Du :
02.02.2013. Version PDF.
Actualisé : mar. 2 déc. 2014,
12.38.
Table
de cette réponse, RH-2013-…
3
- Sieur Luryio, l’épouse
fidèle n’a pas de cas de Conscience ; la femme est le
problème, pas la solution !
3.A
- Sieur Luryio,
voici notre réponse annoncée.
3.A.1.a
- Devant
l’ampleur et la gravité du sujet.
3.A.1.b
- Rappel :
Au sujet de nos attaques véhémentes de l’Église catholique.
3.A.1.c
- Attention !,
réponse sans embarras !
3.B
- Première
préoccupation, conflit de Consciences.
3.B.1
- Qui est chef du
Christ ?, de l’Homme ?, de la femme ?
3.B.2
- Ce n’est pas
Dieu qui dirige la Conscience de l’épouse, mais l’Époux !
3.B.3
- Les
Ecclésiastiques de l’Église catholique, seuls responsables de
cette confusion.
3.B.3.a
- Les EÉc
inventeurs de la séparation des époux !
3.B.3.b
- Que veut dire
soumise, et surtout soumise en toutes choses ?
3.B.3.c
- Les EÉc,
inventeurs de l’Autorité entravée !, pour les Époux, mais
pas pour Eux !
3.B.3.d
- Et…, que
nous dit Saint Paul, en cas de Conscience de l’épouse ?
3.B.3.e
- Et…, que
nous dit, surtout !, Notre-Seigneur Jésus-Christ ?
3.B.4
- La Conscience de
la pauvrette, c’est son Époux !, ou Luciabel…
3.B.4.a
- Pourtant !,
l’épouse comme tout humain à une Conscience !?
3.B.5
- Le pervers de
prêtre voulant jouir… de la Direction spirituelle de l’épouse.
3.B.5.a
- Délire ?,
voici des échanges bien réels, mais non textuels :
3.B.5.b
- L’interrogation
de son Époux, est souvent provocation !
3.B.5.c
- Une gamme
d’interrogations légitimes et belles.
3.B.6
- Seul l’Époux
doit diriger en toutes choses Son épouse !
3.B.7
- La séparation
des époux est contre-nature, aussi !
3.B.7.a
- Où il est
nécessaire de considérer que les époux ne forment qu’un seul
corps !
3.B.7.b
- Un humain, une
chair animée par un esprit incorporé.
3.B.7.c
- Une personne
n’est pas forcément un esprit incorporée.
3.B.7.d
- Une personne,
une chair (corps), deux esprits ordonnés :
3.B.7.e
- Deux
personnes, une chair (corps), trois (ou plus) esprits ordonnés :
3.B.8
- Résumons,
concluons cette réponse à votre première préoccupation.
3.C
- Seconde
préoccupation, conflit d’Autorité.
3.C.1
- Résumons,
concluons cette réponse à votre seconde préoccupation.
3.D
- Troisième
préoccupation, rééduquer par les femmes !?
3.D.1.a
- La solution
serait la rééducation des femmes !
3.D.1.b
- La solution
est donc que l’on rééduque les Hommes !
3.D.1.c
- Les femmes ne
sont point un problème, c’est l’Homme qui L’est !
3.D.1.d
- Les femmes
peuvent éduquer rien que la toute petite enfance.
3.D.1.e
- Les garçons
et les filles, peuvent-ils avoir le même parcours intellectuel ?
3.D.1.f
- Donc
enseignement ni mixe, ni parallèle !
3.D.1.g
- Les études
comme entendues maintenant, corrompent-elles les filles ?
3.D.2
- Résumons,
concluons cette réponse à votre troisième préoccupation.
3.E
- Concluons, sauf
question(s), cette première partie de notre réponse.
3.F.1
- Commentaire de
Sieur Luryio.
3.A - Sieur
Luryio, voici notre réponse annoncée.
Publiée
en la Purification de la Bienheureuse Vierge Marie,
le samedi 2
février 2013,
cette réponse Lui est confiée.
Chers
Sieur Luryio, Chefs et futurs Chefs de Famille,
Nous
vous remercions encore, Sieur Luryio, pour votre commentaire en deux
parties, du 5 janvier, fort courtois comme tous les précédents,
nous le retranscrivons en annexe pour la facilité de nos Lecteurs ;
et, comme annoncé (voir aussi annexes), voici notre franche et
détaillée réponse.
Dans
votre commentaire, césuré du reste par vous, nous distinguons bien
deux parties. Nous allons répondre ici à la première partie, la
seconde fera l’objet d’une autre réponse.
Cette
première partie, par facilité, a été découpée par nous par
préoccupation, et titrée ainsi : première préoccupation,
seconde préoccupation, etc.
3.A.1.a - Devant
l’ampleur et la gravité du sujet.
Devant
l’ampleur et la gravité du sujet, bien que déjà traité dans les
grandes lignes en nos divers documents, nous avons dû être bien
précis, donc bien long…
Ce
document est sujet à corrections, et à être fluidifié ou précisé,
dans ces derniers cas, vous en serez avertis par les commentaires de
la page de publication.
Merci
pour votre attention, bonne lecture.
3.A.1.b - Rappel :
Au sujet de nos attaques véhémentes de l’Église catholique.
Nous
disons en tous nos documents, pour faire court, « Église
catholique », pour ne point avoir à dire chaque fois « les
membres du clergé de l’Église catholique, et ce du bas jusqu’en
haut », ou « tous les ecclésiastiques de l’Église
catholique ».
Et,
pour votre facilité, en voici la reprise :
DP-4K2a,
Pour commencer, rappelons que dans notre étude…
… lorsque
nous ‘attaquons’ l’Église catholique, c’est ses membres que
nous dénonçons, et non l’Église en Elle-même, car Elle ne peut
ni
se tromper ni nous tromper, comme nous le
rappelle l’Acte de Foi : Mon
Dieu je crois fermement toutes les vérités que Vous avez révélées
et que Vous nous enseigniez par
votre Église, parce que Vous ne pouvez ni Vous tromper, ni nous
tromper.
De
plus, aimant intensément l’Épouse de NSJC, la Très-Sainte Église
catholique, sachez que c’est avec douleur que nous dénonçons haut
et fort les turpitudes de l’écrasant grand nombre de ses membres.
Recherchez
en notre étude, principalement cloaques
d’impureté* et mauvais
prêtres*, loup*,
etc.
3.A.1.c - Attention !,
réponse sans embarras !
Nous
avez-vous déjà vu
vous parler avec une langue de bois ?
Vous
verrez, chers Sieur Luryio et Lecteurs, que comme à notre habitude
nous ne tournerons pas autour du pot, ce sera rien que des oui,
oui !, ou des non,
non !, car
ce qu’on y ajoute vient du mal !
(voir ensuite)
Lesdits
complexes, c’est une divagation insufflée par le Menteur en Chef,
Luciabel, et propagée comme un virus par les psy-machins, les
ennemis
de tous les Hommes,
comme les appelle Saint Paul.
Nous
n’avons pas de complexes, lucifériens donc, aussi nous vous
parlerons droitement !, donc en Vérité !
3.B - Première
préoccupation, conflit de Consciences.
Vous
nous écrivez : Toutefois,
si j’ai bien compris, la femme qui se doit d’obéir à son mari
et ce en toute chose n’a pas du tout le même devoir moral comparé
à un homme. Je m’explique, la femme est un être pourvu d’une
âme, quand bien même elle ne pense comme un homme, elle possède un
jugement moral, qui lui permet donc de discerner le Bien et le Mal et
normalement de distinguer le Bien du Mal.
Soit
résumé ainsi : La
femme devrait marcher contre ou sur sa Conscience, afin d’obéir
comme elle le doit à son Époux en toutes choses !
Vous
relevez un conflit de Conscience entre :
→ la
Conscience (bonne ou mauvaise) de l’épouse que Dieu éclaire comme
toute autre Conscience pour qu’elle puisse se déterminer au Bien
afin de fuir le mal.
→ la
Conscience (bonne ou mauvaise) de l’Époux que Dieu éclaire tout
de même, et qui Lui fait demander à son épouse (de faire) une
chose qui serait contraire à sa Conscience !
Or,
là est justement l’erreur !, c’est elle que nous allons
redémontrer maintenant.
Et
de fait, nous allons par là amorcer la réponse à votre seconde
préoccupation, les deux étant fortement interdépendantes.
3.B.1 - Qui
est chef du Christ ?, de l’Homme ?, de la femme ?
Définissons
plus profondément le mot Chef :
-- Chef :
II.− Personne qui est à la tête de quelque chose. A.−
Personne qui tient le premier rang.
Le
Chef est donc celui qui tient la première place, qui dirige tout ce
qui Le suit, tout ce qui est sous Son commandement, tout ce qui Lui
appartient donc !
Ainsi,
écoutons Saint Paul : Mais
je veux que vous sachiez que le Christ est le chef de tout homme, que
l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef du Christ.
Pour :
le Christ est le chef de tout homme :
Attention !,
le
Christ est le chef de tout homme, Mâle, et
donc point de la femme, femelle ! Nous extravaguons ?,
batifolons ?
Non !, nous élucubrons !,
nous sommes des élucubrateurs, voyez : CN-2008-11, La
volonté propre, notre pire ennemie ! ou… le paravent
derrière lequel s’avance le ‘non serviam !’
Reprenons
ainsi, comme en le renvoi ci-dessus :
→ La
Source, le Chef vers le sujet :
Dieu
le Père →
Le Christ →
l’Homme →
la femme.
→ La
finalité, le Ciel par la soumission :
La
femme →
l’Homme →
le Christ →
Dieu le Père.
3.B.2 - Ce
n’est pas Dieu qui dirige la Conscience de l’épouse, mais
l’Époux !
Qu’est-ce
que le chef (tête) de l’Homme ?
-- Chef,
subst. masc. : I.− Vx. Tête
(cf. couvre-chef). Elle aussi fixait des yeux hagards sur
les acteurs en branlant le chef (Musset, Le Temps,1831, p.
129).La couronne de France ne doit pas être sur le chef d’un
hérétique [l’avocat Copin au cardinal de Bourbon]
(Balzac, Œuvres diverses,t. 2, 1850, p. 524).
Le
corps humain est composé de différentes parties :
→ écrites
ainsi : De
haut en bas : la
tête,
le tronc, les membres supérieurs : les bras, les membres inférieurs
: les jambes.
→ réécrites
ainsi : De
haut en bas : le
chef,
le tronc, les membres supérieurs : les bras, les membres inférieurs
: les jambes. [notre cru]
Le
chef, la tête,
est le siège de
la raison, du commandement !, de
la Conscience. L’on dit prendre conscience de qqc, avoir
conscience de qqc, etc.
C’est
le chef, la tête qui commande au reste du corps, à tout le corps,
et même au cœur !
Ainsi,
si le cœur sous l’impulsion d’émotions trop fortes ou déplacées
s’emballe, le chef, la tête est là pour le ramener à une juste
émotion, lui imposer une discipline, le ramener à la raison…
Si
sous le coup d’une émotion déréglée, donc insufflée par
Luciabel*,
le cœur ouvre le porte-monnaie et donne tout à un poivrot qui tend
la main, et qu’à cause de cela le Chef de Famille n’a ensuite
plus rien à donner à Son épouse et Ses enfants, l’on dit
justement qu’Il déraisonne !, qu’Il est déraisonnable !
Pour :
le cœur ouvre le porte-monnaie :
C’est
du reste ce que fait ledit État de la France (les autres idem) qui
ouvre bien largement les portes (frontières) de la France aux
envahisseurs qui travaillent plus ou moins consciemment pour ‛eux’,
et qui pour nourrir (travail rémunéré, mais préféremment
assistanat) ceux-ci, arrache le pain (perte d’emploi ou travail
rémunéré outrageusement sous-payé et ponctionné) aux français !
Sauf
que cedit État ne le fait pas sous l’impulsion d’un cœur
déréglé, mais sous l’impulsion luciférienne qui lui commande de
détruire toute la France qui fut un jour très-chrétienne !
Ainsi
donc, comme nous l’avons suffisamment développé et redéveloppé,
la femme étant le cœur de son Époux, c’est au chef (tête) de
l’Époux de contenir le cœur-épouse dans de sages limites.
Pour :
femme étant le cœur de son Époux :
3.B.3 - Les
Ecclésiastiques de l’Église catholique, seuls responsables de
cette confusion.
Il
faut reconnaître que le lessivage fait principalement par les
Ecclésiastiques de l’Église catholique (EÉc) pour le compte de
Lucifer, et ce depuis bien bien avant ledit Vatican II, porte
malheureusement ses fruits mortifères en premier en la Famille !,
et conséquemment dans toutes nos sociétés !
3.B.3.a - Les
EÉc inventeurs de la séparation des époux !
Les
EÉc qui par exemple disent avoir Puissance pour :
→ séparer
les Époux parce que l’Époux serait dangereux pour l’Âme et/ou
le corps de son épouse ; et ce, quitte à l’y obliger si elle
balance à le faire !
→ permettre
à l’épouse de quitter son Époux, de s’en séparer donc :
validation d’une demande criminelle de l’épouse.
Pour :
l’y obliger si elle balance à le faire :
Voici
un exemple particulièrement caractéristique de l’hypocrisie
ébouriffante de ces EÉc, ils disent notamment que : la
femme doit obéir en toutes choses, sauf
bien entendu,
le cas où le mari lui demanderait des choses que sa conscience à
elle lui interdit !
Pour :
obéir en toutes choses, sauf bien entendu :
Alors
qu’absolument rien ne permet ou ne peut permettre la séparation
des époux, séparation dont seule l’épouse est à 100%
responsable, soit 80% directement et 20% par instigations, comme nous
le répétons constamment.
Inséparabilité
absolue de l’épouse de son Époux :
→ NSJC,
selon Saint Marc :
Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare donc pas.
→ NSJC,
selon Saint Matthieu :
Que
l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Et
en cas où une démangeaison*
vous prendrait :
→ NSJC,
selon Saint Matthieu :
Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal.
3.B.3.b - Que
veut dire soumise,
et surtout soumise
en toutes choses ?
Voici
ce que Saint Paul rappelle aux Époux (Maris) : Que
les femmes soient soumises
à leurs maris, comme au Seigneur ; car le mari est le chef de
la femme, comme le Christ est le chef de l’Église, qui est Son
corps, et dont Il est le Sauveur. Or,
de même que l’Église est soumise au Christ, de même aussi les
femmes doivent être soumises
à leurs maris en
toutes choses.
Pour
être soumise, la femme doit se soumettre, n’est-ce pas ?, ou
bien être soumise de force !
-- Soumettre :
2. Présenter à l’avis, au jugement, à la décision (de
quelqu’un dont on reconnaît l’autorité).
Ainsi
donc, la soumission ce n’est pas que plier devant une Autorité !,
chose que l’on croit communément par pernicieuse erreur, mais
c’est soumettre ce que l’on pense ou pense faire, c’est la
disposition que l’on attend de l’épouse qui la pousse à tout
présenter
à l’avis, au jugement, à la décision de
son Époux afin de connaître sûrement ce qu’elle doit penser ou
faire !
La
vraie et saine et sainte soumission :
→ n’est
pas passive, ou fuyante : j’attends
le commandement de l’Autorité !,
→ mais
active, ou solliciteuse : mon
Époux, je viens vous demander respectueusement ce que je dois penser
ou en penser, ce que je dois faire ou en faire !
Si
l’épouse considère que l’absence :
→ d’interdiction
de faire une chose (Je
ne veux pas que !) est la permission de
la faire, par ex. aller papoter avec les voisines sous prétexte que
son Époux ne l’aurait pas encore interdit ;
→ d’une
obligation de faire une chose (Je
veux que !) est la permission de ne pas
la faire, par ex. repriser les chaussettes de son Époux qui ne lui
aurait pas encore commandé ;
… elle
pèche gravement, soit
mortellement !
Pour :
elle pèche gravement, soit mortellement :
Ne
pas être soumise, c’est aussi ne pas demander le commandement,
c’est donc désobéir mortellement !
