Matt. 5, 16)
→ … afin
que vous soyez les enfants de votre Père
qui est dans les Cieux (Matt., 5, 45.)
→ Soyez
donc parfaits, vous, comme votre Père
céleste est parfait. (Matt, 5, 48)
→ … autrement,
vous n’aurez pas de récompense auprès de votre Père
qui est dans les Cieux. (Matt 6, 1)
→ … et
ton Père, qui voit dans le
secret, te le rendra. (Matt. 6, 4)
→ … prie
ton Père dans le secret :
et ton Père, qui voit dans
le secret, te le rendra (Matt. 6, 6)
→ … car
votre Père sait de quoi
vous avez besoin, avant que vous Le lui demandiez. (Matt. 6, 8)
→ … si
vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père
céleste vous pardonnera aussi vos péchés. Mais si vous ne
pardonnez point aux hommes, votre Père
ne vous pardonnera pas non plus vos péchés. (Matt. 6, 14-15)
→ … afin
de ne pas faire voir aux hommes que tu jeûnes, mais à ton Père,
qui est présent dans le secret ; et ton Père
qui voit dans le secret, te le rendra. (Matt. 6, 18)
→ … ils
n’amassent pas dans des greniers ; et votre Père
céleste les nourrit. (Matt. 6, 26)
→ … mais
votre Père sait que vous
avez besoin de tout cela. Cherchez donc premièrement le royaume de
Dieu et Sa justice, et toutes ces choses vous seront données par
surcroît. (Matt. 6, 32-33)
→ … combien
plus votre Père qui est
dans les Cieux donnera-t-Il ce qui est bon à ceux qui le Lui
demandent ! (Matt. 7, 32)
→ … celui
qui fait la volonté de Mon Père
qui est dans les Cieux, celui-là entrera dans le royaume des Cieux.
(Matt. 7, 21)
→ … ce
n’est pas vous qui parlez, mais c’est l’Esprit de votre Père
qui parle en vous. (Matt. 9, 20)
→ Deux
passereaux ne se vendent-ils pas un as ? Cependant il n’en
tombe pas un à terre sans la volonté de votre Père.
(Matt. 9, 29)
→ … quiconque
Me confessera devant les hommes, Je le confesserai aussi Moi-même
devant Mon Père qui est
dans les Cieux. Mais quiconque Me reniera devant les hommes, Je le
renierai aussi Moi-même devant Mon Père
qui est dans les Cieux. (Matt. 9, 32-33)
→ … Jésus
prit la parole et dit : Je Vous rends grâce, Père,
Seigneur du Ciel et de la terre, de ce que Vous avez caché ces
choses aux sages et aux prudents, et de ce que Vous les avez révélées
aux petits. Oui, Père, Je
Vous rends grâce parce qu’il Vous a plu ainsi. Toutes choses M’ont
été données par Mon Père.
Et personne ne connaît le Fils, si ce n’est le Père ;
personne non plus ne connaît le Père,
si ce n’est le Fils, et celui à qui le Fils aura voulu Le révéler.
(Matt. 11, 25-27)
→ … quiconque
fait la volonté de Mon Père
qui est dans les cieux, celui-là est Mon frère, et Ma sœur, et Ma
mère. (Matt. 12, 50)
→ … Alors
les justes brilleront comme le soleil dans le royaume de leur Père.
(Matt. 13, 43)
→ … Toute
plante que mon Père céleste
n’a pas plantée sera déracinée. (Matt. 15, 13)
→ … ce
n’est pas la chair et le sang qui t’ont révélé cela, mais Mon
Père qui est dans les
Cieux. (Matt. 16, 17)
→ … le
Fils de l’homme viendra dans la gloire de Son Père
avec Ses Anges, et alors Il rendra à chacun selon ses œuvres.
(Matt. 16, 27)
→ … Je
vous dis que leurs Anges dans le Ciel voient sans cesse la face de
Mon Père qui est dans les
Cieux. (Matt. 18, 10)
→ … ce
n’est pas la volonté de votre Père
qui est dans les Cieux qu’un seul de ces petits périsse. (Matt.
