Du
29.12.2015. Version PDF.
Actualisé : jeu. 31 déc. 2015,
09.58.
Table
de ce document, RH-2015-…
5
- Cher Sieur Jacques,
quant-à la soumission et la discipline de l’épouse…
5.B
- Notre réponse à
vos remarques et questions
5.B.1
- Nous dirions que
les femmes doivent être soumises à leurs époux.
5.B.2
- Comment soumettre
une épouse révoltée ?
5.B.3
- Aimer sa femme
c’est forcément vouloir son bien, rien que son bonheur !
5.B.4
- Ce n’est rien
que l’insoumission, la révolte qui sème le malheur !
5.B.5
- Comment
discipliner une épouse revêche, inféodée ?
5.B.6
- Pour quel gravité
de faute doit-on punir ?
5.B.7
- Quand doit-on
punir ?, corporellement, ou autrement.
5.B.8
- Obéir avec joie
et empressement, même si l’ordre n’est pas expressément
formulé !
5.B.8.a
- Adam commande,
Ève désobéit, elle est punie, et Lui de ne l’avoir disciplinée.
5.B.8.b
- Abraham
commande, Sa Sara obéit, elle est considérée, Lui magnifié et
béni.
5.B.8.c
- Loth commande,
Sa femme désobéit, elle est punie, Il est magnifié.
5.B.8.d
- Joseph
commande, Marie obéit, elle est magnifiée ô combien, Lui aussi.
5.C
- Nous sommes dans
un monde totalement dominé par Luciabel !
5.C.1.a
- L’inversion
accusatoire de Luciabel, et de ses groupies.
5.C.1.b
- S’offusquer
d’une tricherie sur la marchandise, où hypocrisie…
5.D
- Concluons pour
l’instant…
5.E.1.b
- Pour l'ŒRFAEP
: QJSIOJC, 15 décembre 2015 à 11:46
Commencé
en la Sainte Chrétienne,
le mardi 15 décembre 2015 ;
publié
en la Saint Thomas de Cantorbéry, Évêque et Martyr,
le mardi
29 décembre 2015 ;
ce document leur est confié.
Cher
Sieur Jacques, et chers Lecteurs,
Cher
Sieur Jacques, vous avez déposé un commentaire sur une de nos
pages, et nous vous avions annoncé notre réponse.
Pour :
commentaire sur une de nos pages, et nous :
Votre
commentaire, les Annexes diverses ;
point Jacques, 15 décembre 2015 à 10:23
Notre
annonce, Idem ; point Pour l'ŒRFAEP : QJSIOJC, 15 décembre 2015 à 11:46
Au
préalable nous désirons vous faire savoir que nous avons été
touchés par votre ton chaleureux et même évidemment approbateur
quant-à notre ligne de défense de la Famille, du Mariage.
Voici
maintenant notre réponse, ce sachant toutefois que celles-ci
attendues par vous se trouvent toutes en nos documents, mais par
amitié nous allons les redire et vous les personnaliser…
Vous
devrez, pour bonne compréhension et par respect pour notre travail,
lire bien honnêtement, posément, tous les renvois que nous allons
vous donner…
Pour :
honnêtement, posément, tous les renvois :
Nous
rappelons souvent, et ici encore une fois, que tous nos textes se
tiennent et sont donc interdépendants, aussi, il bien est
souhaitable de tous les lire, principalement ceux de notre Document
principal qui est le nœud des autres qui sont des développements
particuliers comme ce présent document.
Le
Document principal (DP) est actuellement formé de 11 chapitres, de
DP01 à 11, vous le trouverez en PDF ici : Nos
divers documents ;.
Ainsi,
le document où vous avez déposé votre commentaire, DP-04H5e,
commençant par DP
indique qu’il fait partie du Document principal ; puis
continuant 04
cela indique qu’il fait partie du chapitre 4
de ce dernier, et finissant par H5e
cela veut dire que c’est le sous-chapitre H,
section 5,
point e…
Maintenant,
cheminons droitement votre commentaire :
5.B - Notre
réponse à vos remarques et questions
Note :
Les paragraphes commençant par Vous :,
sont les retranscriptions de votre texte…
5.B.1 - Nous
dirions que les femmes doivent être soumises à leurs époux.