L’être
soumis recherche aimablement cette soumission !
Ne
pas rechercher cette soumission, est révolte :
→ quelles
souffrances pour l’Époux ! qui devrait passer son temps à
dire je
ne veux pas que !, ou je
veux que !, etc.
→ quel
délice qu’une femme qui attend tout de son Époux : – que
désirez-vous de moi ?, – que
pensez-vous de moi ?, – qu’attendez-vous
de moi ?, – que
dois-je faire pour vous satisfaire ?,
etc.
Être
soumise, se soumettre, c’est demander de se faire diriger en
toutes choses : les
femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses,
rappelait Saint Paul aux Époux !
Combien
de criminelles épouses disent (on parle là d’épouses encore
quelque peu traditionnelles, alors, pesez donc les autres !) :
→ Mon
Époux ne m’a pas commandé de repriser ses chaussettes, je ne suis
donc pas obligée de le faire !
→ Mon
Époux ne m’a pas interdit d’aller commérer avec les voisines,
ainsi donc je puis le faire !
Pauvresses !,
quelles criminelles !, quelles révoltées !
L’on
va en enfer pour avoir très mal fait (péché mortel) !, c’est
entendu ! ; mais aussi pour ne point avoir demandé à son
Époux ce que l’on doit faire ou penser !, ce qui est une
façon particulièrement malicieuse, vicieuse de désobéir !
Si
l’épouse désobéit frontalement (je
ne veux pas obéir !), ou indirectement
en fuyant l’ordre (Ouf !,
il ne me l’a pas commandé !), elle
pèche mortellement !, c’est ce que confirme Saint Alphonse de
Liguori :…
que les femmes sachent bien que toutes les fois qu’elles
désobéissent [frontalement ou
indirectement] à
leurs maris elles commettent un péché mortel.
Pour :
elles commettent un péché mortel :
Reprenons :
Être soumise
en toutes choses :
→ Ne
veut pas dire plier devant un diktat, mais rechercher la Direction
(Autorité) de son Époux en
toutes choses, soit demander le conseil et la
permission pour tout ou en tout !
→ C’est
la recherche de l’ordre (commandement), la sollicitation de
l’ordre : commandez !,
et, Vous serez bellement obéi !
Si
une épouse attend l’ordre dans l’espoir d’échapper à son
devoir de soumission, de se soumettre, elle est de fait révoltée !
Ce
qui fit dire à Pie XII : Ne
vous contentez pas d’accepter et presque de subir l’autorité de
votre époux à qui Dieu vous a soumises par les dispositions de la
nature et de la grâce. Dans votre sincère soumission, vous devez
aimer l’autorité de votre mari, l’aimer avec l’amour
respectueux que vous portez à l’autorité même de Notre-Seigneur,
de qui descend tout pouvoir de chef.
Pour :
Ce qui fit dire à Pie XII :
Ici
Pie XII pèche gravement, en effet en s’adressant directement à la
femme, Il viole l’Autorité de son Chef (Père ou Frère, Époux ou
Fils, etc.) comme la suite va copieusement nous le confirmer et comme
nous l’avons déjà copieusement dénoncé ! Il aurait dû
dire : Époux !,
dites à Vos épouses : Ne
vous contentez pas d’accepter et presque de subir l’autorité de
votre époux…
Pour :
[NSJC] de qui descend tout pouvoir de chef :
Remarquez
que, et il ne s’agit nullement d’ergotage, mais de Vérité !,
Pie XII divague carrément en plusieurs parties de son texte, en
effet il dit, et relisons ce passage : l’aimer
[l’Époux] avec
l’amour respectueux que vous portez à l’autorité même de
Notre-Seigneur, de qui descend tout pouvoir de chef,
comme nous venons de le lire !
Ici,
ce Pie XII fait trois gravissimes erreurs rien qu’en ce tout petit
membre de phrase, regardez bien avec nous :
1- Amour :
L’épouse ne peut porter d’amour à [l’Autorité de] NSJC !,
en effet, elle ne peut porter d’amour qu’à son Époux !,
Pie XII insère ici le vicieux dit cas de Conscience que nous sommes
entrain d’étudier : dois-je
préférer NS à mon Époux ?, bande de
tordus d’EÉc !
2- Autorité :
et ceci est le prolongement du point précédent, comment peut-elle,
l’épouse, porter amour à une Autorité dont elle ne dépend
nullement ! Pie XII place ici vicieusement, pervers d’EÉc, un
tiraillement mortifère, criminel entre :
A- un
amour illégal, adultérin donc !, à une non-Autorité de NSJC
en ce cas là.
B- et
l’amour qu’elle doit porter impérativement et de Volonté divine
qu’à l’Autorité de son Époux : l’homme
n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause
de l’homme ; et c’est
pour la consolation [satisfaction] de
l’homme que la femme a été formée (voir
ensuite).
3- Chef :
puis ce Pie XII dit : de
qui [NSJC] descend tout pouvoir de chef !,
ce qui est absolument faux, de qui descend tout pouvoir de Chef ?,
de Dieu le Père ! comme nous avons vu plus haut : le
Christ est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la
femme, et que Dieu
est le chef du Christ !
Pas
étonnant qu’ensuite, dans la foulée d’élections de tant de
crapules en chefs, cesdits Papes, l’on ait fini par sortir du
chapeau du Malicieux en chef cette brochette de tordus :
J-XXIII, P-VI, JP-I, JP-II, B-XVI !
3.B.3.c - Les
EÉc, inventeurs de l’Autorité entravée !, pour les Époux,
mais pas pour Eux !
Pour :
pour les Époux, mais pas pour Eux :
Que
veut dire le sauf
bien entendu, le cas où…, que nous avons
vu plus haut ?
Nous
rappelons la duplicité incroyable, parce qu’apparemment anodine,
des EÉc bien visible en ce texte :…
la femme doit obéir en toutes choses, sauf
bien entendu, le cas où
le mari lui demanderait des choses que sa conscience à elle lui
interdit !
Pour :
obéir en toutes choses, sauf bien entendu :
Les
épouses doivent être soumises
à leurs maris en toutes choses
comme le rappelle Saint Paul, Oui,
oui ; Non, non ; car ce qu’on y ajoute vient du mal,
comme le dit Notre-Seigneur Jésus-Christ (NSJC) !
De
dire que la
femme doit obéir en toutes choses, sauf !,
est bien dire oui,
mais non !, donc de dire sauf,
vient du mal, du Malin, de Luciabel ;
ainsi donc ces pervers de prêtres, ces cloaques
d’impureté* parlent par et pour le Malin !
Il
aurait été plus direct et plus simple de dire carrément que
l’épouse doit être soumise au prêtre en toutes choses, et
qu’elle doit donc obéissance au prêtre et qu’au prêtre qui
doit diriger, éclairer sa Conscience !, en effet, la coup du
sauf
bien entendu fourgué à l’épouse est le
message subliminal lancé à l’épouse : venez…,
venez petite pauvresse sans tête que je vous susurre du fond du
confessionnal, d’où prudemment je ne laisserai pas sortir m’a
queue fourchu (Luciabel),
l’éclairage de votre Conscience.
3.B.3.d - Et…,
que nous dit Saint Paul, en cas de Conscience de l’épouse ?
Vous
voulez vraiment pas voir, bien qu’ayant des yeux pour voir et donc
pour discerner le Bien du mal, l’hypocrisie absolument
époustouflante de ces EÉc ?
Pour :
bien qu’ayant des yeux pour voir :
NSJC :
…
en eux s’accomplit la prophétie d’Isaïe, qui dit : Vous
entendrez de vos oreilles, et vous ne comprendrez pas ; vous
regarderez de vos yeux, et vous ne verrez pas.
Vous
vous rappelez le : la
femme doit obéir en toutes choses, sauf
bien entendu,
le cas où le mari lui demanderait des choses que sa
conscience à elle lui interdit !
C’est,
nous vous le rappelons, ce que disent les EÉc !, alors que
Saint Paul disait : obéir
en toutes choses !, et ce sans rien
ajouter !, n’est-ce pas !
Mais
pour maintenir leur main profanatrice sur le Sacrement de Mariage,
les EÉc, véritables cloaques
d’impureté*, avaient besoin de glisser une
mine, comme un défaut dans les fondations sacrées de la Famille ! ;
et, c’est là qu’Ils eurent (Concile de Trente) l’idée
malicieuse de capter le Sacrement de Mariage en disant mensongèrement
que c’est NSJC qui L’a institué, et qu’Il appartiendrait donc
à l’Église catholique, ce qui permit ensuite à ces EÉc de
glisser la mine : sauf
bien entendu !
Pour :
idée géniale de capter le Sacrement de :
Nous
rappelons ces textes déjà vus plus haut :
- Que
les femmes soient soumises
à leurs maris, de Saint Paul.
-La
femme doit obéir en toutes choses, sauf bien entendu,
soit le texte de Saint Paul revu et corrigé, donc trafiqué par les
EÉc !
- Que
votre langage soit : Oui, oui ; Non, non ; car ce
qu’on y ajoute vient du mal,
de NSJC.
Cette
idée géniale, le sauf,
vient évidemment de Lucifer !, le génie du mal !, en
effet : les épouses, doivent-elles êtres soumises
à leurs Époux en
toutes choses ?, oui,
oui ?, ou non,
non ?
Ainsi
donc ayant ajouté, et seul ce mot nous suffit amplement, le sauf,
ils, ces EÉc, ces cloaques
d’impureté, ont fait le mal en plaçant
savamment une sape, une mine, cette bombe à retardement, juste
derrière le obéir
en toutes choses : le sauf !
Oui !,
les EÉc ce
qu’on y ajoute vient du mal !
Bien !,
et supposons, ce uniquement pour vous montrer combien vous êtes
criminels les EÉc, supposons que l’épouse ait undit cas de
Conscience, que nous dit Saint Paul balayant magistralement votre
sauf
très hypocrite, lisez, pervers, lisez bien avec nous : Si
elles veulent s’instruire sur quelque chose, qu’elles interrogent
leurs maris à la maison !
Donc,
devant obéir
en toutes choses à son Epoux, et ce sans
sauf !,
si obstinément, la pauvresse se posait undit cas de Conscience,
Saint Paul rappelle que Si
elles veulent s’instruire sur quelque chose, qu’elles interrogent
leurs maris à la maison !,
donc pas à l’Église, conformément à ce que disent ces deux
textes :
→ St
Paul fait une affirmation générale : la
femme est subordonnée à l’homme en particulier dans
l’enseignement et non seulement à la hiérarchie. Et même
dans l’épître aux Corinthiens : « que les femmes se
taisent dans les assemblées ». Et pourquoi ? « Car
il ne leur est pas permis d’y prendre la parole ; mais
qu’elles se tiennent dans la soumission, comme le dit aussi la
loi ». Soumises à qui ?
Peut-être seulement à 1’Église
hiérarchique, à 1’Église enseignante ? Non :
« si elles veulent s’instruire sur quelque point »,
poursuit St Paul, « qu’elles interrogent leurs maris à la
maison.
→ N’obéissez
pas à l’abbé Rigaud, au prêtre, je n’ai aucune autorité sur
vous ! […] Le prêtre n’a pas de compétence pour donner des
conseils dans le choix d’un devoir d’état [ou sur quoi que ce
soit d’autre !]…
3.B.3.e - Et…,
que nous dit, surtout !, Notre-Seigneur Jésus-Christ ?
C’est
exactement comme avec vos crimes contre l’Esprit
qui tient unies toutes choses
(voir ensuite), votredite permission de se séparer de corps,
séparation-divorce comme nous disons couramment, si…, et peu
importe la raison féministe évoquée !
Crapules,
pervers !, cloaques
d’impureté* !,
si c’est sauf
bien entendu, le cas où
le mari lui demanderait des choses que sa conscience à elle lui
interdit ; que
doit faire ensuite l’épouse ?, son Époux maintenant Sa
Disposition, divine que vous l’admettiez ou pas ?, ben, c’est
vous qui lui dite : quittez
votre Époux qui vous entraîne
au mal, lui ajoutez-vous !, séparez-vous de Lui !
Bande
d’hypocrites, comment cela va finir ?, ayant glissé
malicieusement à l’épouse, par votre sauf
bien entendu, le cas où le mari lui demanderait des choses que sa
conscience à elle lui interdit !,
qu’elle doit donc résister à son Époux, sachant que de l’autre
côté l’Époux a son devoir de discipliner cette épouse revêche,
ce conformément à ce que dit notamment le Concile de Trente ?,
cela va finir par une magistrale raclée de l’Époux à l’épouse !
Ce n’est même pas la peine que nous vous disions :
rendez-vous
compte des conséquences de votre criminelle irresponsabilité !,
ayant fait le péché contre l’Esprit
qui tient unies toutes choses, vous ne
voudrez jamais avouer vos crimes !
Pour :
ce que dit notamment le Concile de Trente :
Enfin
il
doit régler
sa famille, corriger
et former
les mœurs de
tous ceux
qui la composent, et contenir
chacun dans son devoir.
Bien,
alors, l’épouse rossée ou corrigée quitte son Époux à cause de
votre criminel sauf
et à cause de votredite permission de se séparer !, or, qu’a
dit NSJC au sujet de la séparation :
→ NSJC,
selon Saint Marc :
Ce
que Dieu a uni, que l’homme ne le sépare donc pas.
→ NSJC,
selon Saint Matthieu :
Que
l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Mais
bien sûr, allez-vous encore ergoter, il faut interpréter,
interpréter comme l’autre pervers d’abbé Hervé Courcelle
Labrousse, interpréter la Parole de NSJC !
Pour :
pervers d’abbé Hervé Courcelle Labrousse :
Lisez
donc ces deux articles, vous verrez un vrai pervers en pleine
action !
Pervers
d’EÉc !, selon NSJC, peut-elle se séparer, oui,
oui ?, ou non,
non ?
Ainsi
donc, ayant ajouté qu’en
cas où…, et peu importe la chose, et même
pour un soi-disant danger pour son Âme : qu’elle
peut se séparer ; ces EÉc, ces
cloaques
d’impureté, ont fait le mal en s’opposant
à ce qu’a formellement dit NSJC : Que
l’homme ne sépare donc pas ce que Dieu a uni.
Mais
vicieux comme vous êtes, peut-être allez-vous dire, là
il s’agit de l’homme
laïc, mais pas d’EÉc, de l’Église qui Elle le peut !,
vicelards !, ce
qu’on y ajoute vient du mal !
Pas
même Dieu peut séparer les époux !
3.B.4 - La
Conscience de la pauvrette, c’est son Époux !, ou Luciabel…
Nous
avons bien vu que c’est le chef (tête) qui guide, canalise,
discipline tout le corps et plus particulièrement le cœur !
Nous
avons pareillement vu en notre étude, et allons encore le revoir
ensuite, que la femme est l’épouse-cœur d’un même et unique
corps, corps de son Époux ; et qu’ainsi donc, l’Époux
étant le Chef (sa tête) de l’épouse, Il est son dompteur, Le
canalisateur de cette épouse-cœur !
Bien
que totalement et littéralement impossible, ceci étant déjà les
prémices d’une révolte, supposons que l’épouse ait un état
d’Âme qui la ferait différer d’avec la Conscience de son Époux,
alors, à qui doit-elle demander conseil ?, étant de par nature
totalement incapable de se déterminer ?
La
nature a horreur de vide !, si ce n’est pas l’Époux qui
dirige Son épouse, c’est donc Lucifer qui la dirige par un de ses
suppôts : prêtre, voisine, téloche, magasine, etc.
Soit
elle est possédée sainement au Nom de Dieu par son Époux !,
soit elle est possédée infernalement par un ou des suppôts du
Prince des ténèbres !
Dirigée
ou manipulée, là est son choix, sa détermination !
Ainsi
vous pouvez vous rendre compte de l’erreur, Sieur Luryio, en ce que
vous écrivez : …
elle ne pense comme un homme, elle possède un jugement moral,
c’est absolument faux !