18, 14)
→ … Je
vous dis encore que si deux d’entre vous s’accordent sur la
terre, quelque chose qu’ils demandent, ils l’obtiendront de Mon
Père qui est dans les
Cieux. (Matt. 18, 19)
→ … C’est
ainsi que Mon Père céleste
vous traitera, si chacun de vous ne pardonne pas à son frère de
tout son cœur. (Matt. 18, 35)
→ … ce
sera pour ceux auxquels Mon Père
l’a préparé. (Matt. 20, 23)
→ … ne
donnez à personne sur la terre le nom de père,
car vous n’avez qu’un seul Père
qui est dans les Cieux. (Matt. 23, 9)
→ … ce
jour et à cette heure, personne ne les connaît, pas même les Anges
des Cieux, mais le Père
seul. (Matt. 24, 36)
→ … Venez,
les bénis de Mon Père,
possédez le royaume qui vous a été préparé dès l’établissement
du monde. (Matt. 25, 34)
Oui !,
vraiment Dieu est Père, nous pouvons dire qu’Il est Père avant
d’être Dieu !
La
Paternité est seule Source de Vie !, donc seule Autorité !,
donc seule Autorité en la Famille, et dans toutes les sociétés !
16.E.1.a - La
fête à Contraception.
Bien
qu’étant encore loin du compte, voici cet article complet :
VIA
E&R
Samedi
dernier une manifestation à Paris pour "défendre le droit à
l’avortement" (sic), partie de la place d’Italie, a rejoint
à la Bastille le défilé contre la réforme des retraites.
Sans
le moindre soucis de la contradiction de fond, entre ces deux
exigences !
Il
fallut endurer des glapissements de timbre suraigu, poussés de
conserve par des hordes de vieilles femelles tendues comme des
Strings, hors d’elles et dans la rue pour protester contre le
nombre insuffisants d’avortement en ex-France.
Mais
davantage que l’ouïe ce fut la vue qui en fut affectée !
Seigneur !
Quelle écumante laideur !
Une
laideur qui dépasse, et de loin, le quota normal dans un groupe
humain, et qui nous met sur la piste d’une prédestination praeter
naturalis.
Car
dans ces processions, les laides sont, comme les daemons de
l’Evangile, légion.
Mon
nom est Légion, car nous sommes plusieurs. Marc, V, 9.
La
hideur stupéfiante de cette nichée de chiennes de garde,
dégoulinant encore de glaires, ne se sentant plus assez rassasiées
de sang de chérubins avortés, ces vacheries hystériques tonnant
contre : "les difficultés d’accès à l’IVG et à la
contraception", avec toutes, les mêmes inflexions de voix, les
mêmes mimiques mimétiques (dans lesquelles transparaissent souvent
les pénibles évidences d’un génotype commun), aucun spectacle au
monde ne me semble plus contraire à la dignité humaine.
Après
avoir regardé longtemps, subjugué, ce défilé de vieilles
flétrissures clabaudant sur la chaussée comme des étrons
mécontents dans des canalisations, ce ramas de tout ce que l’antique
humanité tenait pour le rebut, je songeais que le critère
révolutionnaire par excellence était l’antiféminisme, primaire,
secondaire, jurassique et crétacé.
Auparavant,
le dimanche 26 septembre avait été décréte par le Plannning
Familial : Journée mondiale de la Contraception et de
l’Avortement, et d’autres monstrations avaient eu lieu sur les
pavés de Paris au motif de : "l’absolue nécessité
d’une éducation à la sexualité", car, tenez vous bien, "La
sexualité des jeunes reste, dans notre société, un tabou et la
contraception encore une "affaire de filles !"
AFP-24/09/10
Et
bien soit ! Faisons en donc une mâle affaire, en étudiant
rationnellement et généalogiquement ces questions .
La
Pilule
Inventée
dès le début des années 1950, commercialisée à partir de 1960,
et autorisée en France à partir de 1967 (loi Neuwirth), son action
consiste à interférer avec le cycle menstruel naturel de la femme.