Vous :
Vous
dîtes que les femmes doivent être soumises à leus époux.
Ce
qui est faux !, non point par malice, mais par erreur sur la
personne, l’Auteur !
Ce
n’est pas nous qui disons (édictons, édicter) que les
femmes doivent être soumises à leurs
époux !, mais le Seigneur Dieu qui le
dit (annonce, impose), et de Saints et sains commenteurs comme Saint
Paul (dépôt de la Foi) qui le certifient et rappellent ; nous,
nous ne sommes que de répéteurs, des propagateurs ou missionnaires.
Ainsi
donc nous n’inventons rien, nous ne faisons que rappeler !, et
personne, en lisant tous nos textes rapportés et copieusement et
rigoureusement référencés, et certes commentés par nous, ne peut
dire le contraire.
5.B.2 - Comment
soumettre une épouse révoltée ?
Vous :
Comment
faire si on a une épouse qui n'est pas obéissante pour la
soumettre?
Tout
le drame en la création a commencé par une révolte, ou
désobéissance comme vous dites ; ce sachant toutefois qu’une
désobéissance peut être synonyme de faiblesse ou d’accident,
alors qu’une révolte est un acte tellement réfléchi qu’il est
devenu un état fixe, comme définitif.
Cette
première révolte fut celle de Lucifer faite en toute connaissance
de cause, d’où sa fixation irrévocable en cet état, par son :
Non
serviam !
Pour :
celle de Lucifer faite en toute connaissance :
Notamment…
Pour
soumettre une épouse révoltée, ou désobéissante comme vous le
dite, vous devez agir courageusement !, vous serez jugé par
votre Juge, implacable alors, sur la gestion de Votre Maison !
Sauf
que maintenant un tel héroïsme peut vous conduite tout droit en
prison, ce donc en infraction au Droit divin !, ainsi que nous
qui le rappelons, alors…
5.B.3 - Aimer
sa femme c’est forcément vouloir son bien, rien que son bonheur !
Vous :
J'aime
ma femme et je ne veux pas lui faire de mal et ne souhaite rien
d'autre que son bonheur.
Son
Bonheur éternel dépend exactement de son bonheur temporel, ici-bas,
et son bonheur donc n’est rien que d’être dirigée vers ceux-ci,
de main de maître !
Donc !,
s’il le faut !, pour son bonheur soyez énergique, soit tout
l’inverse que ce que ce monde pourri déverse par tombereaux et à
longueur de journée dans le cerveau d’Hommes qui voulurent bien
être décérébrés !, soit féminisés et même efféminés !
Pour :
pour son bonheur soyez énergique :
5.B.4 - Ce
n’est rien que l’insoumission, la révolte qui sème le malheur !
Vous :
Je
n'ai pas non plus envie d'installer un climat de "peur"
entre nous.
Ce
n’est pas par la faute de l’Homme que ce climat de peur générale,
depuis avant la naissance du tout premier enfant et comme jamais
maintenant, existe, mais par la faute de la femme comme tous nos
documents le rappellent !
Si
votre épouse est soumise, que risque-t-elle ?, sinon, qu’elle
ne s’en prenne qu’à elle et non à vous !, qui êtes alors
le premier à souffrir du climat délétère qu’elle engendre !
5.B.5 - Comment
discipliner une épouse revêche, inféodée ?
Vous :
Et
si on décide de punir son épouse comment doit-on s'y prendre?
5.B.6 - Pour
quel gravité de faute doit-on punir ?
Vous :
C'est
à dire à partir de quelle gravité de désobéissance?