La
femme ne possède
pas de jugement
moral, parce que ne pensant pas comme un
Homme, elle ne peut pas juger dans le sens où vous l’entendez !,
elle pense et juge que par l’Homme, son unique et infrangible
référant, Père ou Frère, Époux ou Fils, etc., afin de savoir si
ce qu’elle fait, pense, etc. correspond à ce que son Homme lui a
demandé de faire, penser, etc.
Pour :
comme un Homme, elle ne peut pas juger :
Notre
Légitime
Contradicteur* nous a souvent confirmé
ainsi : Elles
ne pensent pas !, elles ne font que restituer assez passablement
une pensée, ce qui s’est imposée légitimement ou illégitimement
à elles !
Des
fois, lorsqu’Il était agacé par l’incroyable prétention de ces
femelles, Il disait : ce
n’est que des bandes magnétiques !, aucun raisonnement, et
très médiocre restitution !, elles ne font qui tirer mes
classes vers le bas !
Pour :
Notre Légitime Contradicteur :
Notre
Légitime
Contradicteur était Professeur dans des
hautes écoles (HEC) en France et dans d’autres pays, pour des
personnes bac +5 et plus, Il avait 70% d’Hommes et 30% de
prétentieuses, véritables
roulures de caisses, invendues et invendables
selon Lui…
Pour :
ce n’est que des bandes magnétiques :
De
plus, lorsque la bande magnétique du type 30 mn arrive en fin de
course, automatiquement l’enregistrement se poursuit après
rembobinage !, ce qui revient à oblitérer un enregistrement
par un autre !, ou, comme l’on dit : Une
idée en pousse une autre !, à la
porte.
Le
elles
ne pensent pas nous est étonnamment confirmé
par ce texte très sain qui est à
bien lire entièrement, il est d’une bonne femme !,
donc crédible par là, de Gina Lombroso :
L’égoïsme
est l’épine dorsale de la vie ; les heureux mortels
qui en sont doués, qui peuvent se régler sur leurs
émotions, ont au dedans d’eux un point fixe sur
lequel ils peuvent articuler leurs actions à leur propre
avantage, sur lequel ils peuvent les coordonner.
L’égoïsme
est un phare qui éclaire lumineusement sa
propre route ; l’homme
qui le possède n’a besoin de
personne pour arriver au but qu’il s’est fixé plus ou
moins consciemment, il n’a pas besoin d’aide, il n’a pas besoin
d’appui, il
sait où il va, il peut y aller seul, la
femme ne le peut pas ; la
femme qui est
altérocentriste a besoin
des autres, non seulement pour les aimer et en être aimée,
mais pour être dirigée par eux.
L’altérocentriste est comme une plante grimpante
qui aspire à couvrir de verdure et de fleurs le
pieu desséché, le mur froid, auprès duquel elle se trouve,
mais qui meurt si elle ne trouve pas ce tronc
aride où s’appuyer, cette muraille inerte où accrocher ses
radicelles.
La
femme est privée de cette épine dorsale que l’égoïsme fournit à
l’homme ; elle est privée
de la direction fournie par les émotions personnelles :
telle est
la cause pour laquelle elle a besoin de lui ;
elle a besoin de ce point fixe qui
échappe à l’agitation continuelle
à laquelle elle est elle-même en proie, qui l’empêche
de tourner à tous les vents
où se disperseraient
ses forces. Elle
a besoin d’une énergie qui concentre
son ardeur et la dirige dans une direction donnée.
On
prétend que cette soif d’appui est due à une moindre
intelligence, à une éducation défectueuse. Non,
l’éducation
la plus soignée n’affaiblit pas chez la
femme ce besoin d’appui :
il croît au contraire avec le
développement de son intelligence, avec la multiplication
des idées qui l’enveloppent dans un tourbillon de
sensations, d’observations dont elle ne comprend pas la raison,
dont elle ne connaît pas la portée, dont
elle ne sait pas tirer parti. […]
(« La dépendance de la femme » pg 42-43)
L’incertitude,
la sensation d’égarement que la femme éprouve à la pensée
d’être seule, son besoin d’un homme qui la dirige et la
soutienne, sont la raison de l’humilité, de l’admiration
sans bornes que la femme est disposée à professer pour l’homme
qu’elle considère instinctivement comme son protecteur :
humilité et admiration qui attirent si fortement l’homme vers
elle. L’homme, en effet, qui a un égoïsme suffisant pour diriger
la femme en même temps que lui-même, est très flatté de cette
preuve de sa supériorité qu’elle lui donne et en fait volontiers
usage à son profit. (« Les énigmes de l’âme de la femme »
pg 151)
Pour :
L’égoïsme
est l’épine dorsale :
Cette
femme, Gina Lombroso, parle au début de cet extrait d’un ‘égoïsme’
qui est une qualité et non péché grave, qui permet à l’Homme de
se dépenser pour son foyer, et donc pour Lui-même, la femme ayant
été créée (engendrée) pour Lui (Saint Paul, et voyez DP-05,
Restaurer
l’Homme, l’Époux, le Père, sa Puissance
(I) ; point 5.C.1,
La femme n’est que pour son époux, et non pour les enfants.))
Elle
parle de l’égoïsme comme Dom de Mauléon parle de la colère :
Considérée
en soi, la colère cependant n’est pas chose mauvaise : c’est
une passion de l’âme, au même titre que la crainte ou l’amour.
Elle a été donnée à l’homme pour surmonter les obstacles qui
l’empêchent d’atteindre sa véritable fin, pour lutter contre
les tentations et les mauvais penchants, pour réprimer le désordre,
pour venger les injures faites à Dieu. Lorsqu’elle agit en ce
sens, lorsqu’elle tend à satisfaire la justice et à rétablir
l’ordre violé, lorsqu’elle s’exerce sur de vrais coupables et
sans sortir des bornes marquées par la raison, elle est légitime,
elle peut même se traduire en actes de vertu. Aussi voyons-nous le
Saint-Esprit, par la bouche du Psalmiste, faire aux hommes une
obligation de se mettre en colère contre leurs défauts :
Irascimini, leur dit-il, et nolite peccare [Ps. IV, 5]. De même,
ceux qui détiennent le pouvoir ou qui ont à exercer quelque
autorité doivent s’irriter contre les négligences et les
manquements de leurs sujets. L’Écriture leur donne en exemple les
colères de Moïse contre les désobéissances d’Israël, celle de
Notre-Seigneur quand il chassa les vendeurs du temple, celles de Dieu
contre les égarements et les débordements de son peuple. Mais ce
sont là des colères de colombe [Jer. XXV, 38], des irritations dans
lesquelles il n’y a pas l’ombre de fiel ou d’amertume, des
colères inspirées par une vraie charité et non par quelque
blessure de l’amour-propre, des colères dans lesquelles la
passion, « tenant, dit Aristote, le rôle de soldat et non
celui de chef », demeure constamment soumise à l’empire de
la raison.
Contenir
sa colère, « Les instrument de la perfection – 1936 - Dom
Jean de Mauléon », réf. page 695.
La
femme ne peut qu’être ou dirigée ou manipulée :
→ ou
soit dirigée par son Maître légitime du moment : Père ou
Frère, Époux ou Fils, ou Tuteur, etc.
→ ou
soit manipulée, ensemencée par le maître illégitime du moment, le
travaillant pour Luciabel :
chez lesdits catholiques, le pervers de prêtre, le cloaque
d’impureté, appelé
du reste tout-à-fait illégalement, comme nous allons encore le voir
ensuite, Directeur de Conscience ; ou pour
les autres, ‛eux’ par leur téloches et leurs publications
diverses.
L’abject
Jacques Audiard, le travaillant pour le gouvernement à la solde de
‛eux’, a fait une vidéo
matraquage (propagande) pour se moquer de la saine et souvent sainte
domination de l’Époux sur son épouse. Ce pervers montre cet Époux
(voir ci-contre, extrait de cette vidéo), sainement inquiet de la
Direction de Sa femme, comme un tyran !, il, l’abject Jacques
Audiard, à la demande de la non moins perverse Valérie Létard, Le
montre tenant par l’épaule son épouse qui est devant Lui !
Pour :
Direction de sa femme, comme un tyran :
Quoi
de plus normal ?, qu’Il commande à Sa femme de marcher comme
Il le veut : Ma
chérie, je suis ton Protecteur de Droit divin, ne regarde pas à
droite ni à gauche, ne te retourne pas, baisse un peu les yeux !
Pour :
pas à droite ni à gauche, ne te retourne pas :
Ceci
ne vous rappelle-t-il pas notre gravure de Luciabel
tenant par l’épaule la femme devant Lui pour la piloter ?,
nous la remettons ci-contre pour mémoire, ou pour les nouveaux
Lecteurs.
Pour :
rappelle-t-il pas notre gravure de Luciabel :
Ainsi,
ces deux images illustrent bien que c’est :
→ ou
légitimement [première image], bien que très scandaleusement
moqué !, que la femme est guidée par son Maître du moment :
Père ou Frère, Époux ou Fils, etc.
→ ou
illégitimement [seconde image] que la femme est guidée par son
souteneur du moment, le travaillant pour Luciabel !
3.B.4.a - Pourtant !,
l’épouse comme tout humain à une Conscience !?
Oui !,
comme toute femme, l’épouse a une Conscience ordonnée !, non
comme Celle de l’Époux qui comme tout Homme ambrasse toute
l’étendue de tous les problèmes matrimoniaux (et de toutes les
autres sociétés), mais pour savoir uniquement si ce qu’elle fait,
demande ou
réalise
correspond exactement à la Volonté en
toutes choses de son Maître et Seigneur, son
Époux !
Comme
vient de nous le confirmer cette brave et bonne Gina Lombroso :
La femme est totalement et
dramatiquement incapable de raisonner, de se décider, de s’orienter,
de gérer : L’incertitude,
la sensation d’égarement que la femme éprouve à la pensée
d’être seule, son besoin d’un homme qui la dirige et la
soutienne.
Le
pervers, le criminel, ce n’est pas l’Époux qui tient la bride de
Son épouse, et si moqué grossièrement par l’abject d
soit
manipulée, ensemencée par le
e Jacques
Audiard, mais l’Époux, comme les autres Hommes, qui disent libérer
la femme, ou qui applaudissent à sadite libération, soit son
véritable et infernal enchaînement !
Le
crime de ladite libération de la femme est de lui, en effet même
cela elle ne le pouvait le faire d’elle-même !, avoir enlevé
cette épine
dorsale (bride) sans laquelle elle ne peut ni
se tenir et ni rien mettre debout : La
femme est privée de cette épine dorsale.
Pour :
laquelle elle ne peut rien mettre debout :
-- Debout :
c) Loc. verbales
− [Debout
est attribut du suj.; le suj. de la loc. désigne un inanimé abstr.
: vue de l’esprit, propos tenus ou rapportés par qqn] Tenir
debout. Être acceptable,
cohérent, sérieux. J’avais beau compter sur mes doigts,
pas un de ces vers ne semblait tenir debout (Green, Journal,1933,
p. 135).Le plus souvent sous la forme négative. Ne pas
tenir debout. Manquer de
vraisemblance, de logique, de sérieux ou de réalisme. Ton
histoire ne tient pas debout (Achard, J. de la Lune,1929,
III, 3, p. 27).Ça ne tenait pas debout comme accusation
(Céline, Voyage,1932, p. 575).
− [Debout
est attribut de l’obj.; le suj. de la loc. désigne une
pers.] Mettre, tenir
debout. Organiser,
mettre sur pied.
Pour :
même cela elle ne le pouvait d’elle-même :
La
femme n’ayant essentiellement aucune Puissance d’aucun ordre, ne
pouvait pas se libérer (comme l’on dit maintenant) d’elle-même !
Sinon,
comment cela se fait-il qu’il ait fallu plus de 6’000 ans
(création) pour, et ce sans prémices comme spontanément, se
libérer !
C’est
des Hommes vicieux, suppôts de Satan, qui lui mirent malicieusement
cette idée démoniaque en tête afin de pouvoir ensuite la manipuler
à leur mortifère guise !
La
criminelle dite libération de la femme,
est un délit d’abus de
faiblesse envers elle !
Sous un Prince de Droit cela relève
des Assises !
Et
la faute en revient donc, après Adam, à leurs Hommes (Pères ou
Frères, Époux ou Fils), qui les laissèrent batifoler et
s’approcher, pour l’écouter et le suivre, du Pipeauteur*,
en chef, assassins des corps et des Âmes : Lucifer, ou Luciabel
selon votre choix !
Un
Époux qui débride son épouse,
commet un crime de
non-assistance
à femme en danger d’égarement !
Vous
devez absolument lire au moins ceci :
La
femme est tout à fait incapable de prendre une orientation physique,
intellectuelle ou morale et de plus de s’y fixer ! ; elle
n’est que capable, grâce à sa Conscience, de savoir si ce qu’elle
fait correspond à l’ordre reçu et plaît à son Roy, son Époux
(le soldat se détermine bien courageusement selon la volonté de son
Prince, pour Lui plaire) !
Pour :
femme est tout à fait incapable de prendre :
La
femme est congénitalement incapable de s’orienter dans l’espace
et le temps !, et en cas de choix ou d’alternative, elle est
tout aussi incapable de se déterminer, et pire, de s’y fixer
ensuite, elle est dramatiquement indécise et inconstante !
Ne
dit-on pas qu’elle n’a pas le sens de l’orientation ?,
qu’elle est indécise et inconstante, que c’est une girouette ?
C’est
pour cela que son Maître du moment, son Père ou son Frère, son
Époux ou son Fils, doit l’orienter et l’y maintenir très
fermement, ce soit par la raisonnable persuasion ou par la force !
De
nous traiter de misogynes ne changera malheureusement rien à ce qui
est visible au premier regard ; et si l’on n’est obstinément
pas en accord avec la Vérité, alors il faut s’empresser de
contester ceci auprès de ladite dame nature pour lesdits incroyants
et pour lesdits croyants auprès du Seigneur Dieu !
Les
vrais croyants, eux, savent que c’est le Bon Dieu qui dans son
infini Amour et Sagesse voulu ceci ainsi : la femme doit avoir
un infrangible référant de qui elle découle du reste et qui de
Droit divin organise et doit de Volonté divine organiser tout pour
elle !
Toutes
les idéologies révolutionnaires, et donc d’inspiration
Luciabélienne*,
ne changeront jamais ces dispositions de notre Dieu d’Amour, ce
sont des faits que la sagesse populaire fixa par des sentences…
… et
ce qui fit dire très à propos à un personnage bien sympathique,
John Wayne qui répétait
sans le savoir ce que nous disait plus haut Gina Lombroso,
alors qu’il poursuivait en Jeep un rhinocéros pour le capturer :
à
son allure c’est sûrement une femelle, elle ne sait pas très bien
où aller, elle tourne en rond !
Pour :
n’est que capable, grâce à sa Conscience :
3.B.5 - Le
pervers de prêtre voulant jouir… de la Direction spirituelle de
l’épouse.
Pour
les autres, n’en parlons même pas !, mais pour les
catholiques, modernistes ou dits traditionalistes, l’on leur serine
vicieusement, quasiment sous peine d’enfer il va sans dire, et là
alors comme par enchantement ils en parlent de cet enfer !, que
l’épouse doit avoir un prêtre comme Directeur spirituel !,
où l’installation d’un service après-vente très rémunérateur !
Pour :
doit avoir un prêtre comme Directeur :
Pour :
un service après-vente très rémunérateur :
Or,
et nous allons voir ensuite que l’escroquerie est encore bien plus
énorme, ce prêtre, dit Directeur spirituel ou pas, est justement
nommé très explicitement par la Très-Sainte Vierge Marie (TSVM) à
La Salette : cloaque
d’impureté !
Oui,
bien qu’ayant fait vœu de chasteté, ils entendent pourtant bien
avoir leurs petites ou grosses jouissances hautement criminelles avec
les femmes ! Oh, si vous vouliez seulement voir comment ils ont
transformé la pénombre du confessionnal*
en salle de projection de films X !