Les
hormones synthétiques apportées par la prise de la pilule empêchent
l’ovulation.
Pour
faire avaler aux femmes pareille saloperie on parla d’émancipation
féminine.
On
se mit à leur débiter soir et matin, midi et minuit, des discours
sur leur libération.
Tout
à coup, l’état de mère fut décrié comme l’aliénation
suprême. Rien ne pouvait être jugé pire, ridicule, vulgaire,
qu’une famille nombreuse.
La
Résistance populaire et chrétienne, sous l’égide et du parti
communiste et de l’Église catholique (les extrêmes se touchent
tout en s’exécrant) fut stigmatisée comme celle des "Pères
lapins".
On
décréta qu’en Europe, dans tous les pays industrialisés, le
bonheur et la prospérité étaient menacés par un afflux de
naissance.
La
Pilule devint la Panacée universelle. (Enfin, pas si universelle que
ça.) qui devait guérir miraculeusement les symptômes de
l’aliénation de la femme et de la pauvreté.
Le
résultat ne se fit pas attendre : chute de la Natalité dans
une Europe ainsi préparée à recevoir dans son giron des
populations substitutives dont la natalité exponentielle
s’exhaussera encore par le niveau supérieur de notre médecine et
des aides sociales.
On
connaît la suite.
Ce
qu’on connaît moins bien se sont les conséquences écologiques
catastrophiques du flot monstrueux d’urines menstruelles gorgées
d’œstrogènes, quotidiennement rejetées dans les eaux usées des
sanitaires et non traitées en stations d’épuration.
Le
planning, eugéniste et raciste.
Cette
organisation eugéniste, anti-pauvres, anti-blanche et anti-mâle,
vit le jour lorsque la doctoresse Lagroua-Weil-Hall de la clinique
Birth control créée par Abraham Sanger à New York, en mars 1955,
lors d’une communication à l’Académie des sciences morales et
politiques, préconisa la création de « centres
d’eugénétique » où les couples pourraient recevoir
conseils et prescriptions de moyens contraceptifs.
Autour
de la Lagroua-Weil-Hallé, vont se regrouper toute une camarilla de
vieilles femelles appartenant à différents courants franc-maçons,
la plupart d’ascendances juives (c’est un fait), des lesbiennes
intellectuelles et des gauchistes à l’hygiène douteuse, toutes
d’origine bourgeoise.
Ce
fut le début d’une propagande sans pareille, dans les média de
l’époque, qui ne fit que s’amplifier au cours des années
suivantes, et après de multiples rebondissements aboutit à la loi
Neuwirth puis à la loi Veil.
Auparavant
la commission Marcellin, créée à l’Assemblée pour l’étude
des conséquences de la prise de contraceptifs, conclut fin 1965 à
son innocuité.
On
le voit le combat des avorteuses était bien homogène aux intérêts
bien compris du patronnat et de son pouvoir d’Etat.
Les
féministes
Pour
réussir ce génocide de travailleurs européens, le Capital fit
remonter des latrines de l’Histoire une espèce, qui dans l’esprit
de personne de sensé n’aurait jamais dû occuper une place de
premier plan. Je veux parler des féministes.
Généalogiquement,
ce courant ultra-minoritaire, vient de la plus sordide gougnoterie et
des bas fonds de culottes douteuses des bas bleus, ces peu ragoûtants
déchets de la féminité avortée, et vivant à l’écart des
foules.
Ces
tchandalas ont toujours macéré dans leur jus un ressentiment
agressif pour tout ce qu’il y a de plus beau dans la femme, joint à
une pathologique envie du pénal à l’encontre de la virilité.
La
sortie à l’air libre de cette infection, eût pour effet de
contaminer la féminité par ce qu’elle possède de plus
vulnérable, son grégarisme social congénital, et d’exterminer,
spirituellement, la race originelle de la femme.