Pour
toute faute, et, l’absence de remontrance, et le cas échéant de
punition est rien qu’une incitation à raidir sa révolte, pour la
femme…
N’est-on
pas, par ex., puni dès le premier excès de vitesse, et plus si
récidive : retrait du permis, majoration des amendes, prison…
Voir
le précédent renvoi aussi…
5.B.7 - Quand
doit-on punir ?, corporellement, ou autrement.
Vous :
Quand
doit-on utiliser les punitions corporelles?
Voir
notamment le précédent renvoi…
5.B.8 - Obéir
avec joie et empressement, même si l’ordre n’est pas
expressément formulé !
Vous :
D'ailleurs,
si une femme demande l'autorisation à son époux de sortir et
l'époux lui ayant dit non elle insiste en disant "s'il te plaît
laisse moi y aller" est-ce une désobéissance.
Il
faut reconnaître que la femme depuis Ève a une furieuse propension
à prendre le contre-pied de ce l’Homme de sa Maison, Père ou
Frère ou Époux ou Tuteur, lui demande ; demande qui est
toujours un ordre bien que majoritairement formulé délicatement.
Le
s’Il
vous plaît laissez-moi y aller suit
évidemment un ordre dit pour le moins délicatement ainsi, Ma
bien-aimée je ne veux pas que vous alliez là,
qui lui-même était motivé par une demande antérieure pouvant être
puis-je
aller rendre une telle visite ?
Nous
devons remarquer que cette première demande, le puis-je
aller rendre une telle visite ?, est
déjà une insoumission, ou même peut-être bien une révolte
larvée, en effet, le devoir premier de l’épouse est de prévenir
les désirs même non exprimés de son Époux : vos
désirs sont des ordres !
Pour :
désirs même non exprimés de son Époux :
Nous
disions ailleurs :
L’être soumis recherche aimablement cette soumission
et ensuite Ne
pas rechercher cette soumission, est révolte !
Et
ailleurs encore, que la femme doit obéir : À
tout prix !, même dans le plus déraisonnable et impossible !
Ainsi
donc, si l’épouse est conforme au Plan divin, soit soumise en
toutes choses à son Maître et toute tendue à rien que prévenir Sa
volonté, un Époux ne devrait jamais avoir à dire non…
(je
ne veux pas que tu ailles là, par ex.), mais
rien que oui…
(je
veux bien que tu me déchausses, par autre
ex.).
Pour :
oui… (je veux bien que tu me déchausses :
Voyons
maintenant succinctement rien que quelques exemples incontestables…
où suivront chaque fois un renvoi où la chose est mieux développée,
et qu’il est bien nécessaire de lire.
Vous
devez savoir, ou au moins vous le découvrirez, que jamais le
Seigneur Dieu ne donne d’ordre à la femme, toujours Il ne
s’adresse qu’à l’Homme, et à charge à Ce dernier d’y faire
obéir Sa Maison ! Ainsi vous constaterez que lorsque la femme
transgresse, elle désobéit non à Dieu mais à son Homme du moment,
Père ou Frère ou Époux ou Tuteur ; et qu’il revient donc à
cet Homme de discipliner la femme. S’Il ne le fait pas, parce que
de fait Il ne l’aime pas comme nous le verrons avec Adam, c’est
Lui alors qui endosse la faute, et qui sera puni par le Seigneur Dieu
(gestion de ses talents. Mat 25, 14-30).
Pour :
par le Seigneur Dieu (gestion de ses talents :
5.B.8.a - Adam
commande, Ève désobéit, elle est punie, et Lui de ne l’avoir
disciplinée.