Pour :
leurs petites ou grosses jouissances :
Les
pervers !, ils prétendent, pour escamoter la grossièreté de
la manœuvre, avoir une formation et des grâces spéciales comme
prêtres pour visionner le débitage forcément pornographique que
font ces pauvresses, captées par le suppôt de Luciabel,
en le confessionnal !
Pour :
visionner le débitage […] pornographique :
3.B.5.a - Délire ?,
voici des échanges bien réels, mais non textuels :
Nous
parlerons ici que de certains échanges qui nous furent rapportés,
et de plus ne touchant qu’à l’intimité des époux !
Elle :
Il
me consomme plusieurs fois la semaine, et parfois par jour, que
dois-je faire mon père ?, il ne pense qu’à ça !
– le voyeur : et
ça vous épuise, ou vous … ?, il ne vous respecte pas !,
c’est un obsédé, résistez !, ou alors il faudra que nous
envisagions d’autres solutions !
Elle :
Mon
Époux me force à danser toute nue devant Lui, et moi cela me gêne
qu’il me regarde, que dois-je faire mon père ?
– le voyeur : vraiment
toute nue ? […], c’est un pervers, vous devez mettre les oh
là !
Elle :
Regardez
le mot obscène qu’il m’a écrit, et de
le glisser par la grille du confessionnal – le cloaque d’impureté :
je
vais le conserver, cela pourra nous
[textuel !, il n’a pas dit vous !,
mais nous,
comme quoi c’est bien ce pervers qui l’a cornaquée, comme tout
bon souteneur, au nom de Luciabel !] servir
ensuite contre lui ! À cause de cela et de tout le reste que
vous m’avez déjà raconté depuis plusieurs années, et sachant
que vous n’arriverez jamais à le mettre à la raison
[Et c’est lui, ce pervers, qui parle dedite raison !,
inversion accusatoire !] vous
devez demander, au nom
de l’obéissance que vous devez au prêtre, la séparation de
corps !, soyez courageuse !, il en va de votre salut
éternel !, et du bien de vos nombreux enfants, nous vous
soutiendrons par tous les moyens !, et
c’est, après de multiples hésitations, ce qu’elle finit par
faire !, au nom d’unedite obéissance au prêtre !
Pour :
finit par faire !, […] obéissance au prêtre :
Elle :
Mon
Époux m’attache au lit [tout est
absolument textuel !, n’est-ce pas les pervers dedits moines
près d’A… en France !],
[…], il m’embrasse et me […] tout partout !, cela m’est
horrible mon père ! – le satyre :
mais
madame, que fait-il exactement ? […] souvent ?, […]
[par pudeur nous ne pouvons aller plus loin !]
Elle :
Mon
Époux me consomme inclinée en avant alors qu’Il m’a placée de
dos devant Lui, c’est affreux !, j’en ai honte mon père !
– le pervers : il
vous connaît
par la voie naturelle ? – Elle,
godiche : je
pense, mais c’est comme si il me sodomisait !
– le jouisseur : donnez-moi
plus de détail que je puisse déterminer si cet acte est naturel ou
contre-naturel. – Elle : [par pitié,
arrêtons !]
Etc.,
etc., etc !, vous rendez-vous compte du déballage de l’intimité
de ces divers Époux devant ces voyeurs, ces cloaques
d’impureté !, de l’offense faite à
ces divers sains et souvent Saints Époux qui en ces choses n’ont
rien fait de mal !, et quand bien même !
Ô
notre Dieu !, quand donc sonnera l’heure de Votre Très-Sainte
et très espérée Vengeance ?, pour rétablir dans leur Honneur
tous ces pauvres Époux ?!, qui ont tout perdu !, Honneur,
épouse, et aussi enfants, et aussi tous leurs biens !, toutes
leurs jouissances diverses et variées !
Pour :
sonnera l’heure de Votre […] Vengeance :
→ A
Moi la vengeance, et c’est Moi qui leur rendrai en son temps ce qui
leur est dû ; leurs pieds ne trouveront que des pièges ;
le jour de leur perte s’approche, et les moments s’en avancent.
→ Moi,
le Seigneur, Je ferai tout à coup ces choses en leur temps.
Ô
notre Dieu ! que de crimes fait par ces cloaques
d’impureté (et ces épouses aussi,
évidemment) dans les confessionnaux, oui, disait Notre Dame à La
Salette : Les
prêtres sont devenus des cloaques d’impureté. Oui, les prêtres
demandent vengeance, et la vengeance est suspendue sur leurs têtes.
Malheur aux prêtres et aux personnes consacrées à Dieu lesquelles
par leurs infidélités et leur mauvaise vie crucifient de nouveau
mon Fils !
Pour :
oui, disait Notre Dame à La Salette :
3.B.5.b - L’interrogation
de son Époux, est souvent provocation !
Qu’elle
interroge le prêtre, et quiconque d’autre du reste, et ce même
pour une toute petite broutille, est évidemment la recherche
d’échapper à la tutelle en
toutes choses de son Époux !
Déjà
que, pour une toute petite broutille ou pour des choses très graves
et intimes, interroger son Époux est presque toujours pour l’épouse
une recherche de confrontation, comme pour Le piéger, L’acculer :
es-tu
sûr que c’est bien ?, prouve-le, donne-moi des textes, si tu
veux l’on va voir le prêtre ensemble, etc. [témoignage d’un
Époux !]
Si
vous saviez ce qui nous est rapporté ici, et ce de toute première
main !, et si nous devions aussi parler de tout ce qui ne touche
pas strictement à l’intimité conjugale !
L’épouse
n’a que deux articles à apprendre par cœur !
Que
deux bien simples, cela devait lui être abordable :
→ Article 1 :
Je
dois être soumise en toutes choses à mon Époux !
Ce,
conformément à ce que nous rappelait Saint Paul : les
femmes doivent être soumises à leurs maris en toutes choses [revoir
plus haut].
→ Article 2 :
Si
ma Conscience semble me travailler, j’interroge très
respectueusement mon Époux à la maison !
Ce,
conformément à ce que nous rappelait Saint Paul : Si
elles veulent s’instruire sur quelque chose, qu’elles interrogent
leurs maris à la maison !
Pour :
cela devait lui être abordable :
Et
si toutefois ces deux articles étaient vraiment si difficiles à
comprendre ou à retenir pour leur petite tête, voici une version
très simplifiée et humoristique, mais tout-à-fait saine et
Sainte :
Article 1 :
Mon
Chef à toujours raison !
Article 2 :
En
cas de doute, je me reporte à l’article 1 !
Obéir
en tout, promptement, avec joie et empressement :
Ceci
est le point capital dans le mariage elles se souviendront qu’elles
sont obligées […] de leur être soumises et de leur obéir avec
joie et empressement. (Concile de Trente).
3.B.5.c - Une
gamme d’interrogations légitimes et belles.
Peuvent-être
envisagées, et même très souhaitablement, les interrogations
d’inquiétude et d’amour, par ex. :
→ Mon
Époux, avez-Vous toute satisfaction de moi, que désirez-Vous de
moi ?, je suis amoureusement inquiète, fais-je bien ce que Vous
me demandez ?
→ Que
désirez-Vous que je Vous fasse comme repas ce soir mon Époux, pour
bien accueillir Vos invités ?, voulez-Vous que je Vous
conseille un menu ?
→ Mon
Seigneur, je Vous prie de me dire si jamais Vous ne me trouviez pas
assez bien arrangée pour Vous ; Vous devez me stimuler en étant
bien exigeant avec moi !, de peur que je me néglige…, je suis
faites pour Vous, et cela je le veux bellement !
→ Mon
Époux, en plus des prières en commun (matin, avant et après repas,
chapelet, soir, voyage, etc.) que Vous dirigez si pieusement, je
voudrai, voulant que le Bon Dieu Vous aide encore plus, que Vous me
donniez des dévotions personnelles ou des sacrifices à faire à Vos
intentions !
→ Mon
Époux, j’ai eue cette pensée que je crois mauvaise, (et de la
citer rigoureusement),
pouvez-vous me dire si j’ai péché ?, comment dois-je me
corriger ?, que dois-je faire comme réparation ?,
voulez-Vous me donner Votre absolution ?
Pour :
voulez-vous me donner Votre absolution :
Nous
préparons (et nous avons besoin que l’on nous motive pour cela !)
un document absolument détonnant sur la confession des épouses
(comme des autres femmes du reste !), véritable scandale si
elle est faite dans des mains autres que celles de l’Époux (ou
Père [ne confondez pas avec le pervers qui se fait appeler
scandaleusement et très illégalement : père]), etc.) !
La
confession d’une femme réalisée par un prêtre est forcément
voyeurisme, viol et/ou adultère, mine ou termite dans le foyer :
péchés cachés à l’Époux, et que le prêtre aurait
criminellement, illégalement absous : meurtre, adultère, etc.,
et même gourmandises ou autres broutilles.
Comment
voulez-vous que l’Époux discipline son épouse si elle Lui cache
ses fautes (réelles ou pas) !, Lui qui impérativement doit
régler sa famille, corriger et former les mœurs de tous ceux qui la
composent, et contenir chacun dans son devoir.
(vu plus haut)
Si
le pervers de prêtre confesse une femme, il va évidemment, après
ce premier viol (voire même adultère), vouloir jouir de sa
Direction spirituelle, ainsi donc il la viole (voire même adultère)
deux fois au moins !, et de plus, l’Époux ne peut plus
diriger Son épouse puisqu’elle lui cache ses problèmes ou
interrogations !, alors que les femmes, si
elles veulent s’instruire sur quelque point, qu’elles interrogent
leurs maris à la maison ! (idem)
C’est
véritablement un ménage
à trois* !
→ Mon
Époux, je ne peux plaire à Dieu que par Vous, et désirant Lui
plaire encore plus, pouvez-Vous me dire ce qui Vous plairait de me
voir améliorer en moi ? (de l’ordre matériel ou spirituel)
Pour :
je ne peux plaire à Dieu que par Vous :
→ L’homme
est l’image et la gloire de Dieu, tandis que la femme est la gloire
de l’homme.
→ L’homme
n’a pas été tiré de la femme, mais bien la femme de l’homme ;
et l’homme
n’a pas été créé à cause de la femme, mais la femme à cause
de l’homme
et donc pas à cause de Dieu, contrairement à l’Homme !
Renvoi
idem ci-dessus.
→ Car
c’est pour la consolation [satisfaction] de
l’homme que la femme a été formée…
→ L’Homme
est fait pour honorer, aimer et servir Dieu, tandis que, La femme est
faite pour honorer,
aimer et servir l’Homme.
(source absente)
Oui !,
de diriger une femme procure une intense jouissance de Droit à
l’Époux ! ; et cette même jouissance existe totalement
illégalement pour le pervers de prêtre au confessionnal !
L’on
dit du reste communément jouir
d’une Autorité !, n’est-ce pas ?!
Ainsi
donc, cette évidente jouissance de l’épouse :
→ pour
l’Époux, cette évidente jouissance est très-hautement légitime
et belle, sainte !, voulue par le Seigneur Dieu.
→ pour
le pervers de prêtre, comme avec quelconque autre femme du reste,
cette jouissance est très-hautement illégitime et monstrueuse !,
impure : viol et/ou adultère.
Saint
Thomas d’Aquin, Docteur de l’Église, en parlant de la
Sainte-Jalousie, de la Sainte-Colère, dit que Les
maris sont animés d’un zèle ardent contre ceux qui chercheraient
à leur disputer le cœur de leur femme, qu’ils veulent posséder
exclusivement et tout entier !
Chapitre
à venir, en le Document principal : La
jalousie est-elle un privilège de Dieu ?
3.B.6 - Seul
l’Époux doit diriger en toutes choses Son épouse !
Ayant
vu que la femme ne peut diriger, et ni une autre personne (enfants
compris !), et ni même elle-même, et que conséquemment elle
ne peut qu’être dirigée en
toutes choses !
Pour :
ni une autre personne (enfants compris !) :
En
effet, et même pour la toute-petite ou petite enfance, la Direction
qu’elle semble opérer n’est qu’une émanation de la Direction
de l’Époux-Père, ce n’est qu’une délégation ; et, dans
le cadre de cette délégation limitée, elle reçoit à travers son
Époux les grâces nécessaires à l’éducation de la prime
jeunesse familiale, les enfants de son Époux !
Ayant
vu qu’elle a effectivement une Conscience que le Seigneur Dieu lui
a donnée ; mais que cette Conscience n’est là que pour
savoir si elle obéit bien à son Époux en
toutes choses !, c’est sa
détermination entre le Bien, obéissance à son Époux en
toutes choses, et le mal ! Sa Conscience
ne la travaillera que si elle n’obéit pas exactement à son Époux
en
toutes choses !
Ainsi
donc, si elle obéit en
toutes choses à son Époux, sa Conscience ne
peut être en conflit avec ce que lui demande son Époux !
Si
sa Conscience la travaille, cas de Conscience comme l’on dit, alors
c’est signe que Le Seigneur Dieu l’avertie qu’elle n’obéit
pas en
toutes choses à son Époux !
Elle
sera jugée non sur l’ordre qu’elle exécute, mais uniquement sur
l’exactitude, la spontanéité et l’enthousiasme qu’elle met en
l’exécution de cet ordre : Ceci
est le point capital dans le mariage elles se souviendront qu’elles
sont obligées […] de leur être soumises et de leur obéir avec
joie et empressement.
(Concile de Trente).
3.B.7 - La
séparation des époux est contre-nature, aussi !
Ayant
bien vu que le Chef de la femme en
toutes choses est l’Homme, et l’Époux
particulièrement de l’épouse ;
… ayant
vu que l’épouse ne peut aller contre sa Conscience, vue que
celle-ci est limitée à sa détermination par rapport à la Volonté
de son Maître du moment (Père ou Frère, Époux ou Fils) ;
… ayant
vu que pas même, et surtout pas serions-nous tentés de dire, les
EÉc, véritables pervers ou cloaques
d’impureté ce selon votre choix, ne
peuvent jouir de la Direction d’une femme, et encore moins (si cela
est possible) d’une épouse ;
… nous
allons voir si finalement par d’autres biais l’on ne pourrait pas
arriver à séparer l’épouse de son Époux.
Dans
nos dernières publications, compte-tenu du complot luciférien qui
se trame en ce moment en vue de dire rendre valide une
contre-naturalité évidente, la sodomie, et de dire lui donner un
statut publique, nous avions copieusement parlé de
contre-naturalité.
Pour :
nous avions parlé copieusement :
Nos
deux dernières réponses à vous-même, et tous les renvois qu’elles
contiennent :
Or,
fut un temps, nous avions aussi parlé d’une autre
contre-naturalité en notre étude !, ladite séparation-divorce
des époux !
Oui !
la séparation des époux est contre-naturelle !
Pour :
séparation des époux est contre-naturelle :
Ainsi
donc, en reprenant ce que avions écrit précédemment, au sujet des
balades lucifériennes desdits opposants audit Mariage pour
sodomites : c’étaient des contre-nature, ayant donc fait le
péché contre l’Esprit, défilant contre d’autres contre-nature,
ayant fait le même péché contre l’Esprit !
3.B.7.a - Où
il est nécessaire de considérer que les époux ne forment qu’un
seul corps !
Dans
le sens le plus exacte possible, l’épouse ne forme qu’un seul
corps avec son Époux !, et plus exactement encore, elle a
strictement pas de corps à elle, ayant réintégré le corps de son
Époux, là en le cœur de son Époux.
Pour :
ayant réintégré le corps de son Époux :
Elle
est et n’est que l’épouse-cœur de son Époux !, ainsi donc
ce ne sont pas deux corps :
→ comme
jumelés comme des siamois ;
→ ni
confondus en un seul comme l’un servant d’enveloppe à l’autre,
comme une femme porte l’enfant de son Époux en son sein pendant
neuf mois ;
… mais
un corps fondu en le cœur du corps de l’Autre, l’épouse-cœur
venant se cacher, se fondre en le cœur de son Époux ; nous
pourrions même dire très justement, se substituer au cœur de son
Époux !, soit reprendre la place qu’elle avait au moment de
sa toute prime naissance !