Félix
Niesche
♣
Chers lecteurs,
RépondreSupprimerNous vous avions dit que nous tâtonnerions au sujet de la procédure à suivre pour le dépôt de commentaires, nous venons de l’adapter, veuillez lire la page : Dépôt de commentaire...
Pensant bien faire ainsi..., vous verrez que pour le dépôt de commentaires, et UNIQUEMENT cela : nous avons supprimé la restriction, distinction « page Hommes » ou « pages femmes ».
Que le Bon Dieu vous bénisse.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Chers amis chrétiens
RépondreSupprimerJ'ai lu avec délice votre prédication sur la paternité . Je trouve que le passage que vous citez « Il n’y a que l’autorité paternelle dont on n’est pas revêtu, dont rien aussi ne saurait dépouiller (..). C’est la seule qui soit le plus complètement possible à l’image de l’autorité divine. » aide particulièrement à comprendre pourquoi le diable et ses sbires s'acharnent tant sur le père à l'heure actuelle ,allant jusqu'à inventer et bien pire , légaliser une notion aussi erronée que celle de l'autorité parentale. En guise d 'autorité "parentale" ,nous n'avons plus que celle de la mère (une monstruosité par rapport au plan divin originel) ,collée plus que jamais à l'enfant qu'elle étouffe et qu'elle empêche de grandir correctement (phénomène de l'adulescence et de l'enfant roi ,hausse de la délinquence juvénile et de la criminalité) ,qu'elle prive de cette transcendance ,cette puissance masculine si indispensable à son bon développement. Je suis frappée de voir combien les états occidentaux faisant mine de se pencher sur la misère des peuples ,se font , derrière un masque de bons samaritains ,les acteurs les plus féroces de cette guerre contre le père un peu partout dans le monde afin de faire avancer leurs pions sur l'échiquier du Nouvel Ordre Mondial.
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RépondreSupprimerSous couvert d'aide aux plus faibles ,on écarte le plus fort ! Ainsi , avez-vous remarqué qu'il est question à tout bout de champ des "droits universels de la femme ",de la "journée des droits de l'enfant" ,du conseil national pour la mère et l'enfant ",des micro-crédits proposés aux femmes (dans les pays les plus pauvres ,des femmes se retrouvent ainsi endettées jusqu'au coup par ces fameux micro-crédits qu'elles décident de prendre à l'insu de leur mari parce qu 'on leur fait croire que la prospérité économique viendra par la femme !!) ,des aides aux mères isolées ,des PMI et tout ce réseau parricide qui sévit partout en Europe et en Amérique et qu'ils veulent imposer à la terre entière. ? . La femme ,la mère ,l'enfant , voilà donc de quoi est sensée se composer l'humanité actuelle ! A peine croyable ! Il n'est plus question de l'homme ,du père ...des femmes et des enfants livrés à eux-mêmes ! Et ça ne semble plus étonner personne ! A une masse avachie et chloroformée ,on peut donc faire référence à l'humanité tout en excluant celui qui en est la tête ...mais un corps sans tête ,ça ne peut pas aller bien loin ! La Bible a raison , l'humanité n'a plus d'avenir à ce train là. C'est effrayant de voir jusqu'où le diable mène son troupeau.
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RépondreSupprimerEn ces temps si ténébreux , permettez-moi de vous le dire une fois encore : vos prédications valent de l'or .Le parallèle que vous faites entre Dieu le Père et le père terrestre est une pure merveille. Je n'avais jamais entendu de pareilles prédications et pourtant le pasteur que j'ai écouté pendant plusieurs années était un homme fortement attaché aux Ecritures et ses enseignements vraiment inspirés.Vous,vous avez reçu quelque chose de si particulier ,de si édifiant , de si criant de vérité ,quelque chose qui s'adresse à la fois à l'humain et à son identité sexuée (je trouve que ce dernier point manque terriblement à l'église actuelle où l'on a trop tendance à mélanger les hommes et les femmes au nom du salut pour tous ,sans plus tenir compte de leurs différences fondamentales,ce que je trouve inacceptable ) pour faire de l' homme et de la femme ravagés par le modernisme des êtres complets par la grâce de Dieu , en harmonie avec Sa volonté pour chacun d'eux.