Il
faut remarquer ce que fit le Seigneur Dieu !, Il dit à Adam
seul, Mangez
de tous les fruits des arbres du paradis,
soit la permission ; Mais
ne mangez point du fruit de l’arbre de la science du bien et du
mal, soit l’ordre, ici interdiction ;
Car
au même temps que vous en mangerez, vous mourrez très certainement,
la menace de punition, ici de mort car il s’agit bien d’un péché
mortel ! et ô combien ! soit le péché originel ; et
pour une simple pomme diront les vicieux ! (Gn
2,16-17)
Cet
Ordre divin, ce comme du reste Le marital, ne pouvait et ne peut être
discuté, voyez-vous le Bon Dieu négocier !? Cet Ordre ne fut
point discuté par Adam, comme ceci : puis-je
tout de même en manger rien qu’une ?,
ou, rien
qu’en croquer une ? ; mais
malheureusement Il fut carrément désobéi par Ève, la seule
coupable de cette révolte !
Pour :
Ève, la seule coupable de cette révolte :
Vous
nous dites bien, l'époux
lui ayant dit non !, et de fait Ce
dernier a bien certainement ajouté, implicitement comme tout très
bon Époux, et peut-être même très explicitement si déjà Il a
détecté une indisposition générale à recevoir amoureusement
l’ordre, si
tu désobéis, tu commettras
un péché mortel !, tu
encourras alors, de Droit divin, ma très-sainte Colère !, et
il t’en cuira !
Pour :
désobéis,
tu commettras
un péché mortel :
Un
ordre ne se discute pas, il n’a pas à être justifié devant les
subalternes, ce comme devant quiconque du reste. S’il s’agit bien
évidemment de l’Autorité légitime, soit de Droit divin, cet
Ordre doit être exécuté de bonne grâce, soit avec joie et
empressement, sinon c’est révolte !
Pour :
Autorité légitime, soit de Droit divin
Le
Seigneur Dieu auprès de ses créatures
L’Époux
auprès de Sa Maison (épouse, enfants, etc.).
Adam
n’a pas discipliné, moralement et le cas échéant physiquement,
Son épouse, endossant donc ainsi sa faute ; c’est donc Lui
qui a été chassé du Paradis terrestre suivi comme de Droit de
toute Sa Maison (en Son cas uniquement Sa femme n’ayant encore
qu’elle).
Donc
la faute originelle fut un Époux dit tolérant ayant émancipé sa
femme !, ne l’aimant pas car ne l’ayant disciplinée !
Pour :
ne l’aimant pas car ne l’ayant disciplinée :
Vous
devez savoir, car vous serez alors jugé impitoyablement par votre
Très-Juste Juge à votre Jugement personnel et au Général, que la
femme qui vous est confiée doit obéir aveuglément, ce sans avoir
aucunement besoin de comprendre !
Pour :
aveuglément, ce sans avoir aucunement :
DP-02,
La
Loi, le Droit ; tout le point 2.C.2 - Ce
que Mgr H. Convert dit de la Loi naturelle…
5.B.8.b - Abraham
commande, Sa Sara obéit, elle est considérée, Lui magnifié et
béni.
Abraham
doit sacrifier Son Fils, à Lui !, et non point à Sa femme
Sara, Isaac ; Sa femme ne demande point d’explication pour se
soumettre, le Fils de même, et Abraham est béni ô combien !
5.B.8.c - Loth
commande, Sa femme désobéit, elle est punie, Il est magnifié.
Loth
(ou Lot) doit fuir en faisant suivre Sa Maison, Il doit prendre Sa
femme sans qu’elle doive comprendre, sans discuter ; or, elle
discute (se retourne) et est foudroyée (statue de sel).
Les
moins pervertis diront : ce
pour une toute-petite curiosité !, non
point pour une curiosité mais pour une désobéissance ! ;
et le plus révoltés diront : elle
n’avait pas à obéir, la femme est libre !
5.B.8.d - Joseph
commande, Marie obéit, elle est magnifiée ô combien, Lui aussi.
Saint
Joseph doit fuir en Égypte, et Sa Maison doit Le suivre ; la
Très-Sainte Vierge-Marie (TSVM) ne se sait rien, et ni le pourquoi
et ni le comment et ni le où !, elle ne demande aucune
explication, suit aveuglément ; Saint joseph est magnifié, la
TSVM est reine du Ciel !