Pour :
au moment de sa toute prime naissance :
Ainsi
donc, si vous voyez un couple (marié,
Sacrement de Mariage) se promener, vous avez
l’impression de voir deux silhouettes l’une près de l’Autre !,
cette impression est compréhensible que si vous savez ce qu’est la
bilocation qui fut permise à certains Saints !
Pour :
bilocation qui fut permise à certains saints :
-- BILOCATION,
subst. fém. Présence simultanée d’une même personne en deux
endroits distincts.
L’Eglise
Catholique reconnaît l’existence du phénomène en général mais
rarement en particulier. Pour elle, le phénomène peut venir aussi
bien du bien que du mal et elle n’en fait donc pas un critère.
Concernant des saints ou mystiques, l’Eglise Catholique reconnaît
quelques cas de bilocation chez (Padre Pio, Marthe Robin, Joseph de
Copertino, María de León Bello y Delgado, Ursula Micaela Morata)
mais non seulement n’en fait pas une preuve de sainteté mais n’y
voit même qu’un événement spectaculaire mais secondaire. Seule
compte l’héroïcité des vertus pratiquées (chercher à pratiquer
la sainteté jusqu’à l’héroïsme si nécessaire).
Ainsi
donc, si nous avons du mal à voir une seule chair avec un Époux
travaillant dans les champs et une épouse dans sa cuisine, ceci
devient mieux saisissable par notre compréhension en pensant à la
bilocation ! ; ce qui est effectivement le cas ici !
Il
y a qu’une bilocation qui soit certainement de Dieu, c’est celle
que voulut de Volonté certaine le Seigneur Dieu par le Sacrement de
Mariage !
C’est
exactement, et que l’apparence est trompeuse :
→ un
seul et même corps, Mâle ici, qui sue à l’arrière de la charrue
avec sa veste et son pantalon de grosse toile, sa casquette vissée
sur la tête,
→ et
ce même et seul corps, femelle là ci-contre, avec ses beaux cheveux
bouclés gracieusement couverts d’un beau foulard bien propre et
pudiquement ajusté et noué, son joli corsage suffisamment ample et
cette si belle jupe qu’elle se cousit pleine d’entrain pour
charmer son bon Époux, qui est penché sur ses casseroles en la
Maison de son Époux !
Pour :
son joli corsage suffisamment ample :
Tous
les vêtements ajustés, tout comme pour les Hommes du reste, sont
scandaleux pour la femme !, un corsage ne doit pas échancrer,
bailler, il doit permettre que très vaguement de deviner les formes
de l’épouse qui ne sont là que pour la consolation*
de l’Époux !
Suffisamment,
veut bien dire ce qui suffit !, soit, ni plus ni moins !,
ainsi, le corsage ne doit pas faire non plus penser que Vous avez
épousé une femme démesurée !, disgracieuse.
Ici
sur la gravure, les cheveux bouclés sont cachés, ils ne sont
visibles que pour son bon Époux !
Pour :
vaguement de deviner les formes de :
Il
ne s’agit aucunement d’écraser ses seins pour les escamoter,
bien au contraire !, mais de simplement les couvrir amplement
afin de ne pas avoir de moulage, mais qu’une gracieuse, légère et
pudique ondulation du corsage !
Undit
corsage moulant ou échancré est un vrai ‛corpasage’ !, en
effet le corsage consiste à rendre le corps, le buste de l’épouse,
comme de la femme en général : sage !, sagement caché
aux autres Hommes que l’Époux !
Il
est très sage, car Voulu de Volonté certaine par le Seigneur
Dieu !, que le corps de l’épouse enivre son Époux
particulièrement avec ses beaux seins !, il est nullement sage
qu’il distrait et trouble les autres Hommes !
Attention !,
être enivré des seins de Son épouse, ne veut pas dire aliéner Son
Autorité !, votre épouse doit vous enivrer de ses seins et en
son sein, mais c’est elle qui doit être à genoux !, à
genoux devant son Maître et Seigneur !, soyez très vigilants !
Pour :
mais c’est elle qui doit être à genoux :
NSJC
nous dit Lui-même qu’ils font qu’un seul corps : …
ils seront deux dans une seule chair. Ainsi ils ne sont plus deux,
mais une seule chair.
Ou,
redit ainsi par un auteur, l’abbé Dehaut : L’époux
et l’épouse ne font qu’une seule chair ; l’un des
conjoints ne peut pas plus se séparer de l’autre, que se séparer
d’avec soi-même.
3.B.7.b - Un
humain, une chair animée par un esprit incorporé.
Une
personne humaine est formée à première vue d’un corps, or, ce
corps n’est rien qu’une carcasse sans l’esprit qui l’anime !,
qui le personnalise.
Ainsi,
justement, avant de devenir inanimé, mort sur la Croix, et
criant d’une voix forte, Jésus dit : Père, Je remets Mon
esprit
entre Vos mains. Et disant cela, Il expira.
Nous
remarquons au passage qu’Il n’a pas dit, bien qu’en possédant
Une comme tout humain : Je
remets Mon
Âme
entre Vos mains.
L’Âme
et l’esprit sont distincts, ceci fera l’objet d’un
développement ultérieur.
3.B.7.c - Une
personne n’est pas forcément un esprit incorporée.
Puisque
nous venons de parler de NSJC, vrai Dieu et vrai Homme, nous allons
parler de Lui en tant qu’Esprit uniquement, donc avant Son
incarnation par l’Opération du Saint-Esprit en le sein toujours
virginale de la TSVM.
Avant
de rentrer dans le temps par Son incarnation, et seulement avant,
Jésus n’était qu’Esprit ! ; comme Son Père, et
distinct de Lui, qui L’engendre de toute éternité ; et comme
l’Esprit-Saint, et distinct de Lui aussi, qui procède des deux de
toute éternité aussi !, ne dit-on pas : le mystère de la
Très-Sainte Trinité, c’est un seul Dieu en trois personnes, le
Père, et le Fils et le Saint-Esprit.
Pour :
Avant de rentrer dans le temps par son :
Pour :
comme Son Père, et distinct de Lui :
Regardez
comment l’à-peu-près est le mode opératoire ordinaire
maintenant, et avant aussi du reste !, cherchant une définition
autre qu’en nos livres, sur internet afin de pouvoir mettre un lien
pour que vous puissiez vérifier nos affirmations, nous sommes tombés
sur un site
qui semblait en donner une : Qu’est-ce
que le mystère de la sainte Trinité ? C’est un seul Dieu en
trois personnes ; il n’y a dans Dieu qu’une nature, qu’une
essence, qu’une substance, qu’une seule chose, et qu’un
seul et même esprit, qui subsiste néanmoins en trois personnes,
qui sont le Père, le Fils, et le Saint-Esprit.
Voulez-vous,
Lecteurs, relire patiemment avec nous ce passage : un
seul et même esprit, qui subsiste néanmoins en trois personnes.
Or,
qu’est-ce qui distingue la personne ?, si ce n’est
l’Esprit !
Ainsi,
la Très-Sainte Trinité, un seul Dieu en trois Personnes, n’aurait
qu’un Esprit !
→ Si
Elle a qu’un seul Esprit, Elle a donc qu’une seule Personne !
→ et
si Elle a trois Personnes, Elle a donc trois Esprits !
Nous
devrions réécrire cettedite définition ainsi (quoique fort
embrouillée) : …
C’est un seul Dieu en trois personnes, trois Esprits ; il n’y
a dans Dieu qu’une nature, qu’une essence, qu’une substance,
qu’une
seule chose
[pourquoi pas qu’un seul machin],
et
qu’un seul et même esprit, qui subsiste néanmoins
en trois personnes, qui sont le Père, le Fils, et le Saint-Esprit.
Nous…
fabulons, inventons ?, vérifiions cela ensemble !
Déjà,
relisons ce que nous avons vu plus haut : …
Jésus dit : Père, Je remets Mon
esprit
entre Vos mains. Et disant cela, Il expira.
Ici,
NSJC dit-Il : Je
remets Notre
esprit
entre Vos mains ?, non, évidemment,
mais Son Esprit !, ainsi donc disant Mon,
NSJC distingue bien Son Esprit de l’Esprit de Son Père !, ce
sont à Eux-deux, deux Esprits !, et deux Esprits très bien
distingués !
Aussi,
pourquoi donc dit-on Esprit-Saint ?, en distinguant ainsi cette
Personne ?, si cet Esprit (Esprit-Saint) est distingué, cela
veut dire que ce n’est pas Le même Esprit que Celui du Père et
que Celui du Fils !
Poursuivons,
lisons le Nouveau Testament, nous avons fait une toute petite
recherche sur ‛Esprit
d’, d
seul afin d’avoir de,
ou du,
voici :
→ En
effet, ce n’est pas vous qui parlez, mais c’est l’Esprit de
votre Père qui parle en vous.
C’est NSJC qui parle, de l’Esprit de notre Père, donc c’est un
Esprit distinct de Lui, sinon Il aurait dit Notre Esprit !
→ Or
Jésus, plein de l’Esprit-Saint, revint du Jourdain, et Il fut
poussé par l’Esprit dans le désert ;
s’Il est plein
et poussé
par l’Esprit, ici l’Esprit-Saint, donc cet Esprit est distinct du
Sien !
→ Mais,
lorsque le Paraclet que Je vous enverrai de la part du Père,
l’Esprit de vérité qui procède du Père, sera venu, Il rendra
témoignage de Moi.
Cet Esprit (Paraclet) qui procède du Père est donc, procédant,
distinct de Celui du Père, et n’est pas non plus l’Esprit de
Celui qui parle, NSJC !
→ Et
parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans vos cœurs l’Esprit
de Son Fils, qui crie : Abba, Père !
Dieu [ici, visiblement le Seigneur Dieu, Dieu le Père] envoie pas
Notre Esprit, mais Celui de Son Fils !, donc deux Esprits bien
distincts !
→ Car
je sais que cela tournera à mon salut, grâce à votre intercession
et à l’assistance de l’Esprit de Jésus-Christ,
donc Esprit distingué !
→ Et
si l’Esprit de Celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts
habite en vous…
L’Esprit de Celui qui a ressuscité Jésus est bien distingué de
l’Esprit de Jésus !
Toujours
le même bricolage, criminel amateurisme !
Voici
la bonne définition : Un
seul Dieu en trois Personnes distinctes, donc trois Esprits, Père et
Fils et Saint-Esprit, dans l’unité d’une seule nature, ou
essence, ou substance ! [notre cru]
Ajoute
en la Saint Éloi de Noyon, lundi
1-12-2014 :
Voici
du reste ce que l’on lit en la Préface
du Sanctus de la
Sainte Trinité (le
vrai missel, soit avant 1961) :
Il
est vraiment juste et nécessaire, c’est notre devoir et c’est
notre salut, de vous rendre grâces toujours et partout, Seigneur,
Père saint, Dieu éternel et tout-puissant, qui avec votre Fils
unique et l’Esprit-Saint êtes un seul Dieu, un seul Seigneur :
non
dans l’individualité d’une seule personne
mais en la trinité d’une seule nature. Ce qu’au sujet de votre
gloire, en effet, nous croyons sur la foi de votre révélation, nous
le tenons pour également vrai de votre Fils et de l’Esprit-Saint,
en sorte que, proclamant la véritable et éternelle divinité, nous
adorons et la
propriété dans les personnes,
et l’unité dans l’essence, et l’égalité dans la majesté.
C’est elle que louent les Anges et les Archanges, ainsi que les
Chérubins et les Séraphins, qui ne cessent de proclamer et de
chanter chaque jour, redisant d’une même voix...
Les
Anges aussi sont des personnes, non incréés et non
Toutes-Puissantes comme les Trois Personnes de la Très-Saint
Trinité, mais créés comme les humains, mais non pas habitant un
corps comme eux, soit incarnées, l’on dit aussi qu’ils sont
immatériels !, de purs Esprits !
Pour :
Les Anges aussi sont des personnes :
Ils
ont un nom les personnifiant, les plus connus :
- Saint
Michel Archange, vainqueur de Lucifer, Chef des armées célestes ;
- Saint
Gabriel Archange, annonciateur auprès de la TSVM et Ange gardien de
Celle-ci et de NSJC (Homme) ;
- Saint
Raphaël Archange, Protecteur particulier, des voyageurs
entre-autres, médecin ;
- et !,
Celui que nous aurions dû nommer en premier, votre Saint
Ange-gardien, dont seul Dieu connaît Son Nom ;
etc.
3.B.7.d - Une
personne, une chair (corps), deux esprits ordonnés :
Une
personne n’a qu’un seul esprit à
elle, l’on dit qu’elle n’a qu’une seule
personnalité ; or, elle est habitée par deux Esprits, l’un
le sien propre, et :
→ l’Esprit
de Dieu, si baptisée, ou non baptisée par ignorance insurmontable,
et en état de grâce !, l’on dit habitée de l’Esprit de
Dieu ! Esprit qui éclaire nos Consciences justement. L’on est
bien plus pleinement habité par l’Esprit de Dieu lorsque l’on
reçoit l’Esprit-Saint (confirmation). L’on dit aussi sous
l’emprise d’un Esprit, ici, Celui du Seigneur Dieu.
→ l’Esprit
démoniaque, un ou même des légions parfois, si elle s’est
séparée de Dieu, refus de suivre sa Conscience que forcément Dieu
éclaire, mais de plus en plus faiblement au fur et à mesure des
refus (péchés réitérés) et selon la gravité de ces refus
(péchés mortel).
Pour :
non baptisée par ignorance insurmontable :
L’on
dit aussi ignorance invincible !
Si
la personne n’obéit pas à la Loi naturelle, ou voix de sa
Conscience forcément éclairée par Dieu, elle se damne : ceux
qui se damnent se damnent par leur propre malice, parce qu’ils ont
voulu se damner.
Sinon,
elle se sauve !
Saint
Paul nous parle de l’ignorance insurmontable, Il dit : Car
ce ne sont pas ceux qui entendent la loi qui sont justes devant
Dieu ; mais ce sont ceux qui accomplissent la loi qui seront
justifiés. Lors
donc que les païens,
qui n’ont pas la loi, font
naturellement ce que prescrit la loi,
tout en n’ayant point la loi, ils se tiennent à eux-mêmes lieu de
loi ; Ils
montrent que l’œuvre de la loi est écrite dans leur cœur, leur
conscience leur rendant témoignage,
et leurs pensées les accusant, ou même les défendant tour à
tour : on le verra au jour où, selon mon Évangile, Dieu jugera
par Jésus-Christ les actions secrètes des hommes.
Pour :
habité par l’Esprit de Dieu :
Saint
Paul nous dit : Car
nous sommes les coopérateurs de Dieu ; vous êtes le champ de
Dieu, vous êtes l’édifice de Dieu. […] Ne savez-vous pas que
vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit
de Dieu habite en vous ?
Si donc quelqu’un profane le temple de Dieu, Dieu le détruira ;
car le temple de Dieu est saint, et vous êtes ce temple.
Une
personne en état de grâce a deux esprits en elle :
→ un
esprit qui l’anime, commande, le sien propre,
→ un
autre Esprit qui l’influence seulement : l’Esprit de Dieu
qui éclaire sa Conscience, donc ce sans prendre le pas sur celui qui
commande !, cette personne est en effet toujours libre de suivre
les impulsions (grâces) de l’Esprit de Dieu ou pas.
Si
elle refuse de suivre ces Impulsions divines (grâces) :
→ en
péchant véniellement, elle affaiblit, et ce de plus en plus selon
le nombre de ces refus véniels non regrettés sincèrement,
l’Influence gracieuse de cet Esprit de Dieu en elle, au point
qu’elle peut même se retrouver, suivant la pente ainsi réalisée,
en état de péché mortel.
→ en
péchant mortellement, elle met carrément cet Esprit de Dieu à la
porte de sa personne ; or, l’on dit que la nature à horreur
du vide, et donc, la place seconde en elle, place passager nous
pourrions dire, étant libre, Luciabel y installe un et parfois des
légions de ses suppôts !