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RépondreSupprimerEncore une fois , je bénis le Seigneur pour ce qu'il vous a donné et souhaite longue vite à votre site .
Qu'Il vous comble de sa joie malgré les déchainements de haine à votre égard. Qu' Il vous donne d 'annoncer son Evangile qui consiste bien à connaitre le Père et Son oint sans craindre la réaction des impies. Qu'il vous entoure de Sa grâce et de toutes sortes de bénédictions.
Communiqué
RépondreSupprimerVoilà exactement où mène ladite libération de la femme !
Veuillez Lire ceci : Il se marie avec son chien !
à l'adresse : http://www.intransigeants.com/2010/12/il-se-marie-avec-son-chien
Nous en reparlerons..., évidemment !
Je suis impressionné par tout ce que dit Dame Isabelle, de voir une femme parler ou écrire si bien. C'est à dire que c'est si rare que l'on en a pas l'habitude. Beaucoup devrait prendre exemple...
RépondreSupprimerSinon, voilà j'aimerai qu'une petite précision soit apportée à l'article, une définition en fait.
Dans ce point : "16.B - La Paternité préexiste à tout, Elle est fontale !"
Je m'étonne que le terme fontale ne soit pas défini, avec source à l'appui, alors que d'autres plus évident, le sont.
J'ai cherché et je n'ai rien trouvé en français, on le retrouve cependant en anglais et il est à l'origine en latin. De ce que j'ai compris cela a un rapport avec "fontaine", ce qui justement ici prête à confusion, car je ne crois pas que ce soit le sens que vous lui accordez. Ce terme revient aussi dans votre dernier article pour l'heure : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2013/12/rh-2013-09-sieur-luryio-les.html
Voilà !
Cher Sieur Luryio,
SupprimerMerci bien pour votre commentaire.
Oui, en effet cette dame Isabelle est bien impressionnante et a toujours été délicate, nous regrettons beaucoup que son Époux n’ait pas poursuivi avec nous !... nous l’attendons toujours avec plaisir, même par l’intermédiaire de sa « petite plume ».
Vous, au moins, vous posez la question !
Vous nous posez la question, que veut dire "Fontale" et en tout les cas vous avez fait des recherches, et cela est le plus important !, vous cherchez !, et comme NSJC l’a dit : « Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande, reçoit, et qui cherche, trouve, et l’on ouvrira à celui qui frappe. (Mat 7, 7-8) »
Lisez !, Lecteurs, lisez donc !, et cher Sieur Luryio, vous auriez vu ainsi que dans la foulée est écrit :
[ Cette Vie que le Père possède est fontale*, Il est la Vie même : La vie immense qui est cachée en lui [Dieu], cette vie fontale et originelle…
(Re)Voyez : DP-03, Le Mariage, son origine, sa Mission divine ; point DP-3B4, Nous allons parler de fontaine…" ]
Si vous suivez le lien qui s’y trouve, et allez au point "Nous allons parler de fontaine", vous trouverez tout ce que vous désirez trouver ; et, s'il devait vous manquer quelque chose, n'hésitez point à nous le dire !
Vous verrez que le terme y est largement défini !, par-contre, c'est bien de nous avoir posé la question, en effet combien ne connaissent pas la définition, et combien posent la question ?, ils préfèrent s'offusquer méchamment du terme "battre sa femme" et prenant bien la précaution de l'extraire se son contexte et de l'analyse !
Vous avouerez aisément qu’il est impossible de redéfinir continuellement les (très nombreux) termes au fil de leur utilisation, alors qu’ils sont toujours largement définis lorsque nous les utilisons la première fois ! ; et, que presque toujours nous mettons à l’utilisation suivante un ‛*’ pour signaler qu’il peut être à rechercher dans nos documents (évidemment dans les plus anciens), et que très majoritairement nous mettons un renvoi ‛source’ comme ci-dessus.