5.B.8.e - Concluons
ce point 5.B.8.
Donc,
si une épouse en vient à contester l’Ordre, en disant par ex.
mielleusement, hypocritement donc, s’Il
vous plaît laissez-moi y aller, c’est
qu’elle se révolte !
Par
contre, l’Époux doit certes être prudent en ses Ordres !
S’Il juge bon, après plus mûre réflexion, de réviser un Ordre,
qu’Il le fasse ; mais que jamais l’épouse conteste si peu
que cela soit !, car ainsi l’Époux pour ne point se dédire
n’aura plus la possibilité de se raviser éventuellement !
5.C - Nous
sommes dans un monde totalement dominé par Luciabel !
Ce
point ne fait pas partie de notre réponse, mais il ne s’éloigne
certainement pas de votre préoccupation générale…
Voici
quelques considérations bien à propos…
5.C.1.a - L’inversion
accusatoire de Luciabel, et de ses groupies.
L’inversion
accusatoire, terme popularisé par Hervé
Ryssen notamment avec un de ses titres Le
Miroir du judaïsme : L'Inversion accusatoire,
consiste à sidérer l’adversaire et ses écoutants en les accusant
vociféremment, avec grands renforts d’arrachement d’habits et de
cheveux, de ses propres crimes et turpitudes !, l’exemple par
excellence de cette sidération ne se trouve-t-il pas en NSJC qui fut
accusé d’être subversif entre-autres, alors que c’est eux qui
avaient quitté la barque du Salut et s’étaient voués à
Luciabel, eux de la synagogue de Satan !
Pour :
à Luciabel, eux de la synagogue de Satan :
Les
idiots utiles à Luciabel s’offusquent de notredite violence !
Que
c’est amusant…!, l’on voit par-ci par-là, en parlant de notre
site qui ne veut que réannoncer la Loi d’Amour de notre Dieu de
toute Justice, sur des commentaires extérieurs : sur
ce site il faut y aller avec une sac à vomi,
– il existe la variante avec
un tube géant d’aspirine, – ou,
pire
que les musulmans, – ou bien avant
de parler de la violence de daech
l’on ferait bien de s’occuper de ce site génocidaire,
si si, rien que cela !, – etc.
À
ces efféminisés par leur Dieu Luciabel, à ces parfaits hypocrites,
nous conseillons absolument cette page de notre site qui n’a pris
aucune ride, bien au contraire, et qui est de loin la plus consultée
de notre site depuis le 7 octobre 2008 ce sans jamais faiblir ;
ils pourront alors remplir allégrement de leur sac à vomis
luciabéliens, et ! qu’ils n’oublient pas d’emporter aussi
leur tube géant d’aspirine :
Accessoirement
ils pourront poursuivre leurs éructations avec ceci :
Et,
à ce qui parlent justement de vomi, voici ce que le Seigneur Dieu
dit de ceux qui par mollesse et selon leur démangeaison du moment
sont mols en face de la Vérité, ce en ne niant donc point la Parole
de Dieu mais en disant qu’il faut vivre avec son temps, ou
l’interpréter : Je
connais tes œuvres, Je sais que tu n’es ni froid ni chaud. Ah !
que n’es-tu froid ou chaud ! Mais parce que tu es tiède, et
que tu n’es ni froid ni chaud, Je vais te vomir de ma bouche. (Jean
3, 15-16)
5.C.1.b - S’offusquer
d’une tricherie sur la marchandise, où hypocrisie…
Un
machin informe, pouvant passer pour une femelle, avec ses deux
baudruches dodelinant scandaleusement à l’avant et l’absence de
fente au pantalon, promotrice donc de la confusion des genres
(M/f), est au rayon fromage, et de s’esclaffer bien haut et à la
volée, disant ainsi sadite offuscation : les
menteurs, sur ce fromage en promotion il manque x grs par rapport à
l’ordinaire, il est plus cher au kg !
Pour :
avec ses deux baudruches dodelinant :
Parlant
d’habillement, nous parlons si bien du corps de la femme et de son
bel habillement, et prouvons ainsi que seuls nous respectons la femme
et la magnifions, en ce renvoi :
Voyez-vous ?,
ce n’est rien que l’histoire de ce monde voué à Luciabel,
mentir, tricher, voler !, gruger les autres tel est le mot
d’ordre de chaque personne !, mais interdit aux autres de vous
tromper !, alors comment pouvoir s’en sortir aux milieux ces
démons s’entre-dévorant !?, c’est simple, il suffit d’être
le plus féroce !, comment donc alors reprocher au champion de
ces démons d’avoir gagné : Nicholas Rockefeller ! Le
mot d’ordre de ce monde démoniaque n’est-il pas, partout et en
tout : Que
le plus habile des truands gagne !
Pour :
au champion de ces démons d’avoir gagné :
Pour :
Que
le plus habile des truands gagne :
Cette
femelle ne veut pas qu’on la trompe, mais elle peut tromper les
autres, et ne fait que de les tromper avec ses cheveux courts, son
pantalon, et son évidente et arrogante autonomie ! C’est du
reste comme en l’affaire des Moteurs truqués de Volkswagen,
le constructeur peut gruger des millions de personnes, mais qu’un
ouvrier vole quelques minutes pour faire une pose supplémentaire,
immédiatement le super voleur traîne en justice l’apprenti
voleur !, oui, qui
vole un œuf vole un bœuf !
Oui,
ladite libération de la femme est sa monstrueuse démangeaison ;
mais interdit aux autres d’avoir une démangeaison qui contrecarre
si peu que cela soit son état de révolte permanente !, les
gents maintenant sont des démons de la terre qui asseyent par tous
les moyens les plus tordus d’avoir le haut du panier, de
crabes-démons !
Pour :
femme est sa monstrueuse démangeaison :
5.D - Concluons
pour l’instant…
Bien-cher
Sieur Jacques, ce
document vient, nous l’espérons fort,
répondre au moins dans les grandes
lignes à vos
très légitimes
interrogations ;
il est certes perfectible.
Nous
devrons le relire une fois un peu reposés, et, sauf fautes
d’orthographe, si nous devions y apporter des corrections vous en
serez avertis par les commentaires…
Chers
Sieur Jacques et
Lecteurs, les Bons évidemment, nous vous
demandons de prier pour nous, sachant bien que vous êtes assurés de
nos ardentes prières pour vous !
Comme
annoncé, cher Sieur Jacques, depuis votre commentaire nous prions
nommément pour vous, soit en citant exactement votre nom, Jacques …,
tous les jours, et,
nous l’avons fait particulièrement lors de la lecture des messes
de la Nativité de NSJC !
Bien
à vous en Notre-Seigneur Jésus-Christ (NSJC) et Notre-Dame Marie !
Que
le Bon Dieu Vous bénisse tous,
Vous et tous les Vôtres !
Que
je sois ignoré ô Jésus-Christ !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Bonjour,
Je
viens de découvrir votre site depuis peu de temps et j'aimerais vous
poser quelques questions.
Vous
dîtes que les femmes doivent être soumises à leus époux.
Comment
faire si on a une épouse qui n'est pas obéissante pour la
soumettre?
J'aime
ma femme et je ne veux pas lui faire de mal et ne souhaite rien
d'autre que son bonheur.
Je
n'ai pas non plus envie d'installer un climat de "peur"
entre nous.
Et
si on décide de punir son épouse comment doit-on s'y prendre? C'est
à dire à partir de quelle gravité de désobéissance?
Quand
doit-on utiliser les punitions corporelles?
D'ailleurs,
si une femme demande l'autorisation à son époux de sortir et
l'époux lui ayant dit non elle insiste en disant "s'il te plaît
laisse moi y aller" est-ce une désobéissance.
Cordialement
Jacques
Cher
Sieur Jacques,
Merci
pour votre bon commentaire où vous nous marquez votre intérêt pour
ce que nous rapportons quant-à la Famille, au Mariage…
Nous
allons répondre bien chaleureusement à vos légitimes et utiles
questions, point par les commentaires où nous manquons de place et
où la présentation est bien décevante, mais en une page spéciale ;
ce, peut-être avant la Fête de la Nativité de Notre-Seigneur
Jésus-Christ, ou peu après, car voyez-vous, nous nous devons de
bien vous répondre dans le détail…
De
cette réponse vous en serez avertis, Lecteurs, par un commentaire en
cette même page, et vous cher Sieur Jacques particulièrement par un
message à votre adresse.
Dans
cette heureuse attente, de notre réponse, mais surtout de la
Nativité, veuillez être assurés de nos ardentes prières pour vous
tous, Cher Sieur Jacques et Lecteurs !
Que
le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres !
Pour
la Vérité,
Que
je sois ignoré ô Jésus-Christ !
QJSIOJC
♣
Nous venons d'ajouter un renvoi bien important, le paragraphe commence ainsi : Voir surtout : CN-2011-05
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJe vous remercie pour votre réponse.
Les renvois que vous avez donnés ont le mérite d’être claire et sans langue de bois.
« ce sachant toutefois qu’une désobéissance peut être synonyme de faiblesse ou d’accident, alors qu’une révolte est un acte tellement réfléchi qu’il est devenu un état fixe, comme définitif. »
Il est vrai que nous devons distinguer la « simple » erreur/maladresse de la révolte.
La révolte de la part de l’épouse nécessite une forte correction pour la soumettre.
La maladresse ou l’erreur mérite cependant elle aussi d’être corrigée.
Nous pourrions croire qu’une simple maladresse n’est « pas grave ».
Si une épouse par exemple oublie une casserole sur le feu, oublie de faire à manger quand son époux rentre car elle « n’a pas vu l’heure passer », elle a manqué à ses devoirs et mérite donc aussi d’être disciplinée car elle se doit d’être vigilante. Une inattention est déjà une faute.
Il est donc normal d’infliger une punition corporelle (comme une fessée) à une épouse qui commet une maladresse. La punition devant être évidement plus forte en cas de révolte et/ou insolence où l’on peut utiliser le fouet.
J’ai été agréablement surpris de voir que vous avez mis une référence cinématographique (« L’homme tranquille »). Dans le passé les films respectaient la Vérité. J’ai lu sur une autre page une référence sur le film « Au-delà du Missouri » qui me donnent envie de le voir.
J’aimerais vous poser quelques questions (sans vouloir abuser de votre temps).
-En ce qui concerne la devoir conjugal, l’épouse appartient à son époux et se doit de se donner à lui.
Mais l’époux aussi doit effectuer son devoir conjugal. Dans le cas où un homme refuse d’effectuer son devoir conjugal et où son épouse le lui demande, doit-il s’y plier sachant qu’en aucun cas l’homme ne doit obéissance à son épouse qui est sa servante ?
-En ce qui concerne les attentions conjugales :
C’est pour la satisfaction de l’homme que la femme a été créée, mais l’homme ne doit-il pas aussi des attentions conjugales, au-delà de l’utile discipline (comme l’affection, la tendresse, offrir des fleurs etc.) ?
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres !
Jacques
Cher Sieur Jacques,
SupprimerMerci du bon accueil que vous avez réservé à notre réponse qui se trouve en cette page, merci aussi d’en avoir accusé réception.
Pour les questions que vous nous posez, bien légitimement, comme précédemment, nous allons vous répondre sur une page particulière : RH-2016-01...
Veuillez seulement patienter un peu !
N’oubliez pas !, et que cettedite Église prétende ne nous chaut nullement, demain le 6 c’est l’Épiphanie (visite des trois Rois-Mages, fête fixe) et dimanche prochain, le 10, c’est la fête de la Très Sainte Famille (TSF, fête mobile), Joseph et Marie, et Jésus !
À ces deux fêtes nous prierons bien pour vous aussi lors de la lecture de la messe, et à la TSF nous prierons particulièrement pour l’Œuvre pour la Restauration de la Famille par l’Autorité ; de l’Époux, du Père (ŒRFAEP), et pour tous ceux qui visitent notre site, Bons en premiers, mais aussi pour les mauvais.
Dans l’attente de notre réponse, soyez assuré de nos prières, et, que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les vôtres.
Que je sois ignoré ô Jésus-Christ !
Pour la Vérité,
QJSIOJC
P.S.
Supprimer... Cher Sieur Jacques, comme à notre accoutumée, Vous serez averti de la publication de notre réponse par un commentaire en cette page et par un message à votre adresse...
Bien cher Ami QJSIOJC, en Notre Seigneur Jésus-Christ et Notre Dame, je viens de lire ce nouvel article en réponse à un commentaire, et il nous a plu !
RépondreSupprimerJ'ai par ailleurs remarqué qu'au chapitre 5.C.1.b, vous avez semble-t-il commis une erreur en utilisant le mot précurtrice. Je m'étais déjà posé la question, une fois, du féminin de précurseur, j'ai regardé sur le CNRTL et il n'y en a tout simplement pas.
Notez que le CNRTL met en première définition : 1. Homme, femme qui annonce et prépare la venue d'une autre personne. En partic., RELIG. Le Précurseur. Saint Jean-Baptiste, chargé d'annoncer la venue du Christ. [Le bourreau] tient par les cheveux hérissés droits la tête sanglante du Précurseur (Lorrain,Sens. et souv., 1895, p.312).
Alors que le mot est essentiellement masculin, puisque son origine vient de l'appellation de Saint Jean Baptiste, le dictionnaire l'applique aussi à la femme. Dans votre cas, ce qu'annonce cette femme c'est plutôt le malheur. Rien à voir avec un Saint Jean Baptiste, le Précurseur !
Ah !, comme dit l’expression, ‘Le petit coté des grands Hommes !’
RépondreSupprimerContent de vous revoir cher Sieur Luryio ; oui, Ami en Notre-Seigneur Jésus-Christ (NSJC) et Notre Dame !
Merci pour votre appréciation générale, et encore plus pour votre bonne ‘correction fraternelle’ ; que les autres commenteurs nous aident ainsi selon leurs moyens...
Vous avez bien raison, l’on dit précurseur (annoncer un bonheur, et en effet cela s’applique qu’à Saint Jean Batiste quant-à la venue de NSJC), et précurtrice ne peut ainsi exister. En plus, s’agissant de malheur (confusion des genres), vous avez bien raison en disant que ce terme est vraiment inapproprié !
Aussi, ce mot doublement erroné, ‘précurtrice’, a été remplacé par ‘promotrice’, ce qui donne donc maintenant : Un machin informe, pouvant passer pour une femelle, avec ses deux baudruches dodelinant scandaleusement à l’avant et l’absence de fente au pantalon, promotrice donc de la confusion des genres (M/f)...
Soyez encore une fois chaleureusement remercié ; et, sachez que nous prions tous les jours pour vous nommément, comme pour d’autres de ce site, et sans pouvoir les nommer pour tous...
Que le Bon Dieu vous bénisse, vous et tous les vôtres...
Que je sois ignoré ô Jésus-Christ,
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Chers Sieur Jacques, et Lecteurs,
RépondreSupprimerNous venons de publier la réponse annoncée ci-dessus :
Titre : RH-2016-01 - Cher Sieur Jacques, nouvelles réponses, et diverses considérations…
Lien : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2016/01/rh-2016-01-cher-sieur-jacques-nouvelles.html
Nous Vous souhaitons bonne lecture...
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres...
Que je sois ignoré ô Jésus-Christ !
Pour la Vérité,
QJSIOJC