Ne
dit-on pas couramment : cette
personne à [un] bon esprit !, ou cette
personne à [un] mauvais esprit !, ou
elle
fait du mauvais esprit !
Possédé
par Dieu, ou par Lucifer :
Ainsi
donc, lorsque l’on dit ordinairement qu’une personne est possédée
(sous entendu par un esprit démoniaque), l’on fait une erreur
gravissime, en effet, elle est, comme nous venons de le voir,
forcément possédée par un autre Esprit que le sien :
doucement, par l’Esprit de Dieu ; ou férocement, par l’(des)
esprit(s) démoniaque(s), !
L’on
devrait donc dire, pour déclarer une personne sous l’emprise d’un
(de) démon(s) : possédée d’un, du, des démon(s) !
Reprenons,
l’on a deux esprits en notre personne :
→ notre
esprit propre qui forme notre personnalité, notre personne, qui
commande, qui décide de la direction à prendre, Bonne ou mauvaise ;
→ et
un autre habitant en cette personne, et l’influençant par ses
grâces (Dieu) ou maliceries (démon(s)), il lui indique la piste à
suivre (Bonne si c’est Dieu, mauvaise si c’est le Malin) !
Nous
avons ainsi une seule personne, un seul corps, et deux esprits :
un esprit Maître (le sien propre), et un esprit influençant
doucement vers le Bien éternel, ou démoniaquement vers le mal
éternel !
3.B.7.e - Deux
personnes, une chair (corps), trois (ou plus) esprits ordonnés :
Il
existe un cas extraordinaire et totalement unique dans la création,
et que le Seigneur Dieu voulut par un Sacrement : le Sacrement
de Mariage !
Là,
par le Sacrement de Mariage, nous avons deux personnes, mais un seul
corps, bien que les apparences soient trompeuses, et trois esprits
(ou plus) qui l’occupent.
Les
trois esprits (ou plus) occupant cette unique chair :
1. l’esprit
(Conscience) de l’Époux, le commandant ou Chef de ce corps unique,
il éclaire, enseigne, guide l’esprit (Conscience) de
l’épouse-cœur.
2. l’esprit
de l’épouse qui en principe console et influence très
chaleureusement et doucement l’esprit de son Époux.
Là,
nous devons décomposer le point ‛3’ en deux parties :
3.1. l’Esprit
de Dieu qui assiste :
- l’Époux
par Ses Grâces (éclaire la Conscience) pour qu’Il prenne les
bonnes décisions
pour les deux personnes (Époux et épouse) habitant Son corps (une
seule chair) : recherche en tout du
Bien, fuite du mal.
- l’épouse
par Ses Grâces pour qu’elle puisse parfaitement exécuter les
ordres de son Époux : soumission, consolation, etc. L’Esprit
de Dieu ne passe pas au-dessus de l’Époux, mais donne à l’épouse
uniquement : la clairvoyance pour être bien soumise
en toutes choses à son Époux, et les forces
nécessaires à l’exécution.
3.2. l’esprit
démoniaque qui détruit tout ce qu’il touche :
- Si
l’épouse écoute, et suit donc, les pipeautages*
du Malicieux en Chef, elle Lui fait allégeance et tombe donc sous
son influence démoniaque. L’Époux garde son libre-arbitre, mais
cet unique corps, chair, devient véritablement inviable, l’une
partie est Droite, l’autre faussée. À l’Époux reste la
solution radicale et bien efficace, garantie sur facture :
opération Apôtre Saint
Thomas !, mais pour cela il Lui faut ne pas avoir
écouté les fables tétanisantes dudit Homme violent, cornées,
jacassées particulièrement par l’insensée Valérie Létard.
Pour :
opération Apôtre Saint Thomas :
Pour :
par l’insensée Valérie Létard :
- Si
l’Époux lanciné par son épouse en venait à écouter les
pipeautages*
du Malicieux en Chef, Lui fait allégeance et tombe donc sous son
influence démoniaque, l’épouse gardera son devoir de soumission
en toutes choses à la Tête de cet unique
corps, chair, devenue ainsi sa pénitence pour avoir de fait poussé
son Époux à faire défaut ! À l’épouse reste la solution
radicale et bien efficace : je
souffre en silence et prie pleine de confiance en la Providence
divine.
Pour :
pleine de confiance en la Providence divine :
En
ce cas de figure, en cette unique chair, cohabite donc :
→[Et !] l’esprit
de l’Époux qui commande toute l’unique chair !,
→[Et !] celui
de l’épouse ordonné à l’esprit de son Époux,
→[Si !] l’Esprit
de Dieu si au moins un des deux esprits des époux est fidèle,
→[Si !] le
(les) esprit(s) démoniaque(s) appelé(s) par la défection de
l’épouse ou/et de l’Époux !
3.B.8 - Résumons,
concluons cette réponse à votre première préoccupation.
Nous
avons bien vu, nous semble-t-il, que la Conscience de l’épouse ne
peut être en opposition à la Conscience de l’Époux, en effet, la
Conscience de l’épouse est éclairée, guidée par la tête de
l’Époux, son Chef !
Ainsi
donc, la Conscience de l’épouse ne peut aller, si elle obéit
parfaitement, contre la Volonté de Dieu qui veut que l’épouse
plie gracieusement en
toutes choses devant la tête de son Époux,
son Chef !
Nous
avons aussi vu que, bien que radicalement impossible, si l’on en
venait à séparer les époux, cela est un acte contre-nature qui
revient à opposer un corps à lui-même !, à résister
frontalement à l’Esprit
qui tient unies toutes choses !
3.C - Seconde
préoccupation, conflit d’Autorité.
Vous
nous écrivez : Mais
pourtant, l’autorité de son mari est supérieur à celle de Dieu,
de son devoir moral; si bien que sachant une chose mauvaise que lui
demande son mari, elle remplira avant tout son devoir envers lui,
plutôt que son devoir moral.
Avec
tout ce que nous avons dit en nos documents précédents, et ce qui
nous venons de dire ici au sujet dudit cas de Conscience de l’épouse,
nous allons que résumer.
3.C.1 - Résumons,
concluons cette réponse à votre seconde préoccupation.
Non
il n’y a pas, et ne peut y avoir, d’opposition entre l’Autorité
de Dieu et l’Autorité de l’Époux quant-à l’épouse !
En
effet, comme suffisamment démontré, l’épouse n’est pas sous
l’Autorité de Dieu, et ce de quelque manière que ce soit, mais
sous l’Autorité sous Laquelle Dieu l’a placée : Celle de
L’Époux !
Bien
qu’un peu longuet, lisez ceci pour imager, raconté par Saint Luc :
11.
Comme ils écoutaient ces choses, Il ajouta une parabole, parce qu’Il
était près de Jérusalem, et qu’ils pensaient que le royaume de
Dieu allait être manifesté à l’instant.
12.
Il dit donc : Un homme de haute naissance s’en alla dans un
pays lointain, pour prendre possession d’un royaume, et revenir
ensuite.
13.
Ayant appelé dix de ses serviteurs, il leur donna dix mines, et leur
dit : Faites-les valoir jusqu’à ce que je revienne.
14.
Mais ses concitoyens le haïssaient, et ils envoyèrent après lui
une ambassade, pour dire : Nous ne voulons pas que cet homme
règne sur nous.
15.
Et il arriva qu’à son retour, après avoir pris possession du
royaume, il ordonna qu’on appelât les serviteurs auxquels il avait
donné de l’argent, pour savoir comment chacun l’avait fait
valoir.
16.
Le premier vint, et dit : Seigneur, ta mine a produit dix mines.
17.
Et il lui dit : C’est bien, bon serviteur ; parce que tu
as été fidèle en peu de chose, tu auras puissance sur dix villes.
18.
Le second vint, et dit : Seigneur, ta mine a produit cinq mines.
19.
Et il lui dit : Et toi, sois établi sur cinq villes.
20.
Un autre vint, et dit : Seigneur, voici ta mine, que j’ai
tenue enveloppée dans un mouchoir ;
21.
car je t’ai craint, parce que tu es un homme sévère : tu
enlèves ce que tu n’as pas déposé, et tu moissonnes ce que tu
n’as pas semé.
22.
Il lui dit : Je te juge par ta propre bouche, méchant
serviteur. Tu savais que je suis un homme sévère, enlevant ce que
je n’ai pas déposé, et moissonnant ce que je n’ai pas semé ;
23.
pourquoi donc n’as-tu pas mis mon argent à la banque, afin qu’à
mon retour je le retirasse avec les intérêts ?
24.
Puis il dit à ceux qui étaient présents : Ôtez-lui la mine,
et donnez-la à celui qui en a dix.
Transposons
ceci avec l’Époux !
Époux
qui devra rendre un compte rigoureux de Sa gestion de Sa Famille :
Ainsi,
l’Homme
de haute naissance s’en alla dans un pays lointain,
c’est le Seigneur Dieu qui après la création s’en retourne au
Ciel.
Il,
cet Homme
de haute naissance, ayant
appelé […] ses
serviteurs, et non ses servantes !, car
elles sont les servantes des Hommes, il
leur donna (Mariage) une(des) épouse(s)
tirées de leur sein à travers Adam, et
leur dit : Faites-les valoir jusqu’à ce que je revienne.
Ce qui veut bien dire, c’est Vous, Chefs de Famille, qui gérez
(dirigez, guidez, etc.) et faites fructifier (enfants, élévation
d’Âmes, etc.) ce que je Vous ai donné (épouse(s)-servante(s)) !
Enfin,
il
arriva qu’à son retour, pour le jugement
particulier ou général, après
avoir pris possession du royaume, il ordonna qu’on appelât
(mort, et jugement de l’Âme) les
serviteurs auxquels il avait donné de l’argent
(un pouvoir sur leur Famille),
pour savoir comment chacun l’avait fait valoir.
Un
Chef de Famille est appelé, [le
premier] vint, et dit : Seigneur, ta mine a produit…
et là l’Époux fait son rapport !
Et
l’Homme
de haute naissance [Notre-Seigneur
Jésus-Christ,
qui doit juger les vivants et les morts],
à cet Époux, il
lui dit : C’est bien, bon serviteur ; parce que tu as été
fidèle en peu de chose, tu auras puissance
au Ciel.
Enfin,
un
autre vint, et dit : Seigneur, voici
l’épouse que vous m’aviez donné de gérer, que
j’ai tenue enveloppée dans les ténèbres
d’un
mouchoir ; je ne lui ai pas donné
d’enfants, et elle-même, j’ai tout fait pour qu’elle ne
produise pas de fruits à elle (bonnes actions, etc.).
Son
Juste Juge lui
dit : Je te juge par ta propre bouche, méchant serviteur. Tu
savais que je suis un homme sévère […]. Puis il dit à ceux qui
étaient présents : jetez-Le dans
les ténèbres extérieures. Là il y aura des pleurs et des
grincements de dents.
Transposons
ceci avec l’épouse !
Épouse
qui devra rendre un compte rigoureux de son obéissance en
toutes choses à son Époux :
Enfin,
il
arriva qu’à son retour, pour le jugement
particulier ou général, après
avoir pris possession du royaume, il ordonna qu’on appelât
(mort, et jugement de l’Âme) les servantes.
L’épouse,
vint,
et dit : Seigneur… et là l’épouse
fait son rapport !
Et
l’Homme
de haute naissance, [Notre-Seigneur
Jésus-Christ,
qui doit juger les vivants et les morts],
à cette épouse, il
lui dit : C’est bien, bonne servante ;
parce que tu as été fidèle en peu de chose, tu auras
part au Ciel.
Enfin,
une
autre vint, et dit : Seigneur, voici que
vous m’aviez demandé d’être gracieusement et aimablement
soumise
en toutes choses à mon Époux, j’ai
tenu continuellement tête à mon(dit) tyran
d’Époux, je Lui en ai bien fait baver, au point que l’on peut
dire que je Lui ai fait un enfer sur terre, j’ai contracepté,
avorté, etc.
Son
Juste Juge lui
dit : Je te juge par ta propre bouche, méchante
servante.
Tu savais que je suis un homme sévère […]. Puis il dit à ceux
qui étaient présents : jetez-la
dans les ténèbres extérieures. Là il y aura des pleurs et des
grincements de dents.
3.D - Troisième
préoccupation, rééduquer par les femmes !?
Vous
nous écrivez : Après
avoir cerné le problème, la solution tiens à ce qu’on rééduque
nos femmes. Mais l’on sait que ça n’est pas vraiment possible au
point où on en est; et donc ce qui peut vraiment établir un réel
changement c’est l’éducation de nos enfants, donc pas seulement
des filles, et ça devient plus efficace, parcequ’une femme est
moins suceptible de se "rebeller" si sont mari est sur la
bonne voie et que au cas où, c’est lui qui réctifi.
Le
point central semble être là : la
solution tiens à ce qu’on rééduque nos femmes. Mais l’on sait
que ça n’est pas vraiment possible au point où on en est…
3.D.1.a - La
solution serait la rééducation des femmes !
Erreur
funeste !, mais, ne soyez pas inquiet Sieur Luryio,
vous êtes guérissable !
Ayant
baigné qu’en cela, vous êtes excusable ô combien !, et,
comme vous vous débattez, vous suffoquez en pleine mer Féminie,
nous ici, de notre radeau de survie pour Chefs et futurs Chefs de
Famille, baptisé l’ŒRFAEP,
nous vous jetons deux bouées de sauvetage, La
Paternie et La
Patriarchie, nous les avons toujours à
portée de main pour ceux qui nous crient : Sauvez-nous !
Pour :
vous suffoquez en pleine mer Féminie :
-- Le
Littré (1880) – FÉMINIE (s. f.)[fé-mi-nie]
L’ensemble
des femmes, les habitudes des femmes, le domaine des femmes ; mot
excellent qui s’est malheureusement perdu.
HISTORIQUE
XIIe
s.— Rois, ne croiez mie Gent de femenie
; Mais faites ceus apeler Qui armes sachent porter (HUES DE LA FERTÉ
Romancero, p. 192)
XIVe
s.— Avec eux vinrent tant de suitte de dames et damoiselles, qu’il
sembloit que le royaume de feminie
y fut arrivé (Lett. de Louis XII, t. I, p. 49, dans LACURNE)—
Saincte Marie ! Et tousjours femmes ! Femmes à dextre et à senestre
; Je ne sçais se c’est songe ou faintie ; Sui-je au pays de
femmenie ? (Hist. du th. fr.
t. II, p. 127)
Pour :
de sauvetage, La Paternie et La Patriarchie :
-- Paternie :
subst. fém. FEW VIII paternus – [FEW VIII, 13b : paternus] –
"Qualité de père"
-- Patriarchie :
subst. fém.
b)
Rare.
Gouvernement de type patriarcal (v. ce mot C). Aristote,
recueillant les définitions diverses du gouvernement, le distinguait
suivant ses formes: patriarchies, démocraties, oligarchies,
aristocraties, monarchies absolues, monarchies constitutionnelles,
théocraties, républiques fédératives, etc.
(Proudhon, Confess. révol.,
1849, p.60).
Ne
dit-on pas que le poisson pourrit par la tête ?
La
Famille est morte par son Chef, sa tête !, c’est Lui qui a
débridé la femme qui a ainsi pu détruire la Famille !
Luciabel,
ou Lucifer si vous préférez, a fait baisser la garde à Adam, comme
à tout Homme maintenant comme jamais, et ainsi a pu atteindre Ève,
comme toute femme toujours, pour qu’elle renverse enfin elle-même
sa
Maison de ses propres mains pour son compte à
Lui, le Diviseur en Chef !
Pour :
sa Maison de ses propres mains :
Adam
n’a pas détruit l’Œuvre du Seigneur Dieu, Ève oui !
Adam
ne s’est pas révolté, Ève oui !
Adam
n’a pas transgressé l’ordre du Seigneur Dieu, Ève oui !
Pour :
Adam n’a pas transgressé l’ordre :
Ainsi,
l’œuvre de destruction de Luciabel, ou Satan si vous préférez,
passe toujours par la femme !, or, si l’Homme, et Adam en
l’Éden, était vigilant en ne permettant aucunement le débridage
de Sa femme, sadite libération, Lucifer ne pourrait rien contre
rien !
Donc,
et contrairement à Lucifer qui fait toujours Lui-même le contraire
du Seigneur Dieu, n’attaquons pas le problème à l’envers, mais
à l’endroit, soit par l’Homme !
Oui !,
et là est la monstrueuse escroquerie de ladite tyrannie de l’Homme
et sa maléfique jumelle ladite libération de la femme !
La
femme en enfer passera son éternité à vomir sa haine
inassouvissable de son Homme qui l’a libérée !,
de l’Époux qui l’aura débridée alors qu’Il aurait pu en la
tenant très fermement en main, par sa laisse et son collier, lui
ouvrir la Porte du Paradis !
Pour :
par sa laisse et son collier :
Ainsi
donc, cette pauvresse dite libérée, pour avoir voulu échapper à
de très justes corrections [elle en reçoit que parce qu’elle ne
plie pas de très bonne grâce !], même très sévères si
nécessaire, mais somme toute bien passagères, maintenant, elle
jouit des attentions incroyables d’extrême dureté et méchanceté
du nouveau Maître qu’elle se choisit de volonté certaine, et ce
pour une infernale et éternelle éternité !
Elle
goûtera alors éternellement de la suave attention de ce si délicat
nouveau Maître, qui continuellement agitera brutalement une bien
autre laisse !, de très lourdes chaînes, tirant, Lui le vrai
et seul tyran, un bien autre collier !, un de feu s’incrustant
bien dans la chair de son cou altier et regimbeur !
Pour :
son cou altier et regimbeur :
Pour :
[tous ces derniers paragraphes] :
3.D.1.b - La
solution est donc que l’on rééduque les Hommes !
Sieur
Luryio, si pour vous la
solution tiens à ce qu’on rééduque nos femmes,
ceci démontre simplement que le luciférien lavage de cerveaux a
fonctionné à merveille !, c’est comme-ci vous répétiez
ceci : La
femme est l’avenir de l’homme !
Pour :
La femme est l’avenir de l’homme :
[Reprise]
Cette affirmation, la
femme plus pieuse que l’Homme !, est
particulièrement vicieuse, elle pourrait être transposée ainsi :
la
femme est meilleure que l’Homme, La femme est l’avenir de
l’Homme ; en parodiant cet ennemi de
tous les Hommes : Jean Tenenbaum, camouflé sous le pseudo de
Jean Ferrat, et sur qui WikiPédia dit : Il
est encore une fois en phase avec son temps, rappelant, dans La femme
est l’avenir de l’homme, la proximité entre deux importants
combats révolutionnaires : la lutte sociale et la lutte
féministe en plein essor.
Premièrement,
qui (ré)enseignera les femmes ?
D’autres
femmes ?, mais elles sont toutes corrompues, forcément nous
pouvons dire !, peu ou prou !, cette solution consisterait
à encore plus répandre et enraciner le mal ! De plus,
avez-vous déjà vu deux perruches enfermées ensemble ?, quel
cirque !, et quel joli crêpage de chignons !
Qui
doit enseigner la femme ?, le Père ou le Frère, l’Époux
surtout ! ou le Fils !
Si
elles veulent s’instruire sur quelque chose,
qu’elles
interrogent leurs maris à la maison.
Donc,
la solution est que l’on (ré)éduque les éducateurs de Droit
divin des femmes : les Hommes !, soit réaliser ce que veut
faire l’Œuvre
pour la Restauration de la Famille par l’Autorité ; de l’Époux,
du Père. (ŒRFAEP) !
3.D.1.c - Les
femmes ne sont point un problème, c’est l’Homme qui L’est !
Regardez !,
si un Homme sain (et saint peut-être) rééduque ou discipline Son
épouse parce qu’Il l’aime, Lui vraiment !, que se
passe-t-il ?, immédiatement d’autres Hommes déformés crient
pavloviennement*
haro sur ledit machiste !, ledit tyran !
Pour :
discipline Son épouse parce qu’Il l’aime :
La
libération de la femme, ne le pouvant d’elle-même, est l’œuvre,
certes insufflée par Luciabel : d’Hommes !
Si
un Époux veut saintement faire passer ses démangeaisons*
à Son épouse, ce sont les autres Hommes qui le dénoncent !,
et le clouent au pilori !
Donc,
ce n’est pas par la (ré)éducation de nos filles que l’on
rétablira l’Ordre naturel, ou Ordre divin, ce n’est pas par un
désordre que l’on rétablit l’Ordre !, mais par la
(ré)éducation de nos Gars !, et ce en commençant au plus
jeune âge possible , afin qu’ensuite et enfin ils deviennent
à leur tour, une fois établis dans le Mariage : ces
rudes pères de famille à l’autorité absolue et incontestée,
gardiens fidèles de leur gens !
Pour :
rudes pères de famille à l’autorité absolue :
Une
fois ces rudes et sains Gaillards bien restaurés dans l’Ordre
divin, et si les autres Hommes corrompus sont empêchés de nuire par
un Prince légitime, il ne Leur restera plus qu’à corriger Leurs
épouses par l’enseignement ou la discipline la cas échéant !
Pour :
empêchés de nuire par un Prince légitime :
Prince
que le Bon Dieu ne manquera pas d’envoyer [par exemple : Grand
monarque d’après certaines prophéties] voyant qu’il y a de plus
en plus d’Hommes sains demandant Son Secours !
Ceci
nous rappelle une prophétie disant, pour une période que semble
maintenant bien proche (Voir notre avertissement précédant à
Paris), qu’après ces événements très sanglant (3/4 de la
population française rayée, et ailleurs 2/3) : les
femmes se rendront enfin compte qu’elles sont totalement incapables
de se diriger elles-même ; les rares survivantes longeront les
murs et ne la ramèneront plus ! [cité
de tête, et souvent rapporté par notre Légitime
Contradicteur*]
Pour :
(notre avertissement précédant à Paris) :
3.D.1.d - Les
femmes peuvent éduquer rien que la toute petite enfance.
[Ce
texte est une ébauche à affiner, préciser, développer]
Éduquer
n’est pas exactement enseigner, enseigner n’est pas exactement
éduquer !
Qu’est-ce
qu’éduquer ?
Éduquer,
c’est plutôt élever, former, façonner : religion, langue,
bonnes habitudes, politesse, maîtrise, obéissance, etc.
C’est
former l’intelligence, le jugement, ceci relève de la mère, sous
contrôle très strict du Père !, ce pour le premier âge :
0-7 ans.
C’est
transmettre la Conscience !, former les fondations.
L’on
dit souvent : rôle des parents.
Qu’est-ce
qu’enseigner ?
Enseigner,
c’est plutôt apprendre, instruire, faire connaître.
C’est
remplir la mémoire, augmenter l’étendue des connaissances,
confirmer le jugement, ceci relève du Père, ou du précepteur (ou
école) par délégation très stricte du Père uniquement !, ce
pour le deuxième âge : 7-14 ans.
C’est
transmettre la science !, élever l’édifice.
L’on
dit souvent rôle de l’instruction (école).
Qu’est-ce
que spécialiser ?
C’est
poursuivre des études supérieures dispensées par le Père qui très
majoritairement délègue cela aux écoles supérieurs en vue
d’atteindre pour certains Gars des métiers plus intellectuels :
médecins, juristes, enseignants, etc., ce pour le troisième âge :
14-21, et encore plus rarement le quatrième âge : 21-28.
Notez
que : NSJC fut soumis à ses
parents jusqu’à Son quatrième âge bien révolu : 30 ans !
3.D.1.e - Les
garçons et les filles, peuvent-ils avoir le même parcours
intellectuel ?
Non !,
non par interdit, mais par impossibilité intellectuelle ! En
effet, nos possibilités sont ordonnées à notre mission, sont
déterminées de toute éternité par le Seigneur Dieu !
→ Le
petit Gars est appelé à être Chef, à discipliner !
→ La
petite fille est appelée à être servante, à être disciplinée !
Ceci
est prouvé scientifiquement, le cerveau humain se développe en
quatre périodes :
Charnière :
7 ans :
Période
1 : de 0-7 ans, vers la raison.
C’est
l’âge de la Raison !
À
± ce moment l’enfant peut malheureusement faire des péchés
mortels.
Canoniquement,
ils peuvent contracter fiançailles, des contrats.
Le
Gars et la fille, quittent la première enfance, Lui devient
Damoiseau, elle damoiselle.
Pour
le Damoiseau donc, l’éducation doit être que paternelle, et
surtout surtout pas maternelle, féminine : efféminisation,
puis… !
Pour
la damoiselle donc, son instruction peut s’arrêter là, elle
commence son apprentissage de ménagère, d’épouse.
Pour :
surtout pas maternelle, féminine :
Quel
sandale innommable que des femmes enseignent les Garçons dans les
écoles !, ceci est positivement contre nature !, d’où
le nombre de contre-natures, de sodomites qui se multiplient à très
grande vitesse !
Dans
le temps, de telles choses n’existaient pas ! Dans les petits
villages, c’était toujours un Homme, dès la rentrée en classe
qui ne se faisait jamais avant les sept ans révolus, qui
enseignait !
Les
filles étaient enseignées (en plus de l’éducation donc) que par
la mère ou une grande sœur, ou une autre femme, et ce, au nom du
Père, ou par le Père Lui-même.
Dans
les endroits où il y avait des écoles religieuses tenues par des
femmes (religieuses et damoiselles), dans le temps avant 1900, les
filles pouvaient aller à l’école, jamais au-delà de 14 ans !,
et ce sous le regard très strict du Père !
Attention !
attention à l’enseignement féminin débridé !, si vous
saviez l’enseignement malicieux que distillent lesdites
bonnes-sœurs, véritables mauvaises-sœurs pour les Hommes et
véritable amazones précurtrices
des mouvements de ladite libération de la femme, dans les écoles !,
elle fourguent pour le moins, et même et surtout dans ladite
Tradition, un enseignement hautement misandrique, du type : la
femme doit obéir en toutes choses, sauf
bien entendu,
le cas où !
Voici
un exemple véridique, textuel dans le sens :
Mes
filles, disent ces perverses dedites mères,
vers 2003, vous
devrez être vigilantes avec les Hommes, nous comptons sur vous pour
les guider et relever le niveau des familles !
Ceci
fut rapporté par une des filles, d’un de nos contacts, qui était
dans Le
Cours Saint… en France !, ce discours
est positivement contre-nature, un véritable appel à
l’insubordination, à la révolte !, il sort tout droit des
distilleries de Satan !
Méfiez-vous !,
méfiez-vous si si fort dudit enseignement fait par des femmes !,
rappelez-vous ce que nous disions plus haut !, ainsi :
Premièrement,
qui (ré)enseignera les femmes ?, nous
écrivions : D’autres
femmes ?, mais elles sont toutes corrompues, forcément nous
pouvons dire !, peu ou prou !, cette solution consisterait
à encore plus répandre et enraciner le mal !…
Charnière :
14 ans :
Période
2 : de 7-14 ans, vers la puberté.
Canoniquement,
les damoiseaux peuvent contracter Mariage, pour la damoiselle certes,
pour le Damoiseau, vaut mieux certainement attendre l’âge de la
maturité.
Le
Damoiseau fait partie entière des Hommes, Il devient Sieur Prénom
Nom, souvent à cet âge, Il conduisait en l’absence du Père, le
château, la Maison (la mère et les filles Lui étaient soumises !),
l’entreprise familiale, la ferme, etc.
La
damoiselle doit impérativement arrêter son instruction !,
c’est son Époux qui la parachèvera selon Son goût !
Charnière :
21 :
Uniquement
pour le jeune Sieur :
Période
3 : de 14-21 ans, vers la maturité.
Le
jeune Sieur secondait en tout Son Père, poursuivait en la carrière
de Son Père, ou s’en choisissait une autre pour les puînés !
Le
jeune Sieur doit approfondir ses connaissances, pas forcément des
études comme compris maintenant !, en effet :
L’enseignement
par les choses sensibles est supérieur à l’enseignement
« classique » ! (voir
ensuite)
Il
peut très raisonnablement s’établir, choisir femme !
Uniquement
pour la damoiselle, donc non mariée :
Période
3 : de 14-21 ans.
Il
est très empalement temps de l’établir !, mariage ou…
Charnière :
28 :
Uniquement
pour le Sieur :
Période
4 : de 21-28, vers la maîtrise.
À
cet âge le Sieur devenait Maître, Maître artisan tailleur,
exploitant agricole ou fermier, etc., médecin, notaire, etc.
Il
est très bien raisonnable, il est bien temps qu’Il choisisse
femme !
Uniquement
pour la damoiselle (donc si non mariée) :
Période
4 : de 21-28.
Il
est dramatiquement temps de placer la damoiselle !, la date de
péremption approche à grands pas (ménopause 40-55 ans) elle ne
pourra pas avoir une nombreuse Famille, elle commence sérieusement à
s’endurcir !, elle sera bien plus difficile à discipliner
pour son Époux !
3.D.1.f - Donc
enseignement ni mixe, ni parallèle !
Donc
enseignement non mixte :
La
mixité, en plus de l’aspect évident de débauche de Garçons,
tire tout aussi évidemment l’enseignement vers le bas !, le
nier est rien qu’une preuve de mauvaise foi !
Que
l’on ne vienne pas nous importuner avec l’élucubration comme
quoi les filles apprendraient mieux que les Garçons !, c’est
absolument faux !
Enregistrer
n’est pas apprendre, comprendre !, il est notoirement facile
de remplir une bande magnétique (comme vu plus haut) ne raisonnant
donc pas, qu’un cerveau qui veut comprendre et prend le temps qu’il
faut pour cela !
Donc
enseignement non parallèle :
Évidemment !,
et non aussi étendu du reste, ce comme vu juste avant et comme nous
allons le voir encore plus maintenant.
3.D.1.g - Les
études comme entendues maintenant, corrompent-elles les filles ?
Oui,
au-delà de 14 ans au très grand maximum, parce-qu’elles sont
radicalement et positivement incapables de raisonner ; au mieux,
elles accumulent (mémoire) des données, mais comme elles sont
totalement incapables de les ranger (ordonner) et encore plus de les
comprendre (assimiler) ; ces données sont jetées dans leur
mémoire en un désolant fatras !, mais certainement point
assimilées ! ; et en cas de régurgitation, ne cherchez
pas de cohérence, ça sort comme ça vient !
Ce
qui fit dire à cet auteur contemporain :
Les
études, l’école évincent maintenant le père, seul éducateur –
enseignant.
Que
les filles soient élevées pour être des épouses et des mères…,
les
études les brisent et les poussent à la révolte.
Elles
leur enlèvent l’intelligence !
L’enseignement par les choses sensibles est supérieur à
l’enseignement « classique » (saint Thomas) !
Ce
qui fit dire à Maria Lombrose :
Rappelez-vous
du reste ce que nous disait Maria Lombroso plus haut : Non,
l’éducation
la plus soignée n’affaiblit pas chez la
femme ce besoin d’appui :
il
croît au contraire […] L’incertitude,
la sensation d’égarement que la femme éprouve à la pensée
d’être seule, son besoin d’un homme qui la dirige et la
soutienne,
sont la raison de l’humilité, de l’admiration sans bornes que la
femme est disposée à professer pour l’homme qu’elle considère
instinctivement comme son protecteur
Que
demande-t-on à une gamine ?, connaître Dieu (catéchisme pour
femmes !) savoir le prier (être pieuse), savoir Lui plaire
(être soumises
en toutes choses à son (futur) Époux) ;
et accessoirement, ce qui ne gâche rien : lire et écrire,
compter !, et placer l’une ou l’autre ville ou pays au
mieux !, soit le niveau de certificat d’étude des années
1970 !, ainsi elle pourra transmettre ce gracieux bagage au
premier âge (0-7) des enfants de son futur Époux que le Seigneur
Dieu lui destine certainement !
Pour :
connaître Dieu (catéchisme pour femmes !) :
Là
aussi, cet enseignement, le catéchisme est ordonné, c’est un
Gars ?, non !, une fille, donnons-lui les bases
essentielles !, par sa mère en premier, et surtout par son Père
ensuite ; mais jamais, au grand jamais par un pervers de prêtre,
un cloaque
d’impureté : viol de votre fille, au
moins intellectuel et moral, et… ‛plus si affinité’ !
On
lui demande surtout :
→ d’apprendre
la soumission et l’humilité, notamment baisser les yeux lorsque
les Hommes de la Maison rentrent !
→ d’apprendre
à s’éclipser gracieusement lorsqu’un étranger [à la Maison]
est invité ; et de venir immédiatement et très gracieusement
si son Père l’appelle pour la présenter à cet étranger !,
et de ne parler que si l’on l’interroge…
→ d’apprendre
le silence, tenir sa langue pour la Paix du foyer de son futur Époux,
comme de celui de son Père.
→ d’apprendre
la cuisine et le service, pour s’attirer son Futur.
→ d’apprendre
le ménage, ravaudage et couture, pour aider sa mère, puis ensuite
s’occuper de son Époux.
→ de
préparer son joli et solide trousseau en vue de son Mariage !
→ d’être
très soigneuse de sa personne et de son intérieur (moral (vie
intérieure) et ménager).
→ d’être
très pudique et très modeste !
→ et
c’est tout !
Pour :
tenir sa langue pour la Paix du foyer :
Pour :
son trousseau en vue de son Futur :
-- Trousseau :
1. Ensemble de vêtements et de linge de maison que reçoit
une jeune fille qui se marie ou qui entre en religion. Trousseau
de mariage; se marier sans trousseau. Dès qu’une fille
naissait, on commençait son trousseau. Achevé, les voisins et les
voisines étaient conviés à venir l’admirer. Les lits, les bancs
en étaient chargés, la table surtout où s’étalait le linge fin
de corps (Pesquidoux, Livre raison, 1932, p. 22).
-- Futur :
B.− Subst. variable en genre. Futur (époux),
future (épouse). Personne qui va se marier. Synon. fiancé(e),
promis(e).Venez, enfants, ajouta le père en emmenant sa fille et le
futur dans le jardin (Balzac, Cous. Bette,1846, p. 123).
3.D.2 - Résumons,
concluons cette réponse à votre troisième préoccupation.
Non !,
la solution n’est pas que l’on rééduque les femmes, mais les
Hommes !, qui alors sauront sainement rebrider et enseigner (par
la trique éventuellement) leurs femmes : épouse, filles, etc.
Non !,
les femmes ne doivent pas être enseignées (études,
ici, soit le sens que l’on donne maintenant à enseigner
), elles en sont du reste exactement incapables ; mais,
éduquées ; les études en font des révoltées, des
déséquilibrées.
3.E - Concluons,
sauf question(s), cette première partie de notre réponse.
Cher
Sieur Luryio, nous espérons sincèrement vous avoir bien aidé par
ce texte, nous pouvons le développer selon votre honnête demande,
ou celle de Lecteurs.
Attendez
la deuxième partie de cette réponse, elle va suivre…
Cher
Sieur Luryio, chers Chefs et futurs Chefs de Famille, que le Bon Dieu
Vous bénisse tous, Vous et Vos Maisons !
Pour
la Vérité,
QJSIOJC
3.F.1 - Commentaire
de Sieur Luryio.
Notez :
Les titres en bleu sont de nous pour votre facilité…
Je
vous remerci sieur QJSIOJC pour cette longue réponse, et je pense
mieux comprendre à présent.
Première
préoccupation
Toutefois,
si j’ai bien compris, la femme qui se doit d’obéir à son mari
et ce en toute chose n’a pas du tout le même devoir moral comparé
à un homme. Je m’explique, la femme est un être pourvu d’une
âme, quand bien même elle ne pense comme un homme, elle possède un
jugement moral, qui lui permet donc de discerner le Bien et le Mal et
normalement de distinguer le Bien du Mal.
Seconde
préoccupation
Mais
pourtant, l’autorité de son mari est supérieur à celle de Dieu,
de son devoir moral; si bien que sachant une chose mauvaise que lui
demande son mari, elle remplira avant tout son devoir envers lui,
plutôt que son devoir moral.
En
fin de compte, elle laisse Dieu juger son mari, car elle, elle ne
peut pas le faire; cependant ce qu’elle peut faire c’est essayer
de convaincre, de racheter son mari, tout en accomplissant son devoir
envers lui. En quelque sorte, son devoir moral revient à mettre tout
son coeur pour attirer son mari sur la voie menant au Bien, seulement
si bien sûr, le mari s’en était éloigné. On comprend mieux
pourquoi le Diable s’attarde sur la femme, car ô combien son rôle
est difficile, et c’est justement pour ça qu’il est facile pour
le Démon de dévoyer ce rôle qui préserve la Famille du Mal, et
par ce biai tout le reste de nos sociétés.
Troisième
préoccupation
Après
avoir cerné le problème, la solution tiens à ce qu’on rééduque
nos femmes. Mais l’on sait que ça n’est pas vraiment possible au
point où on en est; et donc ce qui peut vraiment établir un réel
changement c’est l’éducation de nos enfants, donc pas seulement
des filles, et ça devient plus efficace, parcequ’une femme est
moins suceptible de se "rebeller" si sont mari est sur la
bonne voie et que au cas où, c’est lui qui réctifi.
Le
problème suivant étant que pour diffuser une réelle et saine
éducation à grande echelle (à commencer par notre pays), il faut
avoir le Pouvoir sur le territoire voulu. Et toutes les tentatives
humaines de prendre ce Pouvoir pour au moins tenter de "renverser
un peu la tendance" ont échouées. Eh oui le Mal sait organiser
sa défense, donc en fait, et c’est assez terrible à dire, je
crois que la solution n’est pas entre nos mains. Donc si elle n’est
pas les notres, elle ne peut que se trouver dans celles de Dieu.
Moi
après ce que je me demande, c’est si ce n’est pas Dieu qui a
fait une erreur; parceque c’était prévisible que le Diable
attaquerait dans cette faille si énorme.
En
même temps le but sur Terre n’est pas d’en faire le Paradis,
donc la confrontation au Mal est plutôt bénéfique, elle nous fait
prendre conscience de bien des choses. Seulement c’est là que je
crois être le plus en désaccord avec la religion catholique et Dieu
de ce fait, en laissant cette "sélection" se passer sur
Terre, combien de ces gens "innocent" au départ finissent
pervertis par le Mal, et là je ne comprendrais pas qu’on me
réponde que cela est juste. Parceque c’est gens qui sont faibles,
en conséquence de ne pouvoir résister aux assaults non réfreinés
du Mal, devraient avoir la protection de gens forts. Or, en tout cas
pour moi, la véritable force c’est de servir le Bien; et suivant
toujours mon raisonnement, pouvoir servir le Bien, c’est pouvoir
combattre le Mal, rien qu’un exemple, opposer la Vérité aux
Mensonges. Or Dieu, qui représente le Bien dans son entière
totalité à le pouvoir de combattre le Mal, il devrait y avoir une
bataille sans merci, et donc très logiquement une défense des
faibles, afin évidemment de leur permettre de servir le Bien, donc
de devenir fort, ainsi à leur tour ils organiseront cette défense.
Seulement une chose pareille, cela devrait se voir, sans même besoin
de me le démontrer, rien que les faits m’en convaincraient. Et
pourtant, de la petite expérience que j’ai sur cette Terre, on
dirait bien que les faits tendent à me convaincre du contraire.
Voilà,
je sais que mon commentaire est assez long, qu’il pose encore de
nombreuses questions cette fois-ci certainement plus complexe, vu que
ça se dirige assez vers de la Théologie, en plus je ne peux pas
dire que je sois connaisseur en ce domaine, je ne sais pas pour vous;
mais je n’attends pas de réponse immédiate, c’est juste que mon
raisonnement m’est apparu assez clair aujourd’hui, alors j’ai
voulu le poser à l’écrit. En fait ce que j’aimerai c’est que
vous analysiez mon raisonnement, et comme je pense que le votre à
propos de ceci différe du mien(sinon vous ne seriez pas catholique),
que vous me le partagiez, en me disant ainsi, là où peut être je
me trompe, et comment m’en convaincre.
Bien
que ce commentaire aborde un sujet plus personnel et s’écartant un
peu de ceux présents sur votre blog, cela ne me dérangerait
nullement que vous me répondiez dessus avec un article à cet effet.
Peut être que d’autres personnes se posent ou se poseront les
mêmes questions, et de toutes façons je pense que votre réponse
même si elle ne m’éclaire pas tout à fait pourrait en éclairer
plus d’un.
Donc
si vous jugez nécessaire de répondre à ce commentaire sur votre
blog, je m’en ferais à votre avis.
Je
vous rappelle juste que la réponse n’est pas prioritaire, peut
être aurez-vous d’autres articles à faire moins théoriques ou
plus important dans le moment; donc faites selon votre envie.
3.F.2 - Notre
commentaire.
Cher
Sieur Luryio,
Nous
venons de publier votre bon commentaire de cette nuit, et sa suite.
Nous
vous remercions très sincèrement pour le vif intérêt que cette
page vous a suscité, et pour votre délicatesse.
Il
contient des erreurs !, involontaires connaissant votre très
bonne volonté, nous les corrigerons bien volontiers et bien
charitablement, et ce, soit par commentaire ou soit en une page
lorsque nous l’aurons bien relu à tête reposée ; vous serez
averti de cette réponse, sous quelques jours…
Que
le Bon Dieu Vous bénisse, Vous cher Sieur Luryio et nos Lecteurs, et
tous les Vôtres.
Pour
la Vérité, QJSIOJC
♣
Nous avons ajouté un deuxième renvoi fort nécessaire à : Pour : pleine de confiance en la Providence divine
RépondreSupprimerNous avons intercalé, ajouté le paragraphe commençant par : "Déjà, relisons ce que nous avons vu plus haut", et le suivant.
RépondreSupprimerAjoute de : - et !, Celui que nous aurions dû nommer en premier
RépondreSupprimerJe vous remercie beaucoup encore une fois de votre longue réponse véritablement enrichissante.
RépondreSupprimerJe voulais néanmoins préciser, quand j'ai dit que "la solution tiens à ce qu'on rééduque nos femmes.", je pense m'être vraiment mal exprimé en fait, mais vous m'avez bien corrigé. J'entendais plus "discipliner" dans ce "rééduquer", et ce par des hommes sains effectivement. En outre je n'ai jamais pensé qu'il fallait que l'on enseigne aux femmes avec d'autres femmes, malgré certaines de mes erreurs je n'étais pas à ce point féminisé, mais cela vous a permis d'être clair, et même plus qu'il n'en faut, donc je ne peux qu'être satisfait.
Au final je vous rejoins entièrement dans votre conclusion de cette première partie, et j'attends avec beaucoup d'impatience celle qui suivra.
PS: Je tenais juste à dire, au cas où vous ne le sachiez pas, mais si mon commentaire a été posté en deux, c'est tout simplement car il y a une limite de caractére pour un commentaire. Cependant la manière dont vous l'avez divisé et tout à fait logique. J'ai pu coupé mon commentaire correctement cette fois-ci, mais peut-être qu'à l'avenir je serais obligé de faire un second commentaire (ou plus) qui sera suite directe du précédent, et donc il faudra pouvoir le prendre en compte pendant la lecture.
Nous venons d'ajouter une bonne précision, veuillez rechercher en cette page :
RépondreSupprimerPour : [NSJC] de qui descend tout pouvoir de chef :
Ah oui, j'avais oublié de vous dire que j'ai beaucoup aimé votre note d'humour dans cet article.
RépondreSupprimerJe ne m'y attendais vraiment pas, sûrement à cause de la gravité du sujet, mais justement cela m'a assez surpris et fait bien rigoler.
Je ne dirais peut-être pas que c'est du fin humour, mais tourné de cette manière et dans le contexte, c'était très bien trouvé.
Et en plus de ça, cela reste absolument vrai.
Cher Sieur Luryio,
SupprimerMerci pour votre bon et bien agréable commentaire de ce jour..., nous l’avons bien sûr agréé, il nous encourage.
Nous commençons tout juste (ce matin) la deuxième partie annoncée de notre réponse...
Nous avons pris bien du retard, nos lourdes charges familiales, nos grosses épreuves et nos multiples dévotions, et pour couronner le tout une profonde et large entaille à la main gauche en sont la cause.
Veuillez bien patienter..., soyez assuré de nos prières ardente pour vous et tous les visiteurs de ce site.
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous cher Sieur Luryio et tous nos Lecteurs, et tous les Vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Cher Sieur Luryio,
SupprimerComme annoncé, nous venons de répondre à la deuxième partie du commentaire en question en cette page...
Son titre est : RH-2013-04, Sieur Luryio, Dieu est essentiellement Bon, c’est pour cela qu’Il nous veut libres !
Adresse : http://restaurationdelafamille.blogspot.fr/2013/02/rh-2013-04-sieur-luryio-dieu-est.html
Nous vous souhaitons une bonne lecture...
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous cher Sieur Luryio et tous nos Lecteurs, et tous les Vôtres.
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Nous venons de réécrire, pour le compléter, le paragraphe commençant par : La femme est tout à fait incapable de prendre une orientation
RépondreSupprimerNous avons ajouté aussi le retrait qui suit...
Je suis un nouveau lecteur, mais je me permet de vous dire que je trouve vos articles très bien écrits et très instructifs, celui-ci étant probablement le meilleur parmi tous ceux que j'ai eu le plaisir de lire jusqu'à présent. Je vous remercie de nous faire partager vos connaissances et j'espère que vous trouverez le temps d'écrire encore.
RépondreSupprimerCher Sieur Jean Mahezi,
SupprimerC’est si rare que l’on nous écrive un commentaire bien favorable et bien encourageant et courtois, que cela mérite une réponse bien à la hauteur...
Soyez vraiment remercié pour ce bon commentaire !, si les autres ‘bons’ qui se taisent bien lâchement pouvaient voir votre commentaire et ainsi être entraînes à faire de même à votre exemple !
Vous nous dites « j'espère que vous trouverez le temps d'écrire encore », ce n’est pas les sujets, toujours en la cadre de la Famille, qui manquent !, toutefois, nous avons dit l’essentiel, aussi, pour aller plus loin il nous manque des soutiens comme vous, et aussi du temps et des forces... Alors, veuillez prier pour nous afin qu’il en soit selon la Volonté Très-Sainte de notre Dieu d’Amour... que Sa Volonté soit faite !
Vous, n’hésitez pas à revenir, et éventuellement à nous marquer vos bons désirs de compléments (questions, précisions, etc.) que nous essayerons de satisfaire bien cordialement... Par le canal privé (QJSIOJC@gmail.com) nous sommes aussi à votre disposition pour parler plus personnellement...
Cher Sieur Jean Mahezi, veuillez croire en notre très sincère amitié en Notre-Seigneur Jésus-Christ et Notre-Dame !
Aujourd’hui est un anniversaire marquant pour nous, et nous avons lu la messe en plus de toutes nos dévotions habituelles, sachez que nous avons prié pour vous particulièrement lors de celles-ci !
Que le Bon Dieu Vous bénisse, Vous et tous les Vôtres...
Pour la Vérité,
QJSIOJC
Veuillez bien excuser cette distraction, la fatigue doit en être la cause !, veuillez lire :
Supprimernon : Jean Mahezi
mais : Jean Mahezic
Chers Lecteurs,
RépondreSupprimerHier, nous avons ajouté le retrait commençant ici :
Ajoute en la Saint Éloi de Noyon, lundi 1-12-2014
Bien à vous..., que le Bon Dieu Vous bénisse tous, Vous et tous les Vôtres !
Pour la Vérité,
QJSIOJC