Merci pour votre lecture, votre bonne lecture comme le prouve tout de-même votre question !
Cher Sieur Luryio, n’hésitez point à revenir...
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Merci pour vos indications, oui j'ai bien vu la définition que vous y donnez, et je me doutais que c'était là le sens que vous accordiez au mot. Qui est à l'origine, qui est la source.
SupprimerMais aurez-vous un lien vers un dictionnaire, ou un exemple d'utilisation, en fait, d'où connaissez vous ce mot ? Moi j'aime particulièrement apprendre de nouveau mot qui justement sont maintenant anciens et peu usités, enrichir mon vocabulaire. Vous particulièrement, vous utilisez des mots anciens et peu usités, qui souvent me plaisent. Celui là aussi, mais contrairement aux autres, il me paraît carrément inusité. Je sais bien qu'Internet n'indique pas tout, mais je n'ai même pas trouvé un exemple, et ça me déçoit un peu.
Enfin voilà, vous avez, si ce n'est acclamation, au moins mon approbation.
Cher Sieur Luryio,
SupprimerNous donnons toujours, sauf très grande étourderie de notre part !, la définition des mots que nous utilisons, surtout que maintenant, vu l’appauvrissement intellectuel et moral sidérant des gents... ; aussi, le premier qui trouve un oubli, qu’il nous le signale, il aura droit à la récitation par nous d’une dizaine du chapelet en plus de toutes nos prières, et ce exclusivement à ses intentions honnêtes qu’il pourra nous dire s’il le veut (privément ou pas) !
Nous donnons une définition de Fontal(e) venant d’un dictionnaire !, et toujours, comme expliqué dans « Leur mode d’emploi… » (voir en haut à gauche) nous donnons le lien si cette définition ne vient pas du « dictionnaire par défaut » afin d’éviter les répétitions, ce qui n’est le cas pour ce mot...
Pour vous rendre service, voici donc le lien de définition de « fontal(e) » en notre « dictionnaire par défaut » : http://www.cnrtl.fr/definition/Fontal
Du reste en l’extrait juste précédent, nous écrivons « Lisons : La vie immense qui est cachée en lui [Dieu], cette vie fontale et originelle…21 », et cet extrait a précisément un renvoi, et ce renvoi donne la source de cette citation qui est justement de ce dictionnaire !
Voici d’autres sources qui peuvent vous aider (soyez critique, nous ne validons pas tout ce qui y est mis) :
http://www.cnrtl.fr/definition/dmf/fontal
http://www.finedictionary.com/Fontal.html
http://www.dicolatin.com/FR/LAK/0/FONTALE/index.htm
http://books.google.fr/books?id=Ldp-T82Lnm4C&pg=PA64&lpg=PA64&dq=%22fontale%22&source=bl&ots=mUw08GOtNk&sig=AhcFNoqdhCRLzu3CGpRl00ch9P4&hl=fr&sa=X&ei=tkyzUqV6xYrJA93rgPgK&ved=0CDEQ6AEwADgK#v=onepage&q=%22fontale%22&f=false
Nous pensons que cela doit suffire !
Merci pour votre intérêt pour le vocabulaire, c’est si rare ; la variété des mots permet une grande précision dans le langage, et donc elle participe à la Vérité !, ils portent souvent en eux une émotion...
Toujours là pour vous aider, n’hésitez pas...
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Merci bien, oui ces liens me suffisent amplement. Je sais dorénavant où j'irai chercher plus en profondeur le sens d'un mot. Et je saurai aussi à quel "dictionnaire par défaut" vous vous en référez, en tout cas quand il n'y a pas plus de précision.
SupprimerCher Sieur Luryio,
SupprimerMerci pour votre acquiescement, et, n'hésitez point à nous consulter si le besoin s'en faisant sentir.
Nous prierons nommément pour vous et les vôtres en cette sainte nuit et ce saint jour de Noël, nous coucherons nos prières pour vous en la litière de notre doux Sauveur, tout-près de Son Sacré-Cœur...; veuillez avoir la bonté de faire de même pour nous.
